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#pop le seigneur des anneaux
mel-et-ses-histoires · 10 months
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Donc, le film Donjons et dragons : l'honneur des voleurs, est un film réalisé par J.F. Daley et J. Goldstein qui ont déjà travaillés ensemble sur deux autres films. Ils ont également (et surtout) bossés en tant que scénaristes, acteurs ou producteurs.
Mais D&D késékesé ?
A la base c'est un jeu de rôle papier, c'est à dire un jeu de société où des joueurs interprètent des personnages au cours d'une histoire qu'ils coconstruisent avec celui qui la racompte, le maitre du jeu.
Vous avez joué au jeu du loup garou de Tiercelieu ? Techniquement c'est un jdr.
Et on va pas se mentir les jdr auxquels vous pouviez jouer à la fin des années 90/début 2000 quand vous etiez au lycée c'était beaucoup D&D parce que c'était le plus populaire / le seul survivant à une époque où les jdr tombaient complètement dans l'oublie.
Mais les rolistes de l'époque c'était pas des ados boutonneux aux cheveux gras avec des posters dark fantasy au dessus du lit et qui pouvaient pas faire deux mètres sans Ventoline ? Si. Tout à fait.
Clairement si vous voulez être dans la bande des gens à part (rappelez vous à l'époque le mec cool c'était le fort en sport) le jdr c'était un moyen parfait, et si vous vouliez vraiment parler à personne vous n'aviez qu'à amener un jeux de carte à collectionner (Magic, pokemon, as you wish).
Alors des filles il y en avait, on va pas faire semblant, mais on va pas mentir non plus on était pas très nombreuses.
Et globalement le jdr c'est fantastique. C'est une liberté totale qui est pas simple à expliquer, c'est des nuits blanches pizza / jus de fruits en rigolant, c'est vivre des aventures en restant bien cachée derrière sa fiche de perso de demi-elfe magicienne aux cheveux verts.
Mais aujourd'hui ce n'est plus hier !
Aujourd'hui tout ce qui était culture de niche (bd, film de super hero, marvel, harry potter, toussa) est juste devenu la pop culture, et depuis quelques années le jdr est revenu en flèche avec le retour des jeux de sociétés pour des publics plus adultes.
Du coup, D&D le film ?
Alors déjà il faut savoir que c'est le 4eme film D&D, mais clairement si vous n'avez pas vu les 3 premiers ce n'est pas grave, du tout. Ou alors soyez bourrés.
Bon ok mais du coup D&D le film ?
Alors déjà qu'est ce que j'en attendais de ce film ?
Franchement à la base rien du tout. La bande annonce faisait très "gardien de la galaxie au moyen Age" et ça m'agaçait.
Parce que ce que j'aurais souhaité c'est un seigneur des anneaux, un film qui me respecte, qui ne cherche pas à faire prout prout pour me faire rire et qui fait semblant de restpecter un peu son matériel de base et son public.
Sauf que !
Sauf que la bande annonce imagine ce que le public aime, et la bande annonce à imaginé que le public était con et n'aimait pas être respecté et ne réclamait qu'un film rigolo pas difficile à suivre façon gardien de la galaxie (ces films sont cons c'est pas de ma faute).
Résultat la bande annonce est mensongère.
Oui il y a de l'humour mais au final assez peu. Et non les personnages ne sont pas débiles.
Donc, D&D le film ! (c'est long ou pas pour arriver enfin au sujet ?)
Le film raconte comment un voleur coquin mais sympathique va vouloir monter un dernier gros coup pour récupérer un artéfact magique pouvant ressusciter son épouse. Malheureusement tout part en pistaches, il finit en prison, ses pensées tournés vers son épouse mais aussi vers sa fille qu'il laisse derrière lui. Apres s'être échappé il rejoindra un ancien membre de son groupe de voleur pour retrouver sa fille avant de se retrouver embrigader dans ni plus ni moins qu'un complot mondial (ou presque, disons continental).
Alors déjà c'est beau. La mise en scène n'a rien de spécial, il n'y a pas de symbolisme dans le cadrage ou l'agencement des plans mais c'est efficace, et certaines scènes sont assez jolies.
Les personnages sont sympathiques, et ils le sont parce que ce sont des archétypes avant d'être des personnages. Le paladin n'est pas juste un gars en armure tout gentil. C'est un gentil qui dégouline, qui vous caresse la joue en vous disant au revoir et qui est juste absolument fantastique. La méchante est très méchante, le méchant est cynique et l'assume et on à un putain de grasgon ! (c'est un dragon mais qui est gras).
Et si ce sont des archétypes c'est parce que ce film est une très bonne adaptation du jeux de rôle, à savoir qu'on dirais une partie de jdr, les plans sont foireux, les personnages ne sont pas héroïques, les règles du jeux sont moqués dans certains dialogues, bref l'ambiance générale est très bonne.
Coté adaptation il y a beaucoup d'ester eggs, le plus souvent tres discret, sans en faire des caisses (et c'est très bien). Par exemple le jeune femme cornu, qui est une druidesse et qui est un des meilleurs perso ? A aucun moment du film on ne vous dit que c'est une sorte de demi-diable. On voit ses cornes, sur un plan (peut etre deux) on voit qu'elle a une queue et ça s'arête là !
De la même manière le magicien du groupe prend une petite pincée de perlimpimpim avant de lancer le moindre sort. Et on ne vous expliquera pas dans le film que c'est normal, que la magie c'est des formules mais aussi des ingrédients toussa. Pourquoi on ne l'explique pas ? Parce que les personnages qui vivent dans cet univers connaissent ces choses et n'ont donc aucune raison de les expliquer.
C'est de l'ester eggs discret qui laisse deviner que l'univers est super large et c'est très bien.
Bon parfois les ester eggs sont plus grossiers et font un peu name dropping, ça aurait pu être mieux.
Niveau effet spéciaux c'est top, rien à dire, pas d'avalanche de sorts toutes les deux secondes mais quand ils sont là c'est tres propre.
Le ton général est sympa aussi, il y a un peu de violence, on est pas dans un disney (gros gros big up à la scène final avec le Ours-hiboux) et si la fin est assez convenu on a vu bien pire. Les personnages ont droit plus ou moins à leur petit développement personnel, avec certains moments touchants pour une en particulier.
Coté défaut le film s'arrête peu, les personnages sont toujours en action, à appliquer un plan ou à tenter de réparer une catastrophe mais ils n'ont visiblement pas le droit de se poser 5 minutes sans payer une taxe. De plus si la méchante est très méchante sa motivation manque un peu de consistance, être méchante est un moyen, pas un objectif.
Et puis sinon... ben c'est tout.
C'est un film que je rêverais avec plaisir et je vous le recommande.
Des questions ?
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beatlesonline-blog · 1 year
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zehub · 1 year
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«Allons chasser de l'orc»: comment Kiev mobilise la mythologie de Tolkien
La pop culture au service de la résistance ukrainienne. Depuis février 2022, les dirigeants et citoyens ukrainiens ont utilisé, dans leur communication, un parallèle entre l'invasion russe et la trilogie du Seigneur des anneaux, écrite par J.R.R. Tolkien puis adaptée au ciném
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diarydunetudiante · 3 years
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Mon portrait chinois
Comme promis, je vous propose ce portrait chinois ! N'hésitez pas à partager votre portrait chinois en retour, je serais curieuse de voir vos réponses !
Si j'étais un animal, je serai une biche: timide et sensible, je reste toujours un peu sur mes gardes pour ne pas me faire manger par le loup !
Si j'étais une plante, je serai un saule pleureur. C'est un arbre qui, je crois, est perçu comme un arbre romantique et je suis une personne assez sentimentale, j'accorde plus d'importance à mes émotions que ma logique (si logique il y a, haha)
Si j'étais un élément, je serai le feu. J'ai souvent froid alors comme ça je pourrai me réchauffer ! En plus, je suis née en été ♥
Si j'étais un moment de la journée, je serai la nuit. J'adore l'ambiance qu'il y a la nuit, quand tout est calme, tranquille. C'est le meilleur moment pour écrire et pleurer. Et honnêtement, les paysages de nuit sont tout simplement magnifiques !
Si j'étais un des 5 sens, je serai l'odorat. J'adore "imaginer" des odeurs (vous savez, quand on pense à un truc et on a son odeur ?) et j'aime le sentiment nostalgique que nous apporte certaines odeurs, comme l'odeur des bougies ou du savon. Ou le fait qu'une simple odeur peut réveiller en nous des émotions.
Si j'étais un paysage, je serai un sentier qui grimpent le long d'une montagne en été, avec l'herbe sèche, la terre poussiéreuse et le soleil rayonnant. J'ai de nombreux souvenirs à la montagne pendant les vacances d'été, à faire des randonnées. J'aime le sentiment d'aventure que ça donne. Marcher seuls dans une nature qui nous est inconnue.
Si j'étais un moyen de transport, je serai le métro. Contrairement à beaucoup de gens (j'ai l'impression) j'aime bien prendre le métro et voir les gens autour de moi, je me demande toujours où ils vont, à quoi ressemble leur vie... et j'aime beaucoup voir pleins de gens différents. Je trouve ça magnifique qu'on soit tous réunis au même endroit, pendant un moment, avant de reprendre chacun notre petite vie de notre côté.
Si j'étais un livre, je serai Au pays de l'Ailleurs de Tahereh Mafi, un livre magnifique qui appelle au respect des différences de chacun, dans un univers très coloré (c'est le cas de le dire) ou alors, je serai Nos étoiles contraires de John Green. J'adore cet auteur et ce roman est l'un voir le dernier roman à m'avoir fait pleurer comme une madeleine (il me semble que j'avais pleurer pendant la moitié du roman, vraiment).
Si j'étais un dessin animé, je serai Franklin. Pas besoin d'en dire plus je pense, c'était mon préféré et je me souviens encore du générique.
Si j'étais une créature fantastique, je serai un fantôme. Je suis très discrète et quand je marche je fais pas beaucoup de bruit, ça arrive que les gens sursautent à cause de ça (c'est un peu "vexant" d'ailleurs, certaines réactions, c'est pas comme si je faisais exprès de ne pas me faire remarquer T-T)
Si j'étais un jeu vidéo, je serai Genshin Impact. Avant, je ne jouais qu'au Sims malgré avoir essayé un tas de jeux plus ou moins différents. Genshin Impact est le seul à avoir tenu dans la durée (même si j'avoue que là, je fais une petite pause parce que je suis bloqué sur le donjon de niveau de monde 1 et ça commençait à m'énerver ><)
Si j'étais un style de musique, je serai le rock. J'écoute un peu de tout les styles (ballades, pop, r&b...) mais le rock, c'est vraiment celui qui fait vibrer mon coeur, je ne peux pas y résister. Que ce soit du rock des années 80 ou d'aujourd'hui, j'aime !
