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#monochromy
nothinggirlcomic · 2 years
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Reaper Meetup
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bonus
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yama-bato · 22 days
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Monochromy: Past and Present Photography - Page
Dain L. Tasker (1872-1962) "Xray of flower", ca. 1930.
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teenagedirtstache · 1 year
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Vogue Hommes July/August 1988 photos Walter Chin
monochromie de couleur sable, en crepe de laine; veste croisee a larges pis devant; gilet croise, col crante; pantalon a revers; ceinture et cravate assorties; chemise en etamine; le tout creation Jean-Paul Gaultier. Chaussures a boucles en agneau veloours marron, creation J. Fenestrier
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mybeingthere · 10 months
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Carla Accardi (1924 – 2014) was an Italian abstract painter associated with the Arte Informel and Arte Povera movements, and a founding member of the Italian art groups Forma (1947) and Continuità (1961).
Accardi's earliest paintings were self-portraits, but her move to Rome prompted more experimental work. In 1946, she joined the Italian avant-garde movement. In the 1960s, Accardi started making her first paintings in black and white, focusing on monochromy, colour, and shapes. The inspiration for her black and white paintings came from visiting Paris during her one-woman shows. There the contrasting static and energetic work of Alberto Magnelli and Hans Hartung inspired her to begin painting in black and white. These black and white paintings were referred to as her “Integrazione series”. (wikipedia)
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monotheangel · 8 months
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@playfriendss pookies singing together
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@miooowantstaco They do a staring contest! (Wally loses-)
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@truelazymaker don't tell me he's gonna steal mono's wig-/hj
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@AdoraMaxine on twt WHEN THE DARKNESS IS DANCING WITH A LIGHT- (i'm sorry-)
Also:
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I PROMISE I WILL UPLOAD MORE SOME OF MY ARTS IN HERE- PLS-
Also- if you don't know, Hi! I'm Monochromy that you know from twt! U can call me Mono or Mon mon-! Or Janice? If you like!
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plaque-memoire · 1 year
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Plaque en hommage à : Yves Klein
Type : Lieu de résidence, Œuvre
Adresse : 14 rue Campagne Première, 75014 Paris, France
Date de pose : 2006
Texte : 1928 . 1962. Dans cet immeuble a vécu et travaillé de 1958 à 1962 le peintre Yves Klein dit "Yves le Monochrome"
Quelques précisions : Yves Klein (1928-1962) est un artiste français, principalement connu pour son association à la couleur bleue, en particulier la nuance dite IKB (International Klein Blue), dont le procédé a été déposé en 1960 ; ce qui lui vaudra par ailleurs son surnom de "Yves le Monochrome", la monochromie étant la caractéristique essentielle de son art. S'inscrivant dans le mouvement artistique du Nouveau Réalisme, il est à l'origine d'une technique dite d'empreinte corporelle, consistant à enduire les corps de modèles avec de la peinture et à les presser contre une toile, donnant naissance aux œuvres de la la série des Anthropométries. Il décède à l'âge de 34 ans des suites d'une crise cardiaque. Ses œuvres continuent d'être exposées dans des musées du monde entier, et son style artistique unique a inspiré de nombreux artistes contemporains (son œuvre fut par exemple réinterprétée par l'artiste Rachel Lachowicz dans une performance intitulée Red Not Blue). Un square de Paris, situé non loin de l'immeuble où est apposé cette plaque commémorative, porte son nom.
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je-suis-tombee-sur · 1 year
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Coll. « Gothic Horror »  PENGUIN BOOKS
Royaume-Uni, 2008 Offset, 181×111 mm (71/8 × 45/8)
La collection rassemble dix classiques de la littérature fantastique et du « roman d’horreur » anglophone au format poche.  La ligne graphique a été conçue par la graphiste Coralie Bickford-Smith, qui a créé pour chaque couverture une image originale utilisant la technique du cyanotype, un procédé primitif de la photographie inventé en 1842 par le savant britannique John F. W. Herschel (1792-1871). Le caractère typographique employé est le Futura (1927) de Paul Renner (1878-1956).
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(1) Quelle relation établissez-vous entre le procédé iconographique employé ici et les romans rassemblés dans cette collection ? 
