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#Les voeux stériles
shalomelohim · 4 days
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Tehilim / Salmo / Psalm / Psaume 113 Mekimi - Yosef Karduner
“ Louez l’Eternel ! Serviteurs de l’Eternel, louez, louez le nom de l’Eternel ! Que le nom de l’Eternel soit béni, dès maintenant et pour toujours ! Du lever du soleil jusqu’à son coucher, que le nom de l’Eternel soit célébré ! L’Eternel domine toutes les nations, sa gloire s’élève plus haut que le ciel. Qui est semblable à l’Eternel, notre Dieu ? Il a sa demeure en haut et il s’abaisse pour regarder le ciel et la terre. De la poussière, il relève le faible, Du fumier, Il retire le pauvre pour les faire asseoir avec les grands, Avec les grands de son peuple. Il donne une famille à celle qui est stérile, Il fait d’elle une mère joyeuse au milieu de ses enfants. Louez l’Eternel ! “ (Psaume 113 : Bonté de Dieu pour les faibles)
♥ ♥ ♥
Selon Matthieu 26:30, après le Seder et avoir pris le pain et le vin, Yahshua a chanté les psaumes. Cette série est appelée par les Juifs « Hallel » (Louanges à l’Eternel) et concerne les psaumes 113 à 118 et certains y ajoutent le psaume 136.
Tous ont été écrits par le Roi David et sont des prophéties concernant Yahshua. On sous-estime souvent le grand combat qu’Il a dû mener et les souffrances qu’il avait dans son coeur ALORS QU’IL CHANTAIT SON PROPRE SACRIFICE avec ses 12 disciples représentant les tribus. Il était avec Tout Israël (Juda & Ephraïm) à ce moment-là.
Tout le monde chante la prophétie, mais il n’y a que Yahshua qui comprend véritablement la signification. A travers ces chants qui glorifient Dieu, il Lui renouvelle sa totale confiance dans ses promesses puisqu’ils sont dans une unité parfaite. Plus tard, un ange est venu le fortifier, mais saisi d’angoisse à la présentation de la coupe (la 3ème), sa sueur est devenue comme des caillots de sang qui tombaient par terre (Luc 22:43-44).
En parallèle avec le récit de la Haggadag de Pessah, le psaume 114 commence à Pessah du temps de la sortie d’Egypte et prophétise la nouvelle libération du peuple via Son sacrifice et qui se produira également à la Fin des Temps (Prophétie avec plusieurs dimensions dans le temps).
Le sang qui avait été déconnecté de la Source à cause du péché en Eden a été reconnecté par Yahshua le Messie grâce à Son sacrifice.
Il a réuni le ciel et la terre : Il nous a réconcilié avec Père Céleste et Il est l’intermédiaire par lequel nous pouvons nous adresser à Dieu “en son nom”.
Où l'Agneau du sacrifice, affrontant la puissance des ténèbres, a-t-il puisé la force de chanter ?
Au-delà de la nuit, il contemplait l'aurore à venir.
Plus loin que la croix, il voyait le tombeau vide.
Méprisant l'ignominie toute proche, il se fortifiait à la pensée de la joie qui lui était réservée.
Plus fort que la mort, sa résurrection scellerait à tout jamais le triomphe du Père.
Quel Messie incroyable nous avons !
