#“et tu Nairobi ?”

[berlin-daily]

#the mocking offense lmao #the fake gasp #“et tu Nairobi ?” #berlin daily #money heist korea #park hae soo #berlin

[nairobi-resources]

Coucou, j'espère que tu vas bien. C'est de la tentation que de te proposer en suggestion Fionn Whitehead pour des avatars. Après avoir vu tes gifs fabuleux, ils me donnent envie de le rejouer. Merci encore pour ceux de Jack Wolfe, ils sont parfaits **

Coucou ! Je suis ravie que les avatars sur Jack t'aient plu et que mes gifs t'aient donné envie de rejouer Fionn, ça me fait très très plaisir de lire ça ♡ J'avais justement prévu de grapher sur Fionn donc ça tombe très bien, ta suggestion m'a donné une bonne excuse pour m'y mettre ahah Tu trouveras les avatars ici : https://nairobi-resources.tumblr.com/tagged/fionn%20whitehead%20avatars J'espère qu'ils te plairont et qu'ils te seront utiles, merci pour ta suggestion et pour ces si gentils mots ♡♡

#answered

[jajamanu]

JAJA - JOUR 4 - AMSTERDAM - PETIT TRAIN VA LOIN !

Le réveil à 9h20!! Je finalise mon récit de la journée d’hier. Après le sinus droit qui a fait souffrir ma mâchoire et mon oreille, ce matin c’est l’oeil qui semble infecté et qui coule. J’ai l’impression d’avoir pris un coup de vieux..

Départ à midi, ça traîne le matin, pas facile de sortir sous la pluie.. on feel doudoune aussi.

Le tram no 11 nous emmène à la Gare centrale et de là, nous achetons nos billets pour La Haye et Delft. Une ballade de train d’environ 1h15. On aime le train ! Confortablement assises avec notre dernier latté de la journée, acheté à la Gare, nous admirons le décor, le béton recule et que la verdure s’installe. C’est magnifique cette campagne et elle semble encore plus luxuriante avec son éclat de mouille!

Les fermettes et les moulins sont parsemés tout au long du voyage. Quelques vaches, moutons, oies et Chalapas! Et Manu rit de bon cœur, de moi, bien sûr ...parce que j’ai oublié le nom de ces petites bêtes mais ça sonne comme ça. Elle me dit: Lapagas... je ris, suis pas sûre ! Je cherche ça en arrivant à l’appartement, je vous dirai plus tard.

Arrivées à notre premier arrêt, je fige en sortant. J’ai froid, c’est humide. Mais le capharnaüm de sons, de klaxons, beaucoup de klaxons me changent les idées. Sur la voie publique on peut apercevoir ce qui semble être des tracteurs de fermes. Une manifestation de fermiers, que je dis à Manu. C’est impressionnant, ils sont nombreux et de toutes les couleurs, c’est beau et je me demande ce qu’ils viennent revendiquer ou contester. Je regarde ça en arrivant ce soir sur le web. Je vous dirai plus tard.

Photo gracieuseté de Twitter.

Ca sent bon dans la gare et il fait froid, les deux nous donnent la faim. Avant de partir dans une dérape de magasinage ou de marche interminable....on manges tu ? Oui, on fait ça, on monte a l’étage de la gare, c’est superbe ici l’architecture, l’espace publicà, les décors, ils l’ont l’affaire! On est bien, on s’assoit et commande une eau citronnée et un lunch réconfortant du genre ‘border line’ graisseux... CHANGEMENT D’HUILE !!

Moi: fish and chip extra mayo

Manu: Haute dog et juliennes ketchup.

La version hot dog Dutch semble délicieuse à en regarder Manu en profiter... on dirait qu’elle joue de la flute, la mélodie du bonheur!!

Manu me demande comment va ma situation sinus, oreille, œil. Je lui dit que je commence a sentir un mal de tete du coté droit et que c’est plus que ce matin... elle me regarde inquiète. Tellement attentionnée mon amie, je ne veux pas l’inquiéter non plus, c’est pas si pire... je lui réponds: Tu sais si je vois une belle paire de chaussures, ca va passer... let’s go ! On reprends le train pour Delft, c’est là qu’on veut vraiment aller magasiner.

Arrivée a Delft, on sent que ce choix est bien. Petite ville si mignonne. Même sous la brume, la bruine, le brouillard et la pluie par moment, nous sommes charmées.

Le magasinage commence sur la place centrale du marché. Trempée ou pas on y trouve chacune quelque chose pour se gâter... Manu a composé sa création, je l’ai aidé un peu. Aussi autre magnifique souvenir de la Hollande pour nous deux le même pendentif. Après avoir parcouru plusieurs rues et emmagasiné des images dans nos têtes et nos appareils, nous entreprenons le retour vers le station centrale.

Embarquement vers La Haye et transfert vers Amesterdam. Un trajet de retour qui compte jusqu’à notre quartier presque deux heures. Assise dans le train, nous échangeons chacune de notre côté avec des amis de chez-nous quelques minutes et puis on se questionne chacune sur nos conversations et la fatigue nous gagne doucement. Ce qui veut dire souvent, affluence de niaiserie et rire facile, voire fou rire incontrôlable. Manu regarde par la fenêtre du train et se met a rire, je me dit que je suis sur le point de savoir ce qui se passe dans sa tête.. effectivement, ça ne tarde pas. en fait, ce qui la fait rire c’est la déformation de mon visage dans le reflet de la vitrine bombée du train. Elle prends des clichées de ce reflet et c’est parti pour le rire qui dilate la rate et possiblement tout autres organes autour. C’est sûrement l’ancêtre de Snap Chat...

On a le temps de se remémorer quelques faits saillants de nos précédents voyages, ils commencent à être nombreux. on se souvient avoir composé des chansons sur des noms de villes au Maroc... et je lui chante des p’tits bouts .. on rit .. et puis me vient tout de suite une comptine en tête pour Amesterdam...

Je lui chante, je suis toute fière de mon interprétation et de ce lien quasi parfait... Manu connait l’air mais ne se souvient pas avoir appris cela à la maternelle comme moi. Je l’aimais cette chanson, elle ne voulait rien dire.

Ma version hollandaise: Amsterdam, pic et pic et colegram, bour et bour et ratatam, Amsterdam!

Ça ne veut toujours pas dire grand chose pour la plupart, pour moi cette comptine, vient de prendre un sens qui ne sera plus jamais sans. Je ne me souviens même plus la version originale qui remplace Amsterdam !

Nous voilà à destination, Gare centraal d’Amsterdam, rapidement un transit vers le tram no 11 en direction de notre quartier. C’est vraiment bien le transport en commun ici, ça fait rêver. Une fois rendues, nous traversons vers le marché pour se décider sur le repas du soir que nous prendrons chez nous. Chez l’épicier, on hésite sur les mets préparés .. le “ take a Wok” de l’autre côté de la rue nous inspire. On traverse la rue au petit resto et “take out” tout en charme... quelques ‘selfies’ de filles fatiguées qui attendent leur take out pour aller se réchauffer et se préparer à un repos avant le grand départ pour le Kenya demain matin.

On rentre, le lunch est bon... Manu est fatiguée plus que moi ce soir, ce qui est rare.. je continu d’écrire, je réserve le Uber pour 5h30 am demain et je vais voir ce qui se passe avec les fermiers d’ici et le nom de l’animal vu dans les pâturages ce matin.

1. Alpaga est le nom que je cherchais. je suis juste très performante dans le domaine du: sonne - comme. Visiblement nous étions toutes les deux dans le champ. Je me dis que je suis tout de même plus souvent proche de la solution, que ben du monde... tout ce qu’on peut se dire pour se sentir bien... je clos le passage de l’Alpaga.

2. Les fermiers de Nederland, ils sont tout mignons d’abord avec leurs tracteurs et leurs convictions. Ils manisfestaient dans le pays pour se faire entendre sur leur fonctions fondamentales dans ce monde... le nourrir! et rejettent le blâme qu’on leur confèrent dans le nouveau discours environnemental, soit leur responsabilité de pollueur important par l’agriculture et l’élevage. Si je dois commencer a émettre mon opinion, ça va être long... donc, je conclus que j’aime les fermiers authentiques.

Manu est partie au dodo, je range mes bagages pour demain et termine le vin. la pluie tombe toujours et j’ai peine a imaginer que demain soir, je dors au chaud naturel, au coeur de Nairobi.  Je ferme les yeux et rêvasse.

Ma vie je l’aime, je ne sais pas comment expliquer qu’il me serait difficile de ne pas sortir voir par moi-même, ce monde. Je ne me lasserai jamais d’aimer et de voyager, que la terre me soit bonne, je veux la voir encore, elle et ses beautés et elle et ses miracles.

Bonne nuit mes amours terriens!

