Tumgik
#pause déjeuner
fidjiefidjie · 7 months
Text
👶 C'est l'heure ! 🐕
Pause déjeuner 😁 🍽 🤗
Source: youtube
Bel après-midi 👋
365 notes · View notes
wine-dark-soup · 2 years
Text
Tumblr media
yells
0 notes
Text
Pause musicale avant le déjeuner...🎸🎵
Le son, la voix et l'interprétation sont au rendez-vous, c'est parfait !
55 notes · View notes
cpourtonbien · 6 days
Text
Tumblr media
Quand tu apprends pendant ta pause déjeuner qu'une fessée déculottée t'attend ce soir à la maison ...
32 notes · View notes
coolvieilledentelle · 3 months
Text
Tumblr media
Pause déjeuner pour certain ..
et pour d'autres ...
Tumblr media
25 notes · View notes
homomenhommes · 2 months
Text
saga: SOUMISSION / DOMINATION 117
Mardi, Marc à sa journée.
Nous passons la matinée au lit entre caresses, mamours et somnolence. Trop bon !!
Au déjeuner, nous discutons du comportement d'Emma. Je lui dis que j'ai l'impression d'être un mélange d'amant, escort-boy et du fils qu'elle n'a pas eu. Il est d'accord avec moi et ajoute que je ne me suis pas trompé vu la fortune de ma nouvelle " mère ". Je ne me vexe pas car je n'ai pas été la chercher et puis il n'est pas dit que cela dure des années ;encore. Je serais peu être un jour remplacé.
Jimmy débarque tout prêt à 14h. Je lui fais confiance et nous partons aussitôt pour sa prestation. Heureusement le mec chez qui on va est plutôt du genre expéditif. Nous serons de retour dans 2 heures trajets compris. Quand il s'est déshabillé, j'ai pu constater qu'effectivement il s'était bien préparé, son trou arborant le pied d'un plug. Pas de fioriture avec ce client. On arrive, il bande dès que Jimmy est nu. Ce dernier s'installe la tête au fond du canapé, à genoux sur le bord, les fesses en l'air. Le mec le dé-plug et s'enfonce direct dans son cul. 1/4 d'heure à 1/2 heure après, le mec a rempli sa kpote et j'attends Jimmy qui a quand même droit à une douche. Avec ce mec, la séance dure maxi 3/4 d'heure. Heureusement que nous sommes au forfait et pas à l'heure !
Retour à la maison en milieu d'après midi.
Comme j'ai installé mon bureau dans le sien, nous travaillons ensemble, Marc et moi, chacun de son coté, jusqu'en début de soirée.
Nous descendons à la salle de muscu nous détendre. Une heure et demie après, nous sommes fatigués. Sous les douches, après nous être lavés, ;nous nous massons, caressons respectivement nos muscles rebondis par les exercices. Après nous être séchés, nous nous hydratons la peau. A la fin, nous bandons tous les deux. Nous glissons sur les tatamis pour nous embrasser et continuer nos caresses. Doucement, je le pousse sur le dos. A genoux à ses cotés, j'explore son corps avec ma bouche. De son visage, je glisse sur son torse, embrasse ses épaules, lèche ses pecs puis suce ses tétons. Ils gonflent sous ma langue. Je les quitte pour descendre plus bas. Le nombril me distrait quelques minutes mais pas plus, pas très érogène comme zone ! De plus son gland gène son accès dès qu'il bande un tant soit peu, ce qui est le cas. Donc pas de déplacement pour attaquer le morceau. La joue posée sur ses abdos, je travaille son gland et uniquement lui. Léchages, mordillements, succions, je ne cesse de l'exciter que lorsque Marc est sur le point de jouir. Puis je recommence dès que la pression est retombée. Il finit par ne plus tenir et poussant sur ma tête, enfonce sa bite dans ma gorge jusqu'à ce que mes dents entourent sa base. Il m'étouffe mais je crois que j'aime ça ! Il me relâche avant que réellement je manque d'oxygène mais c'est pour se mettre à " m'enculer " la bouche à grands coups de reins. Je laisse faire, je sais qu'il va bientôt s'arrêter de lui même avant de juter. Enfin la pause, mais uniquement pour ma gorge, mon cul, lui, prend la relève et, les épaules au sol, le cul relevé, je me fais saillir comme une chienne. J'aime ses coups de reins possessifs, sa façon qu'il a de me démonter la rondelle (façon qui m'excite autant que de me faire défoncer par une bite de 25cm !). Il le sait parfaitement. Il a su dès la première fois me faire jouir dix fois plus fort qu'avec une meuf. Il s'arrête soudain pour de dire d'aller sur le sling et reprend son enculage alors que les pieds coincés dans les supports j'écarte mon cul comme une salope. Ses mains sur mes pecs, triturent mes tétons. Quand il se couche pour me rouler une pelle, il m'écrase les couilles et la bite, renforçant l'excitation. C'est moi qui le premier cède et j'explose entre nos deux corps. Mon sperme tartine nos abdos. Il se redresse, empoigne mes cuisses et augmente la cadence jusqu'à me juter dedans puis ajoute ses dernières giclées aux miennes avant de revenir les étaler en se recouchant sur moi. Un patin d'1/4 d'heure plus tard, nous sommes retournés nous doucher !
