Tumgik
#cours intérieure
memorabilia-memoria · 3 months
Text
Tumblr media
Paris 18, février 2024
9 notes · View notes
jarrimimram · 2 years
Text
Tumblr media
20210831_L1030277
63 notes · View notes
theodoreangelos · 5 months
Text
Tumblr media Tumblr media
Inner courtyard of the Salzburg Priests’ Seminary Innenhof des Priesterseminars Salzburg Внутренний двор Зальцбургской Духовной семинарии La cour intérieure du Grand Séminaire de Salzbourg Dreifaltigkeitsgasse 14, 5020 Salzburg, Austria Gästehaus im Priesterseminar Salzburg
3 notes · View notes
energiologue · 17 days
Text
DE GRANDES CHOSES SE PASSENT SUR TERRE EN CE MOMENT
. . VOUS POUVEZ ENTENDRE CE TEXTE EN CLIQUANT SUR LE LIEN CI-DESSUS . “Nous sommes le Conseil Andromédien de la Lumière et nous sommes très heureux de nous connecter avec vous. C’est un moment opportun pour vous tous de considérer ce qui se passe à cause de vous et ce qui se passe à cause de ce qui se passe à l’extérieur. Vous avez tendance à donner plus de pouvoir à ce qui se passe à…
Tumblr media
View On WordPress
0 notes
gacougnol · 6 months
Text
Tumblr media
Albert Cayeux
Intérieur d'une cour, 4 rue de Fourcy
Paris 4ème, 1941 — 1943
57 notes · View notes
ernestinee · 4 months
Text
J'ai échoué.
Une enfance à être sage comme une image, dessiner, lire, étudier, me tenir droite.
Apprendre vite, jamais malade, intéressée, calme au restaurant, me tenir droite, bien droite sur ma chaise, les couverts bien en main, finir mon steak.
Dessiner, colorier, lire, apprendre, bien parler, bien articuler, être polie, soigner mon vocabulaire, être calme, méticuleuse, attentive, arrêter d'être dans la lune. Finir mon assiette même si c'est froid. Me dépêcher.
Arrêter de parler aux animaux, aux fleurs, aux arbres, au ruisseau, arrêter de contempler, arrêter de ramasser des cailloux, des plumes, des coquilles d'escargots, me laver les mains, bien frotter les ongles, me concentrer, me tenir droite, être sage.
Et m'évader parfois, écouter le chuchotement des arbres avec mon grand-père, m'enivrer de l'odeur de ses tomates, mettre une framboise sur chaque doigt, éclater les grosses groseilles blanches entre la langue et le palais, grimper sur le tas de bois avec le coq de la basse-cour et lui raconter ma journée pendant qu'il s'endort sur mes genoux, lire sur une grosse branche, m'endormir dans le poulailler.
Une adolescence à étudier, être bien, savoir bien, expliquer calmement, ne pas crier, pas d'éclat, pas claquer les portes, bien manger, être cartésienne, logique, marcher droit, avancer, me décider, comprendre la politique, connaître l'histoire, m'intéresser à tout pour pouvoir tenir une conversation, étudier beaucoup. Vite et beaucoup.
J'ai passé des années à tenter d'entrer dans le moule prévu pour moi, mais j'ai été régulièrement ramenée à ma propre réalité, comme si un élastique m'empêchait de trop m'éloigner de mon enfant intérieur. Je me suis conformée à ce qu'on attendait de moi, avec parfois quelques éclats plutôt salutaires pour la plupart.
J'ai aiguisé mon libre arbitre sur le tard, une fois lancée dans cette vie que j'ai déjà qualifiée de tunnel, et voilà seulement quelques années que l'enfant intérieur parle plus fort que l'adulte. Il hurle parfois, il me hurle dessus quand je suis trop organisée. Trop rapide, trop concentrée, trop absente de ma vie. J'ai décidé de vivre slow et d'embarquer ma famille là dedans, de réduire presque à néant ma consommation de viande, d'être lente et contemplative sans que ça ne soit péjoratif, d'écouter davantage la nature et ma nature.
Des années à me conformer et avant-hier je parlais à ma mère de l'un de ses voisins, "il est bizarre" me dit-elle "tu t'entendrais bien avec lui". Je questionne d'un regard. "Beh t'es un peu bizarre, comme adulte"
Victoire, j'ai échoué !
Tumblr media
46 notes · View notes
homomenhommes · 2 months
Text
saga: SOUMISSION / DOMINATION 105
Dimanche
Après un jogging et une bonne douche, je pars chercher Charles- Edouard.
Tout le trajet en moto je lui cherche un diminutif, son prénom est trop long !! Charly, bof, je pense plutôt l'appeler Ed. C'est court et suffisant.
Je sonne à la porte, le petit frère ouvre, Ed en plus jeune. Il me salut très poliment et appelle son frère. Ce dernier dévale l'escalier et passe la porte en prévenant le ptit frère qu'il ne rentrera que ce soir. Je lui tend un casque. Il le pose sur sa tête. Je lui demande si il est déjà monté en passager moto. A sa réponse négative, je lui explique les règles de base. Bien s'accrocher au pilote, en cas de freinage, poser ses mains sur le réservoir et appuyer dessus pour éviter d'écraser le pilote (vu son poids, même avec l'effet freinage, il ne risque pas de me pousser jusqu'à ce que je m'écrase les couilles sur le réservoir !), se pencher dans le même sens que moi, autrement c'est le tout droit assuré !
La selle passager de ma Ducat est toute petite et il doit s'accrocher fortement à moi. Une fois ses bras autour de ma taille, je lui prends les mains pour les placer sur mon paquet. Il comprend vite et s'accroche fermement. Je bande, ça lui facilite l'ancrage !
Nous retournons à la maison. Je ne peux m'empêcher de frimer un peu et sur quelques passages pousse ma machine dans les tours.
A l'arrivée, après l'enthousiasme de la balade, il devient tout timide à l'entrée de la maison. Je le pousse dans le dos et nous franchissons le seuil. Du salon nous parviennent les voix de Marc et Eric. Je quitte ma combi et reste en shorty + Tshirt, Ed défait son blouson. Je lui demande si il et toujours partant pour de la baise hors normes. Il me répond d'un petit " oui ".
Nous pénétrons dans le salon. Marc et Eric sont encore en peignoirs dans les canapés (ils viennent de remonter d'une séance de muscu). Je présente Ed. Deux paires d'yeux le déshabillent. Il n'en mène pas large et quand Marc lui demande de se tourner, il obéit sans sourciller. Marc me demande alors de le préparer. Je sais ce qu'il sous entend par là, douche, épilation, lavement... Nous descendons au sous sol. Comme pour tous, la salle de muscu l'impressionne tout comme les sanitaires façon salle de sport. Je me mets nu et lui demande de se déshabiller. Je l'aide un peu. Il est imberbe naturellement et les seuls poils en trop sont sous ses aisselles, autour de sa bite et un peu sur les mollets. je le préviens que nous allons retirer tout ça. Crème épilatoire partout et 10mn plus tard l'eau de la douche se charge de la lui retirer. Je vérifie en passant ma main, il est lisse comme un bébé.
J'approche la canule en inox et lui explique le principe : remplissage, vidange, remplissage, vidange jusqu'à ce que l'eau sorte propre. Un peu de gel sur son anus et j'enfile la canule. Eau tiède, petit débit. Il me demande d'arrêter et cours sur le siège des wc. Au troisième lavage, il est tout propre, intérieur comme extérieur. Je lui fait mettre un jock strap (j'en ai fait acheté une bonne douzaine de taille S sur Internet). En noir, ça souligne l'extrême blancheur de sa peau et encadre ses petites fesses de façon très suggestive. Je le remonte aux mâles. Il a la courtoisie de rougir quand je le pousse devant les yeux des deux Hommes, ça lui va bien ce rose aux joues. Marc demande à ce qu'il se plante devant eux et tourne doucement. Quand il leur présente le dos, Marc demande à ce qu'il se penche en avant et qu'il écarte les fesses avec ses mains. Ed jette un regard vers moi, de la tête je lui fais signe d'obéir. Il se penche donc et dévoile son petit trou. Marc passe sa main et vérifie l'absence de poil. L'anneau frémit sous sa caresse. Marc me dit que j'ai l'air d'avoir trouvé une deuxième salope. En attendant, j'observe que deux mats sont en train de soulever le tissus éponge des peignoirs. Je demande à Ed de se retourner. Comme moi il remarque la chose. Je lui dis d'y aller.
