Tumgik
musemoderne-blog · 10 years
Photo
Tumblr media
" A lie gets halfway around the world before the truth has a chance to get its pants on. " - Winston Churchill
  Quand une série te fait connaître une citation qui fait bien du sens...
3 notes · View notes
musemoderne-blog · 10 years
Text
Toi qui as fait en sorte qu'il s'énerve le clavier pour écrire des mots doux "qui veulent rien dire"
Je bouillais de gauche à droite en me faisant aller curseur de haut en bas sur ta page Facebook.
Je regardais ta photo que tu venais de changer. Un beau cliché vraiment cliché en noir et blanc ou en sépia. J'aurais pu te parler de filtres Instagram aussi, mais en ce moment...
J'en profite pour faire un tour dans le passé et faire défiler les dernières fois où tu as regardé une photo en te trouvant à ton goût parce qu'on se le dise, ta photo de profil, c'est la photo qui te rend fier.
J'essayais de me calmer, mais je revenais toujours sur tes deux dernières photos... et leurs commentaires respectifs.
Toi, en soi, j'en ai rien à faire, mais que ça vienne de cette personne là et que ce soit écrit sous ta propre photo... HA! ben là!
Je te déteste pas. Je te connais pas. Mais je t'aime pas. 
C'est d'ailleurs surement pour ça que je regarde ta nouvelle photo de profil en articulant un charmant : "SLUT-TE!"
1 note · View note
musemoderne-blog · 11 years
Text
Une photo
Et puis, d'abord, ce n'est qu'une photo...
Même pas récente, elle me hante. Elle est toujours là. C'est un profil; une image. C'est le véhicule d'émotions profondes qui m'emporte et me brûle. Je ne te connaissais que sur papier au moment où ton visage a été immortalisé. Une photo quelconque lors d'une soirée banale.
Ce n'est pas une belle photo. C'est un portrait maladroit qui ne partage rien. Ce n'est que ton visage.
Un visage dur que je connais doux.
Un visage fort que je connais vulnérable.
Un visage masqué que je connais dévoilé. 
Ce n'est qu'une photo de toi...
2 notes · View notes
musemoderne-blog · 11 years
Photo
Tumblr media
Personne n'est jeune après quarante ans mais on peut être irrésistible à tout âge. - Coco Chanel
0 notes
musemoderne-blog · 11 years
Text
Vendredi... encore.
C'est vendredi.
Je regarde mes anciens amours pendant que le chat chasse le curseur sur l'écran. Je ne suis pas nostalgique de ces années pas si lointaines, mais peut-être que oui et, d'abord, la nostalgie, moi, j'aime. Je voyage à travers les années que les autres ont laissées dans leur journal intime du Web même s'ils croient tous que plus personne ne regarde le passé puisque même eux, ils s'en foutent.
En fait, c'est vendredi et je n'ai pas grand chose à faire.
J'ai déjà écouté tous les documentaires de Netflix même si je les ai surtout mis comme trame de fond parce que le silence, j'ai de la difficulté. J'ai déjà commencé chacun des livres de ma bibliothèque, mais les terminer, c'est une autre histoire. Je me retrouve avec le vide de mon appartement et le chat s'est mis à chasser mon élastique à cheveux.
Je suis chez moi et c'est vendredi.
Plus haut, je parlais de nostalgie. Ce n'est pas un sentiment désagréable sauf dans les moments comme maintenant qui avancent lentement même si on souhaiterait qu'ils passent en un coup de vent, eux, ils préfèrent prendre leur temps. Être nostalgique oui, mais pas à la croisée des chemins, que le demain est loin et que le aujourd'hui est plus pénible que le hier, parce que dans le fond, hier c'était bien mieux.
C'est long et on est toujours vendredi.
Je n'attends pas que le divertissement vienne des autres. J'attends qu'il revienne me voir comme avant. Je n'ai jamais attendu après les autres parce qu'on aura beau se dessiner des tableaux, mais ce n'est pas vrai qu'on est tous prêts en même temps. J'attends mon temps et il prend son temps. Je suis patiente et j'attends. 
Il est minuit. Bonne nuit vendredi.
1 note · View note
musemoderne-blog · 11 years
Text
Quand Internet et Macintosh ne se parlent plus...
J'étais là à écrire un texte sur une plateforme qui avait du mal à rejoindre l'Internet et qui faisait semblant de ne rien entendre même si le wi-fi indiquait qu'il était bien chez lui, même s'il disait que non.
