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#dérobée
vhscorp · 8 months
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Quand on regarde à la dérobée les gens s’embrasser, peut-être est-on plus envieux que curieux ; et oui, l’amour, ça fait toujours envie…
V. H. SCORP
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lithi · 1 month
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Having… Hernani thoughts
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fucknewsfrance · 12 days
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Trois kilomètres de câbles internet et téléphone dérobés dans la #Somme. Les enquêteurs ont perdu le fil de l’#affaire.
Toutes nos fucknews sont tirées de faits réels
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#vol #justice #humour #mardi #police #internet
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euroskum · 6 months
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Library in Paris Inspiration for a sizable contemporary open concept family room library remodel with gray walls and a wall-mounted tv. The floors are beige and the walls are light wood.
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pseudxcode · 9 months
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Open in Paris Large contemporary open concept family room library idea with gray walls and a wall-mounted tv
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makestrongminds · 9 months
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Paris Wallpaper Bedroom
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An illustration of a medium-sized modern guest bedroom with blue walls, a fireplace, a light wood floor, and wallpaper.
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coovieilledentelle · 23 days
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Je fais tout ce que je peux pour que mon amour ne te dérange pas. Je te regarde à la dérobée. Je te souris quand tu ne me vois pas. Je mets mon regard et mon âme partout où je voudrais mettre mes baisers : dans tes cheveux, sur ton front, sur tes yeux, sur tes lèvres.
Juliette Drouet à Victor Hugo
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felicionados · 6 months
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TOUTE L'ESPÈCE HUMAINES COMPORTE DES SOUCHES DE RACE DÉPENDANT DE LA PIGMENTATION DE LA PEAU TOUT LE MONDE NOIR COMME BLANC ET LE RESTANT AUSSI ONT LA PAUME DE LA MAIN ROSE LE GLAND ROSE LA LANGUE ROSE ... COMME EXEMPLE ET ON QUALIFIE DE RACE HUMAINE CETTE SOUCHE DE PIGMENTATION.... EXCEPTÉ JUSTE LES ISRAÉLITES ALORS EUX C'EST L'ANTISÉMITISME AU LIEU DU RACISME... LES SEULS QUI SONT DANS LEUR DROIT DE REQUALIFIÉ LES AUTRES RACES.... ALORS QU'EN DAGUESTAN SUD DE LA RUSSIE DANS LE CAUCASE LES GENS CHERCHENT LES JUIFS POUR LEUR FAIRE LA PEAU ... ILS SE CHERCHENT UN MOBILE POUR REVENIR AU COMMENCEMENT DU MONDE 🧐 ! D'ABORD IL N'Y AVAIT HYAVE PAS DE DIEU AU DESSUS DE LEUR TÊTE C'EST SALOMON VI OU IV QUI AVAIT SUBI L'ASSAUT DE SAHLADIN APRÈS LA MORT INUTILE DE SA SŒUR... TOUS LE MONDE VIVAIT EN PAIX AVANT D'AFFRONTER LES PERSES.... GOLF PERSIQUE 🤫 ! ILS LES DERNIERS JUIFS SE SONT RETROUVÉS ASSOIFFÉS DANS LE DÉSERT ET PORTANT LA CROIX DE JÉRUSALEM... OU IBALIAN DÉFENDANT LE FORT DE JÉRUSALEM A OBTENU LE SAUF CONDUIT DE LA PART DE SAHLADIN ET REVENUS 3 ANS APRÈS AVEC SYBILLE LA SŒUR DE SALOMON POUR REMPORTER UNE BATAILLE DE PLUS.'. L'HISTOIRE DES CROISADES EST ENCORE D'ACTUALITÉ AUJOURD'HUI ALORS QUE CES JUIFS NE SONT PLUS A LA TÊTE DU MONDE _ÉTATS AMÉRICAIN BIEN QU'ILS LEUR ONT DÉROBÉ 2 BILLION DE $ SOIT 2.000 MILLIARDS DE $ DISLOQUÉ EN 3 BANKS ISRAÉLIENNE 😇
CETTE FOIS C'EST LA FIN DES HARRY CO 👑LES RATKA SONT CUITES 💔
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coolvieilledentelle · 6 months
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Quelques paroles à échanger, une main qui veut bien s'ouvrir, un clin d’œil à la dérobée, la complicité d'un sourire, chaque jour, de menus plaisirs, dont il faut savoir profiter.
