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#vicki polon
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Girlfriends, 1978
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chaptertwo-thepacnw · 3 years
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girlfriends |1978| claudia weill
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blackcatvideo · 7 years
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Girl Friends on 35mm @ the Capitol Theater
34th Annual Olympia Film Festival
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standingatthefence · 7 years
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Girlfriends | Claudia Weill, 1978
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pauline-lewis · 3 years
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Because that is your person in this life
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Hier, j'ai revu Frances Ha. En lançant le film, j'ai vu la date de sortie, "2013", et j'ai vraiment eu du mal à y croire. Huit années. Je me vois encore sortir de l'avant-première au Champs-Élysées Film Festival et pleurer sur le quai du RER à Charles de Gaulle Étoile. À l'époque je travaillais en contrat précaire dans une grande rédaction et ce film avait touché une corde très sensible : celle de mon impression d'être perdue, de ne pas être assez avancée dans ma vie, cette crise des 27 ans qui m’avait frappée sans prévenir. J'en avais parlé à Greta Gerwig en interview tandis qu'elle était couchée sur un canapé, ses Louboutin posées négligemment par terre. (j'étais nettement moins distinguée)
J'avais donc un peu peur en lançant ce film qui avait marqué un moment si précis et particulier de mon existence. Et puis, je me suis retrouvée à l'aimer comme au premier jour, chaque image m'a fait ressentir la texture et le poids de ces huit années. Et ce n’était pas si triste. J'ai eu de nouveau les larmes aux yeux quand Frances dit "I'm so embarrassed, I'm not a real person yet", qu'elle raconte cette vie parallèle que nous développons avec les personnes que nous aimons. J'y ai trouvé l'écho de ce que j'étais et la certitude de ce qui avait changé. Je crois que j'ai trouvé ce même équilibre que Frances, j'ai lâché l'ambition pour quelque chose de plus petit mais qui me ressemble plus. Je n'interviewe plus d'actrices sublimes en Louboutin mais je fais d'autres choses.
Et puis il y a tout ce qui reste, la joie de voir quelqu'un danser dans la rue sur le Modern Love de David Bowie, le sourire de Greta Gerwig qui me bouleverse, ce sentiment d'être une personne sculptée à même le malaise qui me fait rire aujourd'hui (et que j'accepte). Les références musicales et cinématographiques. Les silences et les clins d’œil à Proust.
Et surtout la beauté de connaître cette chose précieuse : d’avoir une amie qui me dit souvent "I love you, I really do", qui sait aussi raconter l'histoire de ce qu'elle pense que j'accomplirai. C'est déjà en soi une immense victoire que je chérissais il y a huit ans et que je chéris encore plus aujourd'hui parce que je sais que c’est ce qu’il reste quand on a passé les événements au tamis du quotidien et des années.
and you look across the room and catch each other's eyes... but - but not because you're possessive, or it's precisely sexual... but because... that is your person in this life. And it's funny and sad, but only because this life will end, and it's this secret world that exists right there in public, unnoticed, that no one else knows about.
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Girlfriends de Claudia Weill (1978)
Petite thématique amitié avec le Girlfriends de Claudia Weill (écrit par Vicki Polon) que j’ai découvert cette semaine. Quand j’y pense Frances Ha lui emprunte beaucoup. Les deux films partent des amitiés féminines pour réfléchir à la place des femmes dans le monde, à ce que la société patriarcale attend de nous et à l’ambition artistique vs la vie “rangée”.
Girlfriends raconte, comme Frances Ha, une amitié qui se délite. Deux femmes qui pensaient qu’elles allaient vivre leurs vies en parallèle et qui se retrouvent à avoir deux expériences très différentes de l’existence. Susan (qui est officiellement mon nouveau personnage de fiction pref, quel charisme incroyable) est photographe et elle s’apprête à emménager en colloc avec son amie Anne. Sauf qu’Anne lui annonce qu’elle laisse tomber ce projet pour se marier et s’installer avec son compagnon.
Deux itinéraires complètement différents se dessinent à partir de ce moment tandis qu’elles essaient de réparer cette incommunicabilité qui s’est installée entre elles. Tout comme dans Frances Ha, j’aime particulièrement les scènes d’intimité entre les deux femmes qui dessinent, je trouve, un autre cinéma parallèle. Anne qui joue du piano pendant que Susan écoute, les confidences et les silences qui disent long, les conversations qui durent.
J’ai surtout aimé la longue réflexion sur l’ambition artistique, sur ce qu’elle coûte à Susan (financièrement et mentalement). C’est un film assez mélancolique, sur ce que les femmes sont forcées d’abandonner pour choisir un chemin ou un autre. Je crois que j’aurais pu regarder Susan parler et être elle-même pendant des heures et des heures.
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Résine d’Elodie Shanta (éditions La Ville Brûle)
En ce début d’année il ne s’est pas passé grand chose de fun mais dans mon top 2 il y a vraiment 1) commander de la laine à chaussettes et 2) lire Résine d’Elodie Shanta.
J’aurais du mal à exprimer (même si bon techniquement c’est mon travail) avec des mots à quel point cette petite BD m’a à la fois enchantée et vraiment amusée. Je l’ai lue un soir vraiment morne et je me suis retrouvée à rire à gorge déployée et à prendre des photos de tous les petits détails drôles qui se cachent à chaque page.
Résine raconte l’histoire d’une sorcière et de son compagnon Claudin qui débarquent dans le village de Floriboule. Comme elle a été chassée de son précédent lieu de résidence, Résine se dit qu’il serait peut-être de bon ton de faire profil bas et de cacher à tout le monde qu’elle est une sorcière.
