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#lampadaire intérieur
queenmycrofts · 8 months
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Rennes Library Living Room
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Mid-sized transitional enclosed light wood floor living room library photo with black walls, no fireplace and no tv
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tundereforce · 10 months
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Contemporary Family Room - Family Room Example of a large trendy open concept light wood floor family room library design with white walls and no tv
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l-works · 3 months
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Séjour et Cuisine - T3 [Partie 3 / 3]
Mobilier utilisé : - Fauteuil en Cuir "California", par Kare Design - Canapé "Beryl", par Zago - Meuble TV "Wayne", chez Maison du Monde - Tapis "Hania", chez Maison du Monde - Lampadaire Industriel "Nilo", chez Maison du Monde - Lampadaire "Misuto", chez AM PM - Tables Basses Gigognes "Avril", chez Maison du Monde - Bout de Canapé "Walford", chez la Redoute Intérieurs - Coffre en Rotin "Clare", chez Made.com [RIP] - Etagères en Métal Noir "Maxine", chez Made.com [RIP] - Petit Meuble Noir "Ashton", chez Maison du Monde - Petite Lampe "Olney", chez Made.com [RIP] - Peinture Asiatique, chez Etsy - Suspension Bambou Fogo, chez Vraiment Beau - Table Ronde "Irina", par Artecosy - Chaises "Mava", par Puntmobles - Bibliothèque en Epicéa, par Interior's - Suspension en Cuisine "Lincoln Globe Lantern", par Vaughan - Papier Peint "Temple Grey", par Graham Brown
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vinterchilders65 · 8 months
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Lampadaire Tiffany : Une touche d'élégance intemporelle.
Le lampadaire Tiffany est une véritable œuvre d'art qui ajoute une touche d'élégance intemporelle à n'importe quelle pièce. Avec son design unique et ses magnifiques abat-jours en verre coloré, ce lampadaire est un véritable symbole du style Art Déco. Que vous soyez à la recherche d'une lampe d'occasion ou en promotion, ou si vous préférez investir dans une véritable pièce de collection, il y a un lampadaire Tiffany qui correspondra à vos goûts et à votre budget.
Le style Tiffany met en valeur des motifs floraux, des libellules délicates et des vitraux aux couleurs vives qui captent la lumière de manière spectaculaire. Que vous souhaitiez ajouter une ambiance chaleureuse à votre salon, éclairer votre bureau avec classe, ou créer un coin lecture cozy dans votre chambre, le lampadaire Tiffany est le choix idéal. Il existe également des modèles sur pied ou avec des abat-jours en verre, offrant ainsi une variété d'options pour personnaliser votre éclairage.
Que ce soit sur des sites d'e-commerce, comme Amazon ou Rakuten, ou dans des magasins spécialisés, vous pouvez trouver une vaste sélection de lampadaires Tiffany, du classique au contemporain. Certaines pièces présentent même des motifs inspirés de la nature, avec des tulipes délicates ou des paons majestueux, ajoutant une touche artistique à votre intérieur.
Ne manquez pas l'occasion d'ajouter une touche d'élégance intemporelle à votre décoration avec un lampadaire Tiffany. Que vous soyez amateur d'art ou simplement à la recherche d'un éclairage unique, le lampadaire Tiffany est sûr de faire sensation partout où vous le placez. Alors, applique murale tiffany oaks cdiscount entrer la beauté du verre coloré et laissez votre intérieur briller de mille feux avec un lampadaire Tiffany.
Histoire et caractéristiques des lampadaires Tiffany
Les lampadaires Tiffany ont une histoire riche et des caractéristiques uniques qui capturent l'élégance intemporelle de ces pièces d'éclairage.
Le style Tiffany a émergé à la fin du 19e siècle grâce au talent et à la créativité de Louis Comfort Tiffany. Ces lampadaires sont devenus de véritables symboles de l'Art Nouveau et de l'Art Déco.
Les lampadaires Tiffany se distinguent par leurs abat-jours en verre coloré, assemblés à la main par des artisans qualifiés. Les motifs et les couleurs utilisés sont souvent inspirés par la nature, les fleurs et les motifs géométriques.
Ces lampadaires sont non seulement des objets d'éclairage fonctionnels, mais aussi de véritables pièces décoratives. Ils apportent une lumière douce et chaleureuse à n'importe quel espace, en créant une ambiance unique. Que ce soit dans un salon, une chambre ou une salle à manger, un lampadaire Tiffany ajoute une touche d'élégance et de sophistication à la pièce.
Différents types de lampadaires Tiffany
Les lampadaires Tiffany sont connus pour leur élégance intemporelle et leur style artistique unique. Ils sont devenus des pièces prisées dans de nombreux intérieurs, ajoutant une touche de charme et de sophistication. Voici un aperçu des différents types de lampadaires Tiffany disponibles :
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Lampadaires Tiffany art déco : Ces lampadaires incorporent des designs géométriques et audacieux, typiques de l'ère art déco des années 1920 et 1930. Ils sont souvent caractérisés par des formes angulaires et des motifs abstraits, créant une ambiance moderne et élégante.
Lampadaires Tiffany style floral : Ces lampadaires mettent en valeur des motifs floraux délicats, tels que des fleurs, des feuilles et des vignes. Ils apportent une atmosphère naturelle et romantique à n'importe quelle pièce, créant une ambiance chaleureuse et accueillante.
Lampadaires Tiffany vintage : Ces lampadaires sont des pièces d'époque qui respirent le charme du passé. Ils sont souvent ornés de motifs classiques et intemporels tels que des vitraux colorés, des bordures en plomb et des bases en métal décoratives. Ces lampadaires ajoutent une touche de nostalgie à tout intérieur.
Que vous recherchiez un lampadaire Tiffany pour compléter votre décor Art déco, ajouter une ambiance florale à votre salon ou simplement pour profiter d'une pièce d'époque authentique, il y a un choix infini de styles et de designs disponibles. Une chose est sûre, les lampadaires Tiffany apporteront toujours une élégance intemporelle à votre espace de vie.
Où acheter un lampadaire Tiffany
Si vous êtes à la recherche d'un lampadaire Tiffany pour ajouter une touche d'élégance intemporelle à votre intérieur, vous vous demandez peut-être où vous pouvez en trouver. Ne vous inquiétez pas, il existe de nombreux endroits où vous pouvez acheter ces magnifiques lampadaires. Voici quelques options à considérer :
Boutiques spécialisées : Les boutiques spécialisées dans l'éclairage et la décoration intérieure sont souvent le meilleur endroit pour trouver des lampadaires Tiffany. Vous y trouverez un large choix de modèles, de styles et de couleurs. N'hésitez pas à demander des conseils aux vendeurs spécialisés pour trouver le lampadaire parfait qui correspond à vos goûts et à votre budget.