Si j'étais un instrument de musique, je serai le violon. C'est un instrument qu'on associe le plus souvent à du classique, dans des orchestres ou des opéras par exemple, mais il y a des groupes de musiques (comme Lucy par exemple) qui l'incorporent à des musiques plus "actuel", enfin qui s'éloigne du classique, et j'aime beaucoup ça. C'est un instrument qu'on met dans une case, mais lorsqu'il franchit le pas de s'en éloigner, il paraît encore plus beau !
Si j'étais un art, je serai l'art abstrait. J'ai dû mal à me projeter dans le futur etc. et je pense que je suis un peu "floue" comme personne, on a dû mal à voir ce qui s'y cache, comme l'art abstrait qui est souvent incompris.
Si j'étais un dessert, je serai le merveilleux. J'adore ce dessert depuis toute petite, malgré qu'il soit tellement sucré que je n'ai jamais réussi à le manger en une fois. J'aime beaucoup son aspect: le coeur de meringue croquant et fondant à la fois, entouré d'une crème plus légère mais tout aussi gourmande et délicatement saupoudré de copeaux de chocolat (devrais-je dire roulé ?)
Si j'étais une boisson, je serai le thé. On peut le boire chaud ou froid, et il existe des milliers de goûts différents. C'est une boisson très adaptable, comme mon avis ! Si tu me donnes une bonne raison, je suis d'accord avec toi. Jamais je ne participerai à un concours de débat.
Si j'étais une odeur, je serai l'odeur du foin mêlé au crottin de cheval. Pas très glamour, mais je pense que c'est l'odeur qui m'a le plus marqué dans ma vie et pour laquelle j'ai le plus d'émotion ? J'ai fais de l'équitation pendant 7 ans, et rien qu'en sentant cette odeur, je ressens les mêmes émotions que lorsque j'arrivais au club, une sorte d'appréhension mêlée à de l'excitation, du bonheur et ce sentiment de "je connais bien cet endroit". Sans compter tous les souvenirs !
Si j'étais un sport, je serai l'équitation (surprise!) Ce que j'aimais le plus dans ce sport, c'était le contact avec les chevaux. C'est vraiment agréable de sentir leur chaleur à travers nos cuisses, de partager des moments avec eux (je me souviens d'un cheval à qui j'avais donné des morceaux de carottes, il me semble, et il avait tellement aimé que plusieurs mois après, il se souvenait encore de moi comme celle qui lui avait donné des carottes) surtout que les chevaux sont des animaux assez taquins alors ça peut vite être assez drôle. Et, je pense aussi que ma manière d'agir avec eux représentent bien ma vision du rapport à l'autre (si on peut dire ça comme ça ? Je sais pas trop comment appeler ça) je me faisais souvent "gronder" parce que j'utilisais pas assez ma cravache, parce que je m'affirmais pas assez auprès d'eux etc. et je n'ai jamais aimé m'imposer à quelqu'un ou quelque chose. Enfin, je vois pas pourquoi je devrais imposer mon envie à quelqu'un (humain, anima, caillou) qui ne partage pas mon avis. On va dire que la liberté est la valeur la plus importante pour moi ?
Si j'étais une citation, je serai celle-ci de Tolkien dans Le Seigneur des Anneaux: "Tout ce qui est or ne brille pas. Tout ceux qui errent ne sont pas perdus". Je pense que les choses ne sont jamais comme on les voit du premier coup d'oeil. C'est pour ça que je n'aime pas entendre quelqu'un critiquait ou jugeait les actions d'une personne ou ses avis personnelles. Tant qu'on ne s'est pas glisser dans la peau de l'autre, on ne peut pas les juger parce qu'on a pas toutes les cartes en mains pour. (Un peu comme le truc qui était populaire sur les réseaux sociaux et qu'on trouve encore sur Pinterest)
Si j'étais une mauvaise habitude, je serai celle de remuer une jambe. Je fais toujours ça, quand je suis énervée, stressée, excitée et je crois que je le fais aussi quand je suis juste de (très) bonne humeur x) mais ça agace les gens autour de moi (enfin, surtout ma mère, le reste de ma famille est un peu pareil en vrai) et bon, je peux pas trop m'en empêcher, c'est comme se ronger les ongles.
Si j'étais une émotion, je serai la lassitude ou la mélancolie. Je me lasse vite des choses le plus souvent (ça me fait un peu peur parfois, quand je trouve un truc que j'aime vraiment). Et pour la mélancolie, j'ai des périodes où je suis triste comme ça sans savoir vraiment pourquoi et où j'ai un peu la flemme de tout. Par contre, c'est souvent dans ces périodes que j'écris le plus (et où je dors le moins, du coup, ce qui ne m'aide sûrement pas à régler le problème.) Bon, je pense que je vais m'arrêter là ! Merci d'avoir eu le courage de lire jusqu'ici ! Je me répète, mais si jamais vous faites votre portrait chinois, je serais curieuse de voir ce que ça donne ! Merci et bonne journée/soirée/nuit !
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frenchwitchdiary · 4 years
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Pop-culture & Paganisme : introduction
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"Nothing is true. All is permitted."
Connaissiez-vous cette maxime phare de la Chaos Magick ?
A vrai dire, je ne vais pas parler aujourd'hui de ce mouvement dans les moindres détails, seulement de sa devise qui n'est qu'un prétexte pour servir d'introduction à notre sujet plus vaste du jour. (cf le titre, t'as compris).
La citation se divise en deux parties, la première : "Rien n'est vrai", dans laquelle on retrouve l'idée que la magie n'est en rien dogmatique par nature, c'est une expérience subjective avant tout, et enfin la deuxième "Tout est permis", qui laisse penser que si la magie n'est pas limitée à un seul système de croyances tenu pour "vrai", alors il est de la liberté de chacun d'y inclure ce que bon lui semble. La magie n'est plus perçue comme un savoir occulte au cadre rigide et normé, mais elle devient ce que l'on décide d'en faire, ce qui rend au praticant toute la puissance de son potentiel imaginatif et créatif.
Absolument tout peut être inclus dans notre pratique magique : divinités anciennes (ou plus modernes avec la Wicca), mythes universels ou folklores régionaux, démons, esprits de nos ancêtres, êtres du petit peuple... Personne ne remet en question la légitimité de ces sujets à être incorporés à la pratique de quelqu'un, tellement ça tombe sous le sens que ça dégouline de magie et d'ésotérisme. Mais du coup, si "rien n'est vrai, tout est permis", dans le sens où rien n'est un dogme obligatoire et bien carré avec un parcours-type et une liste de ce qu’il est possible d’intégrer à suivre à la lettre, alors il n'y a pas UNE "vraie" magie qui fonctionne de telle façon, insinuant de facto que le reste est faux (d'ailleurs n'importe qui vous avançant le contraire est un charlatan), donc qu'est-ce qui empêche une personne d'avoir recours à des entités ou pratiques "non-conventionnelles" dans sa pratique magique ?
Spoiler alert : Et ben rien en fait. L'idée me retourne le cerveau quand je pense à l'étendue des possibilités.
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De l'usage de la pop-culture en magie
La culture populaire représente une forme de culture dont la principale caractéristique est d'être produite et appréciée par le plus grand nombre, à l'opposé d'une culture élitiste ou avant-gardiste qui ne toucherait qu'une partie aisée et/ou instruite de la population.
(merci wikipedia pour cette entrée en matière)
N'importe quel élément d'un film, d'un livre, d'un jeu... peut être détourné et venir nourrir sa pratique. Il suffit tout simplement de prendre un point de départ (un élément précis de la pop culture), et de voir comment l'appliquer en magie (loi d'analogie, loi de sympathie, potions, sigils, quelles correspondances on peut trouver, etc).
J'ai vu de tout, au gré de mes recherches, sur le sujet : Des sigils des 4 maisons de Poudlard, des adaptations du Polynectar ou du Felix Felicis, un rituel de patronus... Des sorts inspirés par les capacités spéciales de certains pokemons, ou l'utilisation des pokemons légendaires comme néo-panthéon... Peu importe que le point de départ soit Harry Potter, le Seigneur des Anneaux ou Sailor Moon, du moment que les éléments sont récupérés et ritualisés, insufflés de votre intention, tout cela est v-a-l-i-d-e.
Ces éléments extraits d'univers de fiction sont autant des archétypes valables que les figures du tarot. Qu’est-ce qui en ferait des modèles moins légitimes ?
Qui dit pop-culture dit aussi stars, célébrités, artistes... Pourquoi pas une prière à Freddy Mercury en tant que Saint-Patron des bisexuels, ou un sort inspiré par une chanson de Lady Gaga ? Quid d'un tirage de tarot avec des cartes UNO, un charme d’amour inspiré de Gomez et Morticia Addams ou un rituel inspiré d'une scène ou d'un personnage de votre film/série préféré-e ?
Absolument TOUT est possible.
Et c'est cela que j'adore avec l'idée de la Pop-Culture Witchcraft : la magie est ce que vous en faites. Loin du côté élististe et hautement cérémoniel qui peut en impressionner/rebuter certains, cela ne représente qu’un pan du champ des possibles. Vous êtes libres de créer une pratique qui vous ressemble, selon vos affinités avec divers milieux/univers. Votre imagination est un pouvoir que vous mettez à disposition de votre pratique.
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Quelques idées d’applications supplémentaires
Musique :
Vous avez sûrement des chansons qui vous touchent et vous parlent profondément. Certaines me font l'effet d'être de puissants sortilèges magiques, alors même que cela n'était probablement pas l'intention de leurs auteurs. Les psalmodier/scander peut être une forme de prière, que ce soit pour vous apaiser/concentrer, renforcer votre confiance en vous, vous vider d’émotions négatives ou attirer quelque chose à vous (selon de quoi parle la-dite chanson).
Aussi, si vous jouez d’un instrument, alors reproduire une mélodie (d’un groupe que vous adorez, ou même issue d’un jeu vidéo, comme les musiques à l’ocarina de Link par exemple) peut être une partie ou la totalité d’un rituel, ou d’une offrande (pourquoi pas jouer des chansons d’amour à Aphrodite, ou lui concocter une playlist pour mieux vous connecter à son énergie tout en l’écoutant ?).
