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albert-baso-fuster · 1 year
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Albert Baso Fuster
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res--publica · 2 years
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oh flam 🍮 i love you 🍮
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homomenhommes · 15 days
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saga: SOUMISSION / DOMINATION 173
Aménagement du Second (en vue de la touze estivale)
Dans la semaine qui a suivi notre décision d'aménager le second étage en dortoir, Olivier nous faisait passer les plans et nous rencontrions l'entrepreneur pour le devis.
Il est arrivé toujours aussi " sexe " même avec 3 ans de plus. Short court, cater aux pieds et marcel blanc immaculé. Dans le séjour/salon, nous étalons les plans sur la grande table et lui expliquons ce qu'on attend de lui. Nous montons voir sur place. Il donne quelques coups de tournevis dans les cloisons pour vérifier que ce ne sont, justement, que des cloisons en briques. Nous parcourons tout l'étage et il nous dit qu'il va devoir revenir avec son plombier et son électricien afin d'établi un devis qui tienne la route. Il nous quitte après un apéro léger et l'assurance de revenir dès le lendemain fin d'après midi avec ses collègues.
Ils déboulent à 4. Il me les présente, deux mecs 40aine le plombier et l'électro et, le dernier la 20aine, son Second. Si le Maçon et ses collègues sont softs (pantalon et chemisette), son Second lui est dans la tenue que son chef avait la veille, short aux jambes roulées sous les fesses, marcel blanc moulant et Cater aux pieds. Je déshabille ce dernier du regard. Un beau mec musclé, bronzé, avec un sourire " Colgate " qui lui barre le visage. Quand nos regards se croisent, je reconnais un des apprentis de la piscine. Il me fait un clin d'oeil complice.
Nouveau passage au Second, les deux artisans complémentaires prennent leurs notes et nous quittent. Le Maçon et son Second restent un peu afin de soit disant vérifier l'état de la piscine 3 ans après. Ils commencent par faire le tour du bassin, vérifiant la terrasse, les margelles. Pour vérifier le rebord intérieur, le Second se met à 4 pattes et se penche au dessus de l'eau. Le Maçon à mes cotés me fait la remarque que s'il s'est bien développé (son apprenti), c'est toujours la même salope que quand ils étaient venu faire la piscine. Je me penche au dessus du jeune mec et pose ma main droite sur son short tendu par ses fesses musclées. Ce simple geste le fait se cambrer. Il m'a l'air d'avoir évolué aussi de ce coté là, je me rappelais un jeune mec beaucoup plus timide. En attendant, mes doigts glissent sous la ceinture qui baille dans son dos. Je ne perçois pas le tissu d'un slip. Comme j'en fais la remarque au Maçon, il me dit que c'est plus simple et plus rapide quand il a besoin de se vider les couilles. Je me redresse et je soupèse son paquet. Son 18 épais commence à s'alourdir et je lui défais ceinture et boutons. Le pantalon tombe sur ses pieds et je retrouve la belle bite avec laquelle j"avais joué. Son Second s'était retourné ;et sans se relever, sa bouche est venue avaler la queue de son patron. J"ai pu voir que mes leçons de l'époque avaient bien porté leurs fruits (cf. la piscine parution en 2007 ou 8). C'est toute entière qu'il lui a enfoncé dans la bouche. Ma main du coup passait des couilles pendantes à la gorge du suceur, sentant se soulever le larynx à chaque passage de gland. Je passais derrière le pompeur et les bras autour de sa taille, je déboutonnais son short. Il m'a un peu aidé pour que je le fasse glisser à ses genoux. J'ai découvert un beau fessier blanc rond, musclé et rasé de près.
