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#non vraiment c'était lui
sloubs · 1 year
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est-ce que...est-ce que vraiment là je viens de voir AA dans une pub pour un futur programme sur M6 ou est-ce que j'hallucine et je le vois partout maintenant
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maviedeneuneu · 2 years
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Moi hier en fin de soirée.
Alors l'escape game était hyper cool, c'était top et après mes collègues m'ont invitée à manger avec une amie qu'on a rencontré cet été. J'avais plein de choses à leur raconter sur tout ce qu'il se passe en ce moment dans ma vie et les changements qui vont avoir lieu, j'avais trop hâte de leur faire part de tout ça mais un de mes collègues a monopolisé la parole pendant absolument toute la soirée du coup ben j'ai pas pu en placer une... Je suis rentrée chez moi hyper frustrée et déçue du coup :(
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deescontinuity · 1 year
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Marre d'être un gros bouffon et d'avoir l'impression que personne ne m'aime
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chifourmi · 8 days
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Voilà on s'est appelé avec le Dieu Grec et on a conclu que c'était mieux qu'on s'arrête là. Parce qu'il n'est vraiment pas prêt à tenter quelque chose de sérieux. Il m'a dit qu'il s'était construit un mur et que c'était impossible de le détruire parce que c'est déjà arrivé l'année passée et quand ça arrive ses émotions sont décuplées et il peut aller loin. Je ne sais pas à quel point mais c'est bien le redflag que j'avais aperçu. Il m'a dit qu'il avait beaucoup travaillé sur lui et qu'il travaillait encore sur lui à ce niveau là. Et je me dis que c'est bien qu'il s'en rende compte et qu'il ne prenne pas le risque de blesser d'autres personnes. C'est mieux que ça n'aille pas plus loin du coup. Mais ça m'énerve que des sentiments soient apparus parce que ça a gâché ce qu'on avait. C'était trop beau, c'était léger, c'était adorable.
Il m'a dit qu'il n'avait jamais eu de relation comme ça aussi longue et il trouvait ça fou que ça se soit aussi bien passé et qu'il n'y ait jamais eu d'embrouille. Ça a duré 8 mois. Il m'a dit que j'étais quelqu'un de vraiment bienveillant, que j'étais une trop chouette personne, qu'il aimait bien que j'aille vers tout le monde tout le temps avec le sourire.
C'était trop beau notre appel, c'était trop touchant. Je lui ai dit ce que j'aimais chez lui, que j'aimais trop le fait qu'il parle beaucoup parce que moi j'adore écouter, que j'aimais trop son côté passionné aussi. Puis on a tout mis au clair pour qu'il n'y ait plus aucun non-dit. J'aurais tellement voulu le voir une dernière fois mais il m'a dit que c'était pas une bonne idée parce que ça me ferait encore plus mal. Je sais qu'il a raison mais c'est dur. Limite l'appel m'a fait ressentir encore plus de choses pour lui. Il m'a dit que je lui manquerais et c'est bête mais avant l'appel j'avais l'impression de n'être absolument personne pour lui. Et j'ai compris que c'était archi faux. Il m'a dit que j'avais bien fait de le faire maintenant parce que pendant ses examens ça aurait été dur pour lui. Et il m'a demandé si j'avais prévu des choses de mon côté pour ne pas trop ruminer.
J'avais tellement de mal à raccrocher.
Je me sens tellement légère, j'ai plus du tout cette boule au ventre. J'avais tellement besoin qu'on parle. Je suis tellement heureuse et tellement triste en même temps. J'arrive pas à croire que je le verrai plus et que je n'aurai plus jamais de messages de sa part. J'ai envie de pleurer sans m'arrêter et en même temps j'ai pleins de beaux souvenirs en tête. C'était trop beau ce qu'on a vécu.
(18/05/2024)
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fieriframes · 3 months
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[Who planted the dark seeds of your dreams?]
XIII - La Marche Triangulaire
Environ deux semaines plus tard, les livres sont arrivés. Deux grosses briques. C'était vraiment un plan formidable.
Je dois dire que ce sont de très belles rééditions. Comparé à l'article que j'ai imprimé, par exemple, les illustrations sont incroyablement claires, comme si quelqu'un avait voyagé dans le temps et scanné la première édition. Clair, seulement visuellement. Leur signification n'était certainement pas claire. Stéganographie surtout était jolie, avec ses instructions détaillées pour invoquer les esprits.
Le processus de traduction (Stéganographie était en latin) a été lent, mais il est vite devenu évident que les livres ressemblaient essentiellement à l'écriture d'un fou, et je savais qu'il y avait même une autre couche de folie cachée ou cryptée dans le texte. J'étais entouré de notes sur papier, d'articles, de livres, comme un vrai fou moi-même. Et comme tant de fois ces derniers mois, j'étais perdu.
Eh bien, les livres n'étaient pas utiles pour résoudre le puzzle, mais j'ai découvert que c'étaient de très bons oreillers. Un nuit, la traduction m'endormait et je me suis réveillé avec mon visage collé sur Polygraphie. L'article que j'ai imprimé, qui contenait une copie de la couverture du livre, était juste à côté. En regardant la couverture de si près (peut-être de trop près), je l'ai finalement vu. Les clés.
Dans l'article, l'homme tenait deux clés, mais dans le livre, c'était trois. Au début, je pensais que la photo dans l'article était simplement dégradée, mais il y a beaucoup de numérisations haute définition en ligne, et toutes contenaient deux clés, pas trois. Le description partout était: "Trithème, s'agenouillant et présentant son livre à l'empereur Maximilien. Derrière lui, Haselberger détient deux clés." C'est très subtil, mais quand regardé côte à côte, c'est si évident. Au lieu de deux clés, dans mon exemplaire, j'en ai vu trois.
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Tout le reste était pareil. J'ai jeté Polygraphie de côté et coincé mon nez dans Stéganographie.
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C'était beaucoup moins évident, mais je l'ai trouvé. Partout, la porte avait deux fenêtres, mais dans chez Mars Éditions, il y avait trois:
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Clefs altérées, portes altérées. Dans quel but ? Quelque chose de si subtil, si caché devait être important, mais pourquoi ? Trois : un nombre sacré et magique. Une trinité. 
Je suis retourné à Nuit Sans Fin et j'ai recommencé depuis le début. En pensant au chiffre 3, pour la première fois, le triangle de la première page (le triangle réapparu sur la dernière page) m'a semblé important. Ensuite, je suis revenu aux livres Trithème et au chiffre expliqué dans l'article. Pour dériver l’incantation, on prend la deuxième lettre d’un mot sur deux. Le nombre critique ici est donc 2. Deux. Deux clés. Deux fenêtres. Mais ce chiffre n'a pas fonctionné. Peut-être que le nombre qu'on cherche n'est pas deux, mais trois. Trois clés, trois fenêtres. Trois, le nombre sacré. Le numéro du triangle. Peut-être qu'on doit prendre chaque troisième lettre de chaque troisième mot dans Nuit Sans Fin ? Qu'une seule façon de le savoir.
Cet esprit ondulant Ce voyageur capuchonné Qui existe odieusement ailleurs  Vous vagabondiez et elle fantasmait  Elle a cultivée, avec les philosophes  une incantation évidente Pour les lucifuges Pour les moqueurs Ce fantôme fieffant Loin des fadasseries terrestres et badines Ils se perchaient Les cormorans aporétiques Une plaine vaste
Le résultat:
daphnisegoinsilvishincusqueadsideranotus
Mon cœur battait à tout rompre. J'ai immédiatement reconnu le nom Daphnis du tableau Et In Arcadia Ego et j'ai su que c'était la clé.
J'ai répété ce processus depuis le début du livre et suis arrivé au paragraphe suivant après avoir rempli là où je supposais que les espaces et les ponctions devaient se trouver :
Après être arrivé au lieu où se confondent existence et non-existence, une porte verte est apparue, invoquée là depuis les plaines pastorales de la plus ancienne Arcadie. J'ai chanté à la porte ces paroles qui précédaient les ténèbres : Daphnis ego in silvis, hinc usque ad sidera notus.
