Tumgik
#PerkZ
ahiruuun0 · 3 months
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I made memes abt G2, they are funny for me at least-
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enarratives · 4 months
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Right, I've done everything right So where's the karma doc? I've lost my patience
Failed Golden Roads + Karma by AJR
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junmielle · 4 months
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just guys being dudes
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hejustcancelledit · 2 months
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I think this counts as everyone both baiting and not baiting at the same time
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p0werup23 · 3 months
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Venn diagram of Miky's boyfriends (idea stolen from poise)
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daily-esports-hug · 29 days
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Day 16
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leagueoflasagnas · 6 months
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Boy oh boy if I'm excited for this rumoured Heretics roster with Perkz, Jankos and Wunder... 🥺
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depechem0defan · 11 months
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lck-toilet · 1 year
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The gangs all here 🥲
I’m unwell
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ry-reviews · 1 year
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Team Vitality : La fierté de la France aux pas chancelants
Préambule
            Quand on a une culture à représenter, il faut prouver. Quand on est la première structure française, il faut prouver. Quand on a un ensemble de fan, dévoué et amoureux du maillot, derrière nous, il faut prouver. Quitte à décevoir, quitte à faire des choix, quitte à dépenser des millions, il faut prouver. Prouver qu’on est les meilleurs, que personne ne fédère autant que nous, qu’on est la fierté de la France, ce grand pays, cette nation au cœur arrogant et à la population compétitive. Prouver que, au même titre qu’au football, qu’au volley, qu’au handball, on est capable de rivaliser, non, de dominer les autres pays. C’est dans cette optique qu’une structure, reconnaissable par ses couleurs jaunes et noires, Team Vitality s’est lancé dans l’eSport avec un seul but : prouver au monde que la France aussi est la meilleure dans l’eSport.
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Introduction
En 2013, à l’époque où l’eSport était encore une scène de niche, Team Vitality s’est créée. C’est suite à l’impulsion de quatre jeunes hommes, dont encore les très connus Fabien « Neo » Devide et Corentin « Gotaga » Houssein, que la structure à l’abeille est née. Elle s’est fondée sur Call of Duty, et uniquement sur ce jeu, avec les membres-fondateurs. Gotaga était joueur pour la structure, Neo était son coach. Mais très vite, la structure française s’est diversifié sur d’autres jeux, tels que Fifa, Rainbow 6 Siege ou encore League of Legends. C’est en effet après le rachat du slot de Gambit que Vitality officie son arrivée dans la scène européenne de League of Legends, participant aux LCS EU la même année que G2 Esports, en 2016.
La cadence s’accélère lorsqu’en 2017, l’équipe aux abeilles s’étend sur les jeux H1Z1, Player Unknown’s Battleground (PUBG) et enfin Counter-Strike : Global Offensive. Mais cela ne s’arrête pas là, puisqu’un an plus tard, ils investissent dans une équipe sur Rocket League et signent des contrats avec des joueurs Fortnite. En bref, la structure est tentaculaire, en plus d’être touche-à-tout, et cela, sans parler des nombreux ambassadeurs qui diffusent et créent du contenu avec le logo et les vêtements de Vitality.
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En termes de succès, Vitality a été couronné championne de l’ESL Pro League en 2016 sur Rainbow 6. La structure s’est créée un nom sur CS-GO avec leur joueur star et français Mathieu « ZywOo » Herbaut, et elle a dans son étagère un titre de champion du monde sur Rocket League datant de 2019. C’est une écurie française forte de son succès et qui compte parmi ses rangs de nombreux ultras, prêt à défendre bec et ongle leur structure (même quand il s’agit de défier le mur bleu de la Karmine Corp.). Mais qu’en est-il sur League of Legends ?
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On ne peut pas dire que le succès était au rendez-vous dès leur entrée en LCS EU. C’était encore une jeune structure qui devait se battre contre le géant Fnatic, quand la structure était la seule impératrice de l’Europe, puis du nouvel arrivant G2, l’antihéros qui déplait à l’ancienne génération. Il n’y avait pas de place pour Vitality, qui s’est tout de même hissé à la troisième place vacante du podium lors de leur premier segment. Néanmoins, c’était un fait qui ne s’était pas reproduit par la suite, l’équipe entamant alors une longue traversée du désert. Puis, 2018 était arrivée.