[malaxiao-blog]

Conseils de voyage en Afrique

Choisir son safari

Pour les amoureux de la faune, un safari est indispensable et il n’ya pas de meilleur endroit pour observer la faune qu’en Afrique. Les efforts de lutte contre le braconnage et de conservation déployés par la Tanzanie et le Kenya ont considérablement accru la densité de la faune. Vous êtes donc assuré de voir des animaux uniques, dont beaucoup ne peuvent être trouvés que dans ces régions spécifiques.

Nous proposons différents types de safari, du safari classique en voiture aux ballons à air chaud, chacun offrant une expérience et une perspective uniques. Nous proposons également un certain nombre de normes d'hébergement différentes et des camps dédiés à la vie sauvage - des lodges luxueux au glamping en passant par les arbres, l'hébergement en Afrique est varié et passionnant. Vouloir voyager? Vous pouvez obtenir de l'aide aujourd'hui! billet avion dakar paris

Avant que tu partes

Passeports et Visas

Les voyageurs arrivant en Afrique sont tenus d'avoir un passeport permanent valable au moins six mois à compter de la date d'arrivée et comportant au moins trois pages pour la fixation du visa et du tampon d'arrivée.

Pour la plupart des voyageurs, les visas peuvent être achetés à l'arrivée en Tanzanie et au Kenya. Les visas peuvent également être achetés à l'avance, ce qui vous fera gagner du temps à votre arrivée. Les voyageurs se rendant en Tanzanie et au Kenya (et dans d'autres pays africains) devront acheter un visa pour chaque pays. Les voyageurs séjournant moins de 2 jours dans un pays peuvent prétendre à un visa de transit. En règle générale, les voyageurs arrivant dans un pays, se rendant dans un autre pays et rentrant dans le premier pays peuvent rentrer avec le visa original à entrée unique, à moins qu'ils ne soient rentrés dans leur pays d'origine.

Emballage

Chaque membre de la tournée a droit à un sac souple et à une journée de safari. Le grand sac ne doit pas peser plus de 15 kg. Si des vols internes font partie de l'itinéraire, les poids des bagages sont strictement appliqués.

Lorsque vous faites vos bagages, pensez à la possibilité que votre compagnie aérienne internationale retarde vos bagages et réfléchissez à ce dont vous avez besoin si cela se produit afin de pouvoir transporter ces articles dans votre bagage à main. Il est important que les voyageurs vérifient auprès de leur compagnie aérienne internationale pour obtenir des informations à jour sur ce qui est autorisé dans les bagages de cabine.

Les voyageurs arrivant à Nairobi, Mombasa, Arusha, Dar es Salaam ou Zanzibar peuvent s’arranger pour stocker des bagages supplémentaires si ils arrivent et partent du même endroit.

Climat

Certaines personnes s’attendent à ce que toute l’Afrique soit toujours chaude et sont assez surprises par le froid qui règne sur le pourtour du cratère de Ngorongoro. Nairobi (à 1661 m) et Arusha (à 1403 m) se situent toutes deux à des altitudes assez élevées et peuvent être plus fraîches que prévu. Les côtes du Kenya et de la Tanzanie, y compris les îles de Zanzibar et de Mafia, ont des climats beaucoup plus chauds et il peut pleuvoir à tout moment de l'année.

Généralement, les précipitations sont plus fréquentes en avril, mai et novembre. Les pluies d'avril / mai sont généralement plus abondantes la nuit avec quelques averses pendant la journée. Vers le mois de novembre, les averses sont fréquentes mais souvent courtes.

Copies de sauvegarde

Les membres de la tournée doivent faire des copies de leurs passeports, visas (s'ils sont achetés à l'avance), itinéraires, numéros de téléphone à composer en cas d'urgence, noms des médicaments sur ordonnance et autres informations importantes, et conserver les copies de sauvegarde dans un endroit séparé.

Arriver en Afrique

Conditions de santé

De nombreux pays d'Afrique exigent désormais une preuve de vaccination contre la fièvre jaune pour les voyageurs en provenance ou en provenance de pays considérés comme endémiques pour la fièvre jaune. Bien que cela ne devrait pas poser de problème aux voyageurs arrivant d’Amérique du Nord, d’Australie, de Nouvelle-Zélande et d’Europe, le Kenya et la Tanzanie étant tous deux considérés comme étant endémiques, vous devez fournir la preuve de vaccination lorsque vous voyagez entre ces pays - par voie aérienne ou aérienne. route.

Les voyageurs en transit dans les aéroports qui séjournent dans un pays depuis moins de 6 heures et qui ne quittent pas l'aéroport ne sont pas tenus de fournir le certificat de vaccination. Toutefois, les projets de voyage pouvant changer (par exemple, les annulations de vols), il est judicieux de bénéficier de ce vaccin et de vous munir du certificat lorsque vous voyagez. Si votre médecin vous a informé que vous ne devriez pas vous faire vacciner, une lettre de votre médecin vous confirmant que cela est accepté est généralement acceptée à la place du certificat.

Immigration et douanes

Les voyageurs en provenance de l'étranger doivent se conformer aux formalités d'immigration à leur arrivée. Les voyageurs qui se rendent entre des pays africains (comme le Kenya et la Tanzanie) doivent remplir des formalités d'immigration lorsqu'ils quittent un pays et entrent dans le suivant. Les cartes d'atterrissage sont généralement fournies à l'avance par la compagnie aérienne et doivent être remplies pour chaque voyageur.

Nous pouvons fournir des demandes de visa vierges qui peuvent être complétées à l'avance sur demande. Le paiement des visas - généralement entre 50 et 100 USD pour le Kenya et la Tanzanie, selon la nationalité - doit être effectué en dollars américains au moyen de nouveaux billets. Si vous n'êtes pas sûr de pouvoir acheter un visa à votre arrivée, vous devez confirmer les conditions requises pour les visiteurs de votre nationalité bien avant votre arrivée.

À leur arrivée, les voyageurs doivent également passer la douane. Les touristes ne sont généralement pas interrogés; Cependant, les douaniers ont le droit d'inspecter tous les bagages. La patience et la courtoisie sont importantes.

Retards et bagages perdus

Si des événements tels que des vols manqués ou retardés font en sorte qu'un membre du voyage arrive en retard, le voyageur doit contacter notre équipe au sol dès que possible afin que des dispositions puissent être prises pour joindre ce membre au voyage.

Si un membre du voyage arrive sans ses bagages, un rapport doit être déposé auprès de la compagnie aérienne avant de quitter l'aéroport. Si le sac a été verrouillé, il est important que les clés et combinaisons soient laissées à la compagnie aérienne afin qu'elle puisse l'ouvrir et la vider avec la douane. Une fois les bagages localisés, nous travaillerons avec la compagnie aérienne pour aider le bagage à rattraper le membre du voyage.

Argent

Quoi porter

Nos forfaits incluent généralement la plupart des coûts. Les boissons, le linge et les articles à caractère personnel, tels que les cigarettes et les appels téléphoniques, font exception. Les pourboires au personnel de l'hôtel, aux équipes de camping et aux chauffeurs-guides ne sont pas inclus mais sont attendus. La quantité à transporter dépend des goûts et des besoins individuels. Quelqu'un qui aime le champagne et le cognac devra certainement apporter plus d'argent que quelqu'un qui se contente d'une bouteille d'eau et d'une rondelle de citron vert!

La même chose est vraie avec les achats de cadeaux. Certains voyageurs peuvent être heureux avec quelques petits animaux sculptés, tandis que d'autres peuvent acheter des pierres précieuses ou de grandes sculptures complexes. Le montant que vous portez dépend de ce que vous pensez acheter.

Il est préférable que vous apportiez un mélange de notes plus petites et plus grandes. De nombreux endroits offrent un meilleur taux de change pour les gros billets, mais parfois, les pavillons ne peuvent pas changer de gros billets et ne peuvent traiter que des billets plus petits. Le dollar américain est la devise la plus communément acceptée, mais vous pouvez également choisir de payer avec d'autres devises principales. Les frais de visa sont toujours payables en dollars américains lorsqu’ils sont achetés à l’arrivée. Les billets de banque américains doivent être émis après 2000 et contenir les mesures anti-contrefaçon les plus récentes (ce sont celles avec les plus grandes photos des présidents).

Bien que les chèques de voyage offrent une sécurité, ils ne sont pas acceptés par la plupart des établissements. Les cartes Visa et MasterCard sont acceptées dans de nombreux endroits, mais des frais peuvent vous être facturés pour leur utilisation. Des guichets automatiques sont disponibles dans les grandes villes. Votre banque peut facturer des frais pour l’utilisation d’un guichet automatique international. L'argent est émis en monnaie locale à partir de guichets automatiques.

