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erotiqueb · 5 months
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Conte érotique: Pensées interdites, pt.1 (on Wattpad) Dans la nouvelle érotique Pensées interdites, la tension sexuelle est à son comble pour un jeune homme timide à l'appétit sexuel débordant qui peine à contenir ses fantasmes au travail. «Je lui passerais mon sexe sur la chatte jusqu'à ce qu'elle me supplie encore, et là j'entrerais mais juste un peu, et je ferais des tout petits mouvements pour la faire souffrir, puis je sortirais. Elle se tortillerait, elle en voudrait plus.»
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erotiqueb · 5 months
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Littérature érotique: Une correction méritée (on Wattpad) Une correction méritée nous plonge dans la peau d'un homme d'âge mûr qui aime jouer à des jeux de domination avec son partenaire. Entrelacements, ce sont des contes érotiques au cours desquels des gens ordinaires se retrouvent dans des aventures sexuelles hors de l'ordinaire. Toujours aux limites des tabous, leurs péripéties de sexe interdit, leurs jeux de domination et leurs fantasmes s'entrecroisent. Une même aventure peut être racontée du point de vue de deux personnages différents d'un épisode à l'autre, pour créer tout un univers où l'on découvre peu à peu la personnalité et le schéma érotique de chacun. Chaque jeudi, pimentez votre soirée avec un nouvel épisode.
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erotiqueb · 5 months
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Nouvelle érotique: La cage (on Wattpad) Entrelacements, ce sont des contes érotiques au cours desquels des gens ordinaires se retrouvent dans des aventures sexuelles hors de l'ordinaire. Toujours aux limites des tabous, leurs péripéties de sexe interdit, leurs jeux de domination et leurs fantasmes s'entrecroisent. Une même aventure peut être racontée du point de vue de deux personnages différents d'un épisode à l'autre, pour créer tout un univers où l'on découvre peu à peu la personnalité et le schéma érotique de chacun. Chaque jeudi, pimentez votre soirée avec un nouvel épisode. La cage continue sur le thème du « edging », cette fois-ci avec un personnage qui s'y prête volontiers, depuis plusieurs jours.
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erotiqueb · 5 months
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Nouvelle érotique: L'invité (on Wattpad) Dans L'invité, on nous convie à un souper entre amis, un couple et un nouveau venu que l'on connaît d'un épisode précédent. La chaleur monte au coin du feu de camp. Entrelacements, ce sont des contes érotiques au cours desquels des gens ordinaires se retrouvent dans des aventures sexuelles hors de l'ordinaire. Toujours aux limites des tabous, leurs péripéties de sexe interdit, leurs jeux de domination et leurs fantasmes s'entrecroisent d'un épisode à l'autre. Certains préfèrent être voyeurs, d'autres s'exposent. Découvrez une même situation du point de vue de l'un ou l'autre des sexy protagonistes de la première saison, qui se passe dans un camping. Chaque jeudi, un nouvel épisode.
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erotiqueb · 5 months
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Littérature érotique: Un bear dans les bois (on Wattpad) Dans Un bear dans les bois, on rencontre un jeune homme gay à la recherche de sensations fortes, initié bien malgré lui au « edging ». La tension sera insoutenable. Entrelacements, ce sont des contes érotiques au cours desquels des gens ordinaires se retrouvent dans des aventures sexuelles hors de l'ordinaire. Toujours aux limites des tabous, leurs péripéties de sexe interdit, leurs jeux de domination et leurs fantasmes s'entrecroisent. Une même aventure peut être racontée du point de vue de deux personnages différents d'un épisode à l'autre, pour créer tout un univers où l'on découvre peu à peu la personnalité et le schéma érotique de chacun. Chaque jeudi, pimentez votre soirée avec un nouvel épisode.
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erotiqueb · 5 months
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Littérature érotique: Défilé (on Wattpad) Dans Défilé, nous voyons évoluer une voluptueuse femme lors d'une journée à la plage qui se termine par une rencontre inattendue. Aura-t-on accès aux impressions de son amant dans un autre épisode? Entrelacements, ce sont des contes érotiques au cours desquels des gens ordinaires se retrouvent dans des aventures sexuelles hors de l'ordinaire. Toujours aux limites des tabous, leurs péripéties de sexe interdit, leurs jeux de domination et leurs fantasmes s'entrecroisent. Une même aventure peut être racontée du point de vue de deux personnages différents d'un épisode à l'autre, pour créer tout un univers où l'on découvre peu à peu la personnalité et le schéma érotique de chacun. Chaque jeudi, pimentez votre soirée avec un nouvel épisode.
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erotiqueb · 5 months
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Littérature érotique: Premier essai (on Wattpad) Premier essai raconte une nouvelle expérience de la jeune étudiante de l'épisode 3, qui va de surprises en découvertes en explorant son kink de voyeuse. Entrelacements, ce sont des contes érotiques au cours desquels des gens ordinaires se retrouvent dans des aventures sexuelles hors de l'ordinaire. Toujours aux limites des tabous, leurs péripéties de sexe interdit, leurs jeux de domination et leurs fantasmes s'entrecroisent. Une même aventure peut être racontée du point de vue de deux personnages différents d'un épisode à l'autre, pour créer tout un univers où l'on découvre peu à peu la personnalité et le schéma érotique de chacun. Chaque jeudi, pimentez votre soirée avec un nouvel épisode.
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erotiqueb · 5 months
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Nouvelle érotique: Jeune espionne (on Wattpad) Dans Jeune espionne, une étudiante explore son goût pour le voyeurisme et se retrouve témoin de scènes torrides qui la mettront dans tous ses états. Entrelacements, ce sont des contes érotiques au cours desquels des gens ordinaires se retrouvent dans des aventures sexuelles hors de l'ordinaire. Toujours aux limites des tabous, leurs péripéties de sexe interdit, leurs jeux de domination et leurs fantasmes s'entrecroisent. Une même aventure peut être racontée du point de vue de deux personnages différents d'un épisode à l'autre, pour créer tout un univers où l'on découvre peu à peu la personnalité et le schéma érotique de chacun. Chaque jeudi, pimentez votre soirée avec un nouvel épisode.
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erotiqueb · 5 months
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Nouvelle érotique: Rencontre mystique (on Wattpad) Rencontre mystique relate comment la rencontre fortuite de deux individus donne lieu à une expérience sensorielle et énergétique explosive. Entrelacements, ce sont des contes érotiques au cours desquels des gens ordinaires se retrouvent dans des aventures sexuelles hors de l'ordinaire. Toujours aux limites des tabous, leurs péripéties de sexe interdit, leurs jeux de domination et leurs fantasmes s'entrecroisent. Une même aventure peut être racontée du point de vue de deux personnages différents d'un épisode à l'autre, pour créer tout un univers où l'on découvre peu à peu la personnalité et le schéma érotique de chacun. Chaque jeudi soir 20h, pimentez votre soirée avec un nouvel épisode.
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erotiqueb · 5 months
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(via https://www.wattpad.com/1393122698-litt%C3%A9rature-%C3%A9rotique-d%C3%A9fil%C3%A9-d%C3%A9fil%C3%A9)
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erotiqueb · 6 months
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Premier essai
Matin plate au camping. Mon cell a plus de batteries, ma recharge a plus de batteries, mon père veut pas partir le char juste pour que je charge mon cell. Je finis par annoncer que je vais faire une petite promenade dans les bois, avec mes jumelles, histoire de «découvrir des nouvelles sortes d'oiseaux».
