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16h03 Le 15 février 2021
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Ces deux photos représentent très bien ma quarantaine, puisque la marche que je prends pratiquement à chaque jour représente la seule sortie de ma maison. La première a été prise il y a environ 1 mois sur un petit pont qui traverse un ruisseau. Même si la photo n’est pas parfaite (il y a un peu de noir en haut à gauche), j’aime cette image par l’effet de profondeur qu’elle montre. La deuxième image a été prise il y a moins d’une semaine alors que je passais sur un autre pont qui traverse la rivière st-régis. Ce sont surtout les couleurs et la précision du dessin qui a accroché mon regard. La personne qui l’a dessiné a vraiment un immense talent.
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Titre : Une forêt dense dans un pot
Photographe: Marie Guillemette
Date : 11/04/2020
En cette période de confinement, j’ai du faire preuve d’imagination afin de pimenter ma prise de photo. J’ai dans ma cuisine un grand pot de romarin. J’ai donc décider de le prendre en photo, mais d’un angle de vue différent, soit très proche. J’aime beaucoup l’effet créé. En effet, l’angle de vue rapproché donne au petite tige de romarin l’allure de grands arbres à épine. Aussi, on perçoit nettement la perspective grâce à la positions des tiges. Aussi, l’extérieur est flouté, du à la courte profondeur de champ, laissant sa présence dans la photo faire son effet tout en maintenant l’attention sur les plantes.
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25/03/2021. 10h32. Hôpital Douglas
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10:40 a.m
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Ces photos ont toutes les deux été prises dans le centre-ville d’Albany, le 7 mars 2020. Ce qui me frappe dans ces photos est le contraste entre les deux. À seulement trois coins de rues de distance, on peut sentir une atmosphère totalement différente. Dan la première photo, les couleurs, l’absence de vie, le fait que la bâtisse soit centrée et le style plus ancien de cette dernière contribuent à créer un sentiment frôlant la nostalgie. Dans la deuxième photo, il est vrai que l’absence de vie est tout aussi présent, mais le tout tranche avec la modernité des bâtiments.
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Titre : La rue Sherbrooke déserte en ce samedi matin
Photographe : Marie Guillemette
Date: 11/04/2020
Il est rare de voir une rue aussi vivante que Sherbrooke déserte. En effet, il n’y pas un seul véhicule à l’horizon, signe de la quarantaine qui pèse sur la ville.
Plusieurs lignes de forces dans l’image, telles que les lignes sur la route, le trottoir, ou encore les lumières des lampadaires, dirige le regard vers le point de fuite de l’image.
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