Considérations culturelles

Enfants

De nombreux visiteurs aiment apporter des cadeaux aux enfants de la région. Il est plus que probable que des enfants seront rencontrés pendant le voyage et qu’ils se tourneront vers les visiteurs pour leur faire partager des cadeaux. La confiserie n'est pas une bonne idée. Les cadeaux tels que les fournitures scolaires ou les vêtements sont de bien meilleures options.

Nous suggérons également que les cadeaux et les dons soient faits dans les écoles et les orphelinats locaux. Cela donne aux membres de la tournée l'occasion d'aider la communauté locale sans renforcer la culture de la mendicité. Notre équipe sur le terrain entretient des contacts avec d’excellentes organisations qui peuvent faire en sorte que les enfants les plus démunis bénéficient de la générosité des visiteurs.

Mendiants de rue

Nous déconseillons aux membres de la tournée de donner quoi que ce soit aux mendiants et aux enfants de la rue rencontrés dans les villes.

Codes vestimentaire

Nos vacances sont généralement des expériences détendues avec des codes vestimentaires décontractés. Il existe quelques endroits où des considérations culturelles pourraient imposer une tenue vestimentaire conservatrice. Cela est particulièrement vrai à Zanzibar et à Mombasa. Ici, les shorts et les vêtements de bain ne doivent pas être portés à l'extérieur de l'hôtel ou du complexe.

Certains pavillons et camps de luxe demandent aux clients de porter une tenue décontractée lors des repas du soir. Le soir, il est recommandé de porter des pantalons longs pour les hommes afin de respecter les codes vestimentaires et de se protéger des piqûres de moustiques.

[maumauli-blog]

Dialogue riche entre deux personnes de milieu de vie différents !

Martha Layne : enchanté ! J'étais sur votre site et j’ai été intriguée par votre préoccupation qui incite les enfants à découvrir la richesse de la littérature. J’ai moi-même 3 enfants, et je m’occupe d’animer des soirées pour les enfants dans un camp au Kenya.

Mackenzie Royer Paradis : bonjour. En effet je me soucie de l’éducation des enfants et surtout des plus démunis. Vous me dites que vous animer des soirées dans le camp du Kenya, c’est très courageux, mais ou vivez vous et qu’est ce que vous faites dans la vie?

Martha Layne : je vis dans le camp de Dadaab, je suis moi-même une réfugié car j’ai fuis mon pays à cause de la guerre, je suis une éthiopienne. J’ai 29 ans et j’élève mes enfants seule car mon mari est décédé.

Mackenzie Royer Paradis : oh, votre histoire est très surprenante, je ne m'y attendais pas. Je suis vraiment désolé pour votre mari, comment cela c’est-il passé ?

Martha Layne : ne vous inquiétez pas, j'ai appris a vivre avec. Mon mari est mort quand nous partions pour le Kenya. Vous savez que pour partir de son pays c’est très compliqué et dangereux. Nous avions prit le bateau, évidemment nous n’étions pas les seule, il était rempli d’immigrés, et la nuit a était longue et périlleuse. Mon mari est tombé par-dessus bord, on l’a vu s’éloigner et puis on ne le voyait plus..

Mackenzie Royer Paradis : C’est… très triste, vraiment je suis désolé pour vous et vos enfants. Sa doit être horrible dans votre camp.

Martha Layne : être réfugié n’est pas une fatalité, la perspective que la plus part des gens ont est fausse. Certes c’est dur mais on se soutien et nous essayons de rester fort. On a le nécessaire, des magasins, des écoles… Et puis grâce l'UNHCR on a survécu.

Mackenzie Royer Paradis : qu'est ce que c'est l'UNHCR ?

Martha Layne : C'est le Haut Commissariat des Nations Unies pour les Réfugiés, il a pour but de protéger les réfugiés , de trouver une solution durable a leurs problèmes.

Mackenzie Royer Paradis : Je crois que j'en est déjà entendu parler... Mais si tout va bien dans votre camp c'est l'essentiel.

Martha Layne : c'est vrai que ce n'est pas tout le temps comme on le souhaitent. En 2016 on a failli tous partir du camp car l'ONU et les partenaires occidentaux du Kenya avait prit la décision de fermer le camp en fin novembre, heureusement ça n'a pas été fait.

Mackenzie Royer Paradis : c'est horrible, pourquoi avait-il décider sa ?

Martha Layne : on ne sait pas vraiment, il parlait de sécurité national car il y avait eu des attaques des islamiques somaliens auparavant à Nairobi, ils ne voulaient pas que ça se reproduise...

Mackenzie Royer Paradis : oh, mais ça n'explique en rien leur décision, ou allait-il vous loger ?

Martha Layne : des fois ils ont des décisions qu'on ne comprend pas mais qui peu être nous aiderons, ils croyaient que c'était pour notre sécurité.

Mackenzie Royer Paradis : vous avez peu-être raison.

Martha Layne :oui mais nous ne somme pas tout le temps en sécurité par exemple en ce-moment autour du camp de Dadaab, les chrétiens sont la cibles des shebabs, installés au sud du Kenya. On essayent de trouver une solutions contre eux mais c'est assez compliqué...

Mackenzie Royer Paradis : Oh mon dieu, je comprend que sa soient compliqué, ce ne sont pas des gens avec qui ont peut discuter.

Martha Layne : c'est sure mais on garde espoir !

Mackenzie Royer Paradis : Vous êtes quelqu'un de très courageuse, j'ai rarement rencontrés des personne comme vous.

Martha Layne : Merci beaucoup mais en tant que porte parole je n'est pas le droit d'avoir peur et de fuir ce qu'il ne faut pas être fui.

Mackenzie Royer Paradis : Vous êtes porte parole ? Décidément vous n’arrêter pas de me surprendre. Vous avez totalement raison, je vous respecte pour sa !

Martha Layne : Et vous que faites vous dans la vie ?

Mackenzie Royer Paradis : Vous savez vous pouvez me tutoyer. Je vis à Vancouver au Canada, j'ai 33 ans et je tiens une librairie . Je vis en colocation avec un groupe d’artistes vidéaste underground.

Martha Layne : j’adore lire comment s’appelle ta librairie ? Tu peux me tutoyer aussi.

Mackenzie Royer Paradis : elle s’appelle Indigo, une petite librairie simple mais bien.

Martha Layne : ce qui est simple est souvent ce que je préfère. J'y pense, comment as- tu rencontrer le groupe d'artistes ?

Mackenzie Royer Paradis : pour tout te dire c'était du simple hasard, je cherchais une maison et puis je suis allé boire un verre et dans ce bar il y avait le groupe, je précise que je suis une grande fan de rock, j'ai tout de suite apprécier... Je suis allé leur parler et ils m'ont dit qu'il cherchait quelqu'un pour emménager en colocation. J'ai accepter. J'adore la musique alors je me suis lancée et sa fait maintenant 1 ans et quelques mois que l'ont vis ensemble.

Martha Layne : J'imagine à quel point tes soirées doivent être animer !

Mackenzie Royer Paradis : Oui il répète beaucoup c'est vraie, mais je ne suis pas tombé sur de la musique classique alors ça va, je le supporte bien et puis au bout du compte tu t'y habitue.

Martha Layne : génial ! Tu a une vie bien chargé ou trouve tu le temps pour les enfants ?

Mackenzie Royer Paradis : Je me débrouille pour y aller au moins 1 fois par semaine.

Martha Layne : sa doit être géniale de voir les enfants et de leur apprendre quelque chose. Les petits dans mon camp ont besoin de personne comme toi !

Mackenzie Royer Paradis : C'est très gentil et venir leur faire apprendre la littérature ne me dérangerai pas.

Martha Layne : beaucoup des enfants ici n'ont pas la chance d'étudier, tu serai pour eux un nouveau visage, quelqu’un qui leur viendrai en aide.

Mackenzie Royer Paradis : c'est une belle proposition, sa sera avec plaisir. La littérature j'y est consacrée beaucoup de temps, j'en est fait mes études jusqu’à ce que je change de voie pour devenir libraire... Mais c'est pas si mal.

Martha Layne : Tu sais que j'adore la littérature dans mon pays j'avais eu la chance d'avoir une personne venu d'ailleurs qui venait exprès dans les pays dans le besoin et elle m'a appris beaucoup de chose. Je suis maintenant devenu la porte parole de mon camp...

Mackenzie Royer Paradis : Sérieusement, c'est impressionnant, comme quoi tout le monde peut réussir.

Martha Layne : Bien-sur, il suffit d'y croire.

Mackenzie Royer Paradis : Oui, tu en est la preuve !

Martha Layne : c'est gentil...

Mackenzie Royer Paradis : Au fait combien êtes-vous dans le camp ?

Martha Layne : Environ 300 000 réfugiés.

Mackenzie Royer Paradis : ah oui quand même, votre camp doit être énorme.