Timidement, il s'approche de Marc et s'agenouille, écartant ses cuisses. Le mouvement ouvre le peignoir et découvre le manche de mon mec. Ed me jette un regard, d'un coup de menton, je l'engage à continuer. Il se penche doucement et pose ses lèvres sur le gland. Très très lentement, il ouvre la bouche et descend sur le pieu. Il ne le sait pas mais sa façon de faire est extrêmement excitante. Il en avale 12/13cm avant que ça butte contre sa glotte. Il commence alors un va et vient. Je surveille, je devine sa langue tourner autour du gland aux mouvements qui agitent ;ses joues, il salive bien et Marc me dit que la pipe est bonne à défaut d'être profonde. Il va falloir lui apprendre rapidement. Eric réclame son attention. Quand il a sous les yeux la " bête ", il s'effraye je le rassure et il commence avec appréhension par sucer le gland. C'est vrai que déjà il à presque la bouche pleine ! Eric pose ses mains sur la tête blonde et pousse régulièrement et un peu plus chaque fois. Ed émet quelques sons, protestations ? Appréciation ? Pas facile à dire car ils nous parviennent très déformés par le gland violet qu'Eric lui maintient dans la bouche. Quand Eric relâche la pression, Ed se dégage pour nous dire combien c'est bon. Ouf !
Il ré attaque la queue de Marc. Avec plus de facilité cette fois, il en avale beaucoup plus sans s'étrangler. Je me place derrière lui et le fait passer à 4 pattes pour pouvoir lui bouffer le cul. C'est la première fois pour lui et ça lui fait de l'effet. Il se tortille au bout de ma langue. Je sens doucement s'ouvrir son oeillet sous l'effet de mon léchage. Je change alors de braquet et pointe la langue pour la faire pénétrer. Elle se faufile et j'arrive à lui saliver dedans. Comme je suis le premier à l'avoir enculé et que la seule fois où il à fait l'amour c'était avec la mère de Jean et sous kpote, je décide de l'enculer à cru. Une bonne couche de gel et progressivement 3 doigts dans le cul pour l'étaler et le préparer. Je m'enfonce dans son cul de presque puceau. Pour entrer les derniers cm, je suis encore obligé de lui faire sniffer du poppers. Comme la première fois l'effet est immédiat. Reculant de lui même pour s'enculer plus fermement sur ma bite, avalant plus profondément, jusqu'à poser son menton sur les couilles de Marc, il se déchaîne. Après quelques 10 minutes, Marc me demande de le lui donner. Je décule, le fait pivoter et lui dis de s'asseoir sur les genoux de Marc. Il m'obéi sans protestation. La bite de Marc et ses 22cm entre sans problème dans le trou que j'ai bien graissé et préparé. Alors qu'Ed saute sur les genoux de Marc, je m'occupe d'Eric dont la bite n'a pas molli. Il me défonce la bouche jusqu'à ce que je me couche le dos sur la table basse pour pouvoir la prendre dans ma gorge. Ed n'en revient pas, il ne pensait pas possible d'avaler totalement un monstre pareil. J'entends Eric lui dire que tout à l'heure ce sera son tour. Moi , je profite bien, je dois avoir un peu de Maso en moi car la sensation d'étouffement me fait bander encore plus.
Marc se dégage avant d'avoir jouit, il veut garder des forces pour plus tard ! Nous couchons Ed à ma place et je lui place la tête comme il faut. Marc lui replonge sa bite dans la gorge et est rapidement remplacé par Eric. A l'oreille d'Ed, je lui glisse quelques conseil pour avaler plus efficacement la bite d'Eric. Il peine quand même et plusieurs haut le coeur ponctuent les tentative d'Eric. Ce n'est que deux fois que ce dernier arrive à faire pénétrer entièrement sa queue. Je lui demande de tempérer, il faut y aller progressivement si je veux qu'il me dure un peu ce ptit blond !
Comme son cul a l ;"air plus souple que sa gorge, Eric décide de s'y essayer. Je le kpote et re-graisse le trou d'Ed passant 4 doigts dans son fondement.
Eric lui relève les jambes sur son torse et pose son gland sur la rondelle préparée. Je lui demande d'attendre et à 4 pattes ma tête au dessus de celle d'Ed, je demande à Marc de me sauter. Marc et Eric nous pénètrent en même temps. Marc en moi c'est une promenade, même si je fais en sorte qu'il sente bien mon anneau. Pour Ed, c'est une autre histoire. Bien que correctement préparé, il sent passer la bite de cheval d'Eric. Je n'hésite pas à le doser de nouveau en poppers tout en lui disant de se détendre. Des conseils ou des vapeurs aphrodisiaques, je ne sais ce qui à été le plus efficace mais il finit par apprécier les 26x7 qui lui envahissent le trou. Nous nous roulons des pelles et ce n'est pas le dernier à faire tourner sa langue ! il apprécie cette baise un peu hard, ça devrait passer avec mes clients, à condition de ne pas commencer par les plus brutaux.
Il finit par se juter dessus une bonne quantité de " crème " blanche. Eric le suit remplissant sa kpote. Quand je sens Marc m'inonder le cul, je jute dans ma main. Je demande à Ed d'ouvrir la bouche et lui fait couler mon jus dedans. Surpris au début, il avale. Après avoir léché ma main, je lui roule une pelle. Ce vicieux me tête la langue pour y extraire mes dernières gouttes de sperme, ça promet !!
Après une bonne douche à quatre où nous avons pris soin de son corps peu habitué à une telle gymnastique, j'ai téléphoné à l'appart pour que Samir nous amène Jimmy.
Samir a bien compris pourquoi et il nous l'apporte juste vêtu d'un jock strap blanc. Intrigués, mes deux nouveaux poulains se regardent, se détaillent, s'examinent. Ils tournent l'un autour de l'autre. C'est amusant à voir, il sont physiquement très semblables hormis la couleur de peau et de cheveux. On dirait deux jeunes chiots qui font connaissance, c'est tout juste si ils ne sentent pas la peau.
Marc et Eric sortent pour me laisser seul gérer la situation. Je les fais asseoir cote à cote et leur explique ce que j'attends vraiment d'eux, le type de mecs qu'ils vont rencontrer et les trips sexuels auxquels ils vont participer. Ils m'écoutent gravement. A la fin de mon petit discourt, je leur demande si ils sont toujours d'accord (bien que je connaisse la réponse). C'est un oui franc de Jimmy et un autre plus discret d'Ed.
Je précise que Jimmy commencera dans 8 jours alors qu'Ed à encore besoin de formation. Il a beau se récrier, c'est un fait qu'il prend moins facilement la bite que Jimmy. Je lui dis que la semaine à venir, il passera son mercredi après midi et tout le WE (à lui de trouver une excuse pour ses parents) en formation accélérée.
Quand je le ramène chez lui, son ptit frère est tout seul. Il me demande si lui aussi il pourrait venir faire un tour en moto. Je lui souris et lui dit plus tard peu être.
JARDINIER
Tumblr media
+
Tumblr media
18 notes · View notes
pwlanier · 1 year
Text
Tumblr media
Balthus (1908-2001), Thérèse sur une banquette, signed and dated 'Balthus 1939' (lower left),
oil on board
Note: In late 1935 Balthus met Thérèse Blanchard, who lived several blocks from Balthus’s studio at 3, cour de Rohan. Thérèse’s appearance was unconventional, but she “had the grave and moody look that appealed to [Balthus],” writes Sabine Rewald, who selected the present work for the cover of the catalogue of the 2013 “Cats and Girls” exhibition at the Metropolitan Museum of Art. In his first portrait of Thérèse, painted in 1936 (Monnier and Clair, no. P 95), Balthus concentrated on her “serious mien” (exh. cat., op. cit., 2013, pp. 8 and 68). He similarly depicted her two years later (P 118; illustrated here). Thérèse sur une banquette, which dates from 1939, is the culminant image in what would be regarded as the most brilliant series of Balthus’s career, considered by Rewald to be “among his finest works” (ibid., pp. 7-8). “The paintings of Thérèse show Balthus at the apogee of his strength,” Nicholas Fox Weber has stated (Balthus, New York, 1999, pp. 388-389). Of Balthus’s ten portraits of Thérèse, five are acknowledged masterpieces, four of which are in museums. Thérèse sur une banquette is the fifth.