Sites en ligne : Les sites de vente en ligne sont une excellente option pour acheter un lampadaire Tiffany. Des plateformes comme Amazon, Cdiscount, Rakuten et bien d'autres proposent une large sélection de lampadaires dans différents styles et à différents prix. Vous pouvez facilement comparer les prix, lire les avis des clients et passer votre commande en ligne, sans quitter le confort de votre domicile.
Marchés aux puces et sites de vente d'occasion : Si vous êtes à la recherche d'un lampadaire Tiffany à prix réduit, les marchés aux puces et les sites de vente d'occasion peuvent être une bonne solution. Vous pourriez y trouver des lampadaires d'occasion en bon état et à des prix imbattables. Assurez-vous de bien vérifier l'état du lampadaire avant de l'acheter et de négocier le prix si nécessaire.
Que vous choisissiez une boutique spécialisée, un site en ligne ou un marché aux puces, gardez à l'esprit vos préférences en termes de style, de couleur et de budget. Un lampadaire Tiffany peut ajouter une touche d'élégance intemporelle à n'importe quel espace, alors prenez le temps de choisir celui qui correspond le mieux à vos besoins et à votre décor.
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orageusealizarine · 2 years
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Je continue de me demander : que faire ? Je ne peux pas m’empêcher de penser que, quelque part, accepter de suivre ma “voie toute tracée” (fût-elle le moyen de réaliser mon injonction à ne vivre que de ma passion) est une forme de dégradation. Comment dire... accepter la soumission en renonçant à l’absolu : faire des compromis sur l’existence (sur le moi).
J’ai souvent pris en terreur cette sécurité de faire tous les jours les mêmes choses en échange d’avoir de quoi survivre (répondre à ses besoins primaires) et de combler l’ennui. Devenir : s’endormir d’un sommeil de transe, ne plus s’apercevoir des trottoirs à sept heures et demi et des ombres jetées des lampadaires. La vie tranquille, cette espèce d’existence sous morphine pour oublier d’être ? Ne plus cultiver ce courage renouvelé d’être soi...
Rah, oui, que le sommeil paraît doux quand on oublie son odeur de mort, les flacons brisées dans les nuques. Troquer la douleur multiforme, à l’intérieur, contre une autre pourriture, mais anesthésiante, mais aliénante. Faire un travail tranquille, cette dégradation souriante de l’être... la vie dépassionnée, passée d’anémie en anémie, le comble de l’extase en ruines, la défaite des enthousiasmes et autres joujoux qui régalent l’existence.
Je rue encore un peu, à peine, sous les rênes, poussée par un désir de fuite ; je dois être folle car là-bas, dans les rues, dans les champs, je ne donne pas cher de ma peau. Quelle ivresse à s’imaginer, dans sa chaise, travailler de ses mains, toucher pour de bon la terre, s’affermir l’âme au soleil... mais quoi, est-ce que je pèle déjà, en imagination ? Quelle faiblesse constitutive du corps ! mais je souris, justifiée de rester dans mes murs.
Pourtant je vis, si je rêve, si je désire. Si je résiste aux somnambulismes qui mènent tout droit aux aberrations de l’être. Si cette “voie toute tracée” n’en a que l’apparence, dégorgeant mes passions, mes cris, si elle dissonne terriblement, étant une tentative d’accorder, de soumettre le réel à mes exigences intérieures.
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tazipa · 2 years
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17/07/2022 El mercado de Lanza
Architecture étonnante ayant pour concept de créer plusieurs étages par thématique de produits à vendre, accessible par des rampes en béton. Plusieurs kiosques se succèdent.
Les avis divergent sur ce projet : négatif -
Et positif -
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Nous l'avons visité un dimanche, peu de magasins étaient ouverts...le principe part d'une bonne idée, mais le manque d'entretien et l'aspect sombre du béton sont peu engageants.
🤷
Puis un petit tour dans les rues adjacentes avant d'aller prendre le bus dans le sud de La Paz
Vous remarquerez sur la photo qui suit une poupée pendue au lampadaire. J'en avais déjà repérées plusieurs à Cochabamba. Il s'agit de mise en garde du voisinage et des commerçants contre les voleurs qui souhaiteraient passer à l'acte...📢⚠️
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L'ambiance intérieure du grand bus, où le chauffeur appelle et prévient les éventuels passagers qu'il reste de la place à l'intérieur.
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designixshop · 3 months
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Illuminez et Personnalisez Votre Espace avec Designix : L'Art de Vivre Décoratif
Bienvenue dans le monde de Designix, où chaque élément de décoration n'est pas seulement un objet, mais une expression de votre identité. Notre philosophie repose sur l'idée que votre intérieur doit refléter votre personnalité, vos passions et votre vision de la beauté. Aujourd'hui, nous vous invitons à explorer avec nous les multiples facettes de la décoration intérieure, à travers notre sélection variée de produits, des luminaires aux statuettes, en passant par les plantes artificielles et les miroirs design.
Un Éclairage Qui Parle à Votre Âme
Chez Designix, nous croyons que l'éclairage peut transformer l'atmosphère d'une pièce en un simple geste. Que ce soit à travers un lustre imposant qui trône dans votre salle à manger, apportant une touche de majestuosité, ou par une suspension luminaire moderne qui diffuse une lumière douce dans votre cuisine, chaque choix d'éclairage est une décision qui modèle votre environnement. Nos lampadaires et appliques murales, sélectionnés pour leur esthétique et leur fonctionnalité, offrent des solutions d'éclairage pour chaque coin de votre maison, de la chambre au salon, les Mitigeurs et sans oublier l'extérieur.
Objets Décoratifs : Les Narrateurs de Votre Histoire Intérieure
L'ornementation de votre espace ne s'arrête pas à l'éclairage. Nos statuettes, chacune avec sa propre histoire, ajoutent une dimension narrative à votre décoration. Les plantes artificielles, pour leur part, insufflent un souffle de vie et de verdure, sans exiger les soins constants des plantes naturelles. Et pour ceux qui cherchent à capturer et à refléter leur style unique, nos miroirs design et posters sont des moyens d'expression personnelle, transformant vos murs en véritables galeries d'art privées.
Harmonie et Cohérence : Le Secret d'un Intérieur Réussi
La cohérence est clé dans la décoration de votre maison. C'est pourquoi Designix propose des collections dédiées à chaque espace de vie, permettant de créer un fil conducteur esthétique qui traverse et unit les différentes pièces de votre domicile. Que vous soyez à la recherche d'inspirations pour la cuisine, la salle de bain, ou le salon, notre gamme vous offre une harmonie visuelle et une atmosphère cohérente, où chaque élément contribue à l'ensemble.