♥ ♥ ♥
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“Psalm 116 : I love the Lord” by Sons of Korah (with lyrics)
Nice song
“ J'aime l'Éternel, car il entend ma voix, mes supplications ; Car il a penché son oreille vers moi ; Et je l'invoquerai toute ma vie. Les liens de la mort m'avaient enserré, Et les angoisses du séjour des morts s’étaient emparées de moi ; J'étais accablé par la détresse et la douleur. Mais j'invoquerai le nom de l'Éternel : O Éternel, sauve mon âme ! L'Éternel est miséricordieux et juste, Notre Dieu est plein de compassion ; L'Éternel garde les simples ; J'étais malheureux, et il m'a sauvé. Mon âme, retourne à ton repos, Car l'Éternel t'a fait du bien. Oui, tu as délivré mon âme de la mort, Mes yeux des larmes, Mes pieds de la chute. Je marcherai devant l'Éternel sur la terre des vivants. J'avais confiance, lorsque je disais : Je suis bien malheureux ! Je disais dans mon angoisse : Tout homme est trompeur. Comment rendrai-je à l'Eternel Tous ses bienfaits envers moi ? J'élèverai la coupe des délivrances, Et j'invoquerai le nom de l'Eternel ; J'accomplirai mes voeux envers l'Eternel, En présence de tout son peuple. Elle a du prix aux yeux de l'Eternel, La mort de ceux qui l'aiment. Ecoute-moi, ô Eternel ! Car je suis ton serviteur, Ton serviteur, fils de ta servante. Tu as détaché mes liens. Je t'offrirai un sacrifice d'actions de grâces, Et j'invoquerai le nom de l'Eternel ; J'accomplirai mes voeux envers l'Eternel, En présence de tout son peuple, Dans les parvis de la maison de l'Eternel, Au milieu de toi, Jérusalem ! Louez l'Eternel ! ” (Psaume 116 : Louange pour la délivrance accordée)
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Julie Geller - Psaume 118 in hebrew - א֭וֹדְךָ - תְּהִלִּים כיח - with english lyrics
“ Louez l’Eternel car il est bon ! Oui, sa bonté dure éternellement. Qu’Israël le dise : “Oui, sa bonté dure éternellement !” Que la famille d’Aaron le dise : “Oui, sa bonté dure éternellement !” Du fond de la détresse, j’ai fait appel à l’Eternel. L’Eternel m’a répondu, il m’a délivré. L’Eternel est pour moi, je n’ai peur de rien : Que peuvent me faire des hommes ? L’Eternel est mon secours et je regarde mes ennemis en face. Mieux vaut chercher un refuge en l’Eternel que de mettre votre confiance dans l’homme ; Mieux vaut chercher un refuge en l’Eternel que de mettre votre confiance dans les grands. Toutes les nations m’entouraient : au nom de l’Eternel, je les taille en pièces. Elles m’entouraient, m’encerclaient : au nom de l’Eternel, je les taille en pièces. Elles m’entouraient comme des abeilles : elles s’éteignent comme un feu de ronces, au nom de l’Eternel, je les taille en pièces. Tu me bousculais pour me faire tomber, mais l’Eternel m’a secouru. L’Eternel est ma force et le sujet de mes louanges, c’est lui qui m’a sauvé. Des cris de triomphe et de salut s'élèvent dans les tentes des justes : La droite de l'Eternel manifeste sa puissance ! La droite de l'Eternel est élevée ! La droite de l'Eternel manifeste sa puissance ! Je ne mourrai pas, je vivrai, Et je raconterai les oeuvres de l'Eternel. L'Eternel m'a châtié, mais il ne m'a pas livré à la mort. Ouvrez-moi les portes de la justice : J'entrerai, je louerai l'Eternel. Voici la porte de l'Eternel : C'est par elle qu'entrent les justes. Je te loue parce que tu m’as répondu, parce que tu m’as sauvé. La pierre qu’ont rejetée ceux qui construisaient est devenue la pierre angulaire. C’est l’oeuvre de l’Eternel et c’est un prodige à nos yeux. Voici le jour que l’Eternel a fait : Qu’il soit pour nous un sujet d’allégresse et de joie ! Eternel, accorde donc le salut ! Eternel, donne le succès ! Béni soit celui qui vient au nom de l’Eternel. Nous vous bénissons de la Maison de l’Eternel. L’Eternel est Dieu et Il nous éclaire. Attachez la victime de la fête avec des liens aux cornes de l’autel ! Tu es mon Dieu et je te louerai mon Dieu, Je proclamerai ta grandeur. Louez l’Eternel car il est bon. Oui, sa bonté dure éternellement “ (Psaume 118 : Louange à Dieu pour sa bonté)
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Barry and Batya Segal - Hodu la’ Adonai ki tov / Give Thanks to the Lord - Psaume 136 (Hebrew, English & Chinese)
“ Louez l’Eternel car Il est bon ! Oui, Sa bonté dure éternellement. Louez le Dieu des dieux ! Oui, sa bonté dure éternellement. “ (Psaume 136:1-2 : La bonté éternelle de Dieu)
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elizabethanism · 3 years
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"I am young ;
I have passed but the half of the road of life,
and, already weary, I turn and look back !"
