Tumgik
#je ferais pas de commentaire sur mon état émotionnel
jules-and-company · 1 year
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alors voilà. j’ai commencé herocorp
- putain simon t’as vraiment un grain
- je suis john john est moi on est tous john dans ce village de tarés
- « comment va la tata ? // bah elle est morte »
- alban lenoir ❤️
- je voudrais bien savoir où ils tournent parce que c’est vraiment beau l’endroit
- ah oui donc en fait ils sont juste tous très cons
- CHRISTIAN BUJEAU ???
- christian bujeau la daronne
- est-ce que simon astier est capable d’écrire une romance normale pour son propre personnage ou bien
- le fight filmé à l’aide d’une fidèle gopro
- lionnel astier en costume 😳
- « si je raconte ça en rentrant je vais me prendre des cailloux »
- klaus meilleur personnage de cette série c’est tout
- doug en effet meilleur avocat
- ah mais il a vraiment des pouvoirs ce con ?
- JOSÉE DEVRON ???
- MARY NON
- ah ouais ça sort la chemise rouge en soie
- « je vais à la rivière. / pour faire quoi ? / des huîtres. »
- comment ça se fait que mique soit ripped comme ça
- mique putain c’est pas la loyauté qui t’étouffe
- c’est sa mangue, merde
- ils ont pris anglais LV4 tous
- Pinage.
- john ? un p’tit pouvoir en plus ?
- oui ce sont des branquignolles. mais ils essaient, et c’est ça le plus important
- un vrai méchant ???
- je sais pas si c’est un choix artistique mais jennifer c’est une connasse et tu devrais pas te sentir coupable à cause d’elle john
- je réitère : lionnel astier en costume trois pièces
- ILS SONT À FUCKING MONTRÉAL
- « ou tu demandes ma main à mon père maintenant ou tu sors de cette voiture et c’est fini entre nous. / ….je vais pleurer j’crois »
- ILS ONT FAIT PÉTER LA BAGNOLE ???
- j’ai le niveau de j’en ai rien à battre de klaus par rapport à l’amnésie de jennifer
- ptn neil mac kormack vraiment 🥵
- le côté androgyne de simon astier j’avoue que je le voie pas trop
- « moi je préfère prévenir : tu m’effleures, j’te dévie la trachée » klaus ❤️
- SON FUCKING DARON ???
- allez hop le recadrage bien mérité
- en fait dès qu’ils sont dans la base simon astier se met à jouer comme son frère
- en fait dès qu’ils sont dans la base y’a son frère
- la seule directive qu’alexandre astier devait suivre pour ses scènes c’est mettre des grosses mandales dans la tête de son p’tit frère
- il a du potentiel whump ce garçon c’est prodigieux
- john se blesse toutes les deux secondes c’est fou
- mon équipe de bras cassés préférée. même l’équipe du visiteur du futur est plus compétente
- le retour de the lord ???
