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lefeusacre-editions · 2 months
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LA BRÈCHE, par Constance Ogier
Constance Ogier a intégré il y a peu la joyeuse troupe du Feu Sacré comme relectrice. Elle sera l’œil scrutateur de nos futures publications, passant au peigne fin les tapuscrits. Pour fêter son arrivée, elle a accepté de nous laisser publier son premier texte. Un conte de la crypte, au sens propre. Entre poésie, humour noir, petite et grande histoire. Entre Jules Michelet et Jorge Luis Borges. Gooble Gobble, bienvenue à elle !
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“Le prévenu est un vieillard sec et jaune” Gazette des Tribunaux du 11 mai 1856
Chaque passant de Paris se souvient avoir croisé, lu, parcouru un de ces panneaux brunâtres de l’histoire de Paris - autrement nommés pelles Starck - qui annoncent le monument visible ou fantôme auquel il faut s’intéresser. Cette fois-ci, en novembre dernier, j’étais plutôt interloquée par les images qui se formaient en moi après la lecture des appositions “inventeur et victime” inscrites côte à côte sur la même plaque. De là est né un désir insatiable - doublé très vite par un long travail de fouille - de connaître et comprendre cet homme.
Le 12 janvier 1856, prenant le contre-pied des vivants qui se contentent de mourir en dehors des cimetières, un homme meurt à l’intérieur même de celui de Montmartre, anciennement dénommé la Barrière Blanche. Ce cimetière citadin, situé dans le nord de Paris, est bordé par la rue Caulaincourt - ministre sous Napoléon Ier - la rue Ganneron - député et chandelier - Joseph de Maistre - fervent anti-révolutionnaire,...Tous ces noms ne nous disent trop rien quand on les découvre, ils ont pourtant leur part de chair dans le tableau imprécis de cette histoire. De nos jours, on s’y promène le dimanche, rare espace de verdure pour y déposer nos regards et nos corps broyés par les secousses et les bruits de la ville. C’est un espace où l’on fait communauté malgré nous autour des morts, comme pour être tout à fait solidaires avec eux dans un silence résilient. Pourtant, au XVIIIe et XIXe siècles, pour des raisons d’hygiène, le cimetière n’est plus accolé aux églises, mais déplacé en dehors de la ville perdant ainsi une place symbolique au sein de la communauté [1].
Depuis Philippe-Auguste jusqu’à la Révolution, des agents communaux, dits les « crieurs des morts », annonçaient à travers la ville munis de clochettes, le nom des défunts et l’horaire des funérailles aux côtés des prix des marchandises et des lieux de noces. Comme s’ils cherchaient à marchander la mort, sans toutefois y parvenir. Ils sont ensuite remplacés par des faire-part et des rubriques nécrologiques dans les journaux qui deviennent le relais de la mort, l’espace où le nom se dit en même temps qu’il se lie au moment du décès. C’est d’une étonnante violence d’inscrire un nom dans une rubrique, comme si cela actait, d’une certaine façon, l'impossibilité de ne plus l’énoncer autre part. La mort de cet homme n’a été qu’un événement isolé dit-on, le cimetière affiche malgré tout une plaque à sa mémoire en guise d’accueil, ou plutôt, reporte sur l’un de ces panneaux dédiés à l’histoire de Paris, une anecdote assez savoureuse;  il clame la mort de cet homme en fanfaron :
« Officiellement ouvert le 1er janvier 1825, le Cimetière du Nord est désormais protégé contre les pilleurs de sépultures : il perd ainsi en 1856, l’un de ses conservateurs, M. de Vaulabelle, inventeur d’un système de pièges avec mise à feu, victime de son devoir pour s’être envoyé une décharge mortelle en pleine poitrine ! »
La lecture de cette plaque ne m’a pas satisfaite, je l’admets. Je suis donc allée lire tous les articles qui me décriraient l’événement plus précisément. J’espérais follement un exposé précis de ce « système de pièges avec mise à feu », et rêvais secrètement d’un nouvel homme tué par sa propre invention, un Franz Reichelt oublié de l’Histoire, un rival de l’homme en costume-parachute qui saute de la tour Eiffel. Ma conclusion fut bien autre, et en passant la déception qu’elle m'apporta, elle m’ouvrit tout un pan de l’Histoire.