Alfred de Musset
"Les voeux stériles"
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plexussolaire · 3 years
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L’amer passe
Les premières nuits endeuillées sont autant de tunnels où l’on titube. La bouche coupées aux commissures, tiraillée, condamnée à chercher les mots enfouis, les mots abasourdis, pris dans le bruit d’une tempête qui n’en finit pas d’ensevelir les voeux. Et ce doux son du piano qui vient cueillir, inquiet, timide le souffle frais d’un dimanche soir. Des souffles conjoints, des époques éloignées, des souvenirs presque abstraits, où ne vivent plus que le sentiment fugace de peur, de turbulences, d’effroi et d’affolement. Comme si tous les souvenirs se trompaient, charriaient larges la panoplie complète des fantasmes et des rêves, que les traits du visage à se creusaient, au rythme vacillant de la phrase qui s’élance et retombe. En se perdant, quelque part, la pénible dérive, le ressac perpétuel d’un vague dégoût, semence de mer qui pourrit dans les coins du cerveau. Rien que le silence bavard du passé, le noir perdant, le froid stérile et le mensonge.
Vous ne fûtes pas heureux. C’en est fait. Et vous venez de moins en moins sur la tombe de l’amour. Il n’y a rien à pleurer. Il n’y avait que des mises en garde, des mots durs qui crissent sous la dent comme des cailloux. Vous ne venez plus sourire à ces odeurs de porto du buffet de famille. Ni à l’appel d’un arrière-grand oncle trop oublié. Vous ne venez plus à la rencontre de la balançoire près du framboisier. Il n’y a plus d’appel. Seulement le deuil d’avoir à jamais à être déraciné, feuille tombée, coeur paillage pour les nouvelles pousses, encore endormies par l’hiver. Le passé est là comme une apparition fade, miroir sans teint, parole surannée. Au milieu, il ne coule rien. Et l’on attend encore de passer la rive, passer dans l’autre tunnel, essayant de croire que le chemin s’ouvrira sur une faste chaleur.
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hakimce · 4 years
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' Les vœux stériles'
ALFRED DE MUSSET
1810-1857
Puisque c'est ton métier, misérable poète,
Même en ces temps d'orage, où la bouche est muette,
Tandis que le bras parle, et que la fiction
Disparaît comme un songe au bruit de l'action ;
Puisque c'est ton métier de faire de ton âme
Une prostituée, et que, joie ou douleur,
Tout demande sans cesse à sortir de ton coeur ;
Que du moins l'histrion, couvert d'un masque infâme,
N'aille pas, dégradant ta pensée avec lui,
Sur d'ignobles tréteaux la mettre au pilori ;
Que nul plan, nul détour, nul voile ne l'ombrage.
Abandonne aux vieillards sans force et sans courage
Ce travail d'araignée, et tous ces fils honteux
Dont s'entoure en tremblant l'orgueil qui craint les yeux.
Point d'autel, de trépied, point d'arrière aux profanes !
Que ta muse, brisant le luth des courtisanes,
Fasse vibrer sans peur l'air de la liberté ;
Qu'elle marche pieds nus, comme la vérité.
O Machiavel ! tes pas retentissent encore
Dans les sentiers déserts de San Casciano.
Là, sous des cieux ardents dont l'air sèche et dévore,
Tu cultivais en vain un sol maigre et sans eau.
Ta main, lasse le soir d'avoir creusé la terre,
Frappait ton pâle front dans le calme des nuits.
Là, tu fus sans espoir, sans proches, sans amis ;
La vile oisiveté, fille de la misère,
A ton ombre en tous lieux se traînait lentement,
Et buvait dans ton coeur les flots purs de ton sang :
"Qui suis-je ? écrivais-tu; qu'on me donne une pierre,
"Une roche à rouler ; c'est la paix des tombeaux
"Que je fuis, et je tends des bras las du repos."
C'est ainsi, Machiavel, qu'avec toi je m'écrie :
O médiocre, celui qui pour tout bien
T'apporte à ce tripot dégoûtant de la vie,
Est bien poltron au jeu, s'il ne dit : Tout ou rien.
Je suis jeune; j'arrive. A moitié de ma route,
Déjà las de marcher, je me suis retourné.
La science de l'homme est le mépris sans doute ;
C'est un droit de vieillard qui ne m'est pas donné.
Mais qu'en dois-je penser ? Il n'existe qu'un être
Que je puisse en entier et constamment connaître
Sur qui mon jugement puisse au moins faire foi,
Un seul !... Je le méprise. - Et cet être, c'est moi.
Qu'ai-je fait ? qu'ai-je appris ? - Le temps est si rapide !
L'enfant marche joyeux, sans songer au chemin ;
Il le croit infini, n'en voyant pas la fin.
