Tumgik
#comme y'a rien qui pardonne toute sa merde
jade-curtiss · 10 months
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Tfw quand ton ex belle mère gagne un concours de plotte (duchesse du carnaval en 71), ça vire mal, pis faut qu'à parte en rampage pour détruire la vie de plus de gens possibles parce-que. Juste. Parce-que.
#c'est pour ça je leak pas de nom parce-que techniquement tout a chier par sa faute#comme presque tout y est passé comme le niveau de provocation était phénoménal#le niveau de manipulation sur tout son entourage a un niveau qu'aucun de ses enfants est réellement autonome et ce dans trentaine avancée#sti d'échec...imagine se prendre pour une autre à ce niveau#comme y'a rien qui pardonne toute sa merde#comme a mit toute la pression possible pour toute faire saboter pis yep a tout les niveaux#comme j'sais pas ce qu'elle a crissé dans tête à ses enfants mais si y passent pour des creeps c'est carrément un problème fondamental dans#leur éducation#comme aucun de ses trois enfants semble avoir d'ambition outre la totale complacence face à leur sort#c'est tellement dégueulasse#comme peu importe ce qui s'est passé c'est pas comme si elle avait pas choisit d'aller sur le stage comme si ça s'est mal passé après#c'est plate mais c'est les conséquences#c'est pas parce-que ta vie va mal qui faut que t'impose autant de controle sur comment les autres vivent leur vie#surtout que la sienne à la vie attrocement comme c'est juste vautrer son surplus de cash dans face du monde pis caller ça de la charité#comme ça faisait juste m'écoeurer comme rendu là j'comprend pas pourquoi on juge le monde qui paient pour du cul#si n'importe-quel riche pensent qui peuvent littéralement acheter une personne de manière permanente comme un animal domestique#pis honnêtement les cossins de riches souvent c'est fucking ordinaire ben sincèrement comme y'a pas tant de justification#c'est souvent juste du junk ben drabe pis j'm'en calisse...
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Jour 2 : toujours avec Connor, toujours à Toulouse
Micron à dit hier à la téloche que demain midi il fallait qu'on sorte avec nos auto-autorisations pour aller acheter des céréales et du PQ. Comme dans notre cagibi, nous sommes dépourvus d'imprimante, on a été faire des courses avant midi parce que y'a beaucoup de lettres à recopier à chaque fois qu'on veut sortir à partir de maintenant, donc il faut y réfléchir à deux fois et penser stratégique.
Ce matin donc, en guerre, on décide d'aller au monoprix acheter du ketchup (pour les patates), des céréales (parce qu'on commence à régresser) et quelques fruits pour la santé et le moral. Rue de Metz, un mec crache ses poumons à deux mètres de moi, sans mettre sa main devant sa bouche, je lui crie « ohhhhhh tu peux pas faire gaffe putain », Connor n'est pas content que je l'invective de la sorte, on finit par s'engueuler et je le traite de « cunt ». J'espère que, sous mon cache nez et ma fausse écharpe burberry sensée bloquée le virus il a pas entendu, c'est loupé. Je m'excuse dans la queue à distance du monoprix mais j'arrive pas savoir si il me pardonne car son visage est également enfoui sous les couches de cache-nez et écharpes diverses. On s'amuse à regarder les petites vielles qui tentent de gruger la queue au monoprix et les gens qui pestent sous leur masques.
Le reste de la journée se passe tranquille, rien à raconter, je commence à douter de la possibilité de tenir un journal sur la durée, comme je commence déjà à bien me faire chier.
Connor se fout de ma gueule quand je fais mes abdos, n'empêche que je vais finir par être un Apollon, rira bien qui rira le dernier.
Le soir, on ouvre une bouteille de gin et on skype avec Gilles, Zabou, Théo, Solène et Ju. La connexion de Solène est pas terrible comme elle vit en Ardèche, du coup ça pixelise mais on s'en fou. On voit pas le temps passer, on descend la bouteille de Gin avec Connor sans vraiment réaliser. A minuit on tambourine à la porte, les flics. Un voisin s'est plaint qu'on parlais trop fort, et les flics me demande c'est qui qui montre son cul à la caméra. Je lui répond que tout le monde montrait son cul en même temps, c'est ça qu'est drôle, il nous met un amende de 75 euros. Je me retiens de lui dire tout mon dégoût pour son métier de merde, je lui rappelle quand même que je suis étudiant et que ça me fout dans une merde noire. Il s'en fou, j'en attendais pas moins de lui, je ferme ma gueule, je vais pas en plus me taper un outrage.
Les flics se barrent, la fête continue sur internet.
Il est 2h, on file au lit, 75 balles de moins sur le compte déjà vide, mais l'impression d'avoir passé un bon moment, ça fait du bien en temps de confinement.
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