La technique employée consiste à exposer un objet sur un papier photosensible. Il faut d’abord, dans l’obscurité, laisser sécher le mélange photosensible appliqué sur le papier puis exposer à des rayons ultraviolets l’objet par dessus. Une empreinte en négatif de l’objet est alors révélée sur un fond très obscure en positif. Cette apparition fantomatique s’associe à l’imaginaire surnaturel du genre gothique de la collection. Dans les histoires gothiques, des fantômes, des monstres, des esprits surgissent dans le réel, à l’image de l’objet sur le papier.    Les empreintes en monochromie jaune, ou bichromie blanche, sont éclatantes. Elles entrent en contraste avec le fond noir. Coralie Bickford-Smith joue avec le principe de positif et de négatif, inventé par John F. W. Herschel suite à l’invention du cyanotype, et semble l’associer aux concepts de ténèbres et de lucidité qui sont des thèmes en conflit dans les oeuvres gothiques. De plus, cette contrainte d’une gamme colorée réduite , imposée par la technique, autorise une constance visuelle pour chaque titre ce qui renforce l’esprit de collection. L’emploi d’une triade chromatique est fréquent dans les collections de la maison. Dans « Mystery and crime » (1948-1961) le vert, le noir et le blanc interviennent, par exemple, de façon systématique sans faire intervenir d’autres coloris.    Chaque titre parvient néanmoins à affirmer son individualité. La variété des objets en couverture et le placement de ces derniers dans la page constitue un vocabulaire personnalisé pour chaque histoire. Les objets choisis sont des indices en lien avec l’intrigue de chaque livre de la collection. On peut deviner, dans The spook house, une accumulation de meurtres horrifiques puisque plusieurs couteaux recouvrent le livre. Dans The haunted hotel, on peut supposer que de multiples secrets sont à résoudre par la symbolique de la clé. La technique du cyanotype permet ainsi de produire des images logiques avec l’ histoire unique de chaque titre. La graphiste peut choisir librement le sujet photographié tout en conservant une gamme chromatique et une texture qui fait collection.  
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(2) Comment qualifieriez-vous le vocabulaire typographique (choix du caractère et de ses différentes variables, présence dans la composition) utilisé par la graphiste ?
La collection « Gothic Horror », à l’image du lieu de naissance de ce genre littéraire, s’inscrit dans la tradition britannique en matière de composition. Cette tradition est d’ailleurs une des spécificités des premiers ouvrages de la maison d’édition anglaise Penguin Books. Toutes les informations relatives à l’oeuvre sont donc centrées. On note quelques exceptions, notamment pour le titreThe spook house de Ambrose Bierce dont la composition renversée à la verticale est sûrement plus appropriée avec l’inclinaison des couteaux. La graphiste applique donc, en principe, une répétition du modèle de composition mais s’autorise de légères variations lorsqu’il s’agit de crée un dynamisme propre à certains titres vis à vis de leur image singulière.    Coralie Bickford-Smith choisit de composer le titre ainsi que le nom de l’auteur en Futura et systématiquement en capitales. Ce choix fait référence à l’usage du Gill Sans dans les premiers livres de poches de Penguin. Elle rajoute de l’espace entre chaque lettres comme conseillé par Tschichold dans les Penguin Composition Rules (1947-1949) pour plus de lisibilité. Ce clin d’oeil à l’histoire de la maison d’édition permet donc de souligner sa propriété de la totalité des titres. Ce dernier est, par ailleurs, rappelé dans le coin gauche de chaque titre par l’emblématique logotype d’Edward Young. L’image est même systématiquement travaillée pour ne pas déborder sur cet espace. On peut, dans The beetle de Richard Marsh, voir que le scarabée est incliné pour laisser la place nécessaire au macaron Penguin Books.   On constate cependant que une difficulté d’accord dans la taille des corps et dans les espacements entre les divers blocs de textes. En effet, la technique du cyanotype ne permet pas de réduire la taille des objets exposés. Les éléments typographiques doivent donc s’adapter. Cela implique une réduction ou augmentation du corps et des placements variable pour occuper les vides inoccupés par l’image. Néanmoins, Coralie Bickford-Smith s’applique à garder une classification identique des éléments. On retrouve, dans l’ordre, le titre de la publication, le commentaire de la critique, en bas de casse, et enfin le nom de l’auteur. Seuls deux titres, The haunted doll’s house et The spook house, précédemment cité, optent pour un ordre différent. Le titre est placé au milieu des autres informations, plus en retraits, car l’attention du lecteur doit se porter en priorité sur cet élément. Ces deux ouvrages sortent du cadre pré-établi car leur titres semblent nécessiter d’une promotion focalisée sur leur individualité plus que sur leur appartenance à la collection. 