Tout à coup il rencontre une source limpide,
Il s'arrête, il se penche, il y voit un vieillard.
Que me dirai-je alors ? Quand j'aurai fait mes peines,
Quand on m'entendra dire : Hélas ! il est trop tard ;
Quand ce sang, qui bouillonne aujourd'hui dans mes veines
Et s'irrite en criant contre un lâche repos,
S'arrêtera, glacé jusqu'au fond de mes os...
O vieillesse ! à quoi donc sert ton expérience ?
Que te sert, spectre vain, de te courber d'avance
Vers le commun tombeau des hommes, si la mort
Se tait en y rentrant, lorsque la vie en sort ?
N'existait-il donc pas à cette loterie
Un joueur par le sort assez bien abattu
Pour que, me rencontrant sur le seuil de la vie,
Il me dît en sortant : N'entrez pas, j'ai perdu !
Grèce, ô mère des arts, terre d'idolâtrie,
De mes voeux insensés éternelle patrie,
J'étais né pour ces temps où les fleurs de ton front
Couronnaient dans les mers l'azur de l'Hellespont.
Je suis un citoyen de tes siècles antiques;
Mon âme avec l'abeille erre sous tes portiques.
La langue de ton peuple, ô Grèce, peut mourir ;
Nous pouvons oublier le nom de tes montagnes ;
Mais qu'en fouillant le sein de tes blondes campagnes
Nos regards tout à coup viennent à découvrir
Quelque dieu de tes bois, quelque Vénus perdue...
La langue que parlait le coeur de Phidias
Sera toujours vivante et toujours entendue ;
Les marbres l'ont apprise, et ne l'oublieront pas.
Et toi, vieille Italie, où sont ces jours tranquilles
Où sous le toit des cours Rome avait abrité
Les arts, ces dieux amis, fils de l'oisiveté ?
Quand tes peintres alors s'en allaient par les villes,
Elevant des palais, des tombeaux, des autels,
Triomphants, honorés, dieux parmi les mortels ;
Quand tout, à leur parole, enfantait des merveilles,
Quand Rome combattait Venise et les Lombards,
Alors c'étaient des temps bienheureux pour les arts !
Là, c'était Michel-Ange, affaibli par les veilles,
Pâle au milieu des morts, un scalpel à la main,
Cherchant la vie au fond de ce néant humain,
Levant de temps en temps sa tête appesantie,
Pour jeter un regard de colère et d'envie
Sur les palais de Rome, où, du pied de l'autel,
A ses rivaux de loin souriait Raphaël.
Là, c'était le Corrège, homme pauvre et modeste,
Travaillant pour son coeur, laissant à Dieu le reste ;
Le Giorgione, superbe, au jeune Titien
Montrant du sein des mers son beau ciel vénitien ;
Bartholomé, pensif, le front dans la poussière,
Brisant son jeune coeur sur un autel de pierre,
Interrogé tout bas sur l'art par Raphaël,
Et bornant sa réponse à lui montrer le ciel...
Temps heureux, temps aimés ! Mes mains alors peut-être,
Mes lâches mains, pour vous auraient pu s'occuper ;
Mais aujourd'hui pour qui ? dans quel but ? sous quel maître ?
L'artiste est un marchand, et l'art est un métier.
Un pâle simulacre, une vile copie,
Naissent sous le soleil ardent de l'Italie...
Nos oeuvres ont un an, nos gloires ont un jour ;
Tout est mort en Europe, - oui, tout, - jusqu'à l'amour.
Ah ! qui que vous soyez, vous qu'un fatal génie
Pousse à ce malheureux métier de poésie
Rejetez loin de vous, chassez-moi hardiment
Toute sincérité; gardez que l'on ne voie
Tomber de votre coeur quelques gouttes de sang ;
Sinon, vous apprendrez que la plus courte joie
Coûte cher, que le sage est ami du repos,
Que les indifférents sont d'excellents bourreaux.
Heureux, trois fois heureux, l'homme dont la pensée
Peut s'écrire au tranchant du sabre ou de l'épée !
Ah ! qu'il doit mépriser ces rêveurs insensés
Qui, lorsqu'ils ont pétri d'une fange sans vie
Un vil fantôme, un songe, une froide effigie,
S'arrêtent pleins d'orgueil, et disent : C'est assez !
Qu'est la pensée, hélas ! quand l'action commence ?
