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#pénibilité
mirrorontheworld · 1 year
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Dans un texte pour Mediapart, l’écrivain Nicolas Mathieu s’adresse à Emmanuel Macron et à son gouvernement : « L’exécutif est certes légitime mécaniquement, en vertu des textes et de la solidité de nos institutions, mais il a perdu ce qui donne vie à la vraie légitimité politique en démocratie : un certain degré d’adhésion populaire. »
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musographes · 1 year
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Se plonger dans l’histoire des modèles vivants, c’est aussi se rendre compte de choses comme cela (clin d’œil à l’actu sur la réforme des retraites).
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stephanegemmani · 1 year
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« 𝗣𝗼𝘂𝗿 𝘂𝗻 𝗿𝗲𝗳𝗲𝗿𝗲𝗻𝗱𝘂𝗺 𝘀𝘂𝗿 𝗹𝗮 𝗿𝗲𝗳𝗼𝗿𝗺𝗲 𝗱𝗲𝘀 𝗿𝗲𝘁𝗿𝗮𝗶𝘁𝗲𝘀… » Depuis les années 1990, les #réformes des #retraites mises en place dans plusieurs pays ont d'abord pénalisé les #salariés les plus #pauvres. Dans son dernier rapport dévoilé le 12 septembre 2022, le Conseil d'orientation des retraites (COR) estime qu'il n'y a pas d'urgence à réformer le système. Selon les estimations de cet organisme indépendant, le système de retraite a dégagé un excédent de 900 millions d'euros en 2021 grâce à «la forte reprise de la croissance». Toutefois, ce solde devrait «se dégrader sensiblement» dès 2023 avant de revenir à l'équilibre, dans le meilleur des scénarios, «vers le milieu des années 2030». Les #françaises et les #français doivent pouvoir se prononcer en toute connaissance de ce projet. Un #débat constructif doit s’engager et un #référendum doit s'imposer autour d’un projet alternatif à la réforme annoncée, plus juste, qui tient compte de la #pénibilité, et des carrières longues. ➡️ https://chng.it/6LyT8khbTJ (à Grenoble Capitale des Alpes) https://www.instagram.com/p/CnbM-LNtwIf/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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remaxiroho · 2 years
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idereahellyeah · 1 year
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J'ai vu les post de @plaidetchocolatchaud et je me suis rendue compte que j'ai été plutôt sage sur les retraites. Alors que bon.
Je m'appelle A., j'ai 33 ans, je suis infirmière depuis 10 ans et j'ai déjà deux accidents du travail reconnu qui m'handicaperont toute ma vie.
Je travaille dans un service privilégié où on a beaucoup de matériel pour nous aider, pourtant chaque jour je vois des collègues mettre leurs mains sur leurs hanches pour soulager leurs dos ou s'étirer la nuque dans l'espoir d'un craquement libérateur.
Je travaille avec une équipe jeune pourtant beaucoup portent les traumas de voir la douleur, la mort, la souffrance de vie de leurs patients. Nombreux sont ceux également qui avec l'alternance jour/nuit ne peuvent dormir sans prendre un traitement et je ne compte plus ceux qui en sortant du boulot vont systématiquement boire un coup pour ne pas ramener le boulot à la maison.
J'ai aussi la chance d'être entourée de mentor, quelques rares dinosaures qui travaillent depuis plusieurs décennies dans le service. L'expérience fait qu'ils refusent de faire certains gestes, comme les compressions thoraciques, afin de se préserver car ils savent qu'ils ne peuvent plus. Même remonter les patients dans les lits leur est difficile avec l'arthrose qui déforme leurs doigts et la fin de journée est difficile malgré les bas de contentions.
Encore une fois, j'ai de la chance, pas comme les 3/4 des services où toutes les conditions sont dégradés. Chez moi on nous demande de travailler plus avec moins, chez eux on leur demande de faire plus avec rien.
Les soignants n'arrivent pas à vieillir à l'hôpital, peu dépassent l'âge de 60 ans et les gens arrivent plus tard dans le milieu.
Et le gouvernement veut instaurer 64 ans de départ à la retraite et 43 ans de cotisation? Mais on va où sérieux?
L'hôpital va mal, ce n'est pas un secret de polichinelle, et on demande encore à ceux qui le font tenir de faire plus. C'est épuisant.
La pénibilité n'est pas reconnue pourtant, pour rappel, les femmes qui travaillent de nuit sont celles qui ont le plus de risque de développer des cancers et des maladies cardio vasculaires. Dans le discours du gouvernement on parle des aides soignants mais, outre les infirmiers, pourquoi juste eux? Les ASH qui manipulent des produits chimiques toute la journée n'ont pas un boulot pénible? Les manipulateurs radios qui se bouffent malgré tout des rayons toute la journée n'ont pas un boulot pénible? Et les médecins qui commencent à travailler officiellement à partir de l'internat, on les fait bosser jusqu'à 90 ans sous prétexte qu'ils "gagnent bien" leur vie? Sans déconner.