Peinture :
Si comme moi vous êtes plutôt du genre artistique, avez-vous déjà pensé à vénérer votre/vos artiste-s préféré-e-s plutôt que d’autres déités de panthéons plus ‘reconnus’ ? Leur inventer des prières, vous connecter à leur énergie en étudiant leur vie personnelle et leur charte natale, imaginer des tirages de tarot basés sur les constructions de leurs tableaux... On est ici à la frontière entre la Pop Culture Witchcraft et l’Art Witchcraft, mais eh, rien n’interdit de mixer les genres ;)
J'ai en cours un gros projet dans cette même veine : créer un oracle divinatoire à partir de mixed media, où chaque arcane serait une célébrité/artiste qui m’a influencé, pour me guider et m'inspirer selon leurs domaines respectifs.
Jeux vidéos :
Les jeux vidéos font partie intégrante de la pop-culture et ont su s’imposer au fil des générations comme un médium artistique et culturel à part entière. En ce qui concerne ma pratique, l'univers des Elder Scrolls a été une mine d'or de pop-paganisme ! Je n'ai pourtant joué qu'à Skyrim, mais néanmoins j'y ai puisé déjà pas mal d'inspiration pour ma pratique personnelle. Déjà, en terme de panthéon. Plusieurs aedra m'attirent (principalement Dibella et Kynareth), tout comme certains daedra (principalement Azura et Hircine). Je m'interroge actuellement sur comment les vénérer quotidiennement, dans quels buts, quel genre de magie leur associer, quelles correspondances, quelles offrandes, etc... Exactement le même genre de cheminement/questionnement que j’aurais en sentant l’appel d’une autre déité d’un panthéon plus “classique” en terme de magie. Une fois ceci clarifié, ils auront tous droit à un article dédié sur ce tumblr ! ^^
Je me suis inspiré également de certain-e-s recettes et ingrédients emblématiques du jeu : le sucrelune, les différents sels, le vin de sang argonien, etc... J'ai hâte de vous présenter mon adaptation de chaque ~
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Et vous, avez-vous (ou considérez vous l’idée) nourri votre pratique de références pop-culture ? ;)
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lamesangebleue-blog · 4 years
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Shadow Warrior
Les ordinateurs sont arrivés vers l’an 2000.
On nous a livré un jour un ordinateur Compaq, avec un grand écran blanc équipé d’une large molette et une tour blanche ornée d’un bouton d’allumage vert d’eau. L’ordinateur a été installé d’abord dans la chambre des parents, mais maman ne supportant plus les bruits du jeu de tank de papa, iPanzer’44, et il a finalement été déplacé au salon. “Jawohl Herr Kommandant”. Pendant environ cinq ans, aucun de nous n’a vu dans cette grosse boite blanche d’autre utilité que de faire des dessins sur microsoft paint, et de faire grossir ses effectifs d’hoplites sur Age of Empires. Charles, un peu plus aventureux, avait mis la main sur un First Person Shooter à gros pixel, Shadow Warrior. Après deux mois de frags intenses menés en cachette de Papa et maman, on lui a retiré son jeu. Maman l’avait tout d’abord trouvé de plus en plus pâle, et avait découvert avec inquiétude qu’il était sujet à des spasmes de tremblements de plus en plus fréquents. A partir de ce jour-là, et durant toute mon enfance, il y a eu comme un tabou autour de Shadow Warrior. Il parait que le jeu avait été interdit dans le monde à la suite de crises répétées chez les joueurs les plus sensibles, et que Charles possédait un des rares exemplaires encore sur le circuit. Des paquets d'hémoglobine rouge-brun presque coagulés qui jaillissaient en jeyser, aux insectes arachnoïdes qui courraient sur le sol pour se jeter soudainement à votre gorge, on disait que gameplay n'avait été conçu que dans un seul objectif: choquer profondément le gamer. Le studio avait cherché dès 1997 à avertir le monde : la pop culture serait plus trash. C'était une nouvelle ère.
Je relis dans ma mémoire l'épisode Shadow Warrior à l'évocation du site Rotten.com. Mes grands cousins germains, que j'ai toujours trouvé particulièrement lents et benêts, nous en avaient parlé un jour, alors que nous déjeunions ensemble à l'occasion de je ne sais quelle cérémonie de profession de foi. C'était le plus agé d'entre eux, Jean-Philippe, qui avait jugé amusant d'évoquer à ses petits cousins de 8 ans l'existence d'un site accessible par n'importe qui, et qui diffuse des photos de corps humains en décomposition, de cadavres grillés dans des transformateurs électriques, de membres atrophiés purulents. Pour jeter un œil, il n'y avait qu'à taper "rotten.com" dans la barre URL. D'un seul coup, l'ordinateur élargissait son potentiel, il n'était plus seulement question de mettre le feu aux murailles assyriennes, ou de dessiner des copies tremblantes d'Achille Talon sur paint, il était désormais question de voyeurisme, de péché, de douleur. Il était question du mal. Je n'ai jamais mis les pieds sur Rotten.com, de la même manière que je n'ai jamais cherché à regarder "Two girls One cup", la fameuse vidéo pornographique dans laquelle deux filles mangent leurs excréments. Je suis trop sensible aux images.
Quoiqu'il en soit Charles avait annoncé la couleur, il était de ceux qui pouvait s'enferrer dans des parties de FPS à rallonge, et jusqu'au petit matin. De manière inattendue, la relève de Shadow Warrior allait venir d'Hélène, notre grande sœur première de classe, et grande lectrice du magazine Je Bouquine. Le hors-série Aventure de l'été 1999 s'intéressait "au pays des Elfes et des Dragons". Il comportait sous son blister une démo d'un jeu de RPG qui allait changer notre enfance: Baldur's Gate. Nous avions fébrilement passé l'été 1999 a regarder cette pochette de CD-ROM (elle mettait aux prises un guerrier en armure à un gigantesque monstre à corne), en espérant qu'il serait compatible avec le système d'exploitation Windows 95 de notre ordinateur resté à Paris.
Les grandes thématiques de notre éducation couvraient jusqu'alors un spectre large et varié, allant des tableaux de Bonnard, aux chants de la légion étrangère en passant par le rugby, Star Wars et Leonard Cohen, mais on nous avait rien dit sur l'Heroic Fantasy. Le retour rue Spontini a été un émerveillement. La pochette cartonnée annonçait en lettres celtiques "En cadeau : 20h de jeu" mais nous avons probablement passé 15 fois 20h à refaire éternellement la même portion de l'histoire, qui commençait dans l'auberge de Winslow, jusqu'à la lisière de la forêt de Bois-Manteau. C'est après avoir tenté toutes les variantes possibles dans nos interactions avec les rodeurs et les magiciens croisés tout au long de la quête, que nous nous lassâmes petit à petit de notre démo de Baldur's Gate. Pour prolonger le plaisir, Charles qui n'avait jamais vraiment lu autre chose qu'un vague Chair de Poule demanda pour son anniversaire les trois livres du Seigneur des Anneaux. Il les lut aussi sec, puis il lut Bilbon le Hobbit, et enfin tous les autres recueils de nouvelles de Tolkien aux jolies couvertures ornées de dragons et de mages. Par chance, Peter Jackson préparait à ce moment-là son adaptation cinématographique du Seigneur des Anneaux, qui sortit en 2001. En un sens, Charles vécu quasiment cinq ans non-stop dans un monde d'elfes. Il s'identifiait naturellement plutôt à Aragorn, et j'écopais du terne Légolas.
Autour de 2004 nous passâmes sur Windows XP. Notre ordinateur n'était plus blanc, il était noir, c'était un DELL. En cadeau nous reçûmes deux lecteurs mp3 de 64mb, c’est-à-dire qu'on pouvait y charger l'équivalent de 12 morceaux. Le jour de l'arrivée de l'ordinateur, Charles installa Counter Strike.
Cela faisait une ou deux années qu'on trainait autour du mythique FPS (first person shooter). Le déclencheur avait sans aucun doute été la kermesse de notre collège, où Hélène avaient été admise vers 1998 grâce à ses bonnes notes, et où Charles et moi fîmes progressivement notre entrée grâce aux bonnes note de notre soeur. Tous les ans au milieu du mois de juin, l'école se transformait en gigantesque centre de stands de pêche à la ligne, en étalage de bonbons, en magasin de bricoles. De la sixième à la terminale, chaque classe prenait la responsabilité d'une activité, tandis que les petits faisaient tourner les chamboule-tout ou les rase-ballon, les plus grands investissaient la salle de technologie pour la transformer en unité de jeu en réseau, branchée sur Counter Strike 1.5. Le week-end tournait en continue sur une seule map: cs_mansion. Maman nous donnait des coupons de jeu qu'elle nous imaginait dépenser aux grand air avec des camarades de classe pleins d'énergie, mais nous passions nos week-end encagoulés, avec une AK-47, à tenter de libérer des otages dans une maison en parpaings, tristement isolée au bout d'un jardin sec et entourée de murs gris. La salle de techno était une entre recluse et qui sentait la transpiration, elle était connue des initiés seulement et il me semblait que Charles y régnait en maître. Dès l'année de première, il prit le contrôle de l'activité jeux en réseaux lors de la kermesse. Devant son pseudo de joueurs il inscrivit "Miasme BTC", le nom de sa team, bâtie en collaboration avec ses deux copains de lycée Baudoin et Tancrède qui était en somme la combinaison d'un mot qu'ils venaient d'apprendre en cours de biologie, et de leurs trois initiales. Charles était le plus gros fraggeur de la salle. Au beau milieu du samedi je déboulais en salle de techno, mon cher frère m'apercevant de loin, me faisait passer devant la queue des collégiens, probablement tous interdits de jeux vidéos chez eux, comme c'est l'habitude dans les familles bourgeoises de l'ouest parisien, et qui venaient jusqu'à ce coin reculé de l'école, dans un couloir désert du 3ème étage en cachette des parents. Charles virait un petit et m'installait derrière un ordinateur pour deux ou trois heures. Le soir à la maison, quand maman nous demandait comment la journée s'était passée, je répondais que j'avais surtout donné un coup de main à Charles pour son stand. Alors elle faisait rouler ses yeux dans une fausse impression de colère, papa disait "ça va péter!" en imitant la voix enregistrée du jeu qu'il avait souvent entendue quand Charles jouait et qui retentit au moment où le joueur balance une grenade. Hélène, qui était en pleine période emo avait passé sa journée de kermesse dieu sait où, probablement avec ses amies emo. Généralement, Charles ne venait pas à la messe le lendemain, il se rendait directement au 3ème étage avec Tancrède et Baudin. 
