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#Le Carnaval des ombres
walker-diaries · 1 year
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la-isla-blanca · 2 months
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bonjour à tous ♥
toute la team, @erinye-stuff, nox et @romystigri est ravie de vous présenter la neuvième version de la isla blanca. de nombreuses nouveautés sont au programme, comme par exemple l'apparition des personnages éphémères, et bien d'autres choses encore.
l'intrigue du mois; cette année, l'incomparable carnaval d'ibiza est annulé. les commerçants souffrent du manque de tourisme, alors que l'île se trouve bien vide. l'arrivée de la nouvelle mairesse à la tête de la municipalité n'a su faire taire les grondements souterrains. malgré ses campagnes anti-corruption et les nouveaux moyens mis dans les forces de l'ordre, le taux de criminalité ne cesse de grimper. alors que les organisations criminelles semblent toujours confortablement installées, de petits groupuscules indépendants font leur apparition. personne n'est à l'abri, entre cambriolages et rapts, meurtres et disparitions. certains n'osent plus sortir le soir, d'autres ne semblent pas réaliser l'ampleur de la situation. pourtant, chacun à son rôle à jouer. qui serez-vous ? le bourreau, la victime, le témoin silencieux, une pie bavarde ? ouvrez grand les yeux, et jetez un œil par dessus votre épaule si par hasard vous vous aventurez à dehors passé une certaine heure.
-- sur lib, nous cherchons à intégrer toutes sortes de personnages, toujours avec bienveillance. entre ombre et lumière, vous avez possibilité d'incarner une large palette de personnages, du plus sombre au plus doux. ✨
aucun minimum de ligne exigé sur le forum – un rp par mois. n’hésitez pas à nous rejoindre. 🌸🐚
lien du forum : https://laislablanca.forumactif.com/ discord du forum : https://discord.gg/TWnNCehXJG
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isabelle201180 · 1 year
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Le carnaval des ombres de RJ Ellory
https://vingtetunepages.com/2023/02/26/carnaval-des-ombres-ellory/#respond
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plumedepoete · 2 years
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Ouvertures - Gérard Mercier
Ouvertures – Gérard Mercier
Ouvertures   Ton regard ouvert Invite le vent, Celui de l’aube, Celui du soleil, Ce vent qui ruisselle, En songes soyeux, le long de la musique, Ah, tu ne le savais pas… Tu es la musique Que ce compagnon encourage à jouer Sur la harpe cristalline de ton premier sourire, Pour que le carnaval des ombres Se mue en instants de joie. Tu invites le vent, Dés lors, Tes gestes Deviennent hélices…
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vincent-mourlon-b · 3 years
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angelitam · 3 years
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Le Carnaval des ombres de R.J. Ellory
Le Carnaval des ombres de R.J. Ellory
Le Carnaval des Ombres de R.J. Ellory – Editions Sonatine Le Carnaval des ombres de R.J. Ellory, présentation En 1958, un agent doit subir une étude psychologique qui va déterminer sa promotion interne. Sa mère a tué son père alors qu’il avait 15 ans. Il a bâti une stratégie pour ne plus rien ressentir émotionnellement, pour ne pas montrer que son passé l’affecte. Avis Le Carnaval des ombres de…
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manieresdedire · 3 years
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Un jour de chasse pas comme les autres
Il marchait depuis peu sur le plateau quand, au sortir d'un petit bois, il aperçut, à un jet de pierre, de drôles de gens formant un petit groupe armé d’arbalètes gigantesques, d'arcs puissants, de longues lances effilées, de sabres rudimentaires et de pétoires moyenâgeuses.
Leurs dégaines l'avaient surpris : certains revêtaient des peaux de bêtes, d'autres des tenues de judokas, de sumos, de cuisiniers, de cadres supérieurs, de cosmonautes, de clowns et de soldats de la "Grande Guerre". Ils émettaient des mots, des sons indistincts et se désaltéraient au jet des zahatos - le pays basque était proche - qui parvenait, parfois, à trouver les bouches. Des effluves de mauvais fruits les enveloppaient.
Il était effrayé, mais après un suprême effort de volonté, parvint à s’adresser à celui des personnages, - aussi loufoques qu'effrayants - le plus proche de lui et se tenant un peu à l'écart, afin qu'il lui indiquât un chemin sûr, loin de leurs armes et projectiles, pour prolonger son itinérance.