Hier j'étais dans la rue car je ne travaillais pas mais je pensais fort à mes collègues qui ont été réquisitionnés et qui portaient un bout de scotch sur leurs tenues marqué "En Grève".
Je pensais fort également à tous ceux qui hors de l'hôpital sont comme nous concernés, soit beaucoup trop de monde.
Force à nous tous !
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ditesdonc · 20 days
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La Lionne
Texte de Pauline Laroche-Vachaud
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« La Lionne », à Trept, c’est un nom qui sonne comme une véritable institution, un haut lieu, un cœur encore vivant, au fond, même si ce qu’avaient été ses murs accueille désormais bien d’autres gestes et des mondes tout autres... Entre « La Lionne » où, souvent, 10 heures par jour et 6 jours par semaine quelques 80 ouvrières pouvaient suer à produire 1500 voire 2000 chemises quotidiennes et, désormais, « la Salle des Roches », ouverte aux divers loisirs que nous avons le temps de nous offrir aujourd’hui, rien à faire, la parenté est difficile à trouver. L’usine n’est plus ; elle a fermé à la fin des années 80, après un demi-siècle d’évolution, de modernisation, d’extension et d’honnête pain lourdement gagné.
On aimerait qu’existe un livre qui fasse revivre la vie de ces murs quand tant de femmes s’échinaient aux poignets, aux cols, aux manches, aux boutonnières et aux ourlets, assembler, rabattre, fermer, monter, pointer, finir, plier… On voudrait entendre des anecdotes, rendre un peu de voix, de chair…
On pense pour commencer aux guimpières car, avant l’ouverture de « La Lionne » elle-même, c’étaient elles les tenantes du lieu, elles dont les tâches visaient à enrouler, en bobines éblouissantes, la magie et la splendeur de la tréfilerie, ces fameux fils de faux-or lamés, à un fil de coton ou de soie.
Dans quel but? pour que dans d’autres ateliers, par d’autres ouvrières - une étape, puis une autre -, finissent par s’enluminer les costumes d’apparat, les beaux vêtements de mode, les habits des grands jours. Et que ça brille ! On voudrait aussi, évidemment, entendre ces fameuses chemisières qui, plus discrètes que les tailleurs, moins immédiatement symboles de la vie du village, de son essor, de son savoir-faire, n’ont pourtant rien à envier aux fiers et nombreux carriers. Les chemises conçues par ces femmes étaient bien vendues, pour certaines, à Pierre Cardin, Paco Rabanne, Charles Jourdan… Le prestige est-il moins grand que celui des pierres treptoises composant le Pont Alexandre III, à Paris, ou les piliers d’entrée du Parc de la tête d’or ? Autres usages, autres gloires, mais une excellence qui circule, et loin. Ce n’est pas rien.
On voudrait écouter leurs histoires, les relayer. Tant de petites mains talentueuses, sans tambours ni trompettes, scrupuleuses, précises, tenues à des réalisations impeccables - parfaitement symétriques ou rien, parfaitement régulières ou rien, parfaitement fidèles au modèle ou rien ! La moindre erreur, aussi infime fût-elle, et il n’y avait plus qu’à reprendre l’ouvrage. On voudrait entendre les rires, les blagues, les soupirs, les ragots les espoirs, les lassitudes, les fatigues immenses, les fiertés et les douleurs…
« La Lionne », rien que ce nom, comme trempé d’or et d’acier, semble le signe d’une élégance intraitable…. Le travail, lui, était-il féroce, vorace ? Les jeunes femmes ne faisaient-elle que passer, le temps de trouver un mari et de voler vers d’autres horizons ? Souvent, semble-t-il, mais pas toujours. Certaines dames s’y engagèrent à vie… Quels bruits, associés à quels gestes, quelles machines habitaient ce lieu comme un orchestre perpétuel, horloge suisse aux rendez-vous inébranlables : 7h30-12h/12h45-16h15. (Horaires extensibles à volonté, bien sûr, puisque le paiement à la pièce poussait à rester.) Un jour de neige, une employée, venant de Passins à vélo, eut 15 minutes de retard. Vertement tancée. La production n’attend pas, ne pardonne pas. « Exemple réussi de complète décentralisation », trouve-t-on dans la presse des années 60. Il semble que les ouvriers du textile lyonnais étaient trop chers, trop réactifs sans doute aussi. Alors l’idée de la campagne avait gagné. Hommes et femmes portant différemment la colère et la pénibilité du travail, peut-être, ouvriers et ouvrières moins chers payés, mais pas moins doués. Les archives de l’usine ont toutes disparu à la mort des époux Besse, qui menèrent le lieu comme leur deuxième maison, durant presque 30 ans. Les photos qui restaient ont pris l’eau dans une cave. Il ne reste plus d’écrits, plus d’images, ou très peu. Il vit cependant, encore, quelques souvenirs. Et ils mériteraient bien un livre.