Nous passâmes notre Noël 2013 au Hameau, chez mes grands-parents. Pour emmerder papa, et pour faire plaisir à maman, j'ai toujours dit détester cette grande maison bourgeoise sans charme. L'ameublement n'y était ni beau, ni précieux, ni pratique, avec ses sièges recouverts d'une tapisserie jaune criarde, ses commodes massives, ses pendules empire aux dorures grossières et aux thématiques antiques sans surprise. Sur la commode du fond seulement, il y avait un point de repère rassurant: une bonbonnière chinoises pleines de sucreries à la violette achetées chez Auchan. "Daddy" et "Granny" avaient fait tendre sur tous les murs un tissu gris-vert qui tenait l'ensemble dans un mouvement esthétique que j'estimais assez bancal. Enfin, j'étais gêné par cette impression de propreté maniaque, la collection de plumeaux, les boules de naphtalines dans les armoires vides des chambres, cette odeur de savon noir qui polissait les carreaux marrons qui couvraient tout le rez de chaussée. Les chambres de la maison était nettes, les draps se trouvaient recouverts d'un dessus de lit fleuri, sans un coussin pour déborder, sans un mouton de poussière pour dépasser. Elles donnaient l'impression d'être là pour la forme, en attendant d'être occupée le temps d'un week-end par une famille de passage. D'ailleurs maman se demandait bien ce que ses beaux-parents étaient allé faire à s'enterrer comme ça dans la Sarthe, le trou du cul de la France, eux qui avaient toujours vécu à Paris, se foutre à la campagne comme ça, près du Mans, où ils ne connaissaient personne… Incompréhensible… Il devait y avoir une théorie derrière, un plan scientifique, un diagnostic froid, tout droit sorti du cerveau de son beau-père médecin. La posologie était simple: 6 mois dans la Sarthe, 6 mois à Nice. Il ne connaissaient personne non plus à Nice.
Autrefois la campagne avait dû y être belle c'est certain, mais depuis quelques années, elle était barrée de voies rapides, lézardées de bretelles d'autoroutes, et envahie de giratoires. Il fallait maintenant prendre la voiture pour espérer trouver un coin de promenade encore à peu près préservé. La Zone d'activité Le Mans Nord rejoignait maintenant Neuville à plus de 20km, et s'arrêtait maintenant à 2km du Hameau. Elle s'était tellement étendue durant les dernières années qu'on finissait la plupart du temps par rester à la maison, et la grande sortie du week-end consistait désormais à faire le tour des enseignes : Auchan, Toy's R Us, Decathlon… Nous ramenions de nos virées des trophées variés: mini-saucissons aux noix, Pringles paprika, figurines Action Man, filets de badminton, jeux de croquet… Cette maison ennuyeuse trouvait une nouvelle vie avec la ZAC. Pour mes grands-parents, finies les parties de belottes puisqu'on pouvait maintenant aller au cinéma voir la dernière comédie française, finies les tristes omelettes du dîner, puisqu'on pouvait déguster des wild wings au Buffalo Grill, finies les rillettes du paysan de Neuville puisque le rayon apéritif de chez Auchan était grand comme la Sarthe.
Charles avait réussi à mettre la main sur une vieille Nintendo 64, avec 3 manettes, et 8 jeux, que nous installâmes dans la cuisine du Hameau. Avec les années, papa et maman devenaient de plus en plus coulants avec leurs grands principes sur les consoles de jeux. Ils nous trouvaient globalement raisonnables.
Dans ce coin de campagne française, il n’y avait en tout et pour tout qu’une seule véritable balade, qui longeait un chemin boueux sur un ou deux petits kilomètres. Elle passait devant un gros platane qui faisait s’extasier papa et devant une grosse maison cossue qui avait fait dire à notre grand-père “si tu l’achètes, je te tue”. Cette phrase-là avait marquée maman au point qu’elle nous l’avait répétée, à nous trois, ses petits enfants chéris. Cette phrase, elle nous l’avait dite sur le ton de la confidence, comme quand on s’adresse à un ami, à une oreille alliée qui opine du chef avant même que la révélation ne soit faite. Je devais avoir 10 ans mais j’avais été troublé par cette menace d’un père à son fils, alors même que toute l’éducation de maman était dans la douceur et l’amour sans condition. Cet épisode avait achevé de rendre irréconciliable cette différence profonde avec mes grands parents bizarres et leur campagne désolée. A cet âge deux questions ont commencé à m’agiter: mon grand-père, qui était cet homme? Et plus profondément encore, mais qui est papa?
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philippinesvsusa · 5 years
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17ème week-end 16ème semaine de cours
Samedi, le mois de décembre à débuté et avec lui toutes les promesses de Noël, l'ambiance festive et les joies des fêtes. Nous avons un brunch à l'Eglise destiné à la gente féminine. La salle était remplie de table décorée de differentes façons car sugettes à un concours. Le thème était nuit silencieuse,je crois… En tout cas c'était chouette comme déco. Pour le brunch, nous avons eu de la quiche, de la salade de fruit, des pancakes allemands et du lard. Pour commencer, une chanteuse a fait un petit solo comique immitant une mère en plein shopping de noël essayant désespérément de chanter avec les cris des enfants. Petit exemple:
“ Oh la magie de noël, lalala”- interruption ” ne mets pas tes doigts dans ton nez c’est dégoûtant, laisse les cheveux de ta soeur tranquille”- “ Oh magie de noël…”
Ensuite, il yeu une chorale et une prise de parole sur la trêve entre soldats de 1914. Bon, tout cela relier à Jésus, évidemment.
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Après être revenue à la maison, j'ai dessiné et travaillé mon anglais.
Dimanche, nous sommes allés à la messe et j'ai pris part à une des classe qui ont lieu chaque dimanche et se déroule en cycle d'un mois. Ce dimanche était la première session du mois et tout était à propos de notre église. Mon père d'acceuil a décidé de suivre les cours avec moi. Il y avait peu de monde, 7 personnes et en une grosse demi-heure c'était terminé. Nous sommes donc rentrés et j’ai été au magasin pour acheter une carte postale. Je me suis amusée à faire tous les rayons et j'y ai passé deux heures. Noël est de sortie! Devant les 4 rayons de cartes postales, les boules de neiges, les cannes à sucre et les jouets pour chiens, j'etais en overdose. Pour le dîner, nous avons mangé un plat péruvien: pomme de terre, riz, oeuf et poulet. Après le repas, nous sommes allés voir les lampes de Noël. C'est un site pétrolier désaffecté à 15 minutes de la maison, un peu à l'extérieur de la ville. Au début, des particulier avaient commencé a décorer leur maison puis boyant que les gents venaient pour admirer, ils ont acheté un terrain et fait un circuit que l'on parcour en voiture. Il y a de nombreux bolontaires et ils ont même leur propre stations de radio. L'endroit est rempli de décorations de noël et de girlandes de toutes les couleurs. Au début, j'étais sceptique. En mode, bon trois girlandes sur un arbre, pas besoin d'en faire tout un plat… En réalité, c'était des centaines se guirlandes et c'était magnifique! Je vais essayer de vous mettre une vidéo. Bous devez expérimenter cette magie de noël américaine. Ca réchauffe et illumine de l'intérieur. Bon je suis pas reporter donc on ne juge pas la qualité.
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Lundi, la semaine a démarré et le froid, la pluie et la flemme m'ont incitée à manquer cross country cette semaine. J'ai donc passé tous mes matin dans la bibliothèque et après avoir pris le bus c'était parfait pour sécher mes vêtements. J'adore cet endroit. C'est immense, rempli de livres. L'ambiance est chaleureuse et les bibliothécaires charmantes mais bavardes. Après ça on viendra dire que ce genre de places est sensée être silencieuse. Lol Evidemment, les décorations de noël ont fleuri dans tous les jardins, du magnifique à l'étrange voir douteux. 🎅🙍‍♂️☃️⛄Les bibliothécaires ont fait un bonhomme de beige avec des livres. C'est trop stylé. En anglais, nous avons commencé à regarder le seigneur des anneaux et ça nous a occupés toute la semaine. Moi qui avait passé 18 ans sans en voir un seul, je me retrouve à connaitre les dialogues par coeur après les avoir déjà vu avec mon père d'acceuil qui est un grand fan.
Mardi, j'ai réalisé que les congés de Noel étaient dans trois semaines et les examens aussi! Mais apparement nous allons reviser en classes. Adviendra que pourra. Dans la soirée, nous avons mangé un deuxième plat péruvien composé de riz, frites, steak et legumes.
Mercredi, j'ai reçu certains colis que j'avais commandé durant le cyber Monday, une version du black Friday sur internet. Dans la soirée, nous sommes allés à l'église pour la soirée de communion qui a lieu une fois par mois.
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Jeudi, je me suis endormie dans trois cours différents! Aussi, je vous ai pris une photo de mon plat à la cafetaria parce que je l'avait pas encore fait depuis le debut de l'année et que pour une fois il y avait plein de légumes. Et ce jour la on a egalement eu droit à l dégustation de nachos et gâteaux qu'on pouvait côter. Dans la soirée nous avons jouer avec de la plasticine. En vrai les enfants on fait que rouler des boudins pendant qu'on était partis pour faire de l'art. Lol
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Vendredi,nous sommes allés au cinéma voir “ Fantasriques Beasts” avec les autres étudiants échanges. Nous avons rencontré la cinquième etudiante la semaine passé. Elle vient de Suède et a 15 ans. Évidemment, nous avons cédé au cliché et partager 2 paquets de popcorn XL. Elles ont également pris des cocas taille S qui ressemblaient à nos sodas larges! Bon le pop corn était salé du coup l'amoureuse de sucré que je suis a pleuré mais j'ai quand même manger. Lol C'est seulement à la moitié du film que j'ai réalisé qu'il n'y avait pas de sous-titres et que je comprenais. J'étais trop en joie. Chaque jour mon écoute s'améliore !
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Gros bisous au goût popcorn
Emilie 😘
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le-gaming-zoom-blog · 6 years
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Les références de la culture geek à l’épreuve du temps
Star Wars, Donjons et dragons, Star Trek, Superman et autres comics… Les incontournables de la culture geek sont nombreux, mais souvent vieillissants. A gros coups de reboots, ces références sont souvent remises au goût du jour aujourd’hui. Mais sont-elles pour autant intemporelles ?
