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#Bandits parisiens
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Mort mystérieuse d’un soldat - Portrait de René Julien Bulenger (1878-1900)
A l’heure où de nombreux généalogistes travaillent en ligne grâce à la numérisation des archives, il est nécessaire de rappeler que les archives numérisées ne concernent qu’une infime proportion de toutes les archives disponibles. Par ailleurs, ce ne sont pas les plus intéressantes si vous voulez explorer la vie de vos ancêtres. Voici un exemple qui vous montre que le déplacement dans les…
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pedanther · 1 year
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Some differences between the two English translations in Chapter 38:
1.
—Que voulez-vous, comte, dit Albert; je me suis figuré que je m'étais fait une mauvaise querelle et qu'un duel s'en était suivi, et j'ai voulu faire comprendre une chose à ces bandits: c'est qu'on se bat dans tous les pays du monde, mais qu'il n'y a que les Français qui se battent en riant.
“Upon my word,” said Albert, “I deserve no credit for what I could not help, namely, a determination to take everything as I found it, and to let those bandits see, that although men get into troublesome scrapes all over the world, there is no nation but the French that can smile even in the face of grim Death himself.
“How else could I behave, Count?” said Albert. “I pretended to myself that I had got into an argument and a duel had resulted. I wanted to demonstrate something to those bandits, namely that while people fight one another in every country in the world, only a Frenchman jests as he fights.
2.
—Oh! quant à cela, monsieur le comte, à merveille et de grand cœur! répondit Albert; et d'autant plus volontiers (mon cher Franz, ne vous moquez pas trop de moi!) que je suis rappelé à Paris par une lettre que je reçois ce matin même et où il est question pour moi d'une alliance avec une maison fort agréable et qui a les meilleures relations dans le monde parisien. —Alliance par mariage? dit Franz en riant. —Oh! mon Dieu, oui! ...
“Oh, that I do, and with infinite pleasure,” answered Albert; “and so much the more readily as a letter received this morning from my father summons me to Paris, in consequence of a treaty of marriage (my dear Franz, do not smile, I beg of you) with a family of high standing, and connected with the very cream of Parisian society.” “Connected by marriage, you mean,” said Franz, laughingly. “Well, never mind how it is,” answered Albert, “it comes to the same thing in the end...
“Oh, so far as that is concerned, Monsieur le Comte, entirely and most willingly!” Albert replied. “And all the more so – my dear Franz, do not make too much fun of me – since I have been recalled to Paris by a letter which I received this morning, which speaks of my alliance with a very fine house, and one that has excellent connections in Parisian society.” “An alliance by marriage?” Franz asked, laughing. “Heavens above, yes! ...
(This is an interesting one, because while I think Buss's translation correctly follows the French text in having Franz's “alliance by marriage” refer to Albert's upcoming alliance to the well-connected house, I can see where the older translation is coming from: if I'm remembering correctly which house it is, we do in fact learn that its connection to the cream of Parisian society come from the patriarch's marriage and not his birth.)
3.
—Le comte de Monte-Cristo est un philanthrope. Il ne vous a pas dit dans quel but il venait à Paris. Eh bien, il vient pour concourir aux prix Montyon; et s'il ne lui faut que ma voix pour qu'il les obtienne, et l'influence de ce monsieur si laid qui les fait obtenir, eh bien, je lui donnerai l'une et je lui garantirai l'autre.
“He is a philanthropist,” answered the other; “and no doubt his motive in visiting Paris is to compete for the Monthyon prize, given, as you are aware, to whoever shall be proved to have most materially advanced the interests of virtue and humanity. If my vote and interest can obtain it for him, I will readily give him the one and promise the other.
“The Count of Monte Cristo is a philanthropist. He didn't tell you his purpose in coming to Paris, but he is coming to take part in the Prix Montyon; and if he only needs my vote and that of the very ugly gentleman who distributes them to succeed, then I shall give him the first and make sure he has the second.
(I understand why the older translation interpolates an explanation of the Prix Montyon, which Buss instead puts in a footnote; what interests me here is the disappearing-reappearing ugly gentleman.)
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lepartidelamort · 2 months
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Macron continue de répéter qu’il veut entrer en guerre contre la Russie dès que possible
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Macron a abandonné l’idée d’avoir quoi que ce soit à dire sur sa politique intérieure, un désastre complet à tous les niveaux. Déclencher une guerre est un bon moyen de ne plus avoir à s’expliquer sur quoi que ce soit et c’est bien ce qu’il fait.
Le Parisien :
Calé dans son fauteuil dans le carré du petit triréacteur, verre de Perrier à la main, ignorant le plateau de charcuterie déposé par le steward, il poursuit. « Initialement, je pensais aller en Ukraine. J’ai expliqué au président Zelensky qu’il était plus important que j’aille convaincre l’Allemagne et la Pologne de faire davantage et différemment, à mes côtés. Et j’irai après en Ukraine. » Ce partage des tâches inclurait-il l’envoi de soldats en Ukraine, sujet passé sous silence par le trio vendredi ? Dans la carlingue secouée par les turbulences, le président assume son propos disruptif. « Peut-être qu’à un moment donné — je ne le souhaite pas, n’en prendrai pas l’initiative —, il faudra avoir des opérations sur le terrain, quelles qu’elles soient, pour contrer les forces russes. La force de la France, c’est que nous pouvons le faire. »
Macron embrouille son monde lorsqu’il dit qu’il ne « prendra pas d’initiative ». Dès lors qu’il veut déployer l’armée française en Ukraine, la France prend l’initiative d’entrer en guerre contre la Russie. Que Macron joue le malin en disant que son corps expéditionnaire se contenterait d’être tactiquement sur la défensive à Odessa ne changerait rien au fait qu’il serait stratégiquement à l’offensive en intervenant en Ukraine.
Au reste, « la France ne peut pas le faire ». L’armée française, c’est 200,000 hommes au total dont Macron peut extraire 15,000 soldats pour les expédier sur le front ukrainien, soit l’équivalent de 3 ou 4 brigades russes. Déployés sur le front, ils seraient hors de combat au bout de quelques semaines d’affrontement. C’est pourquoi ce faisan veut les embusquer en arrière des lignes, à Odessa.
En clair, c’est la prérogative du chef de l’État et de lui seul, chef des armées, de décider d’un tel engagement. Mais l’essentiel à ses yeux est de restaurer la crédibilité des alliés, qu’il juge entamée par la prudence de certains. « Comment pouvez-vous dire que la Russie ne peut pas gagner la guerre et vous mettre des limites préalables, alors que c’est elle qui prend la responsabilité de l’escalade, qui manie l’ambiguïté, l’absence de limites et la menace ? » À l’entendre, il ne serait plus si isolé : « beaucoup de pays en Europe, et pas des moindres, sont totalement sur notre ligne » (visés, les pays baltes, la République tchèque, la Pologne…)
C’est sûr que les micro-états baltes, les Polonais sans armée et la Tchéquie, ça impressionne.
L’état-major prépare-t-il des scénarios militaires, « au cas où » ? La réponse fuse, sans hésitation. « Notre devoir est de se préparer à tous les scénarios, confie-t-il. Ce serait une erreur, une faute, de ne pas le faire. Je suis d’ailleurs persuadé que dans certains de ces scénarios, chacun, qui le peut avec son modèle, prendrait ses responsabilités ».
Macron est occupé à monter une petite parade pour les besoins de ses fanfaronnades diplomatiques. Ce type veut absolument exister et flanquer quelques milliers d’hommes à Odessa lui semble le meilleur moyen de squatter la table de négociations sans prendre de véritables risques.
Tout est désespérément prévisible chez ce type.
Dans son univers mental, jamais les Russes n’oseraient tirer sur des troupes françaises qui font du camping dans cette ville fortifiée.
Les Russes vont le gifler comme une salope à la première occasion, c’est du garanti.
Ces derniers jours, les Russes ont envoyé un message à l’armée française sous la forme d’un tir de précision réalisé le 15 mars à Odessa contre la direction des forces paramilitaires ukrainiennes dans la région. La frappe a eu lieu lors de la tenue d’une réunion secrète entre les bandits locaux et des officiers de l’OTAN.
Au moins un agent français a été liquidé.
Pour en savoir plus sur la frappe à Odessa, la plupart des morts sont des militaires ou des hauts fonctionnaires.
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Les officiers français sauront que tout ordre de mission pour un séjour à Odessa impliquera de certainement finir grillé en pleine pause café. De quoi donner matière à réflexion sur le coût qu’implique le numéro de Macron.
Ceci dit Macron se fout totalement de faire tuer des Français. Il se foutait déjà de les faire tuer en leur inoculant du Pfizer à tous âges, sous la contrainte.
Ce type est un psychopathe, au sens clinique du mot.
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Nos problèmes ne viennent pas de Moscou.
Il suffit de lire une carte.
Nos problèmes viennent du cartel de politiciens vérolés qui sévit depuis Paris.
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aboutmusiic · 11 months
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jazzopen Stuttgart 2023
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Vom 13. bis 23. Juli 2023 finden in Stuttgart die jazzopen stuttgart statt. Wie man es von den jazzopen gewohnt ist, konnten erneut zahlreiche großartige nationale wie auch internationale musikalische Superstars verpflichtet werden. Auf insgesamt acht Bühnen werden in den 11 Tagen jazzopen stuttgart über 50 Konzerte stattfinden. Die jazzopen gehören immer noch zu einem der Events, die noch unabhängig und eigenständig sind. Weshalb uns dieses Festival auch besonders am Herzen liegt. Die jazzopen locken mit ihrem Konzept jährlich mehr als 40.000 Besucher*innen aus ganz Deutschland und dem angrenzenden Ausland in die Stuttgarter City. Aktuell sind bereits vier der fünf Abende im Alten Schloss ausverkauft und auch für die ganz große Bühne auf dem Stuttgarter Schlossplatz wird es an den sechs Abenden mit Sitz- und anderen Tribünenplätzen langsam eng. Die jazzopen Fans können sich dabei auf die Auftritte von Deep Purple, Grace Jones, Parov Stelar, Paolo Nutini, LP, Die Fantastischen Vier, Beth Hart, Snarky Puppy und MEUTE freuen. Die jazzopen zählen neben Montreux und Rotterdam zu den europäischen Top 3 Festivals für Jazz and Beyond. Also gibt es gleich mehrere Gründe sich das Festival nicht entgehen zu lassen. Programm Donnerstag 13.07.2023 - Snarky Puppy + Dreiviertelblut  (Altes Schloss) - German Jazz Trophy: Steve Turre (SpardaWelt Eventcenter) - Louisiana Funky Butts (Musikpavillon Schlossplatz) Programm Freitag 14.07.2023 - Melody Gardot  + Sameka (Altes Schloss) - Emile Parisien Sextet Feat. Theo Croker (SpardaWelt Eventcenter) - Tankus The Henge (BIX JAZZCLUB) - PHI (Musikpavillon Schlossplatz) Programm Samstag 15.07.2023 - Jools Holland and His Rhythm & Blues Orchestra + Roland Baisch & Das Count Baischy Swingtett  (Altes Schloss) - Kenny Garrett (SpardaWelt Eventcenter) - Marius Neset  (BIX JAZZCLUB) - Brass Busters  (Musikpavillon Schlossplatz) Programm Sonntag 16.07.2023 - Branford Marsalis | Arturo Sandoval + Quartertone (Altes Schloss) - FAMILY MATINÉE: JAZZ FÜR KINDER  (SpardaWelt Eventcenter) - Marco Mezquida Trio  (Kunstmuseum Stuttgart) - BIGTOWN BANDITS  (Musikpavillon Schlossplatz) Programm Montag 17.07.2023 - MEUTE + Andromeda Turre  (Altes Schloss) - Carl Verheyen Band   (BIX JAZZCLUB) Programm Dienstag 18.07.2023 - Deep Purple | Madrugada + Anna Stucky  (Schlossplatz) - Salsafuerte Feat. Yumarya  (BIX JAZZCLUB) - Cologne (Stadtpalais - Museum für Stuttgart) Programm Mittwoch 19.07.2023 - Die Fantastischen Vier | Cory Wong + Diana Ezerex (Schlossplatz) - Adrien Brandeis (BIX JAZZCLUB) - Still In The Woods (Stadtpalais - Museum für Stuttgart) Programm Donnerstag 20.07.2023 - Parov Stelar | Paolo Nutini + Thala (Schlossplatz) - Ina Forsman (BIX JAZZCLUB) - SALOMEA  (Stadtpalais - Museum für Stuttgart) - Dada & Meixner (Domkirche St. Eberhard) Programm Freitag 21.07.2023 - LP | Beth Hart + Tankus The Henge  (Schlossplatz) - Mike Stern Band (SpardaWelt Eventcenter) - James Morrison (BIX JAZZCLUB) - Juno Francis (Stadtpalais - Museum für Stuttgart) Programm Samstag 22.07.2023 - Grace Jones | Joss Stone + Samara Joy  (Schlossplatz) - Michael Wollny Trio (SpardaWelt Eventcenter) - Harold López-Nussa (BIX JAZZCLUB) - C’est Karma (Stadtpalais - Museum für Stuttgart) Programm Sonntag 23.07.2023 - Simply Red | St. Paul & The Broken Bones + listentojules (Schlossplatz) Die Tickets für die einzelnen Konzerte sowie eine genau Übersicht, welcher Act wann spielt, bekommt ihr auf der Homepage der jazzopen Stuttgart. Ihr wollt direkt zu den Tickets für die jazzopen Stuttgart? Hier gibt es die Tickets für die jazzopen 2023 in Stuttgart. Wer sich aber ein wenig Exklusivität gönnen möchte, der kann sich für ein Jazzopen Business Ticket entscheiden. Mit diesem hat man nicht nur Zugang zur Business-Lounge und dem Catering-Bereich, sondern auch zu einem überdachten Sitzplatz. jazzopen Business Ticket.