Qui décida de faire monter les murs du cimetière à deux mètres ? Je n’en sais rien, mais le 20 et 21 juin 1856, lors du procès à la chambre correctionnelle de la Cour Impériale de Paris, dirigé par M. Zangiocomi, un seul mot était sur toutes les lèvres : « la brèche ». Des intrus avaient réussi à faire une trouée dans ce lieu qui n’accueille que de jour : à l’angle du mur qui sépare le cimetière de la rue des Carrières.
Sont véritablement en cause : trente centimètres de mur, trente centimètres manquants sur le pan de mur entre la 8e et 10e division. Qui donc appeler à la barre ? Il m’a semblé très vite que la culpabilité et le meurtre de cet homme se logeaient dans ce vide là, ce vide laissé par le temps, et la peur qu’il provoque chez les hommes. Ces trente centimètres sont tout juste ce qu’il faut pour former l’idée d’escalader le mur qui sépare la ville ouverte et l’espace clos du cimetière. Interrompre le grand silence de mort qui les sépare des vivants. Ce désir de grimper sur le mur, faire glisser son regard et son corps au-dedans, près des morts… qui ne l’a jamais éprouvé ? Déjà, au Moyen-Âge, le cimetière échappe à la loi : protégé par les églises, il est formellement interdit de capturer un fugitif qui se réfugie dans son enceinte. C’est cette fracture, nichée dans la dénomination du cimetière, qui m’a d’abord intéressée : on l’appelle « le cimetière de la Barrière Blanche » ; tout comme au cirque, on nomme « barrière », la petite palissade qui sépare les spectateurs de la piste. 
La Barrière Blanche désignait en fait les carrières de gypse sur lesquelles était situé le cimetière, exploitées depuis l’époque gallo-romaine pour le « blanc de Paris ». Le dicton dit qu’il y a plus de Montmartre dans Paris, que de Paris dans Montmartre. Ce blanc provient du gypse, une espèce minérale qui se transforme en plâtre à 120°C et c’est en lui qu’on a coulé Paris. Au Moyen-Âge, l’espèce était tout à la fois adulée et honnie, admirée pour sa couleur où l’on croyait voir se moirer la lune, détestée pour la rouille qu’elle provoque dans les bassins selon les dires des lavandières. Cette barrière est aussi le lieu des exécutions et des fosses communes lors de la Révolution, celui d’effondrements successifs, effondrements qui parlent de frontières, de barrières naturelles ou reconstruites pas les hommes. L’histoire de ce cimetière s’est façonnée des séparations entre deux espaces qu’on a voulu définis, mais qui n’ont cessé de se frotter l’un contre l’autre: la ville et les carrières d’en-dessous, le cimetière et les rues d’à côté…
Le cimetière du Nord est inauguré en 1825. À cette époque, les pillages sont fréquents dans le cimetière, et une défaillance dans le mur d’environ trente centimètres est alors inculpée. Cette faille creuse de jours en jours une peur chez les gardiens du cimetière à qui on assène ne pas en détacher le regard. M. de Vaulabelle, le conservateur du cimetière, leur confère une charge : celle de garder de nuit cette brèche et d’empêcher tout intrus cherchant à entrer au-dedans. Très vite, ils croient apercevoir des formes étranges, bizarres se mouvoir de ce côté-là, et s’imaginent brandir leurs armes, héroïques, sauvant les possessions des disparus, défenseurs élus de la mort et de ses biens. L’interdiction de franchir les portes du cimetière de nuit est enfreinte à plusieurs reprises et durant plusieurs années.
