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#je prêche à nouveau pour ma propre paroisse
soeurdelune · 1 year
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(+ scénario (très) attendu par votre humble serviteur juste ici.)
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christophe76460 · 9 months
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BIOGRAPHIE DE SIMON GOULART
Simon Goulart, né à Senlis le 20 octobre 1543 et mort à Genève le 3 février 1628, est un théologien calviniste et un humaniste français.
Goulart étudie le droit à Paris. Ayant embrassé la religion réformée, il se réfugie, en mars 1566, à Genève, où il est reçu ministre du culte. En 1570, il épouse Suzanne Picot, puis il est admis gratuitement à la bourgeoisie de Genève. En 1589, il est aumônier des troupes genevoises pendant la guerre contre la Savoie.
En 1595, il prêche contre Henri IV. Il succède à Théodore de Bèze à la charge de modérateur de la Compagnie des pasteurs, de 1607 à 1612.
En 1602, lors de l’Escalade, il est pasteur du temple de Saint-Gervais, quartier situé sur la rive droite de Genève. Ayant exhorté les habitants de ce quartier-ci à prêter main-forte à leurs voisins d'en-face, il restera lui sur la rive droite pour soutenir par la prière la défense de la cité. En 1603, il rédige le Vray discours de la miraculeuse délivrance envoyée de Dieu à la ville de Genève, le 12 jour de décembre 1602, récit de l'attaque savoyarde.
Cet humaniste traduit Plutarque et Xénophon. Il rédige un Trésor d'histoires admirables et mémorables de notre temps (Genève, 1620), des Mémoires historiques sur la Ligue.
En 1580, il traduit l’Histoire de Portugal d’Osorius et de Fernão Lopes de Castanheda. L’épître dédicatoire à Nicolas Pithou commence ainsi :
« MONSIEUR, Je pense bien que ceux qui nous conoissent trouveront estrange et mal seant de prime face, que j’aye mis la main à ceste histoire, pour la communiquer à nostre nation : et qu’ayant esté dédiée par Osorius à un Prince, je la vous presente maintenant. Quant à ce premier point, je ne nie pas que durant le temps employé à ce labeur je pouvoy vacquer à choses plus serieuses, mieux convenantes à mes estudes, et plus propres à ma vocation. »
L'ouvrage a été écrit au « bourg de Sainct Gervais, le vingtiesme jour d’Octobre M.D.LXXX. » Depuis 1571, en effet, il est installé dans cette paroisse de Saint-Gervais, à Genève.
En 1581, il donne un Commentaire alphabétique (Indice) de la Sepmaine de Guillaume du Bartas qui est publié dans une édition augmentée du poète gascon. En 1589, chez le même éditeur (Jacques Chouet, Genève), il publie à nouveau ce commentaire, enrichi de remarques supplémentaires. De son côté, le catholique Pantaléon Thévenin commente lui aussi ce vaste poète encyclopédique.
De 1576 à 1597, il édite des chansons spirituelles et des psaumes de divers compositeurs chez divers imprimeurs de Lyon, Heidelberg ou Genève. Les chansons sont des chansons profanes dont le texte a été contrefait, c'est-à-dire remplacé par un texte spirituel plus à même d'être chanté dans les maisons calvinistes, et le principal compositeur mis à profit sera Orlande de Lassus. Ce faisant, il adopte la même démarche que Jean Pasquier, dont les éditions l'ont précédé à La Rochelle. Ces éditions contrefaites se font sans autorisation du compositeur, en dépit des privilèges accordés à Roland de Lassus par les rois de France, ceux-ci ne s'appliquant pas à Genève.
Goulart annote aussi le Grand Miroir du Monde du poète protestant Joseph Duchesne sieur de la Violette (1593). Goulart est également l'auteur d'Imitations chrestiennes. Selon Olivier Pot, Goulart envisageait l'existence d'une Académie littéraire protestante.
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