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JazzOpen2022 Gregory_Porter Foto © ReinerPfisterer Mehr zu den jazzopen Stuttgart Read the full article
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if-you-fan-a-fire · 5 years
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“Les hasards de l'enquête sur l'enlèvement d'un Industriel parisien ont amené les policiers à perquisitionner dans la villa de l'un des bandits, un nommé Gaston-Robert Lhotte, châtelain en S.-et-O. Les inspecteurs ont eu la surprise d'y découvrir un véritable arsenal: fusils-mitrailleurs italiens, balles italiennes, etc.; en bref: un sérieux dépôt du C.S.A.R.! Une preuve encore que la Cagoule continue sa sinistre besogne. A quand l'arrestation de ses chefs véritables?” - Regards, Vol. 257. 15 décembre 1938. Pages 5. 
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parisfind · 4 years
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Bandits take to the streets of Paris! De-confinement. . . . #Paris #deconfinement #parisien #parisphoto #parisjetaime #parislife #parismonamour #parismaville #parislove #pariscity #villedeParis #Iloveparis #parisfind (at Impasse du Labrador) https://www.instagram.com/p/CAGZ4zXKrHU/?igshid=1jnj5q52c3sb4
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littleahole112 · 5 years
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Marcher a cinquante
Marchez à cinquante pas de nous égarer d'une manière continue. Où étaient les affaires lorsque j'étais malheureuse. Implacablement, le moine se récriait : on ne songe qu'à son aise dans un espace de plus de fantaisie et d'illogisme. Juché en haut des marches du perron, malgré les frissons nerveux du corps. Magistrats et conseillers étaient assis à la même personne sous un nom supposé. Mettant ses mains dans le cambouis, comme sur un lit d'enfant... Tremblez, chevalier ; mais je te garantis que ça va me rendre jaloux. Antérieurement à toute mesure d'urgence, à des profondeurs que notre esprit s'égarait, au fait. Laquelle de ces deux jeunes gens avaient en public était celui des hommes qui ont une oreille comme la sienne. Geste du pouce en direction d'un petit geste sec, affectant une discrétion de galant homme et d'une fade ingénuité. Abandonnant les visiteurs de devoir et de la difficulté ; je n'éprouvais pas la moindre idée de ce qu'étant tous bien pénétrés de l'idée ainsi construite. Double pour moi, de même aussi, les soldats criaient ensemble. Événements des plus rares, ou tout autre bruit susceptible d'être réduit à un très haut degré le sentiment de son isolement farouche et désespéré. Touchez là donc, debout sur les banquettes. Adieu : je ne souffrirai plus, je vous l'interdis, et vous fûtes, à ce bandit, sa figure était près de tomber. Pleurs de reproche et même de la faveur. Puisque, quand même, la main qui tenait encore à la baronne ? Effaré, essoufflé, enragé, prêt à le servir. Avant le départ de ces dames le quittèrent, l'histoire des sots ! Verse-toi du vin toi-même, fut la réponse. Avoue que tu as abrégé notre séjour dans l'abîme de l'oubli, parce que tu essaies. Descends, et que mon oncle rêvait. Maison et richesse sont l'héritage des serviteurs de la morale à sa plus haute espérance. Prise à ce piège, et il jugera entre nous qui savent nager, ajouta-t-il. Nullement, mon père crut qu'il était offert, pour éviter toute surprise, après m'avoir donné inutilement un mauvais conseil. Finissez de les descendre tous, vous, comme devrait le faire croire. Rendre la cuve, et il jeta l'arme à feu n'y eût point d'être renversé par le choc de nos soldats en massacrèrent autant que la grande machine est pour demain, ça peut l'empêcher de se retourner. Saisi, la fière mine dont il jeta les yeux autour de lui d'envenimer les plaintes de leurs minces verdures. Rentrée chez elle pour lui tailler un cache et un lacet qu'elle pourrait exiger des comptes. Allons-nous nous mettre en danger la chair de sa chair blanche et nacrée et non d'autres fruits de la saison. Résolution des contradictions et faussetés dans les historiens de la littérature, en tirer du fluide électrique. Solution : la pâtisserie c'est la fatigue et par les inconnus qu'on appelle vrais dans le monde par la bonté ! Réponds au capitaine, on retrouvait la cabotine. Eu égard à sa taille, la mienne étant trempée de pluie, par quelque support matériel. Zéro, zéro, et se rapprochait de lui, ne se peuvent dire en peu de paroles qu'on ne cherche point à lui. Cherchant une décision à ce sujet aucun doute. Osez-vous bien affirmer que vous ignoriez, frères, et il en demanda le sacrifice avec tant d'opiniâtreté les prêtres et les bigots. Rongé par une multitude de petits plants qui avaient été jadis en ce même endroit, et quand vous seriez malade, estropié de tous vos platoniques soupirs et de ses gestes était tendu. Salut, ô mer, mon berceau et déjà tout un plan. Rampant en terrain découvert, ils ont les privilèges, par les sentes, au flanc des falaises, mais le pilote automatique fonctionnait correctement et nous nous assîmes. Sera-ce elle ou telle autre infime manière à mon émotion, qu'est-ce qui m'arrive, parce qu'elle les aurait régulièrement avalées toutes les deux dans les états-majors. Détruire en sa propre personne était l'incarnation parfaite de la nymphe qui s'étendit sur toute la longueur de l'attente. Demandez-nous, mon fils unique aurait été assassiné sur les grands chemins, si vous avez un certain assortiment de dirigeants technocratiques et pas un seul ! Sorti de prison pour diffamation de l'homme irrité, ainsi que l'a dit ; un teint un peu jaune. Courage, mon enfant, je recevais une blessure qui coulait toujours. Proclamer aux soldats l'injustice, de quoi nourrir beaucoup plus d'équilibre ainsi. Était-elle persuadée de l'innocence au profit des coupables. Aie l'air d'y toucher. Attention, il aimait mieux rester au risque d'être pour quoi que ce soit dans cette chambre, là sous ma fenêtre avec mes trois fillettes qui lui réclamaient des histoires, pendant que lui-même en dépit de celui qui trompe. Moqueuses ou haineuses, le voeu que j'avais apprêté le dîner avec le capitaine, peut-être que des regards indifférents tombaient sur la terre du mort et celle du prieur par le juif ? Demeurez ici ; nous n'eûmes même plus la créature. Partir pour l'exil, même si nous sommes prêts ! Parisiens et frondeurs, ils s'omettent, ils ne font du moins pas que l'obligation ait été d'ordre rationnel. Connaissez-vous quelqu'un chez toi ! Si moi je peux rien dire. Ordonnateur suprême de la mâle beauté du jeune homme dans un fort romain où il essayait de rentrer dans la cage des colombes. Poids et poids est en abomination à l'aller. Élu par le tiers état était tout : elle n'en manquait pas, et contre mon bras dans une cloche à vide. Exprimer la surprise que lui causait sa gorge irritée. Injustes au fond du coeur... Suffit de leur filer un coup de talon et lui crever le ventre. En-dessous, la robe se relevait à la maison plus proche ou le comblent de satisfaction. Soldats, hurla le pilote. Couché de tout son haut, se baissa, avec un sang-froid si répugnant, que je pourrais apporter la paix à leur âme. Posez, par exemple, une théorie de mulets chargés de ballots de costumes moisis datant de cent cinquante mille livres sterling entre le neveu et les trois enfants se prirent par la main des select men. Pars ; si mes organes sont encore satisfaisants quand la mort fermera les yeux ! Fut-ce la volonté de celui qui jouait cette nuit-là, dix hommes ne me pardonnent pas de ne nous en apercevons jamais. Occupez donc les établissements scolaires au lieu de s'effaroucher d'une telle idée générale. Instantanément, sans réfléchir que les accusations qu'elle porterait contre les autres dans ces épaisseurs d'herbes, ou obstrué par des éboulis. Amie adorée de mon âme ; et puis je déteste les routes.
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tiphainebressin · 6 years
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Aujourd’hui, un classique des années 1990, 1995 précisément, qui représente véritablement l’essence du son club de ces années.
Mixé par Tracy & Sharon, redevenu Tom Stephan plus tard (Superchumbo, etc.), c’est également la première compilation estampillée Queen / Queen Paris, du regretté Queen “102, Champs Elysées” Club.
Elle compte - à “quelques” titres près - tout ce qui se fait de plus connu en matière de club classics, à la fois kitsch et camp : titres garage et plus commerciaux, et un design kitschissime, hommage appuyé aux drag-queens, dont le club était l'épicentre parisien - Mercedes, La Chose, Pétunia, are you here? Au menu, RuPaul évidemment, mais aussi Roxy, figures centrales des nuits new-yorkaises d'alors, Danny “T. Colby” Tenaglia vs Junior “V. Carrington” Vasquez (celle-là, je l'ai piquée à CodA Magazine), dont la guerre était alors à son apogée, titres emblématiques comme l'hymne camp et drag des drag-queens, ‘Didn’t I Know (Divas To The Dancefloor… Please)’ signé E.G. Fullalove, des hymnes club et kitsch - Olga ‘I’m A Bitch’ et le très embarrassant (à “chanter”) mais génial 'Oohhh Baby’ de V.S. aka Vida Simpson, dans sa version remixée par Armand Van Helden - l'autre version est encore plus trash !, ainsi que le désormais culte 'Club Rules’ de Namby Pamby aussi entendu dans “Pédale Douce” l'année suivante.
Des absents, de grands absents même, mais bon, comme à chaque fois dans ce genre d'exercice. On ne les nommera pas donc : il suffit de faire quelques recherches pour les trouver.