J'aurais dû être heureux que tout ce qui avait conduit à ce moment n'était pas une coïncidence après tout, mais tout à coup, j'ai été terrifié.
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alicedusstuff · 10 months
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Pensée nocturne_version française
Wukong n'a jamais écouté les conseils de Macaque. Chaque philosophie sombre était contrée par une pensée heureuse. Chaque avertissement était balayé d'un revers de la main, effacée d'un baiser, soufflée d'un câlin, ou épousseté de l'idée d'un idéal incertain. En soit, tout ce que le Macaque pouvait dire qui n’allait pas dans le sens du légendaire roi singe était ignoré de la plus belle des manières. Et ce n’est que maintenant, dans le creux de son lit, au milieu de la nuit, coincé dans les bras de la cruelle personne qui l’avait tant de fois rejeté et désiré à la fois, que l’esprit de Macaque lui fit un rappel bruyant de sa condition. 
"Wukong ne m'écoute pas…" réalisa Macaque. 
Et l'idée même que cette réalité se répète à nouveau dans le futur dans lequel il se trouvait le paralysait. Était-il sain de reprendre sa relation avec Wukong ? Non. Ça ne l'était certainement pas. Macaque savait plus que trop bien ce que l'un et l'autre voyaient en eux. Le singe de pierre voyait en Macaque, le compagnon fidèle et aimant qu'il regrettait avoir assassiné. Et le singe de l'ombre voyait en Wukong le doux bonheur brûlant qui l'avait forcé à tout nier pour se laisser consumer jusqu'à la tombe. 
C'était clair que si Macaque et Wukong s'étaient une fois  aimés sincèrement à leur premier "je t'aime"; ils n'aimaient tous deux chez l'autre,  aujourd'hui,  que le souvenir fané qu'ils représentaient. 
Aucun d'eux ne se connaissait plus. Leur mouvements restaient en synchronisation; mais ils n'étaient plus harmonisés de la même façon qu'avant. La différence entre ces deux faits était aussi fine et confuse que la différence entre amour et adoration. 
"Wukong ne m'aime pas." Réalise Macaque pour la seconde fois, tandis que son  souffle s'accélère. 
Le singe à la fourrure de jais se retourna dans son lit, et se blottit dans les bras de son compagnon. Depuis la destruction de la maison de Wukong sur la montagne de fleurs et de fruits, le singe de pierre était en cohabitation avec Macaque. La situation les avait rapprochés, et ils avaient alors décidé de reprendre leur relation, depuis longtemps brisée. Mais maintenant, Macaque doutait. Il aurait dû dormir. S'il s'était endormis,  il n'aurait pas pensé autant. Pourquoi diable ne dormait-il pas ? 
Macaque ferma fortement les yeux. Ses muscles se tendirent sous l’effort, comme si tout son corps essayait de le forcer à dormir. Malgré tout, le geste ne fait que rendre Macaque encore plus conscient de ses pensées parasites. Il ne devrait pas penser. Il ne devrait vraiment pas laisser son esprit lui jouer des tours. Mais il n’y pouvait plus rien. Chaque tentative mise en œuvre pour faire disparaître les pensées sombres était conclue par une vague encore plus forte de pensées obscures. 
Dieux! N'allaient-elles pas se taire !?
-Macaque. 
Le cœur de Macaque loupa un battement et ses oreilles s’agitèrent une seconde. Macaque tentait de regarder autour de lui. Il leva les yeux vers Wukong pour voir si ce dernier dormait réellement. 
Avait-il imaginé la voix du sage ? 
Le souffle de Macaque s’arrêta, uniquement pour écouter la respiration de Wukong, s’assurer de si ce dernier était bien celui qui avait ouvert la bouche, ou s’il avait juste entendu une voix. 
Cela lui arrivait souvent à l’époque. Les ombres lui sussuraient toujours un aperçu du futur, ou du passé de temps à autre. Et c’était si réel que Macaque avait du mal à les différencier de la réalité. Mais ces derniers siècles, il avait été seul quand ces manifestations vocales lui étaient arrivées. 
Le souffle de Wukong était régulier, et lourd. Sa peau était chaude. Et bien que Macaque adorait se coller à cette fourrure qui sentait le soleil; il était, là maintenant, bien trop concentré à s’assurer du fait que Wukong dormait bel et bien. 
-Wukong ? 
Murmurra Macaque, incertain, malgré le fait évident que son compagnon n’avait pas pipé mot. La respiration de Wukong changea de rythme, comme si ce dernier s'était réveillé à l’appel de Macaque. Mais non. Il dormait toujours. Macaque le savait. Le singe de l’ombre sourit, satisfait, et mis à l’aise dans les bras de Wukong; s’agitant comme un petit oiseau qui essayait de s'ébrouer pour retirer la pluie de ses plumes. Puis, quand il fut enfin bien installé, il ferma les yeux encore, essayant de remplacer ses inquiétudes par le battement de cœur de l’homme qu’il aimait. 
-Je t’aime Mac…
Macaque se tendit et leva des yeux surpris vers Wukong dont le rythme reprit un ton plus agité, laissant échapper au sage quelques ronflements. C’était une phrase dite de façon incompréhensible. Les paroles d’une personne endormie. Peut-être même que ce n’était rien de plus que les mots échappés tout droit des rêves de Wukong, mais Macaque les avait entendus de façon bien trop claire. 
Wukong avait dit qu’il aimait Macaque. Il avait dit Mac! Pas Liu Er. Wukong n’avait pas utilisé l’ancien nom de Macaque. Il avait…Wukong a…il aimait…il…!
Le cœur de Macaque battait trop vite dans sa poitrine. Il cognait si fort que le singe de l’ombre eut peur que le son réveille Wukong. Oh par pitié, faites que Wukong ne se réveillerait pas. 
Si il le faisait, il verrait certainement le visage rouge de Macaque, et le sourire qu’il était incapable de faire disparaitre. Les yeux du singe à la fourrure de jais montreraient certainement tout l’amour qu’il portait à Wukong? et Macaque n’était pas prêt à ce que Wukong voit cette expression de lui. Ce serait tellement honteux. Il se sentirait si déshonoré, si Wukong découvrait à quel point des mots aussi simples avaient excité le singe à ses côtés. 
C’était stupide de penser ainsi. Mais le Macaque serait prêt à tuer Wukong, plutôt que de lui avouer combien une simple phrase avait été efficace. Suffisamment pour lui permettre d’effacer ses doutes, et lui permettre de dormir à nouveau.  Dieu! Macaque détestait tellement Wukong! Ce crétin était beaucoup trop adorable pour le bien du singe de l’ombre. 
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urween · 4 days
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"Un temps neigeux"
Wolverine x FTMreader
note : Logan a une place bien particulière dans mon coeur, alors comme avec toutes ces choses-là, j'aime écrire dessus ;)
résumé : lors d'une soirée d'hiver, deux hommes se rencontrent et étonnament, s'entendent plutôt bien.
! warnings : language vulgaire/cru, violence, alcool, cigare
bannière par @/saradika-graphics
2 404 mots
Description à la troisième personne
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Ses yeux admiraient les reflets que projetait la lune sur le lac, il aimait profondément la nuit, plus que le jour, c'était sûr et certain. Quelque chose était réconfortant dans cette pâle lumière, tout comme mystérieux, et il aimait ça.
Deux hommes passèrent devant, assez jeunes, charmants. Il les avait déjà vu il y a environ trois minutes, rentrant dans le bar derrière lui, mais apparemment ils n’y avaient pas trouvé leur bonheur.
Le jeune homme se leva, passant rapidement ses mains contre ses cuisses pour retirer le peu de terre qui pourrait s’y trouver. Il admira encore une fois le beau spectacle qui s’offrait à lui, avant de se retourner. Sans problème, il rentra dans le bar, pas des plus remplis pour un vendredi soir. Quelques personnes s'étaient mises dans un coin, d’autres jouaient au billard et trois étaient au comptoir. Il se rapprocha de ce dernier, faisant un signe de tête au barman en guise de bonsoir. Il prit la première place qu’il vit, à un siège d'un homme sûrement bourré au vu de sa position courbée.
