#Charles freger | Explore Tumblr Posts and Blogs

creativespark · 1 year

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Charles Fréger, Cimarron, 2014-2018

#photography #conceptual photography #charles freger

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thetidemice · 4 months

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sketchbook pages <3

#illustration #wilder mann #folk art #straw bear #whittlesea strawbear #charles freger #pencil #sketchbook #research #folklore #british folk #folk #folk ritual #costume #folk costume #my art

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woundgallery · 5 months

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“Der Schrei Der Natur” - Anniek Kortleve, Antonia Wilson, Othilia Simon & Nadia Giramata by Charles Fréger for Pop Magazine F/W 2012 Supplement

#charles freger #pop magazine #feathers #hybrid forms #photography #fashion photography

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a-state-of-bliss · 2 years

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Dazed & Confused Nov 2011 - Nyasha Matonhodze by Charles Freger

#fashion #Dazed & Confused #natasha matonhodze #charles freger #black models

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grundoonmgnx · 2 years

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ph. Charles Freger, Tiznao, Dominican Republic from the Cimarron series, 2014-2018

#charles freger

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vazelinacocomix · 3 months

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(via GIPHY)

#giphy #celebration #mask #carnival #tradition #ceremony #primitive #sauvage #lole #yearly #soxen #cincu #charles freger #fuga lolelor

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frenchwitchdiary · 2 years

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The Wilder Man

Pendant deux ans, Charles Fréger sillonne l'Europe du nord au sud, de la Finlande au Portugal, en passant par la Roumanie, l'Allemagne et la Slovénie, à la recherche de la figure du “sauvage” telle qu'elle survit dans les traditions populaires locales.

Ces images archétypales, mi-homme mi-bête, animal ou végétal, ressurgissent du fond des temps à l'occasion de fêtes rituelles, païennes ou religieuses, célébrant le cycle des saisons, les jours gras, le carnaval ou la veille de Pâques. Dans le fond commun des sociétés rurales européennes, ces personnages ou animaux emblématiques représentaient des figures protectrices ou des symboles de fécondité. Elles évoquent aujourd'hui un monde imaginaire, impulsif et physique où chacun perçoit une relation ancestrale à la nature, où émergent les ressorts de notre animalité et parfois le désir régressif inhérent à certains de nos comportements. Charles Fréger parle d'« une figure zoomorphe dont l'aspect rudimentaire et la tenue rituelle renvoient à une nudité universelle ».

La tenue ne laisse apercevoir que très peu de peau, la silhouette humaine est complètement ensevelie sous une avalanche de lourdes fourrures, laines, grelots, cornes et autres matériaux et accessoires. Là encore, photographiant en dehors des périodes de fêtes ou de carnavals, il met en scène ces personnages dans un paysage naturel qu'il choisit souvent large et ouvert. Il y a aussi cette autre liberté prise à l'égard des silhouettes elles-mêmes, n'hésitant pas à en omettre certaines volontairement, et à en photographier d'autres de dos, revendiquant la partialité de son inventaire, plus poétique que scientifique.

Ponctuellement, lors de nouvelles découvertes, le photographe ajoute une silhouette supplémentaire, en Irlande, en Angleterre, en Alsace…

Vous pouvez observer la série complète des photos ICI.