V. H. SCORP-
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"Harmonie"
D'abord je la regarde, un peu à la dérobée.
J'en profite, à chaque fois qu'elle me tourne le dos.
Je contemple ces quelques centimètres de peau, là, juste sous les cheveux, ces quelques centimètres que j'aime tant.
Même assis dans mon fauteuil, à la regarder ainsi (Dieu, qu'elle est belle!) je m'imagine déjà l'embrasser à cet endroit précis. Si je cédais à ma pulsion, je foncerais sur elle, quitte à la bousculer, je la renverserais au sol, avec autant de douceur que de désir, pour dévorer sa nuque de baisers.
Mais non, je m'impose à moi-même de me lever doucement, de marcher, à pas lents, vers elle. Perdue dans ses pensées ou peut être complice, elle semble m'attendre, me tournant toujours le dos, la tête légèrement penchée en avant.
Ma main effleure sa peau, soulevant avec délicatesse quelques mèches blondes. Je ne sais pas lequel de nous deux est le plus fragile, à cet instant précis. Mes lèvres, encore suspendues à quelques millimètres de son épiderme, franchissent ce peu de désert, avec tendresse. Sans nous voir, nous fermons les yeux, perdus ensemble dans la douceur du baiser.
Ses doigts heurtent les touches du piano, s'y appuient, provoquant des notes issues du désir. Mes lèvres, ma langue, s'appliquent à d'autres arpèges sur sa nuque. Harmonie, chacun dans son langage.
Ma main libre passe au devant de son corps, enserre le plein d'un sein. Elle y pose sa propre main libre, et nous restons ainsi prisonniers consentants l'un de l'autre.
L'instant s'échappe, après avoir été savouré pleinement. Lèvres et peau, après s'être abandonnés l'un à l'autre, se séparent, non sans regret. Je passe mes bras sur sa poitrine et sa taille, l'enserre. Elle pose sa tête sur mon épaule, s'y frotte doucement.
Parfois nous cédons à la gourmandise l'un de l'autre.
Parfois des instants comme cela nous suffisent.
Je la respire, me perds dans son parfum.
Elle me sourit.
Nos corps se disjoignent, et nos mains traînent sur nos bras respectifs, se disent au revoir en dernier, jusqu'aux prochaines retrouvailles.
Lucas Heller
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orageusealizarine · 24 days
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mais ton être ! jusqu'à la nausée - m'offrir au Ciel - et non pas sacrifice mais don pur - pour quel dieu, quel démon qui te visite encore en mon Absence pas d'illumination - le Sacre - à reculons, et pourtant plus que l'aumône, et dans l'honneur retrouver mes supplications pour en finir - adressées - à qui ? et plus suave que l'horreur, plus rouge, plus éblouissant - (aveuglement) - que tes rites, tes adorations - à la Nuit - je me rends, je m'abolis : pour quelle explosion ? et plus loin encore - si dans cet acte tu sentais ma fièvre - amoureuse, divine - un plaisir insoluble dont ni toi ni moi n'avons la clé - seulement des fragments qui te troublent, t'hallucinent, te… - seulement ces morceaux et ces écarts et cette folie que tu poursuis, avide, de tes baisers, tes étreintes - insaisissable fuite (insaisissable faute) - jouissance dérobée, chausse-trappe, éternité qui recommence et recommence et - pour quelle fin ? et pourtant, moi, je reste. sans contrepartie, sans violence, sans dérobade, une générosité que j'aurais voulu incroyable, interminable. intenable ? que tu retiennes encore dans tes mains crispées le Mystère entrouvert, à demi révélé, à demi résolu - et, quand, nos doigts écarquillés, nous ne retrouvons plus l'aurore, ce corps qu'on a serré dans la dissolution, qu'on ne reconnaît plus nos raisons évaporées Fulgurations - mais, non ! je ne manque rien et ta chair se souvient - si tu me laissais faire - anamnèse - du bout des lèvres aux tréfonds de ma voix. je ne te disparaitrais pas.