« Qu'est ce que je vous serre ? »
Ses yeux noisettes sourirent au barman, il commanda un mojito, pour se rappeler de la fraîcheur du dehors. L’homme à sa droite bougea, il le regarda sans vraiment prêter attention, mais remarqua tout de même qu’il n'était peut-être pas si bourré qu’il l’aurait imaginé. Son verre, de ce qu’il supposait être du whisky, était déjà vide mais son visage ne semblait pas endormi, bien au contraire.
« Et voilà pour vous »
Le verre glacé arriva dans ses mains, il remercia le barman et prit une gorgée. Le goût sucré et mentholé lui fit presque oublier l’alcool présent dans la boisson.
Une fumée grise obscurcit sa vision pendant quelques secondes, il fronça les sourcils et trouva le coupable à sa droite. L’homme fumait un gros cigare. Le jeune brun ne put s'empêcher de souffler, amusé, ce genre de “cigarettes” n'était plus très courant. Il reprit une gorgée de sa boisson, ne voyant pas l’homme le regarder du coin de l’œil.
Logan fronça les sourcils, c'était rare qu’il ne le fasse pas en fait, mais cette fois-ci était pour une raison valable. Le garçon à sa gauche n’arrêtait pas de le regarder, croyant être discret, voire même invisible. Et il n’aimait pas être fixé, surtout par un inconnu. Il tira de nouveau sur son cigare, expirant toute la fumée à sa gauche, juste pour voir le nez du garçon se froncer comme un petit chat mécontent. D’un vague geste il indiqua au barman de lui resservir un verre, chose qu’il fit dans la minute.
Des voix s’élevèrent dans la pièce, le jeune brun tourna sa tête vers la table de billard à sa gauche et y vit deux hommes se chamailler. Il roula des yeux, se retenant de penser une phrase bateau du genre “ah les hommes, tous les mêmes”. 
Logan prit une grande gorgée, fermant les yeux une micro seconde pour apprécier la brûlure de l'alcool. Les deux hommes continuèrent de monter le ton, se bousculant mollement, ils étaient complètement bourrés.
Le barman jeta quelques coups d’œil vers eux, se demandant si la situation pouvait dégénérer ou non, espérant que la deuxième réponse soit la bonne car apprivoiser ces deux costauds ne serait pas agréable pour lui.
Un verre se brisa, le barman grinça des dents. Le jeune brun reprit plusieurs gorgées de son mojito, ne lâchant pas des yeux la situation. À côté, Logan ne regardait même plus, préférant alterner entre son cigare et son verre. Un deuxième bruit de verre retentit, plusieurs têtes se retournèrent vers les concernés. Un des deux hommes poussa l’autre plus fort et le fit tomber lourdement contre une table. Un groupe de jeunes femmes se regarda et, dans un accord commun, préféra partir avant que la situation ne s’aggrave. Un autre homme se leva, sentant un courage grandir dans ses veines, il alla vers les deux perturbateurs pour les séparer. Malheureusement pour lui, ils faisaient deux fois son poids, et l’alcool n’arrangeait pas les choses.
Le jeune au mojito but encore quelques gorgées, profitant du spectacle ridicule du client voulant répandre sa testostérone un peu partout en séparant les deux gros gaillards. Il lâcha du regard la scène lorsqu’un des deux hommes prit une bouteille de bière dans la main. Le petit brun se baissa, passant son verre derrière le comptoir pour deux secondes, juste le temps que la bouteille vole au-dessus de sa tête et se fracasse contre le mur à sa droite.
Le barman monta à son tour la voix, et bientôt tout le monde semblait crier, exceptés les deux hommes accoudés au comptoir.
Logan passa un main contre son épaule, retirant les morceaux de verre qui s'étaient posés sur sa veste en cuir. Il finit son whisky et déposa le verre vide contre le bois sombre du comptoir. Malheureusement, le barman était parti essayer de faire sortir les deux perturbateurs, alors pas moyen de se faire resservir. Par conséquent, il le fit tout seul. Logan passa son buste au-dessus du comptoir et attrapa la bouteille ambrée juste en dessous.
« J’espère au moins que vous allez le payer ce verre »
Une voix douce, dans le sens basse et calme, le fit lever un sourcil. Un vague rire traversa ses lèvres, plus ironique d’autre chose.
« Sinon quoi, tu vas me dénoncer ? »
Le jeune haussa les épaules, finissant à son tour son verre pour essayer d'ignorer le timbre de voix plaisant de l’homme à sa droite.
« Non »
Logan souffla d’agacement, comme il le faisait toujours si bien. Il prit une plus grande gorgée que la normale, faisant une légère grimace en avalant. Autour d’eux, les cris ne s'arrêtaient toujours pas, et ça aussi ça commençait à l'agacer. Une autre bouteille atterrit près de lui, manquant de peu de le toucher. Sa main se resserra sur son verre alors qu'il tira sur son cigare. À côté, le jeune se retenait de sourire, appréciant malgré lui ce petit spectacle que lui offrait cet homme avec son air aigris et sa voix rocailleuse. Sans le vouloir, il observa la main de cet homme, et fut surpris de voir des veines aussi apparentes, ça lui plaisait aussi.
De lourds pas le fit stopper son observation, il regarda à sa gauche et tomba nez à nez avec un des deux hommes. Vu de près il aurait pû faire flipper, avec sa bouille ronde transpirante et ses dents jaunes. Le brun haussa un sourcil, demandant subliminalement ce qu’il voulait. L'homme ne fit que rire, bêtement. Le barman arriva derrière lui et essaya de lui parler, sûrement de lui demander de partir. Mais il attrapa le verre vide du brun et l'analysa du regard comme un imbécile. Dans un soupir, le jeune homme se décala simplement d’un siège, ignorant l’homme et sa nouvelle passion pour ce verre.
Logan eut un réflexe de recul, très léger, très subtil, mais le brun le vit, parce qu’il avait pris l’habitude de tout voir. Alors, tout aussi légèrement, subtilement, il décala son siège haut de quelques centimètres, faisant passer ça dans un mouvement banal. Logan fronça les sourcils, encore, et serra la mâchoire en reprenant son verre déjà vide. Un sourire passa sur les lèvres du brun à sa gauche, il aimait bien cet homme, en fait, il le trouvait très sexy.
Le barman parvint à faire sortir un des deux hommes, avec l’aide d'un client. Le deuxième voyant ça, devint un peu plus virulent et lança une bouteille, encore, sur un mur. Cette fois-ci, Logan se prit un éclat de verre, sur la tempe. Son poing se referma sec et il se leva. Un sourire, peut-être un peu trop grand, apparut sur les lèvres du brun à côté.
« Si tu comptes te battre, saches que ce mec à un couteau dans son froc »
Lui dit la même voix calme. Logan regarda le brun, juste un instant, peut-être pour voir si quelque chose dans ses yeux noisettes alertait son instinct, mais rien, bien au contraire, il eut envie de le croire.
« Je pense avoir la gamme au dessus »
Le brun ne comprit pas le sous-entendu, regardant simplement l’homme sexy se rapprocher de l’autre, beaucoup moins sexy. Et rapidement, un coup de poing partit, suivi d’un deuxième et, wow. L’homme soûl tomba raide au sol. Le brun se pencha pour essayer de voir si le mec sexy avait sorti une arme ou quelque chose dans le genre, mais rien, seulement son poing serré.
Logan souleva l'homme, le prenant par dessous les bras pour le jeter dehors.
Lorsque les portes se rouvrirent sur lui, le barman bégaya des remerciements, mi-rassuré mi-inquiet. Logan se laissa tomber sur son siège, tirant encore une fois sur son cigare avant de l'éteindre.
« T’es champion UFC ou un truc dans le genre ? »
Logan sortit un billet de sa poche, le déposant contre le comptoir, juste sous son verre.