Explorez, Inspirez-vous, Créez avec Designix
Nous chez Designix sommes passionnés par la possibilité de transformer les espaces de vie en œuvres d'art habitables, où chaque choix décoratif est une pièce du puzzle de votre univers personnel. Notre engagement envers la qualité, le design innovant et la satisfaction de nos clients est au cœur de notre démarche. Nous vous invitons à découvrir notre site Designix.fr, à vous laisser inspirer par notre sélection et à débuter votre propre aventure décorative.
Votre maison est votre sanctuaire, un lieu qui raconte votre parcours, vos rêves et vos inspirations.
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omagazineparis · 4 months
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Terracotta : la tendance déco ne faiblit pas !
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Des couleurs chaudes et un mélange surprenant de matières : la tendance terracotta continue de séduire. En plus de réchauffer votre intérieur, elle apporte du style à votre pièce. Un lé de papier peint couleur ocre, un tapis ou un vase, de simples articles qui peuvent transformer et moderniser votre intérieur : voilà son atout principal. Ô Magazine vous dit tout sur cette tendance et vous donne des conseils pour illuminer votre intérieur ! Une couleur envoûtante, celle de la terre ! La principale raison de ce succès semble d’abord reposer sur sa luminosité. Des camaïeux de couleurs déclinant chacune les beautés de la terre. En effet, le mot « terracotta » signifie en italien « terre cuite ». Comme cette dernière, elle se déploie en une palette somptueuse. Safran, rouille, caramel, curcuma ou encore brique. Ces couleurs chaudes s’invitent dans n’importe quelle pièce de votre maison ou appartement. Une tendance qui pourrait s’expliquer notamment par la crise sanitaire. Comme vous le savez, cette dernière a fait évoluer nos besoins et notre regard sur notre intérieur. Il en va de même avec le télétravail qui a fait de notre espace de vie un espace bien-être. Une tendance qui s’invite dans toutes les pièces. Le célèbre cuisiniste Mobalpa s’inspire de la tendance mais répond aussi à de nouvelles attentes. Pour ce faire, il propose un espace de vie lié aux plaisirs gustatifs reprenant les camaïeux chauds de la terre. D’autre part, sa collection « Ambiance » se décline également dans plusieurs espaces de vie. En effet, la célèbre marque haut-savoyarde a su se réinventer et se moderniser. Cuisine, bureau, salon, les fonctionnalités se mêlent afin de devenir un espace d’accueil (voir photo en début d'article). Le pari est réussi en proposant un alliage surprenant et avant-gardiste. Des rondeurs pour les lampadaires et les assises alliées aux lignes droites des meubles et autres décorations. Des lignes épurées, un style sobre mais chaleureux font de cette collection une réussite. Des objets qui changent tout ! Rassurez-vous : il n’est pas nécessaire de se ruiner pour apporter une touche « terracotta » à son « chez-soi » ! En effet, si vous succombez à cette tendance, elle s’adaptera à votre budget mais aussi à vos envies. Ainsi, vous pouvez repeindre un pan de mur, une façade en crème, noir ou bleu canard (pour les plus créatifs). Profitez de vos vacances et « marouflez » un lé de papier peint ! La touche finale sera apportée par des meubles, objets de décoration, un tapis ou des coussins. Sachez que la tendance terracotta se marie élégamment avec la tendance « visage ». Que ce soit en peinture, dessin, cette dernière se décline sur pléthore d’objets déco. Les grandes enseignes l’ont bien compris. Beaucoup d’entre elles proposent un large choix à petits prix. Leur collection se décline donc en plusieurs objets du quotidien qu’ils soient ornementaux ou fonctionnels. Il en va de même pour B&M qui s’apprête à sortir une collection le 18 août (voir visuel ci-dessus). HEMA propose également une ligne inspirée de cette ambiance chaude. Vous trouverez par exemple de quoi booster votre intérieur : bougies, cache-pots, cintres, maniques ou torchons, le tout à petits prix ! En lien : Les 5 erreurs à éviter lors de l’achat d’un canapé Une ambiance bohème La tendance s’ajuste à toutes les envies ! Que vous soyez bohème ou ethnique, vous trouverez satisfaction ! Vous l’aviez constaté, le rotin fait son grand retour. Du fauteuil glamour à la tête de lit en passant par la table de salon, on le retrouve partout. Si vous souhaitez adopter le style « terracotta » dans votre chambre, ajoutez là par petites touches, en misant par exemple sur le linge de lit et la décoration murale aux couleurs de la terre. En effet, le combo couleurs terre / rotin fonctionne parfaitement bien pour avoir une ambiance bohème. Les coussins et les tapis vous permettront de créer une atmosphère cocooning. Les meubles vintage associés aux couleurs chaudes de la terre vous assureront une ambiance chaleureuse et bohème qui fera voyager vos invités ! À lire également : Ces meubles vintage incontournables Terracotta pour une déco ethnique Fermez les yeux et projetez-vous : le voyage continue dans une nouvelle ambiance. Vous l’aurez compris, l’ambiance « Terracotta » fait entrer la terre, le soleil ou encore le sable chez vous. Cette dernière s’adapte à tous les styles ! Ainsi, les amoureux de la déco ethnique pourront alors satisfaire toutes leurs envies en misant sur des murs mats couleur terre cuite, des coussins couleur safran ou encore des rideaux. Pour parfaire la touche, il ne vous restera plus qu’à marquer l’atmosphère ethnique avec des sculptures africaines, un beau tapis berbère et des meubles aux formes épurées. Les plantes : la touche finale ! Pour parfaire votre nouveau style, vous pouvez en profiter pour recycler des objets, trier et donner à des associations. Cela vous permettra, si vous le souhaitez, d’avoir un intérieur ou une pièce épuré.e. Pour apporter la touche finale, misez sur les plantes. Par exemple, des plantes grasses telles que l’Agave, des succulentes, l’Aloe Vera ou la Kalenchoé. Esthétiques et faciles d’entretien, elles peuvent aussi se révéler dépolluantes. Vous pouvez les suspendre à l’aide d’un beau macramé, les mettre à terre ou sur une table d’appoint. Dans ce cas, optez pour un cache-pot en terre cuite ou en forme de visage. Pour bien préparer la rentrée et vous garantir un automne lumineux, pensez à la tendance « Terracotta » ! Read the full article
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fafou-le-voyageur · 5 months
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Vendredi 19 Janvier :
Malgré le manque de lampadaires j'ai quand même eu beaucoup de mal à dormir.
Je descends d'à travers le brouillard, la pluie et le vent pour retourner près de la pointe et bouquine le temps que le café ouvre. Je sors quand même faire quelques photos de l'îlot / réserve naturelle de reproduction de quatre espèces d'oiseaux, sur laquelle paissent aussi des brebis.
