#Jussieu station | Explore Tumblr Posts and Blogs

magicinaframe-part2 · 4 months

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Some Mysteries Don't Get Solved - Cont'd.

The mystery that I refer to in the title of this piece at Tumblr is a discovery for me; it is unique, unexpected. It is a large part of my experience of a movie that I watched recently, an unusual foreign language movie that did not get theatrical distribution, here, in the U.S. The name of the movie is DENUNCIATION (org'l title: LA DENONCIATION - 1961). DENUNCIATION played in theatres throughout France, starting on July 18, 1962.

This is a contemporary drama, with psychological and thriller elements, that might prove to be a problem for some movie lovers. That's because DENUNCIATION is an example of a movie that is difficult to understand.

As I say, some mysteries do not get solved.

The mystery has to do with the intention, the feeling of purpose, the thinking that went into creating the script of the movie. The script was written by DENUNCIATION's director, Jacques Doniol-Valcroze. Did the writer-director explain his intention, his purpose, his thinking when the movie debuted? Is there an in-depth interview somewhere -- an interview in a French newspaper or magazine, on a radio station or TV channel? It's definitely worth a search. However, French writers do enjoy spinning their words, making something that takes place in a person's life more complicated than when it was first encountered.

Consider that the movie begins with a quotation attributed to a French writer: "We live in the oblivion of our metamorphoses."

The main character of DENUNCIATION is a movie producer named Michel Jussieu (Maurice Ronet), in his 30's, who goes to a nightclub in Paris the day following a trip there with his wife, Elsa (Francoise Brion), and a business partner, the previous evening. He has to wait outside for Le Play-Boy to open up and, when he enters, he stumbles upon a man's body on the floor. A door in the rear of the club's upper floor opens and a young woman, joined by a young man, enters. They heard some noise; was it Jussieu they heard or something else? Jussieu senses that he needs to exit and tries to, but a third person, a man, blocks his path. A fight quickly ensues and Jussieu is hit from behind with a chair. He collapses to the floor, unconscious.

The man that Jussieu almost tripped over was a well-known political writer and activist and his death is front page news when Jussieu wakes up the following morning.

As the plot of DENUNCIATION plays out, everything that happens becomes more and more complicated, characters are introduced and their participation and involvement become stories that are interesting in themselves. Michel remains the main character, the central character. He is haunted by what he went through as a Resistance fighter during World War II.

To add to the complexity, there's a narrator; there's Michel's current movie project, there's Jussieu's family, plus the day-to-day details of the Play-Boy nightclub.

If any of this sounds interesting, DENUNCIATION is available on DVD with English subtitles.

-- Drew Simels

#Foreign Language Movies Of The 1960s

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thisdayinwwi · 3 years

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May 20 1917 in WWI

Locomotive accident, rue de Jussieu. Paris published in the newspaper “Excelsior”, on Sunday

Document number: 72192-27

Remind me of 1895 crash at the Gare Montparnasse, Train Station, Paris, France

#train wreck #train crash #wwi #ww1

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thezoedupuis-blog · 4 years

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Sketch 1

For this sketch I chose two photographs and a map. They represent the Parisian subway and especially the station Jussieu that is on line 10 and 7. I know this station by heart since I have lived there when I was little and my grandparents still live in front of the stop now. By choosing a picture dating from 2016, one from 1959 and a simplified map of the line I wanted to show the different ways to represent the metro at different times. Each picture represents the station Jussieu but at different times or in a different manner.

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sexwiththepast-blog · 6 years

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Retour sur place

Un canapé-lit large avec volutes rouges. Tu retrouves les deux types qui l'avaient livré. L'un d'entre-eux ressemblait à un de tes amis. Il ne lui ressemble plus, mais c'est bien lui.

Montreuil rejointe à l'aube par la ligne 9. Le marché couvert à Croix de Chavaux assurément désert. Plus tard, en remontant l'avenue de la Résistance, tu tombes sur les croissants fourrés à la pâte abricot de la station BP.

Sur la photo qu'on te tend, tu portes le t-shirt mauve avec lequel tu ressemblais à Romain. Elle, telle Gradiva en tenue d'été. Sur la table, le Côtes-de-Blaye dégotté chez le caviste. On devine la joie, on hume le risotto. Ce qui te ramène au reste de la soirée : Lou Reed, le Ballantine's, les corps nus. Le bout du bout de la nuit. L'au-revoir sur le palier. Aux aurores, en repartant, le type qui t'arrête et te demande de l'argent.