Son patron me dit que je peux y aller, il s'assure qu'il est toujours " clean " quand il va chez des clients. De mes pouces j'écarte ses deux fesses et de vois une superbe rondelle rose plissée sans aucun poil. Je fais part de mon admiration. Maçon me dit qu'il s'était rappelé mes conseils et qu'il lui faisait faire mes exercices de contractions anales. Et pour me le prouver, sous mes yeux, Second s'est mis à faire palpiter son anus. Un véritable appel à la bite ! Maçon a senti mon excitation et très gentiment (où très commerçant), me dit que je peux en profiter. Après tout, j'avais bien participé à la formation de son apprenti. En 2 secondes je suis à poil sauf la queue revêtue de sa kpote. la " salope " en a profité pour se défaire de son short et de son marcel. Avec juste ses Caters aux pieds, il est encore plus bandant ! Son patron lui aussi s'est mis à l'aise. ;Ils reprennent la position, Second les jambes écartées. Je m'agenouille entre elles et pose mon gland sur sa rondelle. Son patron me dit que je peux y aller, il l'avait déjà enculé dan la matinée. j'ajoute une noisette de gel à l'interface et sans prévenir, enfonce mes 20cm jusqu'aux couilles. Surpris Second en ouvre encore plus la bouche et de ce fait, se prend son boss derrière les amygdales. Cela coupe court à tous reproches. Il serre son anneau et je ne peux plus bouger. Je caresse sa taille et le félicite d'une telle prouesse. Il se détend et je commence mes va et vient. Je commente à son patron le plaisir que son trou me donne. Il me dit que ça lui fait ça à lui aussi et c'est pour cela qu'il l'avait gardé et pas l'autre apprenti (même et probablement à cause du fait qu'il ait été plus expérimenté de la chose, l'autre apprenti). En attendant je me régale à sodomiser ce beau jeune homme. Sa position penchée en avant, les mains accrochées aux cuisses de son boss, me fait découvrir son dos et le développé en V de ses dorsaux. Ma main caresse ses muscles et je sens sous mes doigts frémir sa peau à leur passage. J'en glisse une sur son torse. Les pecs aussi sont bien développés et vu la taille des tétons, je me doute qu'il doit se les faire travailler. Quand mes doigts les font rouler, il gémit de façon fort convaincante tout en serrant sa rondelle ! Son boss me dit que l'année après la construction de notre piscine, son apprenti est venu loger chez lui et que comme cela il a bien pu le prendre en main (si l'on peut dire). Je le félicitais du travail effectué. Il me dit qu'en général ses clients en était très content et que ce ;plus de " services " par rapport à ses confrères lui assurait bon nombre de chantiers. Car même les hétéros les plus coriaces se laissaient tenter par le beau corps de Second et la promesse de plaisir qu'il pouvait leur donner. Promesse en partie connue par, en général, une pipe avant les signatures de commandes.
Je me régale de ce cul musclé et mes coups de reins semblent lui donner toutes satisfactions. Avec son boss, nous nous rappelons nos premières expériences ensemble autour du trou en chantier (la piscine, pas celui de l'apprenti !). D'ailleurs, à ce propos je me souviens que Maçon baisait bien et je lui indique que vu comme il était dur dans la bouche de son Second, il pourrait sans difficultés perforer mon cul.
Je lui tends une kpote et Second se charge de la lui enfiler. J'ai juste eu le temps de poser une grosse noix de gel sur ma rosette qu'il se positionnait derrière moi. Le temps de m'enfoncer à fond dans le cul de Second et je le sentais pousser sa bite large dans mon trou. Détente, il entre son morceau. La largeur me fait grimacer à la première intromission mais après ça va. Ses grandes mains rugueuses me prennent aux hanches et il me tire vers lui. Collé à son pubis, je sors de Second jusqu'à ne laisser que mon gland emprisonné dans son trou. Là je leur demande de ne plus bouger et je m'active. Sortie de Second = pénétration de Maçon et inversement enculage de Second = libération de mon trou. ça marche quelques instants jusqu'à ce que le Maçon soit trop excité et qu'il prenne les choses en main (si l'on peut dire). Là j'ai reçu des coups de bite qui par ricochet me faisait m'enfoncer dans Second et je profitais qu'il se retire pour faire la même chose. Pour moi peu de différence à part une certain " virilité " dans le geste mais pour Second, mes coups de bite se sont fait nettement plus hard et il devait s'arque bouter pour résister à la poussée de nos deux corps. Second a été le premier à juter sur le pavage de la terrasse. Ses contractions anales m'ont conduit à la même extrémité et enfoui au fond de ses boyaux, j'ai rempli ma kpote alors qu'au même moment je sentais le Maçon remplir la sienne plantée bien au fond du mien (de boyau).