Martha Layne : il l'est, il a 6 camps. Les plus importante sont IFO – Magadera – Dagahaley …

Mackenzie Royer Paradis : c'est très grand en effet.

Martha Layne : ton site est inspirant, tu est complète et je suis ravie de t'avoir rencontré. Ta vie est chargé mais malgré sa tu trouve de la place pour les autres.

Mackenzie Royer Layne : Ce n'est pas des actes extraordinaire comme toi, j'aimerai faire plus.

Martha Layne : des fois il n'est pas nécessaire de faire de grandes choses pour aider les autres, un simple petits gestes est déjà bien.

Mackenzie Royer Paradis : Je te remercie, grâce à toi je n'aurai plus la même pensée.

Martha Layne : Et merci à toi de m'avoir écouter, d'avoir accepter de venir a Dadaab pour les enfants, c'est très généreux.

Mackenzie Royer Paradis : c'est avec plaisir que je viendrai les voir !

Martha Layne : au-revoir et à bientôt j’espère.

Mackenzie Royer Paradis : Au-revoir. je te promet de venir te voir.

#tousensemble #tolérance #1vie

[hakunamatata-kenya]

Route chaotique

Diani était une étape vraiment sympa de ce périple mais l'ambiance all inclusive c'était pas pour nous, trop de gens chiants qui courent au buffet (pourquoi ils sont stressés ?), et il y avait qu'un énorme groupe de polonais, du coup on est aussi content de voir un nouvel endroit.

Watamu s'annonce prometteur, apparemment très couru des touristes italiens.

Eric (notre organisateur safari) nous annonce une bonne nouvelle pour le transfert de Diani a Watamu : on va retrouver Emmanuel !!!

13h on attend dans la réception.... apparemment Emmanuel aura du retard il n'est rendu qu'au ferry de Mombasa (compter 1 heure). Ok bon, pas le choix.

14h... 15h...personne. Ça commence à nous soûler un peu.. on essaie de relativiser et se dire qu'il s'est tapé le train, le bus, le ferry depuis Tsavo et a du se lever super tôt.. 15h40 enfin il arrive. Lol...

Après donc 3h d'attente par une chaleur folle, nous retrouvons notre Emmanuel préféré, essoufflé, désolé pour le retard (bouchons, ferry...) il passe se mettre de l'eau fraîche et c'est parti.

Notre voiture a passé le séjour au parking de l'hôtel en plein soleil, autant dire qu'avec les coups de soleil, j'ai l'impression de cuire dans un four. Allez c'est parti, en route pour Watamu.

Le départ se passe tranquillement, petit tour par la station (à l'arrivée à Diani, on avait déjà bien bien roulé sur la réserve) et quelques minutes suffisent pour atteindre le ferry de Likoni. Incroyable... un ferry arrive devant nous et débarque des milliers de personnes revenant de la ville (pas de problème de covid ici). Un autre débarque des dizaines de voitures quelques minutes plus tard. On voit même des personnes qui reviennent de la ville avec des matelas qu'ils roulent sur une palette, des tuk tuks.. un joyeux bordel. Mais il est interdit de prendre des photos, voyez les photos comme un reportage d'Enquête Exclusive 😅

C'est notre tour d'embarquer, pas vraiment de loi de placement, c'est au premier arrivé. Quelques minutes suffisent pour remplir la cale et c'est parti. Apparemment c'est ici que l'eau est la plus profonde car les pétroliers et cargos passent ici aussi.

En à peine 5 minutes on est de l'autre côté et on entre sur "Mombasa island"... et là c'est un énorme bordel. Digne d'une grosse ville, mais avec aucune règle, aucune loi. Pollution ajoutée à tout ça et chaleur étouffante. Tellement chaud que je m'endormais malgré les klaxons, les gros coups de frein, les dos d'âne etc..

Tout le monde vend quelque chose et passe entre les voitures qui roulent, de jour comme de nuit, les dépassements sont toujours plus ou moins raisonnés... un énorme bordel cette ville. On comprend le retard d'Emmanuel qui a fait l'aller-retour dans la journée. En plus il nous avoue qu'il n'a même pas déjeuner.. ça me fait trop de peine alors on lui donne nos barres de céréales qu'on a dans le sac, si ça peut au moins le remplir jusqu'au soir.

Sorti de Mombasa il reste 3 heures de route, on arrivera donc de nuit à l'hôtel.

20h15, on s'embarque sur un petit chemin qui nous mène vers le bord de l'océan, et niché dans les cocotiers se dessine l'entrée de l'hôtel, on entre mais notre 4x4 de ranger est trop gros et Emmanuel doit manœuvrer plusieurs fois pour faire le tour. "Poussez vous on arrive" 🤣...

Emmanuel nous annonce qu'il s'occupera de notre transfert de Watamu à Mombasa pour le train pour Nairobi et il passera donc les 4 prochains jours ici, "mon fils va être très fâché, je lui avais promis que je rentrais ce soir" (oui Eric l'a prevenu de venir nous chercher à Diani la veille, et en conduisant vers Watamu qu'il allait rester sur place). À l'africaine.. je lui demande "mais tu as des affaires ?".. "non je vais me débrouiller", en partant en fou rire.

On vous rappelle le refrain ? Hakuna matata..

[shalomelohim]

Le Docteur (et Pasteur) Denis Mukwege invite l’Europe à revenir à la croix

*** “ Le Seigneur a un plan pour la Belgique, le Seigneur a un plan pour l’Europe. Nous devons y croire ”. ***

Dimanche 24 mars 2019, avant un concert organisé dans les locaux de l’Église Protestante Baptiste de Péruwelz et Leuze, en Belgique, le Dr Denis Mukwege a encouragé l’Europe à revenir “à la croix” », rapporte le site Journal Chrétien.

Le gynécologue congolais, prix Nobel de la paix, réagissant aux travaux d'agrandissement du bâtiment de l'Eglise où il était invité a ainsi exhorté les chrétiens d’Europe :

« Il faut absolument que nous puissions agrandir les endroits où les gens viennent pour louer, prier et célébrer. »

Il a incité les membres de son auditoire, majoritairement d’origine africaine, à se rappeler que leur foi, ils l’ont eu grâce à l’Europe.

« L’Europe a abandonné cette foi. Aujourd’hui, il est temps de se ressaisir et de voir comment Dieu a béni l’Europe et de revenir là où le Seigneur a béni l’Europe, c’est à dire à la croix.»

Le Dr Denis Mukwege, également pasteur pentecôtiste dans une église du Sud-Kivu en République Démocratique du Congo « a dédié sa vie à défendre des victimes de violences sexuelles en temps de guerre  », précisait le comité qui lui a attribué le prix Nobel de la paix, le 5 octobre 2018.

Source de l'article: http://www.evangeliques.info

========= Notes : Le Docteur MUKWEGE est surnommé “L’homme qui répare les femmes” et je pense à ce verset :

“ En ce temps-là, je relèverai de sa chute la maison de David, J'en réparerai les brèches, j'en redresserai les ruines, Et je la rebâtirai comme elle était autrefois...” (Amos 9:11)

Un film lui a été consacré portant le même titre et dont la Bande Annonce peut être visionnée ci-dessous :

“ Seigneur, Bénis abondamment cet homme pour tout le travail qu’il accomplit que ce soit dans le cadre de son Ministère Pastoral, en tant que Chirurgien-Gynécologue ou dans son mandat lié à son action humanitaire. Utilise sa renommée mondiale afin qu’il puisse impacter, au travers les messages et les témoignages qu’il livre, un maximum de gens et les rallier à sa cause. Fortifie-le afin qu’il garde intact sa pureté de coeur et d’intention dans chacun de ses actes Préserve-le des ennemis, renforce sa protection, développe ses armes spirituelles, perfectionne son discernement des influences négatives car il côtoie les puissants qui appartiennent au monde de ce siècle. Que par son humilité, sa sagesse et sa repentance personnelle chaque jour renouvelée, il puisse t’honorer et te glorifier. Merci. Au nom de Yahshua, Amen “.

Dans la première vidéo, il y a deux choses qu’il est important de retenir :

1. L’Europe a évangélisé l’Afrique, puis a oublié les enseignements qu’elle a donné

“ Israël est devenu gras, et il a regimbé ; Tu es devenu gras, épais et replet ! -Et il a abandonné Dieu, son créateur, Il a méprisé le rocher de son salut, Ils ont excité sa jalousie par des dieux étrangers, Ils l'ont irrité par des abominations...” (Deutéronome 32:15-16)

2. L’Afrique revient évangéliser l’Europe

Depuis une bonne quinzaine d’années, Père demande a ses Pasteurs, Prophètes, Evangélistes, etc d’Afrique de revenir en Europe pour enseigner ceux qui ont tout oublié, car trop gâtés et ingrats. Nous pouvons le constater dans la majorité des assemblées évangéliques.

