Corporal Witold Modelski, pseud. Warszawiak - the youngest 11-year-old Warsaw insurgent decorated with the Cross of Valour. He died on 20 September 1944, while defending buildings on Wilanowska Street. The photo was taken in August or September 1944, Warsaw [508x637]. Check this blog!
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Le vrai tournant de la présidentielle 2017 : les nouveaux tempéraments battants : un constat simple : les deux vieilles formations politiques (LR + PS) font aujourd’hui 26 % des intentions de votes au total. Deux partis supposés les “principaux” rassemblent moins d’un tiers de l’électorat ! C’est dire le séisme qui est en préparation si ces chiffres se confirment le 23 avril. Il y a dans la présidentielle 2017 en France une “révolution douce” mais puissante qui est celle de l’expression de la répulsion pour une vie politique machiste, vénale, carriériste. Les jours d’après vont amplifier cette correction à tous les sens du terme. Les jours d’après très probablement seront féminins parce que des femmes portent des causes dans des conditions différentes et que, progressivement, dans leur esprit, elles ont enfin considéré que les jours d’après sont les ... leurs. Un magazine américain vient de montrer qu’aujourd’hui, sur les causes fondamentales, ce sont des femmes qui mènent les combats les plus efficaces et prometteurs. C’est le cas par exemple de la santé et de la mobilité dont aujourd’hui les leaders sont Vanessa Garison et Morgan Dixon (photo ci-dessus) qui, avec leur site Internet, font davantage que des programmes publics dans ce domaine.
Dans l’agglomération grenobloise, cette “révolution” a déjà débuté. Des noms peuvent changer la donne locale terriblement bloquée, immobile, défaitiste, stérile si des femmes s’engagent.
La première dans l’agglomération grenobloise à montrer cette voie c’est Karine Maurinaux. Elue en décembre 2016 personnalité de l’année pour l’Isère dans le cadre du grand vote mis en place par le Dauphiné Libéré, Karine Maurinaux, c’est le tempérament battant par excellence. Elle est capable de mobiliser 1 000 personnes pour une réunion publique quand des politiciens professionnels stagnent à 150 au mieux dans la même géographie ! 1 000 personnes qui lui font confiance, qui écoutent attentivement. Elle mène la cause de la vérité !
Dans l’agglomération et peut-être dès les législatives de juin 2017, il faudra suivre avec attention Marilyn Mastromauro. Elue à Fontaine, Mme Mastromauro connait particulièrement bien les dossiers techniques de l’agglomération. Lorsqu’elle intervient, c’est un discours neuf mêlant compétences techniques et sens de la vie de tous les jours avec émotion juste d’ailleurs. Une approche entièrement nouvelle, fraîche, sincère, vraie.
Sur Grenoble et dans la partie sud de l’agglomération, il est certain que la structure collégiale des “femmes avec Macron” a réalisé un travail considérable. Ses trois animatrices ont gagné leur place dans le paysage politique local : Aline Kozma, Pascale Modelski, Nathalie Benhamou.
Sur Grenoble, trois femmes occupent des causes fortes : Catherine Stamboulian sur la solidarité et la cause animale.
Manon Bossy sur le devenir du commerce indépendant du centre ville.
Céline Deslattes sur le devenir de la “gauche de proximité” avec une présence forte sur le tissu associatif local.
A droite, la femme la plus travailleuse dans la durée sur les dossiers, solide sur ses convictions et indépendante d’esprit est Véronique Emin.
Pour les élections de 2020, elles représenteront des mobilisations fortes. Une élection dont dans l’ambiance actuelle il n’est plus du tout à exclure que l’un des enjeux qui mobilise positivement les citoyens de la Ville de Grenoble comme marque d’un vrai changement soit le défi de la première femme maire de l’Histoire de Grenoble loin des candidats que des partis traditionnels évoquent actuellement pour partir à la défaite...
Au Sud, des causes fortes sont conduites également par des femmes. La proximité à Pont de Claix avec Martine Glé.
Ou la convivialité à St Paul de Varces avec Allison Ramos qui anime avec talent plusieurs associations avec son époux Jonathan et qui avait été une révélation d’une campagne départementale comme alors plus jeune candidate en Isère. C’est une approche nouvelle, dynamique, apporteuse de solutions concrètes avec une expérience solide de l’entreprise à l’écart des magouilles politiciennes.
Si des tempéraments de ce type s’engagent, les élections locales de 2020 ne seront pas comme les autres.
12/04/2017
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