Vraiment trop bon mon mec ! Juste un jock sur le sexe nous sommes remontés diner. Pendant que Marc cuisine, je passe voir Jimmy. Il me demande si nos retrouvailles se sont bien passées. Je lui demande si il a diné et de me faire voir son travail. Il me demande si nous avons besoin de lui ce soir. Sa main sur mon jock me fait bander. Du coup je le ramène à la maison. Marc m'interroge du regard, je lui dis que Jimmy avait envie de nous faire plaisir ce soir. Marc lui demande comment. Aussitôt Jimmy se place à genoux devant lui et suce son paquet. Marc, rapidement bande. Jimmy détrempe les mailles de la poche à faire durcir Marc. Sa bite distend le tissus élastique alors seulement, Jimmy écarte le bord pour libérer la " bête ". Je remarque que Jimmy utilise tout son savoir faire et pipe Marc comme un pro. Va falloir que je surveille ça de près, faudrait pas qu'il pique mon homme !! Du coup je m'approche d'eux et roule un patin à Marc. Sa langue me transmet toute l'excitation que lui procure Jimmy. Il finit par ne plus tenir et Jimmy en travers de la table se fait enculer par les 22cm de Marc quand moi je lui cloue le bec en enfonçant bien mon gland dans sa gorge. Au dessus de lui nous continuons notre pelle. J'adore faire l'amour à Marc par ptit mec interposé. Moi aussi j'ai envie d'une queue dans le cul ! Je me détourne de la bouche de Jimmy et demande à Marc de m'intercaler. Il décule et je m'engouffre dans la place libérée. Jimmy serre son anus et moule ma bite au plus près. Bien éduqué ce petit ! (lol) Marc ne met pas longtemps avant de me sodomiser. Je me détends un maximum et il m'enfile jusqu'aux couilles. Je suis le seul en mouvement, ma bascule alternant entrée dans Jimmy / sortie de Marc de mon cul avec l'inverse. Trop bon, c'est moi qui gère l'excitation du trio. Si j'accélère ou si je serre mon cul, j'augmente le pression.
Nous finissons dans cette position, je me fais doser par Marc et je jute au fond de Jimmy. Lui se répand sur son ventre.
Une fois ce dernier reparti à l'appart, j'ai de nouveau mon Marc pour moi tout seul. Les absences répétées pour son taf, nous font apprécier encore plus les moments que nous avons ensemble (même si chacun de notre coté nous ne nous ennuyons pas). Du coup nous ne nous attardons pas et rejoignons notre chambre pour nous câliner.
Mercredi,
Je vais chercher Ed, quand je sonne à la porte, ça s'ouvre aussitôt sur son jeune frère. Je reste dehors, Ed me rejoint rapidement. Nous allons chez un des nouveaux clients.
