#clément lambelet

[garadinervi]

Kazuo Shinohara. Traversing the House and the City, Edited by Seng Kuan, Lars Müller Publishers, Zürich, 2021, co-published by Harvard University Graduate School of Design ['The Most Beautiful Swiss Books of the year 2021', Swiss Culture Awards, Federal Office of Culture]. Design: Integral Lars Müller

#graphic design #typography #architecture #book #cover #book cover #back cover #kazuo shinohara #seng kuan #lars müller publishers #integral lars müller #clément lambelet #2020s

[art-technologie]

Happiness is the only true emotion by Clément Lambelet 2016-2019

Clément Lambelet, est un artiste, photographe suisse, qui explore les enjeux de la société et les relations de pouvoir entre la technologie et l’homme.

Pour ce projet photographique l’artiste c’est approprié une série de portraits réalisée par l’université de Stirling en Ecosse, qui se base sur les six émotions universelles qu’il a recadré et légèrement modifié. Il a ensuite soumis les images à l’API Face de Microsoft. 

Ce projet met en avant une critique de la société actuelle qui analyse tout. Ce qui m’a frappé dans ce projet c’est son côté obscur, plus particulièrement la mise en lumière des algorithmes sur les réseaux sociaux, dont Instagram, qui vont analyser les différentes émotions des visages sur les photos qui y sont postées. Ces algorithmes, en fonction des résultats, vont mettre en avant certains contenus. Ce projet nous pousse à nous questionner sur un certain contrôle de la population via nos émotions par exemple, et donc également sur quand et où on est surveillés. 

#PP-2022 #PP-PHO

[cggr]

Happiness is the only true emotion

“Happiness is the only true emotion” est un projet photo de Clément Lambelet, développé sous forme d’édition et d’installation. Cet artiste suisse construit généralement ses travaux autour de l’impact que peuvent avoir certaines nouvelles technologies sur la société. Pour ce projet, il se focalise sur les algorithmes capables de reconnaitre les six émotions universelles : joie, surprise, peur, colère, dégoût et tristesse. Afin de remettre en question ce système, il utilise des portraits tirés de bases de données puis les modifie en gardant uniquement les yeux, le nez et la bouche. Il retravaille ensuite la texture de l’image afin de créer encore plus de mouvements et donc plus d’expression.

Il représentera par la suite ces nouvelles images qu’il a créées à l’interface de programmation. Pari tenu, le système n’est pas fiable à 100%, seul le sentiment de bonheur est reconnu avec précision. Ayant visité cette exposition au Centre de la photographie à Genève, je trouve ce projet particulièrement questionnant car ces portraits très forts, m’ont directement laissé le sentiment d’angoisse. Le fait que l’œil humain puisse ressentir de l’angoisse en voyant ces portraits alors que l’intelligence artificielle y trouve du bonheur soulève une problématique intéressante.

#pp-2021 #pp-pho

[tonyaltermatt]

Clément Lambelet est un photographe basé en Suisse dont le travail questionne les enjeux sociétaux liés à la visibilité humaine et la technologie.

Trouvant sa source dans une vidéo de l’armée américaine disponible sur la plateforme Youtube, la série Two Donkeys in a War Zone est issue d’une séquence de drone suivant une attaque contre un camp d’insurgé. Entre deux plans d’explosions, la caméra qui filme en infrarouge prend en cadre deux ânes. Cette scène insolite a fait se questionner l’artiste sur cette présence et l’a amené à faire des recherches de vidéos de drones produites par différentes armées ( américaine, afghane ou anglaise ) en prenant des scènes hors combat.

Par le biais du recadrage et le détournement d’images, Clément Lambelet s’est donc approprié ces images en réinventant une narration au milieu de scènes morbides. 

Ce détournement d’images d’archives de drones m’a particulièrement intéressé, utilisant un médium original, l’artiste a su montrer ces images sous un autre angle qui est en opposition avec le sujet initial. Cela lui a permis de créer sa série avec sa propre interprétation arrivant à créer une certaine narration parmi ces différentes vidéos.