L'une recule où l'autre intrépide s'avance.
Au redoutable aspect de la réalité,
Celle-ci prend le fer, et s'apprête à combattre ;
Celle-là, frêle idole, et qu'un rien peut abattre,
Se détourne, en voilant son front inanimé.
Meurs, Weber ! meurs courbé sur ta harpe muette ;
Mozart t'attend. - Et toi, misérable poète,
Qui que tu sois, enfant, homme, si ton coeur bat,
Agis ! jette ta lyre; au combat, au combat !
Ombre des temps passés, tu n'es pas de cet âge.
Entend-on le nocher chanter pendant l'orage ?
A l'action ! au mal ! Le bien reste ignoré.
Allons ! cherche un égal à des maux sans remède.
Malheur à qui nous fit ce sens dénaturé !
Le mal cherche le mal, et qui souffre nous aide.
L'homme peut haïr l'homme, et fuir; mais malgré lui,
Sa douleur tend la main à la douleur d'autrui.
C'est tout. Pour la pitié, ce mot dont on nous leurre,
Et pour tous ces discours prostitués sans fin,
Que l'homme au coeur joyeux jette à celui qui pleure,
Comme le riche jette au mendiant son pain,
Qui pourrait en vouloir ? et comment le vulgaire,
Quand c'est vous qui souffrez, pourrait-il le sentir,
Lui que Dieu n'a pas fait capable de souffrir ?
Allez sur une place, étalez sur la terre
Un corps plus mutilé que celui d'un martyr,
Informe, dégoûtant, traîné sur une claie,
Et soulevant déjà l'âme prête à partir ;
La foule vous suivra. Quand la douleur est vraie,
Elle l'aime. Vos maux, dont on vous saura gré,
Feront horreur à tous, à quelques-uns pitié.
Mais changez de façon : découvrez-leur une âme
Par le chagrin brisée, une douleur sans fard,
Et dans un jeune coeur des regrets de vieillard ;
Dites-leur que sans mère, et sans soeur, et sans femme,
Sans savoir où verser, avant que de mourir,
Les pleurs que votre sein peut encor contenir,
Jusqu'au soleil couchant vous n'irez point peut-être...
Qui trouvera le temps d'écouter vos malheurs ?
On croit au sang qui coule, et l'on doute des pleurs.
Votre ami passera, mais sans vous reconnaître.
Tu te gonfles, mon coeur?... Des pleurs, le croirais-tu,
Tandis que j'écrivais ont baigné mon visage.
Le fer me manque-t-il, ou ma main sans courage
A-t-elle lâchement glissé sur mon sein nu ?
Non, rien de tout cela. Mais si loin que la haine
De cette destinée aveugle et sans pudeur
Ira, j'y veux aller. - J'aurai du moins le coeur
De la mener si bas que la honte l'en prenne.
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rentscoot · 4 years
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Salle comble pour les traditionnels vœux du maire à Argelès-sur-Mer
Vœux. Antoine Parra a accueilli près d’un millier d’Argelésiens venus pour la cérémonie.
Vendredi soir, plus d’un millier d’Argelésiens se sont rendus à l’espace Jean-Carrère pour y entendre les vœux de leur maire et de son équipe municipale. Antoine Parra a salué chaque personne une à une à l’entrée de la salle, avant de prendre place sur l’estrade. À ses côtés, se trouvaient les jeunes élus du conseil municipal des enfants, ainsi que les membres de son équipe municipale, amputée des quelques opposants qui n’avaient pas jugé utile de faire le déplacement.
Cette cérémonie est toujours l’occasion de jeter un regard rétrospectif sur l’année écoulée. Après avoir évoqué la crise environnementale, le maire a ainsi cité les réalisations de son équipe, notamment la création du parking paysager du Marasquer, celle du stade Éric-Cantona ou encore la transformation de la place Gambetta, ou l’installation de caméras de sécurité au centre-ville.
La rétrospective de l’année s’est terminée par l’évocation de « ces jolis soirs d’été au cours desquels 600 à 700 Argelésiens ont pu assister à un spectacle de cabaret en plein air et même à un opéra, un vrai, en direct avec des artistes professionnels « .
Après avoir mentionné quelques projets en cours pour 2020, Antoine Parra a tenu à rassurer le public quant aux finances de la ville. Ses propos ont été à plusieurs reprises salués par des applaudissements fournis.