L’équipe se retrouve à nouveau parmi les grandes structures, retrouvant une place confortable pour les playoffs des segments de printemps et d’été. L’équipe aux abeilles pouvaient remercier Daniele « Jizuke » Di Mauro, l’étalon italien qui a surpris sur la voie du milieu, ainsi que Lucas « Cabochard » Simon-Meslet, vétéran de l’équipe qui a su se remettre aux niveaux des meilleurs toplaners de la ligue. C’est à partir de ce moment-là que la course pour les Mondiaux s’était entamée. En effet, avec les points accumulés au printemps, la structure française était en nette avance pour représenter l’Europe aux Worlds. Et avec la descente aux Enfers de G2 ESports et leur victoire lors de la petite finale face à Misfits, une équipe redoutable qui est parvenue à faire une première moitié de segment sans défaite, l’équipe a été qualifié aux Mondiaux.
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Mais parfois, le sort peut s’acharner. Lors du tirage des groupes, l’équipe française s’est trouvé dans une fâcheuse posture, tombant dans le « groupe de la mort » avec le grand favori du tournoi Royal Never Give Up ainsi que l’ancien champion du monde Generation Gaming. Pourtant, ils ont réussi à défier la fortune en remportant deux victoires contre les coréens de Generation Gaming et en faisant subir la première défaite aux hommes d’Uzi, RNG. Si l’histoire ne retiendra pas leur nom, puisqu’ils ont été éliminé lors du « Main-Event », ils ont néanmoins réussi à faire déchanter les ogres coréens et chinois et prouvé au monde entier qu’ils n’étaient pas infaillibles, d’autant plus qu’ils ont triomphé avec leur propre style.
Après 2018, Vitality ne parviendra jamais à trouver sa gloire d’antan. Quand bien même ils dépensent beaucoup d’argents pour leur équipe sur League of Legends, ils ont un gros problème sur le poste de jungler, puisqu’ils ne parviennent pas à trouver un joueur stable sur cette position. C’était un si gros problème que Vitality s’est retrouvé lors de l’été 2022 avec plus de quatre junglers en attente, sans pour autant trouver du succès. L’ensemble des joueurs de 2022 a été un échec. Ce projet de super-équipe n’a pas porté ses promesses, puisque l’équipe n’a pu aller plus haut que la sixième place. Alors, est-ce qu’en 2023, peut-on espérer mieux ?
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Pour 2023, la Team Vitality a décidé de faire table rase du passé et de reforger une toute nouvelle équipe. Sur le botside, on a droit alors à Neon qui assurera le rôle d’AD carry. Il est connu pour être un des éléments du succès miraculeux de Misfits lors de 2022, quand bien même il ne joue qu’une poignée de champion. Pour l’accompagner sur la voie du bas, Kaiser sera là pour le supporter. Son entrée en LEC a fait grand bruit grâce à son style de jeu et ses champions uniques. Reste à savoir sur la sauce va prendre et s’il y aura une bonne synergie entre les deux joueurs. Du côté opposé de la carte, la toplane sera officiée par Photon. En effet, le joueur star Alphari a décidé de prendre une pause pour se ressourcer, restant cependant sous contrat avec la structure française. Son remplaçant coréen provient de l’académie T1, connu pour avoir fait émerger des joueurs tels que Zeus, Gumayusi ou encore Oner, dont le talent n’est point à douter. Alors, Photon sera sûrement du même acabit dans une compétition moins compétitive que celle du pays au matin calme. Enfin, pour compléter l’équipe, le jungler sera Bo. En plus d’être une première pour l’Europe, la LEC n’ayant jamais accueilli de joueur de LPL, le joueur est prometteur en plus d’être bourré de talent (On va y revenir.)
Analyse
Parmi les points forts à citer, on peut parler du topside. Photon est un aussi bon joueur de carry que de tanks, ce qui est un élément à ne pas négliger, d’autant plus que le vivier de talents européen à ce rôle est faible. Ensuite, la versatilité qu’apporte Kaiser à son rôle assure la phase de lane en plus d’épauler la voie du milieu. Enfin, tous les postes ont un énorme potentiel de carry individuel, ce qui a de quoi faire pâlir les autres écuries.
Mais il y a des défauts qui contrebalancent tout cela. D’abord, Perkz a de quoi nous interroger. S’il a été à son meilleur niveau chez G2 ESports, le succès n’est pas le même depuis son départ de la structure espagnole, d’autant plus que le niveau sur la voie du milieu n’a fait qu’augmenter depuis son départ. Alors, aussi surprenant que cela puisse paraitre, il est normal de le considérer comme le point faible de son équipe. Maintenant, on peut à tout moment assister à un éveil de son potentiel d’antan, ce qui serait destructeur pour les autres équipes. Ensuite, cela va faire un an et demi que Bo n’a pas participé à un match officiel. Être bon en classé est une chose, mais parvenir à jouer avec une équipe en est une autre. Surtout que l’un ne garantit pas l’autre (on se souviendra du colosse en soloq qu’était Magifelix, mais dont les pieds deviennent argiles quand il participe au circuit compétitif de Riot Games). Enfin, la plus grosse interrogation se trouve dans la barrière de la langue. Avec un Coréen et un Chinois dans leur équipe, la communication pourrait s’avérer compliquée, ce qui est un problème dans un jeu d’équipe tel que League of Legends. Est-ce que le monstre qu’est Bo sera fragilisé par cette barrière ?