Aux fondements de la culture geek, la technophilie, mais aussi l’imaginaire et ses mondes fantastiques foisonnants. C’est dans les années 1980 que les geeks commencent à se structurer autour de références culturelles communes. Ils sont des millions à se passionner pour des sagas qui deviendront rapidement culte. Sous l’impulsion de ces œuvres pionnières, le geek se veut maintenant adepte de fantasy et créateur de mondes. L’appellation est désormais revendiquée par un très grand nombre. Interrogé par Numérama en avril 2018, le sociologue David Peyron détaille très bien ce tournant de l’histoire geek en répondant à la question « Que signifie être geek aujourd’hui ? » .
Aux origines de cette « culture geek », des sagas comme Star Trek ou Star Wars. En 1966, la série créée par Gene Roddenberry est vite adoubée par une partie du public. Les « trekkies », fans inconditionnels sont nombreux et fidèles. Que dire alors de Star Wars dont le premier volet sort en salles en 1977 . C’est un très grand succès populaire et commercial (6,4 millions de spectateurs depuis sa sortie), un vrai tournant pour les geeks. A tel point qu’une connaissance pointue de l’épopée galactique devient une norme chez beaucoup d’entre eux. Ce qui change ? Désormais, les passionnés partagent des codes, des références et des centres d’intérêts culturels communs sur lesquels ils peuvent échanger. Devant les écrans de cinéma, les consoles de jeu vidéos, les bandes dessinées ou les jeux de plateaux, une culture commune se forme, bien aidée par le boom de la science-fiction et les progrès technologiques.
Des références toujours d’actualité ?
Aujourd’hui, la question se pose. Pour certaines comme Star Wars, cela ne fait aucun doute. La série dispose encore de millions de fans tout autour du monde. Son rachat par Disney et le rythme effréné d’un nouveau film par an entretiennent l’engouement des fans. Pourtant, ce n’est pas le cas de toutes les références évoquées. Pierre, 22 ans et geek assumé le confirme en mentionnant Star Trek : « Je ne regarde plus, ça très mal vieilli et c’est un peu ringard ». La série ne fait pas partie de la culture geek de l’étudiant en informatique. Pourtant, ce n’est pas faute d’avoir essayé de se renouveler depuis ses premières versions télévisées. Chaque année ou presque, un nouveau reboot cinématographique sort en salles. Chez Maya, 27 ans, le son de cloche est le même. Pour la masseuse kinésithérapeute, « Donjons & Dragons, ce n’est pas ma génération, je connais de nom grâce à des séries comme The Big Bang Theory, mais je n’y ai jamais joué, et ça ne m’attire pas particulièrement ». Le jeu de plateau n’a pas beaucoup évolué depuis sa sortie en 1971. Ces références, incontournables pour beaucoup il y a quelques décennies ne le sont donc plus forcément aujourd’hui. La culture geek est évolutive : certaines sagas en restent au panthéon quand d’autres descendent de leur piédestal au fil du temps.
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Les mutations de la culture geek
Les références culturelles des geeks sont évidemment mutagènes. Eles évoluent avec le temps et se renouvellent. Un exemple marquant ? Harry Potter. La saga de l’Ecossaise J.K.Rowling fait partie de la culture populaire, mais aussi de la culture geek. De véritables communautés de passionnés actives virtuellement et « in real life » se sont formés. Harry Potter suscite un engouement quasi jamais vu depuis Star Wars, et les geeks ne sont pas épargnés par le phénomène. Sarah, 25 ans, le confirme dans les couloirs du Comic Con de Paris : « J’aime Star Wars, le Seigneur des anneaux, mais mon univers préféré reste de loin celui d’Harry Potter. Je fais la collection des figurines pop de la série.  J’ai beaucoup d’amis fans aussi, on se réunit souvent pour faire des soirées quizz Potterhead ». Tous les geeks n’apprécient pas forcément le petit sorcier, mais il est rentré dans l’imaginaire collectif et désormais souvent associé à la culture des geeks.
Dans les tendances de ces dernières années, il y a aussi le boom de l’industrie du manga (15 millions d’exemplaires vendus en 2017) et le cosplay qui y est étroitement associé. Il a toujours été de coutume de se déguiser dans les conventions (rassemblements de fans), mais l’immense popularité des bandes dessinées japonaises a favorisé l’essor de déguisements de plus en plus sophistiqués. Au Comic Con de Paris, ils étaient nombreux à avoir fait le déplacement, grimé en leur personnage préféré. 
Quelques un des héros nippons les plus cosplayés :
Ici, il y en a pour tous les goûts : Pokemon, Xmen, Avengers, One Piece, Dragon Ball Z… Pour Malcolm, en costume de Luffy, le personnage principal de la série One Piece, « Le cosplay fait partie intégrante de l’univers geek, puisqu’il fait référence à des mangas connus et appréciés par la plupart des membres de la communauté ». Derrière lui, Magda le regarde émerveillée et partage son avis. « Depuis toujours, les geeks se déguisent, aujourd’hui, on est juste passé un niveau supérieur avec tous ces costumes magnifiques », juge-t-elle.
Les codes du milieu ne sont plus tout à fait les mêmes que dans les décennies précédentes, même si certains classiques de la culture geek semblent intemporelles. Problème : n’est pas Star Wars qui veut, et beaucoup d’autres références sont vouées à disparaître. Une situation qu’on peut voir comme une opportunité, ou non.
La youtubeuse Allison Tabbitha, avant et après son cosplay de Jack Sparrow :
Pour en savoir plus 
L’histoire de le culture geek résumé par Jean Baptiste Péretié, réalisateur du documentaire « La revanche des geeks ».
Le sociologue David Peyron vous aide à devenir incollable sur la figure du geek dans la culture populaire dans un article fouillé.  
Vie-de-geeks et le billet sur les communautés de geeks et leurs contrastes pour mieux comprendre ce que signifie être geek aujourd’hui.
Vous voulez tout comprendre du succès du manga japonais en France ? C’est ici.  
Quelques chiffres
Il y a eu 30 000 visiteurs cette année au Comic Con de Paris fin octobre.
Le gagnant du concours de cosplay de ce même Comic Con a remporté la modique somme de 0€, et le droit de s’envoler pour Chicago représenter la France aux mondiaux de la discipline. 
Star Wars a rapporté près de 9 milliards de dollars au box-office dans monde, un chiffre qui ne prend pas en compte le business des produits dérivés.
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dujeu · 2 years
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LOTR: Les anneaux de la bande d'alimentation atteignent 257 millions de vues en 24 heures, brisant des records
La première bande-annonce du grand budget d'Amazon Le Seigneur des Anneaux Série TV, les anneaux du pouvoir, ont fait des chiffres énormes après ses débuts lors du Super Bowl pendant le week-end.
Au cours des 24 premières 24 heures, la remorque avait 257 millions de vues, que Amazon a déclaré est le plus grand nombre pour toute remorque qui a fait ses débuts pendant le Super Bowl. Amazon Marketing Boss Ukonwa Ojo a déclaré que la réponse aux anneaux de pouvoir "a été immense".
"En introduisant la série à venir aux téléspecteurs, notre objectif a été de nous assurer que nous sommes positionnés à l'épicentre de la culture pop tout en restant fidèle à l'univers Tolkien. Il a été incroyable de voir la réaction incroyable à chaque battement de marketing que nous avons dévoilé sur le passé. mois, "dit OJO (via SYFY).
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"Le Super Bowl a toujours été conçu comme le gain ultime des fans; un teaser de cette ampleur mérite de faire ses débuts lors de la plus grande émission annuelle de la télévision et des sports de l'année. Cette réalisation record appartient à nos fans et nous sommes impatients de Continuant à les prendre dans un incroyable voyage menant aux débuts de l'automne », a ajouté OJO.
Les anneaux de la remorque de puissance (Re-regarder dessus!) Montré le premier regard approprié sur l'émission fantastique de Amazon, qui a été dans les travaux depuis des années et relâche enfin en septembre sur Prime. Il contient apparemment de nombreuses notes et suggestions à l'endroit où l'histoire ira et vous pouvez consulter les anneaux de la bande de remorque d'énergie de Seigneur ci-dessous pour en savoir plus.
Les anneaux de puissance ne sont pas le seul projet du projet des anneaux actuellement dans les travaux, en tant que nouveau film d'animation, la guerre du Rohirrim, versions en 2024.
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Lord of the Bagues - Anneaux de Power Teaser Breakdown: tout ce que vous avez manqué dans la première remorque teaser de l'émission
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beatlesonline-blog · 2 years
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rollingstonemag · 6 years
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Un nouvel article a été publié sur https://www.rollingstone.fr/interview-exclusive-dadam-clayton-sur-la-tournee-de-u2/
Interview exclusive d'Adam Clayton sur la tournée de U2
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Dans une interview pour Rolling Stone, le bassiste de U2 Adam Clayton s’explique sur les setlists du groupe, notamment sur cette décision de ne plus jouer « The Joshua Tree »
Quelques mois avant d’entamer les répétitions pour leur immense tournée 2018 Expérience + Innocence, U2 a pris une décision plutôt audacieuse : ne plus jouer les morceaux de l’album « The Joshua Tree », le classique du groupe qui date de 1987, l’épine dorsale des setlists depuis maintenant trois décennies. Après une précédente tournée anniversaire pour l’album, le groupe en a eu assez : « Vous vouliez vraiment ces chansons ? Nous l’avons fait. Maintenant, on passe à autre chose. »
Pendant son ultime journée de congé, avant d’entamer la première partie de la tournée, Adam Clayton a accordé un entretien à Rolling Stone, afin d’expliquer, d’abord, cette nouvelle manière de concevoir les setlists…
Quels ont été les principaux défis auxquels vous avez dû faire face lors de la préparation de cette nouvelle tournée ?
Notre premier défi, c’était de faire mieux que la précédente tournée. « Innocence Tour » a été un succès dingue, elle a établi des liens extraordinaires entre nous et le public. Le son était vraiment bon, la mise en scène était incroyable d’innovation : cet immense écran et la scène qui s’étendait sur toute la longueur de la salle de concert… Je pense que le public a été très touché par ça. Pour notre nouvelle tournée, c’était difficile de savoir comment on allait la concevoir. Nous vivons à une époque très différente, les gens sont sans cesse sur le qui-vive.