Le mec est petit, rondouillard mais arbore une bite de plus de 25cm x 6 qu'il sait très bien utiliser à 100%. C'est un doux avec qui tout se passe calmement, délicatement. Ce qui ne veut pas dire que mon poulain a le choix. Le mec sait ce qu'il veut et il l'obtient (d'autant plus qu'il paye pour cela !). Il se fait sucer pour bien bander et n'oublie pas d'aller vérifier la gorge d'Ed en s'enfonçant jusqu'aux couilles. Et comme il aime bien la sensation, il vérifie plusieurs fois. Ed est maintenant rodé et sait parfaitement régler sa respiration pour ne pas s'étouffer. Il maitrise aussi ses réflexes et n'essaye plus de régurgiter involontairement le gland qui l'envahi. Je le vois même aller de lui même ingurgiter le gros gland du mec. Bon petit ! Pendant la pipe il s'occupe du trou d'Ed. C'est un perfectionniste et il passe pas mal de temps à le préparer. Gel, doigt, gel, doigts, jusqu'à réussir à lui en mettre 4 de sa petite main droite. Il fait cela si bien qu'Ed vient tous seul se tortiller le cul dessus. Il commence à bien prendre le pli et devient accro à la bite de mec. D'accord, il m'a avoué avoir phantasmé sur les bites des étalons de son club d'équitation, et de celle non moins grosse qui déformait le jeans d'un certain Lad. Je n'ai fait que mettre à jour sa face pute/soumis qui sommeillait au fond de lui. Quand notre client le sent prêt, il lui demande de se mettre à 4 pattes. Avec son ventre proéminent, c'est la seule position qui lui permet d'enfoncer totalement sa queue au fond de son cul. Avec Jimmy, ce dernier étant beaucoup plus souple qu'Ed, il peu le prendre de face, Jimmy écartant les jambes quasi en grand écart.
Quand il est dans un cul, il aime prendre son temps. Il s'enfonce tout doucement, si lentement que parfois Ed ou Jimmy donnent des coups de cul pour que ça rentre plus vite ! Mais il maitrise et encule sa pute à la vitesse qu'il désire. Avec lui nous en avons pour l'après midi entière. Ce qu'il aime aussi c'est après un moment, déculer et revenir masser le trou examinant les parois internes en écartant l'anus avec ses deux mains. Les premières fois cela fait bizarre de le voir mater pendant 1/4 à 1/2 heure le trou qu'il vient d'élargir, mais après tout c'est son trip ! et au moins celui là est sans danger. Après cela il le ré-encule jusqu'à la jouissance. Pendant la douche de mon toy boy, nous discutons toujours un peu. C'est comme cela que j'ai deviné qu'il était avocat. Au retour, j'arrête la moto dans un chemin pour enculer Ed à mon tour. Pendant les séances de toute façon je bande continuellement. Si je ne veux pas avoir mal aux couilles pendant des heures, il faut bien que je les vide ! Et c'est meilleur dans un cul ou une bouche que dans ma main ! Sans même retirer nos casques, je baisse son jeans et ouvre ma combi juste le nécessaire pour sortir mon service trois pièces et l'enculer plié en travers de la selle. En général c'est rapide, un peu brusque mais trop bon ! En plus le risque d'être surpris renforce l'excitation. Et nous prenons tous les deux un grand plaisir à cette situation. Je le lâche devant chez lui et rentre direct à la maison.
JARDINIER
Tumblr media
+
Tumblr media
~~
Tumblr media
16 notes · View notes
carbone14 · 25 days
Text
Tumblr media
Ouvrière américaine en pause déjeuner – Douglas Aircraft Company – Long Beach – Californie – Etats-Unis – Octobre 1942
Photographe : Alfred Palmer
©United States Library of Congress - LC-DIG-fsac-1a35343
12 notes · View notes
fidjiefidjie · 6 months
Text
🙀 Humour du jour 😹Pause 😼 déjeuner
Source :PlanetsFun
Bel après-midi 👋
206 notes · View notes
Text
Tumblr media
Pendant ce temps à Davos, vos zélites s’occupent de votre santé, votre planète, votre protection, et désormais au réarmement de votre fécondité… Descendus de leur jet privé, ils ne s’arrêtent jamais, ne dorment pas la nuit, brassent les dossiers même pendant la pause-déjeuner…
8 notes · View notes
Text
Tumblr media
L'heure de la recrée a sonné et c'est la pause déjeuner ! Petit resto entre copines, et de loin, bien mieux que la cantine du boulot !
Le soleil est au rendez-vous, la joie et la bonne humeur aussi, sans oublier l'humour et la complicité, menu idéal pour faire notre bonheur et l'occasion de chanter, "viva la vida !"
#au-jardin-de-mon-coeur ✒️
23 notes · View notes
drackarys · 2 years
Text
Tumblr media
En pause déjeuner au boulot et une petite envie d'exhib....enfin... Pas uniquement d'exhib....
87 notes · View notes
osmanthusoolong · 1 month
Text
Le cinq à sept d’une faune
Tôt le matin d’une faune
L’heure du déjeuner d’une faune
Pause toilette d’une faune
4 notes · View notes
coolvieilledentelle · 2 months
Text
Tumblr media
Pause déjeuner ..