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loric2020 · 1 year
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Tongariro National Park - du 22 au 24 avril
Le départ de Wellington se fait avec le mauvais temps. Nous nous étions habitués à savourer le soleil de Nouvelle-Zélande. La pluie nous accompagne pendant une bonne partie du trajet, à tel point qu'on distingue à peine les paysages qui sont censés nous époustoufler. Nous arrivons à destination de notre étape pour les deux prochaines nuits, un repère de montagnards. Le gérant nous accueille avec bonhomie et nonchalance. Il a beaucoup d'humour et cultive la dérision. Il reconnaît aux français leur courage de contestataires qui manque aux néo-zélandais. Nous suivons ses recommandations en allant au Schnapps bar, l'un des trois restaurants du village de Tongariro. L'établissement est bondé de monde. La bière coule à flot comme pour une kermesse bavaroise. On comprend que beaucoup sont venus pour la Tongariro alpine crossing de demain, l'une des plus belles randonnées de Nouvelle-Zélande.
Un grand et beau soleil s'offre à nous pour cette journée de randonnée que nous avons anticipée en allant la veille au visitor center pour être conseillés. Deux beaux circuits nous attendent. Le premier "Taranaki falls", une boucle de 6 km au départ de Ngauruhoe Terrace à Whakapapa Village. Le second "Silica rapids walk" long de 7 km. Le ciel est dégagé et nous pouvons admirer les 3 volcans du parc dont 2 sont toujours en activité, le Ngauruhoe et le Ruapehu, contrairement au Tongariro qui prête son nom au parc. Nous sommes ici dans l'une des zones volcaniques les plus actives du globe. En marchant, nous repensons au Mont Saint Helens dans l'état de Washington USA, un stratovolcan encore actif, que nous avions découvert en juin 2022. Une même impression de sérénité règne ici. Nous nous imprégnons de tout, de ce que nous voyons mais aussi des énergies souterraines qui nous dominent.
De retour au village pour dîner toujours au Schnapps bar, nous faisons la connaissance d'un couple de québécois qui s'est invité à notre table. Nous parlons voyage. Ils terminent un périple de 4 mois en Océanie pour fêter leur retraite. Ils ont cotisé pour pouvoir partir à l'âge de 58 ans. Et ne comprennent d'ailleurs pas pourquoi tant de contestation en France pour repousser la retraite à 64 ans. Le terme pénibilité, que nous évoquons pour justifier des carrières plus courtes, déclenche un rire hilare chez nos camarades de tablée. Nous passons une fort belle soirée dans tous les cas avant le départ le lendemain matin pour Rotorua. Comme la veille, nous nous arrêtons au food truck stationné Carroll street, le "Grillhaus", pour un café. Les propriétaires sont un couple fort sympathique avec qui nous discutons. Il est originaire d'Allemagne. Elle est originaire du Danemark. Ils sont heureux en Nouvelle-Zélande.
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claudehenrion · 2 years
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La grande démission
  S'il est un talent qu'il faut reconnaître aux américains, c'est celui de créer des mots nouveaux ou de donner à d'anciens vocables des définitions nouvelles (mais, à la différence de celles des jocrisses de Saint Germain des Prés, les leurs ont un sens !). Ces dernières semaines, un de ces mots a fait une apparition remarquée : ''The big quit'', expression qui recouvre des notions de grand départ, d'abandon, de fin sans renouveau, de renoncement, avec un arrière-goût de capitulation et de résignation. Le mot n'est pas encore en France (l il faut un certain temps pour que nous nous alignions sur leurs mauvaises habitudes !), mais cela ne saurait tarder.
Mais si le mot est inconnu, les symptômes sont déjà partout, et c'est le sujet réel de bien des ''billets'' de ce Blog : cette ''grande démission'' est un mélange de ''j'm'en foutisme'', ''d'à-quoi-bon-isme'', et de désintérêt pour tout ce qui n'est pas ''moi, tout de suite''. Exemples ? On ne veut plus travailler mais on part en vacances (notre endettement ? On voit ce que l'Etat fait du sien... On va faire pareil !), on refuse toute contrainte (horaires, temps de travail, transport, ''pénibilité''...), on évite toute responsabilité, tout ''devoir'' (mais on accepte tous les ''droits'’ -qui ne peuvent pourtant exister sans eux), on change de boulot comme de chemise : à quoi bon se ''crever la paillasse'', l'Etat va assurer nos besoins essentiels !  J'exagère à peine : le tableau que font tous les médias (ils disent tous les mêmes choses, toutes absurdes, toutes mensongères, toutes partisanes et engagées du mauvais côté du combat pour le Bien de l'Humanité), est dans le courant d'air des idées à chasser...