A sibling or school-mate posed with Thérèse for Frère et soeur in 1936 (Monnier and Clair, no. P 94). Her brother Hubert, two years older, appears with her in Les enfants Blanchard, 1937 (no. P 100); both their names are recorded on the reverse of the canvas. Picasso, by then the world’s most famous living artist, purchased the latter painting from the dealer Pierre Colle in 1941. “You’re the only painter of your generation who interests me,” Balthus recalls Picasso having told him. “The others try to make Picassos. You never do” (quoted in Vanished Spendors: A Memoir, New York, 2001, pp. 9-10).
Balthus last portrayed Thérèse in the present painting, seated on the banquette in which she appears in two earlier full-figure portraits (Monnier and Clair, nos. P 101 and P 112). At one time he envisioned a larger composition—perhaps on the scale of Les enfants Blanchard or even larger—the conception of which is known only from a loosely brushed study on a medium-sized board, painted earlier in 1939, Trois personnages dans un intérieur (no. P 122; sold, Sotheby’s London, 25 June 2009, lot 240). The three figures in the high-ceilinged interior—likely set in Balthus’s cour de Rohan studio—are Thérèse leaning back on the bench seat (as seen in the present painting), Hubert standing, his knee propped on a chair, gazing out the window, and their mother, Madame Blanchard, viewed from the side, resting in an armchair placed before a table. Three of four known preparatory drawings for this interior scene focus on Hubert.
Partly reclining on the banquette and turned to her left, Thérèsein the present painting dangles a string from her raised hand. In the smaller, three-figure essay, this string is attached to a ball. A kitten—not shown here—rears up and attempts to grasp the ball. In dispensing with the ball and cat in this picture, Balthus avoided the anecdotal distraction of the creature captured in stop-motion, as one might enjoy in a sentimental genre scene. The figure of the girl alone instead evokes a deeper sense of myth. Thérèse becomes an exemplar of l’éternel féminin, one of the ancient fates, said to measure and determine man’s thread of life.
In Thérèse sur une banquette, Balthus attended to the primarily professional, compositional concerns he had in mind—he aimed to depict the figure of his model in a novel, unique posture, one with neither a familiar nor apparent precedent. He moreover sought to evoke the inner world of her reality with a sense of presence that was outwardly and convincingly grounded in the mechanics of movement, while exalting the architecture of the figure. “The portrait of Thérèse on a Bench is caught in the sort of delicate balance that cannot last for more than a moment,” Jean Clair has written (V. Monnier and J. Clair, op. cit., 1999, p. 38).
Indeed, Thérèse displays the acrobatic ease and grace of the young girl saltimbanque in Picasso’s Rose period Acrobate à la boule, 1905 (Zervos, vol. 1, no. 290; Pushkin State Museum of Fine Art, Moscow). Balthus’s treatment of Thérèse recalls the gentle poetry of Picasso’s Rose period, even if rendered in a technique more like that of the 19th-century masters Courbet and Corot. A token of the rose tonality is here in evidence; “no reproduction can convey the unusual color of Thérèse’s sweater,” Rewald has commented, “which mingles red with shades of pumpkin and orange” (exh. cat., op. cit., 2013, p. 88).
Picasso surely appreciated Balthus’s mastery of the unusual pose, which lends Les enfants Blanchard, the painting he chose for his own collection, its visual novelty and charm, qualities that Thérèse sur une banquette shares with the earlier picture. Her poses in both pictures comprise a trapezoidal shape, which forms the base for a classic, Renaissance conception of a pyramidal composition. The pinnacle of this pyramid in the present painting is Thérèse’s upraised hand; in the room with her brother, his head in profile at the top center edge of the canvas. The artist also incorporates as a constructive means the diagonal emphasis characteristic of Baroque painting. Balthus invested the figures in both compositions with carefully plotted contrapposto, while also employing contrasts of bodily form with the geometry of furniture, and reiterations of formal elements, such as the arching of elbows and knees. From such imbalance and asymmetry Balthus created a configuration of parts that is sprawling and dynamic—yet stable, harmonized and whole.
Courtesy Alain Truong
69 notes · View notes
maddogsociety · 3 months
Text
C'était chouette Paris ! Je suis HS mais c'était cool.
J'ai été très cliché et j'ai surtout fait des musées mais bon dieu aaaahhhhhh. J'ai hurlé intérieurement à chaque oeuvre un peu majeure dont on m'a parlé en cours d'art.
Je suis évidemment repartie avec un livre sur Van Gogh ^^
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
13 notes · View notes
romain8959-blog · 6 months
Text
mon premier pipi au lit par plaisir
½ début : Mon premier pipi au lit exprès, la découverte du plaisir J'aime bien me mouiller pour jouer et ça depuis que je suis enfant ou dans la cour de l'immeuble y avait le meilleur copain avec qui on jouait à ça ne se regardant... bon pas tous les jours, on se serait fait tabasser ! 
Plus tard, j'avais eu la chance de partir avec un copain dont la famille m'avait invité à partager leurs vacances à la neige... merveilleux ! on avait alors 12 ans. Les vacances se passaient super bien, sauf qu'un matin, contrairement à fougue habituelle, il ne se levait pas, et pour cause je n’ai pas mis longtemps à comprendre quand il m'a dit tout con… "j'ai pissé..." moi je n’y croyais pas, je ne pensais même pas qu'on puisse pisser au lit à 12 ans. Mais si c'était vrai, je l'ai vu quand il a descendu la couette. Il avait sous les fesses un beau rond mouillé et le bas du pantalon de pyjama ainsi que le bas de la veste étaient encore tout mouillé aussi... j'étais médusé et terriblement attiré...
Il avait fait quelque chose, bien malgré lui surement, que je rêvais de faire sans jamais avoir osé, à cause de mon Age... je n’y croyais pas... Par contre il était terriblement vexé que je le voie dans ce type d'intimité ! pour rester copain avec lui et qu'il s'en remette, je lui ai dit que ça m'arrivait aussi des fois de pas s'inquiéter ! Et pour le rassurer, je me suis même inventer un pipi au lit quelques semaines avant, lié à un rêve à con que je lui avais raconté, et dont la finalité était aussi un pipi au lit... j'ai dû être convainquant !
Je lui ai même dit que le matin, en me réveillant, j'avais toujours l'angoisse d'avoir fait pipi !!! j'avais eu raison d'agir comme ça, on est resté les meilleurs copains du monde, il avait oublié son accident au lit, et il n'y en eu plus d'autre. 
N'empêche, j'avais vu qu'à 12 ans on peut des fois encore faire pipi au lit, et dans mon fort intérieur j'aurais rêve d'être à sa place, surtout qu'au niveau de ses parents, ça n'avait même pas été un scandale ! le soir là on avait juste été au lavomatique plutôt que de s’amuser dans la neige comme les autres soirs. Quelques semaines après, j'allais passer quelques jours chez une vieille grand-mère, comme ça arrivait des fois pendant les petites vacances scolaires.
 Je dormais au 2éme étage, là ou mamie allait rarement.... et, j'en mourais d'envie depuis que j'avais vu mon copain, mouiller son lit je voulais le faire aussi pour voir... à la maison j'osais pas trop ! là peut  être ? 
J'y pensais sans oser depuis déjà un petit paquet de temps, et puis j’ai décidé de  "ne plus prendre mes précautions». avant de me coucher.