17 notes · View notes
homomenhommes · 2 months
Text
saga: SOUMISSION / DOMINATION 119
Dimanche
Réveils dépareillés.
Marc et moi avons été réveillés par la sensation d'humidité sur nos bites. J'ouvre un oeil et je vois Ed à genoux entre mes jambes penché sur moi pour sucer ma gaule matinale. Je tourne la tête et vois Jimmy sur Marc. Je referme les yeux pour me concentrer sur le plaisir qui m'est prodigué. Ed fait passer mon gland de façon irrégulière dans sa gorge. Entre temps sa langue râpe la peau de mon gland le maintenant gonflé de sang. Au bout d'un moment, je sens mes couilles remonter vers ma queue, en général c'est annonciateur de jute. Ça ne manque pas et je lâche 5 ou 6 jets de sperme. J'ouvre les yeux pour voir Ed avaler la sauce. Ses lèvres soudées à ma bite ne laisse rien passer même si je vois dans ses yeux qu'à un moment j'en envoi plus qu'il ne peut ingurgiter. A mes cotés, Marc gave Jimmy qui avale mieux. Nous prenons tous les 4 une douche ensemble dans notre salle de bain.
Quand nous descendons, nous trouvons un petit déjeuner impeccablement dressé. Le café et le thé sont prêt, les croissants ont chauds, tout est nickel. Nous sommes les premiers mais pas de beaucoup, Igor et ses fils ne tardent pas à nous rejoindre ainsi qu'Eric et Ric (c'est systématique, Eric a un gros faible pour Ric !). Y'a eu des changements d'occupants dans les chambres d'amis durant la nuit !!
Samir nous apprend que Bruno et Arnaud sont partis chez eux mais qu'ils reviennent bientôt. Pendant le petit dej, les esprits se réveillent et les corps aussi. Avant la fin, quelques peignoirs ont l'avant déformés par des queues prêtes à en découdre.
Marc envoie Ed et Jimmy parfaire leurs expériences des pipes sur Igor et Eric. Heureusement pour eux que leurs bols étaient encore pleins car la profondeur à laquelle Eric s'enfonce dans leur gorge le leur aurait fait régurgiter. Les deux bénéficiaires me félicitent de l'efficacité de mes deux jeunes poulains. Ils reconnaissent dans leurs pipes ma technique. Je ne savais pas être aussi reconnaissable ! Tic et Tac les ont regardé faire, bandant sous leurs shortys.
Après les avoir fait juter dans un Sopalin, ils ont pu finir leurs petits déjeuners.
Pas de touze durant la journée. En fait dès qu'un des mâles avait envie, il s'isolait ou pas avec un ou deux des jeunes et nous les voyions revenir 1 h plus tard allégés. Marc est allé faire un tour avec Tic et Tac (l'effet jumeaux), Bruno a demandé à Eric de s'occuper d'Arnaud, pendant qu'il s'isolait lui même avec Jimmy. Seul avec Ed et Igor, nous nous sommes donné du plaisir dans le salon, après tout nous il n'y avait plus que nous ! Nous avons commencé par nous occuper de la queue d'Igor, pipe alternée, pipe à deux bouches, quand je suçais les 22cm de bite, Ed, lui, faisait rouler les boules dans sa bouche. Nous avons amené plusieurs fois Igor au bord de la rupture et nous avons du faire des pauses pour laisser retomber la pression. En 69 avec Ed, je me suis fait enculer par Igor. C'est un plaisir comme il suce ce petit mec ! C'est devenu un accro à la bite et au jus. Il y a des natures comme ça qui ne demande qu'à éclore. J'ai juste eu la chance d'être le catalyseur. Un peu plus tard, je me suis retrouvé le cul libre et à 10 cm de mes yeux j'ai vu la queue du venait de me quitter défoncer la rondelle d'Ed. les autres reviennent de leurs escapades sexuelles en chemin vers les douches du sous sol. Je sens des mains palper mes fesses et bientôt la bite de mon Marc s'enfoncer en moi. Je jette un coup d'oeil en arrière pour être sûr. C'est bien lui. Les coups de reins de nos enculeurs, accentuent la profondeur des pipes de notre 69. Je reçois en direct la dose de mon mec quand Igor lui rempli sa kpote.
