Chiharu Shiota, Out of My Body, (leather, bronze), 2020 [© Chiharu Shiota]
Exhibition: Chiharu Shiota: 'Inner Universe', Galerie Templon, Paris, May 30 – July 25, 2020
Photo: Bertrand Huet, Tutti / Templon, Paris-Bruxelles
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Pierre et Gilles La promesse (Bogdan Romanovic), 2022 à la galerie Templon
alors que l’hiver glacial a pointé tôt son nez, je ne cesse de penser aux pauvres ukrainiens plongés dans le froid glacial et le noir, uniquement parce qu'un monstre, Poutine et sa petite clique de voyous s’obstinent à les martyriser pour conserver leur pouvoir
Ce salaud est vraiment un danger pour nos démocraties, comme le démontre remarquablement le documentaire d’Elsa Guiol “la fabrique du mensonge - au cœur de la propagande russe” visible sur france.tv
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WILL COTON à La Galerie Templon
À première vue, visiter une exposition de Will Cotton, c'est comme plonger dans une barbe à papa, ou dans la chocolaterie de Willy Wonka. Couleurs pastel, monde tout en rondeurs, licornes et couronnes de gâteaux...
C'est le paradis de tous les enfants. Mais en y regardant de plus près, on se rend compte que les apparences sont bien trompeuses.
Will Cotton s'amuse des clichés et des mythes américains, pour mieux les démonter et pointer du doigt les travers de la société. Les images et les messages s'opposent et se contredisent, et nos croyances sont remises en question.
L'artiste utilise la pop culture et les icônes du monde de la publicité pour mettre en scène ses sujets. Féminisme ou cowgirl provocante, luttes queer et égalitaires ou rôles traditionnels, port des armes, richesse et abondance...
Will Cotton met en parallèle les mondes d'hier et d'aujourd'hui, les fantasmes et les réalités qui entourent ce pays souvent idéalisé.
Une exposition pleine d'humour et de couleurs, agréable et en définitive perturbante.
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Will Cotton - The Cowboy, 2022
Oil on linen (137 x 183 cm)
Galerie Templon
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Gregory Crewdson - Reclining Woman on Bed 2013 Courtesy de l’artiste et de la Galerie Templon
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Alioune Diagne | Seede https://www.artlimited.net/agenda/alioune-diagne-seede-exposition-peinture-galerie-templon-beaucourg-paris/fr/7585659
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Angelina Jolie with Prune Nourry photoshoot in Galerie Templon for Serendipity Movie. Photographed by Charlotte Abramow, 2019
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Exposition "Chiharu Shiota : Memory Under the Skin" à la Galerie Templon, Paris, juillet 2023.
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Installation view of Chiharu Shiota, The Web Above Our Lives, 2023, thread and bronze. Courtesy of Galerie Templon.
Chiharu Shiota
Meditations on life, death, psyche, and space.
Detail of Chiharu Shiota, Connected to the Universe, 2022, watercolor and thread on paper, 22 × 30 inches. Courtesy of Galerie Templon.
Installation view of Chiharu Shiota, Human Rhizome, 2023, thread and book pages. Courtesy of Galerie Templon.
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Billie Zangewa, Cold shower, 2019. Photo by Jurie Potgieter. © Courtesy of Galerie Templon, Paris / Brussels.