#pp-19-20 #pp-pho

[clarestrand]

The Box of Chance performing in Lianzhou festival. 2019 - 2020

I yuan for a fortune of chance by Clare Strand.

This year we invited Swiss Foundation for Photography Director Peter Pfrunder to collaborate to Lianzhou Foto’s fifteenth edition. To celebrate this anniversary edition, the theme chosen by our guest curator is an hommage to photography, its practice and malpractice. The local and international artists to be featured in the theme exhibition exploring the uncontrollable aspects and the unpredictable elements that leave their traces on the photographic image. Artists to be featured in the theme exhibition are among others : Huang Huang (China), Liu Ke (China), Lukas Felzmann (Swiss), Hayahisa Tomiyasu (Japan), Anna Niskanen (Finland), Collectif Fact (UK), Delio Jasse (Angola), Kurt Caviezel (Swiss), Jenny Rova (Sweden), Clément Lambelet (Swiss), Jun Ahn (Korea), Seba Kurtis (Argentina), Clare Strand (UK), Jules Spinatsch (Swiss), Ester Vonplon (Swiss)

[ecallibrary]

[New purchase ECAL]

Publications created by ECAL Alumni

Jacob BENDJAMA & Sébastien LESEIGNEUR : Untitled Reloaded Thomas BRASEY : Boaventura Maxime BUCHI : TTTism Contemporary Tattooing, issue 2 Philippe DECRAUZAT & Mathieu Copeland + graphic design Nicolas EIGENHEER : A Personal Sonic Geology Benoît JEANNET : A Geological Index of the Landscape Charlotte KRIEGER & Clément ROUZAUD : Carnival Trees Clément LAMBELET : Two Donkeys in a War Zone Guillaume PILET + design Adeline MOLLARD : I Was Born to Be Dramatic Maya ROCHAT : A Rock is a River Anja SCHORI : Vokabular

Photos: ECAL / Romain Roucoules

#ECAL Alumni #books #art #photography #photobooks #2018 #magazine

[humansurveillance]

"Happiness is the only true emotion" par Clément Lambelet

Dans le projet de Clément Lambelet, le phénomène de contrôle de la population à travers les réseaux sociaux y est au coeur.

Chaque photo postée sur Facebook est soumise à un algorithme, avec le développement des intelligences artificielles, celles-ci sont désormais capables de reconnaitre les émotions exprimées.

Pour ce projet, Clément Lambelet a récolté un série d'images faite par l'université de Stirling en Ecosse qui a pour but de représenter les 6 émotions humaines universelles.

Ces photos ont été ensuite soumise à une intelligence artificielle (API Microsoft) de reconnaissance d'émotion humaine.

Le système n'a pu reconnaître que le bonheur avec exactitude.

Ce projet critique directement le phénomène de contrôle de la population à travers les réseaux sociaux. Mais il ne le fait pas de manière directe et dénonciatrice.

Il le fait en montrant les limites de ces intelligences artificielles avec un touche de poésie. Le fait que l'algorithme ne puisse reconnaître que le bonheur avec exactitude décrédibilise presque ce système, puisque. S'il a pour but de verifier une population uniquement heureuse, son utilité n'as aucun sens.

Ce projet mêle poésie et humour sur fond de prévention

#PP-PHO #PP-2021

[photoforumpasquart]

Prix Photoforum 2018 – Part 1

L’année 2018 s’est achevée au Photoforum avec la 26e édition du Prix Photoforum, qui a sélectionné 14 photographes de tous âges et horizons professionnels. Bien qu’aucun thème n’ait été imposé, les travaux des sélectionnés ont souligné des préoccupations concernant les questions sociales, telles que l’écologie et la migration.