Au final les horaires de Google étaient faux alors je vais dans le centre de Topo boire mon café sur j'accompagne d'un délicieux flan au subtil goût de citron, maison bien sur.
En tous cas pour le moment c'est mort la vue depuis les Miradouros le long de la route car c'est bouché complet.
Quand je bascule vers le nord il semble qu'il fasse un peu mieux le long des côtes et j'ai même quelques points de vue sur l'île de Pico où il a l'air de faire carrément beau.
Le paysage de landes dans le brouillard avec les bruyères arborescentes ça fait très Tolkien.
Je rejoins la faja dos Cubres, une des plus connues de la côte nord. Elle est assez large et a plusieurs lacs d'eau douce en son sein avec aussi une ruine de moulin.
Je m'y mets à l'abri d'ailleurs quelques minutes le temps qu'une averse passe. Il y a plein d'oiseaux qui nichent ici dans les roseaux et les arbustes.
La balade qui part de cette faja et rejoint celle de caldera de Santo Cristo, une des plus jolies de l'île, fait seulement 4,5 km en piste carrossable pour les quads.
C'est un peu monta dabala mais ça va. Au milieu il y a la Faja de Belo, quasi entièrement occupée par un complexe de chambres d'hôtes (120 euros la nuit), pour une expérience immersive, loin de tout.
Après une autre section montée descente me voilà arrivé. Ici le lac intérieur est saumatre, car en partie relié à la mer, et on y cultive des palourdes.
Le village est joli avec une belle petite église et des maisons traditionnelles en pierre volcanique. Il y en a même une peinte en bleu, comme à Chefchaouen, au Maroc.
Je pensais revenir en faisant le tour du lac mais n'avais pas remarqué le canal, difficile à traverser mal équipé, et je repars dans l'autre sens après avoir fait ma pause déjeuner sur le petit abri en pierre.
Une fois revenu j'envoie un message à Julia, la propriétaire des chambres pour lui dire que j'arrive dans 45 minutes.
Je retraverse le brouillard et trouve un temps plutôt dégagé à Velas. Je passe faire une petite course puis vais poser mes affaires dans ma nouvelle chambre.
Comme le temps présage presque d'un joli coucher de soleil je me décide à compléter mon effort de la journée par une petite grimpette sur le monte Morro, petite colline surplombant la baie de Velas.
J'achève de grimper juste à temps mais le soleil finira malheureusement sa course derrière les nuages. Par contre la Montanha Pico, elle est en train de se découvrir. J'ai même droit au chapeau de nuages sur la fin.
En remontant j'entends bêler une brebis et me rends compte qu'elle est coincée dans des ronces. Malheureusement c'est pas très accessible et j'ai pas mon couteau. J'envoie un message à la propriétaire et lui demande si elle a les coordonnées du berger. Elle me les donne du coup je mets au courant le berger.
Je reviens dans la pénombre me gare dans la rue et en profite enfin pour aller me doucher après une mauvaise nuit et une journée bien occupée.
Résumé de cette journée de marche : 14,5 km, 548m de d+, en 3h35.
Ma propriétaire m'avait qu'il y avait une fête où on pouvait manger. J'ai été voir, en fait c'était un meeting politique où les candidats payaient à manger à tout le monde, plus de 400 personnes.
Je me fais ma popote dans la cuisine puis vais me coucher pas trop tard, j'ai du sommeil à rattraper.
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wibergbutt04 · 5 months
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amazon lampadaire tiffany a 390 euros
Les lampadaires Tiffany sont des pièces de décoration intemporelles qui apportent une touche d'élégance et de raffinement à n'importe quel intérieur. Sur Amazon, vous pouvez trouver un magnifique lampadaire Tiffany à 390 euros, qui allie un design artisanal et des matériaux de qualité. Découvrez pourquoi ce lampadaire est un choix idéal pour sublimer votre espace de vie. Fabriqué selon des techniques traditionnelles, ce lampadaire Tiffany est un véritable chef-d'œuvre. Chaque pièce de verre est découpée et assemblée à la main, ce qui confère à chaque lampe son caractère unique. L'abat-jour en verre coloré est composé d'une multitude de morceaux soigneusement sélectionnés, formant un motif délicat et harmonieux. Le lampadaire est doté d'un pied en métal solide qui assure une stabilité optimale. Son design finement travaillé rappelle les motifs floraux et géométriques caractéristiques des lampes Tiffany. Grâce à sa hauteur de 1,8 mètre, il peut être placé à côté d' lampe tiffany d'un canapé pour créer une ambiance chaleureuse et feutrée. La lumière diffusée par ce lampadaire Tiffany est douce et tamisée, créant ainsi une atmosphère apaisante et relaxante. Les couleurs chatoyantes du verre coloré se répandent dans la pièce, ajoutant une touche de couleur et de luminosité. Que ce soit dans un salon, une chambre ou même un bureau, ce lampadaire apportera une ambiance cosy et élégante à votre espace de vie. En plus de son esthétique indéniable, ce lampadaire Tiffany est également très fonctionnel. Il est équipé d'un interrupteur pratique situé sur le câble d'alimentation, ce qui facilite son utilisation au quotidien. De plus, sa conception solide et durable garantit une longue durée de vie, faisant de cet
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christiehalberg91 · 6 months
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Lampe Tiffany Site Officiel
La lampe Tiffany, véritable icône du design et de l'élégance, est devenue un incontournable dans la décoration intérieure. Sur le site officiel dédié à cet art lumineux, les amateurs de belles pièces trouveront un large choix de lampes de style Tiffany, toutes aussi magnifiques les unes que les autres. Des luminaires alliant savoir-faire artisanal, matériaux de qualité et designs uniques, pour illuminer votre intérieur avec style et raffinement. Découvrez dès maintenant le site officiel de la lampe Tiffany et laissez-vous séduire par ces véritables œuvres d'art lumineuses. En parcourant le site, vous serez immédiatement transporté dans l'univers enchanteur des lampes Tiffany. Chaque pièce est le fruit d'un travail minutieux et méticuleux, réalisé par des artisans passionnés. tiffany lamp makeovers abat-jours, confectionnés à la main à partir de verre coloré, offrent une palette de couleurs chatoyantes et une luminosité douce et chaleureuse. Les motifs, souvent inspirés de la nature, des paysages ou de l'art nouveau, apportent une touche d'originalité et de caractère à chaque lampe. Le site officiel de la lampe Tiffany propose une large gamme de modèles, adaptés à tous les goûts et tous les styles de décoration. lampe tiffany bleue préfériez les lignes épurées et minimalistes ou les formes plus travaillées et sophistiquées, vous trouverez forcément votre bonheur parmi les différentes collections proposées. Des lampes de table aux lampadaires en passant par les suspensions et les appliques murales, chaque pièce est pensée dans les moindres détails pour créer une ambiance unique dans votre intérieur. Outre leur esthétique remarquable, les lampes Tiffany sont également reconnues pour leur qualité et leur durabilité. Les matériaux utilisés, tels que le verre, le laiton ou encore le bronze, sont sélectionnés avec soin pour garantir une robustesse à toute épreuve. De plus, chaque lampe est accompagnée d'une garantie, témoignant de la confiance accordée par les fabricants à leurs créations. En commandant votre lampe Tiffany sur le site officiel, vous bénéficiez de nombreux avantages. La livraison est assurée dans les meilleurs délais et les produits sont soigneusement emballés pour éviter tout ris