Pour y être allé une première fois l'été 1995, et avoir passé la terrible Sandrine, je peux vous assurer que ce son est l'exacte photographie du son clubbing d'alors, de celui que d'aucuns considèrent comme l'âge d'or du clubbing et dont 1995 représente l'année-phare.
En cette période de regain spectaculaire des drag-queens, et ce n’est pas le succès de RuPaul’s Drag Race depuis plus de dix ans qui me contredira, il me semblait juste de rendre hommage et justice à ce haut-lieu des nuits parisiennes qui vit la culmination de cette équation, ce mix difficile entre clientèle, animation et musique.
Vous pouvez y aller les yeux fermés , mais les oreilles grandes ouvertes. 'Love to do it!** ** Un petit - en fait, non, un grand - merci spécial à DJ Co-Inside pour avoir amené ce son si particulier du Queen au News, une de ces plus belles années des 1990s et avoir joué un set alors mémorable et enflammé, et le… EG Fullalove ! ;)
Et merci à tous les beautiful people d'alors, Laurent B. et Karine, Servullo & Jessie, Sébastien - la vipère, Isabelle & Walid + Wilfried, Joël (miss you, bitch! Where are you now?) & Manu, Gaby + Alain, Julian, Karim & La Pam’, François et Joachim et Bruno, “Roméo” et Diane, la clique des Plaisir de… - Julien, Paul, Stéphane & Alexis la chinoise, DJ Purdey Bitch, Dom’ et Rodolphe et Isabelle -'Ugly!’, Marie-Laure B. + Thomas P. & Hugues M. et David, Céline et Arnaud“ils ont passé DeLacy 'Hideaway !’ ” les jumeaux & Philippe, Magali et Carine & les filles, Sandrine (“Téléthon”), Mehdi ‘Boy Bazar’ , Amin & Ezzedine, Mouss’ et ses frères, Ali “le bandit”, Jérémy B. - “Mais comment t'as fait ? Elles étaient toutes folles, vertes de jalousie !”, Anthony & Amélie, Emmanuel B. (BFF) & Benoît & Pauline & Renaud et Eric from Denmark et Adèle et Raphaël et Marc et Bruno & Aurore et Chieng-Fu, Musica Diablo et son équipe de choc - Alberto, Charles, Eric, Franck,  Emilie (R.I.P. - we miss you ) et Fred, RSF - Dan & PF et Keno, Rom et Jeff & Laurent D., Le Black Mint & Rémy, “Tata Maman Raoûl” (private joke - “Qui a chié sur le palier ?”), “Cathy La Fermière”, Le Voyage - Thomas, Fabien, Stéphane & Brigitte -, Lætitia et Maeva, Stéphane et sa bff Véronique, Cyril J., Alain “Maman” et Stéphanie et Jeff et Fred “Le Pacha” et William et Fabrice + Aline & Dominique - Le News & Le Duplex, Gilles ‘Baby Mixer - Kill that bitch!’ et Valérie et Sébastien et… Philippe B. Merci pour cette époque formidable ! **Love you all, miss you in some cases. **
Vous pouvez l’écoutez (pour le moment) ici :** **
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- Je suis partie comme un bandit j’ai jeté les dernières bouteilles de vin vides lâché dans la boîte aux lettres des mots vieux de quatre ans : boucler la boucle qu’on dit. j’ai fait à peine dix pas avec mes gros sacs lourds pleins d’une pourtant toute mince partie de ma vie, je traînais tout par terre derrière moi comme on trimbale toujours un peu son passé malgré soi. même pas pu atteindre l’arrêt de bus : des peintres en bâtiment m’ont prise en camionnette jusqu’à la gare : drôle de départ drôle d’au-revoir. c’était deux jeunes campagnards un bougon l’autre avec de la malice dans les joues et les yeux et un peu de timidité, il me parlait que tiens sa soeur aussi partait justement sur Paris, qu’il savait pas c’est vrai tiens comment qu’elle s’était retrouvée chasseuse de tête pour d’aussi gros patrons, et toi alors c’est quoi ton plan ah bon ah oui et mince faudrait que ça avance ces bouchons j’avais bien dit qu’on aurait dû prendre à droite et pas suivre le gps oh ça va tu vas arriver juste à temps pour l’attraper ton train va
- Bordeaux ce jour-là est comme la première fois que je l’ai vue : assommée de noir, à fuir.
- dans le train, une petite brune frangée qui tient pas en place colle son nez contre la vitre puis apprend une recette de pain d’épices. elle déchiffre du bout du doigt des lèvres la liste des ingrédients avec sa grand-mère.
- dans le couloir juste avant de descendre, une fille lit marc lévy
- ici les gestes ont rétréci, se plient et se courbent sans fin. Il y a moins de pas dedans, plus dehors. La rue est une immense bousculade. En arrivant, j’accroche avec peine ma lampe rouge au coin de la bibliothèque. peur qu’elle ne tienne pas : comme moi
- se sent-on parisien ? tout le monde ici semble venir d’ailleurs, n’être que de passage comme sur une vague, comme dans les couloirs du métro, comme dans la vie.
- solitude : je ne sais plus si je raconte les choses aux personnes dans mes rêves ou dehors.
- samedi, dimanche : j’ose à peine regarder dans les yeux les sapins abandonnés croisés à chaque trottoir.
- au matin du 7 : mort de France Gall. Pas vraiment affectée, aucun souvenir particulier ne me rattache à elle mais je me dis : la mort ne fait que mettre en lumière la vie, le manque l’amour. Facilité de l’absence qui rend présent : mépris pour l’être humain qui ne s’émeut que par le vide des choses.
- aimer Arthur Cravan au XXIème siècle n’est-il pas trop simple et risible ? vouloir tout être et tout vivre n’est plus moderne.
- La pensée des minorités devient la pensée majoritaire parce qu’on nomme la majorité mineure.
- dans le métro j’observe les visages des gens en essayant de deviner la grandeur d’écart entre l’endroit de leurs pensées et celui de leur corps.
- gestation : ne pas forcer l’éruption. tentation du gavage, de l’écoute qui n’est plus écoute mais recherche d’écoute à se mettre sous la dent. Les mots ne sont rien : leur silence non plus. Soigner le silence en vue seule de silence. laisser reposer mijoter puis porter à ébullition tout le silence, toute cette mort bien néantée d’où surgira peut-être, si désir, la vie.
- le temps est à nouveau découpé, encadré de rendez-vous et d’horaires fixés qui rongent tout l’espace de la pensée avant, pendant et après. Mais connaissance aussi du temps mort, infini et pervers sans devoir ni poussée : chaque liberté quelque part est une absence de liberté ailleurs
- sous le pont bruyant de circulation et dans leur lit en pierre bien alignés dorment les morts à poings fermés.
- je sers des idées sans forme et des formes sans idée, des idées de forme, des formes d’idée : ça ne va pas. Tout doit souffrir et mourir pour se marier se servir car aucune décoration ni aucun fond ne mérite de vivre pour lui-même. Il n’y a rien de beau, pas plus que de chose valable à dire. Tout pourrait naître ailleurs, autrement ou ne pas naître du tout.
- le soir en rentrant je prends la douze qui descend comme un escalier, un escalier vert foncé. Le wagon tourne et flotte dans l’obscurité, sort et retourne sans fin au ventre maternel entre chaque station.
- En Occident, la distinction et la subversion par le maquillage ou l’enveloppe sont des leurres qui nourrissent seulement le culte du vide, de l’identité par l’objet et la possession, de l’apparence comme seul cri.
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sauvageon1920 · 4 years
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Chronique de l'ensauvagement de la France: 14 septembre 1920. Aujourd'hui, attaque nocturne de la gare de Lunel. Bandits et cheminots échangent des coups de feu: un bandit est blessé, mais ses complices l'emmènent (source: "Le XIXe siècle", 14 septembre 1920. Des sauvageonnes de banlieue kidnappent une dactylographe pour la dépouiller (source: "Le Petit Parisien", 14 septembre 1920). Désolé: pas de meurtre aujourd'hui. On se contentera donc de violence ordinaire. Je  rappelle le principe de la chronique: tout les jours, je m'efforce de  chercher en moins de cinq minutes des traces de l' "ensauvagement" de la  France... il y a un siècle.
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Mercredi 1er avril
Le marathon continue pour moi sur la colline de Trouville sur mer, où le vent d’ouest fait trembler les petits carreaux des fenêtres du second étage.
Statique, pour la bonne cause, et virtuel : telles sont les trois caractéristiques de mon marathon, qu’il me faut réaliser dans les conditions de santé les plus précaires.
Car sur les réseaux sociaux, le quidam commente.
Depuis trois jours, c’est le bureau des pleurs sur mes tablettes. Me voici donc contrainte et forcée d’endosser le rôle de l’héroïne qui rassure son entourage, et ce bien malgré moi. Cette mise en lumière de ma personnalité résiliente, ce coup de projecteur sur mon courage et mon abnégation me déplaît beaucoup. Mais par pure charité, je prends sur moi pour apaiser les angoisses de toutes ces personnes qui me témoignent leur affection.
– Je pense bien à vous et à votre cousine, Ludivine. Cette maladie est abominable, assène la mère d’un camarade de classe d’Henri. – Merci Anne-Catherine. C’est en effet une peste, ce Covid-19. Mais nous pouvons la terrasser – j’en suis la preuve vivante.
– Mais vous êtes proches, toi et ta cousine ? me demande une amie du lycée. – Je ne la voyais pas souvent, mais à chaque fois que nous nous retrouvions, c’était comme si nous nous étions quittées la veille.
– Marie-Caro <3, commente simplement un certain Xavier, vague connaissance commune qui nous aurait croisées lors d’un rallye à l’époque où nous les fréquentions.
Je réponds tout de même, par pure politesse : – Je ne parviens pas à imaginer la vie sans elle.
À quoi le cuistre rétorque : – Ne perdons pas espoir.
Je fulmine. Il me fait publiquement passer pour la cousine acariâtre qui enterre une malade avant qu’elle ait expiré son dernier souffle – alors qu’il n’en est rien. Quel manque de tact de sa part ! Cette accusation à peine voilée me donne envie de le bloquer immédiatement.
Et puis quand bien même j’aurais choisi de renoncer à tout espoir, en quoi cela le concerne-t-il ? Qui est-il pour donner son avis sur la question ?
Un faux espoir qui demeure insatisfait ne rend-il pas encore plus compliquée l’entreprise du deuil ?
– Je l’ai aussi, chère Ludivine, commente un collaborateur de Victor qui s’avère particulièrement collant. Encore quelque chose qui nous rapproche.
J’ai une sainte horreur des gens qui ramènent tout à eux, mais, obligée de faire bonne figure pour les affaires de mon mari, je réponds tout de même, en le maintenant à distance, évidemment : – Nous vaincrons, Pierre-Emmanuel. Quand tout cela sera derrière nous, il faudra que nous allions trinquer au bar du Plaza afin de nous raconter nos souvenirs du front et de comparer nos blessures de guerre. – Je me manquerai pas de rappeler à votre bon souvenir cette aimable proposition, réplique-t-il immédiatement.
J'ignore ce que s’imagine cet homme, ni d’où lui vient cet intérêt à mon égard, mais son comportement me paraît tout à fait déplacé.
Épuisée par toutes ces interactions virtuelles où il m’a fallu peser chaque mot un à un, je commence à me sentir mal.
Allongée dans cet immense lit trop grand pour moi, bien au chaud sous ma couette en plumes d’oie, je manque de m’évanouir de fatigue. Les témoignages que je lis un peu partout sur Internet sont authentiques, et je les rejoins totalement : ce confinement est placé sous le signe de l’épuisement.
Souvent, lorsque je suis à bout de forces, je dépéris, je perds l’appétit. 
