Tumgik
#comment envoyer sa musique aux médias
reussir-a-tout-prix · 5 months
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Comment optimiser votre stratégie de marketing digital en 2024. Quels sont les 10 tendances à suivre pour réussir votre transformation numérique. Voici 10 conseils pour vous aider à booster votre visibilité, votre notoriété et votre chiffre d'affaires grâce au marketing digital. Bonjour et bienvenue sur le blog de Kafunel.com, le site d'information qui vous propose toute l'actualité à travers les couvertures de vos journaux, hebdomadaires et magazines préférés sur le continent africain et à l'international. Aujourd'hui, nous vous proposons de découvrir l'histoire de Kafunel.com, qui a vu le jour en 2016. Qui est ce que Kafunel.com ? SOPANACOM, une entreprise innovante et dynamique qui œuvre dans divers domaines d'activité 1 Kafunel.com est né de la volonté de son fondateur, Monni AKA, de créer un média en ligne indépendant, innovant et participatif, qui met en avant la diversité culturelle et sociale de l'Afrique. Le nom Kafunel vient du mot mankagne "Ouhula" "kafunel", emprunté à la langue créole dérivée du portugais, qui signifie "entonnoir". Dans cette langue "Uhuula" le mot Kafunel a plusieurs sens dont voici quelques significations: - le premier le sens renvoie à un un instrument en forme de cône, terminé par un tube et servant à verser un liquide, une poudre, un granulé ou une pâte dans un récipient de petite ouverture. A noter que les entonnoirs sont faits d'un matériau suffisamment rigide, pour ne pas s'écraser sous le poids de ce que l'on verse, et imperméable. Il est d'usage en Occident de représenter les fous avec un entonnoir posé sur la tête à l'envers, dans les films et caricatures, les dessins animés, etc. - le deuxième sens renvoie à un instrument de musique d'où la Communication - Les commerciaux parlent de questionnaire en entonnoir quand ils veulent manipuler leur interlocuteur et l'amener à adopter un point de vue et une conclusion. C'est ainsi que Kafunel.com se veut un espace de partage d'informations, d'opinions et d'expériences entre les internautes africains et du monde entier. Kafunel.com couvre tous les domaines de l'actualité, de la politique à l'économie, en passant par le sport, la culture, la société ou encore l'environnement. Il propose également des rubriques originales, comme la titrologie, qui vous permet de consulter les unes des journaux africains et internationaux, ou encore le kiosque numérique, qui vous donne accès aux versions électroniques de vos magazines préférés. →A lire aussi LIVE / DIRECT Kafunel du Conseil constitutionnel, le contrôle des parrainages se poursuit (vidéo) Kafunel.com se distingue aussi par sa dimension participative, qui invite les internautes à contribuer au contenu du site, en envoyant leurs articles, leurs photos ou leurs vidéos. Kafunel.com dispose également d'une équipe de journalistes professionnels, basés dans plusieurs pays africains, qui assurent la vérification des informations et le respect de la déontologie journalistique. ` 10 tendances à suivre pour réussir votre transformation numérique SOPANACOM, une entreprise innovante et dynamique qui œuvre dans divers domaines d'activité 3 Le marketing digital est un domaine en constante évolution, qui nécessite de s'adapter aux nouvelles technologies, aux besoins des consommateurs et aux exigences des moteurs de recherche. Pour rester compétitif et atteindre vos objectifs, il est essentiel de mettre en place une stratégie de marketing digital efficace et innovante. Voici 10 conseils pour vous aider à booster votre visibilité, votre notoriété et votre chiffre d'affaires grâce au marketing digital. Comment optimiser votre stratégie de marketing digital en 2024 Le marketing digital est un domaine en constante évolution, qui nécessite de s'adapter aux nouveaux comportements des consommateurs, aux innovations technologiques et aux exigences des moteurs de recherche. Pour rester compétitif et atteindre vos objectifs, il est essentiel de mettre à jour votre stratégie de marketing digital et de suivre les tendances qui vont marquer l'année 2024.
Voici les 10 tendances à ne pas manquer pour optimiser votre présence en ligne et booster votre chiffre d'affaires. 1. Le marketing conversationnel Le marketing conversationnel consiste à créer une relation personnalisée et interactive avec vos prospects et vos clients, en utilisant des canaux de communication tels que les chatbots, les messageries instantanées, les réseaux sociaux ou les appels vocaux. Le marketing conversationnel permet de répondre aux besoins d'information, de conseil et d'assistance des utilisateurs, tout en augmentant leur engagement et leur fidélité. Selon une étude de HubSpot, 82% des consommateurs préfèrent interagir avec une marque via un canal de messagerie plutôt que par email. 2. Le marketing vidéo Le marketing vidéo est l'un des formats les plus efficaces pour capter l'attention, transmettre un message et susciter une émotion. Selon une étude de Cisco, la vidéo représentera 82% du trafic internet mondial en 2022. Le marketing vidéo englobe différents types de contenus, tels que les vidéos explicatives, les témoignages clients, les tutoriels, les webinaires, les stories ou les live. Le marketing vidéo permet de renforcer votre notoriété, votre crédibilité et votre taux de conversion. Adoptez le marketing vidéo SOPANACOM, une entreprise innovante et dynamique qui œuvre dans divers domaines d'activité 2 Le marketing vidéo est l'une des tendances les plus importantes du marketing digital en 2024. Selon une étude de Cisco, la vidéo représentera 82% du trafic internet mondial en 2022. La vidéo est un format qui permet de capter l'attention des internautes, de transmettre un message clair et efficace, de susciter l'émotion et l'engagement. Pour intégrer la vidéo dans votre stratégie de marketing digital, vous pouvez : - Créer des vidéos courtes et dynamiques, qui vont droit au but et qui incitent à l'action. - Varier les types de vidéos selon vos objectifs : tutoriels, témoignages clients, interviews d'experts, présentations de produits ou services, webinaires, live streaming, etc. - Diffuser vos vidéos sur les plateformes adaptées à votre cible : YouTube, Facebook, Instagram, TikTok, LinkedIn, etc. - Optimiser vos vidéos pour le SEO, en choisissant un titre accrocheur, 3. Le marketing d'influence Le marketing d'influence consiste à collaborer avec des personnes influentes sur les réseaux sociaux, qui peuvent recommander vos produits ou services à leur communauté. Le marketing d'influence permet de bénéficier de la confiance et de la crédibilité des influenceurs, tout en touchant une audience qualifiée et engagée. Selon une étude de Mediakix, le marché du marketing d'influence devrait atteindre 15 milliards de dollars en 2022. Le marketing d'influence peut prendre différentes formes, telles que les posts sponsorisés, les stories, les vidéos, les concours ou les codes promo. 4. Le marketing de contenu Le marketing de contenu consiste à créer et diffuser des contenus pertinents, utiles et attractifs pour votre audience cible, dans le but de générer du trafic, des leads et des ventes. Le marketing de contenu englobe différents types de contenus, tels que les articles de blog, les ebooks, les infographies, les podcasts, les newsletters ou les études de cas. Le marketing de contenu permet de renforcer votre positionnement, votre autorité et votre référencement naturel. Misez sur le contenu de qualité sopanacom - open ou ouvert Le contenu est le roi du marketing digital, et il le restera en 2024. Il s'agit du principal levier pour attirer, fidéliser et convertir vos prospects en clients. Mais attention, il ne suffit pas de produire du contenu en masse, il faut qu'il soit de qualité, pertinent, original et adapté à votre cible. Pour cela, vous devez : - Définir votre persona, c'est-à-dire le profil type de votre client idéal, ses besoins, ses attentes, ses motivations, ses freins, etc. - Réaliser un audit de votre contenu existant, pour identifier les points forts, les points faibles, les opportunités et les menaces.
- Établir un calendrier éditorial, pour planifier la création et la diffusion de votre contenu sur les différents canaux (site web, blog, réseaux sociaux, newsletter, etc.). - Créer du contenu à forte valeur ajoutée, qui répond aux questions de votre audience, qui apporte des solutions à ses problèmes, qui lui offre des conseils utiles, qui lui raconte une histoire, etc. - Optimiser votre contenu pour le référencement naturel (SEO), en utilisant des mots-clés pertinents, en structurant votre texte avec des titres et des sous-titres, en ajoutant des liens internes et externes, en insérant des images et des vidéos, etc. - Mesurer l'impact de votre contenu, en analysant les indicateurs clés de performance (KPI), tels que le trafic, le taux de rebond, le temps passé sur la page, le nombre de partages, le nombre de commentaires, le taux de conversion, etc. 5. Le marketing automation Le marketing automation consiste à automatiser certaines tâches répétitives et chronophages du marketing digital, grâce à des logiciels ou des plateformes dédiés. Le marketing automation permet de gagner du temps, d'optimiser vos performances et d'améliorer l'expérience client. Le marketing automation englobe différents aspects du marketing digital, tels que l'emailing, le lead nurturing, le scoring, le remarketing ou la personnalisation. 6. Le marketing omnicanal Le marketing omnicanal consiste à offrir une expérience client fluide et cohérente sur tous les points de contact avec votre marque, qu'ils soient physiques ou digitaux. Le marketing omnicanal permet de répondre aux attentes des consommateurs, qui utilisent plusieurs canaux pour rechercher, comparer et acheter un produit ou un service. Selon une étude de Harvard Business Review, les clients omnicanal dépensent en moyenne 4% de plus en magasin et 10% de plus en ligne que les clients monocanal. 7. Le marketing social Le marketing social consiste à utiliser les réseaux sociaux pour promouvoir votre marque, vos produits ou vos services, tout en créant une communauté engagée autour de vos valeurs. Le marketing social permet de renforcer votre visibilité, votre réputation et votre relation client. Le marketing social englobe différents types d'actions, tels que la création et l'animation de vos pages, la diffusion de contenus, la gestion de votre e-réputation, la mise en place de campagnes publicitaires ou le recours au user-generated content. 8. Le marketing mobile Le marketing mobile consiste à adapter votre stratégie de marketing digital aux spécificités des appareils mobiles, tels que les smartphones ou les tablettes. Le marketing mobile permet de répondre au comportement des utilisateurs, qui passent de plus en plus de temps sur leur mobile pour se connecter à internet, consulter leurs emails, effectuer des recherches ou réaliser des achats. Selon une étude de Statista, le nombre d'utilisateurs de smartphones devrait atteindre 3,8 milliards en 2021. Le marketing mobile englobe différents aspects du marketing digital, tels que le responsive design, l'optimisation du temps de chargement, l'expérience utilisateur, le référencement local ou les applications mobiles. 9. Le marketing vocal Le marketing vocal consiste à intégrer la voix comme un canal de communication et de transaction avec vos prospects et vos clients, grâce aux assistants vocaux, aux enceintes connectées ou aux podcasts. Le marketing vocal permet de profiter de la croissance du marché de la voix, qui offre une expérience plus naturelle, rapide et pratique aux utilisateurs. Selon une étude de Juniper Research, le nombre d'assistants vocaux devrait atteindre 8,4 milliards en 2024. Le marketing vocal englobe différents types d'actions, tels que l'optimisation de votre site web pour la recherche vocale, la création d'une skill ou d'une action pour votre marque, la diffusion de contenus audio ou la mise en place d'un chatbot vocal. 10. Le marketing responsable Le marketing responsable consiste à adopter une démarche
éthique et durable dans votre stratégie de marketing digital, en tenant compte des enjeux sociaux et environnementaux. Le marketing responsable permet de répondre aux attentes des consommateurs, qui sont de plus en plus sensibles à l'impact écologique et sociétal des marques qu'ils consomment. Selon une étude de Nielsen, 66% des consommateurs sont prêts à payer plus cher pour un produit ou un service issu d'une marque engagée. Le marketing responsable englobe différents types d'actions, tels que la réduction de votre empreinte carbone, la promotion de vos engagements RSE, la transparence sur votre chaîne de valeur ou la création d'un lien émotionnel avec votre audience. Conclusion SOPANACOM, une entreprise innovante et dynamique qui œuvre dans divers domaines d'activité Kafunel.com est plus qu'un simple site d'information, c'est une communauté de passionnés d'Afrique, qui partagent leur vision du continent et du monde. Rejoignez-nous sur Kafunel.com ! Le marketing digital est un levier essentiel pour développer votre activité et vous différencier de vos concurrents. Pour optimiser votre stratégie de marketing digital en 2024, il est important de suivre les tendances qui vont impacter le comportement des consommateurs et les pratiques du secteur. En adoptant une approche conversationnelle, vidéo, influente, omnicanale, mobile, vocale et responsable, vous pourrez créer une expérience client unique et fidéliser votre audience.