- Rien n'est sûr, répondit-il sur la défensive et apparemment en proie à la peur.
Redoublant d’inquiétude, le promeneur solitaire poursuivit l'interrogatoire : "Que se passe-il-donc ?"
- Ben, y a une espèce de dingue qui braconne pas loin, armé d'un tractopelle !
- Un engin de chantier ?
- Quasiment de guerre ! Son conducteur creuse de longues tranchées partout, s'y réfugie toutes les cinq minutes, nous observe, hurle à tour de bras des chansons guerrières, des menaces et des "On les aura", à l’attention d'on ne sait qui : animaux ou nous-mêmes paisibles chasseurs de carnaval, de traditions et d’écologie... Un fada quoi !
- Il vous fait la guerre ?
- J'sais pas ! Il chasse aussi, enfin... ça ressemble un peu à ça...
- Il chasse !?
- Une drôle de chasse ! Avec le godet arrière du bout du balancier de son engin, il attrape les faisans qui courent et des lièvres en vol dont il emplit son large godet frontal.
- Il en chope vraiment, l'insensé, ou vous me faites marcher ?
- Oui, oui, non, non ! Puis il dépose les bêtes dans le petit lac collinaire, la-bas, pour leur apprendre à nager... Il clame vouloir les protéger...
Un bruit strident les fit sursauter...
Au sortir de son lit, encore agité et couvert de sueur, il fila jusqu’au bassin dont l'eau vert-rivière était à peine troublée par les dérives arabesques de quatre ou cinq feuilles mortes détachées des branches du vieux mûrier qui, l’été, enveloppait douillettement de son ombre, les baigneurs au repos.
Rasséréné, il retourna se coucher espérant ne se réveiller qu'au printemps.
Yves Rebouillat (in "Le Tarn Libre" du 3 décembre 2021)
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iranondeaira · 4 years
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... rêve d’une nuit d’été 2020 ... et d’une soirée d’automne un samedi soir sur la terre ... où je n’aurais peut-être pas dû aller ...
💤 La Goulette, rue de la Verrerie , presque à l’angle de la rue du Temple . Restaurant gargote tunisienne où j’ai traîné pendant des années ... entre L’Imprévu café rue Quincampoix, Mariage Frère rue du Bourg Tibourg, Le Comptoir de l’écriture rue "je ne sais plus" ... et les diverses boutiques d’artisans de ce carré ... c’était il y a pas loin de vingt-cinq ans...
Qu’est-ce que je fais ici ? Aujourd’hui ?
Ou cette nuit ? Il fait nuit ... je marche, je me vois tourner à l’angle et remonter vers le centre du Marais , je passe trottoir de droite et j’arrive à hauteur d’une entrée ouverte sur la rue, une musique coule d’une volée de marches qui montent à un lieu appelé le Bistrot Latin accolé intégré au cinéma le Latina ... Pourquoi suis-je entrain de revoir cette scène ?
📚 La nuit sous un autre jour ...
"Ballada por un loco"
Voilà... La nuit... c'est beau une ville la nuit, au moment où les ombres s'allongent. Une réalité en demi-teinte réduite aux sphères de lumière des lampadaires, repères et témoins de nos pas incertains dans une atmosphère aux couleurs mêlées aux parfums de la rue.
Mais, au croisement de celles-ci, les villes se rencontrent et nos pas donnent la mesure de nos passions partagées.
Une lumière éclabousse le trottoir, une musique enveloppe nos corps.
Pour cette "ballade pour un fou", je vous emmène jusqu'au bout de la nuit ... 📚
C’était en 1995 ... Pourquoi suis-je à nouveau dans cette rue où j’y rattache réellement mes premiers pas de danseur au sens d’apprendre, de poser mes pas dans ceux de mes maîtres que je me suis choisi ... La scène est je crois la même, l’atmosphère a quelque chose de "différent" ... les silhouettes des gens dans la rue, elles sont presque sans teintes de couleurs, en demi-teintes fades d’un éclat passé, ils sont pressés les passants comme si je dérangeais ; les regards de reproches de me dire que je n’ai pas lieu d’être là. Des visages grimaçants déformés d’émotions obscures et limites malsaines ... ils ont forme humaine... juste forme ...