Pour finir, le premier magistrat a déclaré : « Je souhaite ardemment que les esprits s’apaisent, que les animosités stériles se dissipent  » dans l’intérêt d’Argelès-sur-Mer.
Article Originale : Source
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https://rentscoot.fr/salle-comble-pour-les-traditionnels-voeux-du-maire-a-argeles-sur-mer/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=salle-comble-pour-les-traditionnels-voeux-du-maire-a-argeles-sur-mer
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L'enfant marche joyeux, sans songer au chemin ; Il le croit infini, n'en voyant pas la fin. Tout a coup il rencontre une source limpide, Il s'arrête, il se penche, il y voit un vieillard.
Premières Poésies (1828-1835), Les Voeux stériles, Alfred de Musset
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shalomelohim · 1 year
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Tehilim / Salmo / Psalm / Psaume 113 Mekimi - Yosef Karduner
“ Louez l’Eternel ! Serviteurs de l’Eternel, louez, louez le nom de l’Eternel ! Que le nom de l’Eternel soit béni, dès maintenant et pour toujours ! Du lever du soleil jusqu’à son coucher, que le nom de l’Eternel soit célébré ! L’Eternel domine toutes les nations, sa gloire s’élève plus haut que le ciel. Qui est semblable à l’Eternel, notre Dieu ? Il a sa demeure en haut et il s’abaisse pour regarder le ciel et la terre. De la poussière, il relève le faible, Du fumier, Il retire le pauvre pour les faire asseoir avec les grands, Avec les grands de son peuple. Il donne une famille à celle qui est stérile, Il fait d’elle une mère joyeuse au milieu de ses enfants. Louez l’Eternel ! “ (Psaume 113 : Bonté de Dieu pour les faibles)
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Selon Matthieu 26:30, après le Seder et avoir pris le pain et le vin, Yahshua a chanté les psaumes. Cette série est appelée par les Juifs « Hallel » (Louanges à l’Eternel) et concerne les psaumes 113 à 118 et certains y ajoutent le psaume 136.
Tous ont été écrits par le Roi David et sont des prophéties concernant Yahshua. On sous-estime souvent le grand combat qu’Il a dû mener et les souffrances qu’il avait dans son coeur ALORS QU’IL CHANTAIT SON PROPRE SACRIFICE avec ses 12 disciples représentant les tribus. Il était avec Tout Israël (Juda & Ephraïm) à ce moment-là.
Tout le monde chante la prophétie, mais il n’y a que Yahshua qui comprend véritablement la signification. A travers ces chants qui glorifient Dieu, il Lui renouvelle sa totale confiance dans ses promesses puisqu’ils sont dans une unité parfaite. Plus tard, un ange est venu le fortifier, mais saisi d’angoisse à la présentation de la coupe (la 3ème), sa sueur est devenue comme des caillots de sang qui tombaient par terre (Luc 22:43-44).
En parallèle avec le récit de la Haggadag de Pessah, le psaume 114 commence à Pessah du temps de la sortie d’Egypte et prophétise la nouvelle libération du peuple via Son sacrifice et qui se produira également à la Fin des Temps (Prophétie avec plusieurs dimensions dans le temps).
Le sang qui avait été déconnecté de la Source à cause du péché en Eden a été reconnecté par Yahshua le Messie grâce à Son sacrifice.
Où l'Agneau du sacrifice, affrontant la puissance des ténèbres, a-t-il puisé la force de chanter ?
Au-delà de la nuit, il contemplait l'aurore à venir.
Plus loin que la croix, il voyait le tombeau vide.
Méprisant l'ignominie toute proche, il se fortifiait à la pensée de la joie qui lui était réservée.
Plus fort que la mort, sa résurrection scellerait à tout jamais le triomphe du Père.
Quel Messie incroyable nous avons !