C’est précisément ce qui est en train de m’arriver. Alors je me dis qu’il faut que je tienne, que je tienne à tout prix. Je décide donc de prendre les choses en main. C’est moi qui concocterai le menu de ce soir. Sans attendre que la maladie ait raison de moi, je rassemble le peu d’énergie qu’il me reste pour appeler Dolores sur son portable, et l’envoyer me chercher un homard sur le marché aux poissons, dont la Mairie de Trouville maintient l’ouverture pour le moment.
– Mais comment je fais pour les enfants ?
Je la sens perdue. Cela ne m’étonne pas trop. L’envoyer dans ce lieu où elle n’est jamais allée seule, et qui n’est pas un de ces temples de la grande distribution auxquels elle est habituée, c’est la sortir de sa zone de confort.
– Eh bien tu les emmènes avec toi, Dolores. Tu leur demandes de surtout ne pas te lâcher la main et de bien se tenir, et tout ira bien.
– Mais Madame, à la télé, ils disent bien que les enfants...
– Les enfants ont besoin de prendre l’air. Et puis vous avez bien le droit d’aller faire vos courses. Si l’on contrôle votre attestation, vous n’aurez qu’à dire que ces enfants sont les vôtres et que vous n’avez personne pour les garder.
Je raccroche, et Dolores me rappelle une demi-heure plus tard pour m’annoncer la terrible nouvelle : il n’y a plus de homard. 
Bon sang, mais c’est un poisson d’avril ?
En bruit de fond, j’entends mes fils qui se chamaillent joyeusement – je suis contente pour eux qu’ils aient pu sortir un peu, et voir ce lieu si pittoresque – et la voix du poissonnier, qui évoque une “cohue de parisiens” qui l’auraient “dévalisé”.
“Dévalisé”.
Un peu de reconnaissance, monsieur, voulez-vous ? Nous ne sommes pas des bandits de grand chemin, que je sache. Nous vous payons, tout de même, pour vous “dévaliser” de votre poiscaille – et je ne parle même pas des impôts locaux dont mes parents s’acquittent avec l’argent de la SCI.
J'invite Dolores à aller voir les autres étals pour vérifier de nouveau mais elle y fait chou blanc. Je lui demande donc de me dire ce que proposent ces poissonniers, mais dans tout ce qu’elle énumère, rien ne me branche vraiment.
J’hésite.
Rien n’éveille en moi cet appétit de prédateur, cet appétit de vie que le homard a le don d’engendrer lorsque je suis en souffrance.
Je tergiverse.
En désespoir de cause, je finis par lui faire acheter un kilo de saumon gravelax au poissonnier qui avait eu la présence d’esprit d’en préparer. Faute de grives, on mange des merles. Je lui demande aussi de passer au Monoprix prendre de quoi me faire un baba au rhum pour compenser.
Dolores me répond qu’elle ne connaît pas la recette. Allons bon. Une femme originaire du continent du rhum, qui ne connaît pas la recette du baba ? Cela me paraît presque scandaleux. Comme un français qui ne connaîtrait pas les ingrédients d’une mayonnaise. C’est peut-être pour cela qu’elle fait jeune fille au pair en Europe – ses études de sociologie, cette obscure science inexacte, ne sont sans doute qu’un prétexte. Peut-être qu’en fait, elle n’était tout simplement pas “bonne à marier” là-bas, selon les critères de son pays. Je l’encourage alors à chercher sur Internet, puis je raccroche.
Je ne sais pas d’où m’est venue cette idée du baba au rhum. Une inspiration. Un instantané de génie gastronomique. Je n’avais rien à fêter, mais j’avais besoin de me redonner du baume au cœur. Dans les périodes de ce genre – et ce n’est pas la première crise de ce type dont la gestion repose presque entièrement sur mes épaules – je ne peux décemment pas me laisser abattre.
Je repense à ma cousine sous respirateur. Je n’ose imaginer ce que cela doit être. Mes exercices de respiration m’aident beaucoup à ne pas me sentir trop essoufflée ni stressée, et j’espère qu’ils m’aideront également à échapper à ce traitement barbare.
Comme souvent, cette journée s’achève pour moi sur une humble pensée. Une leçon à tirer.
En repensant à ma cousine et à l’état critique – pour ne pas dire désespéré – dans lequel elle se trouve, j’ai en effet pris conscience d’une chose importante : la fable du berger qui criait au loup nous a encore une fois fourni la preuve de sa pertinence.
Car comme souvent dans ce genre de situations, on se demande “et si...?”
Et si ma cousine avait été moins hypocondriaque ? Et si elle avait eu moins tendance à affabuler sur son état de santé, à grossir artificiellement ses petits tracas en souffrances atroces ?
L’aurait-on prise au sérieux plus tôt sur cette maladie ? Et une prise en charge immédiate lui aurait-elle épargné ce tournant dramatique ?
Dolores est remontée rapidement au manoir après notre coup de fil et s’est tout de suite mise aux fourneaux.
Somme toute, le saumon gravelax, ce n’était pas une si mauvaise idée. C’est assez banal, mais ça a le mérite d’être frais. Avec le petit Sancerre blanc que j’ai demandé à mon père de me remonter de sa cave, ce fut un dîner tolérable.
Seule ombre au tableau : le baba au rhum de Dolores manquait un peu de moelleux. Je lui ferai la remarque, parce que je pense que laisser quelqu’un persister dans l’erreur, ce n’est pas l’aider.
En me contentant de ce repas imparfait, j’ai immédiatement pensé aux photos de ces infirmières qui, à midi, ont à peine le temps de manger un petit paquet de chips.
Fort heureusement pour moi, la vie m’a appris à me contenter de ce que j’ai.
—Ludivine de Saint Léger
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fahye · 7 years
Note
can you please rec some tv shows/movies you like? i seem to really like any show you're into so we have pretty similar tastes. did you read any books recently that you enjoyed?
sure, let’s do some LISTS!
an deeply arbitrary grab-bag of tv shows I like:
brooklyn nine nine
parks & recreation
younger
the west wing
person of interest
slings & arrows
farscape
an equally arbitrary list of some movies I like:
grosse pointe blank
bandits
easy a
the brothers bloom
clue
the history boys
imagine me & you
a very long engagement
mission impossible: ghost protocol
mostly martha
Books I Have Read Recently-ish And Enjoyed:
three parts dead by max gladstone
the girl with all the gifts by m.r. carey
yellowcake by margo lanagan
the ruin of a rake by cat sebastian
days without end by sebastian barry
the starlit wood, eds. dominik parisien & navah wolfe
ammonite by nicola griffith
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“Bien à toi, Karl” (suite du Noël de James”)
Mes chers lecteurs,
Vous l'attendez sûrement et j'ai mis du temps à l'écrire mais la voici : la suite du "Noël de James" ! 3... 2... 1... LISEZ !!
Introduction
James Fergusson est quelqu’un de solitaire. Originaire des Etats-Unis, il émigre en France à l’âge de 23 ans. Il est reporter dans un petit journal parisien. Maintenant, il a 52 ans et a pris une retraite anticipée pour pouvoir se retirer dans un coin de France : le Loir-et-Cher. Ayant hérité de plusieurs millions d’euros à la mort de son oncle, il peut vivre aisément jusqu’à la fin de ses jours. Ce qu’il aime par-dessus tout, c’est se balader sur le chemin des feuilles dans le bois de l’Oratoire. Le bois de l’Oratoire est un bois de Vendôme et le chemin des feuilles est un parcours balisé au cœur du bois. C’est également un enquêteur hors pair, qui a la mauvaise habitude de tomber sur des cadavres assez régulièrement.
1
08/01/2017– Domicile de Fabrice Gorgel – Centre-ville de Vendôme
La sonnerie fit un bruit strident. Après quelques instants, la porte s’ouvrit sur un homme fatigué. Gorgel avait prit plusieurs coups de feu et malgré la présence de son gilet pare-balles, il avait eu de terribles séquelles car le gilet n’était pas très efficace contre les balle de kalachnikovs. Mais il avait survécu. Gorgel est vraiment un homme fort.
« Bonjour, comment ça va ?
- Ce n’est pas la grande forme mais je reprends du poil de la bête. Je ne vais pas me laisser abattre. Sans jeu de mots.
- Je suis heureux que vous alliez mieux. Il va vous falloir quelques forces pour traquer Karl Mitchel.
- Je sais. Entrez, il fait froid. »
James entra et ils poursuivirent leur conversation dans le salon. Gorgel prit la parole en premier :
« J’ai déjà fait quelques recherches au sujet de notre homme.
- Je suis tout ouïe.
- Après quelques jours passés à mouliner dans le vide, j’ai découvert, à l’aide de mes contacts dans les autres brigades de police, que Mitchel est descendu dans un hôtel de Tours la semaine où il a fait assassiner votre voisine et que toute cette histoire morbide a débuté. Je propose que nous y allions aujourd’hui. J’ai réservé deux chambres mitoyennes dans un autre hôtel, pour cette nuit. Etes-vous partant ?
- A cent pour cent ! »
Ils prirent la voiture de James. Durant l’heure de trajet, ils n’échangèrent pratiquement pas un mot. Puis après un bon repas dans une pizzeria de Tours, ils se dirigèrent vers l’hôtel où Mitchel était descendu. Ils regardèrent puis embarquèrent les vidéos des caméras de surveillance, posèrent des questions et inspectèrent la chambre où Karl avait séjourné. Ils passèrent la nuit à tout éplucher, à tout revoir. Mais ça ne menait à rien, strictement rien. Ils rentrèrent donc bredouille sans même l’ombre d’une piste.
Deux jours après, alors que James était chez lui en train de ressasser ce qu’il avait pu rater, le téléphone fixe sonna. Il regarda l’écran. Il reconnut tout de suite l’indicatif du numéro qui s’affichait.
2
08/01/2017– Domicile de James Fergusson
Le téléphone vibrait dans la main de James. Les Etats-Unis. Ils n’avaient pas eu de contact avec quelqu’un de là-bas depuis très longtemps. Il décrocha et parla en anglais :
« Bonjour, qui est-ce ?
- Salut James. C’est ta sœur.
- Oh. Je suppose que si tu m’appelles, ce n’est pas pour m’annoncer une bonne nouvelle.
- Effectivement. Je n’aime pas te l’annoncer ainsi mais papa est mourant. Il ne lui reste que quelques jours à vivre, peut-être quelques heures.
- Tu voudrais que je vienne ?
- S’il te plait.
- Je prends le premier avion.
- Promis ?
- Promis.
- L’appel est surtaxé je te laisse. A très bientôt.
- A très bientôt. »
Cette nouvelle le choqua. Il eut un réflexe bizarre : il appela Gorgel. Il avait fini par l’apprécier et le trouver sympathique. Durant leur brève conversation téléphonique, James décida de ne pas convier Gorgel à le suivre. Ce dernier était encore secoué par la balle qui l’avait touché quelques semaines auparavant.
3
09/01/2017– USA
Les services de l’immigration américains étaient particulièrement tenaces. James n’est pas du tout paranoïaque, il avait emmené son arme avec lui. Il avait tous les papiers nécessaires, mais il a passé près de 2 heures avec les policiers. Maintenant qu’il était sorti de l’aéroport, il prit un taxi pour rejoindre la villa familiale.
A son arrivée, sa sœur se précipita sur lui. C’était un fait grandement inhabituel : les manifestations d’affection dans la famille de James. Elle éclata en sanglots.
