Tumgik
#le terme BISOUNOURS A LAIDE ?????????
nev-shitposts · 1 year
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Jvous assure tout me donne envie de caner...........................
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dont-tell-any-buddy · 3 years
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“Encas” de doutes.
Ça y est, c’est reparti, j’ai à nouveau besoin de m’interroger sur la manière dont je fonctionne. Je suis prise d’un besoin irrépressible de me demander pourquoi je ressens et agis de telle façon.
Ça fait déjà un moment que j’y songe et plusieurs mois que j’ai créé ce blog, mais prise d’une flemme non inhabituelle chez moi en ces temps de chômage COVIDal, j’ai repoussé, et repoussé, sans jamais coucher chacune de mes pensées qui s’écoulaient telles de l’eau sortie d’un robinet. Alors que je SAIS que ça me fait du bien, à défaut d’aller claquer le pognon que j’n’ai pas dans des consultations psychologiques ou d’aller embêter mes camarades avec mes longs pavés, comme si je cherchais à m’inventer des problèmes. Alors que si je prends du recul, je n’ai pas à me plaindre : la santé, les amours, la famille, globalement tout va bien. Le seul truc qui me chafouine un peu (mon dieu... j’ai vraiment utilisé le verbe “chafouiner” ?) c’est le fait de ne pas trouver d’emploi à la sortie de 9 années d’études. C’est un peu emmerdant, oui. Et d’un côté j’ai peur. J’ai peur à la fois de trouver un emploi qui ne me permette pas de m’épanouir professionnellement, de décevoir mes collègues et supérieurs, j’ai peur d’être moquée, prise pour une idiote. Et de l’autre côté, plus le temps passe, plus je crains retrouver un emploi parce qu’à mesure que je reste inactive professionnellement, et plus je doute de mes capacités. J’ai tellement peur de décevoir. Et si j’ai peur de décevoir, c’est surement que j’appréhende que les autres me renvoient une image négative de moi-même, comme si celle que je me porte ne suffisait pas. Eh bien voilà, on y vient, tout doucement mais surement. Il est là, ton souci. Enfin, du moins, un de tes “soucis”. Tout part du fait que tu n’aies pas confiance en toi. La question maintenant, c’est pourquoi. 
J’imagine que les réseaux sociaux ont un certain impact sur la façon dont je me perçois. On a beau savoir que des trucs c’est du bullshit, que tout est faux, retouché, embelli, que les influenceurs sont là pour “vendre du rêve”. L’image du corps parfait de la femme, déjà, m’empêche de vraiment m’apprécier. Et quand je me regarde dans le miroir, je le fais non pas par narcissisme (du moins, je l’estime !) mais parce que j’essaye de trouver de quoi me rassurer. Parce que qu’on se le dise ; on m’a quand même déjà confirmé que je n’avais pas un physique comme tout le monde. Mais je ne sais pas comment recevoir cette critique, honnêtement. Moi qui cherche toujours à suivre le mouvement, rentrer dans le mouv’, être “invisible” (j’imagine que ce terme est erroné puisque la suite va démontrer que j’ai besoin de me démarquer tout de même) enfin, d’être comme tout le monde, dans une certaine mesure.
Rev’nons-en à nous moutons. J’en étais où déjà, avant mon éternelle digression ?
Au lieu de tout bêtement m’accepter, je parviens à trouver en ma personne (que je considère pourtant comme étant un bisounours) des tares, dont j’aimerais pouvoir trouver l’origine afin de pouvoir me considérer comme étant tout à fait normale.
Est-ce que je me considère-je comme anormale ? Je n’irais pas jusque là.
Mais il y a des évènements dans la vie qui me font passer par des émotions et besoins que je ne peux m’empêcher d’interroger. 
Aujourd’hui, je me suis mise à faire des recherches sur le syndrome du sauveur. Il y a quelques mois, je partais du principe (après recherches) que je “souffrais” de “dépendance affective”. J’ai l’impression de vouloir à tout pris rentrer dans des cases. Mais on est plein de choses. On n’est pas qu’une seule chose. Bah oui, bécasse, tu viens de dire que t’étais un bisounours, dépendant affectif et souffrant du syndrome de l’imposteur. Ça fait déjà trois choses alors c’est quoi l’problème ?
