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#lampe de table iconique
nedgis · 1 year
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Jeu concours : tentez de gagner la nouvelle lampe à poser Pivotante, une réédition de Charlotte Perriand en vert « Le Corbusier » !
Exclusivité chez Nedgis, plongez dans les années 1950 et tentez de gagner la nouvelle lampe à poser Pivotante de Charlotte Perriand ! Une réédition du modèle original de 1950 en finition vert “Le Corbusier” par Nemo Lighting. Qui est Charlotte Perriand ? Designer et architecte française, Charlotte Perriand fait partie du mouvement moderne du 20ème siècle. Née en 1903, elle étudie les Arts…
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omagazineparis · 1 year
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5 idées de décoration pour votre chambre scandinave
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La chambre scandinave se caractérise par son esthétique douce, naturelle et très lumineuse. Intemporelle, elle résiste à toutes les tendances : c’est bien simple, on ne s’en lasse pas. Et il suffit de quelques astuces pour lui apporter une touche très actuelle. Un lit très cocooning : l’âme de la chambre scandinave Le lit constitue le cœur de la chambre. Dans une déco d’inspiration nordique, on privilégie un lit aux lignes épurées. Oubliez le blanc, un peu trop impersonnel, et préférez un lit en bois naturel. Si on mise sur un design sobre pour le cadre, on ne lésine pas sur le confort : du matelas au couvre-lit, sélectionnez soigneusement chaque élément. Pour créer un effet cocon en conservant l’esprit scandinave de la pièce, privilégiez les matières douces comme le lin. Déclinez des coloris doux, naturels et légèrement sourds : mauve, vert tendre ou couleur taupe. Si vous aimez les couleurs chaudes, osez les teintes solaires telles que la couleur terracotta ou l’ocre.  Un papier peint original pour pimper la chambre nordique Le papier peint géométrique iconique des années 2010 a vécu. Aujourd’hui, on lui préfère le papier peint panoramique. Non seulement il donne de la personnalité à la chambre, mais il permet aussi d’agrandir visuellement la pièce. Pour sublimer la chambre nordique, on craque particulièrement sur les motifs aquarellés, en osant les teintes profondes telles que le bleu nuit. L’alternative canon, ce sont les motifs géométriques XXL. Pensez aux kits de stickers muraux, qui permettent de réaliser une fresque sur mesure. Afin de réussir votre coup, posez le papier peint ou vos stickers sur le mur d’accent, en guise de tête de lit. A ne pas manquer : La décoration bohème, une valeur sûre Le fauteuil : l’atout chill de la chambre scandinave  La chambre scandinave est une pièce qui se veut douillette avant tout. Pour accentuer son caractère cosy, craquez pour un joli un joli fauteuil. Vous pouvez opter pour le fauteuil lounge en bois et cannage. Pour le rendre plus cocooning, accessoirisez ce modèle très actuel d’un plaid et de coussin. Celui qui fait mouche à tous les coups, c’est le fauteuil nordique en bois et laine bouclette, dont l’esthétique pleine de douceur accentue l’esprit intime de la pièce. Si vous disposez d’un espace suffisant, n’hésitez pas à l’associer à un bout de canapé, qui fera office de table d’appoint. Dans une petite chambre, adoptez le pouf, en privilégiant comme toujours des matières naturelles comme la laine.  Un luminaire très nature dans la chambre nordique Les luminaires assument avant tout une fonction pratique. Toutefois, il ne faut pas négliger leur potentiel en matière de déco. Dans la chambre scandinave, notamment, une suspension originale peut tout changer. Pour donner de la personnalité à votre chambre tout en préservant son esprit doux et épuré, misez en premier lieu sur la suspension. Le secret, c’est de choisir un modèle parfaitement proportionné avec la pièce. Le luminaire tendance de la saison, c’est la suspension en bambou. Vous pouvez toutefois opter pour le rotin. Pour la mettre en valeur, associez-la à des lampes de chevet ou à des appliques très sobres. Une touche boho pour twister la chambre scandinave La chambre scandinave se distingue par sa grande sobriété. Vous pouvez lui apporter une touche de charme supplémentaire en incorporant des éléments empruntés à d’autres styles de déco très actuels. Inspirez-vous par exemple de la décoration bohème chic. Végétaliser par exemple la pièce en disposant quelques plantes d’intérieurs – l’occasion d’adopter des cache-pots en fibres végétales. Pensez à la guirlande électrique, qui crée une ambiance lumineuse pleine de poésie. Pour habiller les murs et réchauffer la pièce, enfin, craquez pour une tenture murale. Read the full article
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les-monumentales · 4 years
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Eileen Gray
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1878-1976 Designeuse, architecte Grande-Bretagne/France 
Figure du modernisme, Eileen Gray a contribué à révolutionner le design et l’architecture. Un temps négligée, elle est aujourd’hui considérées comme une architecte particulièrement influente.
C’est la fortune de son père qui lui permet de vivre sa passion dès ses débuts. Il l’encourage dans des études de peinture suivies à Londres puis à Paris. De passage à Londres au chevet de sa mère malade en 1905, elle passe par hasard devant une boutique de réparation de laque. Elle se lance alors dans l’apprentissage de cet art asiatique. De retour à Paris, elle rencontre l’artisan laqueur japonais Seizo Sugawara. Avec lui, elle apprend pendant quatre ans les subtilités du laquage. Ils collaborent pendant une vingtaine d’années.