Peu après la révolution de février, en novembre 1848, les ouvriers catalysent tous les comportements inadéquats, transgressifs et dangereux pour le gouvernement. La Revue des deux Mondes fait paraître un discours de Jean-Jacques Baude, ancien préfet sous la monarchie de Juillet, dans lequel il désigne ouvertement les ouvriers de « bandes de bêtes féroces, professant comme une religion le pillage, le viol et l’incendie »  ou encore les comparant aux « hordes d’Attila ». L’association des pillages aux ouvriers est d’autant plus rapide que Maxime du Camp publie un article dans La Revue des deux Mondes où il signale, non sans mépris, la présence d’ouvriers à l’orée du cimetière: « Jadis, au temps où bruissaient les Porcherons, il y avait là une sorte de ferme doublée d'un cabaret; les ouvriers venaient s'y amuser le dimanche. [...] Le prix des concessions [...] est assez élevé pour que l'entrée d'un de nos grands cimetières [...] ne ressemble pas à un cabaret de joueurs de quilles. »
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Les formes inconnues sont ainsi troquées par ces joueurs de quilles qui sautent par-dessus le mur, à l’endroit exact de la défaillance, pour y voler toutes sortes d'objets sur les sépultures. D’ailleurs, cette image est véhiculée très largement dans toute la sphère sociale. Le théâtre bourgeois s’en saisit immédiatement, et se représentent à Paris des vaudevilles où l’admirable tenue des patrons s’oppose à l’instinct grégaire des ouvriers. C’est ainsi que le frère de M. de Vaulabelle, Léonore, écrit quelques années plus tôt: La propriété c’est le vol, vaudeville satirique sous-titré « folie-socialiste en trois actes et sept tableaux » qui parodie la formule de Pierre-Joseph Proudhon. La déshumanisation des ouvriers s’accompagne d’autres figures et bientôt, des cornes leur poussent. Dans l’esprit des gardiens, la première réponse à la peur fut la nécessit�� d’identifier un visage, de déceler une identité et la seconde celle de l’éloigner à nouveau de soi, de faire de cette identité un spectre diabolique et par là même inhumain. Il me semble qu’il y a là bien plus qu’un bouc-émissaire. De l’ouvrier on fait un diable, du diable on fait l’ouvrier. Ils ont en commun d’être des écorcheurs. Le désir des couronnes d’épines en bronze et des vierges d’ivoire se mêle à celui du marbre des horloges et des presse-papier bourgeois chinés sur les marchés. Les objets volés sont tout à la fois objets de mémoire et marchandises. Mais quelle place occupe réellement en eux la cupidité ou le désir de propriété ? Dérober aux morts pour réconcilier les espaces : peut-être est-ce le seul trait d’identité qui nous reste de ces voleurs ?
En 1825 et les années qui suivirent, épier cet espace était devenu un enjeu de taille pour les gardiens. Quelques années plus tard, le cimetière est bien gardé. Le conservateur, M. de Vaulabelle, a posté des gardiens qui exécutent une ronde solitaire de nuit. D’abord, ils n’ont qu’un couteau et attendent à vingt-sept ou vingt-huit mètres de la brèche. Ils rôdent autour d’elle, et ne doivent pas en détacher le regard. Ce qui m’a surprise est la précision des distances et des mesures évoquées dans les journaux et en particulier dans la gazette des tribunaux qui retrace le procès. Deux mètres, un mètre soixante-dix; vingt-sept ou vingt-huit mètres. L’exactitude y est pour beaucoup je crois dans l’angoisse frémissante et partagée des pilleurs et des gardiens, obsédés par cette percée qu’ils brûlent de défendre en tremblant.  M. de Vaulabelle décide alors d’armer ses gardiens, de les équiper d’armes à feu pour veiller sur ce coin de cimetière. Ce coin présente des traces de passage qui pointent ce pan de mur comme la voie de prédilection des voleurs. Les gardiens du cimetière de Montmartre sont donc postés là, chargés d’un devoir terrible : celui de surprendre les voleurs et de les exécuter. La seule prévenance donnée par M. de Vaulabelle est celle de prononcer le « Qui vive ? » avant de tirer, adresser une dernière interrogation à une ombre méconnaissable et sans lumière. Selon les versions, la consigne donnée est qu’il faut l’adresser trois fois au nouveau venu et attendre une réponse avant de tirer ou, il n’est question que d’une seule occurrence, d’une unique question. Décliner une identité nominale, sinon la mort. 
En 1856, aux environs de cinq heures, le 12 janvier, M. de Vaulabelle est tué par un de ses gardiens à la brèche. Tir de carabine. Au « Qui vive ? » de l’homme jaune et sec, gardien ce soir-là, le conservateur du cimetière du Nord s’est tu. Aucune réponse n’a été entendue du dehors, comme de l’intérieur du cimetière. Comme si, l’homme et sa loi, celui qui professait le « Qui vive ? » à son armée, s’était entièrement remis à l’impossibilité de faire corps avec un nom, comme le cimetière lui-même qui a troqué le sien au fil des ans. Cet épisode est raconté avec un certain amusement dans le tome quatre du Grand Dictionnaire universel du XIXe siècle : « Ce fut en faisant lui-même, au milieu de la nuit, une ronde de surveillance, que le conservateur du cimetière de Montmartre, M. de Vaulabelle, frère de l’historien, fut tué, il y a quelques années, par suite de l’observation trop rigoureuse d’une consigne qu’il avait donnée, et dont il ne se rappelait plus les termes. » L’avocat général Barbier a dit lors du procès qu’il fumait sa pipe et marchait d’un pas lent et mesuré: sa ronde n’était qu’une balade auprès des morts. Et pour preuve : il en perd sa main ! Que doit-on entendre dans ce silence ? Une simple désinvolture, un homme évaltonné, mesurant son existence dans l’écart entre ses bouffées de fumée et ses pas ? J’entends dans ce silence un doute, une hésitation à se tenir debout dans un cimetière. J’entends un homme qui ne connaît plus son identité face à toutes ces pierres tombales où les noms sont gravés.
