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#Michaël Cohen
journaldepaupau · 4 months
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Master Crimes
J’avais vu la bande-annonce passer à la TV… je ne l’ai regardé qu’en replay sur TF1+.  Une étrange ressemblance avec HTGAWM (Murder)… on a une prof en criminologie qui donne des cours et elle doit trouver le tueur en série qui la provoque (il veut faire le crime parfait, être le tueur parfait, car c’était le sujet de son livre). Elle va collaborer avec la police et décide de prendre 4 étudiants…
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detournementsmineurs · 6 months
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"Bungalow 21" pièce écrite par Eric-Emmanuel Schmitt et mise en scène par Jérémie Lippmann - sur une idée originale de Benjamin Castaldi autour de la rencontre des deux couples Signoret-Montand et Monroe-Miller au Beverly Hills Hotel à Los Angeles pendant le tournage du "Milliardaire" de George Cukor (1960) - avec Emmanuelle et Mathilde Seigner, Michaël Cohen, Vincent Winterhalter, Clément Moreau et Benjamin Jaouen au Théâtre de la Madeleine, novembre 2023.
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lunesalsol · 1 year
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Comme un chef
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bspolink1348 · 1 year
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Les nouveautés de la semaine (12/12/2022)
A la une : L'emprise médiatique sur le débat d'idées : trente années de vie intellectuelle (1989-2019) / Rémy Rieffel
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Cote de rangement : P 96 .P832 R 265756 / Domaine : Communication
"Quelles modifications se sont produites au cours de ces trente dernières années dans la production et la circulation des idées en France ? Où se joue dorénavant la valeur publique des idées ? Se pencher conjointement sur la transformation des modalités du débat d’idées et sur les mutations en cours du monde médiatique permet d’y répondre. Au sein du monde intellectuel, le poids croissant de la logique économique et promotionnelle, le contexte politique et idéologique, les nouvelles relations entre acteurs en présence (universitaires, chercheurs, écrivains, artistes, éditeurs, journalistes) et l’essor des médias numériques ont changé les formes de reconnaissance et de visibilité. Au sein du monde médiatique, les nouveaux rapports à l’information, l’ébranlement des formes traditionnelles de prescription, l’essor des émissions polémiques à la télévision ainsi que l’expansion du web et des réseaux sociaux ont en partie occulté la richesse de la vie intellectuelle. Ils ont favorisé l’essor des idées inscrites dans l’air du temps et instauré des rapports de force différents entre producteurs, médiateurs et diffuseurs d’idées. Rémy Rieffel montre en sociologue comment le monde intellectuel a peu à peu subi l’attraction du monde médiatique et perdu une partie de son autonomie au regard du pouvoir croissant de sélection, de cadrage et de consécration exercé par les journalistes et les nouveaux influenceurs." - Quatrième de couverture
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Sociologie
The gender of critical theory : on the experiential grounds of critique / Lois McNay
https://ils.bib.uclouvain.be/uclouvain/documents/3575368Cote de rangement : HM 467 M 265765
Homo numericus : la "civilisation" qui vient / Daniel Cohen
Cote de rangement : HM 851 C 265758
Les hommes dans les mouvements féministes : socio-histoire d'un engagement improbable / Alban Jacquemart
Cote de rangement : HQ 1613 J 265749
Femme, indigène, autre : écrire le féminisme et la postcolonialité / Trinh T. Minh-ha
Cote de rangement : PN 471 T 265750
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Communication
Pop culture, politics, and the news : entertainment journalism in the polarized media landscape / Joel Penney
Cote de rangement : P 94 .6 P 265759
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Économie
La problématique de Schumpeter : de la nouveauté à la théorie générale du capitalisme / Tristan Velardo
Cote de rangement : HB 119 .S35 V 265747
The economic and strategic impact of standards : a Belgian perspective / Caroline Buts, Michaël Dooms, Fanny Soyeur, Ellen Van Droogenbroeck,, Kim Willems
Cote de rangement : HC 315 E 265769
Ralentir ou périr : l'économie de la décroissance / Timothée Parrique
Cote de rangement : HD 75 .6 P 265752
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Gestion
Leadership : perspectives from practice / Laura Galloway
Cote de rangement : HD 57 .7 G 265763
Les mondes ouvriers : figures de (dé)mobilisations / Pascal Depoorter, Nathalie Frigul, Thomas Venet, Sébastien Vignon (dir.)