Je suis une “femme blanche” et je pense que nous qui avons compris ce qui est en train de se passer et qui s’accentue, avons le devoir de l’expliquer aux autres “blancs” afin de faciliter l’acceptation de cette information car ce n’est pas une mission facile qui attend nos frères et soeurs d’Afrique.

En attendant la totale réalisation de la prophétie de Joël 2:27-29, confirmée dans Actes 2:17 concernant le réveil de la Fin des Temps :

“ Mon peuple ne sera plus jamais dans la confusion. Après cela, je répandrai mon esprit sur toute chair ; Vos fils et vos filles prophétiseront, Vos vieillards auront des songes, et vos jeunes gens des visions. Même sur les serviteurs et sur les servantes, dans ces jours-là, je répandrai mon esprit. “

Les Hommes de Dieu nommés en Europe agrandissent leurs locaux, déménagent pour acquérir plus grand, forment des équipes, les font monter en compétences dans leurs savoir-faire, révèlent les talents, fortifient, exhortent, élèvent... Un travail gigantesque est réalisé un peu partout pour préparer le retour de Yahshua.

Je constate depuis maintenant plusieurs années que Père est en train de réunir ses Enfants, leur vie change, Il facilite les connexions entre eux, le corps de Yahshua est en train de se constituer :

“ C'est de toi que viennent la richesse et la gloire, c'est toi qui domines sur tout, c'est dans ta main que sont la force et la puissance, et c'est ta main qui a le pouvoir d'agrandir et d'affermir toutes choses. Maintenant, ô notre Elohim, nous te louons, et nous célébrons ton nom glorieux. “ (1 chroniques 29:10-13)

L’armée est en train de se préparer avant de se lever. Alléluia !

=====

Présentation et biographie : Denis Mukwege, né le 1er mars 1955 à Bukavu (Congo belge), est un gynécologue et militant des droits humains kino-congolais. Surnommé « l'homme qui répare les femmes », il a reçu de nombreuses distinctions pour son engagement contre les mutilations génitales pratiquées sur les femmes en république démocratique du Congo, dont le prix Sakharov en 2014 et le prix Nobel de la paix en 2018. 

Fils d'un pasteur protestant pentecôtiste (et lui-même pasteur chrétien évangélique du même courant dans une église de Bukavu au Congo) , il effectue ses études primaires à l'athénée royal de Bukavu, puis poursuit ses études secondaires à l'institut Bwindi de Bukavu, où il obtient un diplôme en biochimie en 1974. Après deux années passées à la faculté polytechnique de l'université de Kinshasa (UNIKIN), il trouve sa voie en s'inscrivant, en 1976, à la faculté de médecine du Burundi.

Son diplôme de médecin obtenu en 1983, il fait ses premiers pas professionnels à l'hôpital de Lemera au sud de Bukavu. En 1984, il obtient une bourse de la Swedish Pentecostal Mission pour suivre une spécialisation en gynécologie à *** l’université d’Angers ***, en France. Il fonde avec un Angevin l'association France-Kivu pour aider sa région d'origine.

Le 24 septembre 2015, il devient docteur en sciences médicales à l'université libre de Bruxelles après avoir soutenu une thèse intitulée : Étiologie, classification et traitement des fistules traumatiques uro-génitales et génito-digestives basses dans l’Est de la RDC.

En 1989, il choisit de retourner au Congo pour s'occuper de l'hôpital de Lemera, dont il devint médecin directeur.

En 1996, lors de la première guerre du Congo, son hôpital est brutalement détruit. Mukwege échappe à la mort alors que plusieurs malades et infirmiers sont assassinés.

Il se réfugie à Nairobi, puis décide de retourner au Congo. Avec l'aide du PMU (Pingstmissionens Utvecklingssamarbete, association caritative suédoise), il y fonde l'hôpital de Panzi à Bukavu. Il se voit alors confronté aux mutilations génitales pratiquées sur les femmes.

Profondément marqué par ces violences, il décide de faire connaître au monde la barbarie dont sont victimes les femmes à l'Est de la république démocratique du Congo, et d'agir pour leur venir en aide.

Dans une région où le viol collectif est utilisé comme arme de guerre, il se spécialise dans la prise en charge des femmes victimes de ces agressions sexuelles, leur apportant une aide médicale mais aussi psychique, économique et juridique.

Il est reconnu comme l'un des spécialistes mondiaux du traitement des fistules ; il reçoit à ce titre, entre autres, deux distinctions universitaires en 2010 (voir Distinctions).

Le 25 octobre 2012, il est victime d’une agression en plein centre de Bukavu. Le gardien de sa maison est abattu après l’avoir alerté d’un danger, sa voiture est incendiée et Mukwege est ligoté. Mais grâce à l'intervention des riverains, qui se portent à son secours, il en sort sain et sauf. Il se réfugie alors quelques mois en Belgique avant de repartir travailler au Congo-Kinshasa.

En 2018, il reçoit le prix Nobel de la paix avec Nadia Murad (militante irakienne des droits de la personne, d’origine kurde et issue de la communauté yézidie), pour leurs efforts pour mettre fin à l'emploi des violences sexuelles en tant qu'arme de guerre.

Source : Wikipédia

Merci Seigneur pour la vie de cet homme exceptionnel !

[verschwoerer]

Au mukuru, des centaines de femmes, d'enfants et d'hommes fouillent les tonnes de déchets produits quotidiennement par les plus de quatre millions d'habitants de la capitale kenyane, Nairobi. Sous l'œil vigilant des gangs et des marabouts.

Depuis une semaine, je photographie les rues de Nairobi avec Stanley, mon guide et chauffeur. Nous circulons dans son vieux bus Toyota qu’il loue avec ses services aux touristes de passage et à quelques journalistes pour financer ses études de gestion à l'Université. Ce matin, nous roulons sur le large périphérique qui mène à Dandora, un quartier situé à huit kilomètres au nord-est du centre. Le discret jeune homme y a habité de 2008 à 2012, quand il a quitté sa famille et la ville de Thika pour étudier. «Je t’emmène au mukuru, m’a-t-il annoncé une heure auparavant sur le parking de mon hôtel. C’est notre décharge municipale, la plus grande d’Afrique de l’Est. Quand tu l’auras vue, tu comprendras mieux comment fonctionne notre société.» Créé en 1985 par la municipalité sur une ancienne carrière de 12'000m2, entre les quartiers de Dandora et de Korogocho traversés par la rivière Nairobi, le mukuru, «décharge» en kiswahili, n'a cessé de se développer pour atteindre en 2016 une surface dix fois plus imposante: 125'000m2. Sur les 3'200 tonnes de déchets produits quotidiennement par les quatre millions et demi d'habitants de la capitale, 2'000 tonnes sont déversées dans le mukuru, sans aucune restriction. Et cela, malgré les risques sanitaires et environnementaux identifiés et dénoncés dès 2001.

Le soleil n’est pas encore levé et la brume tarde à se dissiper. J'observe, fasciné, les milliers de gens qui, comme dans toute l’Afrique, marchent depuis l'aube sur les bas-côtés de la route vers un but connu d’eux seuls. A mesure que nous nous éloignons du centre, les maisons de ciment font place à des baraques de tôle et de parpaing, les rues bitumées à des chemins boueux troués de profondes ornières remplies d'eau. Tout est brun-beige: les cahutes à moitié en ruine, le linge suspendu aux fenêtres, les égouts à ciel ouvert qui débordent, même le troupeau de chèvres et ses bergers qui nous bloquent sans le moindre complexe. ...

https://www.sept.info/kenya-decharge

[erfigh]

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Ethiopie : un boeing 737 d'Ethiopian Airlines s'écrase avec 157 personnes à bord ce dimanche

Ethiopie : un boeing 737 d’Ethiopian Airlines s’écrase avec 157 personnes à bord ce dimanche

Un boeing 737 de la compagnie aérienne Ethiopian Airlines à destination de Nairobi s’est écrasé tôt ce dimanche matin avec 149 passagers et huit membres d’équipage, a annoncé le porte-parole de la compagnie. L’appareil a décollé à 8h38 heure locale soit 5h38 TU de l’aéroport d’Addis Abeba, en Ethiopie, avant de perdre tout contact avec la tour de contrôle, aux environs de 8h44 heure locale,…

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#Addis Abeba #Avion #boeing 737 #Crash #Ethiopian Airlines #Ethiopie

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Les 20 meilleures citations de La Casa De Papel

Également appelée la maison de papier au Québec, la Casa De Papel et une série télévisée espagnole qui comprend 2 saisons et des épisodes de 70 à 75 minutes. C’est une série de drame et de braquage dans laquelle on peut trouver beaucoup de citations la Casa De Papel. La série parle d’un professeur assez bizarre et plein de mystères qui est appelé « el profesor » qui établit un projet de braquage unique qui n’a jamais eu lieu auparavant. Ainsi pour mettre son plan en exécution, le professeur fait appel à huit malfaiteurs qui sont les plus doués et les meilleurs du pays.