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vhscorp · 10 months
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Un regard à la dérobée n’est pas forcément malintentionné, ce peut être pour ne pas gêner, ne pas déranger ou pour ne pas trop montrer qu’on est attiré…
V. H. SCORP
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putainsoumise · 10 months
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LA PUTAIN SOUMISE DANS UN BAR A PUTES A PIGALE
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LA PUTAIN SOUMISE DANS UN BAR A PUTES A PIGALE
Pour la première fois ma Maîtresse a décidé de vérifier mes capacités en public... en m'emmenant dans un bar à putes à pigale
Apres m'avoir administré plusieurs lavements Elle m'a fait porter ses dessous préférés style wetlook noirs... bas à coutures... guépière porte jarretelles... des escarpins à hauts talons... une perruque cheveux longs blonde... un colier de cuir... cage pour le sexe
Pour partir je suis habillé en tenue civile masculine rien que de plus classique jeans chemise veste sur mes dessous de pute
Arrivés sur place nous traversons la salle du bar devant une faune hétéroclite d'hommes et de femmes qui nous regardent traverser la salle du bar pour nous diriger vers une pièce dérobée.
A peine entrés dans la pièce ma Maitresse me demande de retirer mes fringues "civiles" puis me fait enfiler les escarpins... la perruque... et me maquille de façon très hard et outrageusement provoquante... Une fois apprêtée elle attache une laisse au collier et m'entraine dans la salle... je suis à la fois émoustillée et inquiète de ce qu'il risque de m'arriver... surtout habillée comme je le suis... ma tenue ne prêtant pas à équivoque
Nous passons le long des tables devant tout le monde ce qui permet aux clients de me palper... me pétrir... ou de me claquer les fesses au passage. Après cette déambulation Elle me fait m'assoir sur les cuisses au bar sur un haut tabouret le cul dépassant largement pour être facilement accessible. Si quelques personnes avaient un doute sur les velléités, ces dernières tombent rapidement pour laisser place au désir de me baiser. Assise au bar, les jambes décroisées pour dévoiler mes bas couture, une bouche bien rouge pour attirer les queues Elle me claque les fesses et demande à l'assistance si quelqu'un serait intéresse pour s'occuper de moi....
Aussitôt un male se présente... me claque plusieurs fois les fesses, il enfile rapidement un préservatif puis commence a se frotter sur ma raie pour bander et sans autre préparation me pénètre brutalement avec des vas et viens profonds... le tabouret ne va pas résister longtemps si cela continue comme ca
Ma Maitresse décide de me faire descendre de mon perchoir afin d'être plus disponible et ouverte. Une fois descendue du tabouret Elle me promène en laisse dans le bar. Devant le comptoir et m'ordonne de mettre les mains sur la tête et d'écarter les jambes pour que l'on puisse admirer mes cuisses gainées des bas noirs. Une cordelette me lie les couilles sur laquelle Elle tire pour que tout le monde m'entende gémir.