Etalés sur les fauteuils de jardin, j'ai demandé à Maçon s'il ne recevait pas régulièrement des primes pour la réalisation du chantier. Il m'a répondu que non car quand cela se présentait, il laissait la chose à Second. Du coup je me tournais vers lui et lui posait la même question. Il m'a répondu franchement qu'il n'avait pas à se plaindre allant jusqu'à recevoir près de 10% (du montant facturé par son boss) sur certains chantiers un peu long. Rapide calcul mental et son boss avec moi, nous avons exprimé notre étonnement. Second de sourire et de nous dire que oui, il savait se " sacrifier " et que oui, il était devenu très bon à la chose (ça je m'en étais aperçu tout seul !).
Rapide passage aux douches du sous sol et nous étions présentables quand Marc est arrivé. Enfin avec Second toujours aussi sexe avec son short dont les bords roulés soulignaient le bas de ses fesses. D'ailleurs Marc y a réagit. J'ai vu se gonfler la masse qui lui pend en haut des cuisses. Le temps que je résume l'état d'avancement du projet, il fixait Second. Maçon qui s'en était bien aperçu lui a carrément proposé de baiser son Second histoire qu'après il soit réceptif à nos explications d'aménagement.
Sans attendre sa réponse, Second est venu s'agenouiller devant lui et sans attendre non plus de permission, lui a défait ceinture et braguette pour pouvoir sortir du boxer ses 22 cm. Après juste un " miammm " de commentaire, il a grand ouvert la bouche et sous nos yeux, nous avons vu disparaître entièrement la queue de Marc. Bien que nous soyons vidés récemment Maçon et moi, je me suis remis à bander et lui aussi. Un coup d'oeil appuyé d'un mouvement de tête de Marc et je m'agenouillais à mon tour mais devant Maçon pour imiter Second. Sans difficultés j'avalais les 18cm dans ma gorge (habituée a 22 de Marc et parfois plus de certains de nos amis, mais alors pas en position a genoux !).
Et les deux sucés d'échanger sur les techniques respectives de leurs deux suceurs. L'un appréciant les coups de langue enveloppant son gland quand il occupait la bouche, l'autre kiffant mes déglutitions quand il pénétrait ma gorge. Du coup, je m'appliquais à plus faire tourner ma langue sur le gland au passage de ma bouche et j'entendais mon voisin tenter la déglutition en gorge profonde. De chaque coté les mains sont venu se poser sur nos tête et prendre le relais pour le rythme, avec la remarque que nous étions deux bonnes salopes qui s'amélioraient à chaque instant. Un quart d'heure plus tard, notre savoir faire les avait entrainé vers l'issue attendu et Second et moi recevions leurs spermes. Moi sur mon polo et Second entre son marcel et la peau de son cou.
Avec le souvenir de la piscine et la stimulation d'une prime en cas de fin de chantier 4 semaines plus tard, nous avons conclu le marché.
Pendant toute la durée du chantier, j'ai fait deux points journalier avec notre " maître d'oeuvre " et /ou son Second. J'ai mieux compris pourquoi Maçon avait embauché Second. Ok coté sexe il assurait et même plus que bien mais aussi coté taf professionnel, il s'est révélé être une pointure. Organisation, surveillance, prise de décision, second n'a pas fait une faute. Et 4 semaines de chantier plus tard, nous entrions en possession d'un second étage totalement refait.
Comme prévu, nous disposons maintenant d'un dortoir de presque 100 m² avec tout au bout, contre le pignon l'installation sanitaire. Sur le mur gauche, les 6 lavabos (nous avons décidé d'en mettre plus que lors de nos premières idées), en face contre l'autre mur, les 3 WC et entre les deux les douches. Finalement, avec cette disposition, nous avons pu mettre 10 pommes de douches couplées par deux et avançant perpendiculairement au pignon. Le tout sur une surface carrelée avec juste une marche/rebord pour assurer qu'aucun débordement d'eau ne passe coté couchage.
Dans la zone " nuit ", Marc a décidé de faire réaliser un grand sommier de 10m de long par 2m de large et de le fixer au sol au centre de la pièce avec par dessus 5 matelas de 2m x 2m.
