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matthias75015 · 5 years
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matthias75015 · 5 years
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(via DeepMind et Waymo accélèrent l’entrainement des algorithmes de Machine Learning)
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Google Scholar, un outil pour trouver des articles scientifiques en fran...
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Zotero – Exercices de pratique individuelle avant l'activité de formation
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matthias75015 · 5 years
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matthias75015 · 5 years
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Rapport de mission sur l’acquisition du vocabulaire à l’école élémentaire 2007
, L’école constitue la seule réponse posé à bien des élèves qui arrivent à l’école maternelle, avec une langue orale très éloignée de celle qu’ils vont apprendre pour lire et écrire. On peut qualifier cette langue de langue étrangère, tant ses structures semblent incompatibles avec le langage de l’école e celui des apprentissages.  Or, apprendre à lire, ce n’est pas apprendre une langue nouvelle, mais apprendre à décoder une langue que l’on connait oralement.Quand un enfant se trouve enfermé dans un usage oral quasi étranger du langage de l’école,  il est d’emblée  coupée de la langue écrite. L’école se doit d’offrir une sécurité du vocabulaire en élucidant les rouages du code écrit d’interroger leur dictionnaire mental pour accéder au sens des mots qu’ils ont appris à déchiffrer.  Abécédaire ou imagier, quelle fonction ? Les écrits en situation ?  Les différents domaines d’activité permettent d’enseigner Il ne s’agit en effet surtout pas de transmettre des connaissances de manière formelle mais plutôt de créer les conditions de recours aux écrits dans leur diversité, que ce soit en réception (lecture) ou en production (écriture). Habituellement, on distingue trois types d’écrits : 
Les écrits littéraires. 
Ils se présentent essentiellement sous forme de livres pour initier à des textes longs et à la fonction poétique du langage. Bien choisis, ils ouvrent à la réflexion sur des thèmes variés et forts et à la découverte de soi. Les écrits documentaires. 
Ils visent à faire apprendre dans tous les domaines, complétant des connaissances ou informant sur un objet ignoré. Les écrits fonctionnels ou d’usage. 
Ils ont une fonction dominante qui est de faciliter l’organisation pratique : à l’école comme dans la vie courante, ils sont abondants et divers, se présentant sous une très grande variété de supports Fonction :Soutenir la mémoire Pallier l’oubli
Exemples d’écrits que les élèves peuvent « utiliser » en classe ou observer dans l’environnement (ces écrits peuvent se présenter sur papier ou sous forme électronique)
a ) Écrits propres au milieu scolaire Dictionnaires, imagiers, abécédaires, répertoires, affiches didactiques, listes diverses, fiches individuelles de renseignements, résumés des livres lus en classe, brouillons, etc. Affiche méthodologique pour garder la trace d’un cheminement et s’en resservir.
b ) Écrits de la vie courante Dictionnaires, répertoires, carnets d’adresses, « pense-bête », plan sommaire pour se rendre quelque part, etc. Dans un contexte de classe et d’école où l’on valorise tout ce qui est écrit, une situation très fonctionnelle est celle du rangement, en fin de journée ou en fin de semaine : – ainsi en section de moyens et de grands, pendant une période significative, peut-on soigneusement conserver tous les écrits auxquels on a eu recours dans la journée, en prévoyant une panière à cet effet. Tous les jours ou deux fois par semaine, un groupe de deux ou trois élèves est désigné pour faire le tri et le rangement dans des lieux conçus pour cela (ce qui suppose que des dispositifs adéquats aient été prévus, outre le coin livres : classeurs avec transparents pour les textes des comptines ou des chansons, enveloppes, chemises, cahiers où l’on colle des tickets divers selon leur fonction, bacs ou présentoirs, etc.). Un espace pour les activités d’écriture Dès la section des moyens, l’organisation