#la bete epoque | Explore Tumblr Posts and Blogs

i-adriassen · 5 days

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question de basket ?

Saviez vous que la chaussure gauche etait plus abimer que celle de la droite et pourtant c' est sur celle de la droite qui a crever la bulle d' Air la premiere...

La participation des partis de la droite sont a gauche devant Yael braun ... et celle de la gauche a droite...

Question assujeti a snipes pourquoi quand je vous ai dit les nike Air (+) pulse 270° ont une gomme de F1 pneu slic pneu tendre pneu dur pneu pluit :-" oui tout a fait cela " et que j' aurai insister sur 9 mois le Temps d' accoucher pour une femme... il le manager et vendeur de Snipes m' avait repondu a l' epoque que la solidite durerait meme un an ou Presque 11 mois ... de fin Decembre a mi Mai 5.5 mois deux fois moins de temps le magasin est responsable " Snipes " et me doivent 80€ / (sur) les 160€ payer.... ne serait ce que les chaussure Cortez x 1 paire le magasin Snipes n' a meme pas voulu me dedoiner une paire acheter une paire offert.. chez courrir Jim de son prenom face a la bete de sergi brugherra ok 👌 non il manager Wang me dedoine juste de 20% hors periode de solde sur un seul article ... la fumisterie des metiers du commerce ne sait en rien si prendre pour rendre le client heureux ce sont meme des laches... des kumigawa : groupes de banlieu cheee ils vous ont ruiner les pendules a l' heure

happy birthday mister president....

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lescritiqueschelous · 5 years

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Vous ne savez pas à quoi ça ressemble le privilège d'un fils de homme blanc hétérosexuel ? Regardez donc le premier quart d'heure de La Belle Époque dans lequel Nicolas Bedos peut se permettre de mettre en scène deux des acteurs les plus brillants de leur génération (Auteuil et Ardant) dans une scène d'engueulade au dialogue digne d'un sketch des Inconnus : " - Merde ! - Putain ! - Fait chier ! - Au prochain croisement, tournez à droite. - Ta gueule, la connasse du GPS ! - J'ai oublié d'acheter du lait, putain !".

Tout le film n'est heureusement pas de cet acabit. Bedos a plein d'idées. Certaines font mouche. Si il s'accommode plutôt adroitement de sa chronique parallèle théoriquement casse-gueule de deux couples en crise, on reste un peu dubitatif quant à sa gestion d'un high-concept qui aurait étincelé devant la caméra d'un Gondry ou d'un Kaufman. Point de vertiges ou de faux-semblants. Dès ses premiers instants sur le plateau (très Plus Belle La Vie) censé reconstituer le Lyon des années 70, la caméra insiste sur les projecteurs au plafond, les feuilles de décor qui se décollent... Une courte séquence, riche en potentialités, voit Auteuil et Tillier, dans un élan d'insoumission à la fiction, explorer les décors avoisinants. Mais l'idée, vite expédiée, ne servira au final qu'à administrer une bonne grosse baffe à Adolf Hitler (certes bien méritée, mais bon...).

Non, ce qui intéresse Bedos, c'est le marivaudage — vitres sans tain et oreillettes ont leur importance — et surtout la possibilité de caler un maximum de dialogues bien balancés sertis de traits d'esprit néo-beaufs. On comprend pourquoi il choisit 1974 comme épicentre de sa nostalgie. Une année où un Bertrand Blier pouvait accumuler presque 6 millions d'entrées avec les Valseuses et durant laquelle son appétence pour le bon mot tenant aurait trouvé toute sa place. Seulement, dans le film, même ses personnages semblent en revenir un peu de ce petit trip vintage. "On était pas si libres que ça au final (...) puis j'avais l'impression de vivre dans un cendrier géant." Dommage que, cinématographiquement, le réalisateur ne suive pas lui aussi ce sentiment et n'élargisse pas un peu ses horizons.

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