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M. Lachaud, défenseur de Mabille lors du procès, affirma que cet événement déclencha la folie de sa femme, une folie hors du cimetière. Bien plus tard, en 1912, dans un autre cimetière parisien, un homme décède dans le secret. Le feu n’est pas vu, contrairement à ce qui est montré sur la Semaine illustrée, il n’y a aucun spectateur à cette scène spectaculaire.       L’homme a franchi la barrière blanche, les murs des cimetières et leurs trente centimètres, et s’est immolé sur la pierre tombale de sa femme, encore une pierre qui le séparait du corps de la morte. Les portraits et les statuettes de plâtre ont fondu ce jour-là, ou sont-elles tombées ? Brisées ? On a donné un nom à cet homme : le mari; comme on a donné des noms aux acteurs du fait divers précédent: le conservateur et le vieillard, jaune et sec.
C’est un autre mariage qu’il a exécuté seul, sans témoins, un mariage avec la pierre, avec le gypse qui contient l’os et la peau. On nomme aussi les cimetières « champs au repos ». Le premier homme est mort de la main d’un gardien entre les tombes, « au clair de lune » dira Mabille, et le second de sa propre main sur la tombe de sa femme. Vous me direz que le lieu et le temps ne lient pas deux affaires, d’autant qu’il ne s’agit pas du même cimetière. Mais la cause du décès du premier reste inconnue, mystérieuse, la seconde a une fin. Pourquoi le vieillard jaune et sec a-t-il tiré sur le conservateur du cimetière ? Par peur, oui, par peur. Et pourtant, je veux lui donner une autre fin. Ce qui me questionne n’est pas tant la cause de l’homicide, mais l’absence de réponse du conservateur, qui connaissait la procédure qu’il avait lui-même élaborée. Son silence m’interroge et j’aimerais croire qu’il a embrassé l’identité des voleurs, sûrement sans le vouloir, qu’il s’est épris lui-même de la figure de l’ombre que lui et une grande partie de la société associait sans vergogne au premier opposant au régime impérial. Ce soir-là, M. de Vaulabelle a troqué son nom et sa particule pour redevenir un homme et son ombre.
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[1] Les cimetières étaient consacrés et réservés aux catholiques ayant reçu le dernier sacrement (l’extrême-onction). De nombreux enterrements se déroulaient alors de nuit et en cachette.
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benazirrblok · 2 months
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Hükümetlerin devamlı değişmelerinde yönetim kademesinde ki memurlardan oluşan sınıfsal kast, bu değişimlerden uzak kaldığı için nüfuz ve etkisini gittikçe artırır. Sonuçsuzluğa, kişiliksizliğe ve devamsızlığa yalnızca bunlar sahip olur. Üçlü bir şekilde bulunan bu hallerde ki baskı, zorbacılığın en ağırıdır.
Tekrar edelim:Önderler güçlü değer yargılarıyla çok az, nüfuzlarıyla, daha fazla etki ederler. Her hangi bir sebeple onlar bu ruhani nüfuzlarını kaybettikleri zaman artık telkin ve etkin etme kuvvetleri de kalmaz. Önderlerin bu nüfuzları ne ünvanlarına ne de şöhretlerine bağlıdır ;aksine tamamen kişiliklerine(karizmalarına) bağlıdır. Jules Simon, kendisinin de üyesi olduğu 1848 meclisinde ki büyük adamlardan bahsederken şu şaşılacak örnekleri verir:
✅Bütün bir hükümdarlık kudretine sahip olmadan iki ay önce Louis Napoleon esasında bir hiçti.
Victor Hugo da kürsüye çıktı;fakat herhangi bir başarı kazanamadı.