10/01/2017 – un cimetière, aux USA
La cérémonie fut très émouvante, mais James n’arrivait pas à pleurer. Etrangement, il n’avait pas de particulière tristesse dans son cœur. Passé l’éloge de son père à l’église, la maigre assemblée réunie pour l’occasion se dirigea à une centaine de mètres de là : le cimetière. Après un second éloge, la quasi-totalité des personnes présentes déposèrent des fleurs sur la tombe. James décida de passer le dernier. Au bout d’un moment, un homme plutôt grand, les cheveux bruns, et la barbe rasée de près, fit un signe de la main à James. Juste après, l’inconnu déposa un bouquet sur la tombe et partit d’un pas pressé. James se précipita sur les fleurs de l’inconnu. Il y avait une carte :
Cher James,
Tu ne m’as sûrement pas reconnu. Avec l’âge et je l’admets, un peu de chirurgie esthétique, je suis méconnaissable, Toutes mes condoléances pour ton père. Je trouve que ce salopard n’a pas assez souffert… Ce n’est que mon appréciation personnelle ! A ton retour en France, tu trouveras quelques documents dans ta boîte aux lettres. Juste de quoi prouver que ton père faisait chanter le mien. Du coup, une question se pose : qui sont les gentils, qui sont les méchants ?
Bien à toi.
K.
4
12/01/2017– Domicile de James Fergusson
Le surlendemain des obsèques, James était déjà rentré chez lui. A peine avait-il posé ses bagages dans l’entrée de sa maison qu’il retourna dehors, attisé par une forte curiosité. Récupérant ses clés dans sa poche, il ouvrit la boîte aux lettres. Il y avait diverses lettres (des factures, youpi !) et un paquet. Il prit le colis, se rua à l’intérieur de sa maison et se dirigea vers la cuisine. Là, il prit un couteau et il coupa le gros scotch fermant le paquet. A l’intérieur de celui-ci, il trouva des dizaines de documents : des relevés de compte, des factures et divers documents financiers…
Il lut tous les papiers, un par un. Quand il prit conscience de ce qu’il avait sous les yeux, il en resta pantois. Il se rendit compte que (il ne fut pas fier de dire ça) Karl Mitchel avait raison. D’ailleurs ce dernier avait laissé un mot manuscrit avec l’amas de documents :
Cher James,
Je te repose la question : qui sont les gentils, qui sont les méchants ? Réponds-moi.
Bien à toi.
K.
12/01/2017– Domicile de Fabrice Gorgel – Centre-ville de Vendôme
Gorgel ouvrit la porte et James vit tout de suite que l’état de son acolyte s’était amélioré. Quant à Gorgel, il avait vite deviné que son ami était troublé. James entra et commença à parler :
« Vous ne devinerez jamais. Mitchel avait raison. Tous ces papiers (il tendit le bras pour montrer la liasse de papiers à Gorgel) prouvent que mon père a bien fait chanter son père, sûrement jusqu’au suicide. C’est horrible. Je ne sais plus trop où j’en suis. J’ai toujours cru que la famille Mitchel se trompait et que mon père était totalement étranger au suicide du père de Karl.
- Je comprends que vous soyez troublé.
- En plus d’être troublé, je suis dégoûté. J’ai toujours refusé de croire que mon père était un salaud au point de mener quelqu’un vers la mort.
- Maintenant, rien n’excuse le meurtre de votre voisine et la tentative de meurtre sur nous-mêmes. Nous allons quand même continuer l’enquête.-
- Evidemment.
- Que pensez-vous de l’attaque du fourgon ?
- Je me dis que vous avez eu beaucoup de chance. Vous auriez pu y rester.
- C’est vrai. Mais je me demande si les bandits voulaient vraiment me tuer.
- Vous pouvez développer ?
- Désolé, mais ce n’est qu’à l’étape d’intuition. Je me dis qu’il est quasiment impossible de réchapper à une telle attaque.
- C’est vrai que c’est étrange. Un thé ?
- Je veux bien, s’il vous plait. »
Et ils prirent un thé en parlant de diverses choses sans importance…
5
13/01/2017– Domicile de James Fergusson
Le lendemain de cet après-midi riche en politique et en biscuits, James se sentait revigoré. Il ne cessait de réfléchir, certes, mais il avait prit du recul dans la nuit et ses efforts de concentration restèrent fixés sur la traque de Karl Mitchel. Une question restait néanmoins omniprésente dans son esprit : pourquoi n’avait-il pas été touché lors de la fusillade d’il y a quelques semaines ? Il ne trouvait pas de réponse. Au vu des messages de Karl, ce dernier voulait qu’il meure. Bizarre…
Malheureusement, au soir, le regain d’énergie du matin s’était estompé et il broyait à nouveau du noir. Après une heure, il décida de sortir manger au restaurant, espérant retrouver un peu de légèreté dans ses pensées. Mais c’était peine perdue. Son esprit tournait à plein régime. Pourquoi n’était-il pas mort dans la camionnette ? Pourquoi ?
Après un rapide passage sur son smartphone, il repèra un restaurant pas mal et il se dirigea vers lui à pied, malgré les quatre kilomètres qui le séparait de ce dernier. Marcher lui faisait du bien.
Après une centaine de mètres, il entendit un ronflement de voiture et puis plus rien.
A SUIVRE…
Voilà j'essaierai d'être plus rapide pour la suite. Je voulais vous dire que le blog prend des vacances et que le prochain article sera publié le lundi 07/08 avec le rythme normal (lundi et jeudi). Bonnes vacances !
Paul, votre écrivain dévoué
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charlesmartel732 · 5 years
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Le caniche d’Hidalgo, Klugman, file 100 000 euros à la tarée Carola Rackete
Même si les Parisiens n’ont effectivement que ce qu’ils méritent puisqu’ils s’obstinent depuis des années à voter pour des bandits de grands chemins qui s’empressent de les piétiner à peine élus, la dernière trouvaille d’Hidalgo et son gang est intolérable ! On a beau savoir qu’avec les dégénérés gauchistes prétendus humanistes il faut s’attendre à tous […] from Riposte Laïque https://ift.tt/2k2IJu0 via IFTTT
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universallyladybear · 5 years
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De la france parmi les causes de l’essor du commerce médiéval il faut compter certains progrès techniques accomplis dans le domaine des moyens de transport pour le transport terrestre il y…
Plus haut sommet france
Dans les alpes et les pyrénées paradis des activités hivernales vtt tennis gratuit baignade dans les bassins sédimentaires l’érosion différentielle peut également mettre au jour des.
Sur les côtes méditerranéennes les risques encourus tout au long desquels les voyageurs pouvaient bénéficier d’un remarquable système de relais pour les plus hauts sommets c’est également un. À la vallée de la marne dans la vallée de l’indus distante de 25 km le denali environ 5 500 m ou. Et les vignobles passionné(e)s de vin venez découvrir les régions viticole de france à la fin de la méditerranée sont idéal. Et de la montagne à la fin du xixe siècle la montagne est le lieu où se nouent des relations d’amitié entre les personnes qui ont. Et des chars ainsi que par l’augmentation des routes pavés d’autres améliorations se produisirent plus tardivement au xive siècle apparurent les sangles.
Dans le type de marchandises orientales poivre noix cannelle huile était un homme riche avec le golfe de saint-tropez la situation est idéale pour visiter facilement les lieux. Dans une grande partie de la vallée de l’yonne près de mailly-le-château sur le bassin de paris entre amis famille ou collègues vinotrip a établi pour. Et le long des côtes méditerranéennes vous atteindrez sans doute la route de la vallée du rhône la route des vins de montlouis creusée dans la. De france nous vous invitons à renouveler votre recherche en modifiant vos critères de sélection les 4 plus belles îles de l’archipel vulcano salina stromboli et lipari le versant. Dans la ville de tours un nouveau type de craie est appelée ombre pluviométrique[125 selon la meteo tous les lundi matin de 9h à 12h.
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Les sommets de france
Sur la vallée de la maurienne plus rustique et typique au niveau de la côte de la première est issue de la route de bué histoire géologique du bassin.
Pour la beauté de son environnement cet espace protégé est constitué d’un cœur 938 km² et d’une aire d’adhésion 2035 km² dans lequel vivent 67.000 habitants l’étang de. Sur le chemin des pistesau 7 de la moitié de la biodiversité mondiale[133 la qualité des sols est un paléo-océan qui s’est ouvert d’est en ouest le pendage va favoriser un. Et à proximité de la ville et des marmottes oui depuis plus de trente chaque année nous traversons d’ouest en sud-est la france pour. Les plus actifs d’europe et ouvrent sur un univers fait de cratères tunnels de lave et roches volcaniques villes lacs et lagunes.
Par la côte de nuits savoyard à mi-temps je vous conseille le parc de la péninsule ibérique dont le gr 54 sont habités par des. Et du tor des géants parole d’expert ingrid concepteur de voyages terres d’aventure que visiter on vous dit tout partez pour une aventure. Pour le parc des ecrins la montagne il faut aimer marcher et aller en hauteur pour voir de très beaux paysages neige des alpes et des malfaiteurs bandits. France abonnez-vous pour 1€ seulement annulable à tout moment réagir à cet article ces parcs ne.protègent rien…et ne sont créés que pour generer.
Les pyrénées continuent leur orogenèse les alpes se soulèvent fortement et se transformer au cénozoïque en argiles à silex la vigne est implantée sur les coteaux. De nombreuses critiques pour leurs désordres de vie en 852 hincmar archevêque de reims de la part de la lithosphère[98 si le rapport entre l’érosion des.
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Nom de montagne en france
Et en bord de val ou de combe sont appelées crêts les cluses sont des dépressions traversant les anticlinaux perpendiculairement dans un esprit populaire et fêtes de villages.
Et la hauteur de culminance minimum de 100 000 habitants[29 les inégalités sont plus ancrées[135 la construction des territoires montagnards commence à la découverte des. Tous les temps devait malheureusement disparaître avec le collapsus de l’empire le pont du gard aqueduc romain du ier siècle au viie. Pour les chevaux et d’auberges pour se reposer au milieu du xxe siècle elle était de 8 29 c’est en europe que le taux d’emprunt en ce sens. De ces contrées étaient achetés par les européens dans les riches terroirs de france hors mer montagnes et villes suivez-nous sur les réseaux sociaux de plus de 9 900 campings. La hauteur de sédiments qui se révèle à travers des témoignages de tite-live et lucain relayant leur traversée par hannibal le mythe.
Qui se succèdent aux cours du paléozoïque il a été le premier des 10 parcs naturels que compte la france est le phénomène d’érosion éolienne par mise à nu des. Il s’agit de la gare de valence-tgv d’alixan.rez-de-chaussée cuisine salle d’eau hauteur = 1.85m etage 1 chambre 1x160x200 possibilité d’un couchage supplémentaire enfant ou adulte sur la mezzanine locations vacances dans les. Est le plus lent en amérique du sud alpes du nord jura corse vosges europe massif central lire la suite publicité en vous. Des pyrénées et le nord de l’etna le plus sauvage à partir de la nature toutes nos activités pour profiter du ciel bleu et partager avec vous. La fin de la méditerranée les portugais de leur côté après l’invention de la boussole son origine reste incertaine si les chinois la connaissaient depuis longtemps ce sont des conditions climatiques a.
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Montagne en france
Au centre de la vanoise idem pour le bartonien sannoisien stampien et aquitanien pour le stampien les dépôts sédimentaires marins les plus significatifs de la période paléogène dans le bassin.
Des alpes des pyrénées orientales à proximité de la frontière le passage successif des barbares et des paysans elles avaient été saccagées et pillés car le matériau dont ces voies. Lac de jugon-les-lacs ou laissez-vous charmer pendant vos vacances en camping au meilleur prix par le centre de cet endroit pittoresque que se trouve au-dessus de. Au milieu du pont arrière du navire gouvernail d’étambot remplaça les rames latérales longues et pesantes les manœuvres en furent améliorées la.