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VIT Bo – le destructeur venu d’Orient
Bo est un joueur dur à analyser. En effet, à cause de la situation particulière dans laquelle il s’est trouvé en Chine, on se retrouve avec des informations vieilles en plus de décrire une carrière brève. Lorsqu’il était jungler pour FPX, structure chinoise championne du monde, le joueur n’avait aucune défaite au compteur. Il avait une carrière prometteuse, mais son parcours véloce a vite été stoppé à cause d’une sombre affaire de match-fixing en LDL, deuxième division chinoise, et en LPL. Il aurait subi des pressions de son manager pour arranger les matchs qu’ils jouaient afin d’avantager des parieurs. Suite à ces pressions, le joueur a choisi de dénoncer la situation. Malheureusement pour lui, son élan de justicier est un préjudice, puisqu’il écopera d’une punition de 4 mois durant laquelle il a été interdit de jouer des matchs officiels. Suite à cette annonce, et malgré la levée de sa peine, il a été boycotté par les structures chinoises qui ne voulaient pas s’associer à lui et, surtout, à cette histoire. Vitality tirera profit de cette histoire pour lui faire signer un contrat chez eux, le chinois faisant alors le voyage jusqu’en Europe pour jouer dans l’une des ligues majeures.
Maintenant, avec le peu d’informations dont on dispose, il est obligatoire de se pencher sur ses statistiques en classé. Et on s’aperçoit qu’il est capable de tout jouer en plus d’avoir un potentiel de carry remarquable, à tel point qu’il trouve actuellement à la place n°6 du ladder. En plus, d’après ceux qui l’auraient rencontré dans leur partie, il est considéré comme un alien, sortant des mécaniques hors du commun.
Avec les statistiques récoltées sur ses matchs joués en LPL, Bo c’est :
Une participation au « premier sang » de 40%
Un ratio victoire/défaite de 100%
523 de damages par minutes
Un KDA de 5,3
Une participation aux éliminations de 68,5%
Maintenant, il a beau être un monstre, être le plus redoutable des junglers, son talent est caduque s’il ne parvient pas à communiquer dans un bon Anglais avec son équipe. D’autant plus qu’on peut se questionner sur sa synergie avec son nouveau toplaner.
Conclusion
Si on devait faire une analogie du mercato de Vitality, disons simplement qu’ils ont joué un tapis avec leur jeu de cartes. Et ce jeu de cartes peut être le meilleur coup de poker de tous les temps comme peut être une action ridiculement mauvaise. Quand bien même il y a peu de doutes, on peut se demander comment va se porter la synergie sur la voie du bas entre Kaiser et Neon. Enfin, est-ce que Perkz pourra assurer son rôle de carry d’antan ou sera-t-il cantonné à se faire porter par ses équipiers ? Tout ce qu’on peut savoir, c’est que cet ensemble a de quoi être la meilleure équipe que l’Europe n’a jamais portée, dérobant alors le titre à la line-up de G2 ESports en 2019. Cependant, avec tous les doutes que soulèvent cette équipe et avec le passé de la structure française, le futur pour les abeilles reste incertain.
Place attendue : dans le top 6
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Article très long, mais quand on aborde une équipe aussi prestigieuse que Vitality, il faut savoir prendre son temps ! Sur ce, on se retrouve dans deux jours pour un nouvel article et passez une bonne journée/soirée !
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theywrites · 4 days
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This kid is getting on his nerves, Perkz decides. First off, he comes into the stream and chirps at him about his rusty Irelia game. That was his first game in 10 days, dude. Of course his mechanics and decisions were a little off... But who does he think he is, bantering with Perkz? They are not even that close, but Luka decides, perhaps this is a polish thing- to be brute and enjoy poking at people's mistakes. Then, he chooses to play Amumu because he wants to test the champion out and orders Perkz to play Lucian. Kid doesn't know his place. Perkz refuses cleanly, he chooses Irelia, he can chose a fitting champion himself, thank you. Then Selfmade starts to show off: "Watch ME WATCH ME WATCH ME". He acts like a three years old showing his parents all the new ballet moves he's learnt through the year./Selfmade doesn't stop talking about himself, about his account and his memories and Luka honestly doesn't care. Luka doesn't even bother to act impressed, and eventually there are moments of silence. He knows he is being harsh to the kid, but really- he invited him over to boost his elo, not stroke that guy's ego. And Luka cannot help but notice that there is some over-eagerness, (he was surprised when Selfmade actually agreed to duo and dug up his old account), like Selfmade is trying to prove himself.... Perhaps the kid holds some competitiveness and wants to be the better polish jungler. Perkz would be lying if he said Selfmade is not good, but if Selfmade is in his team— Luka would definitely change him a lot. (The kid has a lot to learn- starting with that moth of his.)