✅Felix Pyat'yı dinledikleri gibi onu da dinledilerse de o kadar alkışlamadılar. Felix Pyat'dan bahsederken Vaulabelle şöyle diyordu :Onun fikirlerini sevmem fakat o büyük bir yazardır. Ve Fransa 'nın en kuvvetli konuşmacılarındandır.
✅Edgar Quinet gibi nadir bir zeka da hiç itibar görmedi.
Politik meclisler dahilerin, şöhretlerin en az tanındığı yerlerdir. Orada sadece zaman ve mekana uygun zekalar itibar görür ve vatana değil partilere hizmet değer kazanır.
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Vicky: We do not, of course, claim to be giving the history of Waterloo; one of the key scenes of the drama we are telling hangs on that battle; but the history of the battle is not our subject; that history moreover has been told, and told in a masterly way, from one point of view by Napoleon, from the other point of view by a whole pleiad of historians (Walter Scott, Lamartine, Vaulabelle, Charras, Quinet, Thiers). As for us, we leave the historians to their struggle; we are merely a distant witness, a passerby on the plain, a researcher bending over this ground steeped in human flesh, perhaps taking appearances for realities; we have no right in the name of science to cope with a mass of facts undoubtedly tainted with mirage; we have neither the military experience not the strategic ability to justify a system; in our opinion, a chain of accidents overruled both captains at Waterloo; and when destiny, that mysterious defendant, is called in, we judge like the people, that naive judge.
Vicky: If you want a clear idea of the battle of Waterloo, you have only to--
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philippedurand89 · 4 years
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La Ville COLLECTE NOS SAPINS DE NOEL , venez les déposer aux points de collecte - Quartier Centre-Ville : - Parking sur la contre-allée à l’angle de la Rue Alexandre Marie et du Boulevard Vauban - Parking sur la contre-allée à l’angle de la Rue Française et du Boulevard Vauban - Parking sur la contre-allée à l’angle de la Rue du Nil et du Boulevard Vauban - Parking sur la contre-allée à l’angle de la Rue Marcelin et du Boulevard Davout - Parking sur la contre-allée à l’angle de la Rue Germain Benard et du Boulevard Vaulabelle - Parking sur la contre-allée à l’angle de la Rue du Puits Guérin et du Boulevard Vaulabelle - Parking sur la contre-allée à l’angle de la Rue de Joie et du Boulevard Vaulabelle - Parking de la Tournelle - Quartier Sainte-Geneviève: - Avenue Rodin (parking près de l'ancienne école) - Avenue Ingres - Avenue Delacroix - Quartier des Piedalloues: - Place de Normandie - A l’angle de la Rue de Bourgogne et de l’Avenue de Provence (sur le trottoir côté maison juste avant le panneau signalétique rond-point) - Quartier des Boussicats: - Place Bel Air - Parking rue de l'Ecole Normale - Quartier Saint-Gervais-Brazza: - Parking devant la Chambre de Commerce Rue Etienne Dolet - Quartier des Conches / Clairions: - Parking cimetière des Conches (attention il faudra ouvrir le portique) - Quartier des Rosoirs: - Parking à l’angle de la Rue des Migraines et de la Rue Belfort - Rue Gembloux - A l’angle de la Rue de la Tour d’Auvergne et de la Rue de Wagram - Quartier Saint-Siméon: - Parking Boulevard de Montois (au niveau de l'avenue de Chatenoy) - Parking Boulevard de Montois (au niveau de la chaufferie biomasse) - Parking à l’angle de l’Allée du Foulon et de l’Allée des Palmes - Parking allée Heurtebise - Quartier Rive-Droite: - Place à l’angle de la Rue Duquesne et de la Rue Dugay Trouin - Parking Rue Jules Brugot - Rue de Chablis (quartier La Roue) - Sur le terre-plein en herbe à côté du 11Rue de Lambaréné - Quartier des Brichères: - Sur place de parking à côté des colonnes enterrées Chemin des Béquillys - Parking à l’angle de la Rue Poincaré et de la Rue Théodore de Bèze - Quartier Saint-Julien-Saint https://www.instagram.com/p/B6oQuRnJice/?igshid=waxwmno5wlz0
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philippedurand89 · 5 years