Je n'ai pas joui et Ed non plus. Je le retourne et m'enfonce dans son passage rodé par Igor. Je lui demande de serrer le cul et ma bite retrouve des sensations de contrainte.
Tic et Tac s'approchent d'Ed et jouent avec lui. Tac lui donne sa queue à sucer et Tic approche sa bouche de la sienne pour l'aider à s'occuper de son frère. Quand je leur demande s'ils n'ont pas reçu leur dose ? il me répondent que si mais que le tableau que nous formons les excite grave.
Encore quelques coups de rein et je largue la sauce au fond de son cul. Tac, lui, jute sur le dos d'Ed. Son frère ne laisse rien perdre et aussitôt lèche la production familiale avant de venir la partager par une grosse pelle avec le producteur.
Nous passons une fin d'après midi autour de la piscine. Les questions fusent sur mon piercing à l'oreille droite, sur les vacances qui approchent (pour certains).
Pour les achever, je les emmène au garage pour leur montrer ma nouvelle acquisition. Une Yamaha YZF R1 noire mat. Je l'ai fait débrider à 150CV. C'est maintenant une véritable bête. Je l'ai montée jusqu'à 250Km/h mais il en reste encore sous la poignée. Nous allons devoir faire un tour en Allemagne pour vérifier sa vitesse de pointe !
Ils sont impressionnés par la bête. Démarrage et quelques coups de poignet font venir nos ainés. Eric qui ne l'avait pas encore vu tourne autour et me traite de fou quand je lui donne la puissance. Il m'attrape par le cou et me frotte la tête de son poing tout en me disant de faire attention, avec ce type de machine, le décrochage peut être dangereux.
Marc hausse les épaules en lui disant que de toutes les manières je fais ce que je veux avec qui je veux et quand je le veux et qu'il faut faire avec et pour illustrer son propos, il me tire l'oreille que j'ai fait percer dernièrement.
Eric exige de moi que je revienne avec cette moto prendre deux ou trois cours particuliers. Je grogne pour le principe mais accepte. A 250 km/h c'est vrai que j'en menais pas large quand même !
Je vais passer trois soirées la semaine suivante, sous l'oeil d'Eric et avec ses conseils à augmenter ma maitrise de l'engin. Il me fait principalement travailler les freinages. C'est le plus délicat avec ces machines hyperpuissantes. Quand je ressors de la semaine, je maitrise beaucoup mieux mon engin. Mais il faut que je fasse attention quand même. Pour le remercier, même s'il ne m'a rien demandé, je le fait bander (ce qui est relativement facile) et lui offre la meilleur pipe que je suis capable de faire sur une bite de 26 x 7 !
Heureusement que mes deux jeunes recrues sont des petits formats car la selle passager du R1 est encore plus réduite que celle de mon Monster ! D'autre part ça les obligent encore plus à se coller à moi et à s'accrocher à mon paquet !
Mes parents qui nous avaient invités un soir, ont été surpris quand nous sommes arrivés. Ils ne s'attendaient pas à ce qu'on vienne en moto et de plus ma nouvelle combinaison cuir noir, casque noir mat, les a fortement impressionnés. C'est vrai qu'avec elle, je n'ai pas intérêt à tomber en panne d'éclairage la nuit !! Comme c'est une intégrale une pièce, je me retrouve en shorty et Tshirt pour le reste de la soirée. Marc lui en combi deux pièces peut garder son pantalon. Mon père est impressionné par ma musculature. Il est vrai que la dernière fois où il m'a vu assez dénudé, je devais avoir 18 ans et les dernières années, ma pratique sportive a donné de bon résultats.
Ma mère me trouve un look inquiétant surtout avec l'oreille percée. Pour mon père ce détail doit me gêner dans mon travail. Je leur dis alors les modifications dans ce secteur. Je pense que cela fait quelques temps qu'ils ont renoncé à me comprendre. Ils me laissent tranquille et nous passons une soirée somme toute assez agréable.
Au retour, Marc qui me suit me fait des appels de phares, je ralentis pour le laisse venir à mon niveau. Il me montre son réservoir, non plutôt son paquet ! Ok j'avise la première aire de repos et m'engage dans la boucle de détente dans le petit bois attenant. Il fait nuit et il y avait juste une voiture est garée devant le block sanitaire.