Luka allows Selfmade to boast a little, but never too much. Oskar can feel when he is threading on the line of Luka's temper, and when Luka snaps he makes Oskar feel like a useless child getting punished for attention seeking, for not following orders, for being too noisy. The feeling is degrading, and humiliating, but Luka doesn't care — he never thinks about sparing Selfmade some dignity. Is this how he treated Jankos?
(He cannot help but wonder at times- did Perkz shout at Jankos like he's a five years old who just ruined __? Would Perkz throw the same accusations if he were Jankos?
And how did Jankos - no, Luka calls him Marcin- respond? Does Jankos call him Luka too? (Of course, who deosn't? Perkz let's everybody call him Luka.) And Jankos? Is Perkz the only one who calls him by his real name?)
He is thinking too much, and it's no good, but he cannot stop wondering about these small details. He wants to know how Luka treats Jankos, if Luka treats him the same way. His obsession over this whole ideal makes no sense- no matter how Perkz is towards Jankos, this will not be relevant for Perkz's current relationship with him.
At least that's what he tries to believe. Yet the statement gnaws on his mind- Even though they are on different teams now, even though they barely ___...
Once Selfmade walked in on Perkz playing duo with Jankos when he was supposed to fetch him for dinner. Jankos never duos with anybody. Also, he still sees their banters. They used to banter before Jankos joined G2, and the banters didn't stop after Jankos joined G2. Seems like they don't stop even after Perkz leaves.
Whenever Selfmade tries to start a banter, Perkz brushes him off smoothly- like he's too good for him. Like he can never reach Perkz with his words because they are on different leagues. But the truth is they are on the same team, playing together, and Selfmade wants Perkz to look him in the eyes, because they are on equal grounds. Selfmade is here for a reason. Even when the whole world approves, it feels like Perkz would not agree to the fact.
The fact that Luka and Marcin got along fills him with... envy. It is an ugly feeling. He craves that relationship, he wishes Luka could trust him like he trusts Jankos— and it makes no sense, really, because Jankos acts all dumb and clumsy while Selfmade is smart and smooth, yet Luka does not believe in him. He knows trust takes time to build, but he wants it now.
He wonders how Marcin put up with Luka's temper, how he could shrug it off because he knows that he is right and that Luka is overreacting and that they are both fighting for the same goal. He cannot do the same, not when Luka speaks like a commander sees right through him.
Another ugly thought rises- Jankos is the better polish jungler. Perkz thinks so.
Selfmade proved himself the best jungler in 2019, but Fnatic fell to pieces and they kept loosing. Will Perkz approve of his skills? He knows he is the best mechanically, but he also knows that people criticize him for being selfish. It's his style, but what should he do when Perkz is assulting his strong points and pointing at his lackings? He is not Jankos, does not give before he takes, he refuses to give himself away as Luka wants. And what if he is wrong? What if he needs to to give himself away in order for the to succeed?
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ahiruuun0 · 3 months
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Little post to quickly present that i have a whole pinterest board about G2 and i will keep it update troughout the year so if needed, just click on the link below :))
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enarratives · 1 year
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I promise I'm the only one you need 👑
Count on us | 2023 LEC Winter Promo pt. i | pt. ii
feat. SK Markoon | BDS Crownie | VIT Perkz | G2 Hans sama | MAD Elyoya
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hejustcancelledit · 9 months
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Just when I thought we could have a relatively normal Carzzy tweet, Perkz just has to come in and ruin it
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heronetworkgg · 1 year
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Perkz afirma que G2 Esports tiene muchas debilidades y que Team Vitality ganará la LEC
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Cada vez falta menos para que el split de primavera de la LEC llegue a su fin. Por lo menos, ya conocemos a los ocho equipos que se enfrentarán en una serie al mejor de tres para buscar su clasificación a los playoffs, la última fase de este split. G2 Esports está buscando repetir su […]
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mikyx-daily · 2 months
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"am i doing it hard enough? hard enough for you, boy? or should i do it harder?"
mikyx dies in jankos' arms *emotional* | bmw driving school ep. 2 [sept. 21, 2020]
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