Dix jours après, les parages revisités. Le café-PMU où tu attends de jour — où tu attends en vain. De nouveau, le croissant fourré à l'abricot. Le jardinet au pied de l'immeuble ordinaire. La voisine méfiante. Les enfants et le chien. L'interphone sans réponse. L'appartement finalement, avec vue. Le portrait de jeune homme dans l'entrée. Les rideaux blanc cassé. La chambre verte, aux livres bien rangés. Le souvenir de Stefan Zweig.

À l'opposé de là, le mois suivant, trois questions au conducteur de RER. La musique d'un film que tu connais. La rencontre inopinée rue du Faubourg-Saint-Denis avec l'équipe au complet. Du côté de Jussieu, la marche sous la pluie. Le petit poing brandi.

Jusqu'au printemps dernier. L'annonce dans le journal. Toi devant le bahut où tu crois savoir qu'elle enseigne. La fragrance Yves Saint-Laurent. Le cartable abandonné que tu ramasses. La faculté, où elle s'était essayée au squash. Les traces de la grand-mère à Gabès, la mère à Villeurbanne. Les expériences de chimie, la blouse neuve. La tarte aux framboises, le parmesan entier. Les SMS nécessaires (mais pas d'archive). Le caraco léopard. Les olives à l'ail. La brosse à dents achetée passé minuit. Son nom de Venise comme dans Calcutta. Le Chianti, le San Marco, la forêt noire et les beaux draps. La silhouette callipyge dans le noir. À vol d'oiseau non loin, la Sainte-Victoire.

[Texte écrit dans le cadre de l’atelier de François Bon : vers un écrire-film #4]

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manieresdedire · 6 years

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Un écho singulier

Pendant mes années de lycée, j'aimais, le jeudi et le samedi, errer dans Paris. Plus tard également, mais dans le prolongement de ce qui se mettait alors en place. L'université, n'y a rien changé, sauf un surcroît de liberté. À un âge plus avancé, après la formation d'une famille et l'adoption du statut de salarié, restaient les échappées belles, seul ou en compagnie des enfants. Souvent Beaubourg et ses spectacles de rue. Le Louvre, bien sûr. Le "Luxembourg" et les libraires...

À Nanterre, station SNCF "La Folie", jeune adolescent, je prenais le train qui desservait la grande gare parisienne Saint-Lazare. Sa verrière géante, le monde qui y déambulait, les informations délivrées par les haut-parleurs et qui saillaient dans le vacarme, les arrivées, les départs des trains, les dernières machines à vapeur aux panaches de fumée blancs à quai, tout m'incitait à confondre cette entrée dans Paris et la sorte de rêve qu'elle m'inspirait, de film fantastique qu'elle projetait sur mon imaginaire.

J'arrivais dans le quartier de l'Europe, avec ou sans ma mère, pour réaliser quelques achats vestimentaires. Parfois, nous poussions jusqu'au boulevard Haussmann et ses grands magasins par curiosité et pour doper notre inspiration acheteuse. Mais là, tout était plus cher, nous n'en sortions qu'avec de nouvelles idées et des frustrations.

Les commerces, la foule des consommateurs, la révélation et la confirmation de notre faible pouvoir d'achat, la fatigue qui finissait par gagner ma mère et entamer sa vaillance, il n'y avait rien qui pût m'enchanter sauf ma nouvelle "élégance". Consciencieuse, ma mère remplissait ses obligations domestiques, ni plus, ni moins joyeuse que moi dans cette activité contrainte. Pour finir nous nous repliions sur notre vilain immeuble de la mortifère périphérie parisienne où la famille avait "échoué" après ses "dérives" étrangères et provinciales. Un invraisemblable "Koblenz - Casablanca - Dijon - Nanterre".

Seul ou en compagnie d'amis, j'ai osé le large, prendre le métro, direction le centre de la capitale. J'y ai découvert les cinquième et sixième arrondissements. Ils sont devenus mes espaces de prédilection.

Dire qu'ils m’enchantaient ne rend pas tout à fait compte de ce que les innombrables répétitions de nos retrouvailles déclenchaient en moi. Ils m'ont littéralement transporté dans un autre voyage qui n'avait plus rien de ferroviaire : une remontée vers les siècles antérieurs et ses lumières. Un professeur de français et mes lectures, n'ont pas compté pour rien dans ces représentations

Ce cœur là de Paris devint mon Graal, lui et ses indissociables fantômes d'intellectuels illustres, d'artistes fauchés qui voulaient bien quitter quelques heures durant, le Montparnasse voisin. Aussi le quartier latin, le jardin du Luxembourg, moins le palais éponyme, la Sorbonne, le Collège de France, les ruines de Cluny, l’École de Médecine, les prestigieux lycées, Henry IV et Louis-le-Grand, le Panthéon où je n'osais pas entrer. Les librairies, les bouquinistes des quais de Seine où je dépensais mon argent de poche. Les Presses Universitaire de France, Gallimard et plus tard, Maspéro, et les libraires pro-révolution culturelle chinoise dont j'ai oublié les enseignes. Les manifestations d'étudiants, l'occupation du théâtre de l'Odéon...

Mon Lycée de banlieue avait l'incroyable chance d’accueillir un professeur de français-latin-grec, agrégé de lettres classiques et moi, l'invraisemblable luxe de l'avoir comme enseignant en français, Charles Oriou. Il nous aimait, plus ou moins, et nous traitait en adultes. Il nous bousculait, se moquait parfois, nous tançait, mais nous progressions dans l'art de la dissertation et simultanément, grandissait notre intérêt pour la littérature. Il arrivait qu'il nous racontât des plaisanteries salaces qui nous faisaient rire et croire que nous étions des grandes personnes.

Il nous parlait de son Paris des années de manifestations violentes d'avant la seconde guerre, de livres et de philosophie. Il avait souvent à la bouche, un mot d'Alain - son professeur à Henri IV - à nous transmettre. Je me souviens de son "cherchez l'épingle !". Il nous parlait de la rue d'Ulm, de l'ENS, des jurys d'agrégation, des parti-pris politiques de la jeunesse d'alors.

J'adorais André Gide. Monsieur Oriou n'exprimait pas clairement qu'il n'était pas dans la même dévotion que moi. Je le devinais quand il disait lui trouver un grand mérite : écrire plus court que Proust. Je pense qu'il préférait la littérature des siècles précédents. Il abhorrait Jean-Paul Sarte que j'aimais bien et les existentialistes. Là, il n'hésitait pas à l'accabler et à me reprocher ma complaisance aux thèses de cet auteur. Il m'a personnellement administré une petite leçon en même temps qu'une grande vexation à propos de son credo,"l'essence de l’homme précède son existence", à l'opposé de celui de Sarte. Il était réactionnaire mais acceptait qu'on lui démontrât les aspects positifs du combat des Palestiniennes et des Palestiniens. Il se disait "anarchiste de droite, protestant" et en rajoutait avec une fleur de lys épinglée à sa cravate. Vaste ambition, au diable les paradoxes ! Nous en riions. A seize ans. Lui aussi, à près de soixante et pour la énième fois sans doute.

Il nous a donné le goût du débat et même des joutes, il était réac, mais humaniste, nous sommes devenus des humanistes mais de gauche... Pas tous. Moi au moins... Pas le futur général au nom allemand, trop "russe blanc" un peu le futur avocat, au nom de poète communiste, pas assez "neuilléen".

Et puis, j'ai eu des engagements dévoreurs, je me suis tenu éloigné de mes bases, j'ai cru possible qu'il y en eût de meilleures. Mais sous la cendre, la braise ne renonçait pas. Je ressentais confusément que je trahissais un peu mes rêves de très jeune homme.

J'ai vieilli.

Julia est née. Elle a mené de brillantes études scientifiques, à l’Université. Mais passé une seule année à Paris. Jussieu, où parfois, quand j'avais pu quitter tôt le bureau, je l’accompagnais à un cours tardif. Pour parler un peu, seulement entre nous. Pour le reste, ses études se sont déroulées à Orléans, à Angers et à Montpellier - troisième plus ancienne université française, née moins d'un siècle après celle de Paris-Sorbonne, la "tienne" -. J'étais présent en Languedoc, lors de la soutenance de sa thèse. Elle y fut brillante, combative, belle... J'ai juste eu un peu peur que ses réponses ironiques et rudes aux questions d'un professeur qu'elle méprisait lui coûtassent son doctorat. Elle fut reçu avec la mention "très honorable", puis des articles et des images tirés de sont travail furent publiés dans des revues prestigieuses.

Toi, l'Orléanais qui aurait bien voulu rester à Orléans si l'Université t'avait proposé les meilleures filières sur place, tu as fini par quitter ta Province, t'installer dans un petit appartement situé à proximité du Panthéon et étudier à la Sorbonne.

Peux-tu imaginer mon chamboulement mental qui en résulta alors, qu'en même temps, j'avais fait le choix de me retirer en Occitanie ? Tu mettais, involontairement, un peu d'acide sur mes choix et donnais une nouvelle actualité à mes rêves.

À 21 ans, tu as fait les découvertes que j'y avais faites bien avant et de différentes que j'ignore. Avec des considérations, des songes qui n’appartenaient qu'à toi. Ce n’était pas la même aventure. Ou plutôt, c'était la même, à mes yeux, et tu devenais, non pas un autre que mon fils, mais, en plus, un personnage de roman, un acteur moderne de mes histoires tissées au temps de mon adolescence et qui m'accompagnent encore.

Math'sup, la physique, les mathématiques théoriques, c’était bien, mais tu t'y sentais assigné à devenir ingénieur alors que ta passion c'était la philosophie, la poésie et le roman. Je n'oublie pas tes goûts pour la musique, le Rock et le Jazz. Philosophie, ta matière passion qui te permettait d'embrasser le monde et sa culture par "le haut". Il t'a fallu bifurquer sévèrement. À nouveau "prépa", mais Khâgne.

Tu es passé "tout à côté" de l'ENS. Tu n'as pas voulu réessayer. Et bien t'en a pris. Le temps n'est pas une quantité négligeable. Je m’en rends compte tous les jours. Même si j'ai pu te dire le contraire.

Ton cap, c’était l'Agrégation de Philosophie. Une haute distinction française que j'aime vénérer. Pour son encrage et le mien - abus considérable de simultanéité - dans l'histoire et la culture françaises, pour son incrustation indélébile dans mes rêves et dans le Paris latin de mes déambulations.

Tu as suivi des cours et des conférences, vu des expositions dans tous les endroits où des générations d'intellectuels, d'écrivains, d'essayistes, d'artistes français et étrangers sont passés, ont été formés, ont enseigné ou ont mal vécu de leurs œuvres qui ne se vendaient pas. Tu as parcouru toutes les rues où pullulaient les cafés dans les salles enfumées desquels ils se sont enivrés, ont fait la fête, rencontré les compagnes et les compagnons d'une nuit, d'une vie, ont refait mille fois le monde. Pour découvrir le lendemain matin, tard, qu'il n'avait pas changé, qu'eux mêmes avaient mal à la tête et estimer qu'ils seraient bien avisés de procéder à un sérieux décrassage dans les allées du grand jardin face à la rue Soufflot, arrimé au boulevard Saint-Michel.

Je t'imagine avoir mis quelques-uns de tes pas dans les leurs.

Lorsque tu m'as dit que tu suivais quelques conférence au Collège de France, ma lanterne magique s'est remise à tourner et des figures héroïques de la pensée ont resurgi de mes souvenirs littéraires. Un regain qui me fit revenir quelques années en arrière et imaginer, mal informé que j'étais, que "Nuit Debout" réinventait la démocratie, Place de la République. Je ne suis plus à une erreur près.

Hier, tu m'informais de ta réussite au concours de l'Agrégation de Philosophie. Une délivrance en même temps qu'un grand bonheur pour toi. Pour moi une explosion d'émotions, un immense plaisir.

Tout le monde peut comprendre cela.

Être parent dit-on, c'est "aider un enfant à grandir". Je me méfie des revendications parentales d'une part de co-réalisation des succès de leurs enfants. Je les trouve suspectes. Et pour tout dire stupides. C'est l'inverse qui est authentique. Être parent, c'est donner une chance à soi-même de grandir.

