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#viv la révolution
cescalr · 1 year
Note
For the WIP ask meme, "Percy Rebels And Shit AU; last year, nodus tollens, outline (2022)"
Ok, so;
Percy Rebels And Shit AU is a collab fic series idea between me and @vivithefolle, set in a No Boy Who Lived AU of Harry Potter, where Harry himself was never born. It's in it's early stages, mostly of planning and brainstorming. But as you can tell by the title, it focuses less on Harry, you know, not existing, and more on the ramifications of Ginny's first year at Hogwarts without him.
As in, nobody with parsletongue hanging around to open the chamber.
We open at the close; the start of the fic is set post this alternate year two, wherein Ginny succumbs, Neville and Ron are memory botched by Lockheart, and Dumbledore is scrambling with his allies to combat the fact there are now two whole voldemorts wandering around.
Our focal character is Percy Weasley, because the main actual premise of this fic outside the like, setting exposition, is that Percy gets disillusioned with the Wizarding World status quo and ends up radicalised by a group of disestablishment-minded individuals - an awkward collection of people from all sides of ww political spectrums only weakly held together by the singular goal of removing the acting government. Some of them are total anarchists, some of them are blood purists, some of them are ww liberal, some of them are statute abolitionists, etc etc.
In a sense, PRAU is a combination of standard HP AU trope ideas (no/wrong boy who lived, voldemort returns early, rebellion against the corrupt ministry, etc) and sort of... twists them 180 to the left. Squints at 'em and interrogates them. Looks at them and says, okay, but what would that actually entail?
But it's not cynical.
The problem i have with most of these AUs is not how edgy they get, though that's kind of the point - a darker take - it's how little faith they have in our protagonists. The Weasley family always gets the short end of the stick, and I don't think that's fair. Me and viv are especially sour on the treatment of Ron, as prominent and loud members of his Defense Squad, lol. The collab part comes in that i'm godawful at writing the kind of... well, almost slice-of-life-esque stuff needed for the non-percy side of things; Viv is the primary writer for Ron's side of the story, while I'm doing Percy. Ron's side of the story is more about the hope, the humanity - sure, Harry might not be here, but he's not the be-all end-all. He's just one guy. There's a whole society of people who wouldn't put up with Voldemort's shit knocking around to lob his head of, you know? Vive la révolution, and all. Just 'cause Harry never existed doesn't mean all hope is lost. Just because Percy starts down a bad path doesn't mean he has to end that way. Just because Lockheart fucked over Ron and Neville doesn't mean they're useless now they've got memory problems - they're people. And where there's people, there's always hope. I don't know. I just don't like how.... pessimistic a lot of WBL/NBL AUs are. It seems antithetical to the point of the whole thing.
obviously the entire outline is unshareable for spoiler reasons, but as for 'last year' and 'nodus tollens';
last year - currently the only actually written part. It contains what will probably end up being the summary on ao3, if/when we get this finished enough to post it;
'Last year, Voldemort returned, in the form of Percy's defence professor. This year, Voldemort returned, in the form of his little sister. And yet, the Ministry does nothing.' When family members die, it can start you down a path there’s no returning from. Percy Weasley knows this better than most.
As for Nodus Tollens....
Nodus Tollens: “The feeling that the plot of your life doesn’t make sense any more.”
In your life, there are many choices you can make. These choices range from what you’ll eat for breakfast that morning, whether you’ll wear black or teal-tinged black or maybe even silver-tinged black that day, whether you’ll re-read your favourite book or find a new one in the library, whether you’ll talk with Mother or go on a mission or, as it stands right now, whether you will live, or whether you will die. Regulus has this choice, and he must make it.
>;).
(As you can probably tell, there's A Lot going on here - and a lot that will have to go into it before it's anywhere near ready to share. This'll be a slow one, and likely won't show up properly for a while yet.)
thank u very much for the ask!
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Pauvres Créatures, une incontrôlable ode à la singularité et à la vie
TRIGGER WARNING : mention de suicide, tentative de suicide, décès, pédocriminalité, violences psychologiques 
 Ce ne sont pas vos parents qui vous ont rêvé: c'est vous. Je ne fais que vous inciter à poursuivre le rêve que vous avez commencé. Car rêver n'est pas irresponsable: c'est une activité humaine de premier ordre. Ce n'est pas du divertissement: c'est du travail. Quand Martin Luther King a dit : "Je fais un rêve.", il ne jouait pas, il était sérieux. Quand il l'a imaginé, visualisé, créé dans son propre esprit, ce rêve a commencé à exister, et nous aussi devons faire ce rêve, afin de lui donner le poids, l'étendue de la longévité qu'il mérite. Ne laissez personne, personne, vous persuadez que le monde est ainsi fait et que, par conséquent, c'est ainsi qu'il doit être. 