Cote de rangement : HD 5374 M 265757
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Méthodologie
The primacy of doubt : from climate change to quantum physics, how the science of uncertainty can help predict and understand our chaotic world / Tim Palmer
Cote de rangement : H 61 .4 P 265762
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Sciences politiques
Poutine, la logique de la force / Jean-François Bouthors
Cote de rangement : DK 510 .764 B 265753
Quand le monde s'arrêta : les enregistrements de la crise de Cuba / Sheldon M. Stern
Cote de rangement : E 841 S 265755
Birth of the state : the place of the body in crafting modern politics / Charlotte Epstein
Cote de rangement : JC 131 E 265766
Democracy's discontent : a new edition for our perilous times / Michael J. Sandel
Cote de rangement : JK 1726 S 265768
La Chine et ses démons : aux sources du sino-totalitarisme / Emmanuel Dubois de Prisque
Cote de rangement : JQ 1510 D 265751
Wicked problems : the ethics of action for peace, rights, and justice / edited by Austin Choi-Fitzpatrick, Douglas Irvin-Erickson, and Ernesto Verdeja
Cote de rangement : JZ 5581 W 265770
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Anthropologie
Des visages : une anthropologie / David Le Breton
Cote de rangement : GN 298 L 265754
La fausse monnaie de nos rêves : vers une théorie anthropologique de la valeur / David Graeber
Cote de rangement : GN 469 .5 G 265748
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Informatique
The United States' defend forward cyber strategy : a comprehensive legal assessment / edited by Jack Goldsmith
Cote de rangement : KF 390 .5.C6 U 265767
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Psychologie
Why we hate : understanding the roots of human conflict / Michael Ruse
Cote de rangement : BF 531 R 265760
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Environnement
Earthly order : how natural laws define human life / Saleem H. Ali
Cote de rangement : Q 295 A 265764
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Santé
Stuck : how vaccine rumors start - and why they don't go away / Heidi J. Larson
Cote de rangement : RA 638 L 265761
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Tous ces ouvrages sont exposés sur le présentoir des nouveautés de la BSPO. Ceux-ci pourront être empruntés à domicile à partir du 9 janvier 2023.
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Kittie BRUNEAU 
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BRUNEAU, Kittie (1929-2021) Masque féminin aux chevaux (2003) Acrylique sur toile 59 x 53 cm. Don de Claude Vinet pour l'encan Fondation Émergence L’artiste internationale Kittie Bruneau n’a plus besoin de présentation. Née à Montréal en 1929, elle fait des études à l’École des Beaux-arts de Montréal dans les années 1940 et elle passe huit ans à Paris où elle habitera jusqu’à la fin des années 50. Elle présente ses premières expositions dans plusieurs villes dont Montréal, Ottawa, Halifax et Paris. De retour au pays, son travail a attiré l’attention de critiques établis, dont Rodolphe de Repentigny qui a souligné dans La Presse en 1959 son « style précis, plein d’éléments graphiques ». Installée en Gaspésie de 1961 à 1972, la peintre a trouvé là-bas une inspiration durable. Elle met ensuite la peinture de côté pour quelques années afin de s'adonner à la danse. Elle dansera dans la troupe de Maurice Béjart. Elle s'installe à Carrières-sur-Seine et se remet à la peinture. Sa démarche artistique demeurera influencée par son goût pour la danse. En 1985, elle voyage au Japon, à Tokyo, où elle étudie la gravure sur bois avec T?shi Yoshida. Elle réalise des murales, des vidéos et des livres d'artistes, pour lesquels elle collabore avec des écrivaines et écrivains tels que Françoise Bujold, Leonard Cohen, Serge Baguidy-Gilbert, Claude Haeffely et Michaël La Chance. Elle a participé à une centaine d’expositions, solo ou en groupe, et les gouvernements québécois et canadien ont reconnu son talent en lui accordant de nombreuses bourses de recherche et de création. Elle est membre de l’Académie royale des arts du Canada. On peut retrouver ses œuvres dans les collections de l’Art Gallery of Hamilton, de la Carleton University Art Gallery, de la Collection d'œuvres d'art de l’Université de Montréal, du Musée d'art contemporain des Laurentides, du Musée d'art de Joliette, du Musée de Lachine, du Musée des beaux-arts de Sherbrooke, du Musée du Bas-Saint-Laurent, du Musée national des beaux-arts du Québec, du Museum of London, Angleterre. Le fonds d'archives de Kittie Bruneau est conservé au Centre d'archives de Montréal et de la société Bibliothèque et Archives nationales du Québec. http://www.kittiebruneau.com/
Prix : 900 $ 
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anhed-nia · 3 years
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BLOGTOBER 10/26/2021: ILS/THEM (2006)
I wonder how much I can find to say about something as lean and efficient as the 77-minute mini experience in grueling terror ILS (THEM). Let's find out!
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Simply put: Clémentine (Olivia Bonamy) and her boyfriend Lucas (Michaël Cohen) have moved into a sprawling mansion in rural Bucharest. They've barely settled in, when they are subjected to a terrifying home invasion by an unknown number of shadowy figures. This extremely simple plot creates an open field for a lot of creative thinking by writer-director team David Moreau and Xavier Palud, not to leave out their capable cinematographer Axel Cosnefroy. The expansive location with its varied topography—crawlspaces, tunnels, a multi-tiered attic, a maze of billowing plastic sheeting—provides seemingly endlessly opportunities to scare the shit out of the audience, resulting in a movie that feels like a mad sprint to the final frightening frame.
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Even mundane moments, like Clémentine borrowing paperwork from her new colleague at the local grade school, vibrate with an unsettled feeling that allows no lull in suspense. ILS owes some of its kinesis to the then-new Panasonic AG-DVX100, which was a game-changer for independent filmmaking when it arrived in 2002. By 2006, even David Lynch was taking advantage of the progressive scan camcorder's low price point and ability to imitate the look of film (more or less) by recording at 24p. Both INLAND EMPIRE and ILS may have an oddly cheap, rugged patina, but neither of them wants for atmosphere, and the camera's compact size affords it a fluidity of movement that keeps things lively.
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While the coarse digital video texture contributes to the otherness of the highly abstract INLAND EMPIRE, that same quality lends ILS a gritty immediacy that is appropriate for something so simple and confrontational. Unfortunately, its sense of realism is perversely diminished by its disingenuous claim of being "based on a true story"—which is unverifiable, and also less and less plausible as the story reaches its affected conclusion. Title cards at the beginning and end of the film insist on a true crime vibe that just isn't necessary to achieve the feeling that a brutal home invasion can happen to anyone, anywhere.
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I'm sure there is a lot to say about what is accomplished by pretending that a fictional drama is derived from fact; after all, we now recognize an entire subgenre known as "found footage". However, ILS lacks the voyeurism of that pseudo-snuff material; instead of masquerading as home video, it relies on the air of authenticity imparted by two factors—one, the earthy simplicity of its premise, and two, the fact that it takes place in Romania. While watching ILS, I realized I've come to expect this specific form of xenophobia from America, home of the HOSTEL series and similar fare that derives its power from stereotypes about the lawlessness of the Eastern Bloc. But, this is a French production, and it made me wonder how widespread is this paranoia about Eastern Europe. It would be interesting to see how many international examples there are of this form of horror story, and to analyze if and how these fears are reflected in native Romanian productions. I have no idea what the state of genre cinema is in that region—excluding the many, many foreign productions that shoot there—but I'd be curious to find out.
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museoillogique · 3 years
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Se séduire dans les peintures XIXe et conclure l'affaire à la sortie du musée
Drague de musée : Museum Scene au Musée des Beaux-Arts de Nantes dans Un baiser, s'il vous plaît ! (Emmanuel Mouret, 2007)
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junghwwwa · 4 years
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“La belle époque”, c’est celle dans laquelle on aimerait vivre, ou dans le cas de Victor (Daniel Auteuil), celle que l’on voudrait revivre. Il faut dire que Victor, sexagénaire mais plus vraiment sexy, n’est plus dans l’air du temps. Ex auteur de bédés à succès, il n’est plus que l’ombre de lui-même sous sa grosse barbe. Barbant et vieux dirait sa femme, la toujours pétillante Marianne (Fanny Ardant), qui le fout à la porte. Le film commence sur un tourbillon présentant le couple vieillissant et le concept génialissime inventé par Antoine (Guillaume Canet) qui consiste à faire revivre aux gens sur un plateau de tournage la période plus ou moins historique de leur souhait. C’est un peu brouillon parce que c’est dense et un brin trop ambitieux mais tout de même l’idée de départ est chouette et l’interprétation apporte le petit plus qui nous embarque dans cette jolie comédie populaire. Le rôle de Victor en particulier va comme un gant à Daniel Auteuil que l’on suit avec plaisir dans sa bluette nostalgique. Le film n’est pas exempt de clichés tant sur le couple que sur l’époque mais qu’importe il fonctionne et tour à tour fait rire et émeut. Une bonne surprise donc du pourtant énervant Nicolas Bedos.
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ponapisach · 5 years
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Zdecydowali się opuścić Francję i osiedlić na przedmieściach Bukaresztu w Rumunii. Kobieta jest nauczycielką francuskiego, mężczyzna pisarzem. Mieszkają w za dużej dla dwóch osób posiadłości. Tej nocy ktoś podszedł pod ich dom. I nie jest to jedna, dwie osoby. Ktoś przestawił samochód, ktoś jest już w środku. Jeśli rozpatrywać tytuł w kwestii przynależności do francuskiej ekstremy, to "Oni" powinien być dodany do nurtu głównie ze względu na podjęty temat. Fani makabry (która w naturalny sposób łączyła się od początku z definicją) z pewnością będą rozczarowani. Analizujący 'french extremity' jako brutalny komentarz do dzisiejszej ludzkiej kondycji, z pewnością będą usatysfakcjonowani seansem i faktem, że "Oni" jest kolejną pozycją, którą śmiało można włączyć do listy filmów z rzeczonego tematu (choć trzeba przyznać, że jest wymieniany stosunkowo rzadko z innymi, bardziej "zasłużonymi dla sprawy"). Podchodząc do filmu debiutantów Davida Moreau i Xavier Paluda od strony gatunku, łatwo jest francuski "Oni" zakwalifikować. To home invasion bardzo ponury i intensywny, w którym prawdziwy horror, wynikający głównie z kontekstu opowieści (i niech będzie, że "twistu"), przychodzi po napisach końcowych. To wtedy powinniśmy siedzieć nieruchomo i roztrząsać w naszej głowie kwestię: "Dokąd zmierza ten świat?". Zapraszam na blog.
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rollingstonemag · 5 years
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Un nouvel article a été publié sur https://www.rollingstone.fr/michael-cohen-temoignage-chambre-representants/
Le témoignage accablant de Michael Cohen, l'ex-avocat de Donald Trump
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Alors qu’il vient de témoigner devant la commission parlementaire de la Chambre des représentants aux États-Unis, l’ex-collaborateur du Président n’a semble-t-il pas mâché ses mots
Il l’avait annoncé dans un premier texte, d’un peu plus de 4 300 mots, comme le rapporte le JDD : Michael Cohen, ex-avocat et proche collaborateur du Président américain Donald Trump, dresse un portrait au vitriol de son ancien patron, qu’il accablait à l’écrit, et qu’il vient d’accabler à l’oral devant la Chambre des représentants, ce mercredi 27 février.
Un « raciste » et un « menteur »
Évoquant tour à tour divers moments de la campagne présidentielle de Donald Trump en 2016, Michael Cohen revient, exemples à l’appui, sur la nature présumée de l’actuel chef d’État nord-américain. « Pendant qu’on traversait un quartier difficile de Chicago, il a dit que seuls les noirs pouvaient vivre ainsi, se rappelle-t-il, invoquant le racisme dont le Président est largement accusé depuis le début de son mandat. Vous l’avez entendu parler des pays les plus pauvres comme des ‘trous à rats’. En privé, il est encore pire. Un jour, il m’a demandé si je pouvais nommer un pays dirigé par une personne noire qui n’était pas un ‘trou à rats’. »
Plus proche des élections, Michael Cohen affirme que Donald Trump était au courant des fuites de mails signées WikiLeaks, qui ont écorné la campagne de sa rivale démocrate Hillary Clinton. « Beaucoup de gens m’ont demandé si M. Trump était au courant de la publication des courriels piratés du Comité national du Parti démocrate avant leur publication [par Wikileaks, NDLR]. La réponse est oui » affirme-t-il sans détour.
Plus surprenant encore : l’affaire de la Trump Tower russe. Devant le Congrès, Michael Cohen avait déclaré que les négociations avaient été stoppées en janvier 2016. Des faits sur lesquels ils revient aujourd’hui : « J’ai menti au Congrès sur le moment où M. Trump a arrêté de négocier le projet de tour en Russie. J’ai dit qu’on avait arrêté de négocier en janvier 2016. C’était faux. Les négociations ont continué durant des mois pendant la campagne. » L’ex-homme de loi du dirigeant précise toutefois que Donald Trump ne lui a jamais demandé directement de mentir – « Ce n’est pas comme ça qu’il fonctionne » précise-t-il. Ce qui n’aurait pas empêché le candidat républicain de lui demander, à maintes reprises pendant la campagne (« entre janvier et juin 2016« ) comment les affaires se passaient en Russie, de façon explicite : « Il a menti à ce sujet parce qu’il s’apprêtait à gagner des centaines de millions de dollars sur le projet immobilier de Moscou. »
De lourdes allégations qui devront être méticuleusement analysées par les représentants, qui entendaient le témoignage de Cohen cet après-midi. « M. Trump est une énigme, s’est permis l’avocat dans sa déclaration écrite. Il est à la fois bon et mauvais, comme nous tous. Mais le mauvais l’emporte de loin sur le bien.« 
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asloveas · 5 years
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#108/2018
Comme un chef / Le Chef
Daniel Cohen / 2012
5.5/10
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passion-of-arts · 3 years
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Filmrezension: Aladin - Tausendundeiner lacht
Filmrezension: Aladin – Tausendundeiner lacht
“Aladin – Tausendundeiner lacht“, urkomischer Abenteuerfilm, der die Geschichte von Aladin mal ganz anders erzählt. INHALT: “Aladin – Tausendundeiner lacht” ist eine Komödie von Arthur Benzaquen mit Arthur Benzaquen, Kev Adams und Jean-Paul Rouve. Sams Freundin (Vanessa Guide) möchte, dass er den Weihnachtsabend bei ihr verbringt, doch Sam (Kev Adams) muss dringend arbeiten. Es gibt viel zu tun…
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"L’Art d’Aimer" de et avec Emmanuel Mouret (2011) et avec Judith Godrèche, Julie Depardieu, Laurent Stocker, François Cluzet, Frédérique Bel, Elodie Navarre, Gaspard Ulliel, Ariane Ascaride, Philippe Magnan, Pascale Arbillot, Michaël Cohen, Louis-Do de Lencquesaing, Stanislas Merhar et la voix-off de Philippe Torreton, avrile 2021.
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JEUDI 7 NOVEMBRE 2019 (Billet 1 /1)
« LA BELLE EPOQUE »
Nous y sommes allés hier et, exceptionnellement, en début de soirée - on a même du se faire avant un p’tit resto (Thaï) pour ne pas être à jeun durant les presque 2 heures de projection. La météo ne donnait vraiment pas envie de sortir, par chance il se donnait dans notre cinéma préféré, dans le Centre Beaugrenelle, idéal à beaucoup de points de vue, dont présentement la bouffe et le cinoche.
Et nous ne l’avons pas du tout regretté. C’est un film avec un scénario TRES original, superbement bien maîtrisé, des dialogues hyper bien écrits, percutants, interprété par une kyrielle d’excellents comédiens… Bon, on va en rester là.
Nous avons trouvé un article, écrit par un journaliste de L’Express durant le dernier Festival de Cannes où ce film était présenté hors-compétition, qui décrit parfaitement bien ce que nous en avons pensé (et aussi les réactions du public dans la salle qui était archi-pleine). Voir ci-dessous.
Comme peut-être vous, le personnage de Nicolas Bedos (metteur en scène du film, auteur du scénario ET des dialogues) nous a toujours paru « puant » de suffisance, mais depuis que nous avons vu son premier film (« Mr et Mme Adelman »), notre regard a changé. On se moque finalement de ce qu’il est, ce qui est important, c’est ce qu’il nous montre, ce qu’il nous raconte… et nous trouvons qu’il a énormément de talent pour ça.
On sait que le talent en agace plus d’un car c’est la chose la plus injuste au monde (comme le fait d’avoir de jolies jambes pour une femme…). On nait avec, c’est un don, une grâce… Et Nicolas Bedos en a à revendre ! Du talent bien sûr…
Nous lui avons tous les deux, avant même de nous lever de nos sièges, attribué ♥♥♥♥,5 sur 5.
N’y allez pas, courez-y !!!
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C'est un beau moment, c'est une belle histoire... « La Belle époque » de Nicolas Bedos, présenté hors compétition, pourrait bien connaître le même destin que « Le Grand bain ».
8'22''. Pas une seconde de plus, pas une de moins. Rapport au temps, ce n'est rien. Rapport à Cannes, c'est une éternité. 2300 personnes qui applaudissent à tout rompre pendant 8'22'', c'est interminable. Et émouvant. A l'aune du deuxième film de Nicolas Bedos, « La Belle époque ». Un voisin de projection qui a assisté à toutes les présentations officielles l'assure : "C'est la plus belle ovation depuis le début du festival." Méritée, ajouterons-nous. Après le déjà excellent « Monsieur et Madame Adelman », Bedos pousse le curseur et monte d'un cran sa soif de mise en scène et de romanesque.
Force est de constater que le gars est plus que doué : il est brillant !
L'histoire est aussi dingue que casse-gueule. Antoine (Guillaume Canet) propose à des clients fortunés de vivre la période de leur choix en la reconstituant avec décors soignés et acteurs au cordeau. Une soirée avec William Faulkner, un conciliabule avec Adolf Hitler (qu'on a le droit de gifler !), un dîner d'aristos au XVIIe siècle... Victor (Daniel Auteuil), dessinateur de BD passé de mode, vient de se faire virer de chez lui par sa femme, Marianne (Fanny Ardant), et n'a pas une tune - ou si peu. Sauf qu'Antoine, pour une raison très personnelle, lui offre un flash-back de son choix. Ce sera un jour de 1974, celui où Victor a rencontré sa femme. Pour l'incarner, Antoine choisit sa chérie (Doria Tillier). Enfin, son ex-chérie. Qui joue si bien que Victor en tombe raide dingue pour de vrai. Confusion des sentiments et gros bazar en perspective
On pense à « The Game » de David Fincher, à « Truman Show » de Peter Weir et même à la série « L’île fantastique » ! Le talent et l'inspiration de Bedos en plus. Soit beaucoup plus. A 39 ans, le réalisateur a la maturité d'un sexagénaire, portant sur le couple et sur la société un regard à la fois tendre et désespéré. Chaque situation, chaque réplique font mouche et touche. Le plus impressionnant est qu'il a écrit seul ce scénario ultra-compliqué sans s'emmêler les crayons. Une véritable prouesse. 
Saluée par ses pairs donc, venus en masse pour le soutenir. Parmi lesquels Gilles Lellouche qui, il y a un an pile poil, jouissait du même enthousiasme avec « Le Grand bain », également présenté hors compétition. Il y avait aussi Jean Dujardin, Isabelle Adjani... A la fête donnée après la projection, ce parterre de vedettes ne tarissait pas d'éloges sincères. Pas de carré VIP, pas de barrières. A quoi bon ? L'ambiance était au-delà de la bienveillance. Avec, dans le flot discontinu de commentaires euphoriques, une remarque récurrente : Bedos nous a rendu Fanny Ardant ! Auteuil, Canet, Tillier, Denis Podalydès, Michaël Cohen et tous les autres jusqu'au plus petit rôle sont formidables. Mais Fanny Ardant arrache tout, comme enfin débarrassée du côté vaporeux qui lui colle à la peau depuis trop longtemps. Sans toucher à sa classe naturelle, Bedos lui offre un personnage brut de décoffrage, dont l'amertume n'a d'égal que le répondant, avant de basculer dans le regret et l'attendrissement. 
En attendant la sortie du film le 6 novembre, les paris sont déjà ouverts pour le nombre de nominations aux Césars. Un maximum, apparemment. Hier soir, on a assisté à la mise sur les rails d'un film promis à un gros succès. Bedos s'en souviendra. Toujours. Au point d'affirmer que s'il devait revivre une période comme il est possible de le faire dans « La Belle époque », ce serait celle-là. Le bon vieux temps, c'est maintenant. 
(Source : « Un article écrit par Christophe Carrière durant le Festival de Cannes et publié dans L’Express le 21 mai 2019 »)
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reseau-actu · 5 years
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L'ex-avocat du président américain, déjà condamné en décembre, a assuré l'avoir fait à la demande du candidat républicain au début de sa campagne présidentielle.
L'ex-avocat de Donald Trump, Michael Cohen, a reconnu jeudi avoir payé pour truquer des sondages en ligne à l'avantage de Donald Trump au début de la campagne présidentielle 2016. Cette déclaration fait suite aux révélations d'un article du Wall Street Journal (WSJ) auquel Michael Cohen a répondu sur Twitter, assurant l'avoir fait «à la demande» du futur président américain.
» LIRE AUSSI - La présidence Trump cernée par les affaires judiciaires
Dans son article, le Wall Street Journal (WJS) révèle que l'ex-avocat a, début 2015, payé plusieurs milliers de dollars à un collaborateur du leader évangélique Jerry Falwell Jr., fervent partisan du magnat new-yorkais. John Gauger, dirigeant d'une petite société et responsable informatique de la Liberty University de Virginie, dirigée par l'évangéliste, a touché cet argent afin de manipuler des sondages en ligne dans le but d'améliorer la visibilité de Donald Trump, qui ne devait déclarer sa candidature à l'investiture républicaine pour la présidentielle qu'en juin 2015, selon le WSJ. C'est d'ailleurs à sa demande qu'il a entrepris de truquer les sondages assure Michael Cohen sur Twitter. «Quant à l'article du WSJ sur le trucage des sondages, ce que j'ai fait, je l'ai fait à la demande et pour le seul bénéfice de Donald Trump. Je regrette vraiment ma loyauté aveugle envers un homme qui ne le mérite pas», a-t-il écrit.
Michael Cohen a été condamné en décembre à trois ans de prison après avoir plaidé coupable en août dernier de fraude fiscale et bancaire et de violation des lois sur le financement électoral. Il avait alors affirmé avoir payé les deux maîtresses présumées «à la demande» du président américain. Avant de commencer à purger sa peine de prison en mars, l'ex-avocat, devenu l'un des témoins à charge les plus dangereux pour le président au coeur de plusieurs enquêtes judiciaires, doit témoigner au Congrès américain le 7 février. Cette audition en commission est très attendue par la nouvelle majorité démocrate à la Chambre des représentants au vu des informations que Michael Cohen a déjà révélées au sujet du président américain. Après avoir travaillé dix ans pour la Trump Organization -la société qui chapeaute les affaires de Donald Trump-, il a abondamment chargé le président américain depuis qu'il a plaidé coupable. En ce qui concerne les révélations du Wall Street Journal, elles étaient visiblement connues des enquêteurs, et ne devraient pas lui valoir de nouvelles poursuites judiciaires. Dans leur acte d'accusation enregistré en août au tribunal, ils évoquaient une note de 50.000 dollars pour des «services technologiques», facturée par Michael Cohen à la Trump Organization, qui correspondrait en fait à la somme versée au collaborateur de M. Falwell, selon le quotidien.
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genevieveetguy · 7 years
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Tout nous sépare, Thierry Klifa (2017)
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