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Le conseil de quartier Saint-Julien-Saint-Amâtre s'est réuni, lundi soir. L'occasion de faire un point sur ses projets. Son prochain événement est prévu le 31 octobre, pour Halloween, à la salle Vaulabelle. Une fête organisée avec le conseil de quartier Piedalloues - La Noue. Cette année, en plus de l'après-midi festif, un concours de déguisements est proposé. Parmi les projets faisant la fierté de cette instance de démocratie participative figure, en bonne place, la réalisation du square de la gare Saint-Amâtre. « Un bac des Incroyables comestibles (mouvement citoyen en faveur d'une agriculture urbaine participative, ndlr.) viendra compléter l'aménagement au printemps », indique la présidente Ghislaine Le Roy. « Une demande des habitants » « Ce projet est né d'une demande des habitants », rappelle Valérie Masse, membre du conseil de quartier. Ce dernier est actuellement composé de huit représentants. Des membres expérimentés, présents depuis plusieurs années, mais aussi des nouveaux qui ont souhaité s'investir. « L'équipe fonctionne bien, tout le monde est actif », apprécie Ghislaine Le Roy. Ses membres portent le projet de création d'un terrain de pétanque à l'Arboretum. Une réunion est prévue prochainement avec les services techniques de la Ville pour choisir son emplacement. AUXERRE https://www.instagram.com/p/B3ZKGquJpBn/?igshid=1gznudpq8gks7
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fredlenain89000 · 4 years
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La Ville COLLECTE NOS SAPINS DE NOEL , venez les déposer aux points de collecte
- Quartier Centre-Ville :
- Parking sur la contre-allée à l’angle de la Rue Alexandre Marie et du Boulevard Vauban
- Parking sur la contre-allée à l’angle de la Rue Française et du Boulevard Vauban
- Parking sur la contre-allée à l’angle de la Rue du Nil et du Boulevard Vauban
- Parking sur la contre-allée à l’angle de la Rue Marcelin et du Boulevard Davout
- Parking sur la contre-allée à l’angle de la Rue Germain Benard et du Boulevard Vaulabelle
- Parking sur la contre-allée à l’angle de la Rue du Puits Guérin et du Boulevard Vaulabelle
- Parking sur la contre-allée à l’angle de la Rue de Joie et du Boulevard
Vaulabelle
- Parking de la Tournelle
- Quartier Sainte-Geneviève:
- Avenue Rodin (parking près de l'ancienne école)
- Avenue Ingres
- Avenue Delacroix
- Quartier des Piedalloues:
- Place de Normandie
- A l’angle de la Rue de Bourgogne et de l’Avenue de Provence (sur le trottoir côté maison juste avant le panneau signalétique rond-point)
- Quartier des Boussicats:
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- Parking rue de l'Ecole Normale
- Quartier Saint-Gervais-Brazza:
- Parking devant la Chambre de Commerce Rue Etienne Dolet
- Quartier des Conches / Clairions:
- Parking cimetière des Conches (attention il faudra ouvrir le portique)
- Quartier des Rosoirs:
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- Rue Gembloux
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- Parking Boulevard de Montois (au niveau de l'avenue de Chatenoy)
- Parking Boulevard de Montois (au niveau de la chaufferie biomasse)
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- Quartier Rive-Droite:
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- Rue de Chablis (quartier La Roue)
- Sur le terre-plein en herbe à côté du 11Rue de Lambaréné
- Quartier des Brichères:
- Sur place de parking à côté des colonnes enterrées Chemin des Béquillys
- Parking à l’angle de la Rue Poincaré et de la Rue Théodore de Bèze
- Quartier Saint-Julien-Saint-Amâtre:
- Rue des Montardoins (entre la Rue Guette Soleil et la Rue des Boutilliers)
- Place de la Gare Saint-Amâtre
- Parking de l’Eperon
- Parking en face du 56 Avenue Pierre de Courtenay
- Vaux :
- Rue de Vallan (le point de recyclage)
- Jonches :
- 40 Rue Robert Rimbert (le point de recyclage)
- Les Chesnez :
- 9 Rue d’Appoigny (le point de recyclage)
- Laborde :
- Rue de Sougères (Monument vers le point de recyclage)
- A l‘angle de la Rue des Larrez et de la Rue des Grands Champs
- Lieu dit la Tour Coulon (le point de recyclage)
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philippedurand89 · 5 years
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Information
Voici le contenu du post publié mardi après-midi.
Le Maire d’AUXERRE a décidé de tout mettre en œuvre pour ne pas payer sa participation au Service Départemental d'Incendie et de Secours. Ainsi la ville d'Auxerre n'a pas payé le moindre euro de contribution pourtant obligatoire sur l’année 2018, au point de mettre en difficulté le SDIS pour le paiement des salaires des sapeurs-pompiers et autres agents permanents.