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In diesem Jahr fand der 26. Prix Photoforum statt. Eine Auswahl von 14 Kunstschaffenden und Fotograf_innen stellten ihre Arbeiten im Photoforum aus. Die Werke aus diesem Jahr widerspiegeln die Auseinandersetzungen der Kunstschaffenden mit wichtigen gesellschaftlichen Themen wie Migration und Klimawandel.

Maya Rochat crée des expériences visuelles, multisensorielles et immersives en tenant compte des possibilités architecturales des espaces avec lequel elle travaille. En liant l’alchimie de la photographie (analogique ou numérique) avec la tangibilité de la peinture (spray, acrylique), le travail de Maya Rochat imite les diverses évolutions de la nature. Pour le Prix Photoforum 2018, la photographe a investi un espace de la galerie avec une fresque de sa série LIVING IN A PAINTING, combinée avec des projections au rétroprojecteur.

Maya Rochat (*1985) a obtenu en 2012 un master en photographie avec mention à la HEAD/Haute École d’Art et de Design de Genève. En parallèle à ses expositions, elle a également réalisé plusieurs « live painting » et performances en Suisse et à l’étranger.  

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Das Projekt LIVING IN A PAINTING von Maya Rochat basiert auf einem fotografischen und malerischen Bildkorpus, den sie auf instinktive Art und Weise zusammenstellt und bearbeitet. Die Künstlerin reagiert auf architektonische Räume, in denen sie arbeitet und kreiert immersive Erlebnisse für alle Sinne. Die Alchimie der (analogen und digitalen) Fotografie und das Greifbare der Malerei (Spray und Acryl) werden in ihren Arbeiten miteinander verbunden und imitieren verschiedenen Entwicklungen der Natur. Ein Fluss aus Bildern in Bewegung macht LIVING IN A PAINTING zum Spiegel einer organischen Welt in stetigem Wandel. Die Verbindung der unterschiedlichen Medien – von bewegtem und unbewegtem Bild – lassen eine mutierende Collage entstehen.

Maya Rochat (*1985) hat 2012 den Master in Fotografie an der HEAD in Genf abgeschlossen. Neben Ausstellungen hat sie mehrere «Live Paintings» und Performances in der Schweiz und im Ausland realisiert.

Maia Gusberti a présenté Unresolved Objects (Not ready to dissolve), un projet comportant trois cents savons d’Alep photographiés individuellement. Au dos des images se trouvaient des questions formulées par l’artiste, touchant à des problématiques telles que l’appropriation culturelle, l’exploitation d’objets, la représentation médiatique et la politique des images. La photographe a commencé l’élaboration de ce projet alors que la ville d’Alep en Syrie disparaissait un peu plus chaque jour sous les bombardements.

Formée en art en Suisse, à Vienne et à Stockholm, Maia Gusbeti (*1971) vit et travaille à Berne et Bruxelles. Ses travaux sont régulièrement exposés internationalement, et son travail a fait l’objet de nombreux prix et résidences.

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Welche Bilder stellen wir den Konfliktbildern, welche wir stetig in den Medien sehen, entgegen? Ausgehend von dieser Frage entstand Maia Gusbertis Arbeit Unresolved Objects (Not ready to dissolve). Kernseife, eines der wichtigsten Exportprodukte Aleppos, steht im Zentrum dieses Projekts und steht für die geopolitischen Unruhen dieser Region. Für Unresolved Objects (Not ready to dissolve) fotografierte die Künstlerin 300 Aleppo-Seifen einzeln und stellt auf der Rückseite jedes Bildes Fragen, die die Problematik der kulturellen Appropriation, der Ausbeutung von Objekten sowie der medialen Darstellung und Bildpolitiken unter die Lupe nehmen.

Nach Ausbildungen in der Schweiz, Wien und Stockholm lebt und arbeitet Maia Gusbeti (*1971) in Bern und Brüssel. Ihre Arbeiten werden regelmässig international ausgestellt und wurden mit zahlreichen Preisen und Aufenthaltsstipendien ausgezeichnet.