 2/2  suite
y a fort longtemps que j'étais propre la nuit donc une nuit ça m'a réveillé, un mal connu, envie de pipi .... mais j'ai décidé de pas me lever et d'attendre... surtout que les wc étaient 2 étages plus bas... et cette maison, qui, je l'avoue maintenant, me foutait la trouille, surtout la nuit, d'autant plus que j'étais pas du style aventurier....
 d'un coté je voulais le faire, faire pipi au lit…, de l'autre côté tout me pousser à ne pas le faire ! En fait ce n’est pas moi qui ai décidé, à un moment j'en pouvais plus et au lieu de courir au wc, j'ai attendu encore un peu pour voir...je me suis même un peu rendormi. Mais je me suis vite reréveillé…  je savais que le point de non-retour allait être franchi et que j'allais finir par faire pipi dans les draps si je me levais pas et......l'instant d'après c'était parti.j’en pouvais plus de me retenir ça me faisait mal...et.. j’ai senti mon pyjama qui commençait à se mouiller... ça y est putain...je faisais pipi au lit !!!!! j’étais en train de faire pipi au lit…. Vous me croirez si vous voulez, contrairement à l'horreur que ça aurait dû m'inspirer, j'adorais ça!!!! d’un coup je me suis senti léger, léger et bien comme on a pas idée, la douleur que j’avais ressentie de me retenir si longtemps s était immédiatement transformé  en une énorme onde de plaisir,  après m'être retenu si longtemps. et de sentir le pipi qui coulait dans la culotte et dans le pyjama hmmmm je réaliser mon fantasme. J’arrétais pas de me répéter « je fais pipi … je fais pipi au lit…. » je sentais que ça coulait entre mes jambes et je sentais un petit filet glisser entre mes cuisses... et là je savais que je mouillais tout, y compris le matelas qui n'étais meme pas protéger ! mais à ce moment précis je m'en foutais j'étais simplement heureux d’un bien être tellement fort. et puis trop vite ça s'est arrêté. sur le coup j'y croyais à peine, c'était un peu comme dans un rêve, une chose est sûre ,ça me faisait tout chaud... doucement j'ai mis nez sous la couverture... ça sentais le pipi tout chaud... c'en était limite enivrant j'ai du me résoudre à la vérité, je l'avais fait ! j'avais osé pisser au lit comme ça exprès.. avec mes mains j'ai touché le mouillé pour vérifier ! c'était bien trempé et ça m'a terriblement excité tellement que d'un coup j'ai bandé comme jamais. je n'avais pas encore découvert la jouissance à cette époque... je me suis retourné et je me suis frotté dans le mouillé pour me calmer... je me frottais dans mon pipi… j’ai senti un plaisir nouveau monter dans mon corps… et j’ai senti quelque chose monter …. Quelque chose de fort…. d'un coup j'ai senti la plus formidable onde de bonheur et de plaisir de ma vie… comme un feu d’artifice dans mon corps.. tous mes sens venaient de se vriller d’un coup,  je venais de jouir pour la première fois de ma vie. 
dans mon pipi , j'avais même pas honte.... après ça je me suis endormi comme une masse, ce n'est que le lendemain que j'ai eu la surprise de me réveiller mouillé, surprise de courte durée ! bon le lendemain tout ça à séché discrètement...... de cette expérience j'ai gardé le plaisir de faire de temps en temps pipi au lit, même encore maintenant, jamais de plan crade !, toujours pipi au lit dans des draps propres ! Pour les couches, j'ai découvert ça plus tard, c'était plus pratique et ça permettait de jouer plus souvent ! mais bof c est pas pareil
voila ça c est passé comme ça la première fois je sais c est contre nature on m’a dit mais c est comme ça
11 notes · View notes
Text
Le philosophe produit des idées, le poète des poèmes, l’ecclésiastique des sermons, le professeur des traités…
Le criminel produit des crimes.
Si on regarde de plus près les rapports qui existent entre cette dernière branche de production et la société dans son ensemble, on reviendra de bien des préjugés.
Le criminel ne produit pas que des crimes : c’est lui qui produit le droit pénal, donc le Professeur de droit pénal, et donc l’inévitable traité dans lequel le professeur consigne ses cours afin de les mettre sur le marché en tant que «marchandise».
Il en résulte une augmentation de la richesse nationale, sans parler de la satisfaction intérieure que selon le professeur Roscher, témoin autorisé, le manuscrit du traité procure à son auteur.
Plus : le criminel produit tout l’appareil policier et judiciaire : gendarmes, juges, bourreaux, jurés, etc., et tous ces divers métiers, qui constituent autant de catégories de la division sociale du travail, développent différentes facultés de l’esprit humain et créent en même temps de nouveaux besoins et de nouveaux moyens de les satisfaire.
La torture, à elle seule, a engendré les trouvailles mécaniques les plus ingénieuses, dont la Production procure de l’ouvrage à une foule d’honnêtes artisans.
Le criminel crée une sensation qui participe de la morale et du tragique, et ce faisant il fournit un «service» en remuant les sentiments moraux et esthétiques du public.
Il ne produit pas que des traités de droit pénal, des codes pénaux et, partant, des législateurs de droit pénal : il produit aussi de l’art, des belles-lettres, voire des tragédies, témoins non seulement La Faute de Msüllner et Les Brigands de Schiller mais aussi Œdipe et Richard III.
Le criminel brise la monotonie et la sécurité quotidienne de la vie bourgeoise, la mettant ainsi à l’abri de la stagnation et suscitant cette incessante tension et agitation sans laquelle l’aiguillon de la concurrence elle-même s’émousserait. Il stimule ainsi les forces productives.
En même temps que le crime retire du marché du travail une part de la population en surnombre et qu’il réduit ainsi la concurrence entre travailleurs et contribue à empêcher les salaires de tomber au-dessous du minimum.
La lutte contre la criminalité absorbe une autre partie de cette même population.
Ainsi le criminel opère une de ces «compensations» naturelles qui créent l’équilibre et suscitent une multitude de métiers «utiles».
On peut démontrer par le détail l’influence qu’exerce le criminel sur le développement de la force productive :
— Faute de voleurs, les serrures fussent-elles parvenues à leur stade actuel de perfection ?
— Faute de faux-monnayeurs, la fabrication des billets de banque ?
— Faute de fraudeurs, le microscope eût-il pénétré les sphères du commerce ordinaire ?
La chimie appliquée ne doit-elle pas autant aux tromperies et à leur répression qu’aux efforts Légitimes pour améliorer la production ?
En trouvant sans cesse de nouveaux moyens de s’attaquer à la propriété, le crime fait naître sans cesse de nouveaux moyens de la défendre, de sorte qu’il donne à la mécanisation une impulsion tout aussi productive que celle qui résulte des grèves.
En dehors du domaine du crime privé, le marché mondial serait-il né sans crimes nationaux ?
Et les nations elles-mêmes ?
Et depuis Adam, l’arbre du péché n’est-il pas en même temps l’arbre de la science ?
(Éloge du crime par Karl Marx. Cette notule écrite entre 1860 et 1862, fut intégrée par son éditeur à la Théorie de la plus-value, dans le tome IV du Capital)
Tumblr media
15 notes · View notes
metmuseum · 6 months
Photo
Tumblr media
Château de St.-Germain-en-Laye, Intérieur de la cour, Chapelle. 1862–67. Credit line: Purchase, Peter C. Bunnell Gift, 2011 https://www.metmuseum.org/art/collection/search/296359
5 notes · View notes
lesdamesmures · 1 month
Text
Tumblr media
Scène 13 "Une femme mure sur la plage"
C’était Titouan qui attendait sur son vélo derrière le portail. Julie apparu sur la terrasse, de loin elle lui faisait
- Entre Titouan ! c’est ouvert, tu peux poser ton vélo dans le jardin ! Elle restait sur la terrasse vêtue de sa robe portefeuille bleu foncée, ses bras croisés sous la poitrine
Titouan marquait un temps d’arrêt en la découvrant avant de refermer le portail derrière lui et la rejoindre
- Viens Titouan ! tu as mis une chemise blanche, ça te va bien tu es beau ! Ajoutait Julie en le voyant se diriger vers elle
- Merci Julie ! vous êtes belle aussi, cette robe est très jolie elle vous va bien ! Répondait Titouan surpris de voir Julie dans cette petite robe qui dévoilait presque profondément le sillon de sa poitrine et ses jambes à mi-cuisses
Pour la première fois, il voyait Julie dans une tenue assez moulante qui mettait en valeur ses formes, sa poitrine paraissait plus volumineuse et ses jambes donnaient envie de découvrir ses cuisses. Elle avait mis des escarpins beiges clair, un sourire radieux illuminait son visage
- Merci mon prince c’est gentil ! Reprenait Julie en ajustant machinalement sa robe pour lui donner quelques centimètres de plus avant de lui tendre la main pour l’inviter à rentrer
Titouan montait les 3 marches qui menaient à la terrasse, mettait son sac sur son épaule avant de prendre la main accueillante de Julie
Il était rassuré de retrouver Julie telle qu’elle était en la quittant. Il craignait toujours que sa raison reprenne le dessus, qu’elle lui annonce qu’elle ne pouvait pas se permettre une relation avec un homme de son âge, ou une quelconque décision qu’il n’aurait pu contester. Depuis cette soirée à échanger des sms et leurs échanges réguliers, il avait du mal à réaliser ce qui lui arrivait, encore plus après cette journée à la plage, cette intimité partagée, ces caresses intimes il avait la sensation d’un rêve éveillé et se demandait ce qu’elle pouvait ressentir pour lui.