"Pendant ce temps les sapeurs-pompiers assurent les secours à Auxerre comme ailleurs.
"À partir de maintenant, le Maire dAuxerre devra assumer que le Sdis se limite sur sa ville uniquement à ce qui est obligatoire.
"Espérons que ce non paiement ne cache pas des difficultés financières de la ville d'Auxerre ...
"Tout le monde peut avoir besoin des sapeurs-pompiers mais il est bien compréhensible que ça à un coût et à ma connaissance les habitants d'Auxerre ont payé leurs impôts locaux, ils ont donc le droit à tous les services publics ...".
Auxerre a payé 4 fois plus que la ville n'aurait du
Le maire d'Auxerre Guy Férez, s'exprimera, mercredi en fin de matinée sur cette question polémique, indique son directeur de cabinet, dans le cadre de la conférence de presse prévue de longue date dans les locaux de la Communauté d'agglomération des communes de l'Auxerrois.
Il paraît évident que cette "attaque" fait suite à la décision du tribunal administratif d'annuler une délibération du Sdis en octobre.
Le tribunal administratif a annulé la délibération du conseil d'administration du Service départemental d'incendie et de secours de l'Yonne portant sur la répartition des contribution des communes en 2018, au motif que les critères retenus créaient une inégalité devant la charge publique. La ville d'Auxerre et la communauté d'agglomération du sénonais ont obtenu gain de cause.
Auxerre payait quatre fois plus pour atteindre 2,7 millions d'euros soit un montant de 80 euros par habitant.
Le TA s'est prononcé sur le fond puisqu'il annule la délibération portant sur la répartition des contributions communales en 2018, au motif que les critères spécifiques retenus pour le calcul par le conseil d'administration du Sdis créaient une inégalité devant la charge publique.
Le tribunal administratif, en outre, a ordonné au SDIS de prendre une nouvelle délibération pour 2018, en se référant aux critères définis par le code général des collectivités territoriales.
Les deux collectivités de Sens et Auxerre estimant ses habitants lésés ont donc réagi et introduit des recours devant le tribunal administratif se fondant sur une inéquité de répartition de charges.
Le TA leur a donné donc raison en arguant que le système de critères adopté par le SDIS créait une inégalité devant la charge publique. Le SDIS disposait d'un mois pour faire appel.
Municipales en vue
Sans préjuger sur ce que dira le maire d'Auxerre, mercredi matin, on peut penser que la ville doit récupérer un trop payé et dispose donc d'un solde créditeur au Sdis, qui ne l'obligerait pas à acquitter une participation déjà payée.
Au-delà du cas d'espèce, un peu gros de ficelle, il est clair que les manoeuvres en vue des élections municipales ont commencé, mais ce n'est pas nouveau.
Le 16 janvier à Vaulabelle, le député Guillaume Larrivé doit présenter ses voeux comme chaque année. Il se dit à droite, que le candidat malheureux à la mairie d'Auxerre en 2014 pourrait annoncer le nom du (ou de la) chef de file de la liste qui tentera de ravir la mairie au maire sortant en mars 2020.
Les noms de Isabelle Joaquina, Jean-Pierre Bosquet, et ... Christophe Bonnefond sont avancés depuis longtemps. S'y ajoute un nouveau, celui du maire de Saint-Georges-sur-Baulche, Crescent Marault, lequel a annoncé qu'il ne se représenterait pas à Saint-Georges.
P-J. G.
# Article mis à jour mercredi à 12h20
Le maire d'Auxerre : "Il n'y a pas de sujet ..."
Lors de la traditionnelle présentation des voeux du maire président de la Communauté d'agglomération des communes de l'Auxerrois, mercredi en fin de matinée, au deuxième étage des locaux de l'Agglo place du Maréchal-Leclerc à Auxerre, Guy Férez s'est exprimé sur les accusations portée contre la ville par Christophe Bonnefond, président du conseil d'administration du Sdis, le service départemental d'incendie et de secours de l'Yonne.
"Il n'y a pas de sujet. La ville d'Auxerre a payé sa participation pour 2018 qui s'est élevée à 2,4 millions d'euros.
Christophe Bonnefond a un problème avec lui-même et le président du Sdis. Ça le concerne lui, son miroir et lui seul."