Dans le sommier, d'un coté des grands tiroirs pour y caser les couettes en cas de besoin et de l'autre un série de plus petits pour les accessoires indispensable dans notre maison : kpotes, gels, poppers, gants et une sélection de plugs et godes réalistics.
Je tapissais les murs de posters de stars du porno au cas, improbable, où certains manqueraient d'inspiration !
Résultat : une seconde salle de baise grand format dans la maison.
Nous décidions Marc et moi de la garder secrète jusqu'à son inauguration le WE de la Méga touze.
JARDINIER
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l'équipe du Ranch pour l'été
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borgien · 1 month
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Il m’avait proposé de venir dîner chez lui et alors qu’il se déplaçait dans sa cuisine, je le regardais, appréciant la façon dont son corps bougeait. il poursuivait notre conversation, mais mon esprit continuait de dériver, capturé par son corps, et je perdais le fil à plusieurs reprises. Chaque fois que cela arrivait, il me regardait, me souriait de son joli sourire et je pouvais voir sa verge durcir sous son pantallon de cuir. Je n’enregistrais pas la majeure partie de notre dîner – consommé par l’excitation.
A la fin du repas, il m’a demandé de me déshabiller. J’étais heureux d'obéir et j’étais prêt à faire tout ce qu’il me demanderait et pendant que j’ôtais mes vêtements, il semblait se concentrer principalement sur mon visage et mes yeux.
"Es-tu prêt à avoir envie de moi avec chaque fibre de ton corps ?" me demanda-t-il ?
 L'idée de me soumettre pleinement à lui ne faisait que me donner encore plus envie de lui. J'aime la façon dont il prend le contrôle. Je veux faire tout ce que je peux pour lui plaire.
Alors qu'il noue des cordes sur mes poignets et mes chevilles, je presse mon corps contre le sien, laissant mes doigts dessiner de douces figures sur sa peau, puis il s'éloigne. J'ai envie de le suivre, de continuer à le toucher, mais avec mes chevilles nouées ainsi, je ne peux faire que de petits pas. Alors, je me contente de regarder son corps autant que je le peux. Il revient et se dirige vers moi, il ralentit pour me laisser l'admirer – sa main serrant son entrejambe gonflée. C’est seulement lorsqu’il me le tend que je réalise qu’il a apporté un bâillon. J'ouvre la bouche, il me bâillonne, tirant ma tête sur son épaule tandis qu'il boucle le bâillon derrière.
Puis, doucement, il attrape mes mains, leur attache une corde, jette l'autre extrémité sur une poutre de support en hauteur et commence ensuite lentement à les tirer vers le haut. Ce n’est que lorsque mes bras sont tendus au-dessus de ma tête que je réalise à quel point je suis impuissant. Je suis à sa merci. Excité, je le regarde, plein de désir, ayant faim de son corps.
Il s’assoit sur une chaise paresseusement, me permettant ainsi d'avoir une vue complète de son corps. Il commence à déboutonner son pantalon de cuir sous lequel il ne porte aucun aucun sous-vêtement, sa verge dressée. Je me serais léché les lèvres si je n’avais pas été bâillonnée. Mon corps essaie de lui sauter dessus, mais ligoté comme je le suis, je ne vais pas loin. Alors que je m'appuie contre la corde, essayant de me rapprocher le plus possible de lui, le regard fixé sur sa queue, un petit gémissement de désir m'échappe de derrière le bâillon. Je commence à baver un peu. Un désir excitant remplit pleinement mon esprit, et tout ce que je peux faire, c'est regarder son corps à distance. 
Lentement, il commence à se branler, seulement le bout, en utilisant deux doigts. «J'aime que tu me regardes. Attaché comme ça, incapable de t'en sortir, ton désir pour moi ne fait que croître – je peux le voir dans tes yeux. 
Il commence à se branler sérieusement. Ses mains touchent tout son corps. Il caresse ses couilles, suce doucement son index, bougeant sa main de haut en bas autour de sa verge gonflée. Il se fait tout ce que je voudrais lui faire. Je gémis de désir pour lui. Je voudrais son corps contre le mien. Mais au lieu de cela, il me fait regarder. Il regarde mes yeux intensément, comme s’il voulait boire le désir qui est en eux. Je vois son dos se cambrer un peu. Des petites gouttes de sueur se forment sur son front. Et alors que je gémis de désir pour son corps, il se met à gémir aussi. Puis il se tend, et c’est comme si une belle vague se répandait sur son corps, faisant frissonner toute sa peau. Faisant frissonner ma peau. Et puis il jouit. Ses yeux se sont fixés sur les miens, des filets de sperme se répandent sur tout son ventre et sa poitrine.