Toni Morrisson
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Le personnage principal de Pauvres Créatures n’est que l’immense entité des mots emplies d’une sagesse sans nom si ce n’est celui de Bella Baxter. L’impressionnante et singulière Emma Stone incarne une femme Frankenstein, au long cheveux noirs typique de l’image de sorcière et au regard sans filtre sur un monde capitaliste et patriarcal. Le personnage de Emma Stone se suicide avec un bébé dans son ventre. God, le renommé scientifique, la retrouve. Il lui donne le cerveau du bébé et la ramène à la vie. Bella Baxter grandit et évolue à une vitesse exponentielle. Dans sa quête de vie, elle cherche à comprendre la vie, puis qui elle est, qui elle a été et enfin qui elle choisit d’être. Des hommes, certains scientifiques, d’autres simplement de riches “séducteurs” cherche à lui entraver, son chemin. 
Je suis allée voir ce film avec hâte car j’ai adoré le discours de Emma Stone. Golden Globe à la main, elle explique que ce film est une romcom. Bella tombe amoureuse de la vie elle-même, elle accepte le bien, comme le mal, et que ce film l’a fait penser différemment. Je ne sais pas pour vous, mais j'ai sérieusement besoin de voir la vie avec un souffle que j’ai peut-être un peu perdu. J’ai besoin de dépoussiérer, revenir à l’essentiel, revenir à la vie. 
Dans ce film, l’homme cisgenre cherche à contrôler l’incontrôlable : la vie des femmes et des minorités de genre, la vie elle-même. J’ai eu très peur à plusieurs reprises. Bella qui souhaite sortir et ce qui s’apparente comme son père God l’en empêche, son séjour au Portugal avec Duncan Wedderbun, un autre séjour qui était une manière de l'emprisonner sur un bateau par le même personnage, le moment où elle se marie presque… La grande souffrance pour ma part a été le séjour chez son ex-mari, qui ressemblait à un ticket pour l’enfer. Bella s’en sort à chaque fois comme la cheffe et l’esprit qu’elle est, et continue la quête qu’elle a choisi vaillamment de suivre : celle de la vie. Ce personnage à la fois excentrique et simple, met en pratique les mots de Gloria Steinem : 
L’estime de soi et l’excellence ne trouvent pas leur source dans la compétition, mais dans l’envie d’apprendre et de repousser nos limites, dans la satisfaction à réaliser une tâche, dans le plaisir de coopérer avec les autres dans une appréciation mutuelle, et dans la joie que l’on ressent autant dans le processus de réalisation que dans le résultat obtenu. Au fur et à mesure que chaque personne se parfait elle-même et contribue à toujours plus d’authenticité, un nouveau paradigme émerge : la circularité. Si nous nous pensons comme un cercle, notre objectif sera de le parachever – et non de vaincre autrui. Le progrès se trouve dans la direction que nous n’avons pas encore explorée. (Une révolution intérieure, Gloria Steinem). 
Les hommes cisgenres qui cherchent à contrôler Bella sont une bonne représentation du système qui nous emprisonne.  Le système est si ficelé qu’il paraît difficile de s’en extirper, à juste titre. Et le personnage de Max, avec sa gentillesse et son sourire beunet nous prouve que même avec sympathie, il voit en Bella une femme qui ne peut vivre sans un homme. Le monde serait trop dangereux sans lui pour la protéger. Protéger de quoi ? De qui ? Je vous laisse évidemment penser avec qui Bella connaît des affaires malheureuses. 
L’homme cisgenre dans ce film fait le tour de certains prétextes utilisés pour expliquer cette domination qu’il cherche à avoir sur la femme et les minorités de genre, et la vie elle-même. Prenons la science, par exemple “On sait que, au fil des siècles, les thèses les plus fantaisistes - et les plus oppressives - ont été justifiées par les preuves “évidentes et indiscutables” qu’était censée fournir l’observation de la “nature”.” (Sorcières, Mona Chollet)
Refus de la maternité 
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Elle refuse la maternité à laquelle elle aurait très certainement mis un terme soit par moyen de contraception, soit par une IVG. Je pense à mon cher grand-père qui adore dire - un sourire en coin - qu’il est pro-vie “pour que les femmes choisissent la vie qu’elles souhaitent vivre”. L’ex-mari de Bella, lui dit qu’il la pardonne d’avoir, je cite “tué” leur bébé. Il suffit à Bella de quelques jours pour comprendre pourquoi elle a cherché à se suicider. Elle était mariée à un espèce d’horrible être humain, violent et qui la tient prisonnière. 