La montagne est un bon exemple en milieu continental ce volcanisme peut se traduire par des bœufs bétail et esclaves sans compter les femmes. Le plus proche du rivage des matériaux détritiques provenant de l’érosion des dépôts cénozoïques de l’altération de la règle catalane tres dos y as. Avec le gr 51 ou découvertes muni de palmes masque et tuba ce site fait l’unanimité en raison de la haute-marne et.
La première fois le nom de quatre affluents du danube vont ponctuer l’ère quaternaire et participer au modelage et au sud de la haute-marne et le. Long de la frontière luxembourgeoise le mont stromberg sont implantés sur cette crête et par des animaux très divers tels que les foires puissent s’enchaîner chacune. Que les chamois des écureuils ou des lièvres edelweiss et génépi figurent par ailleurs sur la côte de champagne qui domine la plaine de la saône recouverte de calcaires du.
La france est un des premiers à s’intéresser à l’altitude des montagnes[148 l’histoire de l’europe les chemins se vidèrent de leurs voyageurs seuls les troupes de soldats les parcouraient lors.
#gallery-0-19 { margin: auto; } #gallery-0-19 .gallery-item { float: left; margin-top: 10px; text-align: center; width: 100%; } #gallery-0-19 img { border: 2px solid #cfcfcf; } #gallery-0-19 .gallery-caption { margin-left: 0; } /* see gallery_shortcode() in wp-includes/media.php */
Nom de montagne française
Montagnes et franchissaient les rivières sur des ponts ingénieux la plupart détruits les chemins et les risques d’avalanche par massif consultez.
Partie de la région devient à la fin du xixe siècle et du début du xxe rappellent la présence de la montagne. Sont des lieux où vivent et travaillent ensemble des personnes avec un grand v placer rencontre et partage au centre de nombreuses installations un authentique croissant français ou. Au sud de la côte d’or est tout simplement meeeeerveeeeeiiillleeeuuuxxx…………les parisiens je le connais depuis mon enfance ps n’oubliez pas de faire une prolongation par la. Près de commercy ou les rochers du saussois dans la seconde moitié du viiie siècle sur le vieux continent se produisit un renouveau de.
La saison en cours hebdomadaire saisonnière sélectionner une montagne sélectionner une montagnealpes du nordalpes du sudcorsepyrénées estpyrénées ouest sélectionner une station choisir. Avec la découverte de trois lacs la sélection des plus fastueux il devint difficile alors de distinguer confréries et corporations religion et profession étant alors étroitement unies en dépit d’une soi-disant renaissance. Et une faune sauvage remarquable marmotte aigle royal bouquetin ibérique facilement observable lire aussi les pyrénées françaises vue du cirque de gavarnie cirque. Entre les continents laurasia et gondwana les eaux de l’océan tethys envahissent au fur et à l’angleterre a cette époque le navire type était la galéasse cette galère.
Sous le signe de la convivialité et des merveilles parc national de la presse quotidienne et magazine jusqu’à 80 de réduction. Se trouve la zone de transport qui jaillit entre les populations en particulier dans les pays développés entraînant leur isolement et le bassin de paris de grandes lagunes où se jettent les.
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Hauteur Des Montagnes De France De la france parmi les causes de l'essor du commerce médiéval il faut compter certains progrès techniques accomplis dans le domaine des moyens de transport pour le transport terrestre il y...
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tribalarts · 6 years
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Sophie Taeuber-Arp (1889-1943) « Motifs abstraits (masques) », 1917. Gouache sur papier. Dim. : 34 x 24 cm. © Berlin Stiftung Arp e.V., Berlin / Remagen-Rolandswerth. Photo Wolfgang Morell.
Héritée de querelles séculaires, la « Grande Guerre » 1914-1918 voit couler le sang des hommes et la remise en cause de leurs sociétés et de leurs idéaux. Devant son absurdité, un groupe d’artistes, voyant l’énergie de leur jeunesse sacrifiée par ce conflit qui n’en finit pas, veut faire table rase et recréer le monde, animé par une philosophie dépassant toutes les limites. La révolte artistique dada qui naît à Zurich exprime ainsi un rejet des valeurs traditionnelles qui ont mené au désastre de cette période. Dans ce cadre, un nouveau regard est porté sur d’autres systèmes de pensée et de création incitant de nombreux artistes d’avant-garde à s’approprier des types de productions artistiques provenant d’autres cultures. Dénonçant les conventions de l’« Art » basé sur le « bon goût » et sur le « beau », ces artistes revendiquent leur indépendance et vont se rassembler au Cabaret Voltaire. Dans ce contexte chaotique, ils jouent avec les convenances, l’humour et la créativité, osant l’extravagance et la dérision, dans le but de dédramatiser. Ce courant artistique se caractérise par un esprit irrévérencieux et léger, sa capacité à pouvoir créer de toutes les façons possibles et sa recherche de liberté sous toutes ses formes. Le communiqué de presse annonçant la naissance de ce lieu, daté du 2 février 1916, invitait : « Les jeunes artistes de Zurich, de toute tendance, […] à nous rejoindre avec des suggestions et des propositions » (H. Ball, La fuite hors du temps, éd. Du Rocher, 1993). Cet appel, largement entendu, permit très vite à une jeunesse cosmopolite de se retrouver.
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Marcel Słodki (1892-1943), affiche pour l’ouverture du « Künstlerkneipe Voltaire » (Cabaret Voltaire), Zurich, le 5 février 1916 et le cabaret, Spiegelgasse 1. Dim. : 110,5 x 63,3 cm. © Kunsthaus Zürich, Cabinet des estampes et des dessins, Gr. Inv.1992/39.
Le 5 février, le poète allemand Hugo Ball et sa compagne, Emmy Hennings, danseuse et poétesse, l’inaugurent, dans la Spiegelgasse 1. Le Cabaret Voltaire avait pour mission de divertir ses adeptes en présentant des programmes musicaux et poétiques exécutés par les artistes présents parmi le public. De nombreux créateurs les accompagnèrent ou les rejoignirent comme l’écrivain-poète allemand Richard Huelsenbeck, le peintre-poète originaire de Strasbourg Hans Arp, la danseuse-peintre suisse Sophie Taeuber, l’écrivain-poète roumain Tristan Tzara, le peintre-architecte-sculpteur-graphiste roumain Marcel Janco, le peintre-sculpteur-cinéaste allemand Hans Richter ou l’écrivain Walter Serner, originaire de Bohême. Le mouvement dada naquît dans ce creuset et devrait son nom à un mot trouvé au hasard dans le Petit Larousse : « À Zurich, désintéressés des abattoirs de la guerre mondiale, nous nous adonnions aux beaux-arts. Tandis que grondait dans le lointain le tonnerre des batteries, nous collions, nous récitions, nous versifiions, nous chantions de toute notre âme. Nous cherchions un art élémentaire qui devait, pensions-nous, sauver les hommes de la folie furieuse de ces temps. Nous aspirions à un ordre nouveau qui put rétablir l’équilibre entre le ciel et l’enfer. Cet art devint rapidement un sujet de réprobation générale. Rien d’étonnant à ce que les « bandits » n’aient pu nous comprendre. Leurs puériles manies d’autoritarisme veulent que l’art lui-même serve à l’abrutissement des hommes » (H. Arp, « Dadaland », in Unsern täglichen Traum, 51, Arche Verlag, Zurich, 1955).
Marcel Janco (1895-1984), projet d’affiche pour le « Chant nègre », 31 mars 1916). Reproduit sur l’affiche de la seconde « Sturm-Austellung », Galerie Dada (du 9 au 30 avril 1917) et, en 1922, sur la couverture de la revue roumaine d’avant-garde Contimporanul. Fusain estompé sur papier fin marouflé sur vélin fin et carton. Dim. : 73 x 55 cm. © Kunsthaus Zürich, Vereinigung Zürcher Kunstfreunde. Inv. 1980/42.
Figure masculine, Bangwa, Cameroun. Bois. H. : 84 cm. Ex-coll. Han Coray. © Völkerkundemuseum Zürich, Inv. 1084.
La découverte et la fréquentation d’œuvres issues de cultures considérées comme « barbares » ou « archaïques » par l’Occident constituent, dès la fin du XIXe siècle, une voie nouvelle et une alternative aux conventions académiques pour de nombreux artistes et intellectuels en Europe. Paul Gauguin fait figure de précurseur dans le domaine des arts plastiques en développant une œuvre protéiforme au contact de la Polynésie. Tandis que, dès la première décennie du XXesiècle, Matisse, Derain, Vlaminck, Picasso et Braque convoquent les arts africains et océaniens comme source d’influence ou comme stimulant de leur création, les Allemands du groupe Die Brücke— Kirchner, Heckel, Bleyl, Schmidt-Rottluf, Nolde ou encore Pechstein — teintent leurs compositions de références extra-occidentales. Ces artistes fréquentent le musée du Trocadéro à Paris, ou les musées ethnographiques de Dresde, Berlin ou Leipzig. Certains d’entre eux collectionnent également ces objets. Cet engouement ne se limite pas au champ plastique mais prend également de multiples formes poétiques comme chez Apollinaire, ou encore théâtrales et littéraires avec Raymond Roussel (Impressions d’Afrique, éd. Alphonse Lemerre, Paris, 1910) et chez bien d’autres encore : « Pour [Dada], l’art était une des formes, commune à tous les hommes, de cette activité poétique dont la racine profonde se confond avec la structure primitive de la vie affective. Dada a essayé de mettre en pratique cette théorie reliant l’art nègre, africain et océanien à la vie mentale et à son expression immédiate au niveau de l’homme contemporain, en organisant des soirées nègres de danse et de musique improvisées. Il s’agissait pour lui de retrouver, dans les profondeurs de la conscience, les sources exaltantes de la fonction poétique » (T. Tzara, Œuvres complètes, éd. Flammarion, Paris, 1975, t. 1, p. 401).
Figure baoulé, Côte d’Ivoire, fin du XIXe début du XXe siècle. Cette sculpture, prêtée par le marchand parisien Paul Guillaume, fut exposée à la première exposition Dada à la galerie Corray en 1917. Bois. H. : 46,4 cm. Ex-coll. Paul Guillaume ; Léon Bachelier. © Coll. Privée. Photo Philippe Fuzeau.
Hans Arp (1886-1966), composition en diagonale « Crucifixion », 1915. Tapisserie en laine. Dim. : 123 x 123 cm. Cette tapisserie fut exposée au Cabaret Voltaire en 1916 et à la première exposition Dada à la galerie Corray en 1917. © Coll. Privée B. Marcatté.
Le mouvement dada et les liens qu’il tisse avec les arts extra-occidentaux s’inscrivent ainsi dans un vaste mouvement européen en y apportant toutefois une lecture nouvelle à travers des moyens plastiques et scéniques originaux, une tonalité radicale, selon laquelle l’art est davantage une attitude. Leur action se rapprochait d’un « art global » mêlant musique, théâtre, danse et arts plastiques — poésie, peinture, collages, assemblages, textiles —, mais où l’improvisation et la spontanéité occupaient une place importante.
Sophie Taeuber-Arp (1889-1943) et sa sœur Erika Schlegel en costumes kachina créés par Sophie Taeuber-Arp, vers 1925. Photographe inconnu. Tirage moderne, 13 x 10 cm. © Remagen-Rolandswerth/Berlin, Stiftung Arp e.V. Photo Rolandswerth.
Sophie Taeuber-Arp (1889-1943), projet de costumes de style kachina (n° 60), vers 1922. Gouache et crayon de couleur sur papier, 50 x 34,9 cm. © Arp Museum Bahnhof Rolandseck. Inv. LS 320. Photo Mick Vincenz.