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katakaal · 5 months
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Comment optimiser votre stratégie de marketing digital en 2024. Quels sont les 10 tendances à suivre pour réussir votre transformation numérique. Voici 10 conseils pour vous aider à booster votre visibilité, votre notoriété et votre chiffre d'affaires grâce au marketing digital. Bonjour et bienvenue sur le blog de Kafunel.com, le site d'information qui vous propose toute l'actualité à travers les couvertures de vos journaux, hebdomadaires et magazines préférés sur le continent africain et à l'international. Aujourd'hui, nous vous proposons de découvrir l'histoire de Kafunel.com, qui a vu le jour en 2016. Qui est ce que Kafunel.com ? SOPANACOM, une entreprise innovante et dynamique qui œuvre dans divers domaines d'activité 1 Kafunel.com est né de la volonté de son fondateur, Monni AKA, de créer un média en ligne indépendant, innovant et participatif, qui met en avant la diversité culturelle et sociale de l'Afrique. Le nom Kafunel vient du mot mankagne "Ouhula" "kafunel", emprunté à la langue créole dérivée du portugais, qui signifie "entonnoir". Dans cette langue "Uhuula" le mot Kafunel a plusieurs sens dont voici quelques significations: - le premier le sens renvoie à un un instrument en forme de cône, terminé par un tube et servant à verser un liquide, une poudre, un granulé ou une pâte dans un récipient de petite ouverture. A noter que les entonnoirs sont faits d'un matériau suffisamment rigide, pour ne pas s'écraser sous le poids de ce que l'on verse, et imperméable. Il est d'usage en Occident de représenter les fous avec un entonnoir posé sur la tête à l'envers, dans les films et caricatures, les dessins animés, etc. - le deuxième sens renvoie à un instrument de musique d'où la Communication - Les commerciaux parlent de questionnaire en entonnoir quand ils veulent manipuler leur interlocuteur et l'amener à adopter un point de vue et une conclusion. C'est ainsi que Kafunel.com se veut un espace de partage d'informations, d'opinions et d'expériences entre les internautes africains et du monde entier. Kafunel.com couvre tous les domaines de l'actualité, de la politique à l'économie, en passant par le sport, la culture, la société ou encore l'environnement. Il propose également des rubriques originales, comme la titrologie, qui vous permet de consulter les unes des journaux africains et internationaux, ou encore le kiosque numérique, qui vous donne accès aux versions électroniques de vos magazines préférés. →A lire aussi LIVE / DIRECT Kafunel du Conseil constitutionnel, le contrôle des parrainages se poursuit (vidéo) Kafunel.com se distingue aussi par sa dimension participative, qui invite les internautes à contribuer au contenu du site, en envoyant leurs articles, leurs photos ou leurs vidéos. Kafunel.com dispose également d'une équipe de journalistes professionnels, basés dans plusieurs pays africains, qui assurent la vérification des informations et le respect de la déontologie journalistique. ` 10 tendances à suivre pour réussir votre transformation numérique SOPANACOM, une entreprise innovante et dynamique qui œuvre dans divers domaines d'activité 3 Le marketing digital est un domaine en constante évolution, qui nécessite de s'adapter aux nouvelles technologies, aux besoins des consommateurs et aux exigences des moteurs de recherche. Pour rester compétitif et atteindre vos objectifs, il est essentiel de mettre en place une stratégie de marketing digital efficace et innovante. Voici 10 conseils pour vous aider à booster votre visibilité, votre notoriété et votre chiffre d'affaires grâce au marketing digital. Comment optimiser votre stratégie de marketing digital en 2024 Le marketing digital est un domaine en constante évolution, qui nécessite de s'adapter aux nouveaux comportements des consommateurs, aux innovations technologiques et aux exigences des moteurs de recherche. Pour rester compétitif et atteindre vos objectifs, il est essentiel de mettre à jour votre stratégie de marketing digital et de suivre les tendances qui vont marquer l'année 2024.
Voici les 10 tendances à ne pas manquer pour optimiser votre présence en ligne et booster votre chiffre d'affaires. 1. Le marketing conversationnel Le marketing conversationnel consiste à créer une relation personnalisée et interactive avec vos prospects et vos clients, en utilisant des canaux de communication tels que les chatbots, les messageries instantanées, les réseaux sociaux ou les appels vocaux. Le marketing conversationnel permet de répondre aux besoins d'information, de conseil et d'assistance des utilisateurs, tout en augmentant leur engagement et leur fidélité. Selon une étude de HubSpot, 82% des consommateurs préfèrent interagir avec une marque via un canal de messagerie plutôt que par email. 2. Le marketing vidéo Le marketing vidéo est l'un des formats les plus efficaces pour capter l'attention, transmettre un message et susciter une émotion. Selon une étude de Cisco, la vidéo représentera 82% du trafic internet mondial en 2022. Le marketing vidéo englobe différents types de contenus, tels que les vidéos explicatives, les témoignages clients, les tutoriels, les webinaires, les stories ou les live. Le marketing vidéo permet de renforcer votre notoriété, votre crédibilité et votre taux de conversion. Adoptez le marketing vidéo SOPANACOM, une entreprise innovante et dynamique qui œuvre dans divers domaines d'activité 2 Le marketing vidéo est l'une des tendances les plus importantes du marketing digital en 2024. Selon une étude de Cisco, la vidéo représentera 82% du trafic internet mondial en 2022. La vidéo est un format qui permet de capter l'attention des internautes, de transmettre un message clair et efficace, de susciter l'émotion et l'engagement. Pour intégrer la vidéo dans votre stratégie de marketing digital, vous pouvez : - Créer des vidéos courtes et dynamiques, qui vont droit au but et qui incitent à l'action. - Varier les types de vidéos selon vos objectifs : tutoriels, témoignages clients, interviews d'experts, présentations de produits ou services, webinaires, live streaming, etc. - Diffuser vos vidéos sur les plateformes adaptées à votre cible : YouTube, Facebook, Instagram, TikTok, LinkedIn, etc. - Optimiser vos vidéos pour le SEO, en choisissant un titre accrocheur, 3. Le marketing d'influence Le marketing d'influence consiste à collaborer avec des personnes influentes sur les réseaux sociaux, qui peuvent recommander vos produits ou services à leur communauté. Le marketing d'influence permet de bénéficier de la confiance et de la crédibilité des influenceurs, tout en touchant une audience qualifiée et engagée. Selon une étude de Mediakix, le marché du marketing d'influence devrait atteindre 15 milliards de dollars en 2022. Le marketing d'influence peut prendre différentes formes, telles que les posts sponsorisés, les stories, les vidéos, les concours ou les codes promo. 4. Le marketing de contenu Le marketing de contenu consiste à créer et diffuser des contenus pertinents, utiles et attractifs pour votre audience cible, dans le but de générer du trafic, des leads et des ventes. Le marketing de contenu englobe différents types de contenus, tels que les articles de blog, les ebooks, les infographies, les podcasts, les newsletters ou les études de cas. Le marketing de contenu permet de renforcer votre positionnement, votre autorité et votre référencement naturel. Misez sur le contenu de qualité sopanacom - open ou ouvert Le contenu est le roi du marketing digital, et il le restera en 2024. Il s'agit du principal levier pour attirer, fidéliser et convertir vos prospects en clients. Mais attention, il ne suffit pas de produire du contenu en masse, il faut qu'il soit de qualité, pertinent, original et adapté à votre cible. Pour cela, vous devez : - Définir votre persona, c'est-à-dire le profil type de votre client idéal, ses besoins, ses attentes, ses motivations, ses freins, etc. - Réaliser un audit de votre contenu existant, pour identifier les points forts, les points faibles, les opportunités et les menaces.
- Établir un calendrier éditorial, pour planifier la création et la diffusion de votre contenu sur les différents canaux (site web, blog, réseaux sociaux, newsletter, etc.). - Créer du contenu à forte valeur ajoutée, qui répond aux questions de votre audience, qui apporte des solutions à ses problèmes, qui lui offre des conseils utiles, qui lui raconte une histoire, etc. - Optimiser votre contenu pour le référencement naturel (SEO), en utilisant des mots-clés pertinents, en structurant votre texte avec des titres et des sous-titres, en ajoutant des liens internes et externes, en insérant des images et des vidéos, etc. - Mesurer l'impact de votre contenu, en analysant les indicateurs clés de performance (KPI), tels que le trafic, le taux de rebond, le temps passé sur la page, le nombre de partages, le nombre de commentaires, le taux de conversion, etc. 5. Le marketing automation Le marketing automation consiste à automatiser certaines tâches répétitives et chronophages du marketing digital, grâce à des logiciels ou des plateformes dédiés. Le marketing automation permet de gagner du temps, d'optimiser vos performances et d'améliorer l'expérience client. Le marketing automation englobe différents aspects du marketing digital, tels que l'emailing, le lead nurturing, le scoring, le remarketing ou la personnalisation. 6. Le marketing omnicanal Le marketing omnicanal consiste à offrir une expérience client fluide et cohérente sur tous les points de contact avec votre marque, qu'ils soient physiques ou digitaux. Le marketing omnicanal permet de répondre aux attentes des consommateurs, qui utilisent plusieurs canaux pour rechercher, comparer et acheter un produit ou un service. Selon une étude de Harvard Business Review, les clients omnicanal dépensent en moyenne 4% de plus en magasin et 10% de plus en ligne que les clients monocanal. 7. Le marketing social Le marketing social consiste à utiliser les réseaux sociaux pour promouvoir votre marque, vos produits ou vos services, tout en créant une communauté engagée autour de vos valeurs. Le marketing social permet de renforcer votre visibilité, votre réputation et votre relation client. Le marketing social englobe différents types d'actions, tels que la création et l'animation de vos pages, la diffusion de contenus, la gestion de votre e-réputation, la mise en place de campagnes publicitaires ou le recours au user-generated content. 8. Le marketing mobile Le marketing mobile consiste à adapter votre stratégie de marketing digital aux spécificités des appareils mobiles, tels que les smartphones ou les tablettes. Le marketing mobile permet de répondre au comportement des utilisateurs, qui passent de plus en plus de temps sur leur mobile pour se connecter à internet, consulter leurs emails, effectuer des recherches ou réaliser des achats. Selon une étude de Statista, le nombre d'utilisateurs de smartphones devrait atteindre 3,8 milliards en 2021. Le marketing mobile englobe différents aspects du marketing digital, tels que le responsive design, l'optimisation du temps de chargement, l'expérience utilisateur, le référencement local ou les applications mobiles. 9. Le marketing vocal Le marketing vocal consiste à intégrer la voix comme un canal de communication et de transaction avec vos prospects et vos clients, grâce aux assistants vocaux, aux enceintes connectées ou aux podcasts. Le marketing vocal permet de profiter de la croissance du marché de la voix, qui offre une expérience plus naturelle, rapide et pratique aux utilisateurs. Selon une étude de Juniper Research, le nombre d'assistants vocaux devrait atteindre 8,4 milliards en 2024. Le marketing vocal englobe différents types d'actions, tels que l'optimisation de votre site web pour la recherche vocale, la création d'une skill ou d'une action pour votre marque, la diffusion de contenus audio ou la mise en place d'un chatbot vocal. 10. Le marketing responsable Le marketing responsable consiste à adopter une démarche
éthique et durable dans votre stratégie de marketing digital, en tenant compte des enjeux sociaux et environnementaux. Le marketing responsable permet de répondre aux attentes des consommateurs, qui sont de plus en plus sensibles à l'impact écologique et sociétal des marques qu'ils consomment. Selon une étude de Nielsen, 66% des consommateurs sont prêts à payer plus cher pour un produit ou un service issu d'une marque engagée. Le marketing responsable englobe différents types d'actions, tels que la réduction de votre empreinte carbone, la promotion de vos engagements RSE, la transparence sur votre chaîne de valeur ou la création d'un lien émotionnel avec votre audience. Conclusion SOPANACOM, une entreprise innovante et dynamique qui œuvre dans divers domaines d'activité Kafunel.com est plus qu'un simple site d'information, c'est une communauté de passionnés d'Afrique, qui partagent leur vision du continent et du monde. Rejoignez-nous sur Kafunel.com ! Le marketing digital est un levier essentiel pour développer votre activité et vous différencier de vos concurrents. Pour optimiser votre stratégie de marketing digital en 2024, il est important de suivre les tendances qui vont impacter le comportement des consommateurs et les pratiques du secteur. En adoptant une approche conversationnelle, vidéo, influente, omnicanale, mobile, vocale et responsable, vous pourrez créer une expérience client unique et fidéliser votre audience.