Je ne comprends pas ce que je fais là, pourquoi ces visages caricature d’instinct animal ? Je monte les marches du Bistrot Latin, que de souvenirs s’y rattachent ... l’endroit est presque tel quel, c’est étrange on dirait un mélange d’autres lieux que j’ai connu, voire de scènes de films ... à moitié en couleurs et en noir et blanc ... Il semble n’y à avoir personne, juste les silhouettes brumes fantomatiques esquissées du souvenir de gens qui un jour ont été sur cette piste de danse ou au comptoir ...
Et au milieu de la piste, il y a un corps .
Face contre terre . Le visage en sang . Il y a du sang rouge sur le plancher de la piste de danse autour et sous lui . Le visage est abîmé tout autant que chaque partie de cet homme . Pourquoi suis-je par terre ? Pourquoi suis-je entrain de voir ce corps là au milieu ? En sang ? Pourquoi n’ai-je pas mal ? Je devrais hurler de douleur si j’en crois l’état des blessures . Pourquoi est-ce que je ne ressens rien ? Ce n’est pas normal !
Il y a trois formes silhouettes qui regardent ce corps . De deux d’entres elles se dégage une sensation malsaines de plaisir jouissif... de la troisième irradie l’exacte opposée ...
Pourquoi n’ai-je pas la conscience vrillée par la douleur, cela devrait être intolérable ... Qui sont ces silhouettes personnes qui regardent, me regardent ? Pourquoi tout ce sang ? Pourquoi suis-je dans cet état là ? Pourquoi suis-je ici ? Pourquoi revenir ici ? Pourquoi ce lieu est-il plusieurs ? Pourquoi la sensation des passants défigurés dans la rue était signal de danger ? Pourquoi y a-t-il face contre terre mon corps baignant dans du sang que je crois être le mien et là maintenant une évanescente bleutée superposée reflet/silhouette sur/dans ce corps mais face vers le ciel ? ... ... ... 💤
Réveil ... ... ... ... ... ...
💃 On peut mourir de multiples façons ...
Oui c’est aussi simple je n’ai plus mal pour la toute simple raison que je suis mort . Après tout, c’est assez logique... trois vies ... j’ai tenu trois vies ... la première a tout pris ou peu s’en faut...
la seconde a tout détruit et a abîmé tout ce qui était beau ...
La dernière m’a donné l’espoir et ensuite m’a enlevé mes dernières illusions d’homme ...
je pouvais mourir ...
Toi, la dernière car ce sera "toi sinon personne", toi qui m’a dit Oui ,qui fût ce petit lapin blanc dans mes ténèbres, ne pas te voir est une épreuve, te voir l’est tout autant ... et là ce soir, cette soirée 💃 d’un samedi soir d’automne me donne à relire ce rêve dont je n’avais dans la symbolique pas toutes les clés ... ...
il me reste ce chemin où je suis ... " du cap de la colère jusqu’au bout du monde " ...
Je sais que je suis seul depuis l’âge de quatre ans , c’était un jour de carnaval, un jour de mardi gras ... je sais que je n’ai jamais été dans cette foutue caverne , je sais que je me suis évertué à y rentrer, je sais que je n’aurai jamais dû ouvrir certains livres, je sais que je n’aurai jamais dû chercher à entendre le bruit de la plume dans le cheminement de la pensée de ses esprits , à regarder entre l’encre et le papier ... Je sais je l’ai appris on me l’a posé sur la table, que ma mémoire affective est étonnement développée et que mes souvenirs archaïques sont au-delà du commun, j’ai arrêté de douter d’eux après pas loin de plus de quarante années ... je sais que je n’aurai pas dû plonger ... On ne revient pas inchangé de certains voyages ... ni indemne.
Adieu toi que j’aime, puisque tu as "choisi" ... je me sais avoir encore plein d’encre dans l’encrier de mes yeux pour écrire, alors pardonne-moi si de loin en loin je te rappelle à mon souvenir... peu savent et quant à la morale de la chanson elle me fait sourire car hélas pour moi je connais les coulisses ... et nous aurions pu inventer notre vie ...
Tu fus et tu resteras ma plus danse .