« Rien d’aussi prestigieux »
Sur ces mots, il se leva et sortit. Le brun resta quelques instants muet, avant de se lever à son tour, glissant un billet sous son verre. Il salua le barman d’un geste de main, envoya un petit sourire qu’il contrôlait si bien à un homme le fixant, et il sortit.
La lune était toujours aussi brillante, l’air toujours aussi froid. Il passa ses mains dans ses poches puis sourit en soufflant de la fumée blanchâtre dans l’air. Il aimait l'hiver, plus que n’importe quelle saison. En hiver tout le monde changeait, on découvrait le vrai visage des gens. Parce qu’en hiver on est soit obligé de se cacher sous des couches de vêtements soit on court dans la neige, et peu de personnes aiment courir dans la neige, il l'a remarqué. Les gens qui en été sont tout sourire, deviennent irritables en hiver, permettant aux personnes introverties d'avoir plus de place. Et puis, il y a aussi quelque chose de magique avec cette saison. La terre devient blanche, les lacs gèlent, les animaux s’endorment. C’est comme si la Terre devenait mutante pour quelques mois, ses paysages changent et deviennent précieux, rares, beaux. Tout le monde peut en profiter, ça aussi c’est beau. Lui il adore en profiter, pour être honnête, il aurait voulu naître mutant, parce qu’il se sent mis à l'écart pourtant sans en être un. Sa manière de penser effraie les gens, ils ne le comprennent pas vraiment, ils pensent d’ailleurs souvent qu’il est mutant. Mais en hiver, il fait de la vapeur en expirant, et il se sent comme à la maison en le faisant, parce qu’en été la Terre n’est plus mutante et d’une certaine manière, lui non plus.
Son regard traversa le paysage, admirant encore une fois l’eau et ses reflets. Une silhouette apparut dans son champ de vision, grande, musclée et, oh, sexy. Il ne put retenir son sourire, à vrai dire il espérait voir cet homme et pouvoir lui parler. Alors il trottina jusqu’à lui.
« Hey ! »
La silhouette se retourna de trois-quarts. Logan leva un sourcil puis continua son chemin.
« Eh non attends ! »
Le brun était assez petit, ses jambes l'étaient donc aussi et il dut presque atteindre le stade de course pour rattraper l’homme, mais il réussit. Dans un pas rapide, il marcha aux côtés de monsieur sexy.
« C’était vraiment impressionnant tout à l’heure, je veux dire..ouais c'était vachement cool »
Logan s'arrêta net, un soupir quitta son corps et il regarda le petit homme à côté de lui.
« Qu’est-ce que tu veux »
Prit au dépourvu, il ne sortit aucun mot, seulement de la vapeur.
« Comment tu as su pour le couteau, tu vois à travers les vêtements c’est ça ? »
Si seulement, répondit le brun dans sa tête, et seulement dans sa tête.
« Non non du tout, je l’ai juste remarqué, face au regard insistant de l’homme, il poursuivit, il gardait toujours sa main près de sa bite et les mecs comme lui s'ils veulent se toucher ils n’hésitent pas donc il avait forcément un trucs caché par-là »
« Ça aurait pû être un flingue »
« Mh en fait non, un sourire passa sur ses lèvres, parce que vu sa corpulence importante un pistolet aurait pas tenu à ce niveau, son ventre l’aurait fait tomber au bout d’un moment, surtout avec les grands mouvements qu'il faisait »
Un petit silence s’installa entre les deux hommes, le plus petit ne put s'empêcher de sourire, assez fier de lui. En fait, il n’avait jamais vraiment l’occasion de parler à quelqu'un de cette manière, les gens ne l’écoutaient pas où le trouvaient pervers la plupart du temps. Logan fronça les sourcils.
« C’est quoi ta mutation »
« L’intelligence, tu connais ? »
Malgré lui, un sourire se dessina au coin de la lèvre de Logan, ce mec n'était peut-être pas si stupide qu’il le pensait.
« Non sérieusement, je suis pas un mutant, seulement un gars qui aime observer les réactions des gens »
« Un pervers quoi »
Le brun roula des yeux, ce n'était peut-être pas une si bonne idée finalement. Il préférait arrêter, cet homme était très certainement comme les autres.
« Attends, Logan se retourna vers le garçon en train de s’en aller, j’ai rencontré beaucoup de pervers dans ma vie et t’en ai sûrement pas un, ou alors un très évolué »
Les compliments étaient devenus rares pour lui, il prenait tout ce qui s’en rapprochait, alors il regarda l’homme derrière lui.
« Merci je suppose, ses yeux passèrent sur le cou musclé de l’homme, et toi ? T’es aussi une forme évoluée d’un truc stupide, genre l’humain, ou t’es un mutant ? »
Pour la première fois depuis le début de la soirée, un rire, bien que léger, ronronna dans la gorge de Logan.
« Je sais pas, à toi de le deviner »
« Autour d’un verre ça t’irait ? »
Le jeune brun se mordit l’intérieur de la joue en attendant une réponse. Logan eut un air amusé au visage, il hocha la tête.
« Dans un bar moins pourri si possible »
Une femme passa à côté d’eux, le brun prit une grande inspiration et proposa quelque chose d’autre.
« Ou dans la neige ? »
Logan encra ses yeux dans ceux noisettes, il sourit faiblement et commença à marcher.
« J’ai des bières dans ma voiture, viens »
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perduedansmatete · 3 months
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j'ai pleuré une bonne partie de la nuit, je savais que j'aurais du aller dormir chez Y plutôt que de rentrer avec le dernier bus dans lequel je me sentais comme une merde, lui non plus n'était pas bien en plus, il m'a dit qu'il avait pleuré toute la soirée, il voulait pas vraiment me déranger trop tôt et quand je lui ai proposé de lui ramener une pizza il m'a dit de profiter de ma soirée, toujours est-il qu'en me sentant totalement lamentable et pathétique dans le bus à minuit passé après avoir séché mon cours de l'après-midi en partie parce que tia n'était pas bien et qu'on ne s'était pas beaucoup vu depuis ce week-end, et aussi en grande partie parce qu'on avait déjà commencé à boire, qu'il faisait beau et que la flemme bref, je demande à Y si je peux lui dire un truc qui risque de lui donner envie de me gronder, sachant qu'on avait déjà eu une discussion en début de semaine qui avait résulté sur: je vais te dire de manger de boire blablabla on va prendre rendez-vous chez un psy c'est plus possible je vais pas te laisser tomber blablabla moi aussi je vais me reprendre et si tu fais tout bien tu auras un gros cadeau (motivant), je lui dit donc que je n'ai fait que boire toute la journée (encore) et il me demande juste pourquoi je ne lui ai pas dit plus tôt, qu'il m'avait dit d'y aller doucement, que c'était pas grave mais que j'aurais du lui dire et rentrer dormir chez lui, puis on a parlé très longtemps quand je pleurais dans mon lit sans m'arrêter des raisons pour lesquelles c'était plus facile de boire et de faire de la merde continuellement ces derniers mois que de faire face au vacarme dans ma tête que ce n'était pas juste la dépression comme il m'avait dit en début de semaine mais qu'il y avait eu un déclencheur dernièrement qui me ramenait à des choses que j'essayais déjà d'oublier avant sans y arriver, il m'a dit qu'il fallait que j'arrête de toujours tout garder pour moi, que non je n'étais pas une pomme pourrie avec rien d'intéressant à l'intérieur comme je le pense et que quand on prendra rendez vous pour aller voir quelqu'un il m'accompagnera et m'attendra pour que je ne sois pas toute seule parce que ça me fait trop peur et que j'ai pas envie
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e642 · 15 hours
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Ma mère a beaucoup de rancœur à mon égard. Les années suivants mon hospitalisation, je comprenais. C'est pas facile pour un parent de frôler la perte de son enfant. Je lui ai laissé le temps. J'ai essayé de mieux faire. J'ai banalisé le fait qu'elle soit mal à l'aise avec moi. Qu'elle ait des axés de colère. Qu'elle me pique exprès. Je me suis dit que c'était pas grave car je ne suis pas avec mes parents la plupart du temps. J'ai bien compris que ce que j'avais fait avait au moins changé, à jamais, le regard de ma mère sur moi. Sans compter la maladie qui la ronge et qui lui fait en vouloir à n'importe qui qui ne serait pas malade. Ça peut s'entendre ça aussi. Quoiqu'il en soit, j'ai essayé, depuis 4/5 ans d'être l'enfant sage, ne créant plus de problème, n'inquiétant plus personne. Je demande rarement de l'aide. Je ne demande jamais d'argent. Je leur réponds globalement ce qu'ils veulent entendre. Je suis volontaire. Je réponds chaque jour à 2 appels. Je valide mes années. Je fais en sorte de jamais trop les déranger et pourtant, les rares fois où je reviens, je me sens si peu à ma place. Son manque de moi est rassasié en 1 ou 2 jours, après l'agacement et les reproches reprennent le dessus. Je dis rien parce qu'il n'y a rien à dire, je suis en face d'une maman éplorée, qui s'est convaincue elle-même qu'elle mourrait bientôt, qui n'a de cesse de sous-entendre à mon père et moi que si elle avait pu faire les choses autrement, elle l'aurait fait et que ça aurait été mieux. Le plus dur je crois, c'est que j'ai jamais eu l'impression qu'elle m'aimait vraiment, enfin si, mais il y a eu une coupure. Depuis ce temps, je ne l'ai jamais sentie fière de moi, ou contente que je sois là. Pourtant, j'essaie vraiment d'être présente et de faire en fonction d'elle, l'amener à l'hôpital, réussir mes études, discuter avec elle mais je la sens si distante. Elle m'a souvent répétée que j'étais quelqu'un de froid. Qu'elle ne comprenait pas ce que je pensais. Que j'avais jamais rien à dire ni à faire. Que j'étais pas intéressante. C'est peut-être vrai mais dans ses mots, j'entends du dégoût par moment et un réel regret. Ces 5 dernières années n'ont pas été accomplies dans l'unique but de regagner confiance, reconnaissance et intérêts de mes parents, seulement, je pensais que ça viendrait avec. Mais non. Ça m'affecte qu'elle prenne chaque chose et en fasse une pique acérée. Je trouve ça tellement dommage. Puis, au delà de ma désolation, je vois bien que ça ne changera plus.