Bah le souci c’est que les deux points dernièrement cités, je ne trouve pas que cela soit saint. J’vais d’abord en venir au Syndrome du sauveur parce que c’est le point sur lequel je me suis penchée aujourd’hui, tu sais, ma nouvelle “tare”. Ce qui me fait penser ça, c’est qu’encore une fois, j’ai ressenti le besoin d’aider à ma manière, une personne qui était triste. Pas n’importe laquelle, mon copain, mais aussi son coloc, qui sont touchés par le deuil d’un ami décédé il y a deux jours. Je suis passée par là à deux reprises (d’ailleurs je ferais bien de fermer ma gueule et ne pas le dire à qui veut bien l’entendre parce que techniquement, présentement ce n’est pas moi qui suis à plaindre. Au moment T, je ne vis pas de deuil (Inchallah)). Jusque là, rien d’anormal, me diras-tu. 
Ce qui me met la puce à l’oreille, c’est la définition qui est faite du syndrome du sauveur. En gros, ça dit que l’envie de sauver quelqu’un qui va mal, c’est parce que toi même, t’as un souci, et qu’en étant utile à la personne, tu cherches à ce qu’en la satisfaisant, elle te renvoie une belle image de toi. C’est pas saint ça, erf !
J’ai l’impression de systématiquement vouloir tout rapporter à moi, comme si j’avais constamment besoin d’attention. En fait, derrière ma bienveillance, j’ai l’impression de ne pas être une personne aussi “belle” intérieurement, que ce que je pensais. J’ai l’impression, comme mon professeur de philosophie disait, qu’il n’y a pas d’acte désintéressé. Même d’une mère à son enfant : elle veut rendre son gamin heureux, parce que ça la rend heureuse, elle. C’est ça, qu’il expliquait, ce bon Monsieur. 
Bon, après réflexion, j’me dis encore une fois que tout part de mon manque de confiance. Je suis une personne gentille et correcte, par définition.
Mais je crois que j’ai besoin d’être appréciée par les autres, pour être satisfaite de la personne que je suis. C’est pas “grave”, en soi. Mais il faudrait que je parvienne à me détacher complètement du regard des autres. Pourtant j’pense pas avoir besoin de faire ça pour être appréciée, je suis plutôt simple, souriante, agréable et gentille. J’aime être gentille, apporter un peu de lumière autour de moi. Clément et son entourage m’ont qualifiée de “solaire”, et c’est le plus beau des compliments qu’on pouvait me faire. J’avais d’ailleurs hésité à me faire tatouer un soleil sous le bras, à un moment, mais vu mon expérience avec les tatouages, on va s’abstenir, hein !
Mais du coup j’me demande si mes démarches bienveillantes sont sincères. est-ce que je suis vraiment gentille dans le fond ou est-ce que c’est uniquement intéressé ? Peut-être qu’il y a des deux. 
Avec du recul, j’me dis que quiconque lirait un torchon pareil se dirait que je suis une personne laide. En fait, il faut que j’arrête, inconsciemment, d’être en recherche de la perfection : on ne peut pas être parfait. Il faut juste que je fasse les choses sans réfléchir. Facile à dire, pfff, j’t’en foutrai, moi. Avec des “si”, on pourrait refaire le monde. Non mais j’dis ça comme si c’était impossible alors qu’encore une fois, y’a pas mort d’homme.
Heeee c’est impressionnant comme j’peux me parler à moi même pendant des lignes et des lignes et des liiiiignes. Si avec ça on m’dit que j’ai pas un souci...
Mon cerveau réfléchit beaucoup, TROP souvent, et pour des choses qui n’en valent pas la peine. Parfois, j’voudrais bien être un mec. J’dis ça comme si leur genre les empêchait de réfléchir pour de la merde alors que c’est complètement faux, mais disons que globalement, j’ai quand même l’impression qu’ils se prennent beaucoup moins la tête que les gonzesses. 