– Ben là, y pleut! Reste donc, on va jouer au Monopoly dans tente en mangeant des jujubes! T'aimais ça quand t'étais petite!
Si il y a une chose qui m'intéresse encore moins que d'être enfermée dans un espace clos avec toute ma famille en ce moment, c'est bien de jouer au Monopoly. Je décline poliment l'offre et m'enfuis en imperméable et bottes de caoutchouc.
Je me trouve un petit coin tranquille pour observer la faune. Voyons ce qu'on peut trouver à travers ces jumelles. Loin de moi l'idée d'être indiscrète et d'espionner mais, oups, j'aperçois d'autres campeurs à travers les branches.
Deux gars jouent à des jeux de société sur leur table à pique-nique (décidément, pas moyen d'échapper au Monopoly aujourd'hui). Un monsieur barbu et un dude un peu plus jeune avec une face de poète, genre. Il parle en fumant des topes et l’autre l’écoute.
Je reste à les observer un bon moment, avec une bruine qui tombe sur mon capuchon, c'est relaxant. Ils sont rendus face à face, du même côté de la table et le plus jeune est dos à moi. Ils se rapprochent. Intéressant. Je ne voit pas ce qui se passe, je crois voir le barbu sourire. Il lit un truc sur une carte et se lève. Sont pas un peu vieux pour jouer aux mimes?
...Oh.
Je ne sais pas ce qu'il mime mais c'est en rapport avec sa fourche. C'est caché de ma vue par l'autre gars mais il a clairement la main sur le batte. Et il fait des mouvements. Il se touche un peu partout maintenant. Damn, mon avant-midi vient de prendre une nouvelle tournure. J'ai chaud tout d'un coup, je dézippe mon imper. Bon, maintenant c'est l'autre qui se lève et... il se met tout nu?! Rendu là, pourquoi pas. Je sais pas c'est quoi ce jeu là mais, c'est plus mon vibe que «acheter un chemin de fer sur l'avenue Connecticut».
Le gars à poil se fait embrasser par l'autre. Un peu partout. Je commence à respirer plus fort en voyant ça, je sens une énergie parcourir mon corps. Le barbu est penché devant le gars assis. Il va lui faire une pipe et je verrai rien? Ils se tournent enfin! Ils m'entendent penser ou quoi? J'espère que je suis pas visible... Je me cache un peu plus, même si je suis loin. Revirement de situation, c'est le jeune qui fait la pipe. Le barbu a l'air d'avoir une grosse bite, j'arrive à la voir un peu d'ici. Là, l'énergie qui circule dans mon corps, elle est très concentrée dans ma chatte et mes seins. Je sens mon cœur battre à toute vitesse. Le barbu se penche sur son chum (je présume que c'est son chum) et le suce quelques secondes puis se relève. L'autre aussi se lève et se met de dos, il se penche sur la table. Son chum se met à lui manger… wôh il a carrément sa face dans les fesses du gars. Puis des doigts je pense. L'autre a l'air de tripper solide.
C'est beaucoup d'information pour moi qui ne regarde pas vraiment de porn. J'avais déjà checké des trucs par curiosité mais je tombais tout le temps sur des affaires weird alors je laissais tomber le projet. Mais là, c'est pas pareil. Ça se passe pour vrai devant mes yeux et ils savent pas que je les vois. J'ai l'impression que tout est interdit dans cette situation et ça me fait mouiller comme jamais. Il va falloir que je trouve un endroit pour me faire jouir avant de retourner. Les deux gars ont l’air d’avoir déjà cessé les activités, ils se rhabillent. Eh bien moi, je n’ai pas envie de cesser, je me frotte un peu à travers mes jeans pendant qu’ils parlent, en espérant qu’il se passe autre chose. J’essaie tant bien que mal de me donner du plaisir mais, des jeans, c’est épais. Ah, le plus jeune des deux semble s’en aller.
Fuck il s'en vient vers ici! Je me couche par terre. Il passe sur le chemin à quelques mètres de moi. Je pense pas être visible mais j'arrête quand même de respirer. Il ne m’a pas vue. Je me demande où il va comme ça. Je décide de le suivre. Je passe par le sentier entre les arbres, ce qui me permet d'être presque à sa hauteur sans qu'il ne me remarque. Il ne faut pas que je fasse de bruit par contre. Il entre dans la cabane où il y a les toilettes et les douches. Je m'approche en courant et je contourne le bâtiment pour entrer du côté opposé. J'entends de l'eau couler puis un cri, t'sais le genre de cri quand t'ébouillante ta coloc qui est allée dans douche pendant que tu faisais ta vaisselle.
Je passe une rangée de toilettes puis j'entre dans la dernière cabine afin de m'approcher du bruit. Avec un peu de chance je vais pouvoir l'écouter se branler dans la douche. Ça m'excite crissement de penser à ça. La première chose que je vois en ouvrant la porte, c'est un mouvement. Attends, quoi? Il y a un trou dans le mur et je viens de voir du mouvement de l'autre côté! Je me baisse pour checker dedans et, bingo! C'est les douches et cette ouverture donne précisément sur la douche que le gars a choisie. C'est officiel, je retire toutes les choses négatives que j'ai pu dire sur le camping. Finalement, le camping c'est sick.
Je me trouve positionnée assez bas et sur son côté donc c'est parfait, il ne peut pas me voir. J'ai une vue imprenable sur le côté de sa fesse, bien musclée. Sur sa cuisse, et sur son sexe qui est, parlons-en, bien raide. C'est la première fois que j'observe une queue de si près : jusqu’à maintenant, j’ai seulement couché avec des filles. Ça me donne envie de mettre mes doigts dans ma bouche. Je m'installe confortablement à genoux, avide de sensations fortes. Il me manque juste le pop corn. J'espère qu'il va la toucher. Allez touche la! Il se tourne de tous les côtés, au grand plaisir de mes yeux, mais débande progressivement. Pour ma part, je reste entièrement allumée et je commence à me caresser l'intérieur des cuisses.
* suite disponible sur Patreon *
Dans le prochain épisode:
Je réussi à stopper le mouvement de ma main et je respire pour me calmer. Je pourrais juste arrêter là et partir en quête d’une pipe à la première heure demain matin. Mais ma queue a des soubresauts, mes couilles se contractent. Si je bouge, je viens
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erotiqueb · 6 months
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Défilé
L’affaire avec les marches sur la plage, c’est que si tu veux avoir les pieds dans l'eau, tu dois marcher devant les gens qui sont sur ladite plage. Alors quand il y a ben du monde, c'est comme si tu faisais un défilé sans le vouloir.
Et laisse-moi te dire que je suis pas amanchée pour faire un défilé: bikini dépareillé, paréo qui fait même pas semblant d’être assorti à l'une ou l’autre des parties du bikini, cheveux tout croches, casquette laide orange-chasse. Je sens que je détone avec la crowd en shape-athlétique-linge-sport-maillot-neuf-bronzage-parfait-pas-de-varices. Pis, on peut tu se le dire, marcher dans le sable là, c’est pas facile. Il me semble que dans les films, tout le monde est sexy quand ils marchent sur la plage. Moi, je me sens comme si j’avais l’air d’un genre de pingouin en ce moment: pas à l'aise d'utiliser ses propres pieds. À part de ça, qui se promène seule sur la plage un dimanche après-midi? En tous cas ici, personne. Tout le monde est en gang. C’est vraiment une belle journée chaude, parfaite pour s’amuser sur la plage avec ses amis. Ouais, et moi je suis là toute seule parce que à mon âge, les gens ont des vies, ils ont pas toujours le temps de chiller sur la plage. J'ai repéré un petit bout de plage désert, entre deux buissons. Je vais y revenir.