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drkweaversm · 6 years
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  Désolé de vous emmerder avec ça. Mais il y ait un sujet dont on ne parle quasiment jamais. Pas même dans les espaces gay et lesbien, dans les associations LGBT et encore moins dans les médias : La biphobie.
 Sur son site, SOS Homophobie la définit ainsi : « attitudes ou manifestations de mépris, de rejet ou de haine envers des personnes bi ». Ce n’est pas une mauvaise définition.
 Néanmoins, certaines personnes pensent que la biphobie n’existe pas. Qu’au fond, ce n’est qu’une autre forme d’homophobie qui ne mériterait pas nécessairement un mot à part entière. 
 Aujourd’hui, j’ai envie de montrer à ces personnes qu’elles ont tort. La biphobie existe. Et elle fait mal.
La fois la plus marquante où j'ai été confronté à la biphobie, c'était avec des membres de ma famille, je m'en rappellerais toute ma vie.
 Ces personnes étaient et sont toujours les personnes qui compte le plus dans ma vie. Ça rend la situation d’autant plus douloureuse...
Première fois qu’on en parlait à coeur ouvert depuis mon coming-out, c’etait bizarre et légèrement tendu... on en parlait tranquillement, j’ai eu le droit au questions d’usage : « mais pourquoi tu dis que tu es bisexuel ? », « mais t’es sûr que tu n’es pas gay ? », ect...
Et là la Phrase, avec un foutu P majuscule, « pour moi ça n’existe pas! »
C’etait clair, conci et sans appel... une simple accusation ! J’ai été pris de court, ne sachant quoi répondre... Ce « ça » insultant, l’injustice de l’accusation à peine voilée, l’inutilité de cette remarque frappante au détour d’une conversation qui devrait être anodine et simple...
Tous mes espoirs de leur faire comprendre mon orientation sexuelle, écrasés, pulvérisés par cette simple phrase... Ils reniaient ce que j’etais, trop campé sur leur position, sur leu vision « normale » des choses... une chose que j’ai appris ces dernières années : Inutile de vouloir raisonner quelqu’un convaincu d’avoir raison...
Après cette fois, d’autres ont suivi. Certaines plus marquantes que d’autres. Plus choquantes. Plus blessantes. Plus déprimantes.
 Vous savez, il n’y a aucune insulte spécifiquement bi. Forcément, la bisexualité n’est qu’une forme d’homosexualité, c’est bien connu. Je ne me suis donc jamais faite insulté parce que j’étais bisexuel. 
Par contre, je me rappelle de la soirée d’un ami, j’étais venue avec L. une de mes amies, bi elle aussi. On était tous regroupés autour de la table basse où s’entassaient verres, bouteilles, paquets de chips et cakes maison. Il y avait une douzaine de personnes présentes qui échangeaient dans un joyeux brouhaha. Je discutais avec L. que je n’avais pas vu depuis longtemps, on parlait de filles et de mecs et en particulier d’une fille qu’elle avait rencontré à la fac et qui lui plaisait beaucoup. Une conversation ordinaire... On n’avait aucune raison de se cacher, notre hôte était gay, la soirée friendly.
— T’es pédé toi ? Et elle ? C’est une gouine?
Voilà ce que m’a demandé un des mecs de la soirée en désignant mon amie et moi. J’ai avalé de travers, mes yeux me sont sortis de la tête. Il avait sorti ça avec un naturel effrayant, en souriant, comme il aurait pu demander de quelle fac on venait. J’étais tellement prise de cours que je n’ai pas su quoi répondre.
— Euuuuh, c’est quoi cette question ? 
— Pardon, je sais pas comment on dit.
— Je sais pas, utilise « lesbienne » et « gay » par exemple. Même si c’est pas le cas : on est tous les deux bi.
Il se fichait de nous...
Il ne connaissait pas d’autre manière de parler de femmes qui aiment les femmes ou d’homme aimant les hommes autrement qu’en utilisant des insultes. L'alcool que j'avais déjà ingurgité m'a fait perdre les répliques cinglantes que j'aurais aimé lui envoyer et je n’ai pas réalisé ce qui se passait sur le moment. Ce n’est que le lendemain matin que j’ai compris qu’on s’était vraiment fait insulter tous les deux, que j’ai pris conscience de la violence des propos qu’on m’avait tenu et de l’absurdité de la situation. 
 La biphobie s'immisce également dans les espaces gay-friendly...
 Je me souviens très bien d’un soir, sur la piste de danse d’un bar LGBT. Il y avait de la musique très forte, on était plongés dans la pénombre. Il faisait chaud. J’étais avec un groupe d’ami-e-s dont un très bon pote, bisexuel lui aussi, tout le monde savait très bien qu’il était bi et que cette fille l’était aussi. Ils flirtaient depuis un moment déjà, ce n’était pas vraiment un secret. Ils dansaient collé-serré, son bassin contre sien mien. Le courant passait ça se voyait. Ce soir-là, ils se sont embrassés pour la première fois. Naturellement, parce qu’ils etaient à l’aise. Ils n’imaginaient pas une seule seconde devenir le centre de l’attention.
— Wouhou les hétéros !
Il y a eu des rires. Pas de la part des anonymes autour de nous, juste de la part de nos ami-e-s. A côté, deux mecs se galochaient, ça ne faisait rire personne. La seule différence était qu’ ils étaient bi. Ici et maintenant, leur relation passait pour hétéro. Arrêtez de rire, ce n’est pas drôle.
Ce n'est pas drôle non plus la seconde, ni la troisième, ni la énième fois.
On avait envie de rentrer sous terre, et on savait que son flirt aussi rêvait de partir en courant. C’était gênant. J’avais rarement été aussi mal à l’aise de ma vie.
 En réaction à cette biphobie interne, j’ai décidé de créer un groupe bi et pan dans mon association LGBT avec un autre bi de l’asso. On était motivé, même si on avait un peu peur que l’idée ne prenne pas, que les concerné-e-s ne s’intéressent pas à notre projet.
Ce qui m’a le plus motivé, c’est la remarque d’un des mecs cis-gay de l’asso. Il prétendait encourager l’initiative. Pourtant sa seule réaction aura été :
— C’est mignon, mais entre nous, ça ne va intéresser personne !
Dans son esprit, il n’y avait pas de bi autour de lui. Ou pas suffisamment pour créer un groupe autour d’événements dédiés. La bisexualité, ça n’existe pas vraiment, après tout. Ou alors, ce n’est que transitoire. Un groupe ne peut pas se créer autour de tout ça, ça ne peut pas tenir. Impossible. 
Quelle n’a pas été ma joie lorsque j’ai pu lui annoncer qu’il y avait 20 personnes lors du premier événement, 30 au second ! 
Non, nous ne sommes pas seuls ! Oui, nous existons !
 N’étant pas intégrée aux espaces et groupes lesbiens, je ne pourrais pas vous parler de la biphobie en milieu lesbien. Par contre la biphobie en milieu gay, je commence à bien la connaître. 
Lorsque je me promène sur les sites gays, que je lis la presse gays, que je fréquente des lieux associatifs gays, un mot me sort par les yeux.
GAY. Il est partout.
Magazine 100% gay. Média gay. Radio gay. Soirée gay. Association gay. Cinéma gay. Archives gays. Romans gays. Porno gay. Rencontres gays.
Au début, ça ne me dérangeait pas. Je me disais que « gay» était tout simplement utilisé comme terme parapluie pour désigner les hommes qui aiment les hommes. J’étais naïf. Je me trompais. Parfois, on trouve la petite mention « Bisexuels s’abstenir » qui fait toujours plaisir. D’autres fois, c’est seulement sous-entendu. 
Ou pire, on considère que ce n’est pas nécessaire de citer explicitement les bi. Car ils seraient comprises dans « gays » dans le cas où ils seraient avec des hommes. Et si ils sont avec des femmes, de toute manière ils ne seraient pas concernés. 
Moi, ça me donne envie de chialer. Avant même d’avoir mis un pied dans ces communautés, je me sens exclu d’office. Illégitime. Non-concerné. Ignoré. Alors que bordel, je suis légitime, concerné et je dois être inclu ! 
Pourquoi la visibilité et l’identité gay devraient-elles se construire en piétinant celles des hommes bisexuels? Ne serions-nous pas plus forts ensemble ? 
Je ne comprends pas. 
Les gens pensent que c’est cool d’être bi, parce que ça fait deux fois plus de chances de pécho ou de trouver l’âme sœur. C'est sans compter sur la biphobie.
 J’ai tendance à parler de ma bisexualité très tôt quand je rencontre quelqu’un. Pour éviter les mauvaises surprises. Il y a deux ans, je fréquentais un fille, plutôt intelligente et cultivée.  On se promenait tous les deux dans les rues du quartier latin, discutant inlassablement de tout et de rien. Cela faisait plusieurs soirs qu’on se fréquentait ainsi. J’avais même mis ma chemise noire des grandes occasions en espérant lui plaire.
Pourtant un soir, au cours d'une conversation, j’ai réussi à glisser que j’étais bi. Comme ça, juste en passant, alors que je parlais de mes engagements en association LGBT. 
— Ça veut dire que tu sors à la fois avec un mec et une meuf ?
— Euh… non.
— Excuse, mais j’y connais rien à ces trucs là.
— Ouais non, ça veut juste dire que je peux être attiré par une fille ou un garçon, pas que je veux les deux en même temps.