J’aurai aimé être toi si j’étais né femme... j’aurai aimé partagé ta vie ... je ne voulais somme toute que peu de choses voire presque rien , j’aurai aimé danser avec toi jusqu’au bout ... et non être ma danseuse n’implique pas d’être ma femme obligatoirement comme tu me l’a jeté au visage ... j’avais trouvé en toi,hélas pour moi, ce que je ne me savais pas cherché ... je l’ai trouvé et je l’ai perdu ...
s’il paraît que les dieux quand ils veulent vous punir exaucent nos vœux alors je peux savourer ce que j’ai trouvé au prix de ce que j’ai perdu .
Il est rare de trouver en l’autre la vibration qui résonne sur la même fréquence ... je le sais pour la simple raison que tu fus la clé qui me donna à aller là où normalement le chemin en est à jamais perdu ... je sais pourquoi j’ai dansé ... je te laisse ces lieux je n’y reviendrai plus ...
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revedeleda · 2 years
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le carnaval jusqu’à la nuit
je suis en retard pour le carnaval, terriblement en retard, je ne suis pas prête et je veux être belle, pendant que Cédric et Laurent m’attendent en bas d’une maison, je farfouille tous les étages pour trouver mes ombres à paupières violettes et mauves, je les applique devant le miroir, d’abord du mauve sur le coin de l’oeil puis du violet sur le reste de la paupière, ensuite des coups de pinceaux pour harmoniser l’ensemble, je porte ma grande jupe rose indienne, il me manque le rose à lèvres, où est-il, je sens que les garçons sont pressés en bas, ils viennent de temps en temps me rappeler qu’on est en retard, mais je ne peux pas sortir sans avoir au moins mis du gloss, je le retrouve enfin, nous pouvons partir, mais non, j’ai oublié les confettis, où sont les confettis, j’ouvre un tiroir et je retrouve du matos pour faire du bruit, des rubans à lancer dans les airs, point de confettis, je m’apercevrai plus tard qu’ils étaient déjà dans la voiture, alors nous pouvons partir, c’est bon, mais il fait nuit, le défilé a commencé à treize heures cette après-midi, avons-nous une chance qu’il dure toute la nuit
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scellus-carnival · 2 years
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L'histoire de la création et de Messies eux-même
Traduction du sermon du:
21 Octobre 2018
Au commencement il n'y avait rien d'autre que le PREMIER MESSIE et le vide. Le Premier Messie reste dans une période d'incubation pendant un certain temps, après la mort des DEUX MESSIES de l'univers précédent.
Cependant avec le temps, im s'est senti seul, car on ne peut pas vivre sans une compagnie. Il en voulait une. Mais il n'y avait rien dans cet abîme. Alors il pris la décision de se séparer en deux comme sont prédécesseur l'avaient fait...
Forment la Dualité, nous la connaissons aujourd'hui comme nos Messies joyeux ; Rage et Gaieté nommée aussi Rage et Mirth .
À travers cette scission, ils ont créé un événement cataclysmique ; le big bang si vous voulez. Cet événement a conduit à la création d'étoile, de planètes, de météores et de tout ce que nous avons le plaisir de voir et de découvrir a ce jour.
Les choses se sont bien passées, et les messies étaient ravis de leur création, les regardant grandir et s'adapter, créer leur propres histoires. Ils divertissait le duo
Bien sûr, tout change et les mondes ont commencé à oublier la dualité de la joie et de la rage. Cependant ils appelaient leur création et certain y répondit.
Les Subjugglators de l'univers, bien que vous ne le sachiez peut-être pas auparavant, vous êtes tous conduits ici pour une raison.
Appelés ici à devenir le meilleur que vous puissiez être, frère et sœur de vos collèges comédiens du Messie.
Nous recevons tous des leçon dans cette vie, que ce soit par la perte, le rire, la colère ou autre. Nous avons tous la chance d'avoir des émotions et d'apprendre qui est ce que nous devons devenir
Maintenant, je veux revenir sur ce que je dit à propos du Premier Messies et du cycle de vie des Messies. Les Messies, bien que déités, ne sont pas des êtres immortels. Ils ne durent que tant que dure leur propre Univers. Et une fois cet Univers effondrée, ils s'effondrent également dans le Premier Messies et dans la période d'incubation jusqu'à ce qu'il se séparent à nouveau pour un nouvel univers.