Autour de nous commence à se former un petit attroupement. Une femme qui était assise à une table s'avance, se place derrière moi, me presse les seins et commence à me travailler les tétons... Elle les pince sévèrement et les étirent me provoquant une douleur difficilement supportable. Elle repasse devant moi le slape les seins puis enfile un gant latex et doigte ma chate anale vigoureusement en m'insultant de tous les noms correspondant à ma tenue. Ma Maitresse lui tend le lien qui enserrent mon sexe et mes couilles La femme tire fermement par petits coups qui m'arrachent des plaintes. Elle lui conseille de tirer plus fermement mais pour éviter la douleur je me rapproche de la femme. Ma Maitresse m'immobilise pour que la femme puisse satisfaire ses désirs de douleur par la tension de la corde. Tous dans le bar les clients sont unanimes et me considèrent maintenant comme une bonne pute à baiser.
Ma Maitresse reprend la main en me tirant par le collier. Elle me plaque contre une table, vautrée sur cette dernière... bien cambrée le cul en l'air avec toujours les couilles liées. Elle propose des préservatifs et des gants pour que chacun puisse fouiller mon trou de pute afin que je sente bien les doigts forcer mon orifice de salope. Plusieurs personnes s'y exercent vigoureusement et me dilatent peu à peu. Une main est entrée presque entièrement dans ma chate anale pendant que la femme continue à me tirer sur les couilles. Fermement tenue, des mains me plaquent et m'aplatissent sur la table. Immobilisée et le cul ouvert, me voilà totalement soumise et offerte à la débauche des plus pervers.
Ma Maitresse applique du gel sur mon trou à bites et propose à qui le veut de venir me défoncer la rondelle. Je suis maintenue sur la table afin que je ne puisse pas bouger. Ma Maitresse indique à l'assemblée que chacun n'aura que 3 minutes afin qu'un maximum de personnes puissent s'occuper et abuser de moi. Aussitôt le défile de queues commence à aller et venir au fond de ma chatte pendant que l'on me traite de chienne... de pute... et de salope. Ca glisse plutôt très bien au fond de moi mais je m'angoisse voyant le nombre de prétendants à la baise.
Ma Maitresse propose qu'un des baiseurs s'offre une petite pipe dans ma bouche. Bien sur plusieurs pantalons tombent. Une belle bite se pose sur ma bouche qui s'ouvre pour accueillir ce sexe qui va aller et venir dans ma gorge. Pendant ce temps le défilé des queues qui continue à me dilater et à me baiser sauvagement. Une femme arrive devant moi... relève sa jupe me prend la tête à deux mains et la plaque sur sa chatte pour se faire lécher pendant que des bourrins continuent de me défoncer vigoureusement. Mais la position ne lui convenant pas elle demande à ma Maitresse de m'allonger sur le dos. Ce que je fais immédiatement... La femme monte à genoux sur la table et applique sa chatte sur ma bouche et commence à se frotter... puis elle me demande de la pénétrer avec ma langue pendant que dans le même temps elle me travaille fermement les tétons... ce qui l'excite encore plus et la fait se frotter plus fortement. Pendant ce temps des queues se glissent dans mes mains pour se faire branler... La femme continue à se frotter jusqu'à en jouir. Une fois redescendue de la table... Elle me fourre sa langue dans la bouche en tournant longuement puis se retire y enfourne 3 doigts et me dit que je suis vraiment une bonne chiennasse.
C'est à ce moment la que j'ai vu arriver un black musclé comme pas deux... et avec une queue effrayante qui lui descend jusqu'au genoux... Il me remonte les jambes sur ses épaules puis commence à claquer sa queue sur ma chatte... Je suis effrayé voyant la taille de son sexe qu'il a beaucoup de mal à faire bander... Il la prend à deux mains... présente son gland sur mon trou et force l'entrée... je la sens s'enfoncer en moi de plus en plus... Un vrai serpent qui glisse et me pénètre au plus profond de mon ventre... La douleur est incommensurable... Sans se préoccuper de mes plaintes il s'agrippe à mes hanche et fait de long et profond vas et viens... Je n'ai jamais rien ressenti de pareille une grosseur énorme et qui aille autant en profondeur... avec une douleur et un plaisir jamais ressentis
Quelques temps plus tard deux hommes viennent glisser un mot a ma Maitresse qui répond favorablement à leur demande....