Cette conversation m’a paru tellement surréaliste. Ce fille, elle avait dix-neuf ans, j’imaginais stupidement qu’elle connaissait au moins la définition de la bisexualité. En fait non. En même temps, où aurait-elle pu l’apprendre cette définition ?
Nous sommes passés à autre chose, avons lancé un nouveau sujet de conversation. Moins gênant. 
Je ne sais pas si c’est à cause de ça ou si c’est parce que finalement je ne lui plaisais plus, mais après cette soirée, elle ne m’a plus jamais rappelé. 
 Ayant pendant longtemps été l’une des seules personnes bi out dans mes groupes d’amis (avant que les autres osent faire leur coming-out), j’ai souvent été « le » référent bi. Sans doute comme des mecs hétéro vont voir leur ami gay* pour qu’il leur raconte comment c’est « les garçons », mes amis gays venaient me chercher pour parler de cette curiosité qu’était la bisexualité pour eux.  *(oups j’oubliait que c’était, hélas, quasiment inexistant...) C’est ainsi qu’au cours de conversations bienveillantes et pourtant très posées, j’ai eu droit aux remarques suivantes :
— Je ne pourrais jamais sortir avec un bi, c’est pas contre toi ou contre les bi. Mais mentalement, je pourrais pas supporter l’idée qu’il ait eu une meuf avant.
— Mon premier copain était bi, il m’a quittée parce qu’il n’assumait pas et il est sortie avec une fille . Malgré moi, j’ai toujours peur que ça se reproduise. Je ne pourrais plus jamais sortir avec un bi. 
Je n’ai jamais su quoi leur répondre. Ces garçons étaient pleins de bonnes intentions, vraiment très amicaux et ouverts d’esprit. Il n’empêche que dans les faits, c’est toujours la même chose. On ne veut pas de relation avec moi, parce que je suis bi. Et il paraît que c’est dangereux pour un couple.
Je préférerai mille fois être mis sur le côté sous prétexte d’être trop moche, trop con, trop chiant, plutôt que ce soit… juste parce que je suis bi. Vous en connaissez beaucoup des mecs hétéros qui ne sortent pas avec des filles parce qu’elles sont hétéros ? Ou des lesbiennes qui ne sortent pas avec des filles parce qu’elles sont lesbiennes ? 
Pourtant moi, c’est ce qui m’arrive. On m’exclue d’office parce que je suis bi. 
 Ça a l’air de rien, tout ce que je raconte. Je sais que je suis privilégié et que je n’ai pas vécu la moitié des horreurs que certaines personnes LGBT ont pu malheureusement rencontrer au cours de leur vie. Mais il n’en demeure pas moins que j’ai souffert de cette biphobie silencieuse, insidieuse, vicieuse qui m’oppresse partout où je vais.
C'est un peu comme si toute ma vie, on avait cherché à me faire douter de ma propre existence. J'ai passé des années à m'auto-persuader que ce que je ressentais n'existait pas, que je ne traversais qu'une phase et que de toute manière, je ferais forcément ma vie avec une fille. Il ne pouvait pas en être autrement. Mon attirance pour les garçons ne pouvait qu'être accessoire. Un bonus pour l'femme qui partagerait ma vie. 
On a essayé de me faire croire que ma bisexualité était un privilège. Car grâce à elle, on m'assurait que je ne subirais jamais d'homophobie et que j'aurais davantage de succès auprès de la gente féminine . QUE NENNI ! C'est un beau mensonge. Il n'y a aucun privilège. 
Juste cette peur qui me serre les entrailles à chaque fois que je dois parler de moi, de mon passé, de mes désirs. Peur de ne pas être compris. Peur d'être ignoré. Peur d'être ridiculisé. Peur d'être rejeté. Peur d'être insulté. 
"Honte. Rejet. Isolement. Dépression. Suicide."
Ces mots prennent aussi beaucoup trop de sens chez les personnes bi. Y compris chez moi. 
Parce qu’elles ne sont pas supposées exister. Alors pourquoi se donner la peine de les représenter ? 
Ou alors, elles ne font que suivre une mode. Alors pourquoi s’y intéresser ?
Et de toute manière, elles finiront par choisir. Alors pourquoi leur donner la parole ?
Vous savez quoi ? Je ne suis ni en recherche d’attention, ni un phénomène de mode, ni quelqu’un en questionnement, ni le symbole d’une société utopique où tout le monde serait ouvert d’esprit et donc bisexuel. 
Je suis seulement bisexuel. J’existe. 
Et la biphobie, je la subis.
Article dont je me suis inspiré:
http://petitsmensonges.canalblog.com/archives/2016/01/04/33160275.html
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derekglieber · 5 years
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L’histoire des médias sociaux en 29 moments forts
L’histoire des médias sociaux en 29 moments forts,  les plus décisifs de l’histoire des médias sociaux, de la création du tout premier réseau social (dans les années 1990) aux derniers changements que connaissent des réseaux comptant des milliards d’utilisateurs.
Alors asseyez-vous, détendez-vous et plongez dans un passé qui raconte l’avenir.
Bonus: Notre guide en 8 étapes pour développer votre présence sur les réseaux sociaux vous aidera à élaborer une stratégie social media des + efficaces !
Les 29 moments décisifs de l’histoire des médias sociaux
1. Naissance du premier site de médias sociaux (1997)
Sur l’un des premiers véritables sites de médias sociaux, à savoir SixDegrees.com, on peut configurer une page de profil, créer des listes de contacts et envoyer des messages au sein de réseaux.
Le site compte environ un million d’utilisateurs, avant d’être racheté pour 125 millions de dollars, puis fermé en 2000. Après un modeste retour quelques années plus tard, le site subsiste aujourd’hui.
2. Hot or Not (2000)
Comment oublier Hot or Not ( AmIHotorNot.com ), site qui invitait les utilisateurs à poster des photos d’eux-mêmes afin d’être évalués par les autres utilisateurs en fonction de leur charme. Selon la rumeur, le site aurait influencé les créateurs de Facebook et de YouTube, et il aurait alimenté le manque de confiance de millions de personnes.
Après avoir été vendu plusieurs fois, le site a été revisité sous forme de « jeu » en 2014 par ses nouveaux propriétaires.
3. Friendster (2002)
Puis vint le meilleur ami pour la vie : Friendster.
Lancé en 2002, Friendster est à l’origine un site de rencontre, qui permet aux utilisateurs à faire la connaissance d’amis de leurs amis. On peut y créer un profil, inclure des « mises à jour de statut » et indiquer son humeur. Un service de messagerie permet également d’envoyer des messages à des « amis d’amis d’amis ».
Malheureusement, en 2003, le site connaît un pic de popularité auquel l’entreprise n’est absolument pas préparée. Les serveurs sont saturés, ce qui se répercute sur les utilisateurs qui commencent à se connecter ailleurs.
4. MySpace : « un endroit pour les amis » (2003)
Mécontents du service de Friendster, les utilisateurs abandonnent massivement le site et optent pour le rival MySpace, qui devient rapidement le site de prédilection de millions d’adolescents branchés. Visibles de tous, les profils publics personnalisables de MySpace (qui contiennent souvent de la musique, des vidéos et des selfies de mauvaise qualité) contrastent avec les profils privés de Friendster, qui sont réservés aux utilisateurs inscrits.
2005 marque l’apogée de MySpace. Le site compte 25 millions d’utilisateurs et se classe à la cinquième place des sites les plus populaires aux États-Unis. La même année, le site est vendu à NewsCorp. C’est alors le début du déclin : d’ultra-tendance, le site devient ultra-kitsch.
5. Les médias sociaux gagnent du terrain (2003-2005)
En 2003, Mark Zuckerberg lance Facemash, décrit comme étant la réponse de l’université de Harvard au réseau Hot or Not. « The Facebook » lui fait suite en 2004. Le site atteint le million d’utilisateurs inscrits cette même année, et abandonne l’article « the » pour devenir simplement « Facebook » en 2005, après l’achat du domaine « Facebook.com » pour la somme de 200 000 $.
À la même époque, un raz-de-marée d’autres sites de médias sociaux déferle :
LinkedIn fait son apparition, ciblant la communauté des entreprises. Naissent également des sites de partage de photos comme Photobucket et Flickr, le site web social del.ici.ous axé sur le partage de marque-pages Internet et la plateforme aujourd’hui omniprésente de création de blogs WordPress.
YouTube entre en scène en 2005. Vous souvenez-vous de « Me at the zoo », la toute première vidéo YouTube dans laquelle un homme commente sa visite au zoo devant l’enclos des éléphants ? Cette vidéo totalise aujourd’hui 56 millions vues.
La même année, le site web communautaire d’actualités sociales Reddit est lancé.
6. Éclosion de Twitter (2006)
S’il est né en 2004, c’est en 2006 que Facebook prend véritablement son envol : le réseau social permet à tout le monde de s’inscrire et passe d’un club réservé aux étudiants de Harvard à un réseau mondial.
Twttr, qui devient ensuite Twitter, décolle également en 2006.
Le tout premier tweet de l’histoire est publié par son cofondateur, @Jack Dorsey, le 21 mars 2006 : « just setting up my twttr » [je viens de configurer mon compte twttr]. Quelle bonne idée d’avoir changé de nom, car « twttr » n’était franchement pas « trrbl » !
Dorsey envisage d’abord twttr comme un outil de communication par SMS permettant l’envoi de mises à jour de statut entre amis. Apparemment, lors des premières phases de développement, l’équipe twttr a accumulé quelques factures salées en frais de SMS. TechCrunch souligne que les premiers utilisateurs de twttr envoyaient des messages du genre « Nettoyage de mon appartement » ou « J’ai faim » (finalement, le temps passe mais rien ne change !).
7. LinkedIn « dans le vert » (2006)
Se distinguant radicalement des autres réseaux, LinkedIn (autrefois surnommé « MySpace pour adultes ») est le premier réseau social à proposer à ses utilisateurs des forfaits Premium payants. Son espace Emplois et Abonnements, et son premier forfait Premium Business permettent à LinkedIn de générer du chiffre d’affaires dès les premières années.
En 2006, seulement trois ans après son lancement (et trois ans avant Facebook !), LinkedIn engendre pour la première fois des bénéfices.
« En ce qui nous concerne, un an de rentabilité n’est qu’un « aperçu » du succès que nous visons chez LinkedIn », affirme le directeur des médias sociaux, Mario Sundar, dans un billet de blog qui encense la première année de LinkedIn « dans le vert ».
La rentabilité du site est un thème récurrent dans la course à l’introduction en bourse, qu’il s’agisse de LinkedIn ou de ses nombreux imitateurs.
8. YouTube se fait des partenaires (2007)
Après des débuts éléphantesques, YouTube gagne en popularité : de la date de sa version bêta en mai 2005 à son lancement officiel en décembre 2005, le réseau comptabilise près de huit millions de vues quotidiennes. Puis les choses s’accélèrent : avant même d’être racheté par Google à l’automne 2006, le site compte 100 millions de vidéos, regardées par 20 millions d’utilisateurs dévoués.
En mai 2007, YouTube lance son Programme Partenaire, qui marque un tournant pour le site. L’initiative n’a rien de mystérieux : il s’agit d’une partenariat entre YouTube et ses créateurs de contenus populaires. YouTube fournit la plateforme, les créateurs fournissent le contenu. Les bénéfices issus des publicités diffusées sur les chaînes des créateurs sont partagées entre les deux parties.
9. Tumblr et l’ère du microblogging (2007)
En 2007, Tumblr décrit comme « la rencontre de Twitter avec YouTube et WordPress » débarque. Alors âgé de 17 ans, David Karp lance Tumblr depuis sa chambre dans l’appartement de sa mère à New York. Le site permet aux utilisateurs de publier des photos, vidéos et textes, et de « rebloguer » leurs amis dans leur « tumblelogs ».
Peu après, le terme de microblogging est couramment employé pour décrire à la fois Twitter et Tumblr, qui permettent tous deux à leurs utilisateurs d’« échanger des contenus de petite taille, comme des phrases courtes, des images ou des liens vidéo ».
10. L’avènement du hashtag (2007)
La limite stricte des tweets à 140 caractères place Twitter à distance de ses rivaux, y compris Facebook et Tumblr. Mais à l’ère du numérique, s’il est une chose que l’on doit à Twitter, c’est surtout le hashtag, symbole qui a permis aux organisateurs politiques et aux citoyens lambda de mobiliser, promouvoir et sensibiliser autour de questions sociales critiques (et pas si critiques).
Les hashtags ont également semé les graines qui ont permis l’éclosion de mouvements tels que #Occupy, #BlackLivesMatter et #MeToo.
D’autres hashtags occupent le temps, comme #SundayFunday, #YOLO et #Susanalbumparty.
Comme l’histoire le raconte, au cours de l’été 2007, l’un des premiers adeptes de Twitter, Chris Messina, propose d’utiliser le hashtag (symbole inspiré de ses débuts sur les discussions relayées par Internet, ou IRC) pour classer les tweets. Il faut attendre plusieurs mois avant que le hashtag #SanDiegoFire apparaisse pour regrouper tous les tweets et les informations à propos des feux de forêt en Californie.
Pourtant, Twitter n’adopte totalement le hashtag qu’en 2009, prenant alors conscience que ce symbole est plus qu’un simple moyen d’organiser les contenus, mais un langage unique permettant d’exprimer des idées et des émotions sur Internet. Le hashtag dynamise la plateforme et séduit de nouveaux utilisateurs.
11. Bienvenue Weibo (2009)
Puisque nous parlons de microblogging, il convient de citer le site chinois de microblogage Sina Weibo, ou simplement Weibo. Mélange de Facebook et de Twitter, ce site est lancé en 2009 – l’année même où Facebook et Twitter sont interdits en Chine. Aux côtés de Qzone et QQ, Weibo reste l’un des réseaux sociaux les plus populaires de Chine, avec pas moins de 340 millions d’utilisateurs connectés chaque mois.
12. Retour à la terre avec FarmVille (2009)
Pendant ce temps, de l’autre côté de l’océan, 2009 est l’année où grand-père, grand-mère et tante Claudine rejoignent Facebook et ne peuvent résister à la tentation de vous inviter à participer au nouveau passe-temps familial : FarmVille. Et comme vous n’êtes pas suffisamment occupé dans « la vie réelle », vous commencez à diriger une exploitation agricole virtuelle.
Ce jeu social addictif a même figuré dans la liste des pires inventions au monde, publiée par le TIME Magazine. (Évidemment, cette nomination n’a pas empêché Zynga de créer des dérivés comme PetVille, FishVille et FarmVille 2.)
13. Quand votre « check-in » Foursquare évince votre mise à jour Farmville (2009)
L’année 2009 montre également aux utilisateurs comment acquérir des « titres » grâce à leurs trajets quotidiens. L’application de géolocalisation Foursquare est l’une des premières à permettre aux utilisateurs d’indiquer où ils se trouvent et de publier des check-ins, en recommandant certains quartiers ou villes à leur famille et à leurs amis. Ils peuvent même décrocher le titre de maire virtuel d’un lieu donné.
14. Grindr révolutionne les rencontres (2009)
En 2012, il est vrai que l’application Tinder transforme la culture des rencontres en ligne. Mais dès 2009, Grindr est la première application de rencontres géolocalisée destinée aux hommes homosexuels et bisexuels, permettant à ses utilisateurs de discuter et de rencontrer des hommes géolocalisés à proximité. Pour le meilleur comme pour le pire, cette application a révolutionné la culture de la drague chez les homosexuels, et a ouvert la voie à de nombreuses applications similaires comme Scruff, Jack’d, Hornet, Chappy et Growlr (destinée aux ours).
15. Unicode adopte l’emoji (2010)
La culture digitale est bousculée quand apparaît le premier emoji sur les téléphones portables japonais, en 1999, grâce à l’initiative de Shigetaka Kurita. Le moins que l’on puisse dire, c’est que les emojis se sont popularisés à la vitesse de l’éclair.
Au milieu des années 2000, les emojis commencent à se développer à l’échelle mondiale, sur les plateformes Apple et Google.
Réalisant qu’il devenait pratiquement impossible pour les utilisateurs d’écrire un message sans insérer un pouce vers le haut, le standard Unicode adopte l’emoji en 2010. On légitime ainsi les emojis en tant que langage. D’ailleurs, l’emoji représentant un visage hilare (en anglais, « Face with tears of joy ») a même été adopté en tant que « mot » par l’Oxford Dictionary en 2015.
Et à chaque pays son emoji : les Américains préfèrent les têtes de mort, les Canadiens sont numéro un en ce qui concerne l’utilisation du tas de caca qui sourit (un peu gênant, non ?) et les Français sont (évidemment) adeptes du cœur.
16. Instagram entre en scène (2010)
Vous souvenez-vous de l’époque où les filtres n’existaient pas ? Où il était impossible de partager une photo en y ajoutant le filtre Gingham avec lequel tout devient « vintage » ?
Nous devons aux fondateurs d’Instagram notre incapacité à passer une journée sans poster une photo retouchée avec un filtre type Polaroïd sur nos fils d’actualité. Le 16 juillet 2010, l’une des premières photos publiées sur Instagram par son cofondateur Mike Krieger (@mikeyk) représente un port de plaisance. La photo ne comporte aucune légende et elle est truffée de filtres.
View this post on Instagram
A post shared by Mike Krieger (@mikeyk) on Jul 16, 2010 at 10:26am PDT
Cette image a certainement inspiré le milliard d’utilisateurs du monde entier qui publie aujourd’hui plus de 95 millions d’images par jour (selon des chiffres de 2016).
17. Pinterest tire son épingle du jeu (2010)
Malgré un premier lancement du site en bêta fermée en 2010, ce n’est qu’en 2011 qu’« épingler » devient le nouveau passe-temps favori des reines et des rois de la déco intérieure. Le réseau social Pinterest, qui permet d’épingler ses centres d’intérêt, a même été qualifié de « drogue digitale pour les femmes », donnant aux magazines et blogs féminins une nouvelle raison d’être.
Selon un rapport évaluant le site en 2012, les catégories les plus populaires sur Pinterest sont l’habitat, les travaux manuels et la mode. C’est toujours vrai en 2018.
De récentes statistiques indiquent que deux millions de personnes publient des « pins » chaque jour, et que le site compte un milliard de « pins » !
18. Soulèvement #Jan25 sur la place Tahrir (2011)
Le 25 janvier 2011, des centaines de milliers d’Égyptiens descendent dans les rues et se rassemblent place Tahrir, au Caire, afin de protester contre 30 années de dictature sous Hosni Mubarak. Le soulèvement finit par pousser Mubarak à démissionner, de la même manière que les manifestations tunisiennes avaient évincé le dictateur Zine el-Abidine Ben Ali quelques jours plus tôt.
Des mouvements similaires, qui prennent collectivement le nom de « Printemps arabe », balaient les pays du Moyen-Orient et de l’Afrique du Nord, dans l’espoir de renverser les pouvoirs en place et d’apporter aux peuples des changements positifs. Selon plusieurs rapports, les réseaux sociaux jouent alors un rôle essentiel pour les organisateurs des manifestations, permettant à ces derniers de mobiliser, diffuser et façonner l’opinion.
Les hashtags Twitter les plus populaires (#Egypt, #Jan25, #Libya, #Bahrain et #protest) sont tweetés des millions de fois au cours des trois premiers mois de l’année 2011. L’utilisation de Facebook se développe dans toute la région arabe et double dans certains pays.
Le gouvernement parvient à bloquer brièvement tout accès à Facebook et Twitter, mais très vite, les activistes trouvent d’autres façons créatives de s’organiser, inspirant les spectateurs de toute la planète.
19. Snapchat séduit  (2011)
Pratiquement un an jour pour jour après Instagram, son futur rival,  « Picaboo », est lancé, avant d’être rapidement rebaptisé Snapchat suite à une action en justice menée par une entreprise de livres photos qui portait déjà ce nom (et ce n’est pas plus mal !).
Si l’application rencontre un succès immédiat, c’est parce qu’elle puise dans le caractère éphémère des moments de la vie : les utilisateurs publient des contenus (« snaps ») qui disparaissent au bout de 24 heures. (L’application leur permet même de vomir des arcs-en-ciel…)
Cette disparition des snaps séduit la tranche d’âge des adolescents, qui sont les premiers à utiliser l’application. Pour les ados, Snapchat constitue par ailleurs l’alternative parfaite pour retrouver leurs amis – et pour fuir leur famille sur Facebook.
20. Google Plus veut participer à la f��te (2011)
En 2011, Google tente une nouvelle fois de s’imposer face à Facebook et Twitter – après avoir essuyé plusieurs échecs comme Google Buzz et Orkut. L’entreprise lance alors Google+ ou Google Plus qui repose sur un système d’invitations uniquement. Cet été-là, les nouveaux utilisateurs peuvent envoyer 150 invitations d’ici l’ouverture officielle du site en septembre. Mais la demande est si élevée que Google doit finalement faire machine arrière.
Google Plus se distingue de Facebook par ses « cercles » qui permettent de créer facilement des groupes d’amis et de connaissances, sans avoir besoin d’envoyer une demande d’ami.
À la fin de l’année 2011, Google Plus fait totalement partie de services tels que Gmail et Google Hangout. Malheureusement, en raison du calendrier de son lancement (qui intervient après Facebook et Twitter), ce réseau social peine à atteindre le nombre pharamineux d’utilisateurs actifs de ses concurrents. (Il est des fêtes auxquelles on ne peut arriver en retard…)
Aujourd’hui le réseau social est en fermeture progressive.
21. Facebook célèbre un milliard d’utilisateurs (2012)
Seulement huit années après son lancement par Mark Zuckerberg dans sa chambre étudiant à Harvard, Facebook annonce que son nombre d’utilisateurs vient d’atteindre une étape importante, puisqu’il équivaut maintenant à la population de l’Inde.
« Si vous lisez ceci : merci d’avoir donné à ma petite équipe et à moi-même l’honneur de vous servir. Aider un milliard de gens à être en contact est incroyable, cela rend humble et c’est de loin la chose dont je suis le plus fier dans ma vie », commente Zuckerberg.
Avec du recul, quand on sait que Facebook compte aujourd’hui deux milliards d’utilisateurs et trois autres plateformes pesant chacune un milliard d’utilisateurs – à savoir WhatsApp, Messenger et Instagram – cette citation semble encore plus désuète.
22. L’année du selfie (2014)
Twitter proclame 2014 « Année du Selfie » suite au selfie réalisé par Ellen DeGeneres lors de la cérémonie des Oscars. Vous connaissez cette photo, ou vous devriez la connaître, car ce selfie a été retweeté plus de trois millions de fois, établissant un nouveau record sur Twitter et remportant le prix Twitter « Golden tweet » de l’année.
If only Bradley's arm was longer. Best photo ever. #oscars pic.twitter.com/C9U5NOtGap
— Ellen DeGeneres (@TheEllenShow) March 3, 2014
Le débat sur qui a réalisé le premier selfie n’est toujours pas résolu. Paris Hilton affirme l’avoir créé en 2006. D’autres soutiennent qu’il s’agirait d’un certain Robert Cornelius, en 1839 (il n’a pas pu faire de commentaire à ce sujet).
23. Meerkat, Periscope : la guerre du streaming commence (2015)
Meerkat est la première application à créer l’engouement pour la vidéo en direct. Peu après, Twitter lance Periscope et remporte la première guerre du streaming (une autre viendra, j’en suis convaincu).
Simple à utiliser, Periscope devient l’application préférée des utilisateurs pour retransmettre et regarder des événements en direct. Pour séduire les utilisateurs, rien de tel que des cœurs pour exprimer son enthousiasme devant une vidéo et honorer le streamer. L’appli rencontre est tel succès qu’elle remporte le prix Application iOS de l’année 2015 décerné par Apple.
Trois ans plus tard, l’application rencontrerait des difficultés. Mais comme elle est intégrée à l’application mobile Twitter, il est toujours possible de devenir une star sur Periscope.
24. Facebook LIVE (2016)
Tardant à participer à la bataille de la vidéo en direct, Facebook commence par développer des fonctionnalités de streaming sur sa plateforme en 2016. Mais l’entreprise met tout en œuvre pour garantir sa réussite dans ce domaine, se dotant de ressources supplémentaires et établissant des partenariats avec des médias traditionnels tels que Buzzfeed, le Guardian et le New York Times.
L’attention particulière de Zuckerberg et le nombre impressionnant d’utilisateurs du réseau social ont également permis à Facebook d’asseoir sa domination.
25. Instagram lance les Stories (2016)
S’inspirant de la stratégie de Snapchat, Instagram lance les « Stories » afin de permettre à ses utilisateurs de poster des séquences photo et vidéo qui disparaissent sous 24 heures (bien que ces séquences puissent désormais être sauvegardées et archivées). À l’aide de filtres, stickers, sondages, hashtags et highlights, les Stories parviennent à rendre l’application Instagram encore plus addictive, alors même que cela semblait impossible.
26. Les élections américaines et la crise des fake news sur les médias sociaux (2016)
On pourrait dire que 2016 est une très mauvaise année pour les médias sociaux et, par extension, pour la démocratie.
Une guerre de l’information est savamment menée à l’aide d’« usines à trolls » sur les médias sociaux afin de propager de fausses informations (y compris de fausses déclarations et des théories du complot) au cours des élections présidentielles américaines. Des leaders d’opinion de médias traditionnels comme des journalistes, des experts et des politiciens (jusqu’à Hillary Clinton et Donald Trump) répandent des contenus qui s’avèrent avoir été partagés sur les réseaux sociaux par des bots.
Depuis, Facebook a révélé que 126 millions d’Américains avaient été exposés à des contenus publiés par des agents russes au cours des élections.
En 2018, les représentants de Facebook, Twitter et Google comparaissent devant le Congrès des États-Unis afin d’apporter leur témoignage dans le cadre des enquêtes sur l’ingérence russe dans la présidentielle américaine.
27. Twitter double la limite de caractères (2017)
Afin d’attirer plus d’utilisateurs, Twitter multiplie par deux sa mytique limite de caractères, qui passe de 140 à 280. L’initiative est largement critiquée par les utilisateurs (qui espèrent également que Trump ne sera pas informé de cette nouveauté).
Évidemment, c’est @Jack qui publie le premier tweet de 280 caractères :
This is a small change, but a big move for us. 140 was an arbitrary choice based on the 160 character SMS limit. Proud of how thoughtful the team has been in solving a real problem people have when trying to tweet. And at the same time maintaining our brevity, speed, and essence! https://t.co/TuHj51MsTu
— jack (@jack) September 26, 2017
Si la mise en place des « discussions » (ou « Twitterstorms ») était déjà une révolution, cette nouvelle initiative implique que les tweets les plus WTF (comprenez : c’est quoi ce délire ?) sont difficiles à éviter puisque tout le monde profite pleinement des 280 caractères.
28. Cambridge Analytica et #DeleteFacebook (2018)
Début 2018, on apprend que Facebook a autorisé un chercheur de la société Cambridge Analytica (qui avait travaillé sur la campagne présidentielle de Donald Trump) à acquérir les données de 50 millions d’utilisateurs du réseau social sans leur consentement. La campagne #DeleteFacebook (#SupprimeFacebook) se propage sur Internet : les utilisateurs protestent en supprimant massivement leurs profils Facebook. Malgré ce scandale, le nombre d’utilisateurs Facebook continue à grimper.
Subissant des pressions de plus en plus fortes pour répondre au problème de protection des données, Zuckerberg participe à cinq jours d’audience devant le Congrès américain.
29. Instagram lance l’application IGTV (2018)
Vous pensiez que Boomerang était la seule application vidéo qu’Instagram avait dans sa manche ? Détrompez-vous. Instagram est désormais prête à rivaliser avec YouTube : l’entreprise permet maintenant à ses utilisateurs de publier des vidéos allant jusqu’à une heure (contre 1 minute jusqu’ici), et lance une toute nouvelle appli baptisée IGTV, dédiée aux vidéos longues.
À venir en 2019
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Presse et relations publiques : comment exister dans les médias ?
Votre prochain disque est enregistré, votre dernier clip est tourné, votre future tournée est bookée, place maintenant à la promotion de votre musique. Mais comment parvenir à vous faire une place dans les médias culturels ? Suivez le guide…
Cinq étapes pour soigner et maximiser la promotion de votre projet :
1. Soyez préparé
 Vous sortez un EP, un album, un single, un clip ? Malgré l’excitation, ne grillez pas les étapes en envoyant des mails incomplets à tout va. Avant de contacter les journalistes qui feront peut-être de vous les prochains Foo Fighters, soyez sûr d’avoir préparé un bon dossier de presse. Au minimum, il devra contenir une bio, des photos (en excellente qualité) et tous les liens via lesquels vous retrouver et vous écouter. N’oubliez pas que les rédacteurs et autres protagonistes du milieu reçoivent des dizaines de mails chaque jour. Si le vôtre est trop vague, trop long ou peu attractif, il rejoindra vite la corbeille. Durant la préparation dudit dossier, l’important est de trouver un équilibre entre la mise en avant de vos atouts et la modestie. A titre d’exemple, vous pouvez vous comparer à d’autres formations pour situer votre style, mais ne vous vendez pas comme le nouveau Jack White.
Pensez également à ne pas sombrer dans le cliché du groupe émergent. Évitez d’écrire que « Ben et Tom se sont rencontrés au collège, où ils se sont découverts une passion commune pour la musique. Quelques années et deux groupes de reprises des Red Hot plus tard, ils vous livrent leurs premières compositions personnelles ». Votre biographie ne doit pas raconter une histoire qui pourrait être celle de n’importe quel autre groupe. Mettez plutôt en avant ce qui rend le vôtre unique. Ses spécificités, son essence, ce qu’il tente d’exprimer via sa musique. En un mot, votre identité. Pour vos photos également, tâchez de ne pas reproduire ce qui a déjà été fait par la moitié des groupes du pays. Évitez donc de poser avec un air mystérieux dans un bâtiment désaffecté ou une forêt.
Une fois votre dossier de presse confectionné, rendez-le facile à trouver. Placez-le par exemple sur votre site web et glissez-le systématiquement à la fin de vos e-mails aux journalistes. Si l’un d’eux souhaite écrire un papier sur votre groupe, faites-en sorte qu’il ait tout ce dont il a besoin directement à sa disposition. Par ailleurs, si un rédacteur tombe spontanément sur vous, assurez-vous qu’il sache vous joindre au plus vite. Votre adresse de contact est-elle bien indiquée sur votre page Facebook ? Vérifiez aussi que les informations reprises sur vos réseaux sociaux soient à jour.
2. Contactez les bonnes personnes…
 Le ciblage est l’une des clés des relations de presse. Envoyer votre dernier titre reggae à un magazine électro serait une perte de temps pour vous et pour votre interlocuteur. Scrutez les journaux et magazines culturels, les webzines, les grilles radio,… qui sont les journalistes qui pourraient aimer et relayer votre musique ? N’hésitez pas à chercher les articles publiés sur des groupes similaires au vôtre et de votre envergure. S’ils ont été mis en avant, pourquoi pas vous ?
Pensez également à la presse régionale. Les éditions locales des journaux mettent régulièrement en avant des groupes de chez eux. Si vous ne parvenez pas à trouver leurs adresses de contact, n’hésitez pas à vous tourner vers les Maisons de la Presse. Ne négligez pas les blogs et webzines en tous genres. Certes, votre maman serait plus fière de vous voir en première page de son quotidien préféré, mais les médias web sont loin d’être inutiles. Leur audience est généralement plus pointue et leur liberté éditoriale plus grande.
3. … De la bonne manière et au bon moment
 Maintenant que votre matériel promo est prêt et que vous savez qui contacter, les choses sérieuses commencent. Lorsque vous envoyez un mail, soyez concis mais complet. Donnez les informations les plus importantes en premier. Qui êtes-vous ? Quel genre de musique faites-vous ? D’où venez-vous ? Quelle est votre actualité ? Pourquoi devrait-on s’intéresser à vous ? Un lien d’écoute doit aussi figurer dans les premières lignes de votre message.
Vu le nombre de sollicitations qu’il reçoit, le journaliste doit être intrigué par votre musique dès les premiers instants. Évitez donc les longues introductions et n’hésitez pas à choisir le morceau que vous envoyez en fonction de votre cible. De manière générale, adaptez votre message à votre destinataire et à l’usage qu’il pourrait en faire. Pensez également à soigner l’aspect visuel de votre e-mail.
Soyez aussi attentif au timing. Le délai entre la découverte d’un groupe et une éventuelle publication varie selon les médias et leur périodicité. Il faudra forcément vous y prendre plus à l’avance pour un mensuel que pour un quotidien ou un média web. Enfin, soyez prêt à envoyer énormément de mails pour ne recevoir que peu de réponses. Cela peut être difficile à accepter mais ne vous découragez pas pour autant.
4. Profitez des opportunités qui s’offrent à vous
 En dehors du moment où vous sortez un clip, EP ou album, créez-vous des occasions de communiquer. Lorsque vous jouez en festival, n’hésitez pas à contacter la presse locale. Les journalistes couvrant l’événement pourraient vouloir illustrer leur article avec une interview.
Pensez également aux opportunités de rencontre qui sont offertes par des organismes importants du milieu culturel : séances d’infos, workshops, drinks en tous genres, etc. N’oubliez pas que les tremplins (lire aussi l’article “Tremplins : visas pour la découverte”) sont également d’excellents moyens de vous faire remarquer.
5. Restez présent
 En pleine composition ? En studio ? En phase de réflexion sur vos prochaines sorties ? Tentez de ne pas disparaître totalement de l’esprit de vos auditeurs lorsque vous n’avez pas d’actualité brûlante. Certes, votre fan base n’a pas besoin de savoir ce que vous faites chaque jour, mais n’hésitez pas à poster quelques nouvelles de temps en temps sur vos réseaux sociaux. Il ne faudrait pas qu’on vous oublie.
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bblsc · 6 years
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Comment créer un podcast ? Découvrez notre guide complet
Un podcast est un mélange du format radio traditionnel et de la technologie d’enregistrement 2.0, le tout accompagné par des valeurs provenant d’Internet et du mouvement de la culture libre. Si vous voulez dialoguer avec votre public sans pour autant devenir une star de YouTube, il est l’alternative idéale. L’idée d’une diffusion uniquement audio en ligne peut sembler novatrice, mais ce n’est pas le cas. C’est en 2004 que l’on a vu l’apparition des premiers podcasts. Depuis quelque temps, il fait son grand come-back. Aujourd’hui, il peut même remplacer un blog si vous souhaitez exprimer oralement votre opinion et ranger votre plume. Si les podcasts requièrent plus d’efforts que la rédaction d’un article, ils sont plus faciles à digérer pour les internautes puisqu’ils peuvent l’écouter passivement où qu’ils soient.
Avant d’appuyer sur le bouton enregistrer et de publier votre podcast sur iTunes ou sur votre propre site internet, vous devez prendre en compte quelques éléments. Consultez notre guide étape par étape pour savoir comment créer un podcast réussi :
01. Définissez vos objectifs
Avant de foncer dans votre studio d’enregistrement, vous devez savoir où vous mettez les pieds. La première chose à faire ? Fixer le but de votre podcast. C’est le point de départ. Il peut être aussi simple que « Je veux divertir » ou « Je veux informer ». Peu importe tant que vous êtes passionné par le sujet. Lancez-vous. Une fois votre objectif établi, vous pouvez toujours y revenir et vous demandez : « Cette action m’aide-t-elle à atteindre mon but ? ».
Au début, vous devez également prendre des décisions stratégiques importantes comme déterminer les principaux thèmes que vous aborderez dans votre podcast, la fréquence, la programmation et la structure de vos épisodes pour que votre public sache plus ou moins à quoi s’attendre. Si vous avez un partenaire ou un co-animateur pour votre podcast, délimitez rapidement vos rôles. Par exemple, l’un de vous doit éditer l’audio et le publier, et l’autre est responsable de tout le travail graphique nécessaire pour les épisodes. Puis, vous gérerez ensemble vos comptes de réseaux sociaux. Plus tôt vous définissez les règles, mieux c’est.
02. Acceptez la dure réalité
Concevoir votre propre podcast sera très amusant, surtout si vous êtes passionné par le sujet que vous traitez. Cela dit, vous devez faire face à des faits inévitables. Il vous faut vivre avec pour avancer, mais ils ne doivent en aucun cas vous décourager. Voici quelques exemples :
Désolé, mais il existe probablement plusieurs podcasts similaires au vôtre et vous parlerez sûrement de la même chose dans certains épisodes. Mais le monde des podcasts ne connait pas votre opinion personnelle et / ou ne tourne pas autour, alors faites au mieux !
Faites-le pour le plaisir, pas pour la gloire. Vous finirez par être déçu si vous cherchez constamment à faire le buzz. Si vous aimez créer votre podcast, vous avez déjà gagné.
Ce sera un job à part entière que vous n’aurez parfois pas envie de faire. Mais il le faudra. C’est comme aller à la gym : vous n’y êtes pas obligé, mais vous savez qu’il le faut.
03. Équipez-vous
Comme la plupart des entreprises, vous n’avez probablement pas tout le nécessaire pour lancer votre propre podcast. Et même si vous pensez que si, ce n’est sûrement pas le cas. Oui, il est vrai que tout ce dont vous avez besoin techniquement c’est d’un sujet à traiter et d’un appareil d’enregistrement. Mais si vous voulez bien faire les choses, vous devez investir dans l’équipement de base. À savoir, un microphone et un moyen d’enregistrer, de mixer et d’éditer des fichiers audio.
Un deux, un deux : Le type de microphone que vous choisissez dépend en grande partie de la façon dont vous capturez votre fichier audio. il existe de nombreux microphones USB à tous les prix. Note : dépassez légèrement votre budget lorsque vous achetez un microphone. En décalant votre plafond de 50 € ou même de 25 €, vous en aurez un de bien meilleure qualité, cela vaut le coup, surtout si c’est le premier.
Enregistrement : Une fois votre microphone installé, vous devez, comme mentionné ci-dessus, déterminer comment enregistrer votre audio. Il y a divers moyens de le faire mais l’un des plus simples consiste à le faire directement sur votre PC à l’aide d’un logiciel spécial. Des options gratuites sont disponibles et la majorité des ordinateurs sont livrés avec des programmes d’enregistrement audio (très basiques).
Étape de l’édition : Après avoir enregistré vos pistes audio, vous devez trouver un outil pour les éditer. Cela suppose d’insérer plusieurs pistes si diverses personnes parlent, de supprimer les pauses, le silence, de mettre des effets sonores et une musique de fond. Vous avez le choix entre de nombreux logiciels de montage, mais si vous en cherchez un robuste et gratuit pour vous aider à atteindre vos objectifs, testez Audacity. Concernant la musique et les effets sonores, vous ne vous pouvez pas diffuser n’importe quel son. En réalité si, mais ne soyez pas surpris si vous recevez ensuite une plainte pour violation des droits d’auteur. Comme pour les images, vous devez avoir une licence pour utiliser certains fichiers audio. Cependant, vous pouvez en trouver libre de droit, YouTube est l’une des meilleures ressources pour cela. Sa Sound Library héberge des milliers de musiques. De plus, des artistes y postent leur propre son, dont vous pouvez disposer gratuitement tant que vous donnez du crédit à leur travail.
Trouvez un hébergeur de podcast : Après avoir enregistré et édité votre podcast, vous devez le télécharger quelque part et oui, après quelques épisodes, vous devrez probablement payer. Les options ne manquent pas mais faites des recherches avant d’en choisir une.
04. Restez fidèle à votre programme et anticipez la paresse
Cela semble simple, mais ce n’est pas le cas. Même si votre podcast n’est qu’un passe-temps, vous n’aurez parfois pas envie de le faire. Au moment précis où vous prévoyez d’enregistrer le prochain épisode, vous recevrez toujours une invitation de dernière minute pour aller à la piscine ou visiter la nouvelle exposition du moment. Ne vous en faites pas. Des solutions existent si vous planifiez à l’avance :
Si vous diffusez votre podcast tous les mardis matin, évitez d’enregistrer le lundi soir, sauf si vous êtes du genre à mieux travailler sous la pression. Laisser une certaine marge de manœuvre entre l’enregistrement et le montage vous permet d’avoir du recul. Ce passage que vous souhaitiez couper pourrait finalement valoir la peine d’être conservé. Comme un artiste qui bute sur un tableau, il faut parfois revenir avec des « oreilles fraîches ».
Lors de l’enregistrement, vous voulez que vos épisodes aient la m��me longueur. L’idéal c’est qu’ils durent entre 40 minutes et une heure. Quelle que soit votre décision, maintenir le même rythme peut vous aider à susciter l’attente chez vos auditeurs. Donc ne faites pas un épisode d’une heure cette semaine et un de 20 minutes la semaine suivante.
Pour rester sur la bonne voie, il est recommandé d’indiquer ce dont vous allez parler dans l’épisode que vous enregistrez. C’est essentiel pour vous en tenir au sujet et ne pas dévier. Mais il est déconseillé de rédiger un script complet pour chaque épisode. Personne ne veut vous entendre lire, à moins que ce ne soit le thème de votre podcast.
Après une certaine période, vous aurez la flemme de travailler votre podcast. Ce n’est rien ! Vous pouvez pallier cela en préenregistrant des épisodes. Assurez-vous d’avoir des sujets toujours d’actualité. Même si cela vous demande plus de travail sur le moment, nous vous promettons que vous vous remercierez plus tard.
05. Diffusez votre podcast sur les réseaux sociaux…
Vous ne vous en êtes peut-être pas rendu compte, mais vous passez probablement plus de temps sur les médias sociaux qu’à enregistrer votre podcast, et pour cause. Si vous avez un podcast hebdomadaire, vos auditeurs vous consacreront un jour par semaine car c’est techniquement tout ce que vous permettez. En partageant votre propre contenu original et celui d’autres utilisateurs que vous trouvez pertinent sur vos réseaux sociaux, vous pouvez être actif même les jours durant lesquels vous n’avez pas de nouvel épisode. De toute évidence, les médias sociaux sont idéaux pour promouvoir votre marque, mais aussi pour élargir votre public et interagir avec votre communauté. Ne lésinez pas sur cette partie.
06. … et sur toutes les autres plateformes
Lorsque vous commencez à configurer votre podcast en ligne avec votre hébergeur, vous recevez un lien. Pour envoyer votre podcast à différents répertoires comme iTunes, Google Play ou SoundCloud, vous devez remplir un formulaire avec le nom de votre podcast, votre site web et votre URL. Certaines soumissions sont plus complexes que d’autres, donc si vous êtes bloqué, tapez « Comment soumettre un podcast à X » dans Google pour trouver la réponse. Même si vous n’avez jamais entendu parler du répertoire des podcasts ou pensez que c’est inutile, détrompez-vous. Vous cherchez de la visibilité, alors ratissez large.
07. Présentez votre podcast avec un joli site web
S’il est plaisant de chercher sur iTunes et de voir apparaitre votre propre podcast, rien ne vaut un site internet dédié présentant votre travail et l’équipe qui se trouve derrière. Vous pouvez lier votre podcast à tous les endroits où les gens peuvent écouter, mais bien plus encore. Votre site vous appartient et vous ne serez pas contraint par la mise en page d’iTunes, de Google Play ou d’autres plateformes où il peut être trouvé. Sur votre site, vous pouvez parler de vous et des autres animateurs au cas où vos fans voudraient en savoir davantage. Il permet aux collaborateurs potentiels de vous contacter directement en créant une page de contact. Pensez à votre site web comme une extension de votre marque. Un lieu pour afficher votre logo et tous vos autres éléments visuels.
Vous avez créé vos podcasts ? N’attendez pas pour créer le site internet qui va avec !
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Billet 1 - Panorama des médias numériques
J’utilise plusieurs médias numériques au cours d’une journée et en analysant mon panorama personnel, je peux dire reconnaître cinq familles : le communautaire, le « networking », le partage d’images, le partage de vidéos, et le microblogue. Puis, Google serait au centre, car il remplit toutes tâches de ces familles-là. C’est le moteur. Ainsi, je vais expliquer selon la composition de mon panorama, ma classification et mon utilisation.
Composition 
Le classement des médias a été organisé selon leur fonction première ainsi que l’utilisation que j’en fais. Par exemple, YouTube a pour fonction de partager des vidéos, peu importe leurs contenus, qu’il s’agisse de musique, de tutoriels, de segments d’actualités ou autres. Tandis que Instagram a pour fonction première d’afficher les photos, même chose que Pinterest. Quant à Snapchat, il s’associe aux deux familles : partage de photos et partage de vidéos. Facebook maintient une principale fonction basée sur la communication et les échanges avec ses amis, en partageant, en commentant, en aimant et en publiant. L’application Messenger, qui fait partie intégrante de Facebook, est utilisée pour envoyer des messages rapidement. Twitter a pour première fonction le microblogue, donc écrire des choses qui partagent tes sentiments et tes pensées. Wikipédia présente une fonction de publication des textes sur des sujets différents, mais je l’ai rattaché à la famille du communautaire, car tout le monde peut publier sans même avoir les fonctions officielles, et ce, sans abonnement (gratuit). Quant à Google, il est le centre de tout, sa fonction est être un moteur de recherche. Si j’utilise mes médias par l’ordinateur, je vais passer par ce moteur de recherche. Puis, pour aller sur le site de Wikipédia, c’est par Google que je vais passer automatiquement ma recherche. Celui-ci offre plusieurs applications ou services, dont Gmail. D’ailleurs, sa principale fonction est l’envoi de courriel.