Nora Teylouni a présenté Il Faut Marcher, un documentaire racontant l’histoire de trois familles Sénégalaises. Après s’être liée d’amitié avec des Sénégalais partis travailler en Gr��ce, la photographe est partie à la rencontre leurs familles au Sénégal. Le projet rassemble tous les membres de trois familles, alors qu’en réalité les rencontres sont rares dues aux limites de circulation que présente un passeport sénégalais. Le projet de Nora Teylouni a ouvert une réflexion sur les sens des mots « chez moi » et sur la construction de l’attachement à un territoire.

Nora Teylouni (*1987) a étudié à la photographie au CEPV/Centre d’Enseignement professionnel de Vevey, formation complétée par un bachelor en arts visuels à la HEAD/Haute École d’Art et de Design de Genève obtenu en 2012.

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Zwischen Griechenland und dem Senegal liegen tausende Kilometer, etliche Grenzen und Meere, die die Distanz zu der Familie schier unüberwindbar machen. Männer und Frauen haben den Senegal verlassen und sind über die Türkei nach Griechenland gelangt, wo sie sich niedergelassen haben. Il Faut Marcher ist ein dokumentarisches Projekt von Nora Teylouni, welches aus zwei Regionen hervorgeht und die Geschichte dreier Familien erzählt. Das Leben der Protagonisten – derjenigen, die emigriert sind – wird mit dem der im Senegal Zurückgebliebenen in Verbindung gebracht. In ihrem Projekt hinterfragt Nora Teylouni Ausdrücke wie Heimat und untersucht, wie sich ein Bezug zu einem bestimmten Ort entwickelt. 

Nora Teylouni (*1987) hat am CEPV in Vevey Fotografie studiert und ihre Ausbildung 2012 mit einem Bachelor in Bildender Kunst an der HEAD in Genf vervollständigt.

Avec Collateral Visions, Clément Lambelet a proposé une investigation de la singularité humaine au sein des visions algorithmiques et machiniques. Son projet intégrait une relecture des nouvelles visions issues des idéologies des sociétés de contrôle, s’appropriant et mettant en scène les systèmes anxiogènes et déshumanisants des modes d’observation et de surveillance actuels. Le projet comprenait des livres, des vidéos, des photographies et une table d’atlas.

Clément Lambelet (*1991) est photographe indépendant. Après un bachelor en communication visuelle obtenu en 2016 à l’ECAL/École Cantonale d’Art de Lausanne, il y évolue désormais en tant qu’assistant académique HES.

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In Collateral Visions untersuch Clément Lambelet algorithmisches und maschinelles Sehen. Sein Projekt basiert auf einem neuen Verständnis von Sehen, welches aus der Ideologie kontrollierter Gesellschaften entstammt. Er präsentiert dieses als Konstellation, in der Bilder von Drohneneinsätzen neben inszenierten Bildern stehen, die in Körperscanner an Flughägen entstanden sind. Der Fotograf setzt aktuelle Überwachungsmethoden für seine Zwecke ein und kreiert visuelle Erlebnisse, die Besucher_innen zu Beobachtenden machen und mit ebendieser Thematik konfrontieren. Collateral Visions deckt die angsteinflössenden und entmenschlichenden Systeme der Kontrolle und Überwachung sowohl durch Wiederaneignung als auch durch Inszenierung von Bildern auf.

Clément Lambelet (*1991) ist selbstständiger Fotograf. Nach einem Bachelor in Visueller Kommunikation an der ECAL in Lausanne ist er nun dort als wissenschaftlicher Assistent tätig.

Andrea Marioni a présenté Eko Camp, projet qu’il a réalisé alors qu’il était bénévole dans un camp de réfugiés en Grèce. Eko Camp propose une collection de T-shirts portés par les habitants du camp, dont les slogans prennent une tournure absurde ou paradoxale dans ce contexte d’urgence humanitaire. Ce projet a ouvert une réflexion sur l’individualité et la masse. Si les vêtements sont un moyen de démarcation et d’identification, ils posent ici indirectement la question de l’individualité des habitants du camp, habituellement perçus comme une masse homogène.