Je cale ma moto sur la béquille latérale (y'a pas de centrale). Marc fait de même mais sur sa béquille centrale. J'ai compris, mais je suis en combi une pièce ! je la dé zippe et la descend sous mes fesses. Je me couche en travers de sa selle. A peine penché en avant, je me sens sailli par mon mec. Il se couche sur moi et me traite de salope à l'avoir allumé pendant tout le repas à m'être pavané quasiment nu ! (nos propos sont étouffés par les casques que nous avons gardé sur nos têtes). Sans préparation, je sens bien ses 22cm me ramoner le conduit. Cette prise à la hussarde me rappelle les premiers temps de notre relation. C'est trop bon !! Très excités, nous arrivons vite à bout et je jute contre son réservoir. Trop bon de se faire traiter comme la salope que je suis ! Quand il jute, je serre le cul comme un malade. Il ne peut plus bouge, la bite bloqué par mon anus ! Une tape sur mon épaule droite et je le libère. Quand je me redresse, je vois un mec à quelques mètres dans les bois se finir à la main. Quand je lui demande si le spectacle lui a plu, il se sauve en courant. Encore un hétéro honteux !
JARDINIER
Tumblr media
~~
Tumblr media
16 notes · View notes
Text
Écrire comme Susan Sontag
Vous connaissez peut-être ces vidéos Youtube où le ou la vidéaste choisit d'essayer la routine d'écriture d'un•e écrivain•e célèbre : récemment, Dakota Warren a essayé celles de Virginia Woolf et d'Ernest Hemingway. C'est ce concept que j'ai décidé d'adapter pour inaugurer la partie labo d'écriture de ce journal en ligne. Et pour commencer, qui de mieux que Susan Sontag, dont j'ai dévoré Reborn (1947-1963), le premier volume de ses journaux — et à ce jour un de mes livres préférés ?
C'est dans le deuxième volume de ces fameux journaux, As consciousness is hardened to flesh (1964-1980) que Sontag prend, en 1977, une résolution :
Starting tomorrow — if not today: I will get up every morning no later than eight. (Can break this rule once a week.) I will have lunch only with Roger [Straus]. (‘No, I don’t go out for lunch.’ Can break this rule once every two weeks.) I will write in the Notebook every day. (Model: Lichtenberg’s Waste Books.) I will tell people not to call in the morning, or not answer the phone. I will try to confine my reading to the evening. (I read too much — as an escape from writing.) I will answer letters once a week. (Friday? — I have to go to the hospital anyway.)
Pour résumer : se lever avant 8h, cultiver sa solitude matinale, ne pas sortir pour le déjeuner, écrire dans son journal, attendre la fin de journée pour lire.
Concernant l'écriture dans son journal, Sontag identifie comme modèle les Waste Books de Lichtenberg. Ces Waste Books consistent en de petits carnets dans lesquels le philosophe traçait chacune de ses pensées, même les plus brèves, même les inachevées, même les moins intellectuelles. À l'origine, un waste book désigne un cahier de comptes, celui dans lequel les marchands britanniques notaient leurs transactions au cours de la journée pour ensuite les réécrire au propre dans leur livre de comptes. L'idée de Lichtenberg est donc de garder une trace des mouvements de la pensée au cours de la journée, mouvements qui pourront être ensuite abandonnés ou approfondis.
Pour "écrire comme Susan Sontag", telles seront donc les marches à suivre : se lever avant 8h, écrire le matin et en début d'après-midi, garder une trace dans un journal des différentes pensées qui nous traversent (même les plus insignifiantes), puis lire en fin d'après-midi.
une journée dans la peau de Susan Sontag
Tumblr media
J'ai commencé ma journée à 8h, à la lueur des bougies : en prenant mon petit-déjeuner, j'ai relu l'idée de nouvelle tracée dans mon carnet pour pouvoir en commencer la rédaction dans la matinée, puis j'ai lu un chapitre de ma lecture en cours (Le Fantôme de l'opéra de Gaston Leroux) le temps de boire mon thé.
À 9h a commencé ma première session d'écriture, pendant laquelle je me suis concentrée sur mon projet du moment, un recueil de nouvelles. J'ai relu les nouvelles déjà écrites puis j'ai écrit le début de la suivante (un peu plus de 400 mots).