- simon tu sais que je t’aime bien mais dans cette série c’est ton père que je préfère
- neil et the lord ont baisé dans le passé j’en suis convaincu
- ah oui donc en fait pour la saison 3 vous avez carrément sniffé de la colle c’est ça
- déjà qu’il est dans une très mauvaise passe, si en plus vous l’aidez pas
- neil qu’est-ce que tu fous bordel
- john c’est possible d’arrêter de tuer des gens
- ah oui en fait c’est carrément n’imp c’est ça
- « ce soir c’est pinaage, ce soir c’est pinaaage, pinaage les méchaants, pinage les moines chelous »
- WOH PUTAIN ÇA Y EST AVEC HYPNOS LÀ
- et évidemment que neil n’est pas mort
- « comme beaucoup de latins, je parle avec les mains… » // « vous êtes écossais. » // « oui, mais du sud. »
- le prison break du pauvre
- jonathan cohen n’avait aucune directive de jeu, on l’a juste laissé faire son truc devant une cam qui tourne
- non écoutez je sais que ça peut être difficile à entendre vu la tête à claques mais je suis un john stan first and human second
- klaus bestie t’es là
- IL VIENT DE FAIRE QUOI LÀ
- le p’tit dies irae là 🤌🏻
- putain neil mac kormack possède un énorme cerveau
- what the fuck qu’est-ce qui se passe maintenant bordel
- pas la putain de self-sacrifice trope
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- PUTAIN LE GOUVERNEUR C’EST CORDIUS JE L’AVAIS PAS RECONNU
- p’tit intermède musical
- QUOI
- simon ARRÊTE de foutre des musiques joyeuses alors que tu viens de faire buter ton personnage principal par son meilleur ami
- putain comment j’ai gueulé de joie
- grosses vdf le film vibes en cette fin de saison 4
- de quoi
- DE QUOI
- putain je comprends RIEN
- pourquoi sont-ils soudainement doublés en manga
- « putain, on a besoin de toi ! » « pourquoi ? » « pour défoncer des gars. » « bien sûr ma gueule » j’allais dire me and who mais en fait c’est moi et ma bestie j’vous dis pas qui est qui
- « j’peux pas les laisser c’est mes enfants » MARYYYYY
- l’outro complète de manga d’accord
- mary. mary qu’est-ce que t’as fait. MARY. MARY QU’EST-CE QUE T’AS FAIT
- ……..
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- « êtes-vous toujours là ? » franchement amazon j’en sais rien
- il vient de se suicidax ?
- je viens pas de voir ce que je viens de voir hein ?
- john est en larmes et moi aussi
- PTN BURT X STAN 4EVER LES LOULOUS
- putain mais qu’est-ce que c’est que cette merde encore
- pardon, juste un aparté : klaus du dernier ep 🥵
- PI - NAAAAAAAAAAAAAAAAGE
- YESSSSSSS PUTAIN ALLEZ C’EST MON ÉQUIPE ÇA
- il se sacrifie ce grand fou ? ah non j’ai rien dit
- simon je vais venir chez toi pour savoir si tu as besoin d’une psychothérapie et également je vais te mettre une grosse mandale pour m’avoir fait passer par le spectre entier des émotions humaines
- en résumé :
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drypauli · 4 years
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Comment transformer les problèmes
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Résumé
Je vous propose de découvrir une stratégie pour transformer les problèmes. Il faut distinguer les problèmes inspirants des problèmes stressants. Quand vous êtes face à un problème, il peut soit vous motiver à trouver une solution, comme le ferait un puzzle ou une passion par exemple, soit vous confronter à des peurs et créer des émotions négatives.
Dans une situation qui vous stresse, demandez-vous ce qui vous dérange. Observez l’élément qui provoque ce stress en vous. Par exemple, si vous devez de l’argent à quelqu’un, le stress de cette situation peut être lié à un sentiment de honte.  A partir de ça, on peut faire un travail pour écrouler ces émotions négatives.
Deuxièmement, si ce problème ne vous stressait pas, demandez-vous ce que vous feriez. Quand on est dans le stress, notre cerveau n’a accès qu’aux solutions que nous avons déjà expérimentées par le passé. Quand on n’est pas dans ce stress, notre cerveau peut engager dans des zones de créativité pour arriver avec des solutions créatives.  
Transcription
Dans cet épisode, je vous propose de découvrir une stratégie pour transformer les problèmes.
Parce que la vie est bien trop magique pour être petite et que nous avons tous besoin d‘une prescription pour grandir en conscience et faire que nos rêves dévorent notre vie. Bonjour, je suis le Docteur Yannick Pauli, bienvenue à un nouvel épisode d’Une Grande Vie. Vous le savez, chaque semaine, je vous propose des stratégies pratiques, pragmatiques, pour grandir en conscience, qu’elle soit d’ordre physique, émotionnel, psychologique ou spirituel, parce que c'est cette conscience qui nous permet d’évoluer en tant qu’être humain et de vivre une vie pleinement vécue.
Cette semaine, j’avais envie de vous partager une stratégie que j’ai utilisée dernièrement pour aider à transformer ou solutionner beaucoup plus facilement les problèmes. J’ai déjà fait d’autres vidéos dans ce contexte de résolution des problèmes, certaines étaient basées sur l’utilisation du corps et comment on a envie de se sentir, mais aujourd’hui c’est une distinction qui m’est venue d’un coach pour entrepreneurs américain, Dan Sullivan.  
