Tumgik
#fond d cran japon
fidg3ty-blog1 · 5 years
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pursehouse-blog1 · 5 years
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reseau-actu · 5 years
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Donald Trump dresse un véritable cordon sanitaire autour du groupe chinois, qui le coupe de ses principaux fournisseurs.
Un blocus 2.0. Ou la version moderne du siège de La Rochelle. Avec un seul décret, Donald Trump a littéralement coupé les vivres à Huawei. Comme un général postant ses vaisseaux face aux ports de commerce, le président des États-Unis bloque de facto les approvisionnements en provenance de groupes américains et de pays alignés à destination du chinois.
«Les États-Unis ne sont pas la police internationale, ils ne peuvent pas diriger la terre entière», a déclaré Ren Zhengfei, PDG et fondateur de Huawei, à Bloomberg samedi. Pourtant, les rangs des entreprises et des États qui cessent leurs relations avec son groupe s’étoffent inexorablement. La situation de Huawei est de plus en plus comparable avec celle de l’Iran. Donald Trump interdit non seulement à ses entreprises nationales de commercer avec l’adversaire, mais aussi à celles des pays «amis».
La situation de Huawei est de plus en plus comparable avec celle de l’Iran
Prudents, leurs dirigeants préfèrent perdre un client - fût-il important - plutôt que de risquer une amende ou une arrestation s’ils posent le pied le sol américain. L’entrée en lice d’ARM, un fabricant de processeurs britannique racheté par le japonais Softbank, reflète l’effet de souffle de la bombe Trump. De nombreux fournisseurs de Huawei utilisent des brevets d’ARM pour développer leurs propres produits. ARM leur refuse désormais le droit d’utiliser ses licences pour des semi-conducteurs destinés à Huawei.
» LIRE AUSSI - Huawei, chronologie d’une crise ouverte entre la Chine et les États-Unis
Le groupe de Ren Zhengfei pourrait être dans l’incapacité totale de produire ses smartphones - secteur dans lequel il est le numéro deux mondial au coude-à-coude avec Apple, derrière Samsung - et ses équipements 5G. Il s’agit là de matériel qu’il fournit aux opérateurs pour leurs réseaux mobiles. Les britanniques Vodafone et EE - filiale de l’opérateur historique BT - ont décidé eux aussi d’éviter toute friction avec les Américains. Ils ont «suspendu» des commandes de smartphones passés auprès de Huawei, en réaction aux décisions américaines, faisant monter la tension d’un cran supplémentaire. La marque chinoise est non seulement privée de ses fournisseurs, mais aussi de ses clients.
Pris au piège des tensions sino-américaines
La nouvelle arme brandie par Donald Trump, un décret interdisant le transfert de logiciels ou de technologies américains vers des sociétés «à risques», a atteint son objectif. Google a été le premier à annoncer dès le 19 mai qu’il ne distribuerait plus son système d’exploitation Android à Huawei. L’onde de choc s’est rapidement propagée aux autres fournisseurs américains du fabricant chinois, qu’ils soient directement ou non en relation avec lui. Les champions des semi-conducteurs, notamment Qualcomm et Intel, sont venus grossir les rangs américains, suivis par Microsoft quelques jours plus tard. Privé d’Android, le groupe chinois pouvait envisager de développer son propre système d’exploitation, mais sans les puces de Qualcomm, l’équation était devenue un peu plus compliquée à résoudre. Avec l’extension des sanctions mises en place par des entreprises non américaines, Huawei est bel et pris au piège des tensions sino-américaines.
Brouillonne en apparence, la stratégie de Donald Trump s’avère une redoutable machine à isoler Huawei. Il a ouvert les hostilités quasiment dès le début de son mandat. Il a d’abord interdit Huawei sur son territoire pour la 5G, avant d’encourager les pays alliés à faire de même, sur fond de soupçon de possibilité d’espionnage. Le message a été entendu par l’Australie, la Nouvelle-Zélande et le Japon. La France est en train de se doter d’une loi qui soumet à autorisation les équipements des réseaux choisis par les opérateurs télécoms pour la 5G. Si le nom du groupe chinois n’est jamais mentionné dans le texte, il n’en a pas moins été surnommé «loi Huawei». Les nombreuses volte-face de Trump dans ce dossier ne changent rien sur le fond. Pour croître, les entreprises ont besoin d’un environnement stable. Le président américain a noyé Huawei dans le brouillard.