Tumblr media
Pendant une (courte) pause, je suis tombée sur cette citation d'Éluard que je vous partage aussi :
Tumblr media
Vers 10h, j'ai enchaîné avec une deuxième session d'écriture. Pour changer un peu de sujet, j'ai décidé de faire le dernier atelier d'écriture de Laura Vasquez (je rêve d'en ouvrir un!). Coïncidence pratique pour l'unité de cet article, l'atelier en question était fondé sur une réflexion de Lichtenberg, dans Le Miroir de l'âme. La consigne était de partir d'énoncés tautologiques pour arriver à l'expression d'un "je" en lien avec ces évidences, en se laissant porter par ce qu'elles évoquent. C'est loin d'être l'un de mes meilleurs poèmes (je commence même déjà à le détester), mais voici ce que ça a donné pour moi :
Tumblr media
J'ai profité d'avoir fait cet atelier pour envoyer ce texte et les précédents à la revue des Ateliers d'écriture pour lesquels je devais aussi rédiger ma biographie d'auteur. (Gardez l'œil ouvert — un de mes poèmes y sera publié le 8 novembre !)
Enfin, j'ai terminé cette matinée d'écriture en me penchant, sur les coups de 11h, sur la rédaction de cet article, écriture beaucoup plus simple pour garder un peu d'énergie créative pour l'après-midi.
Tumblr media
En début d'après-midi, dernière session d'écriture de la journée : j'ai commencé celle-ci par un peu de scrapbooking pour m'inspirer. Pour cette page, je suis partie d'un extrait d'article du magazine Lire sur Paul Valéry et son amour de la mer. On peut y lire que pour lui, la nage, « qui se soutient et se meut en pleine poésie », devient « le jeu le plus pur » qui donne son rythme à l'écriture ; ou encore qu'il décrit la mer Méditerranée comme la « scène d'un théâtre où ne viendrait agir, chanter, mourir parfois, qu'un seul personnage : la lumière ! ». À partir de ce thème assez large, j'ai écrit un court texte en écriture automatique, intitulé La Traque :
Nager c'est donner son corps aux monstres, le leur offrir en pâture, un acte gratuit de générosité pure : prenez ce que j'ai de plus cher et morcelez-le jusqu'à faire disparaître ses mots. C'est l'abandon avant d'être le néant, le don avant la destruction. Comme tout sacrifice, la nage a son rituel : dévêtir le corps de ses artifices quotidiens ; "goûter l'eau", comme la grenouille entrant dans sa marmite ; accepter de laisser son esprit au plongeoir puis partir, vite — partir où ? fuir quoi ? Fuir le carnage des émotions humaines, convaincus que l'eau viendra lécher nos plaies. Fuir l'atrocité sociale en laissant sa langue à la surface. Surtout, se fuir soi, chaque claquement d'un bras contre l'eau turquoise nous obligeant à ressentir, à toucher, à croire. C'est bien de croyance qu'il s'agit : croire que l'on soigne sa tête malade en poussant les membres dans une tension animale ; croire que l'on fuit (pour de bon, cette fois) les mots qui nous hantent, comme s'ils ne nous attendaient pas, sagement, au bout de la ligne ; croire que perfectionner, jour après jour, les techniques les plus complexes nous sauvera, le jour venu, de la noyade. 
Enfin, j'ai terminé ma journée par de la lecture : je suis presque à la moitié du Fantôme de l'opéra qui pour l'instant me plaît beaucoup ; c'est une lecture (très) facile et parfaite pour la période automnale.
Tumblr media
Quant à ma soirée, je l'ai passée à nager dans une piscine à l'eau turquoise...
Littérairement vôtre,
Ève
P.S. : Rendez-vous dimanche prochain pour une autre routine d'autrice...
Tumblr media
me trouver ailleurs :
♤ threads ♤
♧ instagram ♧
8 notes · View notes
Text
Jour 7 - Oslo
Départ un peu plus matinal qu'hier car nous allons sur la presqu'île aux musées (Bygdøy).
Nous avons prévu d'en visiter deux : le musée du Fram (Frammuseet) et le musée Folklorique Norvégien (Norsk Folkemuseum). Malheureusement, nous ne pourrons pas visiter le fameux musée des Vikings car il est fermé pour travaux 🤷🏻‍♀️
Tumblr media
Le Fram est un bateau qui a servi à des expéditions polaires au tournant du XXe siècle. Le musée était très intéressant, nous avons même pu monter dans le bateau. En revanche il est assez fouilli. Il est difficile de se repérer entre les différentes expéditions ⚓️
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Petite pause déjeuner sur la terrasse du resto qui appartient au musée maritime juste en face du Fram.
Tumblr media Tumblr media
8 notes · View notes