Comment la tournée anniversaire pour « The Joshua Tree » a influencé votre approche de celle-ci ?
On savait qu’on allait laisser de côté les chansons de « The Joshua Tree » pendant un certain temps. On pourrait renoncer à ne plus les jouer, finalement, si il manquait une « couleur » au spectacle. Mais pour l’instant, on tient notre parole. On est déjà à 10 dates et on essaye d’inclure le plus grand nombre de nouveaux morceaux. Il y en a encore certains jamais joués sur scène. « The Showman », au contraire, est un titre qu’on a répété très tôt. On a réussi aussi à bien retranscrire en live « Red Flag Day« , et on aimerait en faire pareil pour « Landlady ». Ce nouveau spectacle est en fait là pour vous aider à accepter qui vous êtes, ce dont vous êtes capables, quelles sont vos forces et vos faiblesses. C’est un album très introspectif, alors qu’ « Innocence » était beaucoup plus « extraverti ».
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Cette idée de ne plus jouer les morceaux de « The Joshua Tree », est-ce qu’elle a été prise unanimement ou il y a eu débat ?
C’était une décision assez excitante. Cet album faisait de l’ombre à tout le reste. En fait, on a eu l’impression de terminer une période. Il y aura un moment pour revenir sur ces morceaux, mais on a toujours été honnêtes en précisant : « Ce répertoire est pertinent pour une époque précise ». Je ne sais pas si « Bullet the Blue Sky » convient à ce nouveau spectacle. Pareil pour « With or Without You », je n’en suis pas certain. « You’re the Best Thing About Me » est un peu sa version plus actuelle.
On a entendu Bono dire que si un concert se passe mal, « Where the Streets Have No Name » reste une valeur sûre. Qu’est-ce que ça fait de se dire que vous ne pourrez plus compter dessus ?
On doit se mettre en danger. « Streets » est une chanson puissante et fédératrice mais, encore une fois, je pense que ce serait une détonation si importante qu’elle réduirait tout le reste du set. Pour ce nouveau spectacle, on essaye plutôt de terminer sur « City of Blinding Lights », qui me semble plus cohérente avec le contexte de la tournée. C’est une chanson qui parle d’innocence, jusqu’à un certain point. Bono dit toujours : « Ça a commencé comme une chanson d’innocence, mais ça fini par de la gravité. »
« Nous aimerions que les gens prêtent davantage attention aux deux derniers albums, je les trouve très éloquents »
Parlez-nous de cette décision de jouer enfin « Acrobat »… 
Il y a ce journaliste ennuyeux, qui travaille à Rolling Stone…. Il dit depuis des années qu’il faut jouer « Acrobat » [rires]. C’est une chanson qui, au fil des tournées, nous a déstabilisé puisqu’elle semblait ne jamais s’intégrer au rythme des concerts. Ça a toujours été une rareté et il y a des fans hardcore qui l’ont toujours voulu.  Il y a désormais une résonance émotionnelle qui colle assez bien avec le concept de la nouvelle tournée. Je suis très heureux de l’interpréter. Sur la tournée « Innocence », nous avons eu un set up de batterie très simple. Cette fois-ci, Larry à une batterie complète, ce qui nous permet d’atteindre différents niveaux de jeu. « Acrobat » s’inscrit vraiment là-dedans.
Qu’est-ce qui vous a ramené à « Staring at the Sun? » ?
Ça a toujours été un de mes morceaux préférés. Il s’inscrit d’ailleurs pas mal dans le contexte mondial actuel, un peu sombre. Encore une fois, il s’agit moins d’une chanson pop pleine d’espoir, mais plutôt d’un commentaire très anglé sur la société actuelle.
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Quand vous montrez la marche du Klu Klux Klan, ça reflète beaucoup notre époque !
Oui. C’est un peu comme « Le Seigneur des Anneaux ». Les forces des ténèbres se rassemblent. « Staring at the Sun », ou regarder le soleil, donc ne pas vouloir être impliqué ou ne pas prendre position, tout ça ne semble pas être une bonne option.
Ensuite, avec « Pride », vous projetez des images de Martin Luther King, c’est un moment d’espoir.
Je pense que c’est en plein dans notre plan d’idées. Ces nombreux mouvements contre la culture des armes à feu et en prévention des fusillades dans les écoles… tout ça c’est dingue. Et pourtant, les pouvoirs en place, la volonté politique et les lobbyistes semblent continuer de dire que la solution : c’est davantage d’armes à feu. Dans n’importe quelle situation, ça n’a pas de sens. Ce mouvement semble pour l’instant extrêmement fragile. Peut-être qu’au cours des cinq ou dix prochaines années, ça aura plus de mordant.
Avez-vous été anxieux par rapport au fait que le public n’entende plus ses tubes favoris ?
Nous aimerions que les gens prêtent davantage attention aux deux derniers albums, je les trouve très éloquents. Nous avons travaillé très dur pour chacune de ces chansons. Les paroles de Bono sont, je pense, parmi ses meilleures. Les mélodies sont vraiment travaillées. On y a consacré beaucoup d’effort, c’est pourquoi je voudrais que le public nous comprenne.
La tournée se poursuivra-t-elle jusqu’en 2019 ?
C’est vraiment difficile de le savoir. C’est toujours agréable de réussir une tournée et de toucher le public au maximum. Mais je ne sais pas. Il s’agit petit tournée. On a pris cette décision parce qu’on s’est énormément produits au cours de ces quatre dernières années. Pour l’instant, nous ne sommes pas encore allés en Australie, au Japon, ou en Asie du Sud-Est. On ne s’est pas trop attardés en Europe. Alors peut-être qu’on allongera la tournée, même si on ne s’est pas encore donnés les moyens de rejouer dans des stades. Après tout, je ne sais pas. Je ne fais que spéculer…
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Interview réalisée par Andy Greene, traduite en français par Samuel Regnard
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alvdaz · 4 years
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Comme en 2010.
(Attention, post à double fond)
Je pourrais commencer ce billet par l’intro préférée des blogueurs circa 2010: 
“OHLALALA JE POSTE PAS ASSEZ SOUVENT JE MESCUZE T_T”
Mais je le ferais pas pour une raison simple: je passe ma vie sur Twitter, Instagram et Twitch. Donc en fait, je poste tout le temps. 
Sur le premier, je réagis à chaud et fais donc profiter l’univers de mes hot takes savoureuses au coeur toujours moelleux sous une couche croustillante et épicée.
Sur le second, je ne poste rien pendant 3 semaines puis mitraille 24 stories en 18 heures parce que j’ai décidé de changer une barrette de RAM dans ma config. 
Sur le troisème enfin, je débute en streamant des jeux auxquels personne ne joue et finis par discuter pendant 3 heures avec le chat.
Et là je réalise que finalement ce qui ressemble le plus à un blog à l’ancienne, bah c’est Twitch. Comme sur un blog, on lance une session à l’arrache et, comme sur un blog aux grandes heures de la blogo, elle n’est qu’un prétexte pour échanger avec les viewers, comme on répondait aux lecteurs dans les commentaires à l’époque. Incroyable épiphanie que je n’avais point vu venir quand le stream est arrivé et qu’il a été immédiatement préempté par des PGM de Call Of, des fans de Funko Pop, de WoW et du Seigneur des Anneaux.
Je trouvais ça pété, et ça a pas bougé, c’est toujours nul. Mais y a des côtés sympa quand même, exactement comme les blogs à l’époque. C’est fou ça.
Voila, fin de l’intro, passons au vif du sujet :
LES SKATES ELECTRIQUES 
(comme un post sur deux depuis 2 ans)
Comme je l’avais évoqué il y a 1 an dans mon billet bilan après 1 an de skate électrique:
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J’ai passé les 2000 km sur mon Inboard M1 et je suis désormais en mesure de dresser un bilan totalement objectif de mon expérience:
POUR:
Planche stylée
Style planché
Sensations fun
CONTRE:
Autonomie très bof
Propulsion relou avec le temps (usure des roulements des moteurs)
INBOARD A FAIT FAILLITE, MDR
Et donc, comme je le mentionnais dans le post, quand s’est posée la question du renouvellement du matériel, avec Inboard et Boosted au tapis, je me suis tourné vers ces sociétés chinoises qui trustent désormais le marché avec des produits relativement fiables. Mon choix s’est porté sur la Exway Flex, je vous partage la vidéo très complète de ce jeune youtubeur français qui compense son absence totale de charisme par une rigueur et un professionnalisme de bon aloi, merci à lui:
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J’ai donc pris la Flex parce qu’en dépit de son nom ridicule, elle comporte tout ce qui doit être dans un skate en 2020:
Une autonomie sympa (32 km annoncés, mdr, pour moi ça sera plutôt autour de 20 (ce qui est déjà très bien))
Des performances intéressantes (vitesse max: 40 km/h, c’est validé pour moi)
Une app pour smartphone complète et évolutive (c’est le cas ici)
Des paramètres customisables pour se faire une planche aux petits oignons (absolument TOUT est modifiable, de la courbe d’accélération à celle du freinage, y a même un régulateur de vitesse bordel)
Un rapport qualité/prix intéressant
Si vous cherchez une planche, prenez en compte ces critères au moment de faire votre choix en gardant en tête qu’il en faut au moins 3 dans le produit ciblé pour faire un achat malin.
Mais tout ça ne sont que des évolutions naturellement attendues dans un produit qui sort 3 ou 4 ans après le précédent. Le *VRAI* changement pour moi, c’est surtout la passage d’une transmission par hub motor (moteurs dans les roues arrières) à une transmission par “belt drive” c’est à dire par courroie, je détaillais les pros et cons dans le post initial il y a (déjà) deux ans. Allez, pour les plus flemmards, je reposte l’explication :
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J’avais donc privilégié les hubs il y a 2 ans pour une raison simple: en plus de l’absence totale de maintenance (j’avais été échaudé par la gestion de la tension des courroies et autres sucreries), ces moteurs disposaient d’une roue libre qui permettait théoriquement de skater “en manuel” en cas de problème électrique. Deux ans après, je vous le dis tout de go:
C’est de la couille en barre.