Elle me relève de la table et me traine vers une banquette ou l'un des deux hommes s'est allongé sur le dos. Elle me demande de me mettre à quatre pattes sur lui... A peine ai je pris cette position qu'il m'enfile et commence à me baiser vigoureusement... Après quelques minutes il s'arrête... et quelle ne fut pas ma surprise de sentir une autre présence derrière moi... Une deuxième queue se présente... insiste... force et entre sauvagement dans ma chatte anale.. Je lâche un cri de douleur ce qui fait bien rire l'assistance qui encourage les deux baiseurs a me défoncer encore plus fort
Apres plus d'une heure de ces traitements intensifs ma Maitresse décide de mettre fin à la séance laissant bon nombre de frustrés qui n'ont pas eu le loisir de me prendre. Elle les rassure en leur disant que nous reviendrons prochainement.
Cette expérience aussi troublante qu'intensive se répètera à plusieurs reprises mais l'émotion les fois suivantes était différente et moins intense bien que j'ai aimé et j'aime toujours n'être qu'un objet de plaisir une esclave sexuelle offerte totalement soumise et passive et qui n'a que le seul choix de subir sans jamais rechiner
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ivo-oz · 30 days
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❄❄❄
🄲🄾🄻🄳 🄷🅄🄶
『𝙿̷𝚊̷𝚛̷𝚝̷𝚒̷𝚎̷ 𝟸̷ 』
Le son grinçant des volets brisés par le vent me sort de mon sommeil glacé.
J'ai. . . froid.
Ainsi sont les mots qui me viennent chaque matin. Et ça bien avant d'avoir trouvé cette maison
Mademoiselle espace vital prend le malheureux plaisir me servir de réveil en me volant ponctuellement de la chaleur corporelle.
Cependant, aujourd'hui, j'ai beau avoir froid, ce n'est pas comme d'habitude. Elle n'est pas là, toujours pas là.
Deux jours déjà, seulement deux jours et le dégoût d'une routine de silence s'installe dans mes pensées. Deux jours sans qu'elle me dérange, deux jours sans ses interminables tirades, deux jours de vide.
L'ennuie et la curiosité me semble être de bonnes raisons pour résoudre la question de son absence.
Enfin motivée, je sors de la cave pour traverser le couloir transpercé de planches tombé du plafond et des murs. Le vent souffle et siffle entre les pièces et les lattes du plancher. La cave a beau être un frigo, au moins elle m'épargne du chant des nuages.
Les trous et les fissures jonchent les murs et les sol, mais le peu d'endroits où le vent ne s'engouffrent pas entièrement rend cette passoire préférable à la forêt.
Aussi tôt sorti de ma demeure, je me réengouffre dans l'épaisse forêt.
Perdre une journée alors que j'aurai pu me reposer après cette dure semaine de chasse. Elle ne se soucie même pas m'aider pour ça. Pourquoi ne voit-elle pas à quel point je travaille, que son absence est une meilleure compagnie que sa personne, que plus je la vois, moins j'ai envie de . . . . . Non, mais je vais rire
Et maintenant que je me suis habitué à cette nuisance, elle décide de disparaître.
Quelle hideuse ironie : en route pour chercher l'objet mes tourments, esclave de cette putain d'accoutumance.
Au détour d'un arbre, je la trouve adossée au tronc.
Quelle idiote elle do...
Immobile
Le dos de ces mains allongé sur le sol.
Couché sur le lit blanc de la forêt devenue boueux et rougeâtre.
Défigurée, la gorge et les côtes exposées au ciel.
Ce n'est plus qu'un corps inerte, il est réellement mort.
Mes jambes se retrouvent immobilisé par la dureté de cette image.