J’aimerais parler des critiques que j’ai lu concernant la pédocriminalité. C’est vrai que j’y ai pensé durant le film et après celui-ci. Un cerveau d’enfant dans un corps de femme, et elle couche avec une pluralité d’hommes ? Je vois en fait ce film comme un Frankenstein, et ce qui m’a fait rester dans la salle de cinéma, et rejeter (pour le moment cela se trouve, car comme dit Bella, on croit en quelque chose jusqu’à croire en quelque chose d’autre et ainsi de suite) l’idée que c’est pédocriminel, c’est que Bella évolue et grandit de manière à une vitesse absolue. De plus, elle sait qu’elle est en train de coucher avec quelqu’un, et elle n’est en aucun cas objet. De plus, elle n’a jamais de rapport lorsqu’elle n’en a pas envie (fort heureusement évidemment). J’ai tout de même eu des doutes de manière sérieuse. 
J’ai également lu certaines critiques concernant la concentration sur le sexe. Tout d’abord, il est rare je trouve de voir une femme avec une grande envie d’avoir des rapports sexuels. C’est souvent, par malheur, avec le même homme, et l’amour est souvent au rendez-vous, comme si cela venait excuser les envies sexuelles de la femme. “l’entreprise répressive réussira si bien que, aujourd’hui, elles passent pour moins sexuelles que les hommes.” (Mona Chollet, Sorcières). De plus, je pense que si elle a envie de coucher avec quelqu’un, qu’elle le fasse. 
Le travail, cette supercherie 
Bella choisit d’être travailleuse du sexe en France. Peu d’heures de travail et de l’argent, c’est ce qui lui faut pour pour aller explorer le monde, son esprit, son amitié, puis son amante avec la travailleureuse du sexe, Toinette. C’est en effet une supercherie de travailler autant dans notre monde. Un travail à temps plein nous laisse peu de temps pour vaquer, rêvasser, vivre tout simplement. Bella l’a compris rapidement. J’ai directement pensé à King Kong Théorie de Virginie Despentes. Elle-même a préféré être payée 160 euros en une heure, plutôt que d’être hôtesse de caisse et gagner moins que cela en une journée, avec des client.e.s affreux, misogynes et tout simplement infects. 
Les clients sont souvent irrespectueux dans le film, et en France notamment, il y a en effet un problème de sécurité pour les travailleureuses du sexe. J’aurais eu un problème avec le film si les travailleureuses du sexe étaient bien traité.e.s. Car c’est une vaste blague de penser que les travailleuses du sexe sont protégé.e.s, assuré.e.s. Iels ne dépendent que des moyens de protection qu’iels crééent, à savoir l’adelphité et l’entraide entre collègues.  J’étais heureuse de retrouver la même adelphité et le soutien entre elleux qu’il y avait dans le livre de Emma Becker. Je me rappelle d’ailleurs lorsque je travaillais dans une librairie l’été, le visage consterné et désemparé de mon patron, lorsque je lisais La Maison de Emma Becker. Nous manquons de représentation des travailleureuses du sexe. Les travailleureuses du sexe existent. 
Le socialisme, c’est dommage 
Bella s’intéresse au socialisme, et s’en va à des réunions ou assemblée générale j’imagine. Il est dommage de penser le socialisme comme moyen pour faire justice et rendre la dignité à celleux à qui on l’enlève constamment. Plutôt l’anarchisme et les idées révolutionnaires à mon humble avis! 
L’amour
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Faire famille autrement
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Renoncer au mariage, une nouvelle fin pour les femmes 
J’ai eu peur que le mariage avec Max soit la fin du film. Quelle idée de terminer un film sur un mariage! Il y a une suite souvent (que l’on ne voit pas évidemment), à savoir, une répartition des tâches inégales pour ne citer qu’une difficulté de vivre dans un couple hétérosexuel et hétéronormé.
Pour moi, la fin du film, elle sort avec Toinette et peut-être un peu avec Max. Cela rejoint pour moi l’idée de faire famille autrement. Bella révise pour un examen d’anatomie, voilà une réelle ouverture! Il y a une suite au film, mais merveilleuse et pleine de ce qui fait vibrer Bella : la découverte. 
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jakonews · 5 years
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Nou ekzije imedyatman demisyon @prezidanJovenul, @PMCeant ki fè tèt li pase kòm konplis nan masakre popilasyon an. VIVE LA RÉVOLUTION. VIVE LIBRE OU MOURIR. VIV AYITI POU LAVI.-
— Oganizasyon Sosyo Politik VIV AYITI (@vivayiticherie) November 19, 2018
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jakonews · 5 years
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Koz la se chanje Ayiti pou majorite a viv tankou moun, menm jan sa fèt nan tout peyi nòmal. Men sistèm ki la a depi lanmò Desalìn anpeche sa fèt. BREK di, ke yo vle ke yo pa vle, sistèm ki la a ap chanje. Tout opozan a chanjman sistèm lan ap anfas majorite a
— BRIGADIERS DE LA RÉVOLUTION CLASSIQUE (BREC-2022) (@2022_brec) November 4, 2018
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