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meyersholgersen38 · 6 months
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grand lampadaire tiffany tulipe de douceur
Le grand lampadaire Tiffany tulipe de douceur, véritable œuvre d'art lumineuse, apporte une ambiance chaleureuse et élégante à tout intérieur. Avec son design unique et ses délicates tulipes en verre coloré, ce luminaire incarne à la fois l'esthétisme et le raffinement. Plongeons ensemble dans l'univers de ce chef-d'œuvre de l'éclairage, où l'art et la fonctionnalité s'harmonisent parfaitement. Dès le premier regard, le lampadaire Tiffany tulipe de douceur attire l'attention par sa présence imposante et sa beauté intemporelle. Sa structure en métal finement travaillé, aux courbes délicates, soutient fièrement les abat-jours en verre coloré. Chaque tulipe est une véritable œuvre d'art, avec ses motifs floraux délicats et ses teintes chatoyantes qui diffusent une lumière douce et tamisée. Lampe Tiffany serie paris 'histoire de ce lampadaire remonte au XIXe siècle, lorsque Louis Comfort Tiffany, célèbre designer américain, a révolutionné l'art du vitrail. Inspiré par la nature et les motifs floraux, il a créé une technique unique pour combiner le verre et le métal, donnant naissance à des pièces d'une grande beauté et d'une grande finesse. Le lampadaire Tiffany tulipe de douceur perpétue cette tradition artisanale, en intégrant le savoir-faire ancestral aux exigences modernes de l'éclairage. Chaque pièce de verre est soigneusement sélectionnée et taillée à la main, puis assemblée avec précision pour former une tulipe magnifique. Les couleurs vibrantes, allant des tons pastel aux teintes plus soutenues, créent une atmosphère chaleureuse et apaisante. Lorsque le lampadaire est allumé, la lumière se diffuse à travers les tulipes, créant un jeu de reflets et d'ombres qui sub
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martensenjain03 · 6 months
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Lampe Tiffany papillon graphitem
La lampe Tiffany papillon graphitem est un chef-d'œuvre de l'artisanat, alliant à la fois beauté et fonctionnalité. Son design unique et élégant met en valeur la délicatesse des ailes de papillon, créant ainsi une ambiance chaleureuse et lumineuse dans n'importe quelle pièce. Cette lampe est non seulement un objet de décoration, mais aussi une véritable œuvre d'art qui témoigne du savoir-faire exceptionnel des artisans qui l'ont créée. Lampadaire art deco Tiffany détail de cette lampe est minutieusement travaillé, de la structure en métal finement ciselée aux vitraux colorés qui diffusent une lumière douce et apaisante. Le motif du papillon, symbole de légèreté et de transformation, apporte une touche de poésie et d'élégance à cet objet unique en son genre. Que ce soit dans un salon, une chambre ou même un bureau, la lampe Tiffany papillon graphitem saura ajouter une touche d'originalité et de raffinement à votre intérieur. Son charme intemporel en fait un véritable bijou qui traversera les époques sans perdre de sa splendeur. Alors laissez-vous séduire par cette lampe exceptionnelle et laissez-la illuminer votre quotidien de sa magie.
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l-works · 2 months
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Salle à Manger & Cuisine Mobilier utilisé : > Buffet « Milano », par Kare Design > Bibliothèque « Billy / Oxberg », par Ikea > Lampadaire « Asteria », par Umage > Suspensions « Hermanos B », par Nowodvorski > Lampe à Poser « Marbre », par La Redoute Intérieurs    et son Abat-Jour « Beige Bordé Noir », par Blanc d’Ivoire > Cache-pot sur Pieds « Florian », par AM-PM > Chaises, par Delamaison > Table « Bug », par Kare Design > Pot de Fleur Laiton, par Decoclico > Ensemble de Vases « Teresa », par Tikamoon > Sets de Table, par Sostrene Grene > Assiettes « Bleu/Vert Méridien », par Maison du Monde > Typique Mural « Copernic », par Maison du Monde > Ensemble de 3 Vases en Céramique, chez Temu > Panier « Veloudo », par La Redoute Intérieurs
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leoslem · 11 months
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Ruelle (inspirée d’une photo de Paris de Charles Marville + d’une fenêtre du musée des arts décoratifs) dans laquelle travaille Lampa, le personnage principal, lampadaire dépressif
Orage au moment du tonnerre, représente l’état intérieur de Lampa
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marylaiine · 1 year
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La Crise
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Flore était assise dans son salon. Toujours ce même canapé bleu, celui-ci qui, impassible et discret, la voit décider de la suite des évènements chaque matin alors qu’elle ouvre son téléphone et déguste son café filtre avant d’aller au travail, et chaque soir alors qu’elle pèse le pour et le contre d’une sortie entre amis face à un visionnage d’un vieux film d’Almodovar. Pensive, elle caresse le velours du canapé, gratte une petite tâche, machinalement alors qu’une voiture qui démarre violemment au feu de la rue de Ménilmontant la fait sursauter. Elle fait tout le temps ça, inspecter et gratter machinalement le canapé, même lorsqu’il n’y a pas de tâche. Ça l’énerve quand elle fait ça, « on dirait ma mère putain ». Le jour décline, tout doucement, c’est l’heure crépusculaire. Les lampadaires ne brillent pas encore dans la rue fourmillante, alors que la lumière rosée, puis violacée et enfin bleutée quitte les façades parisiennes petit à petit, de manière quasi imperceptible, laissant finalement s’exprimer les intérieurs éclairés, jusqu’alors invisibles, et prendre le devant de la scène, derrière les vitrines des magasins, des bars, et les fenêtres des appartements. C’est pile le moment où certains rentrent chez eux pour retrouver leur foyer chaleureux, et le moment où les autres quittent leur appartement, pour rejoindre une ambiance de troquet ou de bistrot chaleureuse, là aussi. Les premiers croisent les seconds, dans un ballet des plus classiques. Les premiers tiennent des sacs de courses en papier craft d’où sort un pied de poireau, un rouleau d’essuie-tout ou une bouteille de vin, et tirent parfois à bout de bras un enfant bien bavard tout droit sorti du centre aéré ou de son cours de musique. Les seconds agitent leur main comme des chefs d’orchestre désarticulés, et enchainent les entrechats pour contourner la lenteur des badauds. Entendez-les fredonner leur mélodie saccadée et sans harmonie ; dissonance des propos trop sonores, qu’ils hurlent tandis que dans le prolongement de leur bras se greffent un smartphone qu’ils se collent à l’oreille. Les premiers comme les seconds ont ce quelque chose de rassurant d’avoir quelqu’un qui les attend quelque part, comme un phrase dans la pénombre qui envahit la ville de minute en minute. Flore les observe avec tendresse, tous ces petits moustiques urbains qui tourbillonnent autour de la grosse ampoule, prête à embrasser le mouvement de ces minuscules.