"Pour 2019, il demandait 3 millions de particpation à la ville d'Auxerre.
"C'était avant la décision du tribunal administratif que la communauté de communes du sénonais et la ville d'Auxerre ont saisi, s'estimant lésé par la répartition inéquitable des charges imposée par le conseil d'administration du Sdis.
" J'ai proposé à Christophe Bonnefond de transiger à 2,7 millions et s'il acceptait, je retirais ma plainte. Il a préféré attendre le jugement du tribunal administratif convaincu sans doute qu'il gagnerait. Or il a perdu. Quand on joue et qu'on perd, il faut assumer. Bonnefond a un problème, c'est le sien."
Nous avons demandé au maire s'il était au courant que le préfet de l'Yonne aurait saisi la cour régionale des comptes ?
" Le préfet a la charge de la sécurtié dans le département, il agit à ce titre. Il n'a aucune compétence dans la gestion du Service départemental d'incendie et de secours."
Auxerre Tv a vérifié auprès de la préfecture de l'Yonne cette information révélée par Michèle Bourhis, conseillère municipale d'opposition à Auxerre, sur les réseaux sociaux, mardi soir.
C'est inexact. Le préfet n'a ps saisi la cour régionale des comptes.
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philippedurand89 · 6 years
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Information
Ce soir, le conseil municipal d'Auxerre a adopté ma proposition de voeu demandant à la Présidente du Conseil régional de Bourgogne Franche-Comté d'inscrire le contournement sud d'Auxerre parmi les priorité du futur schéma régional des infrastructures de transport. Cette planification est une étape importante que nous de devons pas manquer pour que le projet redémarre.
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Vœu des élus municipaux - Conseil municipal du 14 mars 2018
A l'attention de Madame Marie Guite Dufay, Présidente de la région Bourgogne-Franche Comté
Objet : inscription du projet de déviation sud d'Auxerre dans les priorités du Schéma régional des infrastructures de transport.
Madame la Présidente,
Le conseil régional de Bourgogne Franche Comté prépare actuellement un schéma régional des infrastructures de transport afin d'identifier les routes d'intérêt général auxquelles le conseil régional apportera sa contribution.
Le projet de contournement sud d'Auxerre avance aujourd'hui au ralenti. Il a recueilli le soutien de l'État, du Conseil départemental de l'Yonne, de la communauté d'agglomération de l'Auxerrois, de la ville d'Auxerre et de l'ensemble des conseils de quartier, mais il manque celui du Conseil régional de Bourgogne-Franche Comté.
Ce projet figure pourtant dans votre plan de mandat.
Ce projet fait aussi l'objet d'une déclaration d'utilité publique, récemment renouvelée.
Des études complémentaires montrent la nécessité d'un contournement permettant de délester la ville du trafic routier de transit et favorisant l'accès direct aux centres d'attractivité de la ville d'Auxerre et de l'agglomération, car :
- Le trafic actuel génère des pollutions atmosphériques significatives, relevées par les études d'Atmosf'air Bourgogne, et des nuisances sonores quotidiennes.
- Les rapports de la sécurité routière indiquent les accidents générés par un trafic excessif sur les voiries traversées par la ville. Certains carrefours intra-urbains enregistrent plusieurs milliers de poids lourds quotidiens. Ce trafic de transit, trop important au regard de la taille de la commune de 35 000 habitants, engendre des surcoûts de voirie et des aménagements complémentaires pour assurer la sécurité des riverains.
- Les riverains des axes traversés par les poids lourds sont excédés : Avenue des Brichères, Route de Toucy, Avenue Jean Mermoz, Avenue Jean Jaurès, Pont Paul Bert, Boulevard Vaulabelle, …
Les services municipaux essaient d'aménager ces espaces pour atténuer les nuisances pour les habitants, mais sans le contournement sud, ses actions restent vaines.
C'est pourquoi les élus du conseil municipal demandent que le projet de contournement sud d'Auxerre figure parmi les priorités du futur schéma régional d'aménagement des infrastructures. Ils demandent également que la région engage dès que possible les crédits nécessaires pour la réalisation du contournement.
Le projet de contournement est actuellement réexaminé. Nous espérons que la nouvelle version retiendra votre attention et permettra d'engager la région aux côtés de l'Etat et du Conseil départemental pour réaliser enfin ce projet dans les meilleurs délais.
Les élus du conseil municipal d'Auxerre
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