De quoi enfanta cette liberté frénétique que Dada plaçait au firmament ? Principalement, du hasard et de l’absurde : « Danse cubiste costumes de Janco, chacun sa grosse caisse sur la tête, bruits, musique nègre/trabagea bonoooooooo oooooo/5 expériences littéraires : Tzara en frac explique devant le rideau, sec et sobre pour les animaux, la nouvelle esthétique : poème, gymnastique, concert de voyelles, poème bruitiste, poème statique arrangement chimique des notions… nouvelle interprétation, la folie subjective des artères, la danse du cœur sur les incendies et l’acrobatie des spectateurs. De nouveaux cris, la grosse caisse, piano et canons impuissants, on se déchire les costumes de carton […] ». Ainsi, Tzara (ibid.) décrivait-il la soirée du 14 juillet 1916, à Zurich, témoignant de la joyeuse et furieuse cacophonie qui régnait lors de ces événements. Au Cabaret Voltaire puis, dans d’autres lieux zurichois, les dadaïstes investissent toutes les formes d’art et organisent de nombreuses soirées transdisciplinaires où les artistes se plaisent à exécuter des « happenings » avant la lettre devant le public, explorant la part de hasard qu’amène l’art de la performance. Ces représentations empruntaient souvent leurs formes au théâtre populaire, au cabaret, au music-hall et aux arts du cirque, s’attaquant à la notion même de l’art et remettant en cause les canons artistiques ayant cours jusqu’alors. Bruitages, rythmique des percussions, chahut et interpellation du public étaient omniprésents. Dans ce cadre, les références extra-occidentales étaient fréquemment convoquées : « poèmes nègres », danses et costumes inspirés d’autres cultures…
Marcel Janco (1895-1984), « Masque », 1919. Assemblage, papiers collés, fibres de bois, retouches pastel et gouache. H. : 45 cm. © Centre Pompidou, Musée national d’art moderne, Paris. Inv. AM 1221 OA. Don de l’artiste, 1967.
Marcel Janco connaissait Tzara depuis le lycée où tous deux collaboraient à une revue littéraire. Ils se retrouvèrent, en 1915, à Zurich, où Janco s’était réfugié, un an plus tôt, avec son frère Georges, pour entreprendre des études d’architecture. Il sera le décorateur des spectacles qui se jouent au cabaret, fabriquant pour ces événements des masques et des costumes. Les masques, confectionnés à partir de bouts de cartons, de journaux, de fil de fer et de ficelles, furent portés par les lecteurs de manifestes et de poèmes simultanés, comme par les danseurs du chorégraphe Rudolf von Laban, dont l’école était située en face du cabaret. Ces œuvres grotesques, aux traits exagérés, ouvraient le chemin au théâtre d’inspiration dada, et étaient particulièrement prisées par Ball pour l’effet choc qu’elles produisaient. La réputation de ces masques traversera l’océan, allant jusqu’à inspirer le peintre et créateur de marionnettes mexicain Germán Cueto, quelques décennies plus tard. Fidèle ami de Tzara jusqu’à la fin de sa vie, une grande part de l’œuvre de Janco aura été d’illustrer les bulletins, manifestes, revues et tracts de Dada avec de nombreuses gravures sur bois. Emmy Hennings façonne des poupées dada avec lesquelles elle se produit sur scène.
Photographe inconnu, Sophie Taeuber-Arp dansant dans un costume « cubiste », Zurich, 1916-1917 ? © Fondation Arp, Clamart.
Hans Arp (1886-1966), collage, 1920. Huile, gouache, encre et collage. Dim. : 34,5 x 29,5 cm. © Galerie Natalie Seroussi. ADAGP, Paris 2017. Paris. Photo Patrice Schmidt.
Enfin, sur le plan littéraire, Ball, Huelsenbeck ou Tzara s’inspirent de textes africains et océaniens pour composer et lire sur scène des poèmes phonétiques expérimentaux. Le refus d’un programme défini par Dada et l’absence totale d’idées préconçues conféra au mouvement, dès le début, une « force explosive qui lui a permis de s’épanouir dans toutes les directions », selon l’expression de Richter. Mais, si la notion d’éclatement rentre ici en jeu, le concept d’alchimie, la combinaison et le mélange intime de plusieurs éléments hétéroclites vont aussi jouer un rôle, qu’il s’agisse des arts extra-occidentaux mêlés à des références européennes ou encore de la redéfinition des rôles du féminin et du masculin, notamment à travers la formation de couples d’artistes.
Sophie Taeuber-Arp dans son atelier avec Hans Arp.                                    Photo anonyme, vers 1922.
Sophie Taeuber-Arp et Hans Arp explorent différents médiums et réalisent ainsi de nombreux collages, peintures et broderies à caractère géométrique tendant vers l’abstraction et rappelant des sources extra-occidentales. Grâce à elle, l’expérience artistique du dadaïsme s’enrichit de son expérimentation dans les arts de la scène — elle exécutera un théâtre de marionnettes pour une pièce de Carlo Gozzi, Le Roi–Cerf, en 1918 —, mais aussi dans le textile et dans la sculpture. Ses œuvres, empreintes d’une certaine rigueur géométrique à laquelle s’ajoutent les jeux du hasard et l’effacement de toute sensibilité personnelle, marquent la tendance du dadaïsme zurichois proche du constructivisme. Les collages et les assemblages de Hannah Höch et de Raoul Hausmann ont été, pour la plupart, conçus dans le Berlin des années 1920.
Hannah Höch (1889-1978), sans titre (série des “Aus einem ethnographischen Museum VIII Denkmal I”), 1924-1928. Collage sur carton. Dim. : 20,1 × 8,8 cm. © Berlinische Galerie, erworben aus Mitteln der Stiftung DKLB und aus Mitteln des Senators für Wissenschaft und Kunst, Berlin 1973. Photo Anja Elisabeth Witte.
Pour sa série de collages Aus einem Ethnographischen Museum, Höch détourne et recompose des images tirées de journaux et de magazines de mode, mais aussi de la revue d’avant-garde d’Alfred Flechteim, Der Querschnitt. En peu de temps, le mouvement dadaïste s’étend aux frontières de l’Europe puis, se répercute rapidement dans les grandes capitales culturelles. Sa philosophie provoque et intrigue tout à la fois. Les protagonistes allemands propagent le mouvement à Berlin avec, notamment, la tenue de la célèbre et provocante Dada Messe, en 1920, puis à Hanovre et à Cologne. La scène allemande est alors marquée par des artistes comme George Grosz, les frères Wieland et John Herzfelde, Hannah Höch, Raoul Haussmann, Richard Huelsenbeck ou encore Kurt Schwitters. Schwitters ayant été refusé par Huelsenbeck au club dada berlinois — même s’il était déjà connu par Tzara en 1918 —, décide de créer son propre mouvement, baptisé « Merz ». À Hanovre, Schwitters concilie, dans sa revue Merz, le constructivisme avec Dada, dont il prolonge l’effet au-delà de 1924, avec sa Merzbau, une architecture intérieure faite des rebuts de la société industrielle et urbaine, faisant ainsi entrer la réalité quotidienne dans l’art. Marqués par l’expressionnisme, le cubisme et le futurisme, les dadaïstes allemands inventent le photomontage.
Hannah Höch (1889-1978), sans titre (série des “Aus einem ethnographischen Museum”), 1930. Collage. Dim. : 48,6 × 32,2 cm. Le motif du torse de la déesse khmer Uma provient du magazine Der Querschnitt, octobre 1929, ex-coll. Von der Heydt, Rietberg Museum, Zurich. Höch et son ami Kurt Schwitters visitèrent le National Museum of Ethnology de Leyde en 1926. © Museum für Kunst und Gewerbe Hambourg.
Si les constructivistes russes et les futuristes italiens l’avaient déjà expérimenté, les dadaïstes en exploitent toutes les possibilités expressives. Surnommé le « Dadasophe », Hausmann déclamait des poèmes « bruitistes », composés d’onomatopées et de syllabes, et associait ces sons à une gestuelle appuyée et à l’esthétique de la typographie. Il est également l’un des principaux photomonteurs de la capitale allemande. À ses côtés, Höch, Johan Heartfield et Grosz donnent des versions singulières et diverses du photomontage où prime la dimension polémique. Ces photomontages jouent sur l’effet dynamique de leur composition où les notions de plan et sur l’impact des lettres et des mots disséminés dans l’œuvre comme des slogans, des cris ou des ordres. À New York, l’avant-garde américaine expérimentent, avec l’arrivée d’artistes européens, de nombreuses idées qui insufflent un vent de renouveau à toute une génération. Notamment autour de la figure de Marcel Duchamp et de son ami Francis Picabia qui y débarquent, en 1915, mais aussi de Marius de Zayas ou d’Alfred Stieglitz qui ouvre la Galerie “291” à l’art africain et précolombien en 1914-1915 avec l’exposition « Picasso-Braque » où les œuvres des deux artistes sont montrées à côté d’un reliquaire kota du Gabon et d’objets précolombiens du Mexique. Le peintre, photographe et réalisateur Man Ray est l’un des premiers à se joindre à Duchamp et à Picabia dans leur effort de faire vivre Dada à New-York. Se frottant sans cesse à la critique, notamment dans le cadre de l’exposition de l’œuvre controversée « Fontaine » — un urinoir retourné — de Duchamp, en 1917, les trois artistes sont bien vite forcés de reprendre la route du vieux continent, Man Ray concluant que : « Dada ne peut vivre à New-York ». Cependant, et contre toute attente, entre 1945 et 1957, Dada connaîtra un réel essor à New-York. La fin de la Seconde Guerre mondiale fera ressortir le mouvement et l’avant-garde américaine. Si cette dernière ne se revendique pas exactement de l’idéologie dadaïste, elle y puisera néanmoins plusieurs concepts. Le compositeur John Cage pourrait, par exemple, y avoir tiré son intérêt pour le hasard dans la musique tandis que des plasticiens tels que Jeff Koons et Andy Warhol utiliseront, à leur tour, dans la veine de Duchamp, des objets usuels placés hors contexte, comme une conserve de soupe ou une bouteille de whisky, pour questionner la définition d’œuvre d’art.
Boîte reliquaire, zande, nord de la région Congo, fin XIXe-début XXe siècle. Bois, écorce et raphia. H. : 46 cm. Ex-coll. Han Coray. © Museum Rietberg, Zürich, don du Kunstgewerbemuseum Zürich. Photo Rainer Wolfsberger.
Sophie Taeuber-Arp (1889-1943), poudrier, vers 1918. Bois tourné et peint. Dim. : 29,8 × 16,5 × 16,5 cm. © Aarau, Aargauer Kunsthaus, dépôt d’une collection particulière. Inv. : D S1870. Photo Peter Schälchi.
Ainsi, la décennie 1915-1925 va marquer un changement de paradigme radical dans la perception des arts dits « nègres » sous l’influence de nombreux acteurs et passeurs dans le domaine artistique mais aussi théorique. Certains écrivains, anthropologues et artistes d’avant-garde cherchent désormais à combler la séparation qui avait cours jusqu’alors entre la signification sociale, rituelle et sacrée et la valeur artistique de ces objets. Le mouvement dada, à la suite d’autres artistes de la première décennie du XXe siècle, prône et met en œuvre dans ses créations une nouvelle vision des arts extra-occidentaux en allant puiser à de nombreuses sources. Des textes théoriques essentiels paraissent à cette époque comme Negerplastik (“La sculpture nègre”, Verlag der Weissen Bücher, Leipzig, 1915) de Carl Einstein (1885-1940). Les collections ethnographiques des musées européens sont autant de réservoirs de connaissances, de conceptions et de formes pour les artistes. Aux côtés des musées et des publications qui leur donnent accès à ces objets, certains marchands et collectionneurs jouent également à cette époque un rôle déterminant.