Mais c’est bien là le problème ce soir ; est-ce le mouvement de repli des uns qu’il faut rejoindre, ou bien le tumulte des autres ? C’est que Flore elle-même ne sait pas vraiment ce qu’elle veut. Comme une schizophrène en pleine crise, ce sont deux parties d’elle-même qui se chamaillent l’attention de la tête mère, jusqu’à ce que Flore décide la fin du comptage des points, et face gagner une personnalité sur l’autre. Ce soir, elle sent bien qu’elle serait capable de prendre la décision de sortir, et de changer d’avis une fois son manteau enfilé pour décider de rester chez elle, puis de rechanger d’avis. Quelque chose la pousse à rejoindre ses amis, et pourtant une petite boule toute noire et toute douce d’appréhension flotte dans l’air, lui intimant de s’accorder un moment pour elle. Parfois, ça dure de longues minutes entières comme ça, où toutes ses angoisses s’expriment d’un coup et se bousculent dans son cerveau, appuyant sur tel ou tel bouton, comme autant de « mode pilote automatique » différents, inscrits dans son génotype de machine sociale. Sa peur des gens qui cogne contre l’orbite ; mode casanier numéro 1 activé. Sa peur de finir seule et abandonnée de tous lui bourdonne dans l’oreille ; mode sociabilité niveau 2 enclenché. Son angoisse de s’ennuyer et de constater la vacuité de son existence si elle s’arrête lui chauffe l’arrête du crâne ; mode sortie culturelle ON. Son angoisse de trop boire, de trop manger, de trop fumer, de trop aimer en une soirée lui fait un goût acide en fin de bouche ; mode Bernard l’Hermite en marche forcée. Alors qu’elle se dit tout ça, il peut s’être déjà passé plusieurs dizaines de minutes. Des dizaines de minutes où, entre ces angoisses qui fusent de part et d’autres de sa tête, ce sont des centaines d’idées fugaces qui fusent, culbutent dans les angoisses primaires, perturbant leur trajectoire linéaire.
Finalement ne sortons pas. Profitons-en pour lire. Quel livre ? Ah ce livre que je viens d’acheter, pourquoi pas. Mais je n’ai pas fini celui-ci, peut-être devrais-je persévérer. Ne sachant pas choisir, autant picorer dans ce recueil de poésie peut être ? Finalement je suis trop fatiguée pour me poser devant un livre, je ne pense pas que ce soit une bonne idée. Tiens ça fait longtemps que je n’ai pas vu ce film. Et si je sortais, mais toute seule ? Un théâtre, pourquoi pas. Le problème du théâtre c’est que c’est coûteux tout de même. Tiens d’ailleurs il faut que je fasse mes comptes. Bon allez un cinéma, je dois avoir des places prépayées quelques part. Bof cette programmation de films au cinéma du coin. Ah et ce petit cinéma indépendant que j’aime beaucoup. Finalement je n’ai pas envie d’aller ci-loin. EN réalité je n’ai pas envie de sortir tout court, revenons-en au plan de départ. Je vais regarder un film sur mon ordinateur, c’est gratuit et pas besoin de sortir. Ou un théâtre filmé. Et si je lisais du théâtre ? Bon avant ça, à table, maintenant que je ne sors plus. Je n’ai rien à manger. Je peux me faire livrer un plan, ce serait l’occasion. Pourquoi pas du chinois, ça fait longtemps. Oui mais si je ne sors pas pour ne pas trop dépenser et pas trop manger, ça n’est pas pour dépenser de l’argent par ailleurs et finir seule et grosse. Bon alors autant sortir, qui je pourrais bien voir ce soir finalement, maintenant que j’ai refusé toutes les propositions de mes amis les plus proches ? Ou sinon je vais au restaurant avec quelqu’un plutôt que de sortir au bar ? Ou alors je mange chez moi, mais quelque chose de sain et de pas cher. Bon, dans ce cas il faut aller faire quelques courses…
Généralement, elle pète un plomb, et elle sort ; et après tout c’est la meilleure des conclusions à toutes ces questions sans queue ni tête. Et si non, si elle résiste, si elle s’entête dans ce projet de faire comme les uns qui rentrent avec leur poireau et leur enfant, c’est là quelle dérape. Ce soir, durant tout ce temps de réflexion, la nuit a fini par envelopper Flore, petite chose assise bien droite sur son canapé comme si ce n’était pas vraiment le sien, à constater les tâches sur le tissu. Elle a accepté la nuit, comme un plaid lourd, mais froid autour de ses épaules lasses. Avec la nuit, la solitude arrive, et avec elle l’ennui. C’était à prévoir ; si les premiers rentrent avec leurs poireaux et leur sac en papier kraft, c’est justement parce qu’ils ont l’enfant scotché à l’autre bras, ou une personne avec qui partager le moment, une fois le foyer retrouvé. Flore, elle fait partie des seconds types de personnes, pas des premiers.
La honte petit à petit monte en elle, et un sentiment encore plus profond, impossible à réprimer. L’envie de se remplir, de combler. Combler quoi ? Elle ne sait pas, et là n’est pas là question. Il faut s’occuper l’esprit, s’occuper les mains, s’occuper les organes vitaux, quoi de mieux que tout ça ? Alors que ce sentiment d’envie irrépressible montre en elle, elle angoisse ; c’est typiquement cette angoisse là qui la faisait considérer l’idée d’une sortie. Mais elle ne peut pas fuir indéfiniment, et parfois il faut qu’elle affronte ses peurs, et qu’elle se confronte à ce qu’elle est, à ses faiblesses, à ses échecs.