matérielle de la classe (espaces et matériel) doit réserver une place spécifique à l’activité d’écriture en créant des conditions favorables du point de vue des outils et des supports, mais aussi des modèles et des références. Les activités de nature à favoriser l’entrée dans l’écrit demandent un lieu permanent, bien identifié, différent de l’espace-graphisme. On y trouve aussi des aides, des recours pour écrire, tous élaborés collectivement ou présentés à tous. Ces référents, textes ou mots écrits sans déterminant et en lettres capitales – progressivement, les autres graphies viendront en complément au verso – sont souvent accompagnés d’illustrations pour faciliter leur reconnaissance : – des documents authentiques, imprimés et manuscrits : lettres, affiches, emballages, recettes, photocopie de couvertures d’albums connus, comptines classés dans des fichiers ; – de courts récits de la vie de la classe desquels ils pourront extraire mots ou groupe de mots ; – des panneaux de référence : prénoms, jours de la semaine, mois de l’année ; – des formules ou tournures répétitives rencontrées dans les récits et albums, – des fiches reprenant les mots familiers des enfants ou rencontrés dans les projets depuis la petite section : noms des héros des récits, liste des ingrédients des recettes, inventaire des gestes plastiques, répertoire des actions motrices ; – des boîtes ou des tiroirs contenant des mots collectés avec les élèves et triés avec eux, selon des critères divers : les mots du jardinage (après une activité de cette nature dans le domaine « Découverte du monde »), les mots qui font peur (après un travail systématique relatif aux mots des histoires qui ont été lues en classe), etc. ; – des étiquettes manipulables portant les mots connus ; – des imagiers thématiques ; – des alphabets, des abécédaires Les abécédaires : un genre proliférant L’abécédaire symbolise l’entrée dans l’écrit ; il propose un ordonnancement formel des objets du monde selon la règle alphabétique.  Il participe à la construction d’un autre rapport au monde dans lequel le régime de la lettre prime sur d’autres critères de rangement. L’abécédaire peut être lié à l’apprentissage de l’écrit ; en référence à son ancêtre, le manuel de lecture, l’abécédaire à destination des « encore non-lecteurs » joue des rapports phonie/graphie. On peut citer Le Grand Voyage d’Adèle et Zorba de Gilles Eduar (Albin Michel Jeunesse, 2000)
Les élèves pourront lire en réseau ces albums afin de découvrir les mots vedettes fréquemment associés à telle ou telle lettre (Z de Zèbre, etc.), puis construire leur propre abécédaire (MS/GS). – jeux sur la lettre initiale tels que Bébés animaux, un livre pop-up de Chuck Murphy (Gautier languereau, 2008) ; Bestioles de Lucile Danis (Le Textuaire, 2006) en PS et MS ; – sur le son associé à la lettre, jeux présents dans de nombreux albums dans lesquels l’image suggère d’autres signifiés à associer L’Abécédire d’Alain Serres, Lily Francy et Olivier Tallec (Rue du monde, 2001) ; – sur la forme de cette lettre (lettre objet ou personnage) comme ABC DÉGÉ de Guillaume Dégé et Anémone de Blicquy (collection « Giboulées », Gallimard, 2004)
La relation entre le texte et l’image est parfois très polysémique comme dans L’Abécédire de Alain Serres, Lily Francy et Olivier Tallec (Rue du monde, 2001), elle constitue alors de fait un terrain de recherches très ouvert. Dans la même veine, on trouve L’Alphabet contrasté de Pierrick Bisisnski et Olivier Brunet (Thierry Magnier, 2007) pour la fin d’école maternelle ; des formes typographiques avec Dessine-moi une lettre et Construis-moi une lettre d’Anne Bertier (MeMo, 2004).
Faire entrer dans les mondes fictionnels
Organiser la rencontre avec des personnages Des parcours de lecture peuvent être envisagés afin de construire ces premières compétences dès la section de tout-petits en proposant aux élèves plusieurs albums mettant en scène un même type de personnage : Sacha, Mimile, Fanfan de Grégoire Solotareff (L’École des loisirs, 1995) ; Histoire d’un chat, Histoire d’un crocodile, Histoire d’un éléphant de Grégoire Solotareff (L’École des loisirs, 1993).
Comment les enfants apprennent-ils des mots nouveaux ?