L'impression constante qui ressort de la lecture ou de l'écoute des médias est consternante : les problèmes décrits ne sont pas les bons et la plupart sont présentés comme ''sans solution autre que catastrophique'', et les vrais sujets sont interdits, les solutions retenues sont les pires qui soient, les plus in-opérationnelles et les plus ''à éviter''. Le plus bel exemple concerne tout ce qui est lié à la pollution et au changement climatique... où pas une seule des analyses proposées ne présente le plus petit intérêt. On en pleurerait : c'est encore pire ici qu'ailleurs, car la France brille par sa nullité prétentieuse, en faisant croire au monde qu'elle se sent ''responsable'' alors qu'elle est rigoureusement invisible dans le grand cirque planétaire, et qu'elle se sent ''jouant un rôle'' alors qu'elle n'est même pas perceptible devant les rois de la pollution de la planète que sont les Etats-Unis, la Chine et l'Inde (NDLR : même la disparition totale de la France n'aurait aucun impact ou si peu, et toutes les punitions qu'on nous impose ne servent donc à rien. Je dis bien ''à rien'' : nous ''produisons'' moins de 0,9 % de la pollution de la Terre !)
Cette espèce de maladie touche en fait tous les étages de la société : tout comme il devient de plus en plus difficile d'embaucher des gens à la fois compétents, sérieux, travailleurs et motivés (hôtellerie, restauration, services, enseignement, hôpitaux ou police, entre autres), on retrouve cet inadéquation entre l'homme et le poste à tenir jusque dans les niveaux les plus élevés de la société, où parade une incroyable brochette de malfaisants : Boris Johnson et Mario Draghi, qui abandonnent, Justin Trudeau qui est un clown ridicule, Olaf Scholtz un figurant terne, Jo Biden un vieillard malfaisant, Erdogan un dingo vicieux. Quant à Emmanuel Macron --nous en parlions il y a peu--  il est aux abonnés absents. La plupart des autres (si on met ''au coin'' les ennemis publics obligatoires que sont Poutine et les dirigeants ''populistes'' des pays du ''Pacte de Visegrad'', tout juste bons à être détestés par les ayatollahs de la pensée clonée) ne valent guère mieux, qu'ils soient des satrapes soi-disant théocrates du monde arabe (sauf Mohamed VI, souverain digne de son titre) ou les roitelets de l'Afrique,  toujours corrompus, souvent auto-proclamés, parfois malfaisants, mais indécrottablement nuls...
En Europe, cette pathologie --car c'en est une-- se manifeste par un masochisme pervers (comme il l'est souvent !) qui tend à avoir honte d’être ce qu’on est. C'est un ''refus d'être et d'avoir été'' qui va jusqu'à ressentir une culpabilité sans cause, une forme de haine-de-soi que rien ne justifie, que rien ne peut objectivement soutenir, expliquer, ou valider... si ce n'est des accusations sans fondements émises par des ''ceux'' qui  se sont laissé persuader qu'ils avaient des raisons de se plaindre... le plus souvent à l'envers de tout bon sens et de toute vérité historique.
Le ''blanc'', incarnation et symbole de cette civilisation occidentale qui a tant apporté aux autres civilisations existantes ou qui ont existé jusque là, est  l'ennemi public n°1, ce qui est insensé. Pourtant, ''Notre ennemi, c'est notre maître'', avait prévenu la Fontaine (in- Le vieillard et l'âne). L'image du ''toubab'' était porteuse de tant de manques qui frappaient les sociétés traditionnelles qu'un peu de jalousie, d'envie, de compétition était inévitable. Jusque là, rien de trop anormal, en somme.
Mais là où tout se dérègle et ''part en quenouille'', c'est lorsque la victime de ce sentiment trouble (qui n’est pas très beau, même si on peut l'excuser sinon le comprendre) accepte d'être rejetée, honnie, critiquée, et accusée de tous les péchés, de tous les vices, de tous les stupres... et accepte de devoir battre sa coulpe sans fin... pour demander pardon ''in aeternam'' de crimes qui n'ont pas été commis... ou par d'autres, il y a des siècles, dans un univers où telle pratique aujourd'hui incriminée faisait partie intégrante des mœurs de ce temps-là, et où ceux qui formulent ce reproche totalement anachronique en ont commis, alors et depuis, de bien pires... mais ceux-là doivent être oubliés : interdits de mémoire !