Je regarde les perles de foutre que j'aimerais lécher sur son corps. Sa poitrine monte et descend, se dilatant, alors qu'il se remet de son orgasme. Sa queue, toujours raide, même si elle semble l'être un peu moins qu'avant, que j'adorerais sucer. Tandis que je regarde son corps, il n'y a rien que je désire plus que de le sentir contre le mien.
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humeurs-des-plaisirs · 10 months
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Le déshabillé
Nue sous ce déshabillé de satin, Tu l’accueilles comme on reçoit un amant, Avec ce léger sentiment d’indécence, Qui caresse ta peau, Et tend la pointe de tes seins, Excitée.
Tu aimes son sourire, La stature de son corps, Quand tu lui retires sa veste, Le parfum de sa peau, Quand il s’approche de toi. Sa voix sourde à murmurer ces mots, Qui enflamme tes sens, Attirée.
Ses mains qui glissent sur le tissu, Douces caresses qui descendent sur tes hanches, Ses doigts habiles qui délacent, Le cordon ceint autour de ta taille. Dévoilant à son regard, Les courbes de ton corps femelle. Révélée. Novice dans sa tenue d’intronisation, Sa main monte vers ta poitrine, Qui affleure à son regard, Cette paume qui saisit ton lobe frémissant, Sa bouche qui vient mordiller ton téton, Electrisée. Ouvrant un peu plus le vêtement, Ses ongles glissent doucement, De ta gorge jusqu’au bas de ton ventre, Quand l’autre main saisit ta crinière, Et te force à cambrer les reins, Offerte.
Tes poignets qu’il rassemble dans ton dos, Le cordon qui se liane autour, Et qu’il noue d’un geste précis, Tu ne sais plus opposer de résistance, A ses audaces délicieuses. Possédée ! Moite de tant d’indécence, Ses doigts plongent dans ton intimité, Et conquérants fouillent ton antre, Pour t’entendre gémir ton plaisir. Ils reviennent vers ta bouche, Pour te faire gouter le sirop de ton désir. Outragée. Que glisse ce vêtement, Ce soir…
… Tu appartiens !
Texte original : Psganarel - Les humeurs du valet
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peut-etre · 2 months
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C’était encore en mars. Il m’envoyait des messages mais je ne répondais pas, rencontre d’internet où tout est permis encore - même la méchanceté. Un soir j’ai répondu et c’était ce soir ou jamais. Il est venu, rencontre d’internet et j’étais prête jusqu’à mourir par un homme méchant. Je suis descendue, nous montons. Dans l’ascenseur j’étais prête à l’embrasser tout de suite mais la décence…la décence m’a empêché. Il apporte une bouteille de vin blanc, je le sers dans de grands verres. Il s’assoit face à moi, à l’autre bout de la table. Il dit dans l’ascenseur je voulais déjà t’embrasser. Je dis je suis intimidée. Il dit nous ne sommes pas obligés de parler. Nous fumons. Pourquoi tant de désir si vite. Il dit ce n’est pas que physique c’est le rapport au langage qui se voit chez toi, ton port de tête. Impression de déjà le connaître, déjà connaître cette scène. Donc… je le fais s’assoir à côté de moi, sur le petit canapé gris sans accoudoir. Je ne sais plus le premier baiser, c’est comme s’il avait déjà existé. Je sais à peine encore son corps. Je sais seulement la douceur de sa peau et ses cheveux coiffés rares, comme Holywood, un acteur, un comédien. Je ne l’ai même pas regardé rouler ses cigarettes. Je ne l’ai pas assez regardé, aveuglée du désir. Aveuglée. Il part le lendemain tôt à Bruxelles ; Bx. Un comédien. Le meilleur des mondes. Plein de pièces et d’auteurs américains que je ne connais pas. Il a presque quinze ans de plus que moi et j’ai l’impression que c’est moi qui l’ai attendu tout ce temps. On ne fait que s’embrasser. Devant la fenêtre il me fait cambrer par ses baisers, la bouteille à la main qu’il enroule autour de moi, il colle cette bouteille fraiche contre mes cuisses. Il part. Il part…Quinze jours d’attente quand il est à Bx. Ville maudite. Peux même pas dire le nom. Prête à y aller mais la décence m’empêche. Le lendemain il dit : j'ai des images de toi et la sensation de ta peau, la prochaine fois dormons ensemble. Peur jusqu’aux mains de tout gâcher, de perdre le désir ou qu’il devienne trop fort. J’ai perdu le curseur. J’attends. Tout est mauvais signe. 