Avant de prendre la main tendue de Julie, Titouan sortait la bouteille de champagne de son sac en lui tendant le gâteau 
- Je voulais pas venir les mains vides quand même ! C’est votre anniversaire
- Oh c’est gentil, ça me touche beaucoup. Entre Titouan
Elle prenait le gâteau d’une main et prenait celle de Titouan de l’autre en le précédent. Titouan se laissait entrainer derrière Julie, main dans la main il admirait Julie qui ondulait dans sa petite robe, ses fesses paraissant plus charnues et larges qu’en maillot. Il découvrait son intérieur, une grande pièce ouverte sur la terrasse et le jardin avec le salon et la cuisine derrière un muret séparant les 2 espaces. Au fond de la pièce, un escalier en bois blanc montait à l’étage, derrière un couloir avec probablement d’autres pièces au rez de chaussé. L’ensemble était coquet et chaleureux malgré la lumière de fin de journée provenant du jardin, un rayon de soleil traversait la pièce de part en part
En passant devant le canapé, Julie me lâcha la main en m’invitant à m’assoir pendant qu’elle se dirigeait vers la cuisine. Sur la table basse, elle avait préparé 2 flûtes de champagne et de quoi grignoter en buvant
Assieds toi mon prince ! Je vais mettre ta bouteille au frais. Ca nous en fera 2, j’en ai une dans le frigidaire, j’ai hâte de trinquer j’adore le champagne ! Disait-elle en traversant la pièce pour rejoindre la cuisine ouverte
Oui avec plaisir Julie ! Je la regardais se déplacer, la bouteille à la main et profitait d’une légère transparence de sa robe quand elle traversait le rayon de soleil qui inondait toute la partie cuisine
J’en profitais pour poser un petit galet en forme de coeur sur la table basse. Je l’avais trouvé sur la plage il y a quelques jours lorsque j’étais allé sur la plage des blockhaus. J’avais été pris de cours pour acheter un cadeau et l’idée que Julie garde précieusement ce galet me plaisait, comme un secret entre nous qui lui rappelait notre relation singulière.
Je la regardais se baisser devant le frigidaire, son postérieur tourné vers moi je ne pouvais m’empêcher de l’admirer comme si je le voyais pour la 1ère fois. Je profitais de cet instant furtif en découvrant sa robe glisser sur son fessier et voir sa cuisse se dévoiler
Elle se redressait, passant sa main sur sa hanche pour réajuster sa robe avant de revenir vers moi avec la bouteille de champagne
- Tu veux bien l’ouvrir Titouan, j’ai envie de fêter cette journée mémorable ! Elle me tendait la bouteille et s’asseyait sur le canapé à ma gauche
Je prenais la bouteille, elle était assise tout proche je pouvais sentir une odeur agréable et parfumée qui enveloppait notre espace, ses jambes serrées l’une contre l’autre laissaient remonter sa robe à mi-cuisses et son décolleté mettait en valeur sa poitrine pigeonnante formant un sillon encore plus large qu’avec son maillot. Elle replaçait soigneusement le pan de sa robe portefeuille avant de poser ses mains sur ses genoux, elle se tenait droite sans s’adosser assise sur le bord du canapé sa flûte à la main, impatiente d’être remplie.
Quelques secondes plus tard et un long pschittt de gaz, nous trinquions avec enthousiasme en nous souriant 
- Joyeux anniversaire Julie, si j’avais su plus tôt que votre anniversaire était aujourd’hui, j’aurai aimé vous offrir un cadeau mais j’espère que ce petit galet symbolisera ces derniers jours et qu’il vous portera bonheur ! Ajoutais-je en prenant le galet qu’elle n’avait pas remarqué, lui tendant comme un bijou précieux pour le poser dans sa main
Elle regardait le galet attentivement en le caressant avec son pouce tout en le gardant dans sa main, elle semblait étonnée comme si elle ne revenait pas de sa forme en coeur
- Oh merci mon prince ! Tu es trop mignon c’est touchant ! Elle réagissait, surprise par ce cadeau qui n’avait comme valeur que notre relation secrète
Elle se penchait vers moi, posant sa main sur ma cuisse et tendant ses lèvres comme si elle m’invitait à les embrasser
- Il a l’air naturel, où l’as tu trouvé mon prince ? Demandait-elle en laissant sa main affectueusement sur ma cuisse tout en regardant à nouveau le galet
Je lui expliquais timidement que je l’avais trouvé le jour où j’avais été sur la plage des blockhaus pour m’aérer. J’étais sur cette plage quand elle m’avait envoyé pour la 1ère fois un sms pour me proposer de nous retrouver à la plage en fin de journée. Elle réfléchissait un court moment
- Ah oui ! Ce fameux jour où je t’ai fais passer pour mon fils à cause de ce type qui me collait ? Demandait-elle avec un air faussement embarrassé  
Je me rappelais de tout dans les moindres détails et confirmais d’un signe de la tête avec un sourire amusé. Elle serrait son galet dans la main, hésitante avant de m’interroger sur ce que j’avais ressenti quand elle m’avait fait passer pour son fils.
Je sentais qu’elle avait envie de parle, de ce que je ressentais. Elle semblait curieuse et étonnée quand j’évoquais ce galet que j’avais ramassé en pensant à elle.
- Je ne m’y attendais pas, ça m’a fait bizarre de passer pour votre fils pour vous débarrasser de cet homme mais je comprend, c’était peut-être la meilleure chose à faire !
- Ca ne t’a pas trop vexé ? Elle prenait un air désolée en imaginant que ça aurait pu me contrarier
- Non Julie ! Ca m’a surpris sur le coup c’est vrai mais j’ai pris ça plutôt pour de la connivence et j’étais assez fier de vous servir d’alibi
Elle m’adressait un sourire bienveillant tout en caressant ma cuisse d’un geste plein de tendresse
- Et vous Julie qu’avez-vous ressenti ?
Elle prenait une gorgée de champagne en levant les yeux au ciel comme si elle se replongeait dans l’instant
- Et bien si tu veux savoir, je me suis dis que tu étais très conciliant et attentionné et que tu ferais un bon fils ! Reprenait t’elle après un moment, comme une pirouette et puis elle ajoutait plus sérieusement
- J’ai réalisé à ce moment que ta présence m’était précieuse et je me souviens aussi de ce détail quand je me suis arrêtée pour remettre ma tunique
- Quel détail Julie ?
- Ton expression quand j’ai réajusté mon maillot en replaçant ma poitrine, tu avais l’air de quelqu’un qui n’avait jamais vu une femme remettre ses seins en place. A ce moment j’ai compris que je te troublais même si je me demandais ce que tu pouvais trouver à une femme de mon âge mais depuis j’ai compris je crois
- C’est vrai Julie, je crois que vous m’avez troublé dès que je vous ai vu aller vous baigner le 1er jour
- Tu m’observais de loin ? Tu regardais mes fesses ? Ajoutait-elle naturellement comme si elle parlait avec quelqu’un d’intime
- Vous m’en voulez Julie ? Me contentais-je de répondre
- Si je t’en voulais je n’aurai pas continué à te voir Titouan mais je ne sais pas ce que je représente pour toi ? As-tu déjà eu une relation avec une femme mure ou c’est par curiosité ou peut-être un fantasme ?