Un dernier point mérite qu'on s'y arrête une seconde : ce ''Big Quit'' vise en réalité la totalité de la civilisation occidentale, actuellement la seule et unique qui ''fonctionne'' sur Terre.  Le seul ennui est que les promoteurs de ces affreuses idées, toutes mortelles à très court terme et sans ''plan ''B'' pour se rattraper dans cette chute sans fin, n'ont rien, absolument rien à proposer comme solutions alternatives : la seule issue à terme (court) des théories qui ont actuellement le vent en poupe, c'est un nettoyage par le vide, une planète qui ressemblera très vite (c'est déjà fait dans bien des quartiers de nos grandes villes !) à un paysage et des mœurs semblant extraites de ''Mad Max''... dont nous reparlerons bientôt.
A toutes fins utiles, et comme nous le faisons souvent, il n'est sans doute pas inutile de rappeler le sens et l'étymologie du mot ''théorie'' : une théorie (du grec θεωρία - theôría = contemplation, observation, spéculation) est un ensemble cohérent de notions, d'idées ou d'explications sur un sujet précis, pouvant inclure des lois et des hypothèses, induites par l'accumulation de faits provenant de l'observation, de l'expérimentation ou de déductions. Nos progressistes, woke, cancel culture, ''nupes'', déconstructeurs, écolo-fémino-racialistes et ''néo-n'importe quoi-istes'' etc... qui sont à des années-lumière de toute cohérence, n'ont même pas l'idée que  leur ''rien'' ne pourra jamais remplacer notre ''quelque chose''... Et dire que certains --j'en connais-- les écoutent et leurs trouvent même des excuses !
H-Cl.
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albad · 2 years
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Sur le phénomène des « slasheurs » ou pluriactivité
Faisant référence au signe « / », « slash » en anglais, le terme « slasheurs » désigne les personnes qui ont plusieurs activités professionnelles. Introduit pour la première fois par l’Américaine Marci Alboher au sein de son ouvrage One Person, Multiple Careers (2007), l'emploi de « slasheur » s’est depuis popularisé en France.
En 2016, selon une étude menée par le Salon des micro-entreprises, 4,5 millions de Françaises et de Français sont des slasheurs, soit 16% de la population active. Si 70% des pluriactifs affirment l’être par choix, l'analyse des données suggère toutefois une certaine précarité/pénibilité du travail :
– Augmenter les revenus demeure, de loin, la principale motivation pour 73% des slashers (+22% contre l'étude menée en 2015) ;
– 27% désirent générer des revenus grâce à une activité extra-professionnelle ou une passion (+12%) ;
– 12% ambitionnent d'être leur propre patron (+6%) ;
– 10% testent une idée en vue de créer leur entreprise (+3%) ;
– 10% souhaitent préparer leur reconversion professionnelle (+3%).
La conjoncture influence grandement le phénomène des slasheurs, notamment la digitalisation et la nomadisation du travail. Ainsi, la crise incite logiquement les salariés à diversifier et adapter leurs compétences, notamment au sein d'un monde du travail de plus en plus incertain qui prône agilité et flexibilité.
Ces évolutions peuvent également s’expliquer par la création du statut d’auto-entrepreneur et l’essor de ces emplois depuis 2009 : ce statut a en effet favorisé l’exercice d’une activité indépendante en complément d’un emploi salarié.
De manière générale, le cumul d’emplois salariés témoigne de la nécessité de multiplier des revenus trop peu élevés pris unitairement. Assez rares sont donc celles et ceux qui mènent plusieurs activités pour satisfaire des projets professionnels annexes, ce qui témoigne d’un certain mal-être tant moral que financier causé par l’activité salariée principale.
Sources :
– « 4.3 Pluriactivité » in Fiches - Temps et conditions de travail, Insee Références, édition 2016. URL (.pdf): http://www.insee.fr/fr/ffc/docs_ffc/EMPSAL16j_F4_temp-travail.pdf
– Étude menée par le Salon des micro-entreprises en août 2015. URL (.pdf): https://www.salonsme.com/espace-telechargements/CP_Slasheurs_15092015.pdf
– Étude menée par le Salon SME, administrée en ligne par Créatests en mai 2016. URL (.pdf): http://www.salonsme.com/telechargements/Salon-SME16-CP_Slashers.pdf
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La découverte des rizières de Bali. 
Après le thé il y a quelques année au Sri Lanka, le cacao au Mexique puis le café au Costa Rica, nous découvrons avec plaisir la culture du riz. 
La riziculture balinaise est reconnue dans le monde entier pour son utilisation de l’eau comme élément central de la production du riz. Indispensable pour faire grandir les jeunes pousses, le système de répartition de l’eau, appelé subak, est remarquable d’ingéniosité humaine et technique. De plus, au travers de ce système, on retrouve à nouveau les principes fondateurs de la culture balinaise (le triptyque humain - nature - divinités). 