Andrea Marioni (*1986) a obtenu un master en art action à la HEAD/Haute École d’Art et Design de Genève en 2013, après s’être formé à l’histoire de l’art et esthétique du cinéma à l’Université de Lausanne. Il est actuellement directeur/curateur de l’espace libre Visarte de Bienne.

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Andrea Marioni zeigt eine Reihe von Bildern, die im Flüchtlingslager Eko Camp, 10 km vor der Grenze zwischen Mazedonien und Griechenland, entstanden sind. Im Angesicht dieses menschlichen Dramas beschliesst er, vorerst keine Fotografien zu machen. Als er jedoch ein T-Shirt erhascht, bedruckt mit einem Slogan, der die Absurdität der Situation passend umschreibt, macht er einen Schnappschuss davon – ohne den Träger des Kleidungsstückes zu entlarven. Im Anschluss bemerkt er immer wieder solche T-Shirts, die aus Europa stammen und deren Aufschriften lustig sind – oder in dieser konkreten Situation absurd werden. Unterstützt durch die Bewohner_innen des Eko Camps erstellt der Fotograf eine Sammlung von T-Shirts, welche einen Bruch zwischen der Aussage, die sie vermitteln, ihrem Ursprung und dem Kontext, in dem sie getragen werden, entstehen lassen. Eko Camp reflektiert Individualität und Masse: Kleider können ein Mittel sein, um aus der Masse herauszustechen und seine Identität zu zeigen.

Andrea Marioni (*1986) hat 2013 einen Master in Art Action an der HEAD in Genf erlangt, nachdem er an der Universität Lausanne Kunstgeschichte und Filmwissenschaften studierte. Zurzeit leitet er den espace libre von Visarte Biel.

Olivier Lovey a présenté des clichés issus de sa série Miroirs aux Alouettes, initiée en 2016. Le photographe crée des images impossibles, proches du surréalisme, à l’aide d’images collées dans l’espace public ou le musée. Il revisite notamment la notion de perspective, de trompe-l’œil et de mise en abyme. Pour l’exposition du Prix Photoforum, Olivier Lovey a créé un trompe-l’œil dans une salle de la galerie, transformant celle-ci en labyrinthe.

Après un master en science-psychologie obtenu en 2006, Olivier Lovey (*1981) se forme à la photographie au CEPV/Centre d’Enseignement Professionnel de Vevey. Il évolue depuis en tant que photographe indépendant.

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Die Serie Miroirs aux Alouettes, welche Olivier Lovey 2016 begonnen hat, zeigt surreale, nahezu unwirkliche Bilder. Diese Illusionen entstehen durch Bilder, die im öffentlichen Raum oder in Museen an ganz bestimmten Orten platziert werden.  Indem er die Realität und die Verdoppelung dieser, in Fotografien einander gegenüberstellt, hinterfragt er die Grenzen des Bildes und der Darstellung. Die Begriffe der Perspektive, des Tromp-l’œil und des Mise en abyme werden auf diese Weise neu interpretiert. Ursprünglich als Fotografien gedacht, funktionieren seine Werke auch als Installationen.

Nach seinem Masterabschluss in Psychologie 2006, wechselt Olivier Lovey (*1981) ans CEPV in Vevey, um Fotografie zu studieren.  Seit daher ist er als selbstständiger Fotograf tätig.

#prix photoforum #2018 #exhibition space #flare #magazine #photoforumpasquart #biel #bienne #de #fr #maya rochat #maia gusberti #nora teylouni #clement lambelet #andrea marioni #olivier lovey

[centerforfuturepublishing]

TALKS

Sara Terrier, conservatrice adjointe du MBAL

Publications & musées : le musée des beaux-arts du Locle http://www.mbal.ch

Catalogue d’exposition ou consacré aux collections, monographie, publication scientifique, etc. Les musées ont de tout temps eu un lien étroit avec l’imprimé, que ce soit à des fins de valorisation de recherches, d’un artiste ou la diffusion de connaissances.

Le MBAL n’échappe pas à la règle. Institution portée par la double ambition d’offrir une programmation à la fois pointue et audacieuse, elle propose depuis 2016 une série d’interviews d’artistes invités à exposer au musée.

Clément Lambelet, artiste | http://www.c-lambelet.com

Deux ânes et quelques algorithmes Nous ne voyons plus les images — les images aujourd’hui nous regardent.

Elles ne se contentent plus de représenter le monde, mais prennent une part de plus en plus active dans notre vie, de la surveillance gouvernementale aux réseaux sociaux. Il s’agira d’exposer des contre-pratiques à ce nouveau monde visuel — du détournement d’algorithmes à l’utilisation de méthodes scientifiques — afin de pouvoir questionner et critiquer ce pouvoir invisible qui nous encercle, un pixel après l’autre.

[anoukkruithof]

Patty Morgan is pleased to announce the Patty Morgan Internet Café is back as part of the Foam Fusion Festival, from the 9th till the 11th of June. In twelve cubicles works from artists represented by the Amsterdam based online platform are on view, in a setting that looks, feels, and smells like a real internet café,

Before wifi and smartphones and tablets, the internet café was the gateway to a virtual world of new opportunities. It was in those strange, murky places where physical space and the boundless online universe first met.

Now, Patty Morgan uses the internet café as an artistic space to form a similar gateway and introduce audiences to the still problematic relationship between art and the internet (or online presence of art). It is the main means through which we communicate in our daily lives, yet both the artist and the consumer struggle with the application, reading and understanding of art within the new language of the medium.

Patty Morgan ask a variety of artists for their views on how we could interact with artworks on the internet, or works that address the opportunities offered by the medium. At the same time, the installation is a subtle acknowledging of the changing hierarchy of the art world, and how internet has become a place where artists can independently exist, exhibit and reach an audience outside of traditional institutions.

The artists featured in the Patty Morgan Internet Café are:

Raphaël Rozendaal

Otto Kaan

Max de Waard

Aukje Dekker & Willehad Eilers

Anouk Kruithof

Olya Oleinic

Clément Lambelet

Martin Gabriel

Meeus van Dis

Isabel Cavanecia

Tycho Posthumus

Thijs Jaeger & Rik Laging

To celebrate their 15th anniversary, Foam is organising a range of activities in 2017 under the theme collaboration, one of the highlights being the Foam Fusion Festival. The Patty Morgan Internet Café at Foam Fusion Festival is opened on Friday 9 (17.00-21.00), Saturday 10  (10.00-19.00) and Sunday 11 June (10.00-19.00). Hope to see you there!

Website

Facebookevent

[garadinervi]

The Most Beautiful Swiss Books 2021 = Die schönsten Schweizer Bücher 2021 = I più belli libri svizzeri 2021 = Les plus beaux livres suisses 2021, Awarded in 2022, Edited by Nicole Udry, Tan Wälchli, Samuel Bänziger, Rosario Florio, Larissa Kasper, Concept and design by Samuel Bänziger, Rosario Florio, and Larissa Kasper, Texts by Tan Wälchli, With contributions by Franziska Burkhardt, Christoph Franz, Laura Serejo Genes, Winfried Heininger, Medea Hoch, Walburga Krupp, Charlotte Laubard, Michael Meier, Alexandre Quoi, Stephanie M. Rebonati, Sereina Rothenberger, Sigrid Schade, Nicole Udry, Tan Wälchli, Federal Office of Culture Bern, 2022 [Photos: BAK/Clément Lambelet]

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[garadinervi]

Che Huber, NOIR SUR NOIR, Designed by Vincent Devaud, Noir sur noir édition, Les Acacias, Genève, 2021 ['The Most Beautiful Swiss Books of the year 2021', Swiss Culture Awards, Federal Office of Culture]

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