Je prends le sentier pour aller aux toilettes. Je fais mes p’tites affaires et j’abandonne ma cannette de bière vide dans la cabine. Je me regarde dans le miroir en me lavant les mains. Pas pire. Je suis bronzée et j'ai presque l'air d'une personne sportive (c'est la casquette). Je me trouve pas mal du tout en fait. C'est à se demander pourquoi j'ai si peur du regard des autres. J'aime bien mon petit muffin top, je trouve ça sexy un peu d'extra autour du nombril. Et ma bouche, elle est bien ma bouche. Il y en a qui paient cher pour avoir des lèvres aussi somptueuses, et c'est moins réussi que ce que j'ai la chance d'avoir dans la face naturellement. J'aurais presque envie que quelqu'un d'autre apprécie mes atouts - que quelqu'un me déguste le muffin, quoi - sinon, quel gaspillage.
En revenant, je croise le sourire d'un monsieur en wet suit qui a l’air content de faire, whatever c’est quoi son sport nautique. Ça me remet un peu de bonne humeur et je me dis qu’il faudrait peut-être sourire aux gens effectivement, ça a l’air d’être ça la vibe. Un peu plus loin, je croise un gars à l’air timide. Il me fait un petit sourire et je le lui rend. Cute. On se regarde dans les yeux juste une petite seconde de plus que… que j’ai regardé le monsieur d’avant, disons. Il a l’air d’un bon gars, ça se voit. Parce qu'il n'a pas l'habit officiel du douchebag, mais surtout par son regard bienveillant. Moi, les bad boys, ça m'énerve, et les six packs, ça m'impressionne pas. Un regard honnête et un petit sourire timide, c'est ça qui m'allume. Ou un regard timide et un sourire honnête.
Je me fais croire qu’il me trouve de son goût et que c’est pour ça qu’il m’a sourit. Ça ne m'en prend pas plus pour lui inventer une personnalité et une vie. C'est assurément le genre de gars super réservé qui s'avère être une rockstar au lit. Genre, médaillé d’or du cunni, parce qu'il prend le temps de te feeler. Ouais, il prend son temps, il t'embrasse un peu partout, les seins, le ventre, il descends lentement, il promène sa langue sur l'intérieur de tes cuisses. Il revient te frencher, il se colle sur toi. Tu sens sa chaleur et tu peux toucher ses pecs. Il est sur toi mais il t’écrase pas, parce qu’il est super en forme. Il retourne entre tes cuisses. Il va pas direct sur le clito comme tous tes one night. Il sait qu’il faut te réchauffer, il lèche tes lèvres. Et tu vois qu’il aime ça parce qu’il fait des « hmm ». Pis quand il te sent assez chaude, il finit par aller là mais, il est pas toujours en train de changer de vitesse et de mouvement, comme tous tes ex. Il sait garder le beat. Ouais, j'ai décidé que c'était ce genre de gars-là.
Je retourne sur la plage, cette fois avec un petit bonus de confiance en moi. Je refais le défilé obligatoire pour avoir les pieds dans l’eau, mais sans me trouver inadéquate, cette fois-ci. Juste en appréciant l'eau sur mes pieds et le sable en dessous. Le vent fait glisser le paréo d'une de mes épaules et je me souviens à quel point j’adore la chaleur du soleil sur ma peau. Je me détends. Je ne parviens pas à oublier le regard des gens, pas encore, alors je me donne en spectacle, tant qu'à faire. Je marche lentement, je prend un posture un peu plus… rehaussée. Mais je ne remonte pas le voile translucide de mon paréo sur mon épaule. Je peux pas, « j'ai ma chaise dans la main et mes sandales dans l'autre », oups, mon épaule est à découvert. Je ne descends pas non plus mon maillot pour cacher mes fesses. Je vais les laisser rebondir à chaque pas. Regardez-les. Fantasmez dessus. Admirez-moi. Je vais même oser vous jeter un petit coup d'œil pendant que je passe devant vous. Je vais vous admirer. Parce qu'après tout, on est des humains et que c'est naturel de se mater entre nous.
Je retrouve mon petit coin isolé. J'y pose ma chaise de camping avec la conviction d’une exploratrice qui plante un drapeau. C’est ma plage ici.
Je regarde l'eau pendant au moins trois bières quand un papier qui vole au vent vient s'échouer drette devant moi. C'est une page de cahier écrite à la main, en vers. Je la ramasse pour lire. C'est un poème assez énigmatique, je ne comprends pas tout ce dont il est question mais, étrangement, ça me touche beaucoup. Je me dis que celle qui a écrit ça aimerait sûrement le ravoir et je me lève pour regarder autour de moi. Je vois une espèce de van de hippie avec les fenêtres ouvertes pas loin, je vais aller voir.
Je passe le petit bosquet entouré de bois flotté puis je m'arrête, surprise de voir quelqu'un. Il y a un gars, enfin je crois que c'est un gars, sinon c'est une fille les seins à l'air sur la plage? J'ai pas mes lunettes, je vois fuck all. En tous cas, il y a quelqu'un avec les cheveux bruns remontés en toque qui est en train de faire une séance de j'sais-pas-quoi, couché sur la plage. Je dis séance parce que la personne dors clairement pas. Elle bouge un peu la poitrine et le bassin. Je m'approche parce que… ben parce que j'ai bu quatre bières pis que je n'ai pas de manières j’imagine.
Ouais, c'est un gars. Il a les yeux fermés, je vais assurément le déranger mais je continue stupidement de m’approcher. Je suis un peu mal à l’aise, je devrait rebrousser chemin. Bon, trop tard il ouvre les yeux. Je lui tends le papier. Il se lève et il me remercie avec les yeux les plus authentiques que j'aie vus de ma vie. Je fais un subtil petit arrêt cardiaque, mais je ne laisse rien paraître. Turns out que le poème que j’ai ramené, c’est effectivement à lui, c'est une chanson et il propose de me la jouer. Cute!
Il part et revient de sa van avec une guitare, du vin et des trucs à manger. Quelle chance, je commençais à avoir vraiment faim. On se met à discuter, il a une belle voix douce. Il partage toute cette bouffe comme si c'était normal de partager toute sa bouffe avec quelqu'un que tu connais depuis trois secondes. Pour un festin tout droit sorti d'une van de hippie, c'est vraiment délicieux. On jurerais qu'il a pensé à son accord vin fromage. Un rouge léger qui se boit tout seul, mais qu'on a envie de faire tourner dans la bouche à l'infini. Un fromage à pâte molle juste assez goûteux, onctueux, qui fond sur le pain. Mais où il a trouvé une baguette aussi fraîche sur un terrain de camping? Ça sent le pain sorti de la boulangerie, j'ai envie de me fourrer le nez au complet dedans.
Sa toune est vraiment belle, j'ai de nouveau la larme à l'œil. S'il avait une belle voix en parlant, là, en chantant, c'est next level. Sa sensibilité, son écoute, son calme, ses cheveux super longs et soyeux; on dirait que je suis devant une femme, mais pourtant je ne peux ignorer le fait que j'ai envie de le frencher en ce moment. Étrange. D'habitude j'aime plutôt les gars barbus. Ça doit être son vibe de bon gars. Mais j'aurais plutôt envie de dire, son vibe de bonne personne.