Eileen Gray s’achète un appartement et installe un atelier de tissage puis de laquage. Le soutien financier de sa famille lui permet de vivre alors que la stabilité de son commerce n’est pas assurée. Elle crée des panneaux décoratifs aux motifs géométriques ou d’inspiration japonaise et commence à se faire un nom. En 1917, on lui confie avec Seizo Sugawara la décoration de l’appartement d’une célébrité, rue Lota. 
Eileen, qui s’est initiée au tissage, réalise des tapis, mais aussi des lampes, des paravents laqués en briques indépendantes, des panneaux de laque et des pièces originales bientôt emblématiques tels sa chaise longue « Pirogue » en bois laqué ou son fameux canapé japonisant « Lota » dont les coussins reposent sur des cubes. Ce dernier modèle est encore vendu aujourd’hui. C’est un triomphe dans la presse qui loue le luxe absolu de ce design d’intérieur.
Sur cette lancée, elle ouvre la boutique Jean Désert en 1922, un nom d’homme complètement inventé. Elle y vend ses créations de mobiliers et ses laques à une clientèle chic et très en vue. Exposante au Salon des artistes décorateurs en 1923, elle y présente sa chambre Monte-Carlo qui ne fait pas l’unanimité. C’est à cette époque qu’apparaît dans ses créations le tube de métal chromé. Elle se rapproche également de l’influent mouvement artistique néerlandais De Stijl. En 1925, elle crée une de ses pièces iconiques, la table ajustable avec une structure en acier tubulaire, inventée dit-on pour satisfaire le goût des petits déjeuners au lit de sa sœur. 
Elle renonce aux raffinements de l’Art déco pour s’engager dans la voie de l’épure et du fonctionnalisme d’un style plus industriel. Elle amorce un tournant moderniste et délaisse la laque pour les structures nickelées ou chromées. Elle crée des formes audacieuses, tel le fauteuil rond « Bibendum ». Au-delà du design de mobilier, elle s'intéresse de plus en plus à l’architecture. Avec Jean Badovici, elle dessine et construit de 1924 à 1929 la Villa E-1027 sur la Côte d’Azur, qui devient un emblème du modernisme. La structure est audacieuse, les meubles sont pliables ou directement encastrés dans les murs, tel le « fauteuil transat E-1027 ». À Menton, elle se fait construire sa villa Tempe a Païa, maison compacte et personnelle.
Eileen Gray s’inspire des cinq points de l’architecture moderne du Corbusier mais les réinterprète et élabore une réflexion critique et personnelle de ces enseignements. Elle donne à son travail une dimension collective en fondant l’Union des artistes modernes en 1929. Dans les années 1930, elle donne à son œuvre une coloration plus sociale. Elle se lance dans la conception de maisons populaires démontables et d’un centre de vacances en phase avec l’irruption des congés payés dans le quotidien des Français. Elle se montre précurseuse dans la réflexion sur le logement et l’urbanisme sociaux, une préoccupation qui imprègne ses créations de manière durable.
Pendant la Seconde Guerre mondiale, la maison qu’elle a dû fuir devant l’avancée allemande est pillée. À la fin de la guerre, alors que Le Corbusier ou Mallet-Stevens sont encensés de toutes parts, elle est peu à peu oubliée. Contrairement à d’autres femmes designeuses ou architectes de l’époque, elle n’a pas pu compter sur un réseau influent pour encenser ses œuvres, ni sur des hommes pour porter ses créations ce fut le cas pour Charlotte Perriand et Le Corbusier ou Annie Albers et son mari Josef.
C’est à la faveur d’un portrait publié en 1968 dans le magazine Domus, qu’elle est remise au goût du jour. Elle a alors 90 ans. Ses objets mis aux enchères s’arrachent et un industriel décide de relancer la production des fauteuils Bibendum et E-1027. Le succès est foudroyant. Elle s’éteint à 98 ans en 1976, sa notoriété retrouvée.
Photo : Wikipédia -  Domaine public
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Le Bauhaus en 10 pièces iconiques
Article de Marina Hemonet pour AD Magazine
(1) Wassily ou B3
Marcel Breuer
1925
Knoll
(2) Barcelona
Ludwig Mies van der Rohe
1929
Knoll
(3) Fauteuil F51
Walter Gropius
1920
Tecta
(4) Chaise Cesca
Marcel Breuer
1928
Knoll
(5) Tables gigognes
Josef Albers
1926
Vitra
(6) Le berceau en bois Bauhaus
Peter Keler
1922
Tecta
(7) Tapis
Anni Albers
1925 
Christopher Farr
(8) Lampe Kandem
Marianne Brandt
1928
Kandem (anciennement Körting & Mathiesen)
(9) Lampe WG25
Wilhelm Wagenfeld
1924
Technolumen
(10) La théière
Marianne Brandt
1924
https://www.admagazine.fr/design/shopping-design/diaporama/le-bauhaus-en-10-pieces-iconiques/53852
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