J’me perds dans cet océan de mots, je ne sais même plus où je voulais en venir, punaise. Ah oui ! La confiance en moi. C’est sur ça qu’il faut que je travaille. Ouah, première nouvelle, tu veux une médaille pour avoir pondu un pavé juste pour en sortir cette conclusion ?
Ah puis, j’ai aussi le syndrome de l’imposteur par dessus le marché, je pense. On ne va pas s’en sortir ! quoi que remarque, y’a un point commun à ces trois pathologies (?), et c’est encore une fois un souci d’image, de confiance en soi. 
Alors, pourquoi j’ai l’impression d’avoir moins de confiance que la moyenne des gens ? D’ailleurs, sur quoi j’me base pour penser un truc pareil... on est qu’un petit grain de sable sur Terre... je ne suis pas dans la tête des gens.
Concentre-toi sur toi et pas sur les autres, petite luciole (luciole = anagramme de “couille”, bah oui, j’aime bien me flageller, pour la déconne ! Mais même pour déconner, peut-être que je pourrais plutôt m’encourager. Plutôt que de me déprécier. Je sais très bien que j’le ferai pas. Bref, c’est plus mignon, le mot “luciole”.)
De toute façon, c’est simple, je préfère voir noir plutôt que blanc. C’est pour me protéger. Ça a de fortes chances de venir de ma mère, elle anticipe toujours le négatif ; c’est même très chiant. Encore une chose que j’aurais hérité d’elle, sans le vouloir. Je dis ça comme si tout était à jeter chez elle mais pas du tout, évidemment. C’est juste une angoissée et veut tout faire pour que ses enfants aillent le mieux possible. Elle préfère prévenir, que guérir. Et c’est bien normal, d’ailleurs.
Bon, du coup. J’en étais où dans tout ce merdier ? La confiance en soi. Est-ce que j’ai déjà eu confiance en moi ?
Maman disait que quand j’étais petite, je n’étais pas timide. J’allais vers les gens, je leur donnais mon nom, mon prénom, limite mon adresse. Aujourd’hui, à 27 ans passés, on peut dire que cela a bien changé. J’ai l’impression que les gens me surestiment. Qu’ils me pensent intelligente alors que pas du tout. oh wait, à chaque fois je fais l’amalgame, donc je me rectifie : qu’ils me pensent cultivée. Il y a plusieurs formes d’intelligence, donc je pense pouvoir dire que je suis intelligente d’une manière ou d’une autre. Ma sensibilité et le fait que je sois capable d’introspection, font que je suis au moins intelligente sur cet aspect. Mais je ne suis pas cultivée. Je me suis intéressée au monde qui m’entoure, trop tard. J’ai surement mis du temps à murir. De toute façon, j’ai du mal à retenir des informations culturelles, quand bien même je cherche à me cultiver. C’est un peu tard pour commencer à emmagasiner des connaissances même si mieux vaut tard que jamais. Mon frère m’avait dit déjà il y a quelques années, que c’était important d’être cultivé, pour savoir quoi dire en soirée, pour avoir des débats et ne pas rester comme un con à contempler, sans savoir quoi dire. Bah il avait pas tort.
C’est surement aussi pour cette raison que c’est important pour moi, de faire rire les gens. C’est ma façon à moi d’exister à leurs yeux. Tout le monde peut rire, mais tout le monde n’arrive pas à faire rire. Je pense que je suis plutôt drôle. J’ai toujours aimé faire rire les gens. Même au lycée, quand j’apprenais des sketch d’Elie Semoun et Florence Forestie pour pouvoir les réciter devant les copains/copines. 
De même que j’ai remarqué que les critiques, aussi bien que les compliments, ne me laissent jamais indifférente. Je les stocke dans un coin de mon cerveau. Mais la critique me marque plus durement. 
D’ailleurs, j’ai déjà été séduite par des mecs principalement parce qu’ils me portaient de l’intérêt et me complimentaient. Alors que d’emblée, ils ne m’auraient pas intéressée. Ouais j’ai vraiment un souci d’image, j’confirme, même si encore une fois ça n’est pas nouveau.