Une bouteille et demi de vin plus tard, je m'entends lui demander s'il veut un massage. Et ainsi, on commence à se masser à tour de rôle. Je me demande bien comment ça va finir (Not! Je sais très bien comment je veux que ça finisse). Plus il fait noir, moins je me gêne pour le masser de façon langoureuse. Sa peau est ultra douce. On termine la session de massage collés à regarder le coucher du soleil. Je sens sa chaleur dans mon dos. J'ai tellement envie de me faire lécher le cou et le lobe d'oreille, j'enlève mes cheveux du chemin pour qu'il puisse y accéder. Mais il ne fait rien. Qu'est-ce que t'attends?
Il ne me semble pas avoir été subtile dans la façon dont j'ai exposé mon cou et d'ailleurs, je sens son souffle, sa face est super proche, pourquoi il m'embrasse pas?
– Est-ce que je peux t'embrasser? qu'il finit pas me chuchoter d'un souffle chaud, à peine audible, super proche de l'oreille.
Ça me fait virer folle, dans le bon sens du terme. Chapeau. Je perd tous mes moyens, je ne sais même pas si je réponds de façon intelligible.
Il pose sa bouche dans mon cou et fait une petite succion, puis il change d'endroit, il me déguste littéralement. Je lui prends la tête et je me tourne pour que sa bouche se retrouve sur mon oreille. J'ai envie qu'il me dévore mais il prend tellement son temps. Je suis alors assaillie par l'envie de savoir ce que sentent ses cheveux. Je laisse aller ma tête par derrière pour atteindre mon but. C'est là que ses mains se retrouvent sur mes seins, je suis en extase. Ils sentent bon, ses cheveux, j'ai envie d'en savoir plus, de humer son torse, et même, ses endroits plus intimes. Je commence par la poitrine, il est imberbe alors je peux lécher à loisir. Je continue de descendre sur son corps et, le vin m'ayant monté à la tête, je suis déjà en train de lui enlever son costume de bain. Je le sens un peu surpris par ma vitesse d'exécution mais, comme j'ai la situation bien en main… et bientôt en bouche, il se laisse entraîner dans la folie du moment et se couche sur le dos.
Ma langue agace son sexe. Ça sent piquant, masculin, aphrodisiaque. J'empoigne ses balls et je me mets à lécher. Pas beaucoup de poil là non plus, profitons-en. J'ai envie de me coller sur tout son corps, de frotter mes seins sur lui, alors je fais un 180 degrés et lui embarque dessus à califourchon. Ma position lui suggère fortement de me faire un cunni, et il saisit très bien le message. J’en reste surprise parce que, des fois, c’est difficile d’apprécier le plaisir qu’on reçoit dans cette position. Mais là, ouf, ce serait difficile de ne pas y prendre goût. Il a tellement de rythme. Je me relève un peu pour atteindre ce qui reste de vin. Je sais pas, un éclair de génie. Je bois une gorgée au goulot et lui verse un peu de vin sur le sexe avant de le sucer avec appétit, parce que j'ai envie d'y goûter encore et parce que je suis gourmande. Je pense que j'ai scoré avec ce moove là parce que je l'entends gémir comme si je le torturais et il s'empare de mes fesses pour m'approcher de sa bouche et se met à me manger passionnément. Oh, je pensais avoir déjà perdu mes moyens mais là, je ne peux plus rien faire. Je continue de le sucer mais ce n'est certainement pas ma meilleure perfo parce que je ne peux plus me concentrer. Je ne peux plus penser à rien, je laisse mon corps faire ce qu'il veut. Mes hanches ondulent à un rythme de plus en plus rapide. Il est très habile avec sa langue et ses lèvres. Il embrasse, il suce, il lèche, et quand il entends des gémissements plus forts, il garde son mouvement jusqu'à ce que je n'en puisse plus. On arrive rapidement à un point où je ne peux même plus bouger, je me relève un peu sur une main et je sens la vague de plaisir intense de l'orgasme partir mes jambes et atteindre mon sexe. Je crie trop fort pour l'endroit où on se trouve. Et ça dure plusieurs secondes. C'est mon propre cri qui me ramène à la réalité et je roule sur le dos à côté de lui. Il a l'air aussi en extase que moi, alors qu'il n'est même pas venu.
Mais qu’est-ce qu’on vient de vivre comme expérience sensorielle, my god. Il continue de me flatter. Ben là, il essaie de me faire tomber en amour ou quoi? Je ne sais même pas son nom et pourtant, on dirait que je lui fais déjà confiance. Assez pour m’endormir dans ses bras en tous cas.
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erotiqueb · 6 months
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Une correction méritée
Samedi midi. Il a enfin cessé de pleuvoir mais, le ciel reste très gris. Je ne pense pas qu’on va être en mesure d’aller faire une randonnée, encore moins d’aller à la plage. On a passé l’avant-midi à jouer à des jeux de société, certains plus coquins que d’autres. Ça m’inspire pour le programme d’après-midi, disons.
Pendant que mon chum est parti prendre une douche, je prépare des petites pâtes au pesto pour dîner, rien de compliqué. Je dévisse le couvert du pot que j’ai apporté et je hume son arôme de basilic et d’ail : j’ai très bien réussi cette batch. Ça m’ouvre l’appétit. J’aime bien cuisiner sur un poêle de camping au propane, ça a un petit quelque chose de pittoresque.
J’aime bien imaginer mon copain dans la douche aussi, nu et plein de savon.
Justement, j’ai à peine le temps de couper un peu de persil pour décorer les assiettes qu’il arrive tout essoufflé. Il me regarde comme si il voyait un fantôme et me demande si j’étais dans les douches il y a un instant.
– Euh, comme tu vois, je suis ici, je fais cuire des pâtes…
Son air déconfit m’intrigue. J’espère qu’il n’est rien arrivé de grave. Il commence à me parler de comment sont les douches du bloc sanitaire ouest : désertes et un peu décrépites.
– C’était comme tu disais : il y avait pas grand monde…
– Ouain. Mais les douches marchaient, c’était correct?
– Si, si. Quoique assez mal entretenues, un peu crades tu vois… des trous dans les murs...
– Ah c’est poche.
– Enfin, un trou. Il y en avait qu’un...
– Ok mais, viens-en au fait?
– Ben, j’ai vu qu’il y avait cette ouverture dans le mur de la douche et du coup j’ai voulu voir si…
– Si…?
– ...j’ai voulu voir ce que ça faisait tu vois, alors j’ai passé un doigt et puis bam! comme ça, il y avait quelqu’un de l’autre côté.
– Oh attends, tu parles du genre d’ouverture dans le mur qui est faite pour s’échanger des p’tites faveurs?
– Ouais, dit-il en regardant par terre. Et puis après ben, je me suis mis dedans et... ben j’ai cru que c’était toi qui me faisait un petit scénario tu vois…
– Non! Tu me niaises!
– J’te jure. Mais, je comprends rien, pourquoi tu m’as dis d’aller à ces douches-là tout à l’heure?
– Incroyable, tu t’es fait faire une pipe dans les toilettes?! Écoute, on venait dans ce camping quand j’étais jeune pis, dans le temps, on se faisait dire de pas aller à ces douches-là parce qu’y avait du monde qui faisaient «des affaires». Je t’ai envoyé là parce que je me disais qu’il y avait personne mais, je pensais pas que la légende allait se manifester genre 30 ans plus tard! Pour vrai, c’est quoi les chances? Y’a quelqu’un qui attends là toute la journée ou quoi? Eille, t’es sûr tu t’es pas fait sucer par un fantôôôôme?