Oui, les hubs ont moins de friction, mais jamais de la vie vous pourrez utiliser la board comme une planche classique en cas de panne: elle pèse 6 kilos et la roue n’est pas si libre que ça, donc oubliez totalement. Ca ne sert qu’à éviter de la porter en cas de panne de batterie et quand ça m’est arrivé, je shootais dedans pour la faire avancer, je n’étais pas dessus. Pour la maintenance par contre, c’était totalement vrai. En 2 ans d’utilisation, je n’ai jamais eu à intervenir sur les moteurs en bricolant après des sorties. Tout est encapsulé et scellé dans la roue, impossible d’y toucher. Du coup en cas de problème, bah faut changer tous les moteurs directement. Zéro maintenance 🙃 
Subséquement, en cas de problème encore plus problématique, comme, au hasard, la faillite du constructeur, vous vous retrouvez avec une planche impossible à entretenir. 
Côté consommables, sur un skate électrique, si toutes les pièces mécaniques sont à considérer comme devant être remplacées un jour ou l’autre, il y a des pièces d’usure que vous êtes CERTAINS de devoir remplacer régulièrement:
Les roues
Les roulements
Les gommes (aka “bushings”)
Les courroies (propulsion par belt-drive uniquement)
Et là avec des moteurs hubs on se retrouve bloqué puisque si le train avant est totalement maintenable avec les pièces du marché, le changement des “pneus” qui entourent le moteur implique de repasser là encore par le constructeur. Et s’il fait faillite... C’est d’ailleurs un pressentiment que j’avais évoqué dès la réception de la planche en 2018: 
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✨DAZTRADAMUS✨
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Vous avez compris, quoi, et c’est une des plus grandes leçons que je tire de cette expérience: même pour ce qui relève de l’usure normale et non d’un problème technique, les planches en moteur hubs sont vouées à ne plus être utilisables si l’entreprise qui les a créés dépose le bilan 
 Alors bien sûr, il reste des stocks à droite à gauche et eBay est une solution, mais c’est un palliatif. Si vous avez claqué 1300 balles dans un produit que vous pensiez pouvoir utiliser pendant 5 ans, repensez à votre investissement. 
Tous ces éléments et la démystification de la maintenance des courroies qui est passé de:
“Waa c’est chaud, faut gérer la tension de la courroie et tout”
à
“Ah mais c’est juste un écrou à resserrer en fait ??” 
... ont fait que je me suis décidé à tenter l’aventure belt-drive. Je pourrai donc changer toutes les roues, les roulements, les gommes et les courroies sans forcément passer par le constructeur, ce qui est rassurant. Oui, si le moteur ou la batterie claquent, il faudra voir avec Exway, mais dans le pire des cas, comme tout est exposé et accessible, je serai libre de dégager les trucs propriétaires et de me tourner vers la scène DIY du skate électrique qui est très active. 
OK MAIS ALORS, CONCRETEMENT, CA DONNE QUOI ? 
J’en suis à 70 km parcourus en 5 jours alors c’est un peu tôt pour se prononcer mais pour l’instant je peux déjà donner mon sentiment :
CONFORT: Le jour et la nuit. La planche est flexible et non rigide, ce qui atténue pas mal les vibrations, mais en plus les roues, plus grosses (85 mm au lieu de 80), sont de vraies roues, la couche d’uréthane est donc plus épaisse que sur le Inboard et ça se ressent dès le franchissement du premier trottoir. Au lieu du “TAC” habituel auquel je m’attendais et qui donne l’impression qu’on casse un truc, j’ai été accueilli par un bruit étouffé assez discret. Pour le reste j’ai l’impression de rider dans un bol de chamallows et c’est très agréable. 
BRUIT: Je savais que les propulsions par courroie étaient de base plus bruyantes. En poussant la board à fond j’ai compris pourquoi Exway a baptisé son système “Riot Kit”. Autant ça ne s’entend pas trop jusqu’à 20 km/h, autant dès qu’on passe cette barre, l’accélération franche est accompagnée d’un hurlement bestial qui donne l’impression de chevaucher des gros chats sous psychotropes. C’est cool parce que le bruit va avec la vitesse: on fait du bordel, mais on passe vite. A voir si ça reste comme ça à l’usage ou si le bruit va se faire plus présent même à basse vitesse.
PERFORMANCES: ça va vite, ça accélère fort et le ride est totalement paramétrable, pour moi c’est un grand oui.
AUTONOMIE: LE point qui change tout pour moi. Inboard avait fait le choix des petites batteries interchangeables, ça restait discret et il suffisait d’acheter des batteries supplémentaires (199 USD pièce) pour doubler ou tripler l’autonomie. J’ai acheté 3 batteries. Aujourd’hui, il ne m’en reste qu’une seule utilisable. Exway a collé une grosse batterie direct, c’est moins scred, mais en une charge je fais plus de 20 km, ce qui me permet de faire des bails Maisons-Alfort/Paris sans passer par la case métro/RER et c’est très plaisant.
MAINTENANCE: là aussi c’est un peu tôt pour se prononcer mais en 70 km je sais déjà que je vais bricoler bien plus qu’avec le Inboard. Les courroies vont prendre cher (elles ramassent tous les petits cailloux et gravillons), un check-up régulier pour déloger les débris coincés dans la courroie ou les poulies est donc indispensable pour éviter l’usure prématurée. Les éléments étant fixés sous la planche et non dedans, la garde au sol est plus basse et logiquement, les boitiers ont déjà pris des coups. Après 70 km le carter de protection des courroies fait déjà la gueule (j’illustre avec un extrait de la vidéo pour vous donner une idée, j’ai la flemme de photographier ma planche), je sens que ça va demander pas mal de “petits” changements à coup de pièces détachées à 15-20 EUR.
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Mais bon, j’ai payé la planche, shipping inclus 680 EUR. C’est deux fois moins cher que le prix de la Inboard, sans même prendre en compte les batteries supplémentaires. Même en dépensant dans des pièces d’usure plus fréquemment (j’ai déjà commandé des courroies supplémentaires), ça devrait rester plus rentable.
Rendez-vous dans 6 mois pour un premier débrief. En attendant, si vous avez des questions, n’hésitez pas à les poser en commentaire, ça rappellera 2010 🙉 
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pointsurarcane · 4 years
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Point sur la genèse - La saga Pirates des Caraïbes
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  Nous allons revenir dans ce nouveau point sur la genèse sur les origines de la saga cinématographique Pirates des Caraïbes. De ses inspirations peu communes à sa réception critique en passant par des secrets de tournage, nous allons suivre chronologiquement le processus de création de l'une des séries de films les plus marquantes de ce début de siècle. Disney avait pour idée depuis le tout début des années 90 d'écrire un film sur la piraterie. Le genre, mal représenté dans les décennies précédente, avait fait de gros flop aux box offices malgré la fascination du public pour le sujet. Le groupe était donc à la recherche d'un bon scénario pour lancer un projet à grande échelle, sur le modèle des dernières grandes saga cinématographiques comme le Seigneur des Anneaux, les débuts d'Harry Potter ou encore Matrix. En 2001, une première version du script est écrite, Disney est prêt à produire le film, non pas pour le cinéma mais pour une sortie directement en DVD. Le projet est finalement révisé jusqu'à une version finale en 2002. L'idée première du scénario a des origines pour le moins étonnantes pour un film. On s'attend, la plupart du temps, à l'adaptation d'un roman, d'un conte, d'une légende ou encore simplement un scénario original. Ici, l'histoire est adaptée d'une attraction. Vous avez bien lu, ce qui a motivé le projet du film en premier lieu était la popularité d'une attraction de Disneyland. Néanmoins, celle-ci demeure adaptée d'un roman – L'île au trésor de Robert Louis Stevenson, une œuvre classique de la littérature britannique sortie en 1883. Le thème qui ressort majoritairement de cette adaptation est la piraterie. Aucun des éléments majeurs de l’œuvre originale ne seront repris par les scénaristes de Pirate des Caraïbes. Vous l'aurez compris, le film est adapté d'un manège lui-même adapté dans les grandes lignes d'un roman – on a déjà fait plus simple, mais plus improbable... je ne pense pas. Pour le coup le second volet de la saga, Le secret du Coffre maudit, est lui inspiré d'une légende marine Britannique, le mythe de Davy Jones. Par ailleurs je glisse ici qu'un article sur ce personnage sortira ce jeudi, n'hésitez donc pas à revenir faire un tour sur le site à cette date. Plusieurs acteurs sont envisagés pour le rôle de Jack Sparrow : Matthew MacConaughey est le tout premier contacté dès l'écriture du tout premier script en 2001. Le projet n'aboutissant pas, la piste est abandonnée pour l'acteur. Jim Carrey aurait aussi été contacté par la production mais les délais de tournage entrant en conflit avec ceux de Bruce Tout-Puissant celui-ci décline également. Le rôle revint finalement à celui qui l'a rendu iconique et qui a créé l'impact de ce dernier tant sur le film que sur la pop culture – Johnny Depp. Pour ce qui est des autres personnages iconique de la saga, Keira Knightley qui campe le rôle d'Elizabeth Swan, est repérée lors de son audition pour le film Joue-la comme Beckham. Elle a par ailleurs seulement 17 ans lors du tournage du film. Orlando Bloom est lui une valeur sûre pour les producteurs car déjà présent dans la saga Peter Jackson, le Seigneur des Anneaux. Il est donc un choix stratégique pour attirer un public passionné d'aventures teintées de fantasy (et de joli minois, ne soyons pas dans le déni). La production commence à l'été 2002 et se termine près d'un an plus tard en octobre 2003. Mise à part la longue scène de la caverne au climax du film, la majorité des scènes en extérieur sont tournées dans des décors naturels, fait peu rare pour l'époque mais quasi impensable à l'heure actuelle pour un film de cette envergure. Il sort aux US le 9 juillet 2003 et le 13 août suivant en France. Les journalistes, au premier visionnage du film avant sa sortie annoncent un flop monumental. Comme nous le disions précédemment, malgré une fascination globale pour les films de pirates ceux-ci sont des échec monumentaux à l'instar notamment de L’île aux pirates sorti moins de dix ans plus tôt et un record en terme de perte d'investissement. Néanmoins, à la surprise générale (et vous vous en doutez sans doute), le film fait un carton et se hisse dès sa sortie en tête du box-office. La performance de johnny Depp est saluée tant par la critique que par le public et lui vaut des nominations pour les Golden Globe et les Oscar de cette année-là. Disney signe dans la foulée des contrat avec les acteurs pour les deux volets suivants, à savoir le Secret du coffre maudit et Jusqu’au bout du monde, qui sortiront respectivement en 2006 et 2007. On aura cependant droit à un quatrième et un cinquième film qui seront eux bien moins bien notés et qui observeront une changement radical au niveau du casting car parmi les acteurs de la saga originale seulement Johnny Depp restera. La saga Pirates des Caraïbes n'en reste pas moins un pilier des saga cinématographiques de ce début de siècle et de la pop culture. Elle porte en sont cœur des personnages iconiques et des aventures qui n'ont pas manqué et qui ne manqueront pas de continuer à nous faire rêver de combats à l'épée, de traverser les mers et de boire du rhum (en quantité!). Read the full article
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tishalibri-blog · 4 years
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Top 10 séries favorites
Qu’on les aime ou qu’on les déteste, les séries littéraires ont toujours été plutôt populaires. Policier, fantasy, jeune adulte, il y en a pour touts les goûts. Personnellement, j’ai un rapport très binaire avec les séries littéraires : soit je n’arrive pas à rentrer dedans, soit je binge-read toute la série. Voici donc mon classement (non définitif, jamais définitif) de mes séries littéraires favorites.