C’est pour ces raisons que l’UNESCO a classé en 2012 les rizières de Jatiluwih ainsi que 700 hectares de terre au patrimoine mondial. La riziculture témoigne d’un fonctionnement harmonieux entre les cultivateurs grâce à une gestion de l’eau raisonnée et méthodique. La protection divine est acquise grâce aux temples et offrandes consacrées à la déesse Dewi Sri, épouse de Vishnu. Enfin, le respect de la terre est primordial grâce à une non mécanisation et le recours à des méthodes 100% naturelles pour la production de riz.
Nous avons été époustouflé par la beauté des rizières en terrasse. Notamment selon les différents moments de la journée, la lumière magnifiant les multitudes de nuances de vert - jaune des pousses de tout âge. 
Nous avons pu également assisté, ébahis, à la récolte du riz assez matures : c’est un travail harassant, accomplis par des hommes et des femmes uniquement à la force de leur bras. 
Il semblerait que la production de riz balinaise perde en qualité depuis quelques années et que la main d’oeuvre se fasse de plus en plus rare (ce que l’on peut concevoir lorsque l’on découvre la pénibilité de la tâche...). Il est probable que dans les années à venir, les sublimes rizières de Bali disparaissent tour à tour. Heureusement, la protection de l’Unesco semble garantir a minima à certaines de perdurer pour laisser un témoignage de cette sublime culture. 
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neozoneorg · 1 month
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« Bienvenu dans le futur », la start-up Japet dévoile un impressionnant exosquelette motorisé
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La start-up française Japet a développé un exosquelette motorisé pour réduire la pénibilité au travail. Le Japet.W+ vise à aider à préserver le capital humain en améliorant la qualité de vie au travail (QVT). ... Read the full article
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societelifemagazine · 1 month
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SANTÉ :
Manifestation Nationale à Paris le 4 avril 2024
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Face au mépris des pourvois publics, l’Onsil invite les idels et la population qui les soutient à se rendre en masse à la grande manifestation nationale à Paris le 4 avril prochain
Dès le 1er février dernier, au début du mouvement initié par le Collectif des infirmiers libéraux en colère, l’Onsil soutient et participe aux actions qui se sont déroulées en régions.
Disponibles tous les jours de l’année et tenus à la continuité des soins, les infirmier-es libéraux (idels) sont épuisés et à bout. Ni le Ministre de la Santé, ni la Caisse nationale d’assurance maladie ne semblent les entendre.
Alors que :
•leurs tarifs stagnent depuis 15 ans, •la pénibilité physique et psychique n’est pas reconnue, •il faut attendre l’âge de 67 ans pour une retraite à taux plein, •les caisses de sécurité sociale opèrent des contrôles permanents dans un climat de suspicion, •les forfaits de soins liés àla dépendance ont été revus à la baisse, •la surcharge administrative est à son comble,le Ministre conseille aux idels de sortir de leur «misérabilisme». Le mépris affiché des Pouvoirs publics qui n’expriment aucune perspective de revalorisation tarifaire ne peut qu’attiser la colère des professionnels qui assument pourtant des missions en santé publique particulièrement essentielles, dont le maintien à domicile des patients dépendants et des personnes âgées.
L’Onsil promeut les revendications des idels qui portent notamment sur : •des revalorisations tarifaires urgentes (actes et déplacements) avec indexation sur l’inflation, •la reconnaissance de la pénibilité pour le calcul des droits à la retraite dont l’âge de départ doit être avancé et négocié, •l’arrêt des contrôles aveugles et le respect des droits de la défense, •l’instauration de la consultation infirmière en accès direct sur le rôle propre et l’auto-prescription des soins liés à la dépendance.
Afin de faire entendre davantage ses propositions, l’Onsil invite les idels et la population qui les soutient à se rendre en masse à la grande manifestation nationale à Paris le 4 avril prochain (de Bastille à 11h vers le Ministère de la Santé).
Franck Ribière, Président par intérim. Contact presse : Franck Ribière 07 70 24 95 37
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christophe76460 · 3 months
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Veillez à ce que personne ne se prive de la grâce de Dieu, à ce qu’aucune racine d’amertume, produisant des rejetons, ne cause du trouble et que beaucoup n’en soient infectés. (Hébreux 12:15 )
Si nous considérons quelques-uns des facteurs pratiques qui ont entraîné la crucifixion de Christ, nous réalisons que Ses souffrances ont été causées par l'inconstance, la bigoterie, la peur, la jalousie et la trahison des hommes. Dans l’amour, Il s’est chargé de ces choses pour nous. Et ces choses peuvent bien être les facteurs qui éprouvent la réalité de notre amour pour Dieu.