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(3) Comment évaluez-vous le degré d’originalité de cette ligne graphique en regard du genre littéraire considéré et de la forme visuelle sous laquelle il est généralement présenté ? De par les contraintes techniques, la proposition de Coralie Bickford-Smith semble en rupture avec la forme traditionnelle des livres gothiques. Du point de vue iconographique, la graphiste doit proposer un assemblage d’objets pour composer un motif en couverture. Cette proposition est bien plus symbolique et épurée que les formes visuelles traditionnelles employant plutôt des illustrations littérales. On peut constater, dans les autres collections, une tendance à représenter des scènes entre les personnages, souvent pris d’effroi, ou une représentation du lieu de l’intrigue, tel un manoir. Ici, Coralie Bickford-Smith fait le choix de rompre avec la fidèle traduction visuelle du texte. L’objectif est de laisser la surprise au lecteur tout en attisant sa curiosité. Elle mise donc sur visuel mystérieux et symbolique pour entretenir le suspens.    Typographiquement, il est d’usage d’employer des caractères stylisés et fantaisistes dans les publications de ce genre littéraire. On retrouve traditionnellement des formes très courbées, voire des arabesques aves des empattements ou l’emploi de caractères gothiques. Ici, le Futura reste muet face au genre. Il s’accorde avec l’image dans la sobriété géométrique de ses formes. Seule sa composition rappelle l’esthétique anglaise du genre littéraire.  
5000 types 16/ 04/ 2023
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Janvier 2023 - Semaine 2 - Mot 2
"Gris"
Je cherche à nommer comment je me sens, en ce début d'année. On dirait que ça fait des semaines que je roule sur une tonalité qui semble être la même que la météo: un genre de gris. Gris pâle, même. Celui du ciel, en ce moment. Ce n'est pas que rien ne me touche, ne me fasse sourire, ne me mette en mouvement, c'est juste que la fenêtre de mes ressentis s'est rétrécie, on dirait. Il y a peu de place pour autre chose que l'enchaînement, les répétitions, faire ce qui doit l'être comme ça doit l'être. Je ne vais pas mal. J'ai l'humeur stationnaire, en fait. Figée. Égale. Je sais qu'il y a là quelque chose de précieux. La monochromie des jours, surtout si ce sont des couleurs tièdes, des couleurs loin de celles qui éclatent et font tressauter l'iris, est garante d'un certain calme qu'un matin rouge ou écarlate ne peut assurer. Un calme plat qui, trop souvent, fait peur, tellement il ressemble à ce qui s'est terminé, à ce qui ne peut plus s'emporter, s'élever. Pourtant. Les temps morts sont à chérir. Le calme plat nous préserve, nous laisse le temps de se préparer pour tout ce qui sera autre chose qu'un matin gris.
***
À regarder: Le documentaire Péter la balloune du journaliste Hugo Meunier dans lequel il "...s’interroge sur sa propre consommation d’alcool et des conséquences potentielles sur sa santé, ce qui l’amène à soulever des questions sur le modèle économique et social de la gestion de l’alcool au Québec". [ https://ici.radio-canada.ca/tele/blogue/1940930/alcool-quebec-hugo-meunier ]
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lorenagzlz · 2 years
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Forev(h)er Shura
Avez-vous déjà fait l’expérience d’écouter une musique et d’être sûr que vous ne vous en lasserez jamais ? Cette sensation si particulière qui, en réécoutant cette musique, vous transporte dans un état particulier. Moi oui. Et je pourrais même élargir une musique à une artiste.
C’est en 2019 que je découvre Shura, une chanteuse et autrice-compositrice britannique appartenant au genre synthpop et électro-pop. C’est mon frère qui me fait découvrir trois de ses singles, forever, the stage et religion (u can lay your hands on me) à l’occasion de la sortie de son nouvel album forevher en août 2019. J’aime beaucoup ces trois singles et je les ajoute directement à ma playlist, mais je ne m’y attarde pas plus.