Cet article est publié dans l'édition du Figaro du 28/05/2019. Accédez à sa version PDF en cliquant ici
Source: premium.lefigaro.fr
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reseau-actu · 5 years
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Donald Trump dresse un véritable cordon sanitaire autour du groupe chinois, qui le coupe de ses principaux fournisseurs.
Un blocus 2.0. Ou la version moderne du siège de La Rochelle. Avec un seul décret, Donald Trump a littéralement coupé les vivres à Huawei. Comme un général postant ses vaisseaux face aux ports de commerce, le président des États-Unis bloque de facto les approvisionnements en provenance de groupes américains et de pays alignés à destination du chinois.
«Les États-Unis ne sont pas la police internationale, ils ne peuvent pas diriger la terre entière», a déclaré Ren Zhengfei, PDG et fondateur de Huawei, à Bloomberg samedi. Pourtant, les rangs des entreprises et des États qui cessent leurs relations avec son groupe s’étoffent inexorablement. La situation de Huawei est de plus en plus comparable avec celle de l’Iran. Donald Trump interdit non seulement à ses entreprises nationales de commercer avec l’adversaire, mais aussi à celles des pays «amis».
La situation de Huawei est de plus en plus comparable avec celle de l’Iran
Prudents, leurs dirigeants préfèrent perdre un client - fût-il important - plutôt que de risquer une amende ou une arrestation s’ils posent le pied le sol américain. L’entrée en lice d’ARM, un fabricant de processeurs britannique racheté par le japonais Softbank, reflète l’effet de souffle de la bombe Trump. De nombreux fournisseurs de Huawei utilisent des brevets d’ARM pour développer leurs propres produits. ARM leur refuse désormais le droit d’utiliser ses licences pour des semi-conducteurs destinés à Huawei.
» LIRE AUSSI - Huawei, chronologie d’une crise ouverte entre la Chine et les États-Unis
Le groupe de Ren Zhengfei pourrait être dans l’incapacité totale de produire ses smartphones - secteur dans lequel il est le numéro deux mondial au coude-à-coude avec Apple, derrière Samsung - et ses équipements 5G. Il s’agit là de matériel qu’il fournit aux opérateurs pour leurs réseaux mobiles. Les britanniques Vodafone et EE - filiale de l’opérateur historique BT - ont décidé eux aussi d’éviter toute friction avec les Américains. Ils ont «suspendu» des commandes de smartphones passés auprès de Huawei, en réaction aux décisions américaines, faisant monter la tension d’un cran supplémentaire. La marque chinoise est non seulement privée de ses fournisseurs, mais aussi de ses clients.
Pris au piège des tensions sino-américaines
La nouvelle arme brandie par Donald Trump, un décret interdisant le transfert de logiciels ou de technologies américains vers des sociétés «à risques», a atteint son objectif. Google a été le premier à annoncer dès le 19 mai qu’il ne distribuerait plus son système d’exploitation Android à Huawei. L’onde de choc s’est rapidement propagée aux autres fournisseurs américains du fabricant chinois, qu’ils soient directement ou non en relation avec lui. Les champions des semi-conducteurs, notamment Qualcomm et Intel, sont venus grossir les rangs américains, suivis par Microsoft quelques jours plus tard. Privé d’Android, le groupe chinois pouvait envisager de développer son propre système d’exploitation, mais sans les puces de Qualcomm, l’équation était devenue un peu plus compliquée à résoudre. Avec l’extension des sanctions mises en place par des entreprises non américaines, Huawei est bel et pris au piège des tensions sino-américaines.
Brouillonne en apparence, la stratégie de Donald Trump s’avère une redoutable machine à isoler Huawei. Il a ouvert les hostilités quasiment dès le début de son mandat. Il a d’abord interdit Huawei sur son territoire pour la 5G, avant d’encourager les pays alliés à faire de même, sur fond de soupçon de possibilité d’espionnage. Le message a été entendu par l’Australie, la Nouvelle-Zélande et le Japon. La France est en train de se doter d’une loi qui soumet à autorisation les équipements des réseaux choisis par les opérateurs télécoms pour la 5G. Si le nom du groupe chinois n’est jamais mentionné dans le texte, il n’en a pas moins été surnommé «loi Huawei». Les nombreuses volte-face de Trump dans ce dossier ne changent rien sur le fond. Pour croître, les entreprises ont besoin d’un environnement stable. Le président américain a noyé Huawei dans le brouillard.
Cet article est publié dans l'édition du Figaro du 28/05/2019. Accédez à sa version PDF en cliquant ici
Source: premium.lefigaro.fr
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