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Le pipa du Surinam, par Jacques Brosse
Depuis plus de deux siècles, les naturalistes s'intéressent, avec un intérêt quelque peu morbide, au cas unique du pipa ou crapaud du Surinam.
Des 1705,Mademoiselle Sybille de Meriam a attiré l'attention des curieux sur son mode de reproduction, "unique - disait-elle - dans le monde animal". Néanmoins, et malgré toutes les études menées au cours des 18e et 19e siècles, le mode d'accouchement de cet amphibie n'a été élucidé que très récemment.
Le pipa est un gros crapaud ; une tête triangulaire très ouverte et aplatie, limitée au coin supérieur.
par des narines cornées en forme de trompette et à l'angle inférieur par des efflorescences de peau festonnée ; une bouche énorme sans dents ni langue, verruqueuse et hérissée de minuscules épines,
des pattes postérieures épaisses et très palmées, des pattes antérieures minces, avec des
doigts rigides comme des bâtons terminés par des pétales étoilés ; ces multiples particularités
empêchent le pipa d'être confondu avec tout autre membre de sa classe.
Pendant la saison des amours, le mâle tourne longtemps autour de la femelle, puis se précipite soudain sur elle et s'agrippe à son corps. Il reste ainsi accroché à son dos pendant plusieurs jours, immobile. Enfin, du ventre de sa compagne sort une énorme poche. Il se met alors au travail, plie soigneusement cette membrane pour qu'elle prenne place entre l'arrière de son dos à elle et son ventre à lui et appuie fortement sur ce sac.
il en sort un à un des œufs qu'il tartine entre les reins et les épaules et qu'il arrose d'un liquide séminal. Les œufs forment rapidement une couche gluante et homogène. En quelques minutes ils s'implantent doucement dans la peau, qui redevient presque lisse.
Nullement gênée par ce poids, la femelle reprend, insouciante, le cours de ses occupations jusqu'au moment où son épiderme se fissure en plusieurs endroits.
On peut voir une, puis deux pattes s'agiter dans l'air, trouver un appui à l'extérieur et se cambrer pour haler hors du sein maternel jusqu'au corps qui les suit, à la manière des ressuscités qui s'extraient eux même de la terre dans la célèbre fresque de Signorelli.
Quelques instants plus tard, c'est un cocasse fourmillement de membres, une prolifération de formes incomplètes. Les jeunes pipas s'agitent longuement au fond de leurs alvéoles, les uns penchés vers un milieu qu'ils ne connaissent pas, hésitant à y pénétrer, les autres, plus audacieux, s'aventurent déjà sur le sol, tandis que les cellules qu'ils occupaient restent béantes; enfin leurs bords se rapprochent imperceptiblement. Et, le lendemain, plus aucune trace de cette impressionnante opération.
La mère n'a pas semblé souffrir, et a même semblé s'en désintéresser. Quant au mâle, tant qu'il n'avait pas heureusement accompli sa tâche d'assistance à la naissance, il est impossible de le séparer de la femelle. On peut lui brûler les pattes, le mutiler, le décapiter, sans qu'il se détache. De plus, s'il est sous l'emprise du réflexe d'étreinte, s'il ne trouve pas ce qui lui convient, il s'accouplera avec un autre mâle, ou avec un triton, ou même avec un poisson: on les a vus s'agripper avec acharnement à des morceaux de bois flottants.
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cricxuss · 4 months
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Lorsque la nuit tombe et qu'il arrive tout sourire, je sais que cela ne va pas durer.