Son visage saccagé, ses yeux dérobés de vie
Elle n'est plus rien à présent, non si ça trouve, elle ne l'a jamais été et je suis juste confronté au mensonge de mon imagination.
Réminiscence, fantôme ou hallucination. J'aurais préféré ne jamais m'en rendre compte.
Que ce soit réelle ou dans ma tête son existence s'est éteinte.
Mes jambes rendant ma fuite impossible, mon dos glissa le long de l'arbre sur lequel elle est adossée.
Mes larmes se mêlent à la neige et au sang.
Faut croire que l'empathie ne m'a pas entièrement quitté.
Une voie hystérique transperce la forêt. Pourquoi crier ? Mes pleurs se fondent dans le sifflement du vent.
Wow qu'est que je suis pathétique, obligé de s'inventer de la compagnie pour plus sentir seul. Haha, je fais quoi maintenant, je n'ai plus rien maintenant.
- . . .
— hin ?
Un son, quelque chose émet de quelque part. Mes yeux balais la forêt.
- . . . .
Étant plus attentif, ma tête pivote vers l'origine du bruit, son cadavre. Je ne sais par quel miracle c'est possible, sa mâchoire tremble légèrement.
— tu . . . es encore en vie
- . . . onjour . . .
— Bonjour ? Bonjour ! T'es vivante !
- . . . .
— Fatigué ? Est-ce que je peux te soigner ? S'il te plaît dis-moi ce que je peux faire.
- . . . heuhin . . .
— quoi
- guehin
— Demain ? Hé répond ! demain ?
J'agrippe sa main désespérément
- . . . ouuuui . . .
— Mais non, je ne peux pas te laisser comme ça, tu tu ...tu ...
Apercevant sa mâchoire bougée de nouveau, j'approchai ma tête de son visage, ignorant l'état de celui-ci.
"Laisse. Attend demain" dit-elle.
Je ne sais que faire. Dois-je la prendre avec moi ? Ou je risquerai d'aggraver son état.
Sa voie était déformée par les multiples mutilations que contenaient sa gorge et sa mâchoire.
Sa main froide transperce la mienne. Je ne sens plus mes doigts, mais je sens de sa présence. Cette froideur unique, associable qu'avec un seul corps, une seule personne. La température qui me convient, celle que je ne veux plus perdre.
S'il te plaît parle-moi encore.
SUITE (un jour. . . peut-être) PRÉCÉDENT
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raisongardee · 4 months
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"Il vous trouve en son intime stupide à dévorer du foin de n'avoir encore rien compris. Et plus vous lui donnerez des preuves de bienveillance, d'amitié, et plus il se méfiera, forcément... A chaque seconde, il se demande si ça va durer toujours… Il aime pas beaucoup vous regarder en face. Plutôt il vous bigle de travers, à la dérobée, comme on observe les cocus, de biais, vaquer à leurs petites affaires, encore pas inquiets du tout, encore très loin des orages…"
Louis-Ferdinand Céline, L’école des cadavres, 1938.
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lacephale · 4 months
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Toshio Saeki 佐伯俊男
Estampes (1982-1987)
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L'univers sulfureux de Saeki est utéro-centré. Tout gravite autour de cet œil cyclopéen qui est à la fois matrice, grotte effrayante, refuge, source de jouissance et boîte de Pandore. Chacune de ses œuvres constituent autant de seuils et de passages dérobés menant directement de l'état de veille à l'état de rêve ou de cauchemar, via l'art du trait." (D. Rosenberg)
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Weirdo magazine - Robert Crumb (1977)
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En 1981, au milieu d’un mouvement sismique vers la droite dans le pays, Robert Crumb a répondu en libérant le sauvagement irrévérencieux et satirique Weirdo sur la grande multitude, et il a généreusement accueilli dans ses pages non seulement ses cohortes souterraines ZAP Comix, mais aussi une toute nouvelle génération de dessinateurs iconoclastes.
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