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issialou · 22 days
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Alors ce post est un peu un espece de characters studies à propos de Gamebreakers et de lnévolution de leur relation entre l'arrivée des français sur le serveur et jusqy'à aujourd'hui. Et vu que je vais le poster pour le Language Day, ce poste sera écrite en français. Si j'ai vraiment la force je le tradurerai en anglais mais ce n'est pas du tout sûre. Aussi ce que je vais partager est juste mon opinion, donc ne prenez pas celà comme la vérité absolue. Aussi, je vais surtout parler du POV de q!Aypierre. Bref, après ce loooong intro allons au sujet qui intéresse aujourd'hui.
Alors l'évolution d'AyHalo peuvent être vu en trois étapes chronologique (pour l'instant).
La première va de l'arrivée des français sur l'île jusqu'au vol des meuble.
Et pour être plus précise ça a vraiment commencer lors de la deuxième connexion d'Aypierre sur le serveur où BadBoyHalo lui a fait une p'tite visite de l'île et lui a montrer sa ferme, lui a donner des quelques stuffs pour lui et pour Pomme, et l'a aider à avoir ses 20 cœurs. Tout cela a vraiment marquer dans une très bonne manière Pierre. Grâce à cela et dû qu'à l'époque où Aypierre se connectait durant la matinée (en France) et que Bébou était généralement la seule autre personne qui était connecter sur le serveur, il a était le premier dont Pierre lui a montrer sa ferme à XP et aussi le premier non FR, en remerciement pour l'aide qu'il a donner aux frenchies et à leurs œufs durant les premiers jours de leur arriver sur l'île, dont Aypierre a ajouter dans l'allowlist pour y accéder. En en retour, il a été un des premiers (si pas le premier mais je ne suis pas sûre à propos de ça) dont Bad lui montrer sa nouvelle base quand il était en construction.
Durant toute cette période il s'apprenaient à se connaître et ils n'étaient pas aussi proche comme ils vont l'être plus tard. Ca a surtout poser les bases de leurs relations.
Aussi c'était durant cette période là où Aypierre couchait à gauche et à droite (son but principal était d'avoir tout les gars de l'île dans son lit). Aussi, en même temps, côté il y avait sa relation entre lui et Maximus qui commençait à se développer (un p'tit truc amusant, c'est à grâce à Bébou ces deux là se sont vraiment rencontrer lorsqu'ils leur a proposer de faire des shenaningans dans le dragon de Foolish). Et BadBoy avait toute cette chose avec "l'Autre Gars" (je penses que certain.e. savent de qui je veux parler).
Bref, après cette p'tite interlude on va passer au live 24h d'Aypierre où il a passait beaucoup de temps avec Bébou. Et tout cela avec Bad demandant à Pierre de l'aider à interroger Foolish en construisant une machine pour le torturer et ce dernier accepta. Puis après avoir avoir le Lucky avec Foolish et "l'Autre Gars" il apprit que ce dernier et Pierre avait déjà coucher ensemble (même si ce dernier essaya de le nier) ce qui conduisit plus tard dans la nuit à Bébou jaloux envers Aypierre, lui demandant si beaucoup de personnes étaient passer dans son lit et Pierre lui répondit en lui citant les noms. Et ensuite, Bad lui demander sarcastiquement si Skeppy était passer dans son lit et il a profiter de l'occassion pour lui demander que si c'était le cas, est ce que il coucheraient avec eux aussi. Bébou a éviter de répondre même si Aypierre continuer à le taquiner avec notamment un photomontage de Skeppy dans le lit d'Aypierre. Et ensuite, ils commencèrent à construire la machine à torture pour Foolish. Puis ils emprisonna ce dernier.
Selon moi, cette live là marqua un moment important dans leur relation surtout, je penses, du côté de Bébou qui a pu voir que la boussole morale d'Aypierre était aussi fucked up que la sienne et que ça ne le dérangeait pas de construire une machine pour torturer quelqu'un et que ce dernier ne le jugerait pas pour ça.
L'autre moment qui une autre étape importante dans leurs relation est lors de l'affaire des vols des meubles où Pierre est le seule adultes qui été présent ce jour à penser que BadBoyHalo était innocent et devait être libérer. Ce qui fait qu'il a était avec Pomme et Dapper les premiers à avoir accès à la nouvelle waystone de chez Bébou. Aypierre lui avoua c'était qui avait trafiquer le système des votes pour un nouveau mod (ce qui va installer une habitude chez Pierre de ne pas lui cacher des choses importantes, que ce soit lorsqu'il avait voler les waystones pour détourner l'attention des gens de Bébou ou bien plus avec ses rêves et de son passé avec la Fédé). Puis les œufs disparurent et à partir de ce moment là Aypierre passèrent plus de temps ensemble. Ils essaient de faire que l'autre ne plonge pas complètement. Et par exemple, durant je crois le premier jour, Pierre a été celui qui a fait rire BadBoy. Et ils passèrent aussi de longues heures à discuter et à théoriser sur ce qu'ils se passaient avec les oeufs et certaines personnes. Aypierre a aussi été un des premiers à être témoin de la dégradation mentale et physique de Bébou et à s'inquiéter de cela. Aussi, il avait prit l'habitude d'aller chez Bad lorsqu'il le voyait se connecter sur le serveur.
Après sa rupture avec Maximus, BadBoy a été la personne vers qui Aypierre s'est pour parler à propos de jambe infecté de Maxo.
En gros, durant cette période leur amitié, confiance et affection en l'un et l'autre s'est vraiment renforcé et c'est encore devenue plus forte avec le 1er Purgatory où il s'effectuaient souvent les missions et les assassinats des teams adverse en compagnie de l'un et l'autre (et il ne faut pas oublier Aypierre disant à Bad que c'est eux deux contre le reste du monde).
