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Bon, ce 5 juillet marque mon départ de chez digiRocks. C'est l'interruption involontaire d'une aventure passionnante, d'une mission inachevée, de la relation avec une équipe formidable.

On dit toujours que l'on va rester en contact, c'est parfois vrai.

Et quand bien même, il en reste quelque chose. On se recroise parfois. On se raconte nos vies ou bien on a plus rien du tout à se dire. Comme c'est étrange.

La semaine dernière par exemple, j'ai recroisé Isa (j'ai toujours beaucoup apprécié Isa pour sa pudeur/impudeur radicale). En quelques minutes, on a parlé comme de vieux camarades. Pas besoin d'explications ou d'excuses ou de tortiller, la vie nous éloigne mais le plaisir de se retrouver est toujours là. Sans ombre. Juste la joie de l'échange.

J'aime beaucoup cette légèreté dans les relations. C'est une forme d'amour/amitié d'Agapé. C'est simple, vivant.

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L'Amerigo Vespucci est à Marseille !

Amerigo Vespucci 🍀🇮🇹🍀

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Le Corbusier: Dachspielplatz : Unité d’habitation, Marseille, 1952

Le Corbusier: Dachspielplatz : Unité d’habitation, Marseille, 1952

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"Je suis assez contente que les autres pensent qu’il est cynique, comme ça j’ai le côté privé pour moi. J’ai un chien qui mord tout le monde, sauf moi. ça c’est agréable, j’aime pas les chiens qui lèchent la main de n��importe qui. J’aime que les autres disent : “vous avez un chien affreux!” et puis il vient vers moi et il est tout doux. Voilà, c’est unique.”

Jane Birkin 

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Vale La grande amour que vous m'aviez donnée Le vent des jours a rompu ses rayons — Où fut la flamme, où fut la destinée Où nous étions, où par la main serrés Nous nous tenions Notre soleil, dont l'ardeur fut pensée L'orbe pour nous de l'être sans second Le second ciel d'une âme divisée Le double exil où le double se fond Son lieu pour vous apparaît cendre et crainte, Vos yeux vers lui ne l'ont pas reconnu L'astre enchanté qui portait hors d'atteinte L'extrême instant de notre seule étreinte Vers l'inconnu. Mais le futur dont vous attendez vivre Est moins présent que le bien disparu. Toute vendange à la fin qu'il vous livre Vous la boirez sans pouvoir être qu'ivre Du vin perdu. J'ai retrouvé le céleste et sauvage Le paradis où l'angoisse est désir. Le haut passé qui grandi d'âge en âge Il est mon corps et sera mon partage Après mourir. Quand dans un corps ma délice oubliée Où fut ton nom, prendra forme de cœur Je revivrai notre grande journée, Et cette amour que je t'avais donnée Pour la douleur.

Catherine Pozzi

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ND des Passes, I pub village of moulleau | Arcatown & Ferret City) Merci @emmroques pour la decouverte

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IAM, quelle année ?

Iam

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Les amoureux du Vieux-Port Marseille 1946 

Photo: Willy Ronis

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Carats.

Mes amis les plus précieux sont moins ceux qui m’ont supportée dans les malheurs que ceux, plus rares, qui ont supporté de me voir heureuse.

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Bike Crash by LightBurnPhoto

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Grahouuuuu !

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Un looping en courant !

(via Video: Man defies gravity by running upside down in a 360-degree loop)

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Ces dessins m'émeuvent beaucoup...

Lecteur assidu de LIbé depuis des années, j’ai également souvent utilisé vos pages pour mes dessins. A quand une expo de toutes les œuvres réalisées sur les pages de Libé ?

Bises et bonne route

Bertrand Eberhard

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Wave!

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The map of great British bands