Quels sont les principes pédagogiques et didactiques ? Émergence de la notion d’imagier  ou d’abécédaire. En amont, il est important de laisser les élèves regarder, observer,  manipuler des imagiers et des abécédaires de toutes sort est::   pour faire apparaître les constantes et les mettre en mots Vecteurs d’apprentissage et de mobilisation du vocabulaire à l’école maternelle : 1.   Les situations (cf N. Vilacèque). 2.  Les albums échos de ces situations (cf Ph. Boisseau). 3.  La mobilisation des mots à travers des jeux. 4.  Les albums de littérature jeunesse, les comptines, les chants… 5.  Les imagiers et abécédaires… Livres qui ont tous des images, mais qui ne racontent pas d’histoire Livres qui peuvent avoir des mots et des phrases qui renvoient à l’image Livres qui mettent en avant les lettres et l’ordre alphabétique (« pré-dictionnaires ») Livres qui « rangent » le monde en catégories (dresser des inventaires) Livres qui utilisent des techniques d’illustrations différentes : dessins, photos, peintures…
Constitution de collections
Récolte d’images : catalogues, publicités, dessins, photos…
Les parents peuvent être informés à l’aide  d’un affichage  et associés   à cette collecte.
Atelier de langage ( intérêts) : l’enseignant amène progressivement à effectuer des tris et à guider pour nommer les objets avec exactitude, à trouver la catégorie de référence et constituer des sous-ensembles. Le matériel pédagogique ( le choix : le gros classeur pour faciliter le classement des images, à la portée de tous pour consultation), montrer différentes représentations.  
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matthias75015 · 5 years
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matthias75015 · 5 years
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Les manipulations de l’information.
Avant-propos - résumé : Les campagnes de manipulation, afin d’en dégager quelques traits distinnctifs : Les manipulations de information ne sont pas un phénomène récent mais elles bénéficient d’une double entrée : la diffusion rapide et et la viralité offerte par les médias sociaux et la crise de confiance qui dévalue la parole publique. 
La fameuse fake news, entendue comme la diffusion intentionnelle et massive de nouvelles fausses ou biaisées, menées à des fins de politique hostile, visant à fragiliser ou à déstabiliser le débat démocratique.  Ce rapport s’intéresse aux causes de la manipulation de l’information, aux causes individuelles relevant de la psychologie et de l’épistémologie, (faille cognitive, crise de la connaissance) et causes collectives ( crise de confiance dans les institutions, crise de la presse et désillusion dans le pouvoir du numérique).  Ce rapport intéresse aussi aux récentes campagnes de manipulation ( Macron-Leaks) pour en dégager les traits distinctifs; les caractéristiques communes ; Les facteurs de vulnérabilité :  - présence de minorités, - dissension interne ou externe,  - écosystème médiatique friable,  - crise de confiance en la parole publique, et les moyens :  - Fuite massive de document,  - ingérence dans la campagne électorale, - des story stelling. Pour l’heure, le constat semble que les manipulations de l’information continueront de représenter un défi de longue haleine pour les démocraties, à charge d’apporter une réponse participative, libérale et respectueuse des droits fondamentaux. C’est avant tout à la société civile de développer sa propre résilience.  Introduction 
Par rétention, production ou désinformation, la manipulation est aussi vieille que l’information. Elles fait partie des ruses de guerre. Avant la bataille de Qadesh en 1274, les Hittites auraient utilisés de fausses informations transmises aux Egyptiens pour influencer le sort du conflit. Depuis l’Antiquité, l’Arthashâstra indien du 4ème siècle, les Dialogues de Platon et la rhétorique d’Aristote. L’Art de persuader de Pascal ( 1660 ) ou l’Art d’avoir toujours raison de Schopenhauer(1830). 
Ne serait-ce qu’au 20 ème siècle, les Protocoles des Sages de Sion ( 1901 ) représente un premier exemple. Le totalitarisme a joué un premier catalyseur, en tentant d’attribuer à la CIA l’assassinat de Kennedy (1963) ou l’épidémie 1983-87). L’opération Infektion a tellement réussi qu’elle compte encore aujourd’hui de nombreux prosélytes.  Néanmoins, à mesure que le siècle avançait, les terminologies se sont diversifiés : “propagande”, “fakes news” , “désinformation” voir “post-vérité”. La difficulté à cerner les contours de ces terminologies provient de la confusion aux types de guerre exercé : - guerre de l’information, - guerre psychologique, politique, idéologique voir hybride. ( to be continued).  . 
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matthias75015 · 5 years
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rapport d’étonement
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