Il me regarde fixement, intensément. Je me mets à ses pieds sans prononcer un mot. A genoux et bien droite, je regarde la transformation. Il prend son temps. Son sourire devient tel un rictus, il penche sa tête en avant, ses yeux deviennent noirs, sans expression ! Je lève mes mains vers Lui, paumes bien tendues et j'attends... J'attends l'instant où il va devenir Lui. Ce Loup qui sera sans concession !! Ses mains se posent sur mes épaules, je sens ses doigts sur ma peau, sa force est telle que l'impression qu'elles sont en moi est la plus forte. Ma tête s'approche de son bas-ventre qui est gonflé d'envie, ses yeux m'en ont donné l'ordre.Mes mains, enfin, s'emparent de Lui, vont et viennent, puis ma bouche prend le relais. Je le sens se cambrer sous mes mouvements de va et vient ; Ses grognements de satisfaction me comblent de plaisir. Le Loup ce soir est de sortie et il est bon d'être entre ses griffes. Lorsque, enfin, la récompense suprême est sur ma langue, je sais que c'est le commencement .. La mutation est totale, terminée. A l'aube seulement, il se fera agneau et au creux de ses bras je m'endormirai.
Bon après-midi à toutes et tous :)
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humanbra · 6 months
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Our Way Back
Chapitre 9 : Saisir, Agir, Fuir
Où Morgane et Karadec se courent l'un après l'autre et Morgane tente de réparer ses conneries.
"Plus tard, il l'aurait couverte de baisers. Il l'aurait conduite à sa chambre, dont il aurait changé les draps la veille pour qu'ils soient encore frais quand elle s'y coucherait. Il lui aurait fait l'amour autant de fois que leurs corps leur auraient permis, l'aurait fait jouir autant de fois qu'elle l'aurait laissé faire, ne se serait jamais lassé de l'entendre gémir ni de la sentir se cambrer contre lui.
Et tout ça aurait pu arriver.
C'est presque arrivé.
Sauf qu'elle s'est enfuie en plein milieu du dîner.
Sauf qu'ils avaient déjà couché ensemble sous substance."
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albert-baso-fuster · 1 year
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Albert Baso Fuster
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grand-mechant-loup · 1 year
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La Punition
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Nous sommes sur le canapé. Nous nous embrassons depuis quelques minutes. Mes mains se sont maintenant glissées sous ton haut. Je voudrais caresser tes seins mais je n'en fais rien. Je me retiens malgré nos baisers qui s'intensifient. Je m'éloigne alors un peu et je te regarde dans les yeux.
- Tu vas te lever, aller dans la chambre et retirer tous tes vêtements. Ta culotte aussi. Je veux que tu sois complètement nue. Puis tu t'assois sur le lit et tu m'attends sans bouger. Je n'en ai pas pour longtemps.
Tu souris. Tu sais que ça commence maintenant et tu quittes la pièce.
Pendant ton absence j'ouvre le sac dans lequel nous rangeons nos accessoires. Pour l'occasion j'ai totalement dégagé le comptoir. Je dispose dessus, bien alignés, les accessoires qui serviront à ta punition : le fouet (type martinet à longues franges), la cravache, les pinces à seins et le plug. J'ajoute un tube de lubrifiant.
Alors, calmement, je me dirige dans la chambre, le sac à la main. Tes vêtements sont bien pliés sur le fauteuil et toi, tu es assise sur le lit, nue, les mains posées sur les genoux. Je pose le sac parterre tandis que tu lèves les yeux vers moi. D'un doigt sous le menton, je t'invite à te lever. Tu obéis et je t'embrasse. Ta bouche est délicieuse et si je n'avais pas un plan précis de ce qui doit se dérouler, je continuerais probablement à goûter tes lèvres et ta langue de longues minutes.
Pourtant je m'arrête.
- J'ai des choses pour toi.
Je plonge une main dans le sac et en sors une paire de menottes en cuir. C'est la première fois que tu les vois en vrai. Je les passe à tes poignets mais je ne les attache pas entre elles. Tu fais tourner tes poignets sous tes yeux pour mieux les contempler et tu souris. Je t'embrasse à nouveau. Je ne résiste pas à ton sourire... à ces lèvres...
- J'ai encore autre chose.
A nouveau ma main disparait dans le sac et en sort une petite boite dans un papier cadeau. Je te la tends.