On ne peut pas s'empêcher de percevoir dans la réussite de son enfant, en même temps que l'assurance qu'on a et qui se renforce qu'il sait résoudre les difficultés inhérentes à la vie, une parcelle de soi qui nous élève. On partage, subrepticement, du seul fait de la filiation, par contagion, diffusion spontanée des sentiments, par amour, son succès. En ressentant de la joie, du bonheur et incidemment, de la fierté. Cela seulement, me parait légitime, naturel.

Et parce que j'associe Julia dans cette célébration de deux arrondissements parisiens, de l'intelligence, de la romance et de ton succès, merci à tous les deux.

#Père #Parent #Sorbonne #Agrégation #Philosophie #Paris #Quartier Latin #Jussieu #Montpellier

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didtwit · 5 years

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Chercher sa station ... @ratp #ratp (à Jussieu) https://www.instagram.com/p/B2qfkgFHiBh/?igshid=8fjcjlvts0z3

#ratp

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whitehorsecanfly · 7 years

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Lettre

Cher inconnu,

Vendredi était férié, j'ai eu donc un long week-end. Je suis allée à la Place de l'Opéra avec Thao, on a cherché un restaurant japonais pour acheter à manger, on a mangé dans un joli jardin qui a une grande fontaine, puis on a vu The Circle à Gaumont Opéra. Le film n'était pas mauvais, même si le personnage principal, Mae, n'était pas convaincant, je n'arrive pas à la cerner. Puis nous sommes allées à Jussieu pour voir le joli jardin à la forme d'une arène, et on a regardé les nuages flotter dans le ciel.

Samedi on a pris le vélo juste pour aller vers le bord de la Seine, mais au final on était obligées d'aller jusqu'à la Tour Eiffel juste pour chercher une station de Vélib. La petite balade à vélo s'est transformée en visite des Champs de Mars + course aux toilettes publiques + Hello darkness my old friend + etc etc etc. Puis j'ai marché de Trocadéro jusqu'à chez moi, en passant pas l'avenue Henri Martin.

Dimanche je dormais presque toute la journée. C'était vraiment le pic, j'étais tellement malade je voulais tuer tout le genre humain (ce qui exclut donc, bien évidemment, le genre Ni-ien.)

D'ailleurs j'ai eu une crise hystérique mercredi soir, et j'ai vu Alassane jeudi soir pour qu'il me console.

Sinon ça va chez toi, inconnu ?

#une lettre

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evoldir · 7 years

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Conference: Paris.EvolutionSymbiosis.Mar15-17

The Institute of Biology Paris-Seine (IBPS, Université Pierre et Marie Curie, Paris) is organizing its annual international symposium on the biology of symbiosis. During the three days of the conference, 18 French, European and North-American scientists will present their work in four main sessions: · Symbiosis in our environment and within several species (gorilla, chimp, worm...) · Symbiotic interactions during the immune response in infectious diseases (malaria, dengue virus...) · Evolution, modelling and biology of symbiosis · The importance of the microbiota in human health (metabolic diseases, neurologic troubles, obesity...) Speakers : Antoine Danchin - ICAN, Paris, France │ Nicole Dubilier - MPI –Bremen, Germany│ Colomban de Vargas - Roscoff Station, France │ Eric Bapteste - IBPS, Paris, France│ Howard Ochman - Texas University, Austin, USA │ Marc-André Sélosse - MNHN, Paris, France │ Bruno Lemaître - EPFL, Lausanne, Switzerland │ Georges Dimopoulos - Johns Hopkins University, Baltimore, USA │ Louis Lambrechts - Pasteur Institute, Paris, France │ Philippe Sansonetti - Pasteur Institute, Paris, France │ Jan Sapp - York University, Toronto, Canada │ Jeroen Raes - Catholic University of Leuven, Belgium │ Nancy Moran - Texas University, Austin, USA │ Jens Nielsen - Gothenburg University, Sweden │ Karine Clément - ICAN, Paris, France │ Sven Pettersson - Karolinska Institute, Stockholm, Sweden – Nanyang Tech. University, Singapore │ Michel Neunlist - Nantes University, France Venue: March 15-17, 2017 Amphitheater Durand, Esclangon building, Jussieu Campus, 4 place Jussieu, 75005, Paris Registration open here on November 15th: http://bit.ly/2fixjO4 Symposium announcement page: http://bit.ly/2fHPHOU Contact: [email protected] Philippe Lopez via Gmail

#EvolDir

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golicit · 5 years

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Paris Update

Le Palais du Luxembourg, viewed from le Jardin du Luxembourg

The D&O Diary’s European assignment continued this past week with a short stop in Paris before heading home. I was in Paris for some business meetings, but I also had some other important things to attend to there as well. The most important thing that required my immediate attention upon my arrival in Paris was to check in on an old, dear friend that recently suffered a serious misfortune.