Je ris mais, ça c’est un récit qui m’excite. Je veux des détails. Cependant, pas question de lui faire savoir que j’approuve entièrement ce qui vient de se passer, il faut que je reste dans mon rôle de maître après tout. Il mérite une punition, ça c’est sûr. Mais pas avant de m’avoir tout raconté.
Semble-t-il qu’il s’est fait pomper bien fort pendant quelques secondes par on-ne-sait-qui, que ça a cessé quand il commençait à s’échauffer un peu trop. Puis ça a repris, d’abord doucement, ensuite il s’est senti aspiré et ça a encore arrêté quand il était sur le bord de venir. Pauvre coco. Ça lui apprendra à transgresser les règles.
Oh que ça me fait bander de savoir qu’il n’a pas eu le temps de jouir et qu’il est encore dans tous ses états. Surtout que je le garde bien chaste depuis plusieurs, plusieurs jours. Je vais d’ailleurs m’assurer qu’il le reste encore un peu, c’était ça le deal. C’est notre petit jeu du moment: il porte une cage de chasteté et je garde la clé. Mais, je n’ai pas l’impression que je pourrais la lui remettre en ce moment. Je lui dit de baisser ses culottes sur mon ton le plus autoritaire.
Son pauvre sexe a vécu beaucoup d’émotions, il est encore un peu trop gros pour la cage. Je vais chercher de l’eau froide et je lui verse direct dessus. Voilà qui est mieux. Allez hop, on barre à double tour. C’est une des affaires qui m’excite le plus, savoir qu’il est enfermé et super en manque. Ça me fait capoter. Je le fait mettre à genoux et lui ordonne de me faire exactement ce qu’il a reçu comme traitement à son glory hole, dans les moindres détails.
Il met ses mains dans son dos, bon garçon. Il commence par promener sa langue sur toute la longueur de mon shaft, puis sur le gland, il tourne dessus. C’est déjà très chaud. Il me prend dans sa bouche et se met à sucer avec beaucoup de ferveur. Wow, c’est… fort! Je ne sais pas comment il a fait pour ne pas exploser quand il a subi ça. Il laisse échapper des gémissements en me suçant tellement il est plus capable. Pauvre petit. Moi, je ne me gêne pas pour me laisser aller, je suis fucking excité et ça s’entend. Mais après à peine quelques secondes il arrête. Je vois que son visage est un peu crispé de douleur et il se penche en se tenant les parties.
– Ça va tu?
– J’ai tellement mal aux couilles.
Il va peut-être falloir relâcher un peu de pression... mais pas trop quand même. Je lui fait confiance, quand il veut arrêter de jouer, il me le dit. Il recommence à me lécher le sexe comme au début. Je ferme les yeux, je respire vite, je pousse des grognements. C’est la première fois qu’on se rend aussi loin dans le edging et ça me rend complètement fou. De savoir que ses couilles sont pleines et qu’il est sur le bord de craquer, qu’il ferait n’importe quoi pour que je le fourre, c’est un niveau d’excitation ultime pour moi. J’ai envie de lui agripper les cheveux et de faire faire ce que je veux à sa tête mais il me surprend. Il met sa bouche autour de mon pénis et fait des succions sans bouger. Je me rappelle que je lui ai dit de me faire exactement ce qu’il s’est fait faire donc ça veut dire qu’il ne me laissera pas éjaculer. Ça m’allume encore plus. Il m’enfonce encore plus profondément dans sa gorge, jusqu’à avoir un petit gag reflex, puis se retire. Il me regarde avec ses lèvres complètement mouillées de salive, et me dit que c’est comme ça que ça s’est terminé.
Personnellement, j’en peux plus déjà. Je ne sais pas comment il fait quand on joue à ça, pour rester aussi longtemps sans venir. Sans même pouvoir bander, dans sa cage. Je suis excité à mort mais j’ai envie de rester dans mon personnage, je ne veux pas gâcher le jeu pour lui non plus. Je lui dit d’aller se mettre à quatre pattes dans la tente, en essayant de me garder une contenance. J’enlève mon pantalon qui était resté à moitié baissé et le rejoins. Faisons une petite expérience : voyons s’il arrive à rester dans la cage pendant que je le baise.
Je m’agenouille derrière lui et m’enduis le sexe de lube. J’ai vraiment de la misère à me contenir, je pense pas que je vais durer longtemps mais, tant pis, il n’y a que moi qui doit venir de toute façon. Je commence avec un doigt, juste pour réchauffer. Il gémis. On va se permettre de le laisser se décharger un peu, mais sans qu’il bande. Je ne veux pas qu’il en profite trop. C’est ça le jeu. Je masse lentement sa prostate.
– C’est dur d’être en cage hein? Tiens, ça va te faire du bien. Ouais, t’aimes ça...
– Oh putain baise-moi! Allez, met-la moi!
Mon français de chum qui me supplie de le baiser, ça ne manque jamais de m’exciter. Ah ben si c’est ça qu’il veut, son trop-plein va devoir attendre : j’enchaîne rapidement avec mon shaft. Je lui mets bien profond, je me gâte. J’accélère la cadence. Je lui donne des claques sur son petit cul. Je m’imagine comment il me mettrais fort si on décidait d’inverser les rôles en ce moment et ça me fait presque venir en quelques coups. Il faut que je me retienne encore un peu pour ne pas avoir l’air trop excité. En tant que dominant, je dois garder un certain sang-froid. Je vois qu’il essaie de se contrôler aussi, pour pas bander. Je ralentis, je lui dis toutes les « saloperies » qu’il aime entendre. Je me retire pour reprendre la tâche que j’avais commencée manuellement.
À peine quelques mouvements et le liquide se met à couler comme un filet de bave de son sexe, condamné à rester mou. Voilà qui devrait suffire à le soulager. À mon tour maintenant. Il aime que je l’utilise comme mon objet, et c’est ce que je compte faire. Ses lamentations m’ont survolté, je me replonge en lui avec empressement. J’empoigne ses hanches pour les amener vers moi, je le fais bouger au lieu de faire moi-même le va-et-vient, en croyant que ça va m’éviter de contracter des muscles et que je vais durer plus longtemps. Mais il se met à faire lui-même le mouvement, il veut aller plus vite et plus fort. J’essaie de lui dire les petites insultes qu’il aime bien mais j’y arrive plus, je peux juste faire des « aaah ». C’est lui qui a pris le contrôle, il me domine sans que je m’en sois rendu compte.
– p’tit criss tu… aah… tu fais exprès… ouh! tu veux me faire venir… ahh...
Mes mots deviennent inintelligibles, se transforment en halètement. Je suis au point de non-retour. Dans un élan animal, je le reprends par les hanches et je donne les dernières poussées en grognant, pour finir sur un cri.
C’est moi qui domine la plupart du temps mais je me surprends à avoir hâte qu’il me rende la monnaie de ma pièce. Je l’ai assez fait souffrir, quand il va décider de prendre sa revanche, je vais y goûter.
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erotiqueb · 6 months
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Jeune espionne
Le camping familial annuel, yé. Pognée icitte toute une fin de semaine avec ma famille, à jouer au fer pis manger du câlisse de trail mix. Heureusement que j’ai apporté mes jumelles pour « observer les oiseaux ».
Mes parents, ma petite sœur, mon cousin, sa blonde, mon oncle, ma tante, tout le monde est à la plage. J'y étais aussi mais je suis revenue au terrain chercher un petit snack.
Je me demande ce qu’ils font les autres autour. Je veux savoir qui ils sont mais, sans aller leur parler. Et puis, mes jumelles traînent sur la table, par hasard.
Observons un peu les environs: ah, voilà ce qui fait ce bruit, un pic bois sur l'arbre là bas. Quoi d'autre? Tiens, un espèce de gros hibou, c'est rare qu'on voit ça le jour, me semble. Mon prof de bio au secondaire aurait capoté. Bah, qu'est-ce qu'on trouve d'autre dans ce bois? Un chevreuil, cool. Next. Oh! je tombe sur un humain. Voilà qui capte mon attention. Ça doit être notre voisin de terrain, les campements sont assez loin les uns des autres. Il semble assez grand, athlétique, cheveux courts, barbe courte, shorts en genre de tissus synthétique, veste légère de couleur bleu-sport. Ça c'est une espèce que j'ai envie d'observer.
Il est en train de faire à manger ou je sais pas quoi, mais quand il se déplace pour aller fouiller dans sa glacière, un détail capte mon attention: il semble y avoir quelque chose d’intéressant qui se passe dans ses shorts. Il me faut absolument un meilleur angle de vue. J’essaie de me déplacer un peu vers la gauche pour voir entre certaines branches. Pas de chance, il revient à sa position initiale. Je m'avance de quelques pas dans les bois pour investiguer en étant un peu plus cachée. Il se déplace à nouveau et… Oui! Je n’en crois pas mes yeux: ce gars est debout devant la table à pique-nique, bandé, et il fait ses affaires, casual. Merci mon dieu. Cette fin de semaine aura valu la peine finalement.
Je m'avance encore d'un pas ou deux, en prenant soin de ne pas perdre ma cible de vue. Il continue de faire des aller-retours entre la table, la glacière et la voiture. De temps à autres, il touche un peu à la bosse dans sa fourche. Ça se peut pas que je voie ça, je vais crier de bonheur! Je suis suspendue à mes jumelles. Si seulement il y avait moins de maudites branches! Je scrute chacun de ses gestes. Il boit une gorgée dans une tasse, regarde autour de lui. Shit! Je me baisse d'un coup, j’espère qu’il m’a pas repérée. Mon cœur bat tellement vite. Peut-être qu'il m'a vue l'espionner avec mes jumelles comme une creep et qu'il s'en vient me péter la gueule? Je reste accroupie quelques instants en cachant mes jumelles, comme si j'allais pouvoir dire « c'était pas moi, j'ai pas de jumelles ». Après un moment, j'ose me relever à moitié. J'essaie de voir à l'œil nu mais, c'est trop loin et il y a trop d'arbres. Rongée par la curiosité, je finis par reprendre l'espionnage. Ce que je découvre alors ne déçois pas du tout ma soif de scènes interdites au regard. L'homme a son pénis dans la main et est en train de se masturber en plein air, comme ça! Je ne peux pas croire ma chance. Ma chatte non plus d'ailleurs. Elle est tellement contractée que ça fait mal. C'est bizarre, de temps à autres il s'arrête puis il recommence, je ne comprends pas pourquoi, il n'a pas l'air de vouloir jouir. Je me mord les lèvres. Ça dure longtemps comme ça mais, pour quelqu'un qui a un déficit d'attention, je ne perds pas le focus une seule seconde. Je me lèche les lèvres.  J'ai chaud, je passe ma main dans mon cou pour écarter mes cheveux puis ma main se déplace sur ma bouche ouverte de stupéfaction. Ma langue touche un peu à mes doigts, vu qu'ils sont là, et de fil en aiguille, mon index se retrouve un peu dans ma bouche comme un suçon. Ma main glisse vers mes seins et s'y attarde une seconde mais, c'est difficile d'avoir une image stable dans les jumelles alors je reprends mes deux mains. Jamais je n'ai vécu de telles sensations, je ne comprends plus rien. Je fais un petit tour d'horizon pour m'assurer que personne n'arrive. Je ne sais pas pourquoi j'ai si peur de me faire surprendre, je pourrais très bien prétexter l'observation du hibou.
Quelqu'un s'approche! Mais pas de moi, du terrain du voisin. Shit, il va se faire prendre! Je ne veux pas que mon show privé se termine, retourne-toi! Il se dépêche de s'asseoir à la table alors qu'un monsieur arrive. J'essaie tant bien que mal de voir sous la table. Il a rangé son truc mais sa main est encore dessus. Ils parlent, mon voisin se tortille un peu sur le banc. Il croise et décroise les jambes. Je pensais que le spectacle était fini mais à ma grande surprise, ce revirement de situation continue de m'exciter. J'ai envie de me toucher la chatte mais je ne veux pas lâcher mes jumelles. Je respire fort et je me demande ce que je pourrais utiliser d'autre que mes mains. Je suis tellement excitée que j'irais me frotter à cheval sur ce gros tronc d'arbre à moitié tombé par terre, si seulement les arbres c'était pas si rugueux. Quoique, je suis en pantalons… Je considère l'arbre un instant… au moins j'aurais quelque chose entre les jambes, ça ferait du bien. Les deux hommes prennent une bière en discutant, le monsieur est souriant, genre, il semble amusé. Il est encore debout, mon voisin encore assis et je vois encore son érection sous la table. Sa main fait un petit va-et-vient sur sa bière. Je repense à ce qu'il faisait il y a quelques minutes. Ça y est, j'embarque sur le tronc à califourchon et je le serre un peu avec mes jambes. Je suis complètement absorbée par ce qui se passe. Après un petit moment (en fait j'ai perdu la notion du temps), mon voisin se lève et va chercher un genre de gros marteau et le tend au monsieur. Leurs mains ont l'air de s'être touchées quand il le prend. Je sursaute quand mon cell sonne dans ma poche. Un texto de ma mère qui me dit de ramener la crème solaire. Débuzzant.
***
C’est silencieux dans le camping, tout le monde semble endormi. Dans notre terrain en tous cas, ça ronfle. Sauf moi. Je ne pense qu’à une chose: le voisin. Qu’est-ce qu’il fait en ce moment, seul dans sa tente? Est-ce qu’il est seul? C'en est trop, je mets une veste et je sors dehors avec mes jumelles. C’est peine perdue, aucune lumière qui pourrait me permettre d’espionner quoi que ce soit. Il doit dormir… mais en même temps… il n’a pas pu finir tantôt, il doit être gonflé à bloc. Faut que j’aille voir. J'assume totalement ma nouvelle identité d'espionne et je pars à l'aventure dans la noirceur vers le terrain voisin.
;) suite disponible sur Patreon ou dans le premier recueil
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erotiqueb · 6 months
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Rencontre mystique
Je stationne mon Westfalia à côté de la plage, un peu à l’écart de tous les baigneurs. Parfait endroit pour écrire des nouvelles chansons. Parfaite journée aussi: il fait gros soleil, pas trop chaud, mais assez chaud pour m’attacher les cheveux. J’ai envie d’aller m’étendre en chest directement sur le sable et écouter les vagues pour trouver l’inspiration. Et pourquoi pas manger un peu de champignons magiques, une petite « dose créative ». J’exécute mon plan et je passe un bon moment sur la plage jusqu’à ce qu’une mélodie me vienne en tête, puis des paroles plutôt mythiques à propos de mes ancêtres. J’ai oublié mon carnet et mon stylo dans le West.
C’est au moment de me lever pour aller les chercher que… le champignon sacré commence à me livrer ses enseignements. C’est comme si je ressentais une grande bienveillance de la part de l’univers. Je sens mon corps différemment aussi. Chaque respiration me procure une sensation de plaisir, de la tête aux pieds, en passant par le bassin. Comme c’est assez agréable, rendu dans le camion, j’ai vite fait de me concentrer sur cette région de mon corps. Je ne pensais pas qu’on pouvait ressentir sa prostate sans y toucher. Je me souviens pourquoi je suis rentré et je commence à rédiger mes idées. L’encre coule sur le papier et quelques larmes aussi. Une heure s’écoule, peut-être deux.
C’était beaucoup d’émotions d’écrire cette chanson alors je décide de bouger un peu pour revenir dans mon corps et reprendre de l’énergie. Un peu de yoga sur la plage serait bienvenu. Les sensations agréables dans mon corps reviennent me prendre d’assaut. Drôle d’effet, on dirait presque que j’ai pris de la MDMA. Je passe ma main sur mon torse en respirant profondément, c’est vraiment appréciable. J’ai l’impression de faire partie intégrante de la nature en ce moment, je ne m’appartient plus vraiment. J’ai encore assez de présence d’esprit pour m’assurer que personne ne me voit et je me couche sur la couverture que j’ai amenée. Je ferme les yeux et je vois, ou j’imagine, des formes géométriques pleines de couleurs brillantes. Je deviens le sable. Je me demande pourquoi je ressens de l’excitation sexuelle juste en respirant et en sentant mon corps. Peut-être que ça fait trop longtemps que je n’ai pas eu de relations. J’essaie de canaliser cette énergie, de la faire circuler dans tout mon corps. Mais bon, je ne connais pas le tantrisme, je ne sais pas comment faire.
Soudain, à travers mes paupières, je vois que le soleil se cache d’un coup. J’ouvre les yeux sur une superbe créature qui se tient au dessus de moi.
– T’as perdu ça.
La personne tient une feuille de papier. C’est une page déchirée de mon carnet qui s’était envolée.
– C’est vraiment beau, j’ai braillé.
À contre-jour, je ne vois aucun de ses traits, mais je perçois… son énergie? Difficile à dire, mais c’est très beau. Je me lève, à la fois confus et touché droit au cœur par ses propos. Je lui dit merci en reprenant la page, puis j’offre de lui jouer la chanson.
En allant chercher ma guitare, je prend le temps de regarder par la fenêtre à qui j’ai affaire et je remarque une silhouette voluptueuse tout en courbes surmontée d'une casquette très voyante, affolante pour mes yeux « sur le mush ». Je rapporte aussi du vin, du pain et du fromage pour partager. On fait connaissance, on mange et on boit pendant ce qui pourrait être des heures ou une fraction de seconde. Je ne sais pas pourquoi mais, je ressens une connexion avec elle.
À un certain moment, elle offre de me faire un massage. Ses mains parcourent mon dos et me donnent des frissons partout, et lorsqu’elle atteignent le niveau de mes reins, je sens une vague de chaleur envahir toute la région de mon bassin et mon sexe se gorger de sang. J’offre de lui rendre la pareille, le temps de calmer un peu mon excitation. Je me concentre plutôt sur le haut de son dos et ses épaules, et je laisse mon instinct guider mes doigts là où il y a des tensions.
Après, on regarde le coucher du soleil ensemble, moi assis derrière elle, mes bras l’enlaçant. Elle enlève les cheveux de son cou d’une manière qui me donne envie de l’embrasser à pleine bouche, mais j’hésite. Je ne veux pas la brusquer ou la faire sentir prise dans quelque chose dont elle n’a pas envie. Je porte mon regard sur le ciel orange et rose, mais mon visage s’approche de plus en plus de son cou sans que je m’en aperçoive, comme un aimant. Je sens son doux parfum vanillé, ce doit être délicieux, j’ai tant envie d’y goûter. Je décide de lui demander la permission et elle me répond par un profonde inspiration. Je crois voir ses yeux se fermer et un sourire se dessiner sur ses lèvres. Je fonce. Mon corps vibre de désir pour cette personne. Je pose doucement mes lèvres sur son cou, un petit baiser. Elle laisse aller sa tête par derrière. Sa chair me paraît irrésistible, je goûte encore, puis je deviens grisé. Je me lance dans une cascade de baisers. Je la touche partout en l’embrassant.
Je ne sais pas si c’est l’effet de savoir qu’on ne nous voit plus dans la noirceur mais les choses se déroulent très rapidement à partir de là. Elle se retourne et commence aussi à m’embrasser. Elle me couvre de baisers, caresse mes mamelons avec sa langue. J’ignorais que ça pouvait avoir cet effet. C’est comme si des connexions de plaisir se faisaient entre toutes les parties de mon corps. Avant que j’aie eu le temps de comprendre ce qui se passait, je suis complètement nu et elle me prend dans sa bouche. C’est plus direct que ce à quoi je suis habitué comme relation et c’est presque trop de sensations fortes pour l’état dans lequel je me trouve ce soir. J'en tombe sur le dos, je suis totalement à sa merci. Éventuellement, elle se déplace et nos corps se retrouvent entrelacés, je peux la serrer contre moi et lui donner du plaisir avec ma langue. C’est comme si on était en fusion. Je ressens quelles caresses lui procurent le plus de bien, je voudrais faire durer ce moment toute la nuit. Je voudrais l’entendre jouir aussi. J’ai tellement envie de l’entendre jouir. Soudain, elle s'arrête puis je sens quelque chose de frais couler sur mon sexe. Je sursaute un peu puis je sens sa langue revenir parcourir d'abord mes testicules puis mon pénis, puis je me sens comme aspiré totalement, je sens que je pourrais exploser.
Au bout d’un moment, je ne sais plus ce qui se passe vraiment, qui bouge, qui donne, qui reçoit, tout n’est qu’un rythme. Nous sommes en symbiose et la cadence s’accélère jusqu’à ce que je sente son sexe palpiter sur ma langue. Je ferme les yeux pour mieux apprécier le moment et j’imagine une explosion de couleurs fluorescentes en entendant ses cris de jouissance.
Elle se couche à mes côtés. Paradoxalement, j'ai très envie de jouir mais, rester là à regarder les étoiles et caresser son bras me convient tout autant.
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erotiqueb · 6 months
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Pensées interdites, pt.1
Je suis démasqué, mes amis m'ont vu la suivre du regard. Il faut croire que mes lunettes ne sont pas aussi fumées que je le souhaiterais. Je les connais: ils vont tout faire pour me pousser à aller l'aborder, et je trouve ça ridicule. On n'est plus au secondaire, bordel. Bon, certains diraient qu'on n'est plus au cégep, ni à l'université non plus, « faque déniaise ». Mais je fais ce que je peux, je l'ai pas l'affaire avec les filles. Peut-être parce que je les trouve tellement belles que je suis trop impressionné, je sais pas. En tous cas, la fille qui vient de passer sur la plage - ah merde, quand même, j'espère qu'ils n'ont pas vu précisément où je la regardais. Des fois, j'ai un peu honte de regarder les filles comme ça. Mais… ses seins qui tenaient à peine dans le maillot… son fessier en forme de cœur, my god je me vois juste en train de le claquer pendant que je suis derrière elle. Je me sens mal de penser à des choses comme ça. Je suis féministe, j'ai un énorme respect pour les femmes.
– Gros, fais-donc un moove. Ça fait genre deux ans que tu vis comme un espèce de moine le gros, déniaise.
C'est même pas la peine de tenter mon classique « pff, de quoi tu parles », je me suis fait prendre à la dévisager grossièrement. Et comme je le craignais, tout le monde me pousse à me lever et partir à la chasse de cette inconnue qui n'a rien demandé. Après un long débat inutile, je finis par obtempérer mais, fin renard, je compte bien aller marcher n'importe où, parler à personne, puis revenir en disant que je n'ai pas retrouvé la fille. Je me lève et m'éloigne en bougonnant. Je me dis que je vais aller chercher la caisse de bière à notre terrain de camping.
Ah non! À peine rendu dans le stationnement que je l'aperçois. Elle est loin, elle ne me voit pas. Elle a tellement l'air cool. Respire. Ok, faut que tu lui dises salut.
Impossible. Voyons, dire salut à une inconnue, tu penses qu’elle va répondre quoi? C’est sûr qu’elle va dire: « est-ce qu’on se connaît? »  Malaise. Demander l’heure? Ok le génie, pis après tu enchaînes avec quoi?
Merde on est déjà trop proche, je panique. Fais un sourire, montre-lui au moins un intérêt. À la dernière seconde, je réussi à faire une face quelconque que j'espère souriante, et je la regarde droit dans les yeux. Ouf! Mon cœur a fais un petit battement de travers, déjà, mais voilà qu'elle me sourit en retour! Et pas un demi sourire forcé là. À peine ai-je le temps de regarder par terre super vite comme un plouc en marchant crispé qu'elle est déjà loin.
Mais je me félicite d’avoir eu le courage de faire un contact visuel. Je chante pour moi-même « elle m’a sourit, oh yeah, elle m'a sourit » en faisant de très subtils petits pas de danse jusqu'au terrain.
Le haut de son bikini presque trop petit pour sa poitrine… Il faut que j'arrête d'y penser. On dors quand même plusieurs dans une même tente ce soir, il faudrait pas que je me mette à rêver à des trucs, ça serait le comble de la honte… (et on pouvait voir un peu le dessous de ses seins, un tout petit peu). Juste se réveiller bandé le matin, en gang, c'est déjà assez malaisant… (passer la langue juste sur la partie qu'on voit, en dessous du sein, sans enlever le maillot). Ça devrait aller, je suis habitué de me contenir parce qu'avec ma profession, je me dois d'être irréprochable… (peut-être lever le maillot mais, juste un peu, en glissant un doigt sur le côté).
Mon travail, j'avais presque oublié. Ça me fait penser à une cliente que j'ai eue avant de partir en vacances. Rousse, toute menue, j'avais peur de la casser en faisant son traitement. Elle me suppliait de faire craquer son dos, elle me disait comment ça lui ferait du bien. Il y a certaines manipulations qui sont plus difficiles à faire. Des fois on doit appuyer notre flan et notre hanche contre le corps de la patiente et donner un coup sec, pour ajuster une vertèbre.
Pendant les traitements, je me préoccupe uniquement de la santé des patients. Il faut juste que j'évite de repenser à certaines clientes le soir quand ma journée est terminée. Sinon, je pourrais me mettre à m'imaginer des trucs et perdre le contrôle lors du rendez-vous suivant. Pas le contrôle de mon corps - jamais je ne ferais quelque chose d'inapproprié - mais le contrôle sur mon cerveau.
Je ne peux pas me permettre de remarquer les taches de rousseur sur les joues de cette fille et ses lèvres naturellement rouges. Je ne peux pas penser à sa petite taille fine de cette façon-là, parce que je dois la toucher quand elle se penche devant moi pour que j'évalue sa posture. Il ne faut pas que je l'imagine dans un film qui se passe en Irlande, courant sur une falaise, ses cheveux roux qui s'emmêlent au grand vent, et qu'elle se retourne et me regarde avec ses yeux verts perçants. Je m'interdit formellement de vouloir prendre à deux mains ses petits seins, les lécher au complet, sucer le bout, lécher encore, embrasser en dévorant, prendre ses poignets minces, immobiliser ses bras au dessus de sa tête, les attacher à la table avec du kinesio-tape, descendre embrasser autour de son nombril, descendre encore, arracher son sous-vêtement avec mes dents, écarter ses jambes, la lécher partout sauf où elle me supplie de lécher. Et là j'aurais un condom et du lubrifiant tout prêts, je lui passerais mon sexe sur la chatte jusqu'à ce qu'elle me supplie encore, et là j'entrerais mais juste un peu, et je ferais des tout petits mouvements pour la faire souffrir, puis je sortirais. Elle se tortillerait, elle en voudrait plus. J'entrerais encore, juste un peu plus, et je resterais sans bouger, et elle essayerait de pousser son bassin pour me faire entrer plus profondément mais je l'aurais attaché au niveau des hanches aussi, j'ai l'équipement pour le faire. J'ai aussi des appareils de massage qui vibrent, pour les traitements. Je lui en mettrait un sur le clitoris, puis quand elle n'en pourrait plus, j'entrerais d'un coup, au plus profond. Je resterais là un moment, je la sentirais se contracter et ensuite je donnerais des coups forts, je la baiserais comme un animal jusqu'à ce qu'elle jouisse super fort.
Non, vraiment, si je m'autorisais à rêvasser à des choses comme celles-là, ça deviendrait impossible de me concentrer au travail.
Je me souviens ce que je suis venu faire au campement en même temps que je me rend compte que je suis malencontreusement en érection. Il faut faire passer ça. D'habitude, je sais me contenir. Il m'arrive de craquer mais, juste quand je suis seul à la maison, les rideaux fermés. Certainement pas au cours d'une fin de semaine de camping avec les boys. Voilà qui fait le travail, penser à eux diminue drastiquement mes ardeurs.
…à suivre
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erotiqueb · 6 months
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Une nouvelle série de récits érotiques
Amateurs de livres pour adultes, si vous avez déjà tout lu ce qui s'est fait en matière de littérature érotique québécoise, voici une toute nouvelle série de lectures X à vous mettre sous la dent.
Entrelacements, ce sont des nouvelles érotiques courtes au cours desquels des gens ordinaires se retrouvent dans des aventures sexuelles hors de l'ordinaire. Toujours aux limites des tabous, leurs péripéties de sexe interdit, leurs jeux de domination et leurs fantasmes s'entrecroisent. Une même aventure peut être racontée du point de vue de deux personnages différents d'un épisode à l'autre, pour créer tout un univers où l'on découvre peu à peu la personnalité et le schéma érotique de chacun.
Toujours dans le bon goût, l'inclusivité et la valorisation de la sexualité positive, ces sulfureux récits pourraient être qualifiés de «porno pour femmes» mais, ils s'adressent en fait à toute personne qui préfère la pornographie non-violente et le consentement. Est-ce que le BDSM , la soumission et le bondage font quand même partie des fantasmes qu'on retrouve dans la «littérature érotique féminine»? Bien sûr que oui!
Faites connaissance avec le jeune professionnel timide, l'étudiante voyeuse, le cuisinier kinky et son chum adepte de edging dans la première saison qui a lieu dans un camping assez... sauvage.
Chaque jeudi soir 20h, pimentez votre soirée avec un nouvel épisode.
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