Sa manière de parler aussi directement me déstabilisait, me renvoyant une image de moi que je n’aimais pas mais elle avait raison, notre échange était intime et sincère
- Non jamais Julie ! Je suis désolé si je vous ai paru incorrect mais je vous trouve belle, vous êtes douce et ça me trouble énormément. Je sais que ça peut vous paraitre idiot, même immature peut-être mais je vous me fascinez, je me sens bien en votre compagnie
- Tu ne réponds pas tout à fait ! Tu sais Titouan, je ne suis pas le genre de femme à avoir des aventures. Jusqu’à présent j’avais des croyances et des principes que je pensais solides même immuables mais depuis cet épisode sur la plage, je me sens perturbée par le regard que tu me renvois. J’avoue que c’est agréable même flatteur et en même temps j’ai eu du mal à imaginer que notre relation puisse devenir aussi intime, pourtant ces moments à la plage l’étaient
- Je vous ai choqué Julie ? Je sais que j’ai été au delà du raisonnable et dépassé votre « un peu » mais c’était difficile de résister et encore plus quand on s’est baigné nus. Je ne veux pas me vanter mais … ! J’hésitais à poursuivre ne voulant pas être maladroit en parlant de mon éjaculation rapide
- Je crois que je n’ai jamais autant excité, je ne pensais pas jouir aussi vite ! En disant ça je commençais à sentir l’effet que me faisait notre échange sur nos ressentis. Je n’avais pas l’habitude de parler aussi franchement et ouvertement de mes ressentis mais c’était peut-être la maturité et la différence avec les filles de mon âge
- Tu veux bien nous resservir du champagne mon prince ? Ca va peut être nous faire tourner la tête mais j’ai envie de profiter de ce moment et si ça peut te faire déculpabiliser j’étais aussi très excitée même si je sentais bien que tu avais besoin de te libérer depuis le temps que tu étais à l’étroit dans ton short
- Vous êtes merveilleuse Julie, vous me faites énormément d’effet je n’ai jamais été aussi troublé et sensible à une femme ! Je ressentais un soulagement, cet échange direct et l’effet du champagne commençait à me désinhiber
Je remplissais notre 2ème verre tout en repensant à ce moment qu’on évoquait, quand elle masturbait mon sexe contre ses fesses. Nnous étions intime mais je ressentais cette retenue érotique et sensuelle. Je découvrais pour la 1ère fois l’intimité avec une femme mure, une femme d’expérience qui sait donner du plaisir sans faix semblant, sans jeu ni calcul
- Tu sais Titouan, je ne me serai jamais cru capable de faire ça mais parfois le désir amène à se surprendre soi-même ! Concluait-elle en me remerciant avant d’entamer sa 2ème flûte de champagne
Je la regardais, son décolleté dévoilait le sillon profond de sa poitrine, sa robe marquait ses hanches, ses cuisses dévoilées, ses bras potelés et son visage plein de charme et de douceur, je sentais mon sexe réagir et se comprimer dans mon jean. Même si c’était moins visible qu’en short je ne m’inquiétais pas, je savais qu’elle devait s’en douter et ne s’en offusquerait pas. Je la regardais sans détour, on buvait silencieusement, le désir nous enveloppait, nos regards se croisaient, un sourire attendrissant sur ses lèvres me laissait comprendre son envie. Elle se bougeait sans changer de position, je me rendais compte moi aussi de ces mouvements que l’excitation me provoquait
Julie reposa sa flûte, elle s’avançait vers la table, sans rien dire enleva ses escarpins avant de replier ses jambes sur le canapé, laissant sa robe découvrir naturellement le haut de ses cuisses. En me regardant elle tendit le bras vers moi en disant 
- Viens !
Sans répondre je posais mon verre à mon tour et attrapais sa main. Elle m’attirait vers elle en accompagnant ma tête dans le creux de son ventre. Je me laissais faire sans résistance et posait me posait sur ses cuisses contre son ventre douillet, laissant mes jambes repliées sur le bord du canapé
- Installe toi bien Titouan, tu peux poser les pieds sur le canapé ne t’inquiète pas si tu veux enlever tes chaussures aussi tu seras mieux ! Ajoutait-elle de sa voix douce
Je quittais à regret son ventre douillet juste le temps d’enlever mes chaussures et revenir me pelote dans ce nid douillet qu’elle m’offrait
- Tu es bien comme ça mon bébé ! Disait-elle en me regardant contre son ventre, commençant à caresser mes cheveux
- Oh oui Julie je suis trop bien ! Répondais-je en levant les yeux vers elle tout en passant mon bras autour de sa hanche. Elle ria légèrement en m’entendant en reprenant ses caresses sur mon crâne
Mes doigts pouvaient sentir la couture de sa culotte sous sa robe et les douces rondeurs de ses formes. Elle me parlait la tête penchée vers moi, chuchotant presque mais j’entendais sa voix qui me disait
- J’ai envie de rester comme ça un moment, de te regarder en caressant ton visage mon bébé, te sentir contre mon ventre
Je ne disais rien, je fermais les yeux en savourant ses caresses plus maternelles que sexuelles, ses doigts se faufilant dans mes cheveux. Je vivais l’instant, laissant ma main caresser sa hanche, sentant la douceur de sa robe qui couvrait son corps. Elle se pencha pour m’embrasser le crâne, je posais sentir sa poitrine venir se comprimer contre ma tête. Ma main la caressait au même rythme que la sienne, je sentais sa cuisse se découvrir au fur et à mesure de mes caresses
Je fermais les yeux, ses caresses se faisaient plus insistantes, plus appuyées, allant de mon crâne jusqu’à mon cou. Son index suivait l’intérieur de mon col de chemise finissant par se faufiler petit à petit dans l’ouverture. Sa main retrouvait son index pour venir caresser ma peau par l’ouverture de ma chemise, après quelques aller-retour, ses doigts se recroquevillaient sur le premier bouton fermé, cherchant à l’ouvrir pour descendre sur mon torse et caresser mon pectorau. Ses mains étaient douces, ses caresses lentes, progressives, et si sensuelles qu’elles me provoquaient des frissons faisant pointer mes tétons. 
Ma main suivait le cadencent de ses caresses, posée sur sa hanche, s’allongeant jusqu’au galbe de sa fesse. Sa robe glissait sur sa peau au fur et mesure des passages entre sa hanche et sa fesse, mes caresses descendaient sur sa cuisse découverte, ma main se hasardait sur sa peau douce, tout comme la sienne à l’intérieur de ma chemise. Le bout de mes doigts s’insinuaient sous le tissus jusqu’à rencontrer l’élastique de sa lingerie. Mon doigt suivait  la frontière jusqu’à sentir ses fesses couvertes par le fin tissus, se perdant sur l’arrière de ses cuisses pour longer sa culotte et remonter sur son autre fesse. Mes doigts dessinaient ce chemin de bout en bout, lentement, sensuellemment en même que les siens allant de mon torse à mon épaule  
Elle déboutonnait un autre bouton pour glisser sa main jusqu’à mon ventre, remontant en massant mes pectoraux l’un après l’autre, écartant délicatement le tissus en polissant l’arrondi de mon épaule. Je gardais mes yeux fermés, je ne la voyais plus, je la sentais si proche, si fusionelle, aucun son ni paroles superflues ne venaient troubler ce moment d’intimité, on entendait distinctement  le bruissement de nos caresses et le frottement de nos vêtements sur nos mains. On s’offrait ce mélange enivrant de tendresse révérencieuse et d’intimité retenue, chez elle, sur son canapé sans crainte d’être dérangés par quiconque. Nos caresses gardaient une réserve, pour ma part le respect de son âge et la découverte de sa maturité, pour elle, je devinais sa retenue pour ce que je représentais à ses yeux, un jeune homme ayant l’âge d’être son fils. Je ressentais l’harmonie de nos pensées, de nos caresses explorant les recoins encore inexplorés. Nous savourions ensemble l’érotisme de l’instant, comme si nous voulions d’un comme accord le faire durer
Je remontais sur sa hanche, sentant le bout de mon majeur glisser sous l’élastique de sa culotte, rejoins par mes doigts, ma main remontait sous sa culotte pour sentir sa peau, descendre sur sa fesse jusqu’à rencontrer le sillon de ses fesses. De sa main, elle écartait ma chemise, comme pour laisser plus d’espace à ses caresses qui parcouraient mon torse, allant jusqu’à mon aisselle où ses doigts s’attardaient. Mes doigts s’arrêtaient sur sa raie des fesses, la dessinant du bout des doigts jusqu’à cette petite grotte sombre qui se formait au bas de son sillon. Mes doigts palpaient avec curiosité et délicatesse cet endroit si intime où je sentais ses poils pubiens qui remontaient à l’intérieur de sa raie.