Tandis que l’idée de se préparer à manger ne s’est pas encore transformé en envie, elle essaye d’enclencher ses garde-fous habituels, pour limiter les effets de l’inévitable : sortir ? trop tard. Manger un coupe-faim ? oui bonne idée, mangeons une pomme, pour commencer. A peine croque-t’elle dedans qu’elle sait déjà que c’est reculer pour mieux sauter. Elle sort son téléphone ; pas de message. En scrollant sur sa messagerie, elle se rend compte que c’est elle qui a oublié de répondre à l’ensemble des conversations ouvertes avec ses amis. C’est malin. Elle s’asseoie « il faut bien commencer par quelque chose » ; elle chope une seconde pomme et elle commence à répondre à tout le monde, à raconter sa journée, et à réagir aux récits des journées des autres. Ca lui redonne envie de sortir de nouveau, de lire, d’écrire, d’aller voir du théâtre, d’aller au cinéma, de reprendre contact avec telle personne qu’elle n’a pas vu depuis cent ans. Rebelotte, confère la page précédente cher lecteur. Finalement, une fois tous les messages en attente, répondus, et le nécessaire temps de latence entre cet envoi, et la réponse des destinataires ; se pointe le silence et le vide. Du temps, et la fin qui gronde, c’est le moment de cuisiner se dit-elle. Garde-fou numéro quatre enclenché : elle commence à se creuser la tête, pour cuisiner un plat léger mais en grande quantité, pour limiter sa future culpabilité, au cas où elle ne serait pas parvenue à maitriser la crise. Le temps de trouver quoi cuisiner en fonction des quelques pauvres ingrédients qui se battent en duel dans ses placards, elle sent l’appréhension qui monte encore un peu d’un cran, comme le capuchon d’une cocotte-minute qui commence à trésailler et à siffloter tout doucement. Garde-fou numéro cinq : c’est le moment de boire un grand verre d’eau, pour se poser, aider à réfléchir et faire passer la faim. Trop tard, une autre dizaine de minutes est passée, et cette fois, c’est inévitable, elle crève de faim ; elle est toujours sur putain de canapé gris incapable de bouger, et toujours en train d’essayer de traiter la somme des questions que sa conscience lui assène. C’est alors que l’idée se transforme en envie, et elle sait maintenant que c’est le point de non-retour.
Un schéma mental s’enclenche, un cliquetis similaire à une pendule dont les engrenages se remettent en position initiale, en passant les minuits. C’est un autre mode pilote automatique de Flore qui débute. Coucou, coucou, le petit oiseau va sortir, le carrosse va redevenir citrouille, et tes pantoufles de vair, tu vas te les prendre directement dans la gueule, princesse. Avec l’envie, c’est la honte qui pointe son museau, juste derrière. Plus timide elle est dans le sillon de la première, elle dépasse à peine pour le moment, et semble inoffensive, mais elle attend sagement son tour pour prendre la parole et prendre la suite du pilote automatique, mais seulement quand ce sera le bon moment, pour ne pas gâcher le moment de l’envie.
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Du coup, c’est quoi moment ? Flore va vous le montrer alors qu’elle sort le tabouret qui lui permet d’atteindre la clef de la cave, dans laquelle elle a planqué sa honte, dans laquelle elle a enfermé sa crise et son angoisse à double tour pour ne plus la voir, pour ne plus la laisser prendre toute la place et parler tellement fort qu’on ne s’entend plus autrement.  Lentement, alors qu’elle grimpe sur le tabouret ikea standard que son père lui a acheté pour recevoir les amis tu verras peu stable mais empilable ; une larme coule déjà sur sa joue. Elle se dit que peut-être quelque chose va l’empêcher, que rien n’est encore perdu, que le téléphone peut sonner, la sonnette peut tinter, le tintouin peut la détourner, bref quelque chose peut se passer pour la sauver. Quelque chose d’exogène évidemment, car elle sait déjà qu’elle n’aura pas la capacité de dégager cette force en elle, pour rompre la chaîne des événements qui vont se dérouler, méthodiquement. C’est toute la force d’un mode pilote automatique, c’est que rien ne peut l’enrayer, on l’a créé pour agir en cas de défaillance humaine, alors il fait ce pourquoi on l’a créé. Mais quand on a créé un monstre sans le vouloir, on fait comment pour rentrer dans la matrice et reprogrammer, ou pour déplugger le tout ?
Elle redescend du tabouret, et le range correctement sous la table. Elle descend à la cave, en prenant les escaliers, et en remonte un énorme carton jusqu’au 3e étage, toujours en prenant les escaliers. Ça fait faire un peu de sport, ça fait toujours ça de dépensé se dit-elle. Quelle conne tu peux être, se dit elle en plus, on le sait tous que ces trois étages, ce n’est rien par rapport à ce tu vas faire. Elle y croit encore : elle pose le carton dans un coin et ne le regarde plus. Elle se ressert un nouveau grand verre d’eau qu’elle englouti. Puis, elle se dirige vers la cuisine ou traine une montagne de vaisselle et commence à rassembler la vaisselle, empiler les verres, tandis qu’elle remplit l’évier d’eau claire. Elle enfile un gant Mapa, puis le deuxième, et elle se félicite d’avoir choisi des « spécial peau fragile », malgré son a priori un peu sexiste sur cette publicité au marketing genré très ciblé, elle doit reconnaitre qu’elle n’était au moins pas mensongère. Elle imbibe l’éponge de liquide vaisselle, et commence à frotter. D’abord les verres, pour ne pas les casser, puis les assiettes, pour les installer une à une dans les fentes du séchoir à vaisselle. Les plats, poêles, casseroles et passoires ensuite, car elle déteste nettoyer ces trucs. Les restes de nourriture, qui ne ressemble plus à des petits plats mitonnés avec amour, mais plutôt à des bandes gluantes comme autant de lambeaux de peau et de croutes de plaies arrachées, la dégoutent. Du coup, elle y va franco, elle racle avec tout ce qu’elle trouve, puis frotte frénétiquement avec le coté vert de l’éponge, jusqu’à ce que ça brille. Si un bout d’omelette trempée, un spaghetti farceur, une feuille d’épinard noyée à le malheur de se coller à son gant mapa, elle réprime un haut le cœur, et plonge de nouveau sa main dans le bac à mousse pour s’en débarrasser, ou du moins pour ne plus le voir. Flore fredonne et sourit : faire la vaisselle, c’est le truc qu’elle n’a jamais envie de faire, qu’elle ne fait qu’une fois acculée par toutes ces piles de choses sales qui blessent l’horizon paisible et plane de son plan de travail en bois massif, mais finalement, ça la détend une fois lancée. En vérité, je crois que ça lui apporte la satisfaction rapide du ménage vite fait bien fait, mais il faudrait lui demander.