Deux ans plus tard, en mars 2021, Shura sort une édition Deluxe de son deuxième album forevher. C’est à ce moment-là que je m’intéresse réellement à cette artiste. J’ai écouté pendant une longue période son album en boucle et à chaque écoute, j’ai ressenti les mêmes émotions. BKLYNLDN et t-shirt me font instantanément pleurer, sans vraiment comprendre pourquoi, tandis que side effects et the stage me font me sentir heureuse et m’apaisent. Shura dévoile sa relation avec sa femme tout au long de l’album en abordant différentes étapes de celle-ci et différents sentiments. Elle a une manière totalement différente d’aborder les relations amoureuses de ce que j’ai pu entendre et voir jusqu'à maintenant qui ne me touche pas forcément. La perception des relations amoureuses d’une manière très mielleuse dans les séries et les films, ou des ballades romantiques musicales ne sont pas des choses qui me font voyager émotionnellement. Ici, tout se coordonne parfaitement, sa voix, les instruments acoustiques ainsi que les sons plus électroniques, les mélodies : tout est là pour mettre en valeur cette relation lesbienne.
J’ai ensuite écouté son premier album, Nothing’s Real sorti en 2016, en éprouvant le même vécu, me transportant également dans une autre dimension. J’ai tellement écouté ces deux albums que je connais le déroulement de chacun par cœur, en passant par les interludes et les morceaux qui incluent des enregistrements audio comme tommy dans l’album forevher ou encore les interludes (i) et (ii) dans Nothing’s Real. 
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Pochette d'album de Nothing's Real sorti en 2016.
Shura ne se contente pas de m’émouvoir par l’ouïe et le fait également par la vue. Le visuel autour de l’album forevher m’avait déjà beaucoup marquée. Une photographie de deux femmes s’enlaçant, cadrée principalement sur leur visage tout de même caché. Un traitement de l’image uniquement en monochromie, d’un bleu à la fois électrique et apaisant. Cette pochette d’album m’a déjà transportée avant même d’apprécier la musique, m’emmenant dans un sentiment de nostalgie, de mélancolie, mais également de joie et de sécurité. Pour donner une dimension matérielle à ces visuels, j’ai acheté quelques éléments de son merchandising, notamment un tee-shirt tout droit sortie du morceau t-shirt, une impression signée de la photographie de forevher qui trône fièrement sur un des murs de mon studio ainsi que le vinyle de ce même album. L’acquisition de ce vinyle me permet d’enrichir l’expérience sensationnel que m’offre Shura. Ce support de diffusion porte déjà un bagage spécifique, il emporte avec lui son atmosphère si particulière, sa sonorité moins lisse que celle d’un CD ou d’un fichier MP4. La pochette de vinyle permet d’y intégrer plus d’iconographie que ce que mon interface Spotify permet. Je contemple à chaque fois la pochette de vinyle de forevher qui reprend ce bleu si particulier. Le vinyle est lui aussi fait de ce même bleu et c’est avec beaucoup de précaution que je le manipule pour l’installer sur ma platine, faisant intervenir un troisième sens : le toucher. Cela en devient presque un rituel, prendre la pochette, l’admirer, sortir le vinyle et le mettre en route pour écouter ces chansons que je connais par cœur. . 
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Pochette d'album de forevher sorti en 2019.
J’ai une fois partagé mon rituel autour de l’album forevher à mes parents qui ne l’ont pas reçu comme moi. Ils ont trouvé les musiques trop planantes et mélancoliques. Leurs mots m’ont un peu touchée, comme s’ils s’attaquaient à une partie de moi et qu’ils remettaient en cause les émotions que je ressentais. Je n’ai depuis cette fois là plus osé leur faire écouter ces musiques. Pourtant, dès que j’ai l’occasion de parler de Shura à mes proches, je le fais. J’ai eu le plaisir de la faire découvrir à mes ami.es les plus proches qui l’ont reçu bien plus positivement que mes parents.
J’aimerais vous expliquer en détail les émotions que me font ressentir l’écoute des chansons de Shura, mais cela reste presque indescriptible. Elle est l’une des rares artistes, si ce n’est la seule, vers qui je me retourne quand je ne sais plus quoi écouter. Je l’écoute quand je suis heureuse, quand je suis triste, quand j’ai besoin d’être mélancolique, d’être nostalgique. Elle est ma safe place et le sera toujours, je me sens chez moi en l’écoutant.