Dan Sullivan est apparu avec ce concept qui dit que 90% d’un problème vient du fait que ce problème vous dérange. Donc ce n’est pas le problème qui est le problème, mais le problème est qu’il y a quelque chose qui nous dérange. Cette distinction m’a vraiment marqué, parce qu’en tant que clinicien et personne qui accompagne les gens, on fait toujours face à des problèmes. La personne vient, elle a des problèmes de santé, dans mon cas, et l’idée ici est de pouvoir développer ensemble des stratégies pour surmonter ce problème.  
Distinction fondamentale
A chaque fois qu’une personne vient avec un problème, à chaque fois que je vais me plonger dans l’étude de la littérature scientifique pour voir si on trouve des solutions issues de différents domaines de la médecine, pour trouver une solution intégrative, à chaque fois que je fais face à un tel problème, ce problème est en fait inspirant. C'est un problème, c'est-à-dire qu’on se trouve face à une situation qu’on n’a pas encore résolue, mais je n’ai aucune attache émotionnelle à ce problème-là. Ce problème-là ne me dérange pas, et même, il m’inspire. Le fait de devoir aller chercher une solution, ça m’inspire.
Si vous êtes un créatif ou un entrepreneur, vous vous rendrez compte avec cette distinction que dans la vie de tous les jours, la vie vous lance des problèmes et que pour un certain nombre de ces problèmes, vous adorez les résoudre. La résolution de ces problèmes est ce qui vous permet de contribuer dans le monde. La résolution des problèmes de santé, c'est ce qui me permet de contribuer aux gens. Donc il y a un aspect très inspirant.  
Cela amène une distinction. Avec ces problèmes qui nous gênent, on ne se sent pas inspiré par ce problème, il nous crée un stress, c’est un problème stressant. C'est la première distinction, c'est-à-dire qu’il y a des problèmes qui finalement nous inspirent à aller de l’avant, cela nous motive, nous inspire à aller les résoudre, et d’autres sont en fait très stressants. Dan Sullivan dit que 90% d’un problème n’est pas le problème lui-même, mais le stress qu’il crée. À partir de cette distinction, il y a une forme d’observation et d’apprentissage qu’on va pouvoir en tirer, qui se passe au travers de 2 questions fondamentales.
Question 1
La première question est: qu'est-ce qui vous stresse ou qu'est-ce qui vous dérange ? Ça va nous donner une forme d’auto-observation. Prenons un exemple. Imaginons que vous devez de l’argent à quelqu’un, que vous étiez supposé lui rendre cet argent pour la fin du mois, mais à la fin du mois vous ne l’avez pas. Donc vous avez un problème d’argent et vous n’en dormez plus la nuit. La question fondamentale est : qu'est-ce qui vous stresse là-dedans ? Est-ce vraiment le problème de ne pas avoir l’argent, ou y a-t-il autre chose qui se cache derrière ? Est-ce le fait par exemple que vous avez honte de ne pas pouvoir payer à temps, parce que vous êtes quelqu’un de correct et que si vous avez des dettes, vous aimez bien pouvoir les payer à temps. On voit alors qu’on a une distinction complètement différente. Ce qui peut vraiment vraiment nous stresser n’est pas le fait qu’on n’a pas l’argent, mais c'est ce sentiment de honte qu’on a.  