Classification
La classification que j’ai faite est très similaire à celle vue durant le cours de médias numériques. Il y a certaines catégories que je n’ai pas, car je n’utilise pas ces médias, comme ceux de la catégorie blogue. Je me suis concentrée aux médias que j’utilise le plus couramment. Ainsi, il y a le communautaire : Wikipédia. Le networking : Facebook, Messenger, Gmail.  Le partage de photos : Instagram, Pinterest et Snapchat. Le partage de vidéos : YouTube et aussi Snapchat. Et finalement, le microblogue : Twitter.
Utilisation 
J’utilise chacun de ces médias, généralement sur mon appareil intelligent ou sur l’ordinateur portable (sauf Snapchat, car celui-ci s’installe juste sur un appareil intelligent). J’ai mis trois plateformes dans le partage de photos dont, Pinterest, Instagram et Snapchat, car chacune dispose de cette principale fonction : publier et partager des images. Chacune peut mettre de l’avant des photos personnelles des gens, des décors, des paysages, etc. Ainsi, si j’utilise Instagram pour mettre une photo, je vais d’abord la capter à l’aide de mon appareil intelligent et de même pour Snapchat. Quant à Pinterest, il demeure un outil de recherche. Je n’y fais aucune publication de photos. De plus, j’ai choisi de placer Wikipédia dans la famille du communautaire et seulement lui, car ce média offre de l’information véritable et souvent très juste, malgré les nombreux commentaires négatifs. Si je cherche une information rapide ou même un guide pour un projet, Wikipédia répondra le mieux à ma démarche, car il clarifie l’ensemble des informations recueillies.
Utilisation de mes médias courants
Les trois médias que j’utilise le plus et que j’apprécie sont : Instagram, YouTube et Messenger. Je peux passer des heures à écouter des vidéos YouTube et en même temps regarder mes messages instantanés sur mon Instagram. Malgré l’irrégularité du temps d’utilisation, j’ai recours à ces trois médias chaque jour. Les autres médias numériques (que j’ai énuméré), je vais y accéder quelquefois par semaine. J’utilise plus souvent Instagram, car, j’aime la simplicité de l’application et de sa fonction d’infomédiation qui me permet de retrouver des articles selon les intérêts du moment ou tout simplement de « suivre » une personne (famille, amis, célébrités). Comme le mentionne Serge Proulx, dans son texte L’irruption des médias sociaux, « l’intimité du médias » et « l’immédiateté des réponses » sont un élément important pour la présence des utilisateurs et c’est cela que je retrouve sur la plateforme Instagram. (Serge Proulx, 2012, p.14) YouTube, je m’y réfère essentiellement pour me divertir. Les vidéos YouTube font partie de ma routine quotidienne. Messenger, c’est généralement pour discuter avec mes amis, pour les projets d’équipe et pour le travail. Il est toujours plus simple de rejoindre les gens par cette application. Quant à Google, c’est mon lien conducteur si je n’ai pas l’application de mes médias sur mon appareil intelligent ou autre appareil, comme un ordinateur. Google me permet d’accéder et me connecter facilement aux médias numériques. J’ai recours à Google comme premier moteur de recherche, car je le trouve accessible, clair et efficace. Puis, à mon avis, je trouve que Google offre des services simples et agréables à employer comme Gmail ou Google Map, Google Traduction, etc.
Communautés
En raison de mon utilisation de chacun de mes médias, je fais partie de chacune de leurs communautés. Mes pratiques et la liberté que leurs régimes m’offrent, me permettent de me créer un compte et d’entrer dans la communauté Facebook, par exemple. Instagram m’offre la même accessibilité même tout en me permettant d’aller vers d’autres communautés spécifiques dépendamment de la personne suivie. Par contre, je ne suis pas impliquée de façon active dans chacune des communautés. Ainsi, je ne vais pas toujours commenter, aimer, partager ou répondre aux messages, mais le fait que j’aie un compte et que je sois active en ligne m’implique automatiquement dans la communauté.
Enfin, je ne peux pas dire que je suis totalement à l’aise avec le contrat de mes principaux médias, comme Facebook, Instagram, Snapchat et même Google, qui gardent tes photos et tes informations en mémoire. Je sais bien qu’il y a une quelconque surveillance faite de leur part. D’ailleurs, les régimes mettent en place des dispositifs qui ne sont pas neutre (Serge Proulx, 2012, p.19). Ainsi, les données que nous croyons détruites peuvent réapparaître. (Serge Proulx, 2012, p.19) Cependant, de façon générale, les régimes de chaque média numérique que j’utilise ne me contraint pas dans la liberté de mes pratiques et ni dans l’accessibilité des différentes communautés. Ainsi, je ressens peu de contraintes dans mes actions. Je peux accéder, publier, regarder, commenter et toutes autres actions quand je le veux. Les médias que j’utilise, soit de façon quotidienne ou hebdomadaire, m’offrent une liberté vers la découverte et le savoir. Ainsi, je ne me sens pas prise piège dans leur régime, mais peut-être faudrait-il que je me questionne davantage?
 Bibliographie
ZAHAR, Hela, « Médias numérique : problèmes et enjeux », Notes de cours, “Panorama des médias numériques”, Université du Québec en Outaouais, Hiver 2018
PROULX, S. « l’irruption des médias sociaux » Chapitre I. dans Heaton, L., Millette, M., & Proulx, S. (2012). Médias sociaux: enjeux pour la communication. PUQ. pp. 9-32.
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Nocturnal Animals (2017)
Les deux bandes-annonces mises en ligne réussissent à nous masquer avec brio la double intrigue d’un thriller qui n’en est pas tout à fait un. 
[ATTENTION: le film étant sorti il y a peu, je préfère prévenir que les spoilers sont nombreux]
Il y a une maîtrise et un goût de l’esthétique évident chez Tom Ford, styliste et réalisateur cette année de Nocturnal Animals, adapté d’un roman d’Austin Wright. Couleur, lumière, cadrage... chaque plan semble être millimétré et calculé pour servir un objectif particulier. Cette quête de la perfection visuelle est parfaitement retranscrite dans les deux trailers du film, brillamment trompeurs.
Pour mieux comprendre cela, j’ai fait deux lectures des trailers et analysé d’abord ce que l’on entend, puis ce que l’on voit.
«Je lui ai fait quelque chose d’horrible»
Commençons donc par les dialogues choisis pour la première bande-annonce.  Le premier trailer, publié le 15 septembre dernier, nous présente le personnage de Susan Morrow, interprétée par Amy Adams. Au détour de quelques phrases, on comprend alors que Susan vit seule, ou souffre de la solitude, et qu’elle ne compte plus ses nuits sans sommeil, perturbée par son ex-mari. Ce dernier vient de lui envoyer un livre «violent et triste» appelé Nocturnal Animals, surnom qu’elle avait quand ils étaient encore ensemble. On entend alors Susan dire qu’elle lui a fait «quelque chose d’horrible» par le passé. 
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Un autre homme, que l’on devine être Edward, l’ex-mari interprété par Jake Gyllenhaal, est alors montré en train de discuter avec un policier qui lui propose de rendre justice. «Vous êtes fous, vous faites une grosse erreur», lance alors un autre personnage secondaire inquiétant à Edward, avant de dire, dans un autre plan: «Ce n’est pas grave de tuer quelqu’un, vous devriez essayer à l’occasion». La musique commence alors à s’emballer et tout laisse penser que l’ex-mari veut alors se venger, faire payer à son ex ce qu’elle lui a fait subir. «Tu ne peux pas t’en tirer après ce que tu as fait», lance Gyllenhaal à la fin du trailer. Si l’on se fie donc aux dialogues, Nocturnal Animals un thriller romantique où la vengeance est au cœur de l’intrigue. 
Ce sentiment est évidemment parfaitement servi par une avalanche d’images inquiétantes, donc voici une sélection commentée avec les impressions données lors du visionnage: 
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Une main d’homme marié ensanglantée. Edward?
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Deux femmes rousses, sûrement une fille et sa mère, se font enlever. Susan et sa fille? 
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Edward est-il sur le point de tuer quelqu’un? 
Cette hypothèse de vengeance meurtrière est renforcée par le second trailer, sorti le 21 octobre, qui en dit plus sur l’histoire d’amour qui a tout déclenché entre Susan et Edward et renforce l’idée d’une trahison et d’un besoin de revanche. Il est intéressant de noter que les médias, dont les critiques sont reprises par extraits dans cette bande-annonce, participent à cette vision du film. «Un thriller émotionnel extrêmement intelligent», écrit le Daily Mail avant que Variety fasse du film une fable sur «l’amour, la violence et la vengeance». 
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Un film dans le film
Sauf que, génie du montage, ce thriller policier n’existe pas dans le film, ou du moins pas réellement. Toutes les images de violence ne sont en fait que l’incarnation visuelle du roman envoyé par Edward à Susan, qui lit cette histoire dans sa maison vide. 
On comprend alors à quel point Tom Ford et les réalisateurs des trailers nous ont berné. Jake Gyllenhaal joue bien le rôle d’Edward, ex-mari de Susan. Mais il joue aussi celui de Tony, héros du roman d’Edward, deux personnages que Susan confond dans son esprit, et nous avec dans ces trailers.
On réalise également assez vite que Susan passe la plupart de son temps dans son lit ou à la galerie où elle travaille, pas dans le mystérieux décor désertique où le thriller du roman se déroule. Dans le roman «Nocturnal Animals» mis en abyme dans le film Noctunal Animals, c’est Isla Fisher qui joue Laura, la femme de Tony/Edward, pas Amy Adams. Isla Fisher qui, vous le remarquerez, n’est pas annoncée à la fin des bandes-annonces. Et ce n’est pas un hasard non plus si le roman sur lequel est basé le film, publié en 1993 par Austin Wright, s’appelle Tony and Susan, mêlant ainsi personnage «réel» et personnage «fictif». 
Pour mieux comprendre, je vous ai fait un petit schéma d’une qualité artistique sans égale. 
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Le tour de passe-passe pour nous faire confondre Isla Fisher (qu’on entraperçoit dans le trailer) et Amy Adams est d’autant plus fascinant que les deux actrices sont parfois qualifiées, un peu facilement, de sosies l’une de l’autre. Après tout, si on les confond, c’est qu’il y a peu d’actrices rousses à Hollywood. La confusion est même devenu un jeu pour Isla Fisher qui en remplacé une fois son visage par celui de sa consœur sur ses cartes de vœux... sans que personne ne remarque la différence. 
C’est grâce à cette «ressemblance» que l’équipe marketing du film a pu construire un trailer qui se tient en mêlant les deux histoires du film, qui n’ont pourtant en commun que le double personnage incarné par Jake Gyllenhaal. Le meilleur moment des trailers pour s’en rendre compte tient à une succession de plans, que j’ai extraits ci-dessous, où l’on croit à tort que Susan est sous le coup d’une menace physique. 
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Et voici comment, en quelques coups de ciseaux, on fait croire que Nocturnal Animals est une histoire de vengeance pour attirer le public et lui faire réaliser, une fois dans la salle de cinéma, que le film est bien plus que cela. 
BONUS: je vous conseille fortement cette petite analyse des «deux» fins du films, fascinantes à bien des égards.
Merci de m’avoir lu ! Comme d’habitude, toutes les remarques, conseils, demandes, sont bienvenues. A très vite ! 
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