Ces criminels acceptent ainsi de se rallier au professeur. Ainsi l’objectif principal est de faire en sorte que les malfaiteurs puissent infiltrer les locaux de la fabrique de la monnaie et de timbre du pays. Une fois l’infiltration réussie, ils devront faire l’impression de près de 2,4 milliards d’euros le plus rapidement possible sans tuer de personnes. C’est ainsi que ces malfaiteurs prennent en otage 67 personnes qui se trouvent dans la fabrique nationale de monnaie et parmi lesquelles la fille d’un ambassadeur. Découvrez ainsi les meilleures citations la Casa De Papel.

1. « Inconsciente, capricieuse, superficielle, égoïste, comment tu te définis ? Moscou

2. « La nostalgie est une séductrice… ça nous coûte de nous débarrasser de ses vestiges parce que nous pensons que ce sont des souvenirs qui nous rappellent certains moments de bonheur mais… c’est faux ! » – le Professeur.

3. « L’espoir c’est comme les dominos, dès qu’il y en a un qui est tombé, les autres le suivent… » – Tokyo

4. « Que l’ère du « matriarcat » commence ! » – Nairobi.

5. « Mais mélanger amour et boulot ça ne marche jamais… » – Tokyo

6. « Après tout, l’amour est une bonne raison pour que tout se passe mal.» – Tokyo

7. « Un homme dans une situation explosif. » – Berlin

8. « Je suis une terre malade. Pire, je suis un putain de bidon d’essence avec une allumette.» – Tokyo

9. « Super j’aime les feux de joie. Rio.

10. « Construire une bibliothèque, c’est créer une vie. Ce n’est jamais une collection de livres au hasard. » – Carlos María Domínguez

11. « « Il est souvent beaucoup plus difficile de se débarrasser des livres que de les acquérir. Ils s’en tiennent à nous dans ce pacte du besoin et de l’oubli que nous faisons avec eux, témoins d’un moment de notre vie que nous ne reverrons plus jamais. « Tant qu’ils sont encore là, ça fait partie de nous. » » – Carlos María Domínguez

12. « Pour moi, la plus grande joie est de pouvoir me submerger pendant quelques heures chaque jour dans un temps humain qui me serait autrement étranger. Une vie ne suffit pas » – Carlos Maria Dominguez

13. « Personne ne veut perdre un livre. On préfère perdre un ange, une relique, ou un chapéu dechuva, dont le livre dont on ne lira plus les pages ne conservera, dans la sonorité de son titre, qu’une émotion ancienne et peut être perdue. » – Carlos Maria Dominguez

14. « « Os livros mudam o destino das pessoas » – Carlos María Domínguez

15. « Il est souvent beaucoup plus difficile de se débarrasser des livres que de les acquérir. Ils s’en tiennent à nous dans ce pacte du besoin et de l’oubli que nous faisons avec eux, témoins d’un moment de notre vie que nous ne reverrons plus jamais. Tant qu’ils sont encore là, c’est une partie de nous. J’ai remarqué que beaucoup de gens notent le jour, le mois et l’année où ils lisent un livre ; ils construisent un calendrier secret. D’autres, avant d’en prêter un, écrivent leur nom sur la page de garde, notent à qui ils l’ont prêté dans un carnet d’adresses et ajoutent la date. J’ai connu des propriétaires de livres qui les estampillent ou glissent une carte entre leurs pages comme ils le font dans les bibliothèques publiques. Personne ne veut égarer un livre. Nous préférons perdre une bague, une montre, notre parapluie, plutôt qu’un livre dont nous ne lirons plus jamais les pages, mais qui conserve, dans le son de son titre, une émotion lointaine et peut» -être perdue depuis longtemps. » – Carlos María Domínguez

16. « Les livres changent le destin des gens. Beaucoup de gens ont lu « Le Tigre de Malaisie » et sont devenus professeurs de littérature dans une université éloignée. « Siddharta » a conduit des dizaines de milliers de jeunes à l’hindouisme, Hemingway en a fait des athlètes, Dumas a bouleversé la vie de milliers de femmes et beaucoup ont été sauvés du suicide par un livre de cuisine. » – Carlos María Domínguez

17. « Il y a des moments dans la vie où nous devrions juste être capable d’avoir une foutue télécommande, pour que vous puissiez la mettre en pause. Même si ce n’est que pour cinq minutes. Mais parfois les choses se produisent avec une obscénité irrévérencieuse et il n’y a rien que vous puissiez faire pour l’aider. » – Tokyo

18. « Si vous tirez sur la fille, vous mourrez. Si vous me tirez dessus, vous mourrez. « Si tu laisses partir la fille, tu vis. Si seulement chaque décision dans le monde était aussi facile….’ » – Tokio

19. « T’es complètement idiot ou quoi ? Vous avez entendu parler de Stockholm» -Syndrom, n’est» -ce pas ? » – Nairobi

20. « L’espoir, c’est comme les dominos. Une fois que l’un tombe » – les autres suivent » – Tokio

Source: https://www.chillcity.fr/citations-la-casa-de-papel/

[raynalmarion]

Bonjour guys ! Quel temps pourri… tu parles du printemps ! Pluie, grisaille, froid, humidité, brouillard et j’en passe. Mars n’aura pas eu une météo au beau fixe, sans parler de mes soucis de santé qui me mènent la vie dure. Malgré tout, j’ai décidé d’adopter la positive attitude et j’ai quand même passé d’excellentes journées. Et vous ? Cette météo me donne envie de m’exiler sous le soleil. Je me sens comme une girafe au Pôle Nord, je ne suis pas dans mon milieu naturel haha Trèves de plaisanteries. J’ai aussi eu l’opportunité de tester et découvrir quelques petites choses dont je vous parle de suite !

-Le drap de bain Ines de le Fressange :

Si vous aussi faites vos courses au Leclerc, vous avez sans doute eu droit lors du passage en caisse à la remise d’un carnet avec des vignettes INES DE LA FRESSANGE PARIS. Grâce à ces vignettes, il est possible d’acheter du linge de bain et de maison pour moins cher. Taies d’oreiller, housse de couette, tapis de bain, gant de toilette… J’ai craqué pour le drap de bain rose pâle. Il faut dire que la réduction est plus qu’intéressante ! 16.99E avec 5 vignettes E-Leclerc au lieu de 59E sans vignettes : http://bit.ly/2pFCCuG La taille du drap est parfaite pour moi, et il est d’une douceur incroyable qui m’a agréablement surprise. A la sortie de la douche, c’est comme s’envelopper dans un nid de coton.

-Deux rouges à Lèvres Sephora :

  Sephora Collection a sorti la gamme #LIPSTORIES de Sephora Collection aux couleurs vibrantes et au packaging original inspiré des #stories sur les réseaux sociaux.

Un rouge à lèvres alliant à la fois couleur intense et texture ultra-glissante, une déclinaison de teintes en 3 finis : satiné, mat et métallique. Je n’ai pas testé le satiné, mais pour les deux autres je peux vous garantir que la couleur est ultra pigmentée et couvrante dès le premier passage, notamment pour le métallique. La formule ultra-légère ne dessèche pas les lèvres, même pour le matte. On dirait qu’on applique un baume à lèvres. Et la tenue est vraiment top. Je bois beaucoup d’eau et de thé, et ils durent bien. Sans parler du packaging vraiment sympa différent pour chaque teinte. Et que dire du prix ? 8.95E sur le site de Sephora : 42 – No Cell Service – Métal/ Metallic et 7 – Love Love – mat / matte 4 g : http://bit.ly/2pDP1jq Ça me donne envie d’avoir toute la collection ! Pas vous ?

-Rituals of Sakura :

  Vous connaissez sans doute la marque Rituals qui propose des produits en fonction de différentes gammes de rituels. Il y a celui du Hammam, du Karma etc. Mais c’est celui dit de Sakura qui me fait chavirer. Les produits sont à base de fleur de cerisier et de lait de riz. Je suis en transe à chaque fois que je sniffe les produits.

Depuis des siècles, les Japonais célèbrent la floraison annuelle des cerisiers japonais ou Sakura. Cette fête marque le réveil de la nature et symbolise le caractère éphémère de la beauté ainsi que l’importance de la vie. Inspirée par cette tradition, notre collection The Ritual of Sakura allie la douceur de la Fleur de cerisier au Lait de riz biologique nourrissant, pour célébrer chaque jour comme un nouveau départ.

Le lait de riz : Dans toute l’Asie, le riz est symbole d’abondance, de joie et de fertilité. L’essence de lait de riz adoucit et assouplit votre peau et la rend lumineuse.

La fleur de cerisier : Les fragiles fleurs du Sakura (cerisier japonais) sont souvent décrites comme «neige de printemps» par les poètes japonais. Au Japon, elles symbolisent depuis toujours le renouveau de la nature et la pureté. Son parfum délicat est incroyablement relaxant.

  Le site Rituals : Le coffret http://bit.ly/2pGLeSv la gamme complète va de 3 à 48E : http://bit.ly/2Go9W3y, ce qui est franchement abordable, surtout que les produits sont d’excellentes qualité. Les coffrets permettent aussi de faire de beaux cadeaux sans se ruiner.

-Les capsules de chocolat chaud Café Royal :

J’adore le thé, tisane et autres infusions, mais le matin c’est du chocolat chaud que je bois. J’aime bien la poudre de cacao Van Houten diluée dans du lait de soja à la vanille bouillant, mais je préfère quand il y a de la mousse sur le dessus, ce qui est rendu possible avec ma machine Dolce Gusto. Je mange la mousse que je soupoudre de cannelle et de gingembre à la petite cuillère. Il y a plusieurs marques qui vendent des capsules de chocolat chaud, mais parmi celles que j’ai testées c’est celle-ci qui mousse le plus, donc c’est celle que je préfère, d’autant plus que le goût est très bon. Si vous avez des recommandations en matière de capsules de chocolat chaud moussant pour machine Nescafé, je suis preneuse !

Les capsules Café Royal ont été développées spécialement pour être utilisées dans votre machine Nescafé®* Dolce Gusto®*. Elles sont compatibles avec les machines Dolce Gusto®* les plus courantes. PetiTs gourmands, prenez garde : avec Café Royal Kids Chocolate, le meilleur des chocolats rencontre un lait incroyablement crémeux. Il en résulte une boisson délicieuse et crémeuse à souhait pour une expérience unique. Accompagnée d’un biscuit aux pépites de chocolat, cette douce tentation est parfaite.

3.89E sur leur site : http://bit.ly/2pGpNRq

-La série “La casa de papel” :

  Décidément, Netflix aura ma peau. 13 reasons why, Stranger things, Alias Grace, Riverdale… Tous les mois je découvre une série qui me rend accro. Cette fois, c’est “Casa de Papel”, une série espagnole juste addictive. Mes frères ont commencé à regarder, l’ont recommandé à mes parents qui l’ont vue en moins de deux. J’étais sceptique car je pensais que c’était juste de la violence gratuite mise en scène, et puis j’en ai eu marre de les entendre en parler tous les soirs à table alors pour éviter de me sentir exclue je me suis dis Vamos !

Synopsis : Un homme mystérieux, surnommé le Professeur (El Profesor), planifie le meilleur braquage jamais organisé. Pour exécuter son plan, il recrute les meilleurs malfaiteurs du pays qui n’ont rien à perdre : Tokyo, Nairobi, Río, Moscou, Berlin, Denver, Helsinki et Oslo. Le but est d’infiltrer la Fabrique nationale de la monnaie et du timbre afin d’imprimer 2,4 milliards d’euros, en moins de onze jours et sans verser une goutte de sang. Pourtant, le groupe sera en charge de 67 otages dont Alison Parker, la fille de l’ambassadeur du Royaume-Uni.

    Mon avis : Bon, ben j’ai  binge watché. A l’heure à laquelle j’écris il me reste 2 épisodes, il y en a 13. Ils durent entre 42 et 55 min, tous plus haletants que le précédent. Acteurs au poil, mise en scène incroyable, scénario ficelé d’une façon magistrale… je ne trouve rien de négatif à dire. Oui, c’est violent, mais aussi profondément humain. On s’attache aux braqueurs parfois même plus qu’aux otages. On se questionne : qu’est-ce-qui peut pousser des gens à devenir des criminels ? Où est la limite entre le bien et le mal, qu’est-ce-que la morale ? Quelles sont les motivations ? De l’argent oui, mais il n’y a pas que ça. Ce ne sont pas des pourris, des drogués, des ratés. Ce sont des êtres humains paumés qui n’ont plus rien à perdre, le genre de personne qu’on peut devenir. Des rebondissements, il y en a à chaque fois, on ne s’ennuie jamais. On pense avoir tout vu et bim ! Surpryyyyse, un truc se produit, se dit, se fait, se met en place… je tire mon chapeau aux scénaristes et réalisateurs qui ont inventés / écrits cette série. Je ne sais pas d’où leurs viennent ces idées, ils doivent eux-même être un peu tordus, mais qui ne l’est pas ? Et maintenant c’est moi qui lance les discussions du soir autour de la série. Il me tarde de voir ce qu’il va se passer, 2 épisodes et je n’en ai aucune idée. La saison 2 commence le 6 avril. J’ai hâte ! Vous pouvez voir la bande annonce et en apprendre plus sur le casting entre autre en allant sur le site Allociné : http://bit.ly/2pFmI3n

Et vous, quels sont vos favoris du mois ? Avez-vous déjà testé, regardé, essayé… une ou plusieurs choses dont je vous ai parlées ? J’espère que votre mois de mars s’est bien passé et qu’avril sera encore meilleur. Ne te découvre pas d’un fil dit le dicton. Prions néanmoins pour que la météo soit plus clémente. En tout cas, avec Pâques qui arrive on peut compter sur le chocolat pour nous remonter le moral ! Prenez soin de vous, à très vite dans un prochain article.

Bisous, Ada. 

Favoris de mars Bonjour guys ! Quel temps pourri... tu parles du printemps ! Pluie, grisaille, froid, humidité, brouillard et j'en passe.

[nairobi-resources]

Hey ! J'espère que tu vas bien. J'ai vu que tu ne prenais que des suggestions en ce moment, donc je me permet de te souffler deux petits noms pour des avatars si jamais ils t'inspirent: Paul Mescal & Miles Teller. En tout, cas j'adore ce que tu fais, c'est toujours un plaisir de voir tes avatars ** Bonne journée :D

Hey ! Merci beaucoup pour ton message et mille excuses pour le retard, j'ai un peu manqué de temps pour répondre à mes suggestions dernièrement mais me revoici ! ♡

J'ai fait plusieurs fournées d'avatars sur Paul (depuis le temps que je voulais grapher sur lui 😍) que tu pourras trouver juste ici : https://nairobi-resources.tumblr.com/tagged/paul%20mescal%20avatars et j'essaierai d'en faire sur Miles prochainement également !

Merci encore pour ton message et bonne soirée à toi ! ♡

#answered

[nairobi-resources]

Heya ! Je viens de tomber sur tes avatars d'une partie du cast de shadow and bone. Ils sont sublimes, vraiment j'aime ce style que tu donnes à tes créas. Du coup je ne peux pas résister à l'envie de te proposer Jack Wolfe en suggestion. Bonne après-midi à toi **

Hello! Merci beaucoup pour ce gentil message, ça me fait très très plaisir de lire que mes avatars plaisent et qu'ils peuvent potentiellement servir! J'avais justement repéré la bouille de Jack, que j'aime beaucoup et qui est mignon tout plein, alors j'ai fait quelques avatars qui j'espère te seront utiles : https://nairobi-resources.tumblr.com/tagged/jack%20wolfe%20avatars Merci pour ta suggestion, bonne soirée à toi ♡

#answered

[jajamanu]

MANU - JOUR 11 - GOOD MORNING BARCELONA

Nous voici dans le petit avion qui nous mènera à Barcelone en partance de Frankfort. Nous sommes dans les bancs de la rangée 37. Dans les rangées 38 et 39, il y a aucun banc, mais plutôt une civière. Nous avons une pensée pour 38 C !

Le vol commence plutôt bien. On nous sert un sandwich au fromage avec du beurre à la ciboulette. Je la mange parce que j'ai faim mais ... beurk !

Soudainement le pilote annonce une zone de turbulences! Oh boy .. ça commence à brasser, les occupants de l'avion vont parfois crier ou faire des onomatopées en choeur! La force du brassage nous soulève de notre banc, l'agent de bord qui passe dans l'allée pour regagner son siège se fait brasser solidement. Tous en choeur ... voici les petits chanteurs du vol 1124 OH ! 🎶 AH ! 🎵 HOU ! 🎶 AHHHH ! 🎵!

Ça brassé pendant de longues minutes. Jaja est devenue stressée tandis que moi j'ai décidé d'être calme! Respire.. ça va finir par arrêter ! Bon tu vois ... nous sommes arrivés!