Ces situations vont nous permettre d’aller même sonder encore plus profondément : OK, vous avez ce problème, il vous dérange, comment ça vous fait vous sentir ? « Je sens de la honte. Je sens que, dans mon corps, j’ai les tissus qui se contractent, notamment au niveau du ventre. J’ai une espèce de boule dans le ventre. » On peut profiter de cette situation pour en apprendre plus sur nous, c'est-à-dire comment vous vous comportez à ce moment-là ? « Je dors moins bien et je commence à manger du chocolat, bien plus que je ne devrais. »  
Donc la première des choses est d’en apprendre plus à propos de nous, d’utiliser cette situation pour en apprendre plus à propos de nous-mêmes. Donc la première question : qu'est-ce qui vous dérange ? Qu'est-ce qui vous stresse ou dérange VRAIMENT ? Vous allez voir que généralement, ce qui nous dérange ou nous stresse n’a absolument rien à voir avec le problème lui-même, mais ça a à voir avec notre perception du problème, et c'est très souvent des choses émotionnelles. Si vous voulez aller sonder un peu plus loin, si on reprend cet exemple de honte, c'est de nous dire : dans quelles autres circonstances de ma vie je fais l’expérience de ce même sentiment ? Quelle est la première fois où j’ai vraiment ressenti ce même sentiment-là ?  
Vous allez voir que d’un coup, ça va être lié. On peut prendre aussi conscience que peut-être la manière dont on se sent maintenant, la manière dont on réagit à certains problèmes est liée à certaines expériences qu’on a eues dans le passé, et que ces expériences sont toujours en train de nous diriger, que la situation à laquelle on fait face avec ce problème et la raison pour laquelle on ne peut pas le voir comme un problème inspirant, mais comme un problème stressant n’a rien à voir avec le problème actuel, mais ce sont en fait des mémoires qui datent du passé. A ce moment-là, ça vaut vraiment la peine d’aller faire un travail dessus, parce que sinon, à chaque fois qu’on va se retrouver dans une situation similaire, ces mémoires vont être réenclenchées. C'est donc la partie de l’apprentissage sur soi, de ses problèmes, et comment les transformer. Si on arrive à découvrir qu’on a un schéma récurrent de ce qui nous stresse dans certains problèmes, une façon de les solutionner n’est pas de solutionner ce problème actuel, mais c’est de solutionner ces traumatismes, ces perceptions faussées, ces illusions qu’on a, qui viennent d’expériences du passé.  
Question 2
La deuxième question vient directement du coach Dan Sullivan : si ce problème ne vous stressait pas, ne vous dérangeait pas, c'est-à-dire que si on éliminait ce stress et que cela restait un problème inspirant, que feriez-vous immédiatement ? Si cela vous ne stressait absolument pas, si vous n’aviez absolument pas ce souci de honte par rapport au fait de ne pas avoir l’argent, que feriez-vous ? Peut-être que vous appelleriez la banque pour voir si elle peut vous faire un prêt ? Peut-être que vous expliqueriez la situation à votre ami et lui demanderiez un délai supplémentaire, par exemple. En vous posant cette question, vous allez voir que ça ouvre énormément de portes, parce que souvent, lorsqu’on entre dans cette situation de problème qui nous stresse, qui nous dérange, ça va nous mettre dans un état de stress. La particularité de l’état de stress, c’est qu’on entre dans des ondes bêta dans lesquelles notre cerveau n’arrive qu’à reproduire des schémas connus. Il n’arrive plus à engager dans les zones de créativité pour arriver avec des solutions créatives. Donc finalement, en enlevant cette portion du stressant, en se posant la question « Si ce problème ne me dérangeait absolument pas, si je n’avais aucune attache émotionnelle avec, si j’étais un consultant ou un coach amené de l’extérieur, payé pour avoir une perspective de ce problème, qu'est-ce que je ferais immédiatement ? », cela va permettre de sortir de cette notion stressante, d’entrer dans un état beaucoup plus relax où là, on peut commencer à réutiliser notre cortex préfrontal et ces zones de créativité.  
Prenez du temps pour pratiquer ces 2 questions lorsque vous vous trouvez en face d’un problème : qu'est-ce qui vous stresse et vous dérange vraiment ds le problème, et ensuite si ce problème ne vous stressait pas, ne vous dérangeait pas, qu'est-ce que vous feriez immédiatement ?
Faites-moi savoir comment ça fonctionne pour vous dans les commentaires. Nous, on se retrouve la semaine prochaine pour une nouvelle vidéo. D’ici là, souvenez-vous : émerveillez-vous, aimez la vie et contribuez chaque jour un petit peu plus.
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