Le Seigneur des Anneaux (The Lord of the Rings), J.R.R. Tolkien Plus besoin de le présenter : Le Seigneur des Anneaux, c’est LE classique de l’heroic fantasy par excellente. Avec son univers riche, ses aventures et ses personnages attachants, Le Seigneur des Anneaux est l’histoire qui m’a ouvert les portes de l’univers fantasy. Les films m’ont convertie en premier, mais c’est toujours un réel plaisir de prolonger l’aventure avec les livres et de prolonger l’exploration de la Terre du Milieu.
Harry Potter, J.K. Rowling Pour l’anecdote, j’avais 11 ans quand le premier film de Harry Potter est sorti au cinéma, soit l’âge de notre héros principal. C’est à peu près vers la moitié de la saga cinématographique que je me suis lancée dans les livres,que j’ai tous dévorés l’un après l’autre entre deux films. La série de livre  n’a n’a pas pris une ride, et même si elle n’est pas parfaite (je fais partie de ceux qui  zappent l’épilogue), rouvrir les livres donne toujours l’impression de rentrer chez soi.
H2G2 : le Guide du Voyageur Galactique (The Hitchhiker’s Guide to the Galaxy), Douglas Adams Fan depuis toujours de l’humour absurde et grande amatrice de science-fiction, je ne pouvais qu’aimer H2G2. Bourré de références pop culture, de créatures improbables et de personnages hauts en couleur, cette ”trilogie en cinq volumes” est un vrai régal. Attention toutefois : la lecture en public de cette oeuvre de fiction peut déclencher des fou-rires inopinés et vous attirer des regards incrédules. Non pas que ça me soit arrivé.
Sherlock Holmes, Sir Arthur Conan Doyle Honte à moi, je ne me suis intéressée à l’univers du plus grand détective privé du monde qu’avec le film de Guy Ritchie en 2009. Avant cela, le nom de Sherlock Holmes déclenchait chez moi cette image du détective suffisant et super-intelligent, suivi de son plus grand fan qui passait sa vie à chanter ses louangese. Les films de Ritchie m’ont scepandant présenté l’histoire sous un angle nouveau. Le langage est d’époque et certaines conclusions sont tirées par les cheveux, mais les aventures des Sherlock Holmes restent efficaces et passionnantes.
Arsène Lupin, Maurice Leblanc Après le détective, le cambrioleur! J’ai toujours aimé les histoires racontées du point de vue du “méchant”. Les gentils très gentils et les méchants très méchants sont, pour moi, sans intérêt, mais Arsène Lupin est un criminel si charismatique, si rusé et si nuancé qu’il est virtuellement irrésistible.
Le Trône de Fer (A Song of Ice and Fire), George R.R. Martin Un autre classique de la fantasy, LeTrône de Fer a tout : de l’action, de la stratégie, de la magie, des DRAGONS! Descendant spirituel de Tolkien mais avec sa propre personnalité et son propre style, Martin a su se faire un nom dans le monde littéraire, et pour cause. Maintenant, si on pouvait avoir le dernier livre...
Les Désastreuses Aventures des Orphelins Baudelaire (A Series of Unfortunate Events), Lemony Snickett Je parlais d’humour absurde plus haut, Les Désastreuses Aventures en sont truffées! Snickett joue avec le langage avec malice, ses histoires sont pleines de rebondissement et, même si l’histoire était écrite pour un public jeune, les adultes auront toujours autant de plaisir en se plongeant dans les aventures de ces pauvres orphelins traqués par l’affreux Comte Olaf.
Six of Crows, Leigh Bardugo Une bande d’anti-héros partis pour une mission-suicide, de l’action, du fantasy et des rebondissements à chaque page? Six of Crows c’est tout ça et plus encore. Cette série en deux tomes m’a captivée dès la première page, et j’avais l’impression de ne pas lire assez vite tant je voulais savoir ce qui allait se passer ensuite. La trilogie Grisha, qui jette les bases de cet univers passionnant, est sur la liste de mes séries à lire absolument.
Les Chroniques Lunaires (The Lunar Chronicles), Marissa Meyer Contes de fées? Check. Science-fiction? Check. Personnages attachants? Check. Rebondissements et plot twists? Check et check! Les Chroniques Lunaires donnent un souffle nouveau aux classiques des contes de fées et créent un univers à couper le souffle. Marissa Meyer (à ne pas confondre avec Stephenie, l’auteure de Twilight, parce qu’il y a des choses qui ne se font pas), n’est d’ailleurs pas étrangère aux adaptations de contes de fées. Son roman Heartlesss, qui retrace les origines de la Reine de Coeurs d’Alice au Pays des Merveilles fait partie de mes adaptations d’Alice préférées..
The Mortal Instruments : les origines (The Infernal Devices), Cassandra Clare The Mortal Instruments et ses déclinaisons ont leurs failles littéraires, mais j’ai pris beaucoup de plaisir à découvrir l’univers des Chasseurs d’Ombre et des Créatures Obscures. Mais pour moi, la trilogie des origines de la série est la version la plus aboutie de l’histoire. L’époque victorienne est une excellente toile de fond pour cette société secrète fantastique, et les personnages sont bien plus recherchés que ceux qu’on retrouve dans l’histoire de base.
Et vous? Quelles sont vos séries littéraires préférées?
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Le seigneur des anneaux /2020/ vincent VerSus Sabatier / 25 x16 x 5 disponible #pop #art #vincentsabatier #leseigneurdesanneaux #golum #frodon #gandalf #artist #roboclusion @vincent.sabatier @urbangalleryparis @beargalerie @art_montpellier @villedemontpellier @poulpik.gallery @montpelliernow (à Montpellier, France) https://www.instagram.com/p/B8S_h_9HK13/?igshid=14qgkx75jmisi
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parlons-en · 5 years
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HANADRIEL de HANA, de la techno infusée à la culture pop
Après avoir passé quatre semaines à réaliser son album chez elle en direct sur Twitch, la chanteuse HANA vient de sortir le produit final, intitulé HANADRIEL.
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Promouvoir sa musique, ses créations en général n'est pas chose simple. Certains artistes choisissent de publier un nouveau projet par surprise, méthode simple mais efficace. D'autres suppriment toutes leurs publications sur Instagram, comme l'a récemment fait Dua Lipa pour annoncer la sortie de son nouveau single Don’t Start Now. Les réseaux sociaux sont des outils indispensables pour faire sa promotion, mais reste à faire preuve d'originalité.
C'est ce qu'a fait HANA, en annonçant début octobre sur ses réseaux qu'elle allait streamer tous les jours sur Twitch durant trois semaines (puis finalement quatre) le processus de réalisation d’HANADRIEL. Au-delà d'une méthode de promotion inédite, cela lui permet d'installer une proximité avec son public, pouvant assister et participer à la création des titres. Cela peut également être une source d’inspiration pour d’autres jeunes créateurs et créatrices.
De ces semaines de stream est né le nouvel album de HANA, de retour après une longue absence. Bien qu'elle aie récemment sorti un nouveau titre, Black Hole, son EP éponyme est paru en 2016. Année durant laquelle elle a assuré les premières parties de la tournée européenne de son amie Grimes. Le duo a d'ailleurs collaboré sur We Appreciate Power, et précédemment sur une série de clips compilés sous le nom de The Acid Reign Chronicles. HANA fait aussi partie des invités du dernier album du groupe Anamanaguchi : on peut l’entendre sur le titre On My Own. 
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HANADRIEL est un album techno, suite logique de son EP sans lui ressembler pour autant. A travers ses douze titres, il transporte l’auditeur.trice dans un autre univers, dans lequel sci-fi, jeux vidéo et animes ne font qu’un. Au-delà de ses visuels fantasy, on y retrouve plusieurs références à la pop culture : du titre de l’album, inspiré par Galadriel du Seigneur des Anneaux, à l'anime Cowboy Bebop, qui devient Cowgirl Bebop, avant dernier titre du projet. Celui-ci se démarque particulièrement des autres : un peu répétitif mais très calme, une guitare acoustique qui fait penser à la country pop de Kacey Musgraves, pour des paroles touchantes. La chanteuse à confié au magasine Paper qu’il s’agit d’une chanson sur la dépression, qui touche plusieurs membres de sa famille.
De par ses sonorités, difficile d’écouter cet album sans penser aux jeux vidéo et à leurs bandes originales. Exemple sur des titres comme Nu Leaf, ou l’instrumental Hanadriel’s Theme, dont le nom fait explicitement référence aux musiques de jeux vidéo ou d’animes, qui aurait fait une excellente introduction à l’album. En écoutant HANADRIEL, on pense par moments aux premiers projets de Grimes, à la voix de Björk, ou encore à la techno de Yaeji. Malgré tout, HANA à un son propre à elle influencé par ses goûts, qu’elle réussit à se réapproprier afin de créer son propre univers.
Pour conclure, il s’agit d’un album bien construit, dans lequel aucun titre n’est de trop. Ce qui est d’autant plus impressionnant, étant donné qu’il a été réalisé en peu de temps. HANA est une productrice de talent qui déborde de créativité. Elle fait partie de ces musiciennes qui, comme Grimes et Yaeji citées plus haut, prouvent que les femmes sont capables d’être à la fois autrices, compositrices et interprètes. HANADRIEL est un très bon album, confirmant qu’elle mérite plus de reconnaissance.
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Note : 8/10. Titres préférés : Black Orchid, ORCA, Nu Leaf, Chimera 2.0.
Pour écouter HANADRIEL, c’est par ici. Pour regarder les lives d’HANA en studio, c’est par là !
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