Elle se pencha sur moi, je sentais ses lèvres se poser sur ma tempe et venir s’ouvrirent dans le creux de mon oreille, je contractais mes épaules en savourant ses petits baisers qui s’interrompaient pour l’entendre à mon oreille
- Tu veux qu’on aille dans ma chambre mon Titouan ?
J’ouvrais les yeux en tournant mon regard vers elle, abasourdi comme je ne revenais pas de ce qu’elle me soufflait à l’oreille. Elle répétait tout bas en s’approchant de ma bouche 
- J’ai envie qu’on aille dans ma chambre mon bébé ! Et déposait un baiser sur mes lèvres
J’étais circonspect et sans voix en l’entendant me répéter son envie, d’un air embrumé par nos caresses je répondais à son baiser à mon tour en disant 
- Oui j’ai envie Julie, vous me faites vivre un vrai fantasme Julie ! Elle souriait en soupirant avant d’ajouter
- Je crois que tu m’as entrainé dans ce fantasme Titouan ! Se contentait-elle de rajouter en se redressant laissant sa main posée sur ma tempe. Mon coeur battait fort en l’entendant, je vivais des émotions plus que fortes ces derniers jours mais l’entendre me dire ça, me faisait littéralement chavirer !
Elle déplia ses jambes en prenant ma main qui restait collée à ses fesses, m’incitant à la suivre
- On prend le champagne avec nous ? Elle attrapait sa flûte au passage sans attendre ma réponse
Je prenais la mienne, lâchait sa main pour m’emparer de la bouteille avant qu’elle prenne mon bras en se dirigeant d’abord vers la terrasse. Elle s’arrêta au niveau de la baie en me tendant son verre
- Je vais fermer la baie vitrée quand même, personne ne vient mais on sait jamais
Je la regardais dans sa robe tout en remplissant sa flûte puis la mienne. 
- A nous mon prince, à notre rencontre et ces moments de douceur, tu me dévergondes tu sais ! Enchainait-elle en levant sa flûte pour la faire tinter contre la mienne
- A nous Julie, à votre anniversaire et ces inoubliables moments en votre compagnie
- Peut-être que tu me tutoyer maintenant Titouan tu ne crois pas ? je me sentirai moins décalée par rapport à toi
- C’est comme vous … pardon ! comme tu préfères Julie, je risque de me mélanger mais je vais essayer
-  Tu fais comme tu as envie Titouan, je trouve ça charmant aussi ce vouvoiement alors reste naturel
Nous restions sur le pas de la terrasse en buvant notre 3ème flûte, la bouteille était pratiquement vide. Nos regards se portaient alternativement sur l’extérieur et des oeillades en se souriant, chacun dans nos pensées on dégustait l’instant quand elle me posa la question naïvement 
- Tu penses à quoi Titouan ? 
Instantanément je répondais
- Je pense à ce moment présent et ces derniers jours où je vous connaissais pas encore, tout ce que vous représentez pour moi … arfff ! Tout ce que tu représentes pour moi ! Me reprenais-je, ayant du mal à la tutoyer
- Ne t’embêtes pas à me tutoyer si tu n’as pas l’habitude, ça viendra peut-être quand nous .. nous serons plus intimes ! Elle hésitait cherchant la manière de dire les choses mais j’avais compris le sens de ce qu’elle voulait dire
- D’accord Julie, vous avez raison ça viendra mais je me sens plus à l’aise en vous vouvoyant ne m’en voulez pas
- Ca ne me dérange pas Titouan je trouve ça troublant même pour tout te dire ! Elle me regardait en mimant une posture hautaine et se mettait à rire en voyant ma réaction
Je lui souriais sans rien répondre, voyant sa flûte presque vide, je finissais la bouteille en partageant le reste de champagne
- Oh je vais être pompette Titouan, une bouteille à 2 ça me tourne la tête mais tant pis je passe un moment délicieux mon prince et puis c’est mon anniversaire !
- Moi aussi je crois j’ai pas l’habitude de boire du champagne à cette heure mais c’est votre … ton anniversaire … Oh et puis zut ! j’abandonne le tutoiement, vous m’en voudrez pas ? moi aussi ça me trouble et encore plus que vous Julie
Elle me regardait d’un air amusé, ses yeux brillait je la sentais taquine, coquine même. Elle se collait à moi comme si elle me cherchait, je la sentais joueuse et presque autant excitée que moi. Elle baissait le regard en m’inspectant presque avant d’ajouter de but en blanc
- Mes fesses te font toujours autant d’effet j’ai l’impression ! Ses yeux restaient fixés sur mon jean, elle pouvait bien évidemment constater la bosse qui me compressait
- Comment avez-vous deviné Julie ! Je rentrais dans son jeu en confirmant d’un air penaud ce qu’elle me disait avec tant de légèreté
- Alors tu as toujours envie que je te montre ma chambre mon prince ? Sans attendre ma réponse, elle rentrait dans la maison en attendant que je passe pour refermer la baie vitrée
Je m’exécutais sans broncher, terriblement excité par cette complicité qui s’installait, je savais que le moment qui suivrait me laisserait des souvenirs qui resteraient pour toujours et que je sortirai grandi de cette soirée d’anniversaire chez Julie
Julie me prenait la main en se dirigeant vers les escaliers, nos flûtes étaient vides et nous avions déjà assez bu. Arrivée au pied de l’escalier elle s’arrêta un moment, je la sentais hésitante et sans dire plus elle se pencha passant ses mains sous sa robe en faisant glisser sa culotte jusqu’à ses chevilles et finir par la retirer devant moi. Je restais médusé, ravalant ma salive je la regardais
- Je crois que tu fantasmes beaucoup sur mes fesses non ?! Osait-elle dire avec sa culotte dans la main
- Oh oui Julie ! Enfin pas que vos fesses mais depuis le 1er jour sur la plage oui elles me font fantasmer
Elle me souriait d’un air conciliant et tendre comme si elle avait envie de découvrir mes fantasmes pour les réaliser
- Suis moi mon prince, ma chambre est là-haut ! Elle m’emboitait le pas commençant à monter les premières marches en attendant que je la suive
Après quelques marches, elle passa ses mains sur ses fesses et souleva sa robe sachant que j’étais à 2 marches derrière, elle m’offrait son fessier mature et charnu qui ondulait langoureusement en montant les escaliers jusqu'à sa chambre ...
A suivre ... (Scène 14 le 2 avril 2024 à 6h00)
2 notes · View notes
raisongardee · 7 months
Text
Tumblr media
"Et, disons-le en passant, dans cette mêlée d’hommes, de doctrines et d’intérêts qui se ruent si violemment tous les jours sur chacune des œuvres qu’il est donné à ce siècle de faire, le poète a une fonction sérieuse. Sans parler même ici de son influence civilisatrice, c’est à lui qu’il appartient d’élever, lorsqu’ils le méritent, les événements politiques à la dignité d’événements historiques. Il faut, pour cela, qu’il jette sur ses contemporains ce tranquille regard que l’histoire jette sur le passé ; il faut que, sans se laisser tromper aux illusions d’optique, aux mirages menteurs, aux voisinages momentanés, il mette dès à présent tout en perspective, diminuant ceci, grandissant cela. Il faut qu’il ne trempe dans aucune voie de fait. Il faut qu’il sache se maintenir au-dessus du tumulte, inébranlable, austère et bienveillant ; indulgent quelquefois, chose difficile, impartial toujours, chose plus difficile encore ; qu’il ait dans le cœur cette sympathique intelligence des révolutions qui implique le dédain de l’émeute, ce grave respect du peuple qui s’allie au mépris de la foule ; que son esprit ne concède rien aux petites colères ni aux petites vanités ; que son éloge comme son blâme prenne souvent à rebours, tantôt l’esprit de cour, tantôt l’esprit de faction. Il faut qu’il puisse saluer le drapeau tricolore sans insulter les fleurs de lys ; il faut qu’il puisse dans le même livre, presque à la même page, flétrir "l’homme qui a vendu une femme" et louer un noble jeune prince pour une bonne action bien faite, glorifier la haute société sculptée sur l’arc de l’Etoile et consoler la triste pensée enfermée dans la tombe de Charles X. Il faut qu’il soit attentif à tout, sincère en tout, désintéressé sur tout, et que, nous l’avons déjà dit ailleurs, il ne dépende de rien, pas même de ses propres ressentiments, pas même de ses griefs personnels ; sachant être, dans l’occasion, tout à la fois irrité comme homme et calme comme poète. Il faut enfin que, dans ces temps livrés à la lutte furieuse des opinions, au milieu des attractions violentes que sa raison devra subir sans dévier, il ait sans cesse présent à l’esprit ce but sévère : être de tous les partis par leur côté généreux, n’être d’aucun par leur côté mauvais."