Y’a qu’à repenser à mon ancien patron, par exemple. Il me prenait tellement pour un boulet, que combien de fois j’me suis imaginée accomplir des choses classes/cool devant lui, hors boulot, qui feraient qu’il reconsidérerait le jugement qu’il avait de moi. 
Mais ça vient d’où, ce besoin, ce manque ?
J’me souviens juste que ma mère (qui m’a élevée quasiment seule hein, je le rappelle, puisque mon père était juste spectateur de mon éducation, et encooore.) et qu’elle a eu des mots durs envers moi, mais simplement parce que les mots rabaissants avaient motivé mon frère : pour montrer qu’il n’était pas nul à l’école, lui, il s’est battu, accroché. Moi, j’ai vite compris le petit stratagème de ma mère et j’ai finalement fait tout l’inverse de ce qu’elle attendait. J’me suis rebellée. Je pense que j’ai été plus difficile que mon frère. Ça vient surement du fait que j’ai été plus écoutée parce que j’étais plus jeune et qu’en plus, j’étais une fille. Mais malgré le fait que je sois une tête de mule avec mes parents, les mots ont quand même eu un impact et je pense qu’à force de me dire “pauvre pomme” “pauvre conne”, “grosse vache”, “t’es la honte de la famille”, bah j’ai surement fini par penser que cela me définissait. 
Et à me faire à l’idée. Si bien qu’en première, ma prof principale m’a convoquée en fin d’heure pour me dire qu’elle avait remarqué que je ne finissais jamais mes phrases alors que je levais la main pour tenter de répondre. Et elle a à peine évoqué un blocage psychologique lié à mon enfance, que j’ai fini par pleurer sans pouvoir contrôler mes larmes. Clairement, j’étais dépassée et ne comprenais pas pourquoi je pleurais. D’ailleurs, je le lui ai dit : “je pleure, mais je ne sais pas pourquoi !”. Le fait est qu’elle avait mis le doigt sur quelque chose, elle avait touché une corde sensible et elle l’a compris, en voyant ma réaction. Je me souviendrai longtemps de ce moment et pourtant c’était en 2010.
Tout de suite quand elle a parlé de ça, j’ai pensé aux mots de ma mère. Ma mère, qui fait pourtant tout pour ses enfants. Je ne peux pas lui en vouloir, être parent, ça doit être le métier le plus difficile au monde. Je ne sais pas comment je serai quand je serai mère. Même si sur certains points, j’ai envie de dire que je ne serai pas comme elle, je sais pertinemment que je vais hériter de certains de ses traits de caractère qui m’exaspèrent, ça fait partie de la transmission...
Et, si je remonte à plus loin, j’imagine que les nombreux râteaux que j’ai essuyés à cause de mon physique ingrat au collège et en primaire ne m’auront pas aidée. J’ai quand même pas mal été moquée. Quand j’ai demandé à ce type pourquoi lui et ses camarades de classe (en primaire) m’appelaient “caniche”, et pourquoi je n’étais pas assimilée à un labrador, à la place, ils m’ont répondu que c’était parce qu’ “un labrador, c’est bien trop beau pour toi”. Bon, aujourd’hui, je me suis rattrapée, on ne m’appelle plus comme ça dieu merci, et globalement les mecs qui se seront moqués de moi me trouvent plutôt mignonne ou du moins pas vilaine, aujourd’hui. Je n’arrive pour autant pas à me trouver “jolie”, comme je disais plus haut, quand je me regarde dans la glace, c’est pour essayer de trouver des choses positives. Mais je sais qu’on est (beaucoup trop) nombreux.ses à se trouver de nombreux défauts physiques. Je n’ai rien inventé. 
Est-ce que ce sont entre autres, ces deux moments “clés”, qui font de moi la personne en manque d’assurance et d’amour propre que je suis ?
J’ai assez creusé le sujet pour ce soir. J’y reviendrai plus tard.
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