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"Psalm 116 : I love the Lord" by Sons of Korah (with lyrics)
Nice song
“ J'aime l'Éternel, car il entend ma voix, mes supplications ; Car il a penché son oreille vers moi ; Et je l'invoquerai toute ma vie. Les liens de la mort m'avaient enserré, Et les angoisses du séjour des morts s’étaient emparées de moi ; J'étais accablé par la détresse et la douleur. Mais j'invoquerai le nom de l'Éternel : O Éternel, sauve mon âme ! L'Éternel est miséricordieux et juste, Notre Dieu est plein de compassion ; L'Éternel garde les simples ; J'étais malheureux, et il m'a sauvé. Mon âme, retourne à ton repos, Car l'Éternel t'a fait du bien. Oui, tu as délivré mon âme de la mort, Mes yeux des larmes, Mes pieds de la chute. Je marcherai devant l'Éternel sur la terre des vivants. J'avais confiance, lorsque je disais : Je suis bien malheureux ! Je disais dans mon angoisse : Tout homme est trompeur. Comment rendrai-je à l'Eternel Tous ses bienfaits envers moi ? J'élèverai la coupe des délivrances, Et j'invoquerai le nom de l'Eternel ; J'accomplirai mes voeux envers l'Eternel, En présence de tout son peuple. Elle a du prix aux yeux de l'Eternel, La mort de ceux qui l'aiment. Ecoute-moi, ô Eternel ! Car je suis ton serviteur, Ton serviteur, fils de ta servante. Tu as détaché mes liens. Je t'offrirai un sacrifice d'actions de grâces, Et j'invoquerai le nom de l'Eternel ; J'accomplirai mes voeux envers l'Eternel, En présence de tout son peuple,   Dans les parvis de la maison de l'Eternel, Au milieu de toi, Jérusalem ! Louez l'Eternel ! ” (Psaume 116 : Louange pour la délivrance accordée)
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Julie Geller - Psaume 118 in hebrew - א֭וֹדְךָ - תְּהִלִּים כיח - with english lyrics 
“ Louez l’Eternel car il est bon ! Oui, sa bonté dure éternellement. Qu’Israël le dise : “Oui, sa bonté dure éternellement !” Que la famille d’Aaron le dise : “Oui, sa bonté dure éternellement !” Du fond de la détresse, j’ai fait appel à l’Eternel. L’Eternel m’a répondu, il m’a délivré. L’Eternel est pour moi, je n’ai peur de rien : Que peuvent me faire des hommes ? L’Eternel est mon secours et je regarde mes ennemis en face. Mieux vaut chercher un refuge en l’Eternel que de mettre votre confiance dans l’homme ; Mieux vaut chercher un refuge en l’Eternel que de mettre votre confiance dans les grands. Toutes les nations m’entouraient : au nom de l’Eternel, je les taille en pièces. Elles m’entouraient, m’encerclaient : au nom de l’Eternel, je les taille en pièces. Elles m’entouraient comme des abeilles : elles s’éteignent comme un feu de ronces, au nom de l’Eternel, je les taille en pièces. Tu me bousculais pour me faire tomber, mais l’Eternel m’a secouru. L’Eternel est ma force et le sujet de mes louanges, c’est lui qui m’a sauvé. Des cris de triomphe et de salut s'élèvent dans les tentes des justes : La droite de l'Eternel manifeste sa puissance ! La droite de l'Eternel est élevée ! La droite de l'Eternel manifeste sa puissance ! Je ne mourrai pas, je vivrai, Et je raconterai les oeuvres de l'Eternel. L'Eternel m'a châtié, mais il ne m'a pas livré à la mort. Ouvrez-moi les portes de la justice : J'entrerai, je louerai l'Eternel. Voici la porte de l'Eternel : C'est par elle qu'entrent les justes. Je te loue parce que tu m’as répondu, parce que tu m’as sauvé. La pierre qu’ont rejetée ceux qui construisaient est devenue la pierre angulaire. C’est l’oeuvre de l’Eternel et c’est un prodige à nos yeux. Voici le jour que l’Eternel a fait : Qu’il soit pour nous un sujet d’allégresse et de joie ! Eternel, accorde donc le salut ! Eternel, donne le succès ! Béni soit celui qui vient au nom de l’Eternel. Nous vous bénissons de la Maison de l’Eternel. L’Eternel est Dieu et Il nous éclaire. Attachez la victime de la fête avec des liens aux cornes de l’autel ! Tu es mon Dieu et je te louerai mon Dieu, Je proclamerai ta grandeur. Louez l’Eternel car il est bon. Oui, sa bonté dure éternellement “ (Psaume 118 : Louange à Dieu pour sa bonté)
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Barry and Batya Segal - Hodu la’ Adonai ki tov / Give Thanks to the Lord - Psaume 136 (Hebrew, English & Chinese) 
“ Louez l’Eternel car Il est bon ! Oui, Sa bonté dure éternellement. Louez le Dieu des dieux ! Oui, sa bonté dure éternellement. “ (Psaume 136:1-2 : La bonté éternelle de Dieu)
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