From head-on, it was hard to see anything amiss.

But seen from behind the church, the amount of damage is shocking. Of course I knew from news reports that the building’s roof structure had collapsed from the fire, but knowing that and actually seeing the damage are two different things. The entire roof is gone. It is really shocking to see. The building will of course eventually be repaired. But until it is repaired, there will be a sense of loss at the city’s center.

I arrived in Paris on May 1, which is the annual May Day holiday in France. The shops and offices were all closed, although the sidewalk cafes were all open and doing a booming business. The May Day holiday is officially known as the la Fête du Travail (what is called Labor Day in the U.S.). It is also traditionally a day of protests and demonstrations, a tradition that that carried on with spirit again this year.

In fact, in the Place de la Republique later in the day, I walked right into the middle of une manifestation – in this case, a demonstration on behalf of the right-wing Union Populaire Républicaine, which is the political vehicle of François Asselineau and the political party favoring the French exit from the EU and other European alliances. The protesters sang a variety of songs; one for example went like this: “No! to the rich/when we Frexit.” (In French, it sort-of rhymes.) They sang a number of other songs, some quite humorous, many unsuitable for reproduction here in this family-oriented publication.

On the Métro and in several other places around the city I also saw many gilets jaunes, the yellow reflector vest-clad protesters that have been demonstrating for months around France against some of the current French Presidential administration’s policies. One tall women I saw wore a yellow vest with a hand-written message in back saying, “If I can’t live today, then tomorrow is too late.” When I saw her, she was sitting, along with several other gilets jaunes, at a table at a sidewalk café, drinking a coffee and smoking a cigarette.

There were announcements on the Métro that several stations around the city were closed owing to pleusieurs manifestations in various locations around the city. I didn’t encounter any closed stations myself, but I was disappointed to find that Le Jardin du Luxembourg was closed, apparently to prevent demonstrations there (a logical enough place for one, not just because it is a wide open space, but also because the French Senat is housed in the Palais du Luxembourg).

Foreclosed from visiting the Jardin, I went instead to the Canal St.-Martin for an afternoon stroll. It turned out to be a particularly good idea. The horse chestnut trees that line the canal were in full bloom, and while I was walking along the canal several different boats made their way through the canal’s locks, which is always a fascinating process to watch. There definitely was a holiday feel amidst the crowd along the along the canal and in the Jardin Villemin, a small park along the canal’s west side. While some Parisians were on the march for May Day, many others were simply celebrating the holiday by relaxing in the spring sunshine.

A holiday crowd on the lawn at the Jardin Villemin

One of my practices when visiting Paris is to try and visit places I have never visited before; even after many trips to Paris, I am still discovering new places and new things. On this trip, my new discovery was the Promenade Plantée (also known as the Coulée verte René-Dumont) an elevated walkway built atop a former railroad viaduct that runs almost 3 miles from just behind the Opéra Bastille to the Bois de Vincennes. I had actually been to the walkway once before on a prior visit to Paris, but a steady rain had cut the prior visit short; fortunately, there was no rain this time, and I was able to follow the walkway all the way out to Vincennes. The walkway itself is tree-lined and quiet. The scenery along the way changes as the path winds through the 12e arrondissement; toward the end, the path becomes a little hard to follow, but eventually I made to the Bois de Vincennes, where I strolled around the circumference of the Lac Daumesnil. A great way to spend a morning.

The Promenade Plantée

A view of the rooftops in the 12th arrondissement from the Promenade Plantée.