Mon ordinateur se fâchait et jouait à celui qui était le moins rapide : lui ou le fameux Internet. Internet avec ou sans "s" offrait à mon cher Macintosh un service de connexion qui rappelait celui du temps ou je m'amusais à mordre mon sofa pour faire tomber mes dents et ainsi devenir riche grâce une fée ou ma mère.
C'est grâce à la coopération médiocre de l'Internet que j'ai fait ce que tous font et j'ai appelé le monsieur ou la madame qui exauce les voeux et oblige l'Internet à revenir dans le droit chemin.
Mon petit monsieur (parce qu'à l'autre bout du fil, tous les monsieurs sont petits), a expliqué une série de mouvements chorégraphiques que nous avons dûment faire pour que l'Internet revienne sur sa décision de ne pas répondre à l'appel. Il fallait attendre que la lumière remonte d'en bas. En bas, où ça? Je cherche encore il est où le en bas de la lumière. De toute façon, ça ne remontait pas et le monsieur de petite taille s'est énervé parce que je ne pouvais plus lui parler à cause de l'acrobatie que j'exécutais pour enfin atteindre la petite boîte qui négociait avec Internet.
Cette lutte de pouvoir entre l'Internet, le petit monsieur, Macintosh et moi ne s'est pas terminé comme je l'aurais aimé... Tout fonctionne et tout le monde s'aime, mais aujourd'hui qui est le demain d'hier, ça ne fonctionne toujours pas...
0 notes
musemoderne-blog · 11 years
Text
5 à 7
So... Il y a eu cette soirée où je me suis retrouvé dans un 5 à 7 improvisé où tous ceux qui étaient présents étaient déjà connectés grâce aux trucs sur le Web. Et, il y avait moi qui connaissais tout le monde et qui faisais semblant de connaître personne, parce que c'est comme ça qu'ils font les gens des 5 à 7. Il y avait aussi la vedette; le gars que tout le monde connait, mais que, moi, je connaissais seulement sous son nom instagram.
C'était ça mon 5 à 7.
Moi, sans emploi qui balbutiais n'importe quoi parce que, dans le fond, quand on te connait pas, on te demande qui tu es ... et, dans les 5 à 7, on te parle de ton travail et de tes ambitions et moi j'étais mélangée alors j'ai fait dure comme la roche. Et puis là les filles et les gars et les gars et les gars et les filles et filles s'échangent des clins d'oeil, des sourires... Ça s'échange des belles paroles et des beaux mots. Et, ça se percute à grands coups de gin & tonic. Des fois, ça se touche, mais ça fait comme si non.
On revient à moi qui s'étourdie avec les mots des gens du milieu, avec les visages et les sourires de ceux qui ont créé les réseaux ou le fame (c'est comme ça qu'ils disent les gens pas célèbres qui le sont quand même). La gêne s'en va tôt, c'est pas une fêtarde. Et, de toute façon, les gens sont gentils. J'oublie un peu que je suis avec des futurs peut-être un jour collègues... Ils oublient aussi... Ensemble, on oublie l'esprit du 5 à 7 et on fait comme si ça se pouvait qu'on ait pas réellement vu qu'il était déjà 22:00... Et, on commande un autre verre, un simple cette fois... Les autres, ils travaillent demain.
Il est 23:00... On rentre chez soi. Ouin, chez soi genre...
0 notes
musemoderne-blog · 11 years
Photo
Tumblr media
Please.
0 notes
musemoderne-blog · 11 years
Text
J'ose le WTF.
Comme tous les jeunes idéalistes inconscients, j'avais voté oui à la grève en février dernier. Honnêtement, c'était le meilleur package deal pour un burn out de qualité. Oui, j'ai fini mon Bacc. à un cours près... Mais, afin de profiter abondemment de mon statut d'étudiante, je me suis également inscrite à un certificat à distance pour être bien certaine de ne pas échapper à une dépression exemplaire!
Déjà, me voilà avec 6 cours bien rempli de lectures inutiles, d'exercices qui ne font aucun sens et de profs (chargés de cours) condescendants... Mais, Ô, quelle erreur que de croire que je n'ai que ça à mon horaire. J'ai également un cours qui fait office d'épreuve synthèse. En gros, c'est LE cours qui permet d'obtenir ton bacc. en ajoutant 3 crédits aux 87 précédents. C'est également LE cours qui n'a aucunement sa place dans un bacc. disciplinaire. Expliquez-moi, quelqu'un, pourquoi les épreuves synthèses ne sont pas réservées aux bacc. techniques; ceux qui s'en vont pour de vrai conquérir le marché du travail. Je parle des médecins, des dentistes, des professeurs et des autres avec leurs titres professionnels.