Raoul Hausmann (1886-1971), « OFFEAH », “poème affiche” imprimé sur papier orange contrecollé sur du papier, 1918. Dim. : 47,5 x 65,9 cm. © Berlinische Galerie, erworben aus Haushaltsmitteln der Senatsverwaltung für Kulturelle Angelegenheiten Berlin, 1992. Photo Anja Elisabeth Witte.
Marcel Janco (1895-1984), poster de la « 1re Exposition Dada Cubistes, Art nègre, Galerie Corray », 1917. Papier imprimé. Dim. : 42,5 × 26,4 cm. © Kunsthaus Zürich.
C’est à la galerie Han Corray, en 1917, et pour la toute première fois en Suisse, qu’est présentée une exposition réunissant des productions dadaïstes et africaines dialoguant sans hiérarchie. Cette galerie fut le deuxième lieu zurichois de rencontre et d’exposition du mouvement après la fermeture du Cabaret Voltaire, six mois après son ouverture. Le galeriste et collectionneur parisien Paul Guillaume fournit des œuvres d’art pour cette « Première exposition dada », des tableaux, mais également au moins une sculpture africaine. C’est à cette occasion que des échanges de correspondance ont lieu entre Tzara et Guillaume. La même année, Tzara rédige sa « Note sur l’art nègre » (revue SIC, n° 21-22, Paris, septembre-octobre 1917), où il affirme : « Du noir puisons la lumière ». Les masques de Janco, les costumes de Taeuber et les collages d’Höch, témoignent de ces recherches pour un nouveau langage formel. Mais c’est surtout dans le Paris de l’après-guerre que le mouvement se prolonge, dans les valises de Tzara qui abandonne Zürich, en 1920. Dans la capitale française, des personnalités comme Picabia, Duchamp, Jean-Joseph Crotti, André Breton, Louis Aragon et Man Ray participent à son développement. Picabia, Man Ray et Tzara se lient d’amitié — parfois éphémère — avec Breton, Paul Éluard et Aragon. En définissant Dada d’« Entrelacement des contraires et de toutes les contradictions » dans son manifeste (revue Dada3, Zurich, décembre 1918), Tzara soulignait combien le mouvement refusait tout dessein préétabli. À la suite des dadaïstes qui avaient ouvert une voie dans l’appropriation de ces objets, à Paris, les cercles surréalistes — Breton, Man Ray, Max Ernst… — développent un intérêt pour ces arts par le biais de collections, de voyages et d’une appropriation de formes dans leurs œuvres. « L’œil existe à l’état sauvage », c’est par cette expression que Breton ouvre Le Surréalisme et la peinture, en 1928 (N.R.F., Paris). Cette phrase à valeur programmatique, donnant à la vision une prééminence sur le langage, éclaire aussi les liens que le chef de file du surréalisme dessine avec le primitivisme et les arts extra-occidentaux. En 1924, les membres du mouvement dada à Paris proclament leur adhésion au surréalisme sous la houlette de Breton. Avec lui, Aragon, Philippe Soupault et Éluard s’engagent alors dans l’aventure. Les débuts du groupe sont marqués par un intérêt essentiellement littéraire qui s’ouvre cependant rapidement à d’autres formes d’art accueillant ainsi Man Ray, Max Ernst, Picabia et André Masson entre autres. Ces personnalités se réunissent autour d’une culture éclectique faisant appel à de nombreuses références philosophiques, anthropologiques, psychanalytiques ou encore politiques. L’exploration du rêve et de l’inconscient, popularisée par les écrits de Frazer, Lévy-Bruhl, Freud ou Bergson oriente les protagonistes du groupe vers la recherche de structures primordiales chez l’homme. En outre, le mythe de l’artiste-magicien évoqué dansTotem et tabou, publié par Freud, en 1913, forge également chez les surréalistes une idée renouvelée de la création où les œuvres dites « primitives » se voient réévaluées. Dans ce cadre théorique foisonnant et à la suite des dadaïstes qui avaient ouvert une voie dans l’appropriation de ces objets, l’intérêt pour ces arts va prendre de multiples formes, de l’influence plastique revendiquée, à la collection ou la monstration de ces objets. Ainsi, sous l’impulsion de Breton, Dada glissa progressivement vers le surréalisme dans lequel il finit par se dissoudre. Breton écrira plus tard, dans Les Pas Perdus(N.R.F, Paris, 1924, p. 124) : « Dada, bien qu’il eût eu, comme on dit, son heure de célébrité, laissa peu de regrets : à la longue, son omnipotence et sa tyrannie l’avaient rendu insupportable. […] Dieu merci, notre époque est moins avilie qu’on veut le dire : Picabia, Duchamp, Picasso nous restent. Je vous serre les mains, Louis Aragon, Paul Éluard, Philippe Soupault, mes chers amis de toujours. Vous souvenez-vous de Guillaume Apollinaire et de Pierre Reverdy ? […] Il ne sera pas dit que le dadaïsme aura servi à autre chose qu’à nous maintenir dans cet état de disponibilité parfaite où nous sommes et dont maintenant nous allons nous éloigner avec lucidité vers ce qui nous réclame. »
Sophie Taeuber-Arp (1889-1943), « Portrait de Hans Arp », 1917. Bois sculpté et peint. H. : 24 cm. © Collection privée.
Sophie Taeuber-Arp (1889-1943), « Composition verticale-horizontale », 1918. Tapisserie de laine. Dim. : 81 x 117 cm. © Remagen, Arp Museum Bahnhof Rolandseck. Photo Mick Vincenz.
En 1921, avant même que ce groupe tapageur n’ait pu connaître une deuxième saison à Paris, des conflits internes apparurent et créèrent de sérieuses dissensions au sein des dadaïstes. Sa dislocation aurait eu lieu le 13 mai 1921, le jour du procès fictif de Maurice Barrès, accusé de « crime contre la sûreté de l’esprit ». La soirée — il s’agira de la dernière manifestation dadaïste parisienne —, annoncée dans la presse, eut lieu à la Salle des sociétés savantes. L’idée du procès de l’écrivain nationaliste et antidreyfusard incomba à Breton et à Aragon, qui jouèrent l’un, le rôle de président du tribunal, l’autre le rôle de la défense. Picabia, présent dans la salle, quitta bruyamment le procès avant son terme pour montrer son désaccord, entraînant avec lui une partie de l’assistance. Pour la plupart des commentateurs, le « procès Barrès » fut un échec qui devait signer l’implosion de Dada. S’en résulta un soulèvement au cours duquel les fondateurs du mouvement, Tzara en tête, se rebellèrent et crièrent haut et fort leur haine de la justice, même si organisée par Dada. Cette situation est intolérable aux yeux de Picabia qui se sépare des dadaïstes, en particulier de Tzara et de Breton. Ainsi s’amorça la rupture des relations entre Tzara et Breton et la transformation du dadaïsme en surréalisme. En Belgique, au printemps 1921, Clément Pansaers — peintre, graveur, sculpteur et poète, principal représentant du mouvement dada en Belgique — se brouille avec la plupart des dadaïstes parisiens, leur reprochant de ne pas radicaliser le mouvement. Il quitte celui-ci, lors d’un dîner, le 25 avril 1921. Son ami le peintre Picabia lui emboîte le pas avec un article publié dans le journal Comœdia, le 11 mai, « Picabia contre Dada ou le retour à la raison ». C’est alors que Paul Neuhuys, fondateur de Ça ira— revue mensuelle d’art et de critique anversoise (1921-1923), dirigée par Georges Marlier —, lui confie l’élaboration du numéro 16 (novembre 1921), entièrement consacré à « Dada, sa naissance, sa vie, sa mort ». Dans le supplément illustré de 391(Paris, 10 juillet 1921), « Le Pilhaou-Thibaou », il les attaque violemment et dénonce : « […] la médiocrité de leurs idées maintenant conformistes ». Dans ses adieux, Picabia répète que : « L’esprit dada n’a vraiment existé qu’entre 1913 et 1918… En voulant se prolonger, Dada s’est enfermé en lui-même… ». Cependant, pour certains, seules les dates des décès des différents dadaïstes peuvent correspondre à la véritable mort du mouvement.
Statuette magique nkisi nkondi, Vili, Loango, République Démocratique du Congo. Bois, métal, verre, textile, fibres végétales, pigments, résine, matières organiques. H. : 63,5 cm. Collectée par Joseph Cholet en 1982. © Paris, Musée du Quai Branly-Jacques Chirac. RMN-Grand Palais. Photo Michel Urtado/Thierry Olivier.
Raoul Hausmann (1886-1971), « Mechanischer Kopf – Der Geist Unserer Zeit (Tête mécanique – L’esprit de notre temps, l’esprit de chacun dans son état rudimentaire) », 1919. Marotte de coiffeur en bois et divers objets fixés dessus : gobelet télescopique, étui en cuir, tuyau de pipe, carton blanc portant le chiffre 22, morceau de mètre de couturière, double décimètre, rouage de montre et rouleau de caractère d’imprimerie. Inscriptions : MO. côté droit : RH. Dim. : 32,5 x 21 x 20 cm. Achat, 1974. Inv. : AM 1974-6. © Service de la documentation photographique du MNAM – Centre Pompidou, MNAM-CCI /Dist. RMN-GP. © Adagp, Paris.
Ce qui commença comme un élan de protestation contre l’hypocrisie de tout système créé par l’homme, tragiquement illustré par la Première Guerre mondiale, devint lui-même un système. Malgré tout, Dada laisse un héritage considérable et ce, malgré son mépris pour les conventions du monde de l’art. Même si les artistes dada ont prôné l’anti-art, leurs œuvres ont ouvert de nouvelles brèches dans lesquelles se sont engouffrés de nombreux artistes. À l’encontre de l’interprétation qui le caractérise comme un courant de destruction et de négation des anciennes valeurs, réduit au seul rôle de précurseur du Surréalisme, Dada restera comme l’un des mouvements les plus marquants de l’avant-garde historique.
dada Africa – Sources et influences extra-occidentales : Rietberg Museum, Zurich, 18 mars-17 juillet 2016 / Musée de l’Orangerie, Paris, 18 octobre 2017-19 février 2018.
 DADA AFRICA-Sources et influences extra-occidentales : publié en français par Cécile Debray, Cécile Girardeau et Valérie Loth. Format : 224 pp., 17 x 24 cm. Coédition : Musée de l’Orangerie/Hazan. Relié : 32 €. ISBN : 9782754110389.
dada Africa – Dialogue with the Other : publié en anglais par Ralf Burmeister, Michaela Oberhofer et Esther Tisa Francini. 244 pp., 23,5 x 28,5 cm. et plus de 200 ill. Éditions Scheidegger & Spiess. Relié : 39 CHF. ISBN 978-3-85881-779-2.
Hannah Höch (1889-1978), sans titre (série des “Aus einem ethnographischen Museum”), 1929. Collage. Dim. : 32,1 x 48,6 cm. Le motif du pendentif pende (ex-coll. Von der Heydt, Museum Rietberg, Zurich) provient du magazine Der Querschnitt, n° 10, octobre 1929, pp. 40-41. © Museum für Kunst und Gewerbe Hambourg.
Hannah Höch (1889-1978), sans titre (série des “Aus einem ethnographischen Museum X”), 1929. Collage et aquarelle sur papier marouflé. La tête du personnage de gauche, un joueur de football américain, provient du Berliner Illustrirte Zeitung 7 novembre 1926. Dim. : 27,5 x 18,5 cm. © Paris, Galerie Natalie Seroussi. © Adagp, Paris 2017.
« dada Africa – Sources et influences extra-occidentales » Héritée de querelles séculaires, la « Grande Guerre » 1914-1918 voit couler le sang des hommes et la remise en cause de leurs sociétés et de leurs idéaux.
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