Une fois la vaisselle faite, elle s’installe de nouveau sur son canapé, en tailleur, un plaid sur les genoux. Elle met de la musique, se sert à un verre de lait, installe une lumière tamisée et chaleureuse, et commence à répondre à quelques messages arrivés sur son téléphone le temps qu’elle accomplisse ces quelques tâches ménagères précédemment décrite ; comme une amorce d’une bonne soirée cocooning et tranquille chez soi. Alors que son regard toise toute la pièce, avec l’air satisfait de constater que toute chose est en ordre et à sa place, il se pose sur le carton. Alors, Flore se lève, doucement et sereinement, elle le ramène près du canapé, fredonne en même temps que Pete Doherty -  Only love, love can heal the sickness of celebrity /Love is the bread, love is the wine, love is the soul's hot coals / Love is the bread, love is the wine, love is soul's sharp bow – et ouvre un paquet de chips de soja saveur barbecue. Elle adore ceux-là ; ils sont légers, ils sont healthy parce que c’est du soja et pauvres en sel et en gras. Elle se dit que c’est moins grave de manger ceux-là que de manger un paquet de chips américaines bien grasses. Et puis celles-ci elles sont bien recouvertes de poudres saveur barbecue ; c’est un réconfort autant qu’une agression acide et salé pour les papilles, Flore adore. C’est son délire tous ces trucs là ; les bonbons qui arrachent la bouche et qui sont tout doux ensuite, les plats asiatiques épicés au premier contact sur la langue puis qui enrobent la langue d’une saveur suave de crème ou de lait de coco. A peine le temps d’apprécier la satisfaction de ce moment, que le paquet est fini. Il s’est écoulé moins de 5 minutes. Ni sentiment de satiété, ni sentiment de bonheur, ni réconfort, ni endorphine, rien, pas eu le temps. Du coup, elle ouvre un second paquet de chips, des chips américaines gout fromage cette fois. Certes, elle vient de manger les chips au soja justement pour ne pas manger celles au fromage, mais c’est plus fort qu’elle, elle a encore faim, et envie de savoir le gout qu’elles ont, et toujours cette sensation de poudre chimique d’arome fromage et de sel tout gras qui vient se coller sur la langue à peine la chips en bouge qui la fait saliver. Le paquet était plus gros, elle met un peu plus de temps. Après cela, elle va se laver les mains toutes poisseuses pour reprendre sa conversation par texto sans mettre du gras partout. Pour accompagner cela, elle se sert un grand verre de lait d’amande, pour enrober sa bouche de quelque chose de doux après ces saveurs épicées, toujours. Quelques textos échangés, elle repose son téléphone, et change la musique pour lancer une série sur internet. Ça y est, la satiété, la satisfaction, les endorphines, et tout le reste. La plupart des gens s’arrêtent là. La route se déchire à ce moment, comme ces routes de campagne un peu large, qui se déchirent en fourche à cause d’un monument au mort et d’un énorme Jésus sacrifié sur sa croix qui te regarde et t’enjoint de suivre la bonne route. Il y a la route normale, et la route du calvaire. Flore, c’est toujours la route du calvaire qu’elle suit dans ces moments là. Parfois elle l’accepte, elle met son clignotant pour prévenir derrière elle, et elle braque à fond pour éviter le talus et le gros Jésus, sinon, parfois, c’est le talus assuré, sous l’œil réprobateur du chevelu cloué. La route départementale tranquille vers les bosquets normands, elle ne la prend pas très souvent, mais elle est étroite et bordée également de talus. Sur celle-ci non plus on est à l’abris de rien, Flore le sait. Au moment de la fourche, Flore, posée sur son canapé alors que le générique se lance commence à se dire qu’elle prendrait bien un thé avec un carré de chocolat pour jouer à fond la carte de la fille désespérée sous son plaid à mater une comédie romantique à la Bridget Jones. Comme elle se connait, elle ramène – non pas un mug avec du thé et un carré de chocolat – mais la théière entière, et la plaquette de chocolat entière. Elle les mange d’abord en découpant chacun des carrés minutieusement, ça fait partie du plaisir. Passés 8 carrés, elle les mange 4 par 4, par barres. Et puis passé la moitié de la plaquette, elle croque dedans directement comme dans un sandwich jambon beurre. Fini. A l’évocation d’un sandwich jambon beurre, elle se rappelle qu’elle a du jambon dans son frigo, et du comté fruité. Parfait pour une tartine ça. Elle met pause, commence à préparer deux muffins anglais façon jambon emmental, miam. Elle les déguste lentement, à la hauteur du met. Le sandwich parisien, c’est un truc qu’elle adore ça aussi, elle ne boude pas du tout son plaisir. Bon, et puis une fois fini, elle mange les tranches de jambon comme ça, pour finir le paquet, et elle finit également la meule de comté. Flore n’aime pas laisser des restes. Le problème, c’est que tout paquet ouvert non fini devient un reste, quel que soit le contenant et le contenu. Selon cette même logique, elle commence à inspecter tous les placards, la crise est lancée. Elle a mal au ventre ça y est, cela fait plus de 20 minutes qu’elle mange tout et n’importe quoi, dans des quantités astronomiques, dans n’importe qu’el ordre, sans macher. Foutu pour foutu, elle se vautre toute entière dans la crise, il n’y a plus que ça à faire ; non seulement elle a mis son clignotant, mais elle appuie sur l’accélérateur, en prenant soin de bien klaxonner à chaque virage. Mais elle sait bien qu’elle ne rencontrera personne de toute façon, elle a fait en sorte d’être confronté à cette crise, elle a fait le non-choix d’être seule en refusant de rejoindre le monde du dehors, et enrober toute cette angoisse sous une couverture de gras et de sucre. Mal au cœur, honte, mal au ventre, tristesse, elle se sent grossir et s’alourdir au fur et à mesure qu’elle sort les trucs des placards et des tiroirs. Elle a tellement caché les choses qu’elle retrouve des trucs à engloutir ; beurre de cacahuète, flocons d’avoine, graine de sésame, yaourt, cookies, chocolats, pâtes de fruits, pommes, œufs sur le plat, biscuits, pain azyme, ravioli en boite, cônes de glace…  A la fin, il ne reste plus rien. Ah si, il reste la honte, c’est le seul truc qu’elle n’aura pas comblé. Après ça, elle se rassie dans le canapé, remet son plaid sur ses genoux, remet le film, et répond à ses texto, comme si rien ne s’était passé. D’ailleurs, elle est déjà bien incapable de se souvenir tout ce qui a disparu dans les placards, et les emballages sont déjà tous dans la poubelle, c’est comme si la crise n’avait pas existé. Elle ressurgira le lendemain matin, au moment où il faudra se justifier d’aller faire du sport alors que la température est négative ou qu’il pleut des cordes ; pas le choix, il faut évacuer tout ça d’une manière ou d’une autre. Et cette façon de laver son péché capital et d’absoudre et de dissoudre tous ces excès, c’est encore celle qui fait ressentir un peu moins lourdement le regard du crucifié sur Flore au moment où la prochaine fourche et la prochaine route du calvaire se présentera.
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