Bref...
Je me retrouve avec bien des travaux à finir pour une semaine et il a fallu que le gentil professeur en charge de mon épreuve synthèse m'attribut un échec à mon premier travail. Oui, si j'avais fait aucun effort important pour ce maigre 10%, j'aurais compris. Sauf que!! Et, soulignons ce "SAUF QUE". Je suis aller le voir à mainte reprise pour m'assurer de l'exactitude de ce travail. Je suis aller m'assurer du sujet et, même lors du déroulement, je suis allé vérifier que tout était beau. Sincèrement, il va falloir qu'on m'explique la logique dans le fait de se faire confirmer un sujet pour finalement se faire dire que le sujet n'est pas approprié?! 
C'était mon WTF de la journée.
2 notes · View notes
musemoderne-blog · 11 years
Photo
Tumblr media
Moment tumblr.
0 notes
musemoderne-blog · 11 years
Text
Samedi ou ce soir...
De l’apéro au tartare, et du tartare au resto en passant par l’amoureux pour terminer assise au bar en se léchant les babines pleines de chocolat et de caramel à la moelle… Don’t ask, c’était bon. Un samedi soir relax où tu pars du travail en courant pour te faire inviter à manger un tartare aromatisé de coriandre par la fêtée qui va jusqu’à te desservir ton assiette tellement ses aptitudes d’hôtesse sont développées. Et…. Mon dieu! Quel tartare!!!
J’aurais pu commencer cette phrase avec le “tsé” cliché des pseudo blogueurs canadiens français…. Donc… Tsé, le genre de soirée où parler de ce qui t’inquiète avec quelqu’un qui est passé par là avant toi ne fait que confirmer tes choix en t’expliquent que “un jour, tout le monde va avoir compris y compris toi”.
Pour faire court, c’est un p’tit samedi soir sur la terre qui n’avait aucun rapport avec la chanson de Cabrel, mais qui fait du bien tout de même.
E.
0 notes
musemoderne-blog · 11 years
Text
La Weirdo du Café Art Java
J'ai une nouvelle habitude le vendredi avant-midi. Je me rends au café Art Java rue Mont-Royal pour étudier comme une bonne élève... la maîtrise qui approche, je n'ai pas vraiment le choix. Enfin, bref...
Comme tous les cafés, le Art Java a son lot d'habitués. Ai-je besoin de répéter qu'il s'agit de celui de la rue Mont-Royal? Oubliez ça les étudiants chill wave de l'UQAM! Au café Art Java rue Mont-Royal, c'est des chemises à carreaux et des foulards assortis qui habillent vos voisins de table. Ma table préférée, c'est celle à côté du mur de briques face à la fenêtre. C'est chaleureux, la brique!
Donc, c'est ça! Je suis coincée à la meilleure table à côté de la weirdo du Art Java. Elle n'a pas les cheveux en bataille et elle ne sent pas le patchouli... Elle fait simplement parler à tout le monde! Heu... Sociable, oui, mais là! Sans exception, j'ai toujours l'air d'être la seule personne qu'elle ne connait pas. Elle parle à toutes les personnes présentes dans le café sans jamais quitter son siège! Résultat: je connais pas mal sa vie au complet. Elle a sa propre entreprise... un truc qui lui permettrait d'engager des gens à l'international. Son iPhone est en réparation. Elle vient de quitter Facebook. Elle ne boit jamais de thé parfumé. Elle ne mange jamais sucré, mais aujourd'hui elle se gâte un strudel. Elle a agite toujours la jambe. Elle finit toujours ses conversations du Art Java avec : "Bon, il faudrait bien que je travaille!" Puis elle se tourne vers un autre voisin de table pour entamer une nouvelle conversation!
Mais bon... Pour elle, la weirdo du Art Java rue Mont-Royal, ça doit être moi... La fille qui ne parle pas, qui écrit et qui la dévisage un peu trop!
0 notes
musemoderne-blog · 12 years
Photo
Tumblr media
Baz Luhrmann - Wear sunscreen
" Don’t be reckless with other people’s hearts, don’t put up with people who are reckless with yours. Floss Don’t waste your time on jealousy; sometimes you’re ahead, sometimes you’re behind…the race is long, and in the end, it’s only with yourself. " 
2 notes · View notes
musemoderne-blog · 12 years
Text
Madame la Professeur.