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09/10/2022
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sushimint · 2 years
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yama-bato · 1 year
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Monochromy: Past and Present Photography - Page
Margrethe Mather (1886-1952)
A Flower, hand of Georgia O’Keeffe, 1925
"If you take a flower in your hand and really look at it, it’s your world for a moment." (Georgia O'Keeffe)
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gyscafe · 13 days
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Jef Verheyen / Monochromy /1958
#x2
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jurjenkvanderhoek · 26 days
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HOW ART IS MADE: HOE MEESTERWERKEN ONTSTAAN
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Het geheim van de kunstenaar. We zullen het nooit weten. Hoewel Debra Mancoff in haar boek de ins en outs van materialen en methoden voor het licht brengt, blijft het echte ontstaan van een kunstwerk een mysterie. We kunnen spreken over met welke middelen en volgens welke aanpak en werkwijze een compositie tot stand komt. Maar het motief, de oorzaak en aanleiding, blijven duister. Dat schuilt in de inspiratie, de bezieling van de rede om tot scheppen te komen. Op welke manier de geest wat het oog ziet vertaald en de hand kan aansturen. Dat is het geheim. Het ligt dus niet in de zakelijke gebruiken, maar in de abstracte gevoelens die realistisch worden uitgewerkt. Niet wat hem of haar aanzet tot het beelden van de werkelijkheid. Dat ene moment, dat de vonk een brandend vuur wordt. Dat de inspiratie inslaat, als een donderslag bij heldere hemel.
Het boek met de titel "Het geheim van de kunstenaar" is daarom een technische uiteenzetting. Het beschrijft de manier waarop het resultaat van handelen is bereikt. Hoe de meesterwerken zijn gemaakt. Daarvoor haalt Mancoff alle beschikbare middelen en methoden uit de kast. De oorspronkelijke uitgave ligt mij voor in een vertaling van Laura Woolthuis en is uitgegeven door WBOOKS. De originele editie kreeg overigens een naar mijn idee meer accurate titel mee, namelijk het “How art is made” dekt de feitelijke inhoud beter dan de Nederlandse vertaling daarvan. Want daarover schrijft Debra Mancoff, hoe kunst is gemaakt. De Nederlandse versie heeft als ondertitel “Hoe meesterwerken ontstaan”, wat dan wel de lading dekt en de originele titel eer aandoet.
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De technieken en middelen die de kunstenaar ter beschikking staan en worden gebruikt om een kunstwerk te creëren, daarover kun je als kunsthistoricus een licht laten schijnen. Om de lezer, en mogelijk de kijker naar kunst, uit de doeken te doen hoe de composities ontstaan onder handen en door de handen van de kunstenaar. De handelingen om tot resultaat te komen kunnen uitgeplozen en omschreven worden. De gebeurtenis die daaraan vooraf gaat blijft mysterieus, een geheim, het geheim van de kunstenaar. Het bevlogen moment waarin het elan geestdrift wordt, daar is lastig een vinger achter te krijgen. En dat is dan ook niet waar het boek van Mancoff over gaat.
De auteur geeft een nauwgezet beeld van wat de kunstenaar ten dienste staat om zijn of haar werk te maken. De materialen strekken daarbij van Goud tot Pastelkrijt via Inkt en Tempera. En al deze grondstoffen om de kunst uit op te bouwen worden in de tijd gezet. Van ontdekking tot verbeteren en experiment. En, dat is de charme van het boek, geïllustreerd met talloze voorbeelden. Aldus wordt niet enkel een droge opsomming gedaan, maar is dit tastbaar gemaakt met kunstenaar en kunst. De uitgave van Mancoff is daarmee een handleiding en tevens een kunstboek. Een handleiding om de diverse technieken te duiden, en een kunstboek omdat het met het penseel in de hand in de geschiedenis van de schone kunsten duikt. Naast de materialen zijn er voldoende methoden die de kunstenaar zich kan aanwenden om tot overtuigend resultaat te komen. Het boek behandelt technieken als Perspectief en Monochromie, maar ook diverse grafische technieken en de moderne Graffiti en de fascinerende Immersieve ruimtes.
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“How art is made”, aka “Het geheim van de kunstenaar”, is een reis door de praktijken en processen van kunstenaars met Debra Mancoff als gids. Zij duidt mij hoe geweldige kunst ontstaat. Althans kunst van kunstenaars die er in haar ogen toe doen. De materialen en methoden kunnen natuurlijk ook door minder grote goden worden aangewend om tot kunst met een kleine k te komen. Maar daar gaat het in dit boek niet over. Het is een interessante materie waardoor meer waardering voor het werk ontstaat, ook al is dat werk minder tastbaar en begrijpelijk. Het is alsof wanneer er ingang is tot het ontstaansproces dit respect afdwingt en de waarde ervan beter wordt ingeschat.
Het technische verhaal achter het resultaat geeft inzicht in de moeiten die kunstenaars zich moeten getroosten om de idee beeld te geven. Want wanneer je het penseel ter hand neemt is het lang niet zeker dat er een meesterwerk uit de marterharen vloeit. Voor Vincent van Gogh was schilderen een vorm van emotionele ontlading, bijvoorbeeld. Hoewel hij weinig formele opleiding had genoten was hij een enthousiast autodidact. Hij leerde van het werk en de woorden van anderen, bestudeerde prenten en schilderijen, woonde tentoonstellingen bij, wisselde ideeën uit en las boeken over kleur en techniek. De technische vaardigheden kreeg hij dus onder de knie, maar daarmee kon hij nog niet die kunst maken die hij heeft gemaakt. Door zijn bevlogenheid en emotionele inborst werd zijn penseel door instinct geleid. In de buitenlucht, en plein air, toonde hij door het werk zijn sensatie in plaats van een weergave van wat er daadwerkelijk te zien was. Daarom is het naast het lezen van de tekst een meerwaarde van het boek de kunstwerken te kunnen zien. Omdat niet enkel het materiaal en de methode kunst maken, maar veel meer de idee en de bezieling dat doen.
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Jackson Pollock had geen palet meer nodig, lees ik. Hij bracht zijn verf onbewerkt en rechtstreeks uit het blik aan. “Hij werkte spontaan, ‘zonder angst om veranderingen aan te brengen en het beeld te vernietigen’, in de overtuiging dat het schilderij een eigen leven leidde. Zijn lichaam werd zijn instrument (…) Door de volledige kracht van zijn lichaam te gebruiken, getuigde Pollocks werk eerder van de handeling van het schilderen, dan van het resultaat ervan: zijn intuïtieve, atletische bewegingen lieten de verf van het doek af druipen.” Pollock werd één met zijn werk, werd er als het ware onderdeel van. Zo kan de beschouwer onderdeel van het werk van Yayoi Kusama of van Olafur Eiasson worden. De Immersieve ruimtes zuigen de kijker in zich op. De ruimte die men betreedt heeft geen begin en geen einde. Het is er en ik maak er onderdeel van uit.
Van Mozaïek en Houtskool tot Potlood en Olieverf. Van Clair-obscur en Impasto tot Gravure en Zeefdruk. Er staan de kunstenaar voldoende materialen en methoden ter beschikking om tot een technisch overtuigend kunstwerk te komen. En er komen gaande de tijd voortdurend nieuwe technieken door experiment bij. Maar om de emotie van de beschouwer aan te spreken heeft de kunstenaar het elan van de schepping nodig. Om van de vonk een brandend vuur te maken, dat is het geheim van de kunstenaar. En wat geheim is moet geheim blijven. Maar hoe dat geheim tot uitdrukking komt dat is wetenschap. “How art is made / Hoe meesterwerken ontstaan” is daarom een wetenschappelijk boek, informatief. En met de woorden van Pablo Picasso “Als ik wist wat kunst was, zou ik het voor me houden” doe ik het boek dicht en sluit deze tekst af.
Het geheim van de kunstenaar – Hoe meesterwerken ontstaan. Oorspronkelijke titel How art is made. Debra N. Mancoff. Nederlandse vertaling Laura Woolthuis. Uitgave WBOOKS, 2024.
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gazetteoesterreich · 1 month
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raekleindogpaintings · 6 months
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we HAVE GOT to invent slurs for cishet people. May I introduce "monochromie" and "Jack and Jill ass"?
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anthosvtr · 8 months
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ALICEGAVINSERVICES™, UNE EXPOSITION SOUS LA FORME D'OEUVRE TOTALE
C’est à la fondation MABA que nous nous dirigeons ce vendredi 22 septembre. Fraichement arrivé dans la région parisienne, j’apprécie pouvoir découvrir ce genre de lieux moins populaire. La MABA est un centre contemporain ouvert en 2006 à l’initiative de la Fondation des Artistes. La fondation aide à la diffusion et au développement d’artistes à l’internationale. La MABA, quant à elle, aide les artistes en mettant à leur disposition plus de trente ateliers et en soutenant chaque années des écoles d’art. Présent à Nogent-sur-Marne la MABA dispose par ailleurs d’un EHPAD prévu spécifiquement pour accueillir des artistes provenant de tout milieu. Le centre permet par ailleurs à ses résidents d’exposer.
Chaque année le centre présente trois expositions différentes autour des sujets suivant : le graphisme, l’art contemporain et l’image animée. C’est dans cette envie de représenter le milieu du design graphique que l’exposition d’Alice Gavin intervient. Bien que d’autres artistes-autrices aient déjà exposé là-bas, cf l’exposition « Variation Épicènes » sous le commissariat de Vanina Pinter, l’exposition d’Alice Gavin s’impose comme la première monographie d’artiste-autrice féminine que le centre propose.
Alice Gavin, c’est une graphiste autrice qui ne se refuse rien, en effet, sa conception du graphisme est large, s’étendant du design graphique simple à la direction d’image, la typographie et bien plus encore. Elle souhaite représenter le graphisme autrement que par l’espace défini que l’on réserve habituellement à ces oeuvres en 2D, fini l’élément fixe, encadrés et accompagné d’un simple cartel. Au cours de cette exposition, Alice Gavin se demande plutôt comment présenter son travail en rapport avec l’espace qu’il occupe, poussant les limites de ces créations hors-cadre.
Et c’est plutôt réussi puisque l’exposition, en son ensemble fait écho au oeuvres multiples rencontré il y a quelques semaines au Multiple Art Days. Celle-ci me donne l’impression d’être une un œuvre totale en elle-même, plutôt qu’une simple exposition. L’exposition se déploie sur plusieurs étages, les objets ne sont pas réduit à leur simple forme, mais composent un tout avec l'environnement. Cela se confirme notamment lorsque l’on se retrouve devant un immense chemin de fer qui prend la forme d’une pièce en elle-même ou bien encore une fois à la fin de l’exposition lorsque l’on culmine dans une pièce entièrement monochrome qui nous présente trois bancs, spécimens typographiques appeler à être déplacé et manipuler par le visiteur. La monochromie entraîne le détachement des bancs de l’environnement et permets leur mise en valeur. Permettant par ailleurs aux spectateurs de basculer entièrement dans cet espace typographique. 
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Photo du spécimen typographique réalisé pour l'exposition et du chemin de fer, projet éditorial réalisé en collaboration avec le Ballet National de Marseille.
Ce qui confirme cet aspect total, c’est le niveau de réflexion posé par l’artiste elle-même en effet, elle est autant la scénographe, que la commissaire, que l’artiste de cette exposition. Certes les éléments ne sont pas réalisés spécialement pour l'événement mais leur scénarisation, l'est. L'artiste va plus loin en allant jusqu’à réaliser les brochures de l’événement. Et bien que l’exposition soit majoritairement constituée de collaborations, l’artiste-autrice se déploie sous différentes facettes, en tant que graphiste, typographe, directrice artistique, et en présentant des productions aux moyens multiples.
Par cette réflexion scénique dépassant les réalisations, on plonge en réalité dans l’univers de l’artiste tout comme Alice bascule au pays des merveilles.
Cependant, si je devais émettre une critique face à cette exposition, c’est que j’aurais aimé connaître le chemin artistique qui a mené l’artiste à cet univers graphique aux multiples facettes. Je comprends l’absence de cartel dans une idée de décloisonner les œuvres de leurs formes physiques, les étendre à l’espace. Mais je déplore peut-être l’absence d'une pré « entrée », d’une pièce qui ferait office d’introduction au parcours de l’artiste.
Je ressors donc sur ma faim avec plein de questions, mais peut-être qu’au final, cela confirme l’aspect d’œuvre totale qui émane de cette visite.
3960 caractères avec espace.
Objectifs : Apporter une problématique et y répondre, Porter plus attention à l’élaboration des phrases, Éviter les formulations trop longues,
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