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Fantastic opening of new work by 👏👏👏Ivan NAVARRO 👏👏👏last night @galerietemplon (at Galerie Templon) https://www.instagram.com/p/CkiyS5jO3SD/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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DESTINI INCROCIATI: DA VIA GREPPI A BEAUBOURG
Al Centre Pompidou di Parigi dal 18 novembre prossimo fino al 4 dicembre, nell’ambito del ciclo de La Cinémathèque du Documentaire à la Bpi (la Bpi è la Bibliothèque publique d’information) viene proiettato il film documentario “De part et d’autre”. Un film che parla di alberi (ma anche di relazioni). Gli alberi infatti comunicano attraverso ramificazioni, anche sotterranee e nascoste, una specie di sistema nervoso che ha molto a che vedere con quello umano. Il film è diretto da Matthieu Chatellier e montato da Daniela De Felice. I due non sono solo una coppia nel lavoro, ma anche nella vita e la loro produzione filmica è ormai corposa. Si tratta di film documentari per chi ama la riflessione su tematiche sociali e politiche, ma non solo. Vorrei ricordare “(G)rêve Général(e)” del 2007 sull’occupazione sull’occupazione studentesca dell’Università di Caen, “La Mécanique des corps” del 2016, documentario sulla costruzione e l’adattamento al corpo di un arto artificiale, lo struggente “Ardenza” del 2022, film su dolore e nostalgia, modellato sulle vicende personali e famigliari di Daniela De Felice. Vorrei ricordare anche “Mille fois recommencer” magnifico film sulla scultura e sulla materia scultorea del 2020, “Doux amer” (2011), racconto di una malattia feroce. Vicino al Centre Pompidou, dietro al “Quartier de l’Horologe”, al numero 30 di Rue Beaubourg, ecco la “Galerie Daniel Templon”, una delle storiche gallerie d’arte parigine che in queste settimane propone “Paysages insomniaques” di Philippe Cognée, raffinato pittore contemporaneo francese (nato a Nantes nel 1957), che lavora principalmente con la cera fusa e frantumata che crea un effetto spaesante per i suoi soggetti prettamente urbani. La Galerie Templon fu fondata da Daniel Templon negli anni Settanta e si caratterizzò subito per la capacità di ospitare artisti già affermati e numerosi giovani artisti dell’epoca. Per buttare lì qualche nome: Daniel Buren, Arman, Jean-Miche Basquiat, Jim Dine, Willem de Kooning, Roy Lichtenstein, Robert Rauschenberg, Julian Schnabel, Richard Serra, Fran Stella, Andy Warhol. La direttrice della Galerie Daniel Templon di Rue Beaubourg è attualmente Gloria Sensi, già consulente di un altro tempio sacro del mondo artistico parigino e internazionale, come la Galerie Perrotin. Daniela De Felice e Gloria Sensi, due giovani donne ormai affermate hanno qualcosa in comune, ma non lo sanno. Oltre ad essere italiane, oltre ad essere nel mondo delle arti visive e oltre a vivere ed operare a Parigi (Daniela in realtà vive a Caen, ma lavora nella capitale), Daniela e Gloria si sono formate, in anni diversi, in quella scuola spesso considerata dei “brutti, sporchi e cattivi” che è stato il liceo artistico di Novara, dove le ho conosciute da adolescenti. A dire la verità hanno in comune anche il fatto di essere nate e cresciute nel magentino, ed anche questo ho dovuto ricordarglielo io. Chissà che Daniela e Gloria diventino amiche, il finale della storia lo richiederebbe…
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CHIHARU SHIOTA à la Galerie Templon
L'artiste japonaise née à Osaka en 1972, et travaillant à Berlin depuis 1996, a représenté le Japon à la Biennale de Venise en 2005.
En 2017, elle illumine le Bon Marché, où ses milliers de mètres de fils blancs, comme des nuages en suspension créent l'évènement.
Elle revient aujourd'hui à la Galerie Templon, avec des fils plus sanguins et blessants que jamais, mais pas seulement. Les fils noirs tendus vers la mort traversent l'espace et le temps avec une précision inquiétante.
Interrogeant les notions d’existence et de transcendance qui se cachent derrière chacun de nos artifices, l'artiste dit la blessure, la guérison, elle parle de ce qui se cache pour mieux se dévoiler.
Dans ce parcours envoûtant aux lignes arachnéennes, la plasticienne superstar revient aussi à l’un de ses thèmes de prédilection : le vêtement comme seconde peau, symptomatique des êtres que nous sommes et du souvenir que nous laissons après notre disparition.
L’artiste va cette année plus loin encore en proposant une spectaculaire installation tissée in situ ainsi qu’un ensemble de sculptures de fils de métal dorés subtilement figuratives, questionnant l’interdépendance des consciences entre l’homme et le vêtement.
À leurs côtés, des moulages en bronze des mains de son époux et de sa fille, des membres orphelins qui constituent l’ultime testament d’une icône de l’art contemporain.
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Chiharu Shiota - Counting Memories, 2019
Wooden desks, chairs, paper, black wool.
Muzeum Śląskie w Katowicach, Katowice, Poland
Galerie Templon
❝ Nous voyons maintenant que l’abîme de l’Histoire est assez grand pour tout le monde. Nous sentons qu’une civilisation a la même fragilité qu’une vie. ❞
— Paul Valéry, La Crise de l’esprit (1919)
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Chiharu Shiota, Sleeping is like death, 2016, installation, Galerie Daniel Templon
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