Chère Madame la Professeur,
Ô, mais que dis-je, Madame la chargée de cours. Oui, avec un "c" minuscule. Lors de cette session incroyable où vous avez forcez une classe entière à se rebeller contre le mouvement étudiant et ainsi travailler avec acharnement sur nos projets pour lesquels vous aviez plus ou moins de considération, vous avez été d'une aide essentiellement déplorable. 
D'abord, c'était déjà un défi en soi que de réaliser un travail avec des étudiants aux opinions, ambitions et compétences divergentes. Cependant, je ne saurais à quel point vous remercier de nous avoir imposé un être particulièrement singulier afin qu'il complète notre équipe déjà vouée à l'échec. L'imposition était sournoise et je vous en félicite! Toutefois, était-il  vraiment nécessaire de nous imposer également le partage des résultats obtenus pour des travaux auxquels il n'avait en aucun cas participé? Je sais... Vous vous dîtes que de toute manière, nous n'étions que deux ou trois à travailler dans l'équipe et que un de plus ou de moins qui ne fait rien, ça n'allait rien changer. 
Je savoure encore les courriels de panique que je vous ai envoyés et qui sont demeurés sans réponse. Vous vous souvenez de la fois où vous nous aviez dit en classe que vous pouviez nous trouver un fournisseur? Et, lorsque nous vous avons appelé pour avoir ses coordonnées, vous nous avez rappelé trois semaines plus tard pour nous dire qu'il était trop tard. Il ne restait que deux jours avant notre événement et, vous savez quoi, on s'en doutait qu'il était trop tard. Enfin! Qu'est-ce qu'on a rit à cette fois là!
Mais le moment qui va me rappeler votre douceur et votre gentillesse sera celui que nous avons eu ce soir. Alors que vous fonciez vers la classe les mains chargées, je vous ai gentiment ouvert la porte. Vous n'avez pas attendu que je me dégage de l'entrée et vous m'avez plaqué en souriant contre le mur. Pour conclure ce moment de grande complicité élève-enseignante, je suis venu vous posez une toute petite question. Je ne vous témoignerai jamais assez de reconnaissance pour n'avoir même pas détourné la tête pour me répondre. 
Merci encore Madame la Professeur et j'espère que vous ne serez en aucun cas clémente lors de la correction du travail final.
Une élève au bout du rouleau grâce à vous.
2 notes · View notes
musemoderne-blog · 12 years
Photo
Tumblr media
Ce soir, c'était l'A.G. de l'Afelc... Un soulagement amer.
" Once you hear the details of victory, it is hard to distinguish it from a defeat. "
Jean-Paul Sartre
1 note · View note
musemoderne-blog · 12 years
Photo
Tumblr media
"A life spent making mistakes is not only more honorable, but more useful than a life spent doing nothing." - George Bernard Shaw
2 notes · View notes
musemoderne-blog · 12 years
Text
Parce que ils existent ces gens là!
"Un soupir. Encore un soupir...
En fait, c'est un soupir qui veut tout dire. Exprimant la nostalgie d'un passé pas si lointain et d'un futur plutôt incertain, j'ai lâché un soupir. J'ai soupirer pendant une bonne seconde et demi pour faire comprendre à mon auditoire composé généralement d'une simple et unique personne mon exaspération profonde pour les gens de mon espèce. Je serais très, vraiment, incommensurablement et tous les adverbes du monde imbue de ma frêle personne pour considérer ce type de personne comme faisant partie de la race humaine. Non! Les gens de mon espèce sont plutôt du type rationnels insatisfaits. Pour faire court, ce sont des rêveurs qui règlementent les ambitions pour lesquelles ils aspirent.
Bonjour! Oui, je suis meilleure que toi. Moi, je ne pleure jamais. La peine et la misère sont des états d'esprit réservés aux moins nantis. Non pas 
que je fasse partie des personnes fortunés, mais je considère mon esprit comme étant une richesse inouïe et inimaginable. Moi, personne intelligente V.S. toi être faible. 
Malgré tout, je garde les pieds sur terre et j'aide mon prochain. Je crois fermement au paradis et je prie Dieu autant que possible. Chaque jour, j'emmène une bière à l'ivrogne au coin de la rue. Chaque soir, agenouillé devant mon lit, je lui demande une augmentation de salaire.
Dans la vie, j'ai décidé d'acheter mon ciel. C'est plus facile que de le gagner! Pas tout à fait ce que prônait Gandhi..."
1 note · View note