- Qu'est-ce que c'est ?
- Ouvre !
Tu déchires alors le papier, ouvre la boîte en carton et en sors un collier en cuir assorti aux menottes. Tu souris encore. Nous en avons parlé. Le collier est un marqueur du contexte de domination/soumission dans lequel nous sommes sur le point d'entrer.
Je prends le collier et je le passe autour de ton cou. Je fais glisser le cuir dans la boucle de métal jusqu'à ce que le collier enserre ton cou. Mes gestes sont sec et bien que je veille à ne pas t'étrangler, je veux que tu sentes une forme de brutalité.
Le collier est fourni avec une chaîne reliée à un mousqueton que je viens accrocher à une boucle prévue à cet effet.
Quelques instant je laisse la chaine pendre le long de ton corps, entre tes seins. Le spectacle est magnifique et je ne peux m'empêcher de sucer des tétons l'un après l'autre. Tu soupires.
Je prends ensuite la chaîne dans ma main.
- Suis-moi.
Je te guide alors à travers l'appartement et nous nous retrouvons face au comptoir. Tu regardes les objets qui t'attendent.
- Pose tes mains sur le comptoir et ne les bouge plus. Recule un peu tes pieds et écarte les à la largeur de tes épaules. Voilà comme ça. Tu n'as plus le droit de bouger désormais.
La posture que je te fais prendre te pousse à te cambrer légèrement. Ton cul est tellement beau. Je pose ma main sur tes fesses. Je les palpe un peu. Ta beauté évidente me trouble profondément. Ton corps fin et élancé pourrait paraitre fragile mais il ne l'est pas. Je devine les muscles sous ta peau. Je sais qu'il vont bientôt se tendre sous l'effet de la brûlure des coups.
Je m'approche de ton oreille :
- A partir de maintenant, tu as interdiction de bouger sans mon accord. Nous allons y aller progressivement. Je vais commencer par le fouet pour chauffer ta peau. Ton dos, tes fesses et tes cuisses. Quand j'estimerai que cela suffit, nous passerons à l'étape suivante.
Tu hoches la tête même si tu sais que tu n'as pas besoin d'approuver puisque c'est moi désormais qui décide. Seul un "stop" de ta part mettra fin à ce que tu t'apprêtes à endurer.
Je prends alors le fouet, je me positionne derrière toi, à ta gauche et je commence à lancer quelques coups légers pour appréhender le mouvement de l'outil. Je fais en sorte que les lanières viennent s'étaler sur ta peau. Je commence par ton dos puis tes fesses, puis tes cuisses, puis je reviens sur tes fesses. Parfois, d'un petit coup sec je fais légèrement claquer les lanières contre ta vulve en les faisant remonter entre tes cuisses. Tu sursautes, plus de surprise que de réelle douleur.
Les lanières en daim sont assez douce et il faudrait vraiment s'acharner pour causer une vive douleur. Cependant, ta peau a joliment rougi et tu commences à te tortiller.
- Ne bouge pas !
Je continue encore mes coups pendants quelques minutes, alternant les zones de ton corps... Je me dis d'ailleurs qu'une autre fois je fouetterai volontiers ton ventre et tes seins. Mais ce soir ce n'est pas au programme.
Je repose le fouet sur le comptoir.
- C'est bien.
Je pose une main sur ton cul et et je t'embrasse dans le cou. Ma main glisse le long de tes fesses jusqu'à ton sexe. Je glisse un doigt entre tes lèvres pour mesurer ton excitation.
Tu gémis. Ton sexe est bien mouillé et je fais aller et venir mon doigt. Quelques instants seulement, le temps de t'arracher quelques gémissements supplémentaires, et je m'arrête brutalement.
- N'oublie pas que tu es punie.
Je suis derrière toi et je pose mes mains sur tes menottes.
- Redresse-toi.
Tu obéis tandis que je guide tes mains dans ton dos. Elles se croisent au dessus de tes fesses et je les fixe en attachant les menottes entre elles. Les épaules en arrière, le dos cambré, cette nouvelle posture fait ressortir ses seins dont je m’occuperai bientôt.
- Ne bouge toujours pas.
D’une légère torsion des chevilles tu sembles t’ancