Tumgik
chap8hours-blog · 7 years
Text
BRAND CONTENT EAT FRIENDLY
Concevoir une expérience brand content : 
Nous souhaitons créer des personnages fruits et légumes qui chaque semaine vivraient des aventures dans de courtes vidéos qui seront publiés sur nos réseaux sociaux. Nous proposerons sans cesse un contenu décalé en rapport avec l’actualité, mais transposé dans l’univers de nos personnages. 
Imaginer une action de branded content : 
Pour appuyer sur les côtés éco-responsable et tendance de notre marque, nous souhaitons nous associer avec “Honest by” qui est une marque de prêt à porter vegan, bio, éco responsable. Avec cette marque nous souhaitons créer une ligne de totebag aux couleurs de EatFriendly, nous retrouverions sur les sacs des jeux de mots (ex : ”You are Biotifull”) et nos personnages, en édition limitée. 
Imaginer une action d'UGBC : 
Notre idée est de créer un blog de cuisine healthy, vegan... qui corresponde à nos valeurs et à notre éthique. Toutes les idées recettes (sucrée ou salée) postées sur cette page web seront créées par nos clients ou nos abonnés sur les réseaux sociaux. Nous sélectionnerons celles qui ont le plus de succès pour les proposer au restaurant. 
Pour ce projet, nos missions seront : 
 - d'inciter notre communauté à partager leurs recettes 
- de publier la recette sur notre site avec une photo/vidéo pour une meilleure visibilité
 - de récompenser les participants d'avoir joué le jeu
0 notes
chap8hours-blog · 7 years
Text
EXEMPLES DE BRAND CONTENT
- Brand content (au sens strict) : la marque crée ses propres contenus, logique de création
#Likeagirl d'Always 
youtube
- Branded content : la marque s’associe à un contenu existant, logique d’association/co-branding
L'invitation au voyage de Vuitton avec Bowie 
youtube
- UGBC : la marque orchestre la création de contenu par ses consommateurs, logique d’engagement
The Tippexperience (les internautes devaient choisir la suite) 
vimeo
0 notes
chap8hours-blog · 8 years
Text
Tumblr media
En France, le marché du jus pressés à froid s'intègre parfaitement au croisement des nouvelles tendances :
- Marché des jus de fruits/légumes : de 2012 à 2013, les ventes en volume du segment biologique ont progressé de + 12,5 %
- Segment de la restauration rapide dite “fast good” en plein essor : 11 restaurants par jour ont ouvert à Paris depuis 2011
- Marché des produits bio et healthy très porteur : 22 magasins Bio C’ Bon aujourd’hui à Paris, avec 12 ouvertures entre 2012 et 2014. Un chiffre d’affaires en augmentation de + 89 % entre 2012 et 2013  
Parents fatigués, actifs stressés, amateurs de bonne bouffe, coureurs d’afterworks ou du dimanche… Nous aspirons tous à une vie plus saine. Une démarche qui requiert du temps et de la discipline, investissement personnel pas toujours conciliable avec nos vies surbookées.
Loin du tout vegan, du jeûne et de la detox à tout prix, nous voulons contribuer à votre bien-être en vous proposant des jus atypiques, mariage heureux du fruit au légume, du sain au savoureux, du plaisant au bénéfique.
Pour nous, il va de soi qu’un jus pour revitaliser votre corps ne peut pas être que bio, nous avons la conviction qu’il doit également être goûteux.
Tumblr media
Notre concept se développe donc sur 3 axes :
- Bar à jus (légumes et fruits sans sucres ajoutés, sans conservateurs, sans édulcorants).
Les boissons seront déjà faites en amont (5 à 8 fruits en fonction des saisons) : boire à longueur de journée des petites bouteilles de jus organiques obtenus grâce à la pression à froid. 
Les centrifugeuses, les presses agrumes ou les mixeurs peuvent détériorer les fruits. Ces machines produisent une certaine chaleur (électrique ou mécanique) et exposent le fruit à l’air. Deux phénomènes qui détruisent une partie des nutriments. Le procédé de pression à froid permet donc de conserver au mieux les nutriments et vitamines (sucres naturels, enzymes, minéraux et vitamines) qu’il y a dans les fruits et les légumes. La boisson que vous buvez est alors plus riche.
Chacune de nos recettes gourmandes est un savant équilibre gustatif et nutritif, mariant le fruit au légume, l’amer au doux, le vert à l’épice car nous avons la conviction que pour être bienfaisants nos jus se doivent d’abord d’être savoureux.
Nos boissons peuvent servir de repas à part entière (50 cl, 1L, 1,5L), elles contiennent les même apports nutritionnels que de la nourriture consistante. Lorsque l’on boit, l’estomac reconnaît qu’il n’y a rien à digérer. Cela permet de mettre en veille le système digestif tout en récupérant directement les nutriments. Et c’est ça la base de la cure, ne rien digérer
Nous souhaitons mettre nos boissons en valeur grâce à des bouteilles très colorés :  vertes, rouges, blanches, jaunes qui laissent deviner quels ingrédients elles contiennent. Notre logo et notre marque seront représentés sur ces bouteilles de manières très épuré.
Tumblr media
- Bar à sandwich : Le client pourra concevoir son sandwich de A à Z sur une liste d’ingrédients définis (type eat salad). Les aliments seront bio et certifiés de bonne qualité grâce notamment à des labels. Quatre pains sans gluten seront proposés (olives, panini, baguette traditionnel, pain de mie). Le prix des sandwichs variera selon le nombre d’ingrédients choisis (formule 4 ingrédients, 6 ingrédients ainsi qu’une formule à la carte).
Tumblr media
- Bar à soupe chaudes : Sur le même principe que les jus (pressé à la centrifugeuse)  -> 2 recettes du jour par jour seront proposées avec des produits saisonniers (soupes légumes, ou soupes de fruits et légumes).
Nous souhaitons garder des prix abordables, en proposant des réductions étudiantes et des formules. Il est aussi très important que le service proposé soit rapide et efficace, car les personnes n’ont pas toujours le temps de s’alimenter dans un restaurant. La marque que nous voulons développer sera donc un restaurant rapide sain et éco-responsable. Ainsi, nous donnons la possibilité aux consommateurs d’être bien dans leurs corps et dans leurs têtes à tout moment de la journée. Ils peuvent montrer le bon geste.
Notre ambition est d’être le restaurant n°1 pour la restauration rapide, saine, gourmande et éco responsable.
On se positionne en restaurant sain, disponible pour tout le monde. Les jus seraient un point fort, permettant d’avoir les mêmes apports nutritionnels qu’un plat avec une digestion beaucoup plus facile. Cela amènerait au client une meilleur productivité l’après midi.  
Notre promesse s’axe sur le manger healthy et bio qui est devenu un mode de vie, c’est pourquoi notre marque s’attache à ne proposer que des produits sains et locaux. Une des valeurs de la marque est d’être éco-responsable. Conserver les valeurs nutritionnelles de chacun de nos produits et avoir le bon geste. Créer soi-même les sandwichs prouve aux clients que manger sain est accessible à tous.
Preuve en est, le changement d’alimentation permet aux individus de se rendre compte que l’on peut manger des fruits et légumes autrement, que l’on peut manger rapidement mais sainement. Et que l’on peut faire ça soi même.
Notre marque sera simple, dynamique et à l’écoute, elle est accessible à tous.
Elle renverra une image éco-responsable et friendly (possible tutoiement dans les commentaires Facebook, par exemple). 
Tumblr media
Cependant il y a des contraintes. Tous les produits de la marque proviennent de récoltes de producteurs locaux uniquement (produits de saison exclusivement). Pour renforcer l’aspect biologique de nos produits, des labels seront apposés sur les emballages. 
Notre ADN est basé sur plusieurs points :
- Proximité
Notre marque se veut proche de ses clients en répondant à leurs attentes en terme d’alimentation et en installant un point de vente au plus proche de leur lieu de travail
- Sans artifice ou éco-responsable
Notre marque ne souhaite proposer que des produits biologiques, éco-responsables et où les valeurs nutritionnelles des aliments sont conservées au maximum.
- Jeune
Dynamique et fraîche, notre marque innove sur le marché de la restauration rapide.
- Connectée
Jeune startup, notre marque est très active sur les réseaux sociaux et tient à entretenir un lien de proximité avec ses clients.
- Gourmande
Pour certaines personnes, manger sain veut dire ne pas être rassasié. Nous voulons changer cette idée reçue en proposant des produits gourmands, appétissants et complets.
Tumblr media
Eat Friendly “Plaisir des sens et bonne conscience��
A travers notre nom nous voulons que les consommateurs soit éco-responsable dans leur manière de manger et déguster des aliments sains et gourmands.
Notre slogan “Plaisir des sens et bonne conscience” cherche à faire passer le message : mangez des produits locaux, des produits de qualité et faites vous plaisir. Mais aussi apprendre à avoir le bon geste en créant soit même ses propres sandwichs, apprendre à manger différemment avec notre gamme de jus “Vegetables”.
0 notes
chap8hours-blog · 8 years
Text
CARACTÉRISTIQUES ET IMPACTS DURABLES DE LA RÉVOLUTION DIGITALE
La révolution digitale est née de l'évolution des nouvelles technologies de la communication et de l'information (NTIC) et notamment d'Internet. Mais comment notre société s'est-elle adaptée ? Focus sur les marques et les consommateurs.
Encore plus important que l’invention de l’imprimerie et de la révolution industrielle, le digital est en train de révolutionner le monde entier.
Du point de vue des marques, le digital marque une transformation sans précédent que ce soit aux niveaux marketing, de la communication, de l’administration, de la production… Depuis l’apparition d’Internet dans les années 90, rares sont les marques qui ne se sont pas installées sur le web en créant un site (commerçant ou non) et/ou un profil sur les réseaux sociaux.
La télévision, la radio, la presse et l’affichage sont encore des médias indispensables aujourd’hui, mais la révolution digitale a pris le dessus et Internet est devenu le média privilégié. Même les grands titres de presse comme Le Monde ou Le Figaro ont dû s’adapter à la révolution digitale et proposer du contenu web en plus de leur version papier. C’est dire à quel point le digital est en train de bouleverser les codes !
Tumblr media
source : dmgfederal.com
Les apports de la révolution digitale pour les marques
    1. Des clients plus ciblés et/ou une cible plus large
Capable de toucher une large cible, si l’on opte pour une stratégie de marketing viral par exemple, Internet permet de pousser les frontières de la zone de chalandise pour un point de vente physique. En effet, grâce au e-commerce notamment, la nationalité, la monnaie ou les horaires d’ouverture d’une boutique ne sont plus un problème pour la vente et l’achat d’articles. Les internautes peuvent acheter partout, à n’importe quel moment et sur n’importe quel support avec la tendance du responsive web design.
Avec le développement d’Internet, le concept de zone de chalandise numérique est apparu. Si certaines marques ont opté pour une stratégie marketing qui ne cible que les femmes parisiennes entre 20 et 50 ans par exemple, il leur est aujourd’hui possible de ne s’adresser qu’à cette cible sur la totalité des internautes. Grâce à l’ensemble des données collectées (âge, sexe, ville, films favoris, sites web visités…) sur les réseaux sociaux notamment, les marques sont donc capables de proposer des offres ciblées selon le goût des internautes au travers de la publicité display principalement.
    2. Les pouvoirs des réseaux sociaux
Justement, les réseaux sociaux (Facebook, Twitter, LinkedIn, Snapchat…) parlons en ! Ils sont en grande partie responsable de la révolution digitale mise en marche depuis quelques années. Ils permettent aux marques de communiquer avec sa clientèle, d’être proche d’elle, de se construire une réputation online et d’enregistrer des données sur ses clients. Ainsi, les marques sont aujourd’hui plus à même de connaître les besoins et les attentes des consommateurs en suivant et analysant leur comportement sur le web.
Si l’instantanéité, la rapidité et la proximité sont devenus des notions clés avec le développement des réseaux sociaux, les marques ont dû s’y adapter. Pour avoir une place auprès des internautes, les marques doivent créer du contenu innovant, suivre les tendances (faire appel à des influenceurs par exemple) et communiquer avec sa communauté (rôle des community managers). A ce propos, le développement des chatbots vont certainement révolutionner la place du consommateur auprès des marques. Affaire à suivre !
    3. Une concurrence accrue
Avec la révolution digitale, si les clients sont partout les concurrents aussi. En effet, le digital permet aux entreprises de proposer des produits à des prix très attractifs sur des marketplaces (ex : Amazon), des pures players (ex : Vente privée) ou des plateformes communautaires (ex : Airbnb, Blablacar, Ulule…). 
Depuis quelques temps, on parle également d’uberisation. Ce terme désigne “le phénomène par lequel une startup ou un nouveau modèle économique lié à l’économie digitale peut menacer et remettre en cause rapidement un vieux modèle de l’économie traditionnelle (ex : le modèle de Blablacar pourrait uberiser la SNCF)”. 
L’essor des comparateurs en ligne (ex : Liligo) et des marketplaces accroît encore la compétitivité. En revanche, même si la concurrence s’intensifie, analyser ce que font les concurrents est plus accessible avec Internet et l’utilisation d’outils de veille concurrentielle ou de benchmarking. 
Exemple : la révolution digitale chez L’Oréal
La révolution digitale vécue par les consommateurs
Nous constatons une trilogie des révolutions numériques du Web pour expliquer les conséquences sur l’individu :
le Web 1.0, Web des moteurs de recherche et des sites Internet où l’internaute découvre le pouvoir de s’informer ;
le Web 2.0, Web des médias sociaux et réseaux sociaux où l’individu découvre l’organisation en réseau et le pouvoir de se mobiliser ;
le Web 3.0, Web des données où l’internaute découvre l’exploitation économique de ses liens sociaux.
Web 1.0 : Le consommateur informé
La vague 1.0 du Web, que l’on peut dater aux années 1990, voit fleurir les premiers sites Internet en html (Hypertext Markup Language). Rapidement le nombre de sites requiert de pouvoir s’y retrouver dans ce foisonnement de pages Web. La puissance des algorithmes de Google prend progressivement le dessus en pertinence et s’impose comme mode de recherche dominant. En France, 94 % des recherches se font sur Google.
L’innovation du moteur de recherche dote le citoyen consommateur d’un nouveau pouvoir : celui de dénicher, recouper l’information et s’informer sur tout et n’importe quoi. Les personnalités influentes et les organisations découvrent ainsi le risque de se faire démasquer si elles publient de fausses informations. L’internaute n’est plus dupe mais il devra attendre que le Web évolue pour le faire savoir haut et fort. En attendant, il profite déjà d’une plus grande liberté d’information. Il commence à ignorer les sites “vitrines” car reproduisant en ligne les plaquettes commerciales des entreprises. Face aux discours policés, aux promesses sans preuves, aux belles photos figées, il préfère les sites dits “user-centric” qui font un effort de contenu centré sur ses besoins d’utilisateur : conseils, guides d’aide au choix de leurs produits, FAQ, etc. Les sites enterprise-centric ne séduisent pas les internautes et deviennent invisibles pour le moteur de recherche Google. En effet, avec Google émerge une discipline toute neuve consistant à favoriser l’identification du site par le moteur de façon à figurer en bonne place dans les résultats de recherche : c’est ce que l’on appelle le référencement.
Les organisations ont également mis du temps à comprendre qu’un client obtiendrait plus rapidement une réponse pertinente à sa requête si le contenu du site s’inspirait du vocabulaire utilisé par les internautes pour leurs recherches en ligne, par exemple : “fenêtre isolante” au lieu de “vitrage thermique”, “assurance pro” plutôt que “responsabilité civile professionnelle”, etc.
Cette première phase du Web a donc fait de l’internaute un consommateur informé prêt à dédaigner les marques qui ne se mettent pas à la portée de son besoin et de son vocabulaire.
Web 2.0 : Le consommateur mobilisé
L’âge 2.0 du Web, dit aussi Web 2.0, voit l’avènement des médias sociaux et des réseaux sociaux, c’est à dire la possibilité pour les internautes de partager des contenus sans notion de codage et de langage html, ni connaissance technique grâce à de nouveaux outils de publication et de partage de contenu. Les premiers nés, les blogs, apparaissent en France en 1999 avec l’éditeur Blogger mais le phénomène attendra encore 5 ans avant de démarrer en France. Le mouvement des réseaux sociaux apparaît en 2003 avec LinkedIn, MySpace et Friendster et se généralise à partir de 2004 avec l’arrivée de Facebook. Le partage de vidéos et le microblogging font leur apparition la même année, en 2006, avec la création respective de YouTube et du petit dernier, Twitter.
En plus de pouvoir rechercher et de faire résonner de l’information, l’individu découvre donc le pouvoir de s’exprimer, de se transformer lui-même en média et d’organiser son réseau. On parle d’empowerment (le pouvoir d’agir des foules) qui sonne comme un contre-pouvoir et une forme d’accomplissement de soi. C’est à ce moment-là que les entreprise ont véritablement commencé à perdre du pouvoir sur le cyberespace. La vague 2.0 qui submerge le paysage digital change totalement la donne. L’entreprise n’est plus la seule émettrice de sa communication. En outre, les révélations ne sont plus l’apanage de quelques titres de presse : avec les blogs et Twitter, n’importe qui devient son propre diffuseur. 
En perdant le “quoi”, le “quand” et le “comment” sur leur propre actualité, les entreprises perdent la maîtrise de leur actif immatériel le plus fragile : leur réputation.
Web 3.0 : Le consommateur augmenté
Si le Web 2.0 a flatté l’égo des internautes en offrant des outils comme les blogs au service du narcissisme des utilisateurs, on peut dire que le Web 3.0 consacre la toute puissance du Moi. Progressivement, le consommateur prend l’habitude que le Web s’adapte à son besoin et non l’inverse, qu’on lui réponde de manière personnalisée sur Facebook ou Twitter. Il devient incapable de s’adapter à des procédures qui lui seraient imposées, comme celle de remplir un formulaire. L’absence de personnalisation lui demande un effort considérable. Dans ce recentrage sur l’utilisateur, le design et l’expérience utilisateur ont pris une importance considérable.
Tumblr media
source : carolinefaillet.com
Du Web 1.0 au Web 3.0 : La mutation du consommateur va de pair avec la révolution numérique.
Son indépendance vis-à-vis des organisations se manifeste aussi par l’essor de la communication collaborative (le crowdspeaking). Dans son monde centripète dont il occupe le cœur, l’internaute 3.0 échange, revend, partage, donne, selon ses besoins et ses convictions, en court-circuitant les schémas économiques traditionnels. Il s’est augmenté de 6 nouvelles dimensions qui transcendent son statut de consommateur :
Prescripteur, publication d’avis, d’évaluations, recommandations dans les conversations ;
Média, il tient un blog, publie des photos, etc. ;
Producteur, il met à disposition ses biens propres comme sa voiture ou son appartement, ou en fabrique lui-même avec une imprimante 3D, etc. ;
Intermédiaire de service, il gère la relation avec la communauté
Fournisseur de données, il envoie grâce à toutes sortes d’objets connectés des données de géolocalisation, météo, etc. ;
Financeur, il s’improvise banquier, lève des fonds grâce au crowdfunding.
Le Web 3.0 s’articule par :
- Le web de la mobilité : les téléphones portables en premier lieu, mais aussi les montres intelligentes, ou bracelets connectés ont cette particularité d’être mobiles.
L’accès à internet est de plus en plus nomade : partout et à n’importe quel moment, le web vient à nous et l’utilisation d’internet devient indépendante de tout type de support.
Cette mobilité est probablement la composante du web 3.0 la plus concrète et la plus visible. Les consommateurs se sont en effet largement appropriés cette opportunité d’être connectés en permanence.
Tumblr media
- Le web des objets connectés : les objets connectés vont peu à peu investir tout notre quotidien avec pour objectif annoncé de nous faciliter la vie : le thermostat de la maison est maintenant capable de piloter le chauffage en fonction de la température extérieure, mais aussi de vos heures d’arrivée, le réfrigérateur de demain sera autonome, il enverra en ligne votre liste de courses et saura gérer l’organisation de la livraison.
- Le web sémantique : centré sur l’utilisateur, capable de comprendre le sens des données et de les recontextualiser. La connaissance client est alors on ne peut plus liée à l’expérience utilisateur. En e-commerce, les filtrages collaboratifs d’aujourd’hui analysent a posteriori que les internautes ayant acheté tel produit ont également acheté tel autre. La vente en ligne du futur saura anticiper nos envies selon le contexte particulier du moment : lorsque j’achète pour moi, ou pour faire un cadeau par exemple. Le site proposera alors de manière intelligente les bons produits, au bon moment avant même que l’internaute n’ait exprimé son besoin.
Parfaitement agile dans toutes ces dimensions avec lesquelles il jongle au quotidien, le consommateur est finalement devenu ce que l’on peut appeler un consommateur augmenté.
Tous ces changements amènent tout de même à être vigilant sur un point : son identité numérique. Chaque consommateur et chaque marque doivent en permanence surveiller les traces qu’ils laissent sur le web et ce que google dit d’eux. 
“Votre marque n’est pas ce que vous en dites, mais ce que google en dit !”  Chris Anderson, rédacteur en chef de Wired
Il est donc nécessaire de prendre conscience dès à présent de l’importance de cette identité numérique, d’analyser/d’observer ce qu’il se dit afin d’être prêt à réagir en cas de crise. Il en va de la survie de la marque !  
Source :
http://www.marketing-community.fr/2016/05/guerre-digitale-revolution-numerique-transformation-du-consommateur/
https://www.digitall-conseil.fr/le-web-2-0-est-mort-vive-le-web-3-0/
1 note · View note