Les foules volages ont oublié si vite la gentillesse et la bonté du Seigneur Jésus, se laissant emporter par des accusations basses et fausses, de sorte qu’elles se sont mises à crier contre Celui qu'elles avaient auparavant exalté et loué. Les pharisiens étaient si dominés par un fanatisme religieux qui était cruel dans son intolérance et sévère dans ses dénonciations légalistes qu'ils ont été la cause première de Ses souffrances. Les disciples, ainsi que Pilate, avaient peur; Judas était traître; et Satan était jaloux lui-même et inspirait la jalousie dans les Sadducéens et les autres.
Mais toute cette concentration d’ attaques sur l'amour n'a pas empêché le Seigneur de rester fidèle à la volonté du Père dans les moindres détails. L'amour de Dieu signifiait plus pour Lui que l'amertume des ennemis, l'échec des amis, la force de l'opinion populaire ou la question de Ses propres droits. Quand Il est entré dans le repos, dans la gloire de la présence de Son Père, l’Amour avait vaincu toutes les tentations ....
Nous aussi, nous sommes confrontés à certains des ennemis qu'Il a eus à rencontrer, car nous avons été appelés à Le suivre en portant la Croix. L'inconstance des amis et des collègues de travail, la critique sectaire de ceux qui prétendent être les serviteurs de Dieu, la pression de la peur qu’inspire l'opinion populaire, l'incompréhension et la jalousie que Satan lui-même inspire - voila quelques-unes des épreuves qui viennent tester notre amour. Nous ne pouvons jamais espérer les surmonter si nous oublions qu'il y a pour nous, dans la présence de Dieu, un Sauveur qui a subi la pleine agonie de ces choses, mais qui les a acceptées dans le cadre de la coupe que le Père lui avait donnée à boire.
C’était Son amour pour Son Père qui lui a permis de toujours choisir la volonté du Père, et le résultat de Son triomphe est que «nous soyons saints et irrépréhensibles devant lui dans l’amour." Dans un sens, Dieu cherche à annuler en nous toute la défaite de l'amour que nous avons hérité d'Adam. Il nous expose à la pénibilité de la Croix, pas d'une certaine façon arbitraire ou antipathique, mais parce qu'Il vise à reproduire en nous cet amour dans l'accomplissement de Sa volonté que Christ présente déjà au Ciel à Son Père en notre faveur.
Par T. Austin-Sparks à partir de: La loi accomplie
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carnetcritique · 10 months
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Par leur pratique professionnelle, les architectes sont sans cesse au contact du terrain, de la société et des décideurs. C’est d’ailleurs une des grâces de ce métier : organiser une réunion de chantier le matin avec les artisans, les ouvriers, et présenter son projet aux élus de la région l’après-midi. Peu de métiers peuvent se prévaloir d’avoir sous les yeux, et d'agir en permanence, avec un tel condensé de la société dans son ensemble : les interlocuteurs sont non seulement sans cesse renouvelés mais viennent d’horizons sociaux larges et variés. Les architectes devraient pouvoir prévenir que l'allongement de l'âge légal de la retraite, contrairement aux assertions du MEDEF, est très loin d'être l'idée du siècle dans le BTP. Cela fait dix ans maintenant que j'ai l'occasion d'aller sur des chantiers un peu partout en France : les séniors sont rares sur le chantier. Il est évident que malgré le fait que "les sacs de ciments ne pèsent plus 50kilos", un jeune manœuvre en prendra deux pour accélérer la cadence. C'est physiologique, le corps est à terme fatigué et meurtri, les réflexes moins vifs. Alors avant de s'occuper de l'équilibre des retraites, il y a une urgence à s'occuper de l'emploi des séniors et de la pénibilité. La réponse du gouvernement est absolument consternante : il faudait investir dans une nouvelle formation pour ces gens fatigués et usés. Pourquoi diable demander à un couvreur zingeur de 53 ans qui a travaillé 25 ans sur des centaines de chantier, avec un savoir faire et une expérience inestimable, de se reconvertir ? Ne pourrait-on pas plutôt que de reculer cet âge légal, doper les retraites anticipés ? En 2022, ce dispositif permet déjà à tout actif âgé de plus 60 ans ayant cotisé 150 trimestres de demander à son employeur de réduire son activité professionnelle. Ce collaborateur touche alors le salaire correspondant à son activité à temps partiel – entre 40 % et 80 % de la durée de travail à temps complet – plus une partie de sa retraite (de base et complémentaire). Il pourrait alors dans le cas du bâtiment se consacrer à la formation d'ouvriers plus jeunes et transmettre ainsi un savoir-faire inestimable, et qui se perd de plus en plus. De manière générale l'état doit refaire confiance à ces corps intermédiaires, renouer avec le principe de subsidiarité semble être une sortie honorable pour l’action publique : elle revient à confier la décision à l’entité compétente la plus proche de ceux qui sont directement concernés par cette action. Exactement le contraire de l'approche actuelle qui consiste à recruter des cabinets de consultants hors de prix. Ce principe de subsidiarité permettrait aux architectes de renouer un dialogue avec l’État et de retrouver le difficile chemin d’accès à la décision publique.