Sauf que Résine est une sorcière au grand cœur, qui multiplie les pains et l’argent, trouve que travailler est une perte de temps, et qui va plus ou moins se griller en mettant en péril l’obscurantisme et l’ordre capitaliste et patriarcal qui règne à Floriboule. De ce décalage entre les couleurs joyeuses et le style tout en rondeurs d’Elodie Shanta, et le message anticapitaliste et féministe, naît une vraie jubilation.
Vous me direz peut-être qu’on en a marre des sorcières mais croyez-moi quand je vous dis que Résine est tout bonnement irrésistible. Et si je vous dis qu’on y croire aussi des sorcières lesbiennes, un lutin avec un grand cœur qui fait la tête en permanence (il m’a fait penser à mon personnage de fiction préféré, Archimède dans Merlin l’enchanteur) et des punchline vraiment hilarantes, j’espère que vous serez conquis·es !
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(Vraiment mon nouveau héros)
Division Avenue de Goldie Goldbloom (ed. Christian Bourgois, trad de l’anglais par Éric Chédaille)
Je suis très triste de ne pas avoir lu ce livre à temps pour ma sélection de rentrée, mais je me suis rattrapée en lisant ce beau roman en janvier et je n’ai pas regretté.
Goldie Goldbloom raconte l’histoire de Surie Eckstein, une femme qui vit au sein du quartier juif orthodoxe de New York. L’autrice elle-même est membre de la communauté juive hassidique. Surie, donc, a déjà dix enfants et plusieurs petits-enfants. Ses règles s’étant arrêtées, elle pense être ménopausée. Mais voilà qu’elle va tomber enceinte. Cette nouvelle la perturbe profondément et change son rapport à son corps, à sa famille, à sa communauté. Alors qu’elle cache son état à ses proches, elle comment à aider la sage-femme de l’hôpital et elle se remémore la disparition de l’un de ses fils, mort du sida après avoir été mis au ban de la communauté. 
Le roman m’a forcément fait penser à la série Unorthodox mais je trouve qu’il évite beaucoup des raccourcis que cette dernière prenait. J’ai eu l’impression de pénétrer vraiment dans cette communauté et de voir comment la frustration pouvait parfois cohabiter avec l’amour, j’ai été vraiment embarquée par ce personnage et par sa vie complexe. Sans jamais porter de jugement. J’ai simplement partagé la vie de cette héroïne pendant quelques jours. Je pense souvent à la phrase de Faïza Guène qui disait dans une interview à Mediapart : “J’aime bien lire ce qui me manque.”
Et j’ai vraiment eu cette impression de lire l’histoire de ces femmes dont on raconte rarement le destin. D’entrer dans le vécu de Surie avec de l’humour et surtout avec ces nuances qui font le sel de l’expérience humaine. Ce n’est pas du tout un roman “choc” sur une communauté religieuse mais vraiment un récit qui fait cohabiter l’empathie, la religion, la science et l’expérience d’une femme avec beaucoup de talent.
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Provocative Movies on Tap as Mini Microcinema Releases May-June Schedule
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Provocative Movies on Tap as Mini Microcinema Releases May-June Schedule
Statue of Michael Jackson in Eindhoven, Netherlands, based on Diana Walczak’s original HIStory statuePhoto: Sjors Provoost
Over-the-Rhine’s Mini Microcinema has announced its May-June schedule, and it’s filled with the kind of programming that cinephiles have been hungering for in Cincinnati.  Here are some highlights:
• May 1 (Tuesday), Punishment Park: Peter Watkins is one of the great names of contemporary British cinema, mixing dramatic and documentary techniques as he looks at such politically provocative topics as nuclear war (his The War Game won an Oscar as Best Documentary) and the Paris Commune. Among his innovative narrative features are 1967’s Privilege — about a tormented rock star being used by his government to divert public attention from political issues — and 1971’s rarely seen, American-made Punishment Park, about political activists tried for insurrection and subjected to police brutality. Watkins, himself, approved this special screening at the Mini.
• May 6, Monument to Michael Jackson: A 2014 film by Darko Lungulov, presented by the UC Center for Film and Media Studies, this black comedy is set in a small Serbian town where a man takes advantage of the removal of a Communist-era statue from the public square to propose a monument to Michael Jackson replace it. He sees it as a way to attract tourists and also to reclaim the affections of his wife, a Jackson fan. The director will be in attendance.
• May 10, 16mm Films by George Kuchar: With his brother Michael, the late George Kuchar made strange, funny films that parodied Hollywood convention in order to come at pop culture, and art, from a different angle. This program of shorts from the 1960s and 1970s includes Hold Me While I’m Naked, Masholu Holiday, Pagan Rhapsody, A Reason to Live and I, An Actress.
• May 22, Girlfriends: This prescient 1978 comedy-drama, directed by Claudia Weil and written by Vicki Polon, concerns a young New York photographer of weddings and Bar Mitzvahs (Melanie Mayron) who faces doubts and angst when her best friend gets married and work gets hard to find. The film has been rediscovered as a precursor of “mumblecore,” and for featuring women prominently in the cast and creative team. Weil has gone on to direct for such television shows as Thirtysomething and Girls.
• The Mini will also have Film Fringe programming May 31-June 7, during the upcoming Cincy Fringe Festival.
The Mini is at 1329 Main St. Evening films usually start at 7:30 p.m., with doors opening at 7. Admission is usually free, with $5 donations suggested. For more info, visit mini-cinema.org
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Girlfriends, 1978
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Girlfriends, 1978
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Girlfriends, 1978
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chaptertwo-thepacnw · 4 years
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girlfriends |1978|
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Girlfriends, 1978
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chaptertwo-thepacnw · 4 years
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girlfriends |1978| claudia weill
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chaptertwo-thepacnw · 4 years
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girlfriends |1978| claudia weill
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Girlfriends, 1978
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