L'aéroport de Barcelone est vraiment beau. Bon c'est peut-être la norme mais, quand tu arrives de l'aéroport de Nairobi tu deviens émerveillée par tout ! On prend un taxi parce que ca fait presque 24 heures que nous nous promenons d'un continent à l'autre, d'un pays à l'autre, d'un aéroport à l'autre. Une belle ride de 30 minutes qui ne m'aura pas permis de voir les merveilles de Barcelone. Le chauffeur nous débarque après avoir lui-même chercher notre appartement. Le proprio avait envoyé une applicatipn à Jaja qui nous permettra d'ouvrir la porte d'en bas. On gosse à essayer de rentrer mais en vain. On décide d'aller au petit café d'en face pour y casser la croûte. Elle communique avec la proprio qui nous aidera à ouvrir la porte via texto.

Finalement on rentre, il est 12h30 mais la femme de ménage n'est définitivement pas passé. Pas de bonne humeur, nous partirons exploiter notre quartier. Mais avant, tentons de figurer les clés pis les cartes magnétiques qui serviront à ouvrir les portes. Complexes les portes en Europe !

On s'ouvre une bouteille de vin, on écoute Friends en espagnol mais ce n'est pas grave, je connais quasi toutes les répliques en anglais. On relis des extraits de nos anciens voyage, on rit !

Premier arrêt : petit resto bar pour des tapas.

Suivi de l'épicerie. Il est maintenant 14h45. Brûlées ! On tente de trouver notre nid mais en vain. On se croit perdues mais on y arrive. On rentre à l'appartement et la femme de ménage est toujours là ! Tu me niaises ? Je plains Jaja car ça doit faire 22 heures que je lui dis que je rêve de me laver. Tsé quand tu as l'impression d'avoir été jouer tout nu dans un carré de sable pendant des heures ? Quand tu as de la crasse sous les ongles sans comprendre pourquoi ? Que tu as l'impression d'avoir de la saleté dans les recoins de ton corps encore inconnus? Et que tu es rendue au point où tu rêves à un détartage de dents même si tu es allée chez le dentiste il y a 2 mois? Tsé quand tout ce qui pue autour de toi te donne l'impression que ça vient de toi ? Voilà comment je me sentais (et voilà .. sentais .. c'est le bon mot dans les circonstances). Jaja me confirme alors que je ne pus pas mais ça prouve le feeling d'être crottée ! Vers 16 h, la femme de ménage part. 🎵🎵 la la la la la .. je suis dans la douche ! Quel bonheur ! Si on m'avait filmé, je suis certaine que ça aurait fait une pub de savon super convaincante !

Ce soir, on ne sort pas. On refait nos forces, nous laisserons les manifestants envahir la ville. À 22h, c'est le temps du dodo. On baisse tous les rideaux de l'apparte qui consiste à une porte métallique que tu descends (comme une porte de garage). C'est dans la totale noirceur et au son des cris que je vais m'endormir !

[jajamanu]

MANU - JOUR 10 - KENYA - JAMBO

Le réveil est assez brutal, c’est le vacarme sur le toit de notre tente. Les singes, sautent sur la toile et glissent jusqu’aux arbres. C’est un terrain de jeu pour eux. Je les entends grogner et les autres leur répondent. Ça dure plusieurs minutes et c’est bruyant. Jaja se réveille soudainement, elle me dit « C’est quoi ça ? ». Je trouve qu’elle a l’air beaucoup mieux car, cette nuit, elle marmonnait sa douleur.

Vers 9 am, je vais au restaurant pour déjeuner et Jaja n’a pas encore terminé sa valise. En arrivant sur la terrasse, je vois Thorne au loin, qui court vers moi. Il est notre serveur attitré. Quel service et dévouement ! Jaja me rejoint, prête à partir, ça ne paraît pas qu’elle est malade mais elle le sent encore. Dernières salutations à nos amis, dernière visite au magasin souvenir et dernière « ride » avec le gentil Jérémy. En sortant du camp, l’équipe d’accueil nous chante maintenant « Au revoir ». Encore une fois (je ne les compte plus), je pleure ! Jaja me regarde, elle essuie ses larmes !!! Je n’aurais jamais autant pleuré qu’au cours de notre séjour au Kichwa Tembo. La perfection, la chaleur humaine de tous et les animaux. La princesse verse encore des larmes ... de bonheur!

Jérémy nous dit que notre vol, vers l’aéroport Wilson à Nairobi, est retardé. Jaja ne va pas bien. Elle lui demande de retourner au site pour l’utilisation d’une toilette au lieu d’accepter d’aller aux toilettes dans les buissons, tout près des zèbres. Je reste à « l’aéroport » qui consiste à ... euh.... rien. C’est dans le champs, tu vois les animaux au loin et, c’est à peu près ça. Jérémy reste avec nous, jusqu’à l’arrivée de notre avion. Il me dit que l’avion risque de partir un peu plus tard car, il remarque qu’il a une crevaison. C’est long d’attendre aussi longtemps dans un aéroport qui n’existe pas !

Un petit 45 minutes de vol et le tour est joué. En arrivant à l’aéroport Wilson, de Nairobi, on sort de l’avion directement dans la cour, sur l’asphalte. La cour est pleine d’avions, c’est bizarre... tu le sais que tu es ailleurs. On suit la préposée jusque dehors où je remarque une fille avec une pancarte avec nos noms. Le service de navette entre les deux aéroports est inclus. C’est le dernier moment de notre vie de princesses ... croyez moi !

On arrive à l’aéroport Jomo Kenyetta vers 13h30 et notre vol est seulement à 22h30. Nous décidons donc de se rendre à un hôtel, le Four points, pour manger et relaxer tout en profitant de leur business lounge. Le gars de l’aéroport, sous le regard du gardien à la mitraillette dans le cou, nous dit que c’est à 15 minutes à pied pour se rendre à l’hôtel. Les princesses ont mangé la claque, le règne est officiellement terminé. On roule nos valises, la chaleur est intense, j’ai envie de pipi et j’ai soif. Je n’ose pas boire, j’ai trop envie. Je sens le soleil chauffer mon front, je commence à être bougon en réalisant que c’est ben plus que 15 minutes. On ne voit plus d’indications pour le Four Points, je commence à perdre espoir. Un policier débarque d’une voiture et nous demande s’il peut nous aider. Oui, il est où le Four Points ? Help! Il arrête une voiture du Four Points, il embarque et nous dit d’embarquer. Oh, avec plaisir ! Arrivées à l’hôtel, on doit passer nos valises dans le détecteur. On demande accès au resto et on business lounge. Aucun problème !

On va dîner au chic restaurant de l’hôtel, le service est toujours « sa coche » et la bouffe est toujours aussi bonne. On relaxe, on écrit, on rigole et c’est vers 19h30, que nous prendrons le shuttle vers l’aéroport. En sortant de l’hôtel, un employé regarde mon chandail de « Friends » et me dit « I love that show ». Cool !! C’est bizarre car un agent de sécurité à l’aéroport de Wilson m’avait dit la même chose.

L’aéroport n’est pas comme les autres !!! Les portes d’embarquement n’ont aucun banc pour s’asseoir. Tout le monde est assis par terre. Il fait chaud, trop chaud ! Quand je dis que notre règne est terminé !!!! Dernière tournée des boutiques souvenirs qui ont parfois l’air de magasin de trucs usagés. Nous dépensons nos derniers shilling. Il nous en reste environ 3400 shilling (équivalent à 34 $ US). Derniers petits souvenirs pour les deux princesses déchues.

Passer la porte d’embarquement, c’est complexe, c’est le brouhaha. Les uns bousculent les autres, pour entrer plus vite, au risque d’oublier leur sac au passage. Arrivés dans l’avion, l’agente de bord me dit en anglais « Love your shirt ! We were singing Smelly Cat this morning ». Nous serons assises ensembles. Deux bancs à nous toutes seules, nous ne dérangerons personne. Le vol pour Francfort sera long et c’est à 22h30 que nous décollons. Le souper est servi rapidement, je n’ai pas faim, j’ai un petit mal de coeur. Je mange 2 bouchées et m’endors. Je vais dormir pour toute la durée du vol.

Arrivés à Francfort à 6h00 am, notre embarquement est prévu à 7h05. Nous devons repasser aux douanes. Passe les bagages dans les détecteurs et la princesse aussi. La douanière me dit d’aller sur le côté et j’ai droit à un taponnage en règle des seins. Pourquoi c’est toujours à moi que ça arrive ?! Pensez-vous vraiment que quelque chose est caché là dedans? Nous devons nous rendre à la porte A38 mais l’aéroport est tellement grand que ça nous prendra presque 45 minutes pour s’y rendre après avoir pris un métro, repassées aux douanes, on finit par y arriver.

Un petit vol de deux heures pour se rendre à Barcelone !

PS : les princesses déchues se sont abstenues de prendre trop de photo, pas facile comme journée!