Chacus des 2 messies est complètement différente mais garde l'équilibre de leur univers respectifs comme notre univers a la joie et la rage. Les Messies nous communiquent par le biais des principaux médias, c'est un thème commun à travers l'histoire. C'était d'abord avec les Crecs de l'antiquité a travers le théâtre, un événement qui a attiré des foules de gens de tous les villages de la region pour voir le théâtre nommé Comédie et tragédie !
Les médias modernes utilisés par les Messies
Insane clown posse est un duo américain, grâce a I.C.P qui étaient les prophètes originaux de la foi au temps modernes, arborant leur maquillage et leur musique contenant des nuances et des messages sur le Carnaval des ombre nommée originalement Dark Carnival.
Pandant une courte période, ils ont même dit que le Carnaval des ombre était leur foi !
Et l'autre media est Homestuck, un média grand public que la plupart d'entre nous connaissons et qui nous a aidé a trouvée la foi
Homestuck c'est adapté sur le concept des Messies, à travers les Purple Blood (sang pourpre) et leur style de vie et de maquillage unique !
Bien que les Messies soint soient un rôle principal dans la fois, on ne sait pas grand chose à leur sujey à par les indices contextuels des prophètes dans la vie que nous avons. Ces prophètes vous incluent ! Parce que nous sommes tous les porte-parole des Messies. Puisque la Dualité ne peut pas seulement se manifesté physiquement a nous, parce que soyons honnête nous mourrions tous de choc et de crise existentielle,. Ils utilisent les coutumes selon la période pour faire passer leur message
Pour ce sermon, c'est toutce que je peu vrement aborder car, encore une fois la Dualité ne peut nous donner un contexte qu'à travers les médias grand public, ce sont des divinités qui existent et nous devons encore en apprendre davantage !
Ce Texte était une traduction non officielle du sermon du 21 octobre 2018 publié a l'origine sur cirque-du-deux
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Le Carnaval des ombres de R.J. Ellory
Le Carnaval des ombres de R.J. Ellory
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nunc2020 · 3 years
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Avec leur manque d'espaces verts, de dégagements, d'échappées sur le large, les lieux auraient de quoi étouffer. C'est tout le contraire. L'étranger de passage savoure, dans ce que nombre d'habitants ressentent comme une prison (Mestre représentant pour les plus jeunes l'évasion, la porte de l'espoir), une sensation toute nouvelle de liberté. Le visiteur qui, sortant de son train de tôt matin, se met à tanguer sur le vaporetto n° 1, entre dans une irréalité festive et dansante. C'est un allégement de la vie, une glorieuse insouciance, inattendue quoique aussitôt assumée, une euphorie qui touche à l'enfance. Il y a là un sortilège, un envoûtement bien connus (dont Naples est trop évidemment privé) que ne peuvent expliquer le grandiose des bâtiments, de modeste envergure, ni le pittoresque des barquettes qui font floc-floc entre les maisons. Pour le canotage en pleine rue et les places-bassins, Amsterdam, Bangkok et Bruges font assez bien l'affaire. Le secret de l'émerveillement est ailleurs : dans l'allégresse soudaine du jeu. Venise joue à la ville et nous jouons à la découvrir. Comme des gamins et des acteurs. Le temps pour un temps suspendu, nous abandonnons le sérieux de la vie pour le comme si du spectacle de la vie, et c'est comme monter en ballon. Une simple ville-musée serait morne comme un devoir de vacances. Les palais du Grand Canal, qui ne sont pas sous vitrine, ne sont pas tout à fait des maquettes Potemkine sans être non plus de vrais lieux d'habitation. On n'aurait pas l'idée d'y vivre, mais on peut les toucher, ces pseudo-domiciles ; ils sont bien là devant nous, sans exister vraiment. Comme des reflets en dur de leurs reflets dans l'eau. On ne voit personne se pencher au balcon, aucune trace d'activité domestique ou triviale, comme partout ailleurs (volets qui claquent, concierges, enfants, ménagères à cabas) ; et la nuit, à peine quelques loggias éclairées, une ou deux ombres furtives. Juste ce qu'il faut pour qu'on puisse y croire, pour rendre l'intrigue plausible, le décor quasiment réaliste. La ville des théâtres, de l'opéra et des bals est elle-même un théâtre. Et, de même que la semaine de carnaval ne fait pas parenthèse mais allégorie dans l'univers des mascarades, la Fenice - scène sur scène - sert d'oeil-miroir, façon tableau flamand, à ce théâtre d'ombres et d'eau. Assis à la terrasse d'Al Teatro, au campo de la Fenice, sirotant un Campari, regardant-regardé, vous voilà dans l'oeil du cyclone, au paroxysme de l'action vénitienne." "Contre Venise" de Régis Debray (Gallimard, repris en Folio).