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degrandesoreilles · 10 months
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Canicule en France
Le gouvernement a annoncé un nouveau dispositif canicule début juin. Il s’articule autour de 15 mesures qui concernent tout le territoire Français.  Ce dispositif est un prolongement du « Plan National Canicule (PNC) » géré par le ministère de la santé depuis sa création à la suite du tristement célèbre épisode de 2003. Portée par le ministère de la Transition écologique et de la cohésion des territoires, cette extension anticipe les impacts non directement sanitaires.
Le Plan National Canicule
Le mercure avait dépassé les 40° en 2003. Nous avons carrément enregistré 47.7° dans le sud du Portugal. En France, les conséquences dramatiques ont mis en abîme les limites des services publics, complétement dépassés par la situation.
Le PNC est une réponse préventive contre l'arrivée de canicules. Il s’agit de coordonner les moyens mis en place aux niveaux local et national pour limiter les effets sanitaires de celles-ci. Il est régulièrement activé depuis 2004.
Le nouvel acolyte du PNC
Le nouveau plan «complémentaire» est présenté par le ministre chargé de la Transition écologique Christophe Béchu. Nous nous sommes acclimatés aux situations de crises et après 19 ans de PNC et des changements climatiques avérés, 15 mesures ont été décidés en réponses aux vagues de chaleur.
Le dossier de presse publié par le ministère en question met en exergue les évolutions climatiques et liste toutes les parties prenantes et les actions qu’ils devront adopter.
Le réchauffement climatique : une réalité documentée et vécue
Une vague de chaleur est «un épisode caractérisé par une chaleur intense, de courte durée ou par des températures élevées qui perdurent dans le temps».  
Il est établit qu’on observe en France 9 fois plus de vagues de chaleur qu’il y a 40 ans. Ces vagues sont précoces et elles vont désormais sur une période plus étendue : de fin à mai jusqu’au début d’octobre. 1500 records locaux de chaleur ont été battus en 2022.
Le plan de gestion des vagues de chaleur et sa mise en place
Le réchauffement climatique a eu un impact considérable entrainant des conséquences importantes dans de nombreux domaines : fermeture de classes et de crèches, report d’examens scolaires, annulation de manifestations sportives et culturelles, perturbations dans les transports en commun et grande pénibilité pour les usagers ou sans oublier la mortalité animale.
15 mesures ont été pensées pour répondre au mieux à ces défis. Elles s’organisent en actions et visent quatre publics cibles.
Six mesures pour le grand public
Sensibilisation et campagne de communication à destination du grand public.
Recensement des îlots de fraîcheur et des fontaines publiques dans les communes.
Diffusion de messages de prévention dans les transports.
Diffusion de SMS par les opérateurs de téléphonie en cas de situation exceptionnelle
Premier bilan de « Plus fraîche ma ville » : C’est le travail d’une start-up d’état qui est au service des communes. Elle apporte un premier niveau de décision pour mettre en place des solutions de rafraichissement efficaces et efficiente.
Diffusion de SMS par les opérateurs de téléphonie en cas de situation exceptionnelle
Quatre mesures destinées aux jeunes et au personne vulnérable.
Mobilisation des jeunes en service national universel
Sensibilisation des tuteurs à la nécessité d’inscrire les personnes vulnérables sur les registres communaux
Mise en place d’un contrôle annuel des pièces ainsi que des équipements de confort des bâtiments scolaires (lycées, collèges, crèches, écoles)
Mise en place d’un contrôle annuel des pièces pouvant accueillir des examens
Trois mesures consacrées des travailleurs et des entreprises
Création d’un guide à destination des entreprises concernant les travaux réalisables dans les bureaux
Création d’un guide à destination des entreprises concernant les travaux réalisables dans les bureaux
Restriction du transport d’animaux vivants
Deux mesures à destinations des sportifs et des spectateurs des évènements culturels
Recensement départemental de l’intégralité des évènements sportifs et culturels
Sensibilisation des organisateurs d'événements sportifs et culturels en cas de vague de chaleur
Renforcement des moyens de surveillance et d’intervention de RTE et Enedis pour les périodes de vague de chaleur et de sécheresse
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dannykronstrom · 11 months
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Digital workplace : 12 conseils pour limiter la pénibilité numérique
https://www.itespresso.fr/digital-workplace-12-conseils-pour-limiter-la-penibilite-numerique-270157.html?utm_source=dlvr.it&utm_medium=tumblr&utm_campaign=DlvritTwitterDannyKronstrom
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