Victor Hugo, Les voix intérieures, 1837.
5 notes · View notes
argentinechili2024 · 2 months
Text
Changement de cap aujourd’hui
Hier soir, le capitaine a fait une annonce importante. En raison des vents violents et des vagues fortes prévues, notre prochaine destination a été annulée. Nous trouvions cela très étrange, car au moment où il a fait cette annonce, il faisait grand soleil!
Au cours de la nuit, ça s’est gâté. Le lit bougeait tout seul. Ce matin, oh là là!!! Grosses grosses vagues. Il fallait avoir le pied marin pour marcher sans tomber.
Nous avons donc passé la journée de lundi en mer, au lieu de nous rendre à Punta del Este. Nous arriverons une journée plus tôt que prévu à Puerto Madryn en Argentine. Nous y resterons aussi plus longtemps.
J’en ai profité pour aller m’entraîner au gym. Mes deux amis, Susan et Daniel, y étaient déjà. Robert en a profité pour se reposer sur une chaise longue au soleil.
Ce soir, c’est la soirée du capitaine. On ne joue plus le jeu comme avant. Je n’ai apporté qu’une seule robe un peu chic. Ce sera la seule et unique de toute la croisière.
Tumblr media
Robert qui se reposait sur notre balcon ce matin.
Tumblr media
Assiette de hors d’œuvres servie dans notre chambre tous les jours à 15 h.
Tumblr media
Grosses vagues aujourd’hui.
Tumblr media
Piscine intérieure pour adultes seulement. Elle était fermée, de même que toutes les autres piscines, en raison des vagues fortes.
Tumblr media
Spectacle de ce soir. Camilla Andrade, brésilienne.
2 notes · View notes
francebonapartiste · 2 months
Text
1er mars 1815 : Napoléon débarque à Golfe-Juan, c'est le début des Cent-Jours
Tumblr media
Le 1er mars 1815, un événement historique majeur se produit lorsque Napoléon Bonaparte débarque à Golfe-Juan, marquant ainsi le début d’une période connue sous le nom des Cent-Jours. Ce jour-là, une petite flottille apparait au large des côtes françaises, mettant fin à la période d’exil de Napoléon sur l’île d’Elbe. Parti de l’île d’Elbe le 26 février, Napoléon est à bord de l’Inconstant, accompagné de six autres navires. Avec lui se trouvent ses proches et environ mille soldats de sa garde.
Tumblr media
Aux côtés de l’Empereur se trouvaient les hommes qui formaient en quelque sorte son gouvernement sur l’île d’Elbe : le général Bertrand, chargé des affaires intérieures et l’un de ses plus proches conseillers, le général Drouot, assumant le rôle de ministre de la Guerre, et Peyrusse, trésorier de la Couronne. Se trouvaient également le général Cambronne, le Dr Fourreau de Beauregard mais aussi Pons de l’Hérault, ainsi que son personnel, incluant Marchand, son premier valet de chambre, et Saint-Denis, surnommé “le mamelouk Ali”.
Pendant la traversée, Napoléon s’était retiré dans sa cabine, plongeant dans l’élaboration des proclamations qui marqueraient son retour. Ces missives, soigneusement préparées à l’avance, étaient destinées à être distribuées dès son arrivée, toutes deux datées du 1er mars, jour symbolique de son débarquement et du renouveau.
Dans son discours adressé au peuple français, il justifiait son retour en expliquant les circonstances de son départ en 1814, attribuant son échec à la trahison des maréchaux Augereau et Marmont.
Aux soldats, il dévoile les voies de la gloire et prononce les paroles qui deviendront emblématiques :
“La victoire avancera au pas de charge. L’Aigle, arborant fièrement les couleurs nationales, planera de clocher en clocher jusqu’aux tours de Notre-Dame.”
Après trois jours de navigation, la flottille arrive enfin au mouillage dans l’anse du golfe Juan. Napoléon, arborant fièrement le drapeau tricolore français, décide de procéder au débarquement. Une escouade de grenadiers est envoyée en reconnaissance pour s’assurer que les côtes sont sûres. La côte est en effet sans défense, aucune batterie côtière n’étant présente à cet endroit, démontrant ainsi que les autorités n’ont à aucun moment envisagé que Napoléon tenterait un débarquement dans le sud de la France.
Tumblr media
Le lendemain matin, Napoléon consulte une carte pour planifier la suite de son itinéraire vers Grenoble. Il décide de suivre la route des Alpes plutôt que de traverser la vallée du Rhône, où il a été conspué l’année précédente en se rendant à l’île d’Elbe. La troupe se remet en marche, avec Napoléon montant à cheval et ses hommes à pied.
Au cours de la journée, des contacts sont établis avec les autorités locales et la population. Certains habitants manifestent leur soutien à Napoléon en illuminant leurs maisons et en criant “Vive l’Empereur”, tandis que d’autres observent son passage avec une certaine indifférence.
Après avoir stationné quelques heures à Cannes, Napoléon repart à l’aube en direction de Grasse. Ainsi se clôt, sur le littoral français, la première étape de ce que l’on appellera plus tard le “vol de l’Aigle”, un périple qui devait mener l’Empereur jusqu’à Paris en vingt jours.
***
On March 1st, 1815, a major historical event occurred when Napoleon Bonaparte landed at Golfe-Juan, marking the beginning of a period known as the Hundred Days. That day, a small flotilla appeared off the French coast, ending Napoleon's exile on the island of Elba. Departing from Elba on February 26th, Napoleon was aboard the Inconstant, accompanied by six other ships, along with his close associates and about a thousand soldiers from his guard.
Alongside the Emperor were the men who formed his government on the island of Elba: General Bertrand, in charge of internal affairs and one of his closest advisors; General Drouot, serving as Minister of War; and Peyrusse, the Crown Treasurer. Also present were General Cambronne, Dr. Fourreau de Beauregard, as well as Pons de l'Hérault, along with his staff, including Marchand, his head valet, and Saint-Denis, nicknamed "the Mameluke Ali."
During the crossing, Napoleon retreated to his cabin, immersed in drafting proclamations that would mark his return. These carefully prepared messages were intended to be distributed upon his arrival, both dated March 1st, the symbolic day of his landing and renewal.
In his address to the French people, he justified his return by explaining the circumstances of his departure in 1814, attributing his failure to the betrayal of marshals Augereau and Marmont. To the soldiers, he unveiled the paths to glory and uttered words that would become iconic: "Victory will advance at a quick pace. The Eagle, proudly displaying the national colors, will soar from steeple to steeple to the towers of Notre-Dame."
After three days of sailing, the flotilla finally anchored in the bay of Golfe-Juan. Napoleon, proudly displaying the French tricolor flag, decided to proceed with the landing. A squad of grenadiers was sent out for reconnaissance to ensure the coast was secure. Indeed, the coast was undefended, with no coastal battery present, demonstrating that the authorities had never considered Napoleon attempting a landing in southern France.
The next morning, Napoleon consulted a map to plan the rest of his route to Grenoble. He chose to follow the Alpine route rather than crossing the Rhône Valley, where he had been reviled the previous year on his way to Elba. The troop resumed their march, with Napoleon riding on horseback and his men on foot.
Throughout the day, contacts were made with local authorities and the population. Some residents showed their support for Napoleon by lighting up their homes and shouting "Long live the Emperor," while others watched his passage with indifference.
After spending a few hours in Cannes, Napoleon set off again at dawn towards Grasse. Thus ended, on the French coast, the first stage of what would later be called the "Flight of the Eagle," a journey that would lead the Emperor to Paris in twenty days.
6 notes · View notes