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#lieux perec
wildoute · 1 month
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ftshntdstp · 1 year
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a very short introduction to georges perec (german edition): (w)orte
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already-14 · 2 years
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Les Lieux de Georges Perec, une œuvre éclatée
En 1969, j’ai choisi, dans Paris, 12 lieux (des rues, des places, des carrefours, un passage), ou bien dans lesquels j’avais vécu, ou bien auxquels me rattachaient des souvenirs particuliers. J’ai entrepris de faire, chaque mois, la description de deux de ces lieux. L’une de ces descriptions se fait sur le lieu même et se veut la plus neutre possible : assis dans un café, ou marchant dans la rue, un carnet et un stylo à la main, je m’efforce de décrire les maisons, les magasins, les gens que je rencontre, les affiches, et, d’une manière générale, tous les détails qui attirent mon regard. L’autre description se fait dans un endroit différent du lieu : je m’efforce alors de décrire le lieu de mémoire, et d’évoquer à son propos tous les souvenirs qui me viennent, soit des événements qui s’y sont déroulés, soit des gens que j’y ai rencontrés. Lorsque ces descriptions sont terminées, je les glisse dans une enveloppe que je scelle à la cire. A plusieurs reprises, je me suis fait accompagner sur les lieux que je décrivais par un ou une ami(e) photographe qui, soit librement, soit sur mes indications, a pris des photos que j’ai alors glissées, sans les regarder (à l’exception d’une seule) dans les enveloppes correspondantes ; il m’est arrivé également de glisser dans ces enveloppes divers éléments susceptibles de faire plus tard office de témoignages, par exemple des tickets de métro, ou bien des tickets de consommation, ou des billets de cinéma, ou des prospectus, etc. Je recommence chaque année ces descriptions en prenant soin, grâce à un algorithme auquel j’ai déjà fait allusion (bicarré latin orthogonal, celui-ci étant d’ordre 12), premièrement, de décrire chacun de ces lieux en un mois différent de l’année, deuxièmement, de ne jamais décrire le même mois la même couple de lieux. Cette entreprise, qui n’est pas sans rappeler dans son principe « bombes du temps », durera donc douze ans, jusqu’à ce que tous les lieux aient été décrits deux fois douze fois. Trop préoccupé, l’année dernière, par le tournage de « Un homme qui dort » (dans lequel apparaissent d’ailleurs, la plupart de ces lieux), j’ai en fait sauté l’année 73 et c’est donc seulement en 1981 que je serai en possession (si toutefois je ne prends pas d’autre retard…) des 288 textes issus de cette expérience. Je saurai alors si elle en valait la peine : ce que j’en attends, en effet, n’est rien d’autre que la trace d’un triple vieillissement : celui des lieux eux-mêmes, celui de mes souvenirs, et celui de mon écriture.
(via Les Lieux de Georges Perec, une œuvre éclatée – TEXTUALITÉS)
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garadinervi · 2 years
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«Bi-carré latin d'ordre 12. Combinatoire générale du bi-carré latin d’ordre 12 de Lieux où les deux séries de chiffres du schéma précédent ont été remplacées par les lieux correspondants. En ordonnée, Perec a surchargé à partir de 1973 (par suite de l’abandon de cette année) les années du calendrier régulier par celles du calendrier rectifié. Les différents graphismes surimposés (le plus souvent en bleu clair) peuvent être lus, selon les cas, comme des marques de régie (avancement du travail), des constats de surdétermination (conjonctions remarquables) ou des surcharges géométrico-décoratives (faisceau couvrant l’année 1969).»; in Georges Perec, Lieux, [Inédit], «La Librairie du XXIe siècle», Seuil, Paris, 2022 (online version here)
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tournevole · 8 months
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J’aimerais qu’il existe des lieux stables, immobiles, intangibles, intouchés et presque intouchables, immuables, enracinés ; des lieux qui seraient des références, des points de départ, des sources.
Georges Perec
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bonheurportatif · 2 years
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Quelques trucs bien en mai
1er mai Découvrir la vue panoramique sur le pertuis depuis le point haut de la ville. Devant les voisines en pâmoison, sauver d'une mort certaine une libellule échouée sur la route. Retrouver la petite routine dominicale du continent à l'île, et retour.
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2 mai Reconnaître dès les premières notes la nouvelle sonnerie du collège. Achever la constitution de la bibliothèque portative pour l'atelier de demain. Remonter le front de mer à vélo, et à très petite vitesse. 3 mai À défaut d'avoir le temps d'aller courir, faire un exercice d'incendie. Débuter une sieste dans les bras et les jambes de sa chérie. Dévorer dans l'après-midi le livre offert le matin même par un ami libraire. 4 mai Trouver une chouette playlist à écouter au casque pour accompagner sa matinée de boulot. Regarder en spectateur amusé la comédie humaine balnéaire qui s'installe petit à petit. Faire une virée familiale à vélo. 5 mai Grignoter une à une les fraises dans la barquette. Se mettre à jour dans ses factures. Reprendre enfin un vieux texte. 6 mai Décrasser le moteur de la voiture. Soupeser l'imposant Lieux de Georges Perec et anticiper de futurs plaisirs de lecture. Abattre un moustique en plein vol. 7 mai Savourer son croissant de la semaine. S'asseoir sur un banc, détailler ses achats de livres neufs, sympathiser avec un chien amical. Prendre son premier bain de mer de l'année. 8 mai Reposer ses genoux. Traverser une pépinière de jeunes pousses penchées. Lire presque toute la journée.
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9 mai Partir pour sa course sous les encouragements du voisinage. Travailler quelques minutes, et faire sa journée. Jouer avec la lumière et la géométrie de la verrière de la gare.
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10 mai Faire deux siestes, dont une pas crapuleuse. Profiter que les participants de l'atelier écrivent pour picorer des amuse-gueule. Découvrir, fort heureusement, qu'un pistolet de gasoil ne rentre pas dans un réservoir de SP95. 11 mai Ressentir l'ambiance singulière d'un quai de petite gare en plein après-midi. Faire, et rapidement, une plutôt bonne pêche à la médiathèque. Entendre parfaitement le sommeil envoyer ses signaux. 12 mai Jouer au reporter. Progresser sur l'écriture d'un long texte. Dîner au restaurant avec sa plus jeune fille. 13 mai Entrer sceptique dans un texte de Kae Tempest, et le lire finalement d’un trait. Peu travailler. Faire griller des pois chiches. 14 mai Écrire sur la terrasse. Partager la première baignade tant attendue de sa chérie. Entendre un peu de guitare au loin, au crépuscule. 15 mai Cueillir des cerises dans l'arbre. Avaler deux cents pages inédites de Perec. Faire un bain du soir et n'être que trois dans les vagues.
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16 mai Finalement, courir, malgré la chaleur croissante. Finalement, préférer écrire pour soi plutôt qu’écrire pour le travail. Décider, toute affaire cessante, popote et devoirs non-faits, d'une baignade familiale. 17 mai Arriver à maintenir un peu de fraîcheur dans la maison. Découvrir l'univers de la croquette pour chien en allant chercher son livre au point relais. Observer qui, du soleil ou du chien, sera couché le premier.
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18 mai Courir, Faire du vélo, Nager. Dans cet ordre, à divers moments de la journée, et sans aucun objectif de performance. 19 mai Palabrer sur les résidences d'artistes. Faire une bonne pioche à la librairie. Frauder le train avec l'assentiment du chef de gare, par défaut de composteur. 20 mai Se réveiller et se lever deux minutes avant la sonnerie du réveil. Boucler trois boulots distincts dans les temps. Faire des bras de fer avec sa fille. 21 mai Jouer au basket dans la rue. Décider d'un crochet et d'un passage express à la librairie qui se trouve sur sa route. Écouter le récit enthousiaste de la semaine de plongée de sa cadette. 22 mai Se baigner, encore. Lire, faire la sieste et lire encore. Arrêter la voiture dans les marais pour capter un drôle d’effet de lumière.
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23 mai Éviter la pluie le temps de sa course. Recevoir un mail dont l’objet est "mise en contact". S'asseoir et lire au calme dans un tout petit recoin caché de la médiathèque. 24 mai Solder rapidement quelques menues instances. Finir sa visio par le spectacle touchant, et désormais commun, d'une petite fille malade sur les genoux de sa maman. Écouter sans mot dire des histoires de non-dits. 25 mai Reconnaître et saluer quelques promeneurs matinaux pendant sa course. Faire un peu d'humour noir au cimetière. Se trouver entre le gris et l'or du ciel.
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26 mai Découvrir un raccourci pour éviter le tunnel de la gare. Faire un volley sur la plage avec ses filles. Retrouver en famille l'intégralité des états d'Amérique. 27 mai Finalement, s'accorder le pont. Plonger avec délices dans une vraie bonne sieste. Apprendre l'existence pas très loin de chez soi d'un photomaton quatre poses. 28 mai Se faire offrir des bouquins par son libraire. Lire Toussaint à l'Ascension. Avoir une pensée pour son père au moment du titre de champion d'Europe de rugby. 29 mai Chercher dans le recueil de François de Cornière la phrase mise en exergue sur la couverture et qui nous a fait l’acheter. Se satisfaire de ne pas la trouver d'emblée pour mieux avoir à y revenir. La trouver finalement, dans les poèmes inédits des dernières pages du recueil. 30 mai Garder facilement la parole, malgré l'appréhension qu'on avait de la prendre. Quitter la réunion et avoir pile le temps nécessaire pour attraper son train. Être abordé par le contrôleur alors qu'on n'a pas composté son billet, et l'entendre simplement demander si la journée a été bonne. 31 mai Se gaver de raisins secs. Entendre le grand frère et la petite sœur se tordre de rire en jouant sur l’ordi. Réparer un bibelot cassé uniquement pour clore ce mois de trucs bien.
Ces “Quelques trucs bien” s’inspirent directement des “3 trucs bien” de Fabienne Yvert, publié au Tripode.
> Quelques trucs bien en janvier. > Quelques trucs bien en février. > Quelques trucs bien en mars. > Quelques trucs bien en avril.
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aspho-dele · 2 years
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Georges Perec fait l’actualité en ce printemps 2022, avec une édition augmentée d’Espèces d’espaces et la parution d’un livre posthume, Lieux, qui s’accompagne d’un parcours numérique. Mais l’édition de ce dernier accuse de nombreuses faiblesses, contredit le travail mené depuis plusieurs décennies sur l’œuvre, réduisant Perec à un statut de « joueur ».
Georges Perec, Espèces d’espaces. Édition augmentée. Postface de Jean-Luc Joly. Seuil, 208 p., 24 €
Georges Perec, Lieux. Avec une version numérique augmentée. Seuil, 608 p., 29 €
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nunc2020 · 9 months
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flaneraparis · 2 years
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Le Paris de Georges Perec, de Denis Cosnard
Ce livre manquait. Il est là, maintenant, pour celles et ceux qui ont un jour rencontré les livres de Georges Perec et en ont été transformés. Le journaliste Denis Cosnard vient de publier un précieux Paris de Georges Perec, chez Parigramme, qu'il a malicieusement sous-titré La ville mode d'emploi. Il nous propose un chemin chronologique et géographique entre la rive droite et la rive gauche, sur les traces de l'écrivain. Tout commence, bien sûr, à Belleville, rue Vilin, et, pas très loin, rue de l'Atlas, où l'auteur a d'ailleurs retrouvé le vrai lieu de naissance de l'écrivain.
Denis Cosnard a patiemment remonté de nombreuses pistes : vers la rue de l'Assomption, où le jeune Perec a vécu après la guerre, après surtout la mort de son père et la déportation de sa mère, assassinée à Auschwitz ; vers la rue de Quatrefages, si associée aux Choses ; vers la rue Linné, où Perec finit sa vie ; vers bien d'autres lieux encore - Perec, l'homme aux cent lieux, a souvent déménagé. Ce Paris de Georges Perec explore aussi bien des cafés, des cinémas, des librairies, rendant plus vivante encore la ville sans cesse réinventée par l'auteur d'Espèces d'espaces. Denis Cosnard a aussi trouvé des photos rares, des archives inédites. Avec précision, pudeur et sensibilité, il nous donne à la fois envie de marcher dans Paris et de (re)lire Perec.
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isayel · 2 years
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Georges Perec _ Lieux (1969) #architecture1o1 #spaces #time #georgesperec https://www.instagram.com/p/Ch7WKXxqa0m/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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viecome · 2 years
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La carta de PEREC a MAURICE NADEAU anunciándole el proyecto monstruoso de LIEUX. | AYUDANTE DE VILNIUS
La carta de PEREC a MAURICE NADEAU anunciándole el proyecto monstruoso de LIEUX. | AYUDANTE DE VILNIUS
Origen: La carta de PEREC a MAURICE NADEAU anunciándole el proyecto monstruoso de LIEUX. | AYUDANTE DE VILNIUS
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celluloidwickerman · 6 years
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Georges Perec's Les Lieux d'Une Fugue (1978)
Georges Perec’s Les Lieux d’Une Fugue (1978)
When Georges Perec was 11, he decided to wander. In fact, escape is perhaps a better way of describing it; a jailbreak from his Aunt’s house in Rue de l’Assomption to wander Paris with who knows what planned other than avoiding school. It was such a defining experience for the writer that he later composed a text surrounding the feelings and places he encountered on this lost meander called Les…
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garadinervi · 2 years
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Georges Perec, Lieux, [Inédit], «La Librairie du XXIe Siècle», Seuil, Paris, 2022 (online version here). Cover: Pierre Getzler (photograph), Georges Perec, 1970
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Les Lieux d'une fugue (1978) Georges Perec 
https://www.youtube.com/watch?v=Q0T-Nk37R-U
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franckdoutrery · 4 years
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Des lieux très communs
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Convenons qu’il est difficile, sinon impossible, de s’exprimer couramment, tant oralement que par écrit, sans recourir aux lieux communs. La performance serait aussi remarquable que celle de l’auteur facétieux, qui écrirait un roman, comme le fit Georges Perec dans La disparition, sans utiliser la lettre e. Pour qu’on se comprenne bien, commençons par distinguer entre la forme et le fond. Entendons par lieux communs ces expressions figées, ces clichés usés « jusqu’à la corde » (en voilà un !), ces poncifs éculés, qu’on utilise sans faire attention. Or ce manque d’originalité dans la forme cache parfois un vide ou un trop peu dans le fond. Lequel est alors pavé d’opinions dites « de bon sens », qui ne sont que des idées reçues. En somme, on parle comme tout le monde parce qu’on reproduit la pensée dominante. D’où stéréotypes, banalités et platitudes.
Flaubert, observateur avisé du discours convenu de son époque, inventa Bouvard et Pécuchet. Les deux compères disaient à la fois ce qu’il fallait penser des sujets à la mode (on ne connaissait pas encore dans le vent, à la page ou in) et la façon d’exprimer des avis passe-partout. Près d’un siècle plus tard, Daninos réamorça le filon dans Le jacassin, qu’il présenta ainsi : « Il y a en France une tradition vivace de déjeuners familiaux où un enfant qui s’ennuie enregistre les conversations auxquelles il n’a pas le droit de participer. Il s’aperçoit vite que l’oncle Jérôme ne parle jamais sans avoir un animal à la bouche (les plumes du paon, la charrue avant les bœufs, les alouettes toutes rôties dans le bec), qu’il n’y a plus de saisons, que le fond de l’air est frais, que les hommes seront toujours les hommes et qu’il n’y a rien de tel que l’air de la montagne... » Depuis lors, bon nombre d’auteurs ont repris le collier (voilà un autre cliché !), parmi lesquels Morgan Sportès, avec sa satire Le souverain poncif, dédicacée « à Bouvard » et « à Pécuchet ».
Une plateforme de l’édition française a récemment tenté de classer par nombre d’occurrences les expressions figées qui ont la faveur de la presse. La palme fut décernée à la cerise sur le gâteau. D’autres n’ont pourtant pas démérité. En parcourant la liste des cinquante premières classées, on est frappé par le nombre de celles dues au voyage. En effet, c’est en se déplaçant qu’on part sur des chapeaux de roue pour atteindre au plus tôt la vitesse de croisière. À condition d’avoir le vent en poupe. Mais quand on arrive à la croisée des chemins, il faut lever le pied. Peut-être parce qu’on est attendu au tournant ? Parfois on n’arrive pas à sortir de l’impasse, mais à force de patience on voit enfin le bout du tunnel.
Le domaine guerrier est lui aussi prodigue en clichés. Dans ce cas, on part tambour battant, on met le feu aux poudres, on tire à boulet rouges sur l’ennemi ou l’adversaire. Et quand on est sous le feu des critiques ou menacé par l’épée de Damoclès, on se protège derrière la Ligne Maginot (de l’immunité parlementaire, par exemple). Mais le domaine qui bat tous les records en lieux communs est celui des sports. C’est là qu’on mouille son maillot pour pouvoir jouer dans la cour des grands (certains y ont leur rond de serviette) ou monter sur le podium. Ainsi, le foot n’a qu’un but : celui d’en marquer le plus possible. Souvent un pénalty est le tournant du match. Il peut même tuer le match. Encore faut-il que le cuir prenne le chemin des filets. Mais si l’équipe adverse égalise, c’est la réponse du berger à la bergère. Il en va de même pour le vélo : il faut en garder sous la pédale, monter en danseuse, boucher le trou, tout ça pour éviter la lanterne rouge. Et si on n’y parvient pas à l’eau claire, on se met à saler la soupe.
Les journalistes de leur côté sont vent debout contre la langue de bois de l’homme politique. Quand ils le mettent sur le gril, ils n’hésitent pas à apporter de l’eau au moulin de ses adversaires. Ils lui reprochent son échec (toujours cuisant) dans la lutte pour l’emploi et le scénario (toujours catastrophe) de son programme, qui n’est d’ailleurs que la partie émergée de l’iceberg. En conclusion, la victime mise sur la sellette est invitée à revoir sa copie. Ce que le journaliste, ironie de l’histoire !, omet de faire lui-même. D’où l’avalanche de clichés dans son interview.
Il semble que la seule façon d’éviter ceux-ci consiste à les décomposer, quitte à les reconstruire pour leur offrir une nouvelle jeunesse. Ainsi Perec déjà cité, quand il veut dire d’un de ses personnages qu’il se mit sur son trente-et-un, écrit qu’il s’habilla sur son vingt-huit plus trois. Ainsi encore à malin, malin et demi, devient sous sa plume à malin, malin un quart. Ce qui lui permet en même temps – cerise sur le gâteau ? – de ne pas utiliser la lettre e.
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