Puis on arrive à la troisième de Gamebreakers où les deux sont devenu plus souder que jamais, meilleures amies, étant toujours partant à participer qu'un faisant sur un des habitants de l'île (Tubbo) et aussi en faisant des pranks contre l'un et l'autre.
Et puis il y a aussi lors du dernier jour de "l'Autre Gars" lorsque Aypierre passa du temps pour replanter les graines dans la ferme de Bébou et Dapper alors qu'il n'était obliger de le faire et Bad le étant à le prévenir de ce qui se passait au même moment. Et c'était aussi le même soir où Pierre a dit à Bad qu'il savait qu'il pourrait compter sur lui pour ne pas disparaître comme Maximus avait fait.
Et il y a aussi ce moment lorsque Pomme et lui donnent les peintures qu'ils ont fait de lui comme CatBoyHalo et qu'il lui demande de miauler ce que Bad finit de faire.
Et puis arrive le Jail Event où Aypierre et BadBoy sont compagnons de cellules et cela est un grand moment pour Gamebreakers/Ayhalo. Avec Aypierre essaient de détourner l'attention des gardes de la prison lorsqu'ils les trouvèrent en train de chuchoter dans un coin, avec lui disant qu'il étaient de s'embrasser et Bébou riant à propos de ça. Pierre s'inquiétant lorsque Bad ne revient avant l'extinction des feux dans leur cellule et aussi Pierre disant lors de son entretien par les gardiens durant le dernier jour de l'évent, que la personne avec qui il quitterait l'île serait BadBoy
Puis vit le reboot et grâce à Bébou qui lui proposa de devenir partenaire d'affaire/de crime, ceci aida à le réveiller de son sommeil/dépression après avoir perdu son château. Puis il devinrent aussi voisins et ils commencèrent à développer une domesticité entre eux. Et Aypierre commença à utiliser un ton un peu flirteur avec Bad et qu'on ne l'avait seulement entendu utiliser qu'avec Maximus.
Ensuite Bad mourut et il et il revit à la vit mais en étant amnésie et essaya de l'aider à regagner sa mémoire par un prank, en lui disant que Richars et Dapper étaient ses parents.
Bref, tout cela pour dire que Gamebreakers est un de mes duos favoris sur QSMP car c'est une relation que l'on voit évoluer très naturellement et avec le temps et je presser de voir ce que le futur leur réserve. Pour ceux qui ont pris le temps de lire ce long pavée merci. Sur ce je vais aller me coucher car il est déjà 4h du mat'.
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ltalaynareor · 19 days
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Et si Baudouin IV de Jérusalem avait aimé une femme ?
(Pour les besoins de cette histoire, j'ai nommé la jeune femme : Aliénor de Tripoli).
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Les remparts de Jérusalem résonnaient des cris des marchands et des chevaliers en armure, mais Baudouin IV ne prêtait guère attention au tumulte de la ville. Le jeune roi de Jérusalem se tenait seul sur la terrasse du palais royal, contemplant le coucher de soleil sur la Terre Sainte.
Son visage défiguré par la lèpre le faisait souffrir chaque jour davantage, mais c'était un fardeau qu'il portait stoïquement pour son peuple. Cependant, une lueur d'espoir brillait encore dans son cœur tourmenté : Aliénor de Tripoli.
Aliénor était son amie d'enfance, une jeune femme d'une beauté éclatante et d'une grâce incomparable. Elle était la seule à ne pas le regarder avec dégoût ou pitié, la seule à voir au-delà de sa maladie pour admirer l'homme qu'il était vraiment.
Mais Baudouin savait qu'il ne pouvait pas lui offrir l'amour qu'elle méritait. Il jugeait sa propre existence maudite, condamnée à la solitude et à la souffrance. Comment pouvait-il souiller une créature aussi pure et innocente que sa chère Aliénor?
Pourtant, ce soir-là, alors que les étoiles commençaient à poindre dans le ciel sombre, Baudouin sentit une force irrésistible le pousser vers la chambre d'Aliénor. Il trouva la jeune femme dans ses appartements, s'apprêtant à aller au lit. Lui permettant d'entrer, ils s'assirent sur des chaises rembourrées, sans parler.
"Aliénor", murmura-t-il, la voix empreinte d'émotion et de doute. "Je ne devrais pas être ici, je suis un monstre. Tu mérites tellement mieux que ça."
Aliénor se leva lentement, ses yeux brillants d'une tendresse infinie. Elle s'approcha de Baudouin et posa doucement sa main sur sa joue ravagée par la maladie.
"Tu es la plus belle âme que j'aie jamais rencontrée, Baudouin. Ta maladie n'a pas le pouvoir de ternir la lumière qui brille en toi. Je t'aime, lépreux ou non."
Les larmes coulèrent sur les joues de Baudouin, mêlant la douleur et l'amour dans son cœur meurtri. Il prit Aliénor dans ses bras, sentant le frisson de l'étreinte lui parcourir l'échine. Alors que deux bras qu'il ne sentait pas se refermaient dans son dos et que la tête de la dame se blottissait contre son cou meurtri.
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chifourmi · 9 days
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J'ai besoin de parlerparlerparler pour m'enlever cette boule au ventre alors que j'ai déjà énormément parlé
Sur le moment la boule part mais dès que je m'arrête elle revient mais rien que le fait d'écrire ça m'aide purée ça fait du bien limite j'ai envie d'écrire pour ne rien dire en fait dès que je m'arrête de parler et d'écrire je réfléchis trop et des petites pensées autodestructrices arrivent beurkbeurk en 2024 il s'agirait d'arrêter surtout quand on est une bombe atomique comme moi avec un cœur beaucoup trop gros pour mon buste tout frêle
Ce qui est fou c'est de malgré tout savoir que c'était pas l'homme de ma vie et que j'avais aperçu des red flags que je me suis bien retenue de dire ici pcq j'avais la flemme qu'on me dise de fuir mais d'être quand-même blessée genre pourquoi et en plus j'ai aucune raison d'être blessée pcq on a jamais été clair genre j'arrive pas vraiment à savoir où ça me touche exactement, est ce que c'est pcq j'ai archi pas confiance en moi que ça touche à mon ego de me dire que j'étais pas aussi spéciale que je pensais être pour lui? Ça me fait flipper d'avoir fait tout un plat de notre relation genre wtf c'était un plan cul faut se calmer j'ai carrément fait un compte où je parle de lui mais beurk arrêtez moi quoi c'est fou de s'emballer comme ça et puis en même temps il a vraiment agi à l'inverse de mon connard d'ex et ça m'a redonné confiance en moi et je peux pas non plus effacer ça et tous les bons moments et en vrai oui ça sert à quoi d'effacer les bons moments peut être qu'il faut juste que je me contente de ce qu'on a vécu sans penser aux autres meufs pcq peu importe le reste ce qu'on a vécu c'était beau et je sais bien que s'il vient vers moi me faire un câlin c'est pas faux genre ça reste une envie de lui faut surtout pas que je me dise que tout était faux pcq c'est pas vrai aller ça va aller franchement tranquille
La fin sonne si faux mdr mais en vrai je suis sûre que ça va vraiment aller, faut juste que j'accuse le coup et en vrai je suis teellement contente qu'on ait mis les choses au clair
Ma seule question maintenant x'est est-ce que je continue la relation en sachant qu'il verra d'autres meufs? Pcq j'ai l'impression que je pourrais pas me passer de l'attention qu'il m'apporte sur le moment et d'un autre côté je me dis mtn que je sais tout je peux prendre du recul sur ses messages genre vivre ma vie sans les attendre h24 pcq ce qui est positif quand même là dedans x'est que hé crois être plus attachée à ses comportements que lui en lui-même pcq il est vachement égocentrique et trop cash et j'ai horreur de ça je sais qu'on serait pas bien ensemble enfin ce serait explosif et vous allez me dire pourquoi tu voulais lui avouer tes sentiments à la base alors bah écoutez je me suis dit one life jsp ce que ça va donner mais je veux tester ce qui est bien sur ce compte c'est qu'on remarque vraiment à quel point je suis instable après ob se demande pourquoi il m'est impossible de rencontrer des gens ici pcq y a des gens qui se considèrent comme fou ici mais je dois tenir la palme d'or je vous jure ptn quelle instabilité de merde
(17/05/2024)
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moonchiesim · 10 months
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Été 1889, Brindleton Bay
Cher journal, Mon mari est un homme charmant. Je le savais parce qu'il m'a fait la cour pour deux années pleines avant les épousailles, mais de vivre ensemble m'a vraiment fait comprendre quel bel homme j'avais là. Joséphine Lennox. Ça sonne bien, non ? Mon père, Jean Baptiste Abbot, il est chimiste et il sait des choses. Il a dit du grand bien de François Xavier, parce que le défunt père de mon mari était vétérinaire, alors son fils a hériter de son intellect, de toute évidence, et que nos enfants seront vifs d'esprits, eux aussi. Je n'ai pas l'habitude de notre petite vie, mais c'est pas si pire. Tu sais, mon journal, la vie à Windenburg avec maman et les petits me manque un peu, mais j'apprécie de m'occuper d'une maison, même si elle tombe de partout et que même les lapins me cherchent la bagarre !
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Automne 1889, Brindleton Bay
Cher journal, J'ai appris que j'attendais un enfant. Les nausées n'ont pas trompé Mrs. Reed, qui vient juste de donner naissance à des jumeaux. Des jumeaux ! Ô Seigneur ! Je prie le ciel chaque fois que je repense aux hurlements qui ont déchirés le ciel cette nuit-là où elle a donné naissance. Est-ce si terrible de donner naissance ? Quand je pense à mon ventre qui s'arrondit drôlement vite, je ne peux m'empêcher de me demander qui se cache là-dedans, et quel nom je vais bien pouvoir lui donner, à ce petit-là. François Xavier propose Séverin si c'est un garçon et Gabrielle si c'est une fille. Je lui ai dit que Gabrielle était le nom de ma cousine, et j'ai cherché des inspirations dans le journal en allant faire les courses. Je n'ai pas encore d'idée.
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Été 1890, Brindleton Bay
Cher journal, Au moment de perdre les eaux, j'étais en train de laver le linge. La bassine sentait bon la pomme, c'était une recette de la propriétaire du magasin général. J'ai accouché sur le plancher de cuisine parce que j'avais trop mal pour me rendre ailleurs. François Xavier était au travail, il est ingénieur sur un chantier naval du port. Je me souviens que j'avais du mal à me concentrer assez pour réfléchir qu'il fallait que je pousse plus fort, plus vite avant qu'il ne rentre, parce que j'avais sali le plancher. Je m'excuse pour ma grossièreté, ô journal ! Je ne devrais pas raconter ces bêtises. J'ai donné naissance à un magnifique garçon qu'on va appeler Séverin, comme le voulait François Xavier.
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Séverin Lennox, né un samedi d'été 1890
Cher journal, Séverin demande beaucoup d'attention. Il pleure souvent, il mange beaucoup, il salit tout. Je suis constamment épuisée, mais je suis heureuse. Oui, je suis heureuse, voilà. François Xavier m'a parlé de son grand projet qu'il se gardait d'aborder depuis quelques mois avant la naissance de Séverin. Je voyais bien que quelque chose lui trottait en tête, mais il m'en faisait des mystères. Apparemment que le gouverneur de Chestnut Ridge offre des terres à prix modique pour les familles désireuses de se faire pionniers de cette région encore mal débroussaillée. J'ai dit à François Xavier que le train s'y rendait même pas pour déposer des denrées, et lui a répondu que c'était prévu, et que même Chestnut Ridge prévoyait de bâtir la première centrale hydroélectrique de tout le pays. Ça dirigerait l'électricité vers les ménages, et on aurait plus à aller en ville pour en faire usage. L'eau courante était en voie d'être installée aussi, comme ici à Brindleton Bay, et le train... Ça viendrait certainement avec les rumeurs de la centrale. Il en a parlé avec tellement de passion, et il a dit que nous ferions beaucoup d'argent grâce à son poste d'ingénieur dans ce chantier-là. En plus, il a dit que là-bas, il y avait une école pour Séverin, comme ici à Brindleton, et une église catholique. Ça m'a un peu rassuré, surtout qu'il a dit qu'on pourrait emmener nos poules et notre chèvre. Jamais sans ma chèvre, que je lui avait dit. Ça fait qu'on est en train de tout mettre dans des valises. Séverin aime pas trop le chahut que ça fait, mais on a pas le choix de le barrouetter un peu, le pauvre petit. Il va s'y faire.
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Printemps 1891, Brindleton Bay
Cher journal, C'est notre dernière journée à la maison de Brindleton Bay. Mrs. Reed est venu nous saluer et nous souhaiter bonne route. Ça faisait un bail qu'on l'avait pas vu, mais nous nous écrivions. Elle avait ses deux bouches à nourrir, c'était le double de mes tâches, alors je comprenais tout à fait qu'elle ne m'ait pas visité dans ce temps-là. François Xavier est plus détendu depuis qu'il a pris le dernier jour en congé pour s'assurer de bien fermer la maison et d'avoir tout en main quand on va partir, tôt demain matin. Un certain M. Richard va nous conduire jusqu'à Chestnut. François Xavier dit que c'est notre voisin le plus proche, et aussi qu'on va être la maison la plus avancée dans la ville, à ce qui paraît. Je commence à avoir hâte de partir, parce que la maison a pas l'air normale, dans toutes les boîtes et les valises. Le printemps est frais, mais il fait majoritairement beau, ce qui est rare par ici. La prochaine fois que je vais t'écrire, ô journal, nous nous serons établis à Chestnut. Je te donne des nouvelles bientôt.
Début d'un decade challenge qui débute dans les années 1889-90 dans un cadre québécois mêlé à l'univers des sims, et joué dans la save file de @antiquatedplumbobs 💛🌞
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selidren · 1 month
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Printemps 1918 - Champs-les-Sims
2/10
Je ne souhaite pas revenir sur mon expérience de la guerre. Je me suis tout de même ouvert de votre remarque sur les allemands à Albertine, mais nous avons été interrompus par Marc-Antoine, l'aîné de mes fils, qui a fait valoir son point de vue d'une façon bien bruyante, arguant que ce sont les hommes de peu qu'on a envoyé sur le front, et que les vrais responsables de la boucherie ne sont que des bourgeois bien abrités derrière les lignes. Pardonnez mon fils, ce n'est encore qu'un enfant et il s'est mis à lire Marx ces derniers temps. Je n'y connais pas grand chose, mais je me demande si c'est une lecture bien pertinente pour un garçon de douze ans. Albertine ne cesse pourtant de me dire combien Marc-Antoine est intelligent, et si je me fie à mon propre intellect à son âge, cela semble peut-être plus compréhensible. Quand à vos douleurs, ce n'est pas mon sujet de conversation préféré, mais sachez que j'ai les mêmes dans le bras, et qu'il est des jours et des nuits où elles ne laissent pas en paix.
Je suis cependant catastrophé d'apprendre pour le mariage de votre fille. Ce garnement ne mérite pas les biens de ses pères et j'ose espérer que jamais un homme ne traitera mes filles de cette façon. Les scandales m'ennuient. Et pour votre épouse, ne vous en faites pas, elle finira par saisir l'importance de votre tâche et vous laissera en paix avec ses états d'âme. Il est malheureux qu'elle n'ait pas les mêmes centres d'intérêt que vous, comme cela vous auriez au moins pu lui proposer de vous accompagner. Vous pourrez toujours lui dire pour la rassurer qu'elle n'a pas les difficultés de mon Albertine : mon épouse déteste partir loin des enfants, mais notre passion commune pour l'Egypte est si grande que le choix n'est pas aisé pour elle.
Sur ce, je retournes à mes exercices de graphie. Me voici revenu à l'école élémentaire à tracer des séries de majuscules à la plume. J'imagine qu'en désespoir de cause, je pourrai toujours engager un secrétaire bien que l'idée me répugne : jamais il n'aura dans ses écrits le niveau d'exigences auquel je m'astreins.
Votre cousin, Pr. Constantin Le Bris
P.S : Mes condoléances pour le décès de votre neveu Thomas. Je ne l'ai pas bien connu, mais mon neveu Alexandre m'a assuré que c'était un jeune homme fort aimable.
P.S 2. Albertine vous fait savoir qu'elle se fera grand plaisir d'écrire à votre épouse.
Transcription :
Adelphe « Ah Tintin, tu as déjà fini de manger ? »
Constantin « Exact. Je m’y suis mis en avance, je suis toujours d’une horrible maladresse avec mes couverts et je ne voulais pas contrarier Grand-Mère. »
Adelphe « Tu aurais pu attendre Madame Legens. Elle aurait au moins réchauffé ton repas. »
Constantin « Je ne suis plus un enfant, Adelphe. J’en ai bien plus qu’assez de dépendre des autres pour n’importe quelle tâche futile. »
Adelphe « Fort bien. En attendant, te voilà à manger froid. »
Constantin « Et toi alors ? Tu ne manges pas avec les autres ? »
Adelphe « J’ai une réunion tôt à la distillerie. Les gars veulent créer un syndicat, et ils souhaitent une heure de concertation avec la « délégation patronale ». J’imagine que c’est moi. Ah, et je sais allumer le poêle accessoirement. »
Constantin « Bon à savoir. Tu me montreras comment faire à l’occasion. J’ai encore du travail, des lettres en retard, donc je vais monter. A moins que tu veuilles que je te tiennes compagnie. »
Adelphe « Pas besoin. Je vais finir rapidement. Ah et Tintin, tu as encore mal à ton bras ? »
Constantin « Non, pas spécialement. »
Adelphe « Ne me mens pas, je t’ai entendu grogner toute la nuit depuis ma chambre. »
Constantin « Ce n’était rien, vraiment. Tu dors donc si mal ? Encore tes cauchemars ? »
Adelphe « Non, une simple petite insomnie passagère. »
Constantin « Menteur, tu as les yeux rouges et des cernes ! »
Adelphe « Bon… je pense qu’on devrai arrêter de se mentir Tintin. »
Constantin « Tu as raison, nous ne sommes pas assez doués pour cela et en plus cela ne nous rassure ni l’un ni l’autre. »
Adelphe « Il faut croire qu’on s’est tout les deux bien abîmés ces dernières années. »
Constantin « Sans doute… Ah et j’y pense ! Ne laisse pas Marc-Antoine discuter avec les ouvriers. Je n’ai rien contre le socialisme, contrairement à mon père, mais il est en train d’en faire une obsession ! »
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perduedansmatete · 5 months
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du coup résumé week-end pour me souvenir après partiel baclé car envie de boire on a bu dans un bar type sciences po paris avec des chandelles mais ça c'était après avoir descendu des bières pas chères avec tia qu'on a rejoint des gens du master à qui j'ai jamais trop parlé mais que j'aimais de loin et on a bien accroché on s'est fait grave des déclarations j'ai bien aimé ensuite on s'est montré nos tests bdsm pour je ne sais quelle raison et ils et elles m'ont encore plus aimé parce que vraiment j'avais oublié tous les 100% que j'avais et surtout ma crush du tout premier jour qui est une bordelaise/la rochelle qui a plus qu'aimé mes résultats sachant que je l'aime déjà car elle est magnifique et que j'adore ces deux villes ensuite on a joué avec le feu des chandelles littéralement et c'est là que je me suis fait cette horrible cloque qui ne veut pas partir ensuite on est allés dans un autre bar j'ai bu un truc dégueu et on a joué aux cartes puis on est allées rejoindre l'ami platonique avec tia dans mon bar sauf qu'on est arrivées en retard l'ami platonique était énervé et méchant tia l'a détesté je commençais à pleurer donc on est parties on a discuté sur les quais très longtemps on voulait manger mais il était trop tard donc on est rentrées chez elle je devais dormir dans sa chambre et elle dans le salon mais après les quinze aller retours qu'elle a fait dans sa chambre et vu l'état dans lequel j'étais (j'essayais de faire genre tout va mieux) elle m'a dit "ça va ?" j'ai dis oui mais c'était non et je lui ai demandé si elle pouvait me refaire des câlins et si on pouvait dormir ensemble dans son lit une place, elle m'a dit on est d'accord rien de sexuel car on s'était avoué avant sur les quais qu'on se plaisait et j'ai dit non mais en fait après je voulais donc au final oui et c'était très sympa donc finalement si ça me rassure je peux encore coucher avec de nouvelles personnes sans avoir l'impression qu'il y a un truc qui cloche et que je suis folle bref on avait l'impression d'être dans la serre tropicale du jardin des plantes tellement il faisait chaud et je passe des détails juste je l'aime beaucoup et on a bien rigolé et ça me gênait les bruits qu'on faisait et que des choses faisaient sachant qu'on était chez ses darons mais bon ensuite samedi je suis allée chez ma sœur et son mec nous a fait un repas délicieux comme toujours on a beaucoup bu comme toujours et on a regardé une série de merde mais avec les fesses de julien doré avant qu'il me file ses antidépresseurs (le mec de ma sœur, pas julien doré) puis j'ai dormi presque toute la journée de dimanche et le soir on s'est retrouvés dans un bar de vieux punks c'était nul puis génial et j'ai adoré quand j'ai dis à un des chanteurs d'un groupe que je pouvais pas donner plus que dix centimes et un grigri il nous a laissé passer en disant allez laissez passer les jeunes ils ont pas de thunes et elle avec son grigri puis j'ai adoré son concert et là je suis allée en cours pour rien car j'avais un ordi chargé à 6% un tipp-ex acheté vendredi et rien pour écrire, j'ai montré l'évolution de ma cloque aux gens dont romane la bordelaise qui m'a redis que j'étais trop belle et que ma tenue l'était aussi puis on a attendu qu'il soit l'heure pour boire avec tia et on s'est baladées avant d'aller au magasin dr martens pour qu'elle m'achète des trucs pour mes chevilles qui tiennent pas car j'ai encore failli me péter la gueule trois fois aujourd'hui
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e642 · 16 days
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Cette journée m'agace. Donc je vais me plaindre. Déjà j'ai mal dormi, pour changer. J'me suis réveillée avec la nausée. Ma mère m'a parlé du fait qu'elle espérait mourir bientôt et que ma peau était dégueulasse à 8h du mat. Non je dis pas que ya une heure pour en parler mais 8h c'est tôt pour ce genre de déclarations. J'ai pris le train, j'étais à côté d'un mec insupportable, vraiment à un moment il m'a parlé en me disant "tu regardes quoi sur ton téléphone ?". J'étais à deux doigts de répondre que je cherchais un moyen de faire disparaitre un corps. Finalement, j'ai répondu "I don't speak french" en inclinant mon tél pour qu'il voit bien que si si, je parle bien français mais que je décrocherai pas un mot. Ensuite, j'ai pris le tram, il est tombé en panne. J'ai marché. Jsuis allée faire quelques courses, c'était lourd. Jsuis arrivée à mon immeuble, plus d'ascenseur. 7 étages. Je suis rentrée à nice parce que cet aprem je dois aider une meuf de mon groupe à réviser des stats. Elle vient de me répondre, à 12h16 après lui avoir spécifié de manière parfaitement imbuvable j'étais pas à sa disposition. Elle s'est plaint en plus, en mode qu'elle était fatiguée, mais très bien, je m'en pète un rein que tu sois crevée ma biche, juste utilise tes doigts pour répondre entre deux scroll de reels creux. Puis mon mec a cette habitude désagréable de répondre à 1 message sur 3. Bien sûr soit c'est le premier, soit c'est celui avec un point d'interrogation. Jsais pas, ça le met en déficit calorique de tout lire ? Son cerveau est en surface de réflexion et d'infos ? (Question rhétorique évidemment).
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