A flower-lined basin along the Promenade Plantée

Lac Daumesnil in the Bois de Vincennes

Another view of the lake

Another place I visited for the first time on this trip was the Parc Montsouris, a large green park located on the very Southern edge of the city in the 14e arrondissement, not far from the Porte d’Orléans (a part of the city I have never previously visited). The park, which has broad lawns, large mature trees, well-trimmed flower beds, and a small lake, was full of school children playing when I was there. The happy scene was disrupted by a sudden and unexpected rain shower. I saw enough of the park before the rain cut the visit short to appreciate it as a very pleasant place.

A flower bed in the Park Montsouris.

The name of the park literally means “mice mountain,” and the park is in fact built on a steep hillside. But the name apparently is a corruption of an earlier name for the area and not necessarily a reference to a mountain of or for mice.

Unfortunately, there were frequent heavy rain showers for just about all of the remainder of my visit. The rain definitely precluded many of my plans. A planned first-time visit to Butte-aux-Cailles, a hilltop neighborhood in the 13e arrondissement was basically rained out. (I found the neighborhood, but in a heavy downpour the reputed attractions were hard to appreciate.) I will have to try again on a future visit.

There was some occasional sunshine between the frequent heavy rain showers, and despite the rain I did have a chance to enjoy a number of the classic Parisian sites and scenes, as reflected in the pictures below. Frustratingly for me, the bright sunshine on the morning of my departure promised a beautiful day ahead, just one of many reasons I was sorry to be leaving. As is always the case, I told myself as I was leaving Paris that I have to go back again, soon.

More Pictures of Paris:

Even in the rain, it is still Paris and it is still beautiful

Fortunately, the rain was sporadic. After a shower, the clouds would part and the sun would shine on the beautiful street scenes. Here, at the Place de l’Odeon, near my hotel.

The great thing about the Paris Metro is that it allows you to pop quickly from one side of the city to other. I thought the flowers in the Jardin des Plantes might be in bloom, and so I rode out there to have a look. I wasn’t disappointed.

Another great thing about Paris is that even otherwise ordinary street scenes can be beautiful. I was struck by this building I saw as I was walking to the Jussieu Metro station in the 5e arrondissement, near the Jardin des Plantes.

The central courtyard at the Louvre. Lots of tourists this time of year. Believe it or not, it was raining –hard — ten minutes before I took this picture and ten minutes afterwards, too. I guess I should be grateful for the occasional sunshine.

As reflected in the picture at the top of the post and in this picture, I was eventually able to visit the Jardin du Luxembourg after the May Day closure

Another view of the Jardin du Luxembourg. I have to admit I wound up spending a lot of time there. Just one of my favorite places on the entire planet.

Paris, no matter how many times I go there, it never gets old.

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simonconsultancypage · 5 years

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Paris Update

Le Palais du Luxembourg, viewed from le Jardin du Luxembourg

From head-on, it was hard to see anything amiss.

A holiday crowd on the lawn at the Jardin Villemin

The Promenade Plantée

A view of the rooftops in the 12th arrondissement from the Promenade Plantée.

A flower-lined basin along the Promenade Plantée

Lac Daumesnil in the Bois de Vincennes

Another view of the lake

A flower bed in the Park Montsouris.

More Pictures of Paris:

Even in the rain, it is still Paris and it is still beautiful

Fortunately, the rain was sporadic. After a shower, the clouds would part and the sun would shine on the beautiful street scenes. Here, at the Place de l’Odeon, near my hotel.

As reflected in the picture at the top of the post and in this picture, I was eventually able to visit the Jardin du Luxembourg after the May Day closure

Another view of the Jardin du Luxembourg. I have to admit I wound up spending a lot of time there. Just one of my favorite places on the entire planet.

Paris, no matter how many times I go there, it never gets old.

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lawfultruth · 5 years

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Paris Update

Le Palais du Luxembourg, viewed from le Jardin du Luxembourg

From head-on, it was hard to see anything amiss.

A holiday crowd on the lawn at the Jardin Villemin

The Promenade Plantée

A view of the rooftops in the 12th arrondissement from the Promenade Plantée.

A flower-lined basin along the Promenade Plantée

Lac Daumesnil in the Bois de Vincennes

Another view of the lake

A flower bed in the Park Montsouris.

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Even in the rain, it is still Paris and it is still beautiful

Fortunately, the rain was sporadic. After a shower, the clouds would part and the sun would shine on the beautiful street scenes. Here, at the Place de l’Odeon, near my hotel.

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