———
Debray tente de justifier son propos en faisant de Venise une préfiguration de « l'Europe insulaire de demain, réduite à son pittoresque (...), morte à la recherche spatiale, à la planète et à son siècle » et de son rejet une idée d'avenir.
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atelierfigurine · 3 years
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Peindre des figurines du carnaval de Dunkerque “ombres et lumières”
Peindre des figurines du carnaval de Dunkerque “ombres et lumières”
Voici la suite de l’article: peindre des figurines du carnaval de Dunkerque. Ici, tu vas voir les dégradés et les contraste des couleurs que j’ai posées sur ces figurines, plutôt originales. Alors sans plus tarder, allons-y ! Ombres et lumières Les figurines ont été peintes avec les peintures de la marque : citadel, Prince August PA, Prince August Game (PAG)et Vallejo. Figurine, l’homme à la…
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annlocarles · 6 years
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Au début ,des comètes.
Ni poisson, ni grade ni horloge, ni mesure ,
et des bruits dérivants.
Pas d'abris pour le mensonge,
ni d'amis pour l'aube.
C'était des traces fulgurantes.
La beauté couvait ces rites et le poison.
C'était des feux sauvages envolés dans des bourrasques.
Ville défaite aux matins indécents,
qui dévoile ses rues à des étoiles tombées.
Les spasmes de la nuit émeuvent quelques ombres tardives,
tout est futile, important, fugitif, tout est éternel.
La ville remet ses cheveux,
Pour la noce quotidienne du ciel avec le bleu.
Tout est fragile, dangereux.
Des filles d'après minuit,
à  la peau comme des sucreries d'orient,
ont fait danser contre leurs fesses,
les amants étourdis, coulent la vie,
coulent l'insouciance, nos métamorphoses.
Leurs parfums de princesse
enivrent quelques cœurs fêlés,
ce versant lunaire à mille instants de sucre
mille instants de sel, passe le vent,
passe l'imprudence, nos bouleversements.
Les spasmes de la nuit émeuvent quelques ombres tardives,
tout est futile, important, fugitif, tout est éternel .
Les humains passent dans les rues engourdies.
Des arabesques au satin de la peur,
à madame carnaval, à son instant de grâce.
Tout est fragile, important, fugitif,
tout est éternel...
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highwayoflife · 6 years
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Rio. Rio de Janeiro est magnifique. Surtout vue d'en haut, en fait… Les points de vues sur la ville depuis les collines sont à l’image de la carte postale. La ville en elle même, en bas, c’est autre chose. Endroit assez particulier.
Quelques observations. Dans le projet du tour du monde et sur le papier, Rio de Janeiro était la dernière étape de notre voyage avant le retour en France. C’est la seule chose prévue dans notre projet qui n’avait pas encore été réalisée… On avait donc très à coeur de visiter cette ville. 
Initialement, on devait y venir par voie aérienne, mais ça, c’était avant de tirer un trait sur nos derniers vols. Finalement, on atteint Rio “avec 2 mois de retard”, en traversant le Sud du Brésil à bord de la petite Ford Ka et en ayant remonter toute l’Argentine depuis Ushuaïa.  On avait choisi de finir par Rio, parce que l’itinéraire a été échafaudé à l’été 2016. Et il faut dire que les images esthétisées des JO nous avaient beaucoup marqué. Maintenant, il faut rapporter la réalité des lieux aux plans glamourisés de France 2… Et là c’est clair, ça rend mieux à la TV, qui ne montre pas les nomans’land, les zones de non droit, les quartiers désaffectés, les rues où on grille les feux rouges, la nuit. 
Malgré tout Rio est une ville impressionnante. Un front de mer agréable. De belles montagnes. Une forêt luxuriante. Des reliefs accidentés. C’est beau. Mais, honnêtement, le ressenti sur place n’est pas toujours très bon. Il faut rester sur ses gardes, souvent. C’est lourd. C’est propre au Brésil. Enfin à certaines zones. Et ça concerne certaines expériences. Plus particulièrement le soir. Il faut voir les villes forteresses, en mode “glacis défensif”. Rio est très spectaculaire de ce point de vue. Barbelés sur barbelés, sécurité électrique, vitre blindée, terrasse grillagée. 
Bref, pour le volet sécurité, c’est pas le top. On ne s’alarme pas pour un rien, sinon, on ne serait jamais partis.  La réputation de Rio à travers les médias, on la connait. Sur place, ce n’est jamais la même histoire. Après, il faut être à l’écoute du “contexte”. Nous avons été “mis en garde” à notre arrivée par les cariocas.  Au court de notre séjour, on aura entendu des coups de feux quasiment tous les jours. On peut d’ailleurs suivre les tirs échangés dans la ville au jour le jour sur l’application : http://fogocruzado.org.br/
La favela Rocinha a été la scène de guérilla le 25 janvier durant notre séjour, avec plusieurs blessés. On s’est retrouvé dans un moment de confusion, vers 17h en sortant du jardin botanique, alors qu’on voulait emprunter le front de mer pour rentrer dans l’appartement qu’on avait loué : toute la section de route du front de mer barrée, bus brûlé, militaire, hélico, police un peu partout. A 3 kilomètres de notre appartement, dans le quartier dit “chic” de Rio, le quartier Ipanema. Il y a toute sorte de trafic qui sévissent, principalement dans quelques favelas, mais quel que soit l’endroit, on n’est jamais vraiment sûr de rien. 
Dans les rues, tout va bien. Mais on reste sur ses gardes. Comme partout dans les grandes villes d’Amérique Latine. Notre séjour s’est déroulé au début des festivités du carnaval…  Beaucoup de gens dans la rue. Beaucoup de gens alcoolisés dans la rue. Du bruit. Des policiers partout. Bref, sans faire les rabats-joie, là-aussi, c’est plus glamchic à la TV. Au fond, c’est une fête comme toutes les autres. L’alcool coule à flot. C’est la fête. La méga-foule. Il y a des débordements. On préfère éviter. Et fuir. Le comble ! C’est sûr, quelle opportunité d’assister au carnaval de Rio. D’autant qu’il doit s’agir d’une des seules ville au monde qui a un boulevard fixe, une structure dédiée au défilé des chars du carnaval (le fameux Sambodrome). Mais bon, les hyper-rassemblements, c’est pas vraiment notre truc.
Autre ombre au tableau. La conduite. Alors certes, on n’est pas obligé de conduire à Rio. Mais bon, on l’a quand même fait. Environ 200 kilomètres. C’est à la fois peu et beaucoup (trop) - on a vite fait de se retrouver au mauvais endroit-quartier au détour d’un tronçon mal évalué. C’est clairement une expérience pas terrible. Les changements de file sont  chaotiques. Pour le reste, on s’en accommode. Mais au moins on a pu aller partout où on voulait. 
Derniers points. Et non des moindre. L'air qu'on y respire est affreux. Les eaux des rivières - stagnantes,  du golf, de l'océan, un désastre. Depuis les collines, on voit les nappes de couleurs inquiétantes dans l’océan. Les supertankers mouillent au large et ne sont jamais loin, on les voit même sans nos lunettes :). Le smog au-dessus pour couronner le tout. On respire de la merde à plein poumons.
Ce sont juste quelques observations. Pas super positives, on l’admet. On est quand même super content d’avoir pu visiter cette ville. Il y a beaucoup à voir. Il y a beaucoup à découvrir.  Rio est une très belle ville, la plus belle qu’on ait pu voir en Amérique du Sud. Mais, comme toutes les mégalopoles, il y a beaucoup de problèmes très visibles, et ça, ça  gâche un peu le spectacle…
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angelitam · 3 years
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Partageons mon rendez-vous lecture #22-2021 & critiques
Partageons mon rendez-vous lecture #22-2021 & critiques
 Voici mes critique littéraire sur Livres à profusion, R.J. Ellory, Le Carnaval des ombres Le Carnaval des ombres de R.J. Ellory – Editions Sonatine Le tourbillon de la vie d’Aurélie Valognes Le tourbillon de la vie d’Aurélie Valognes – Editions Fayard Don Winslow, La patrouille de l’aube La patrouille de l’aube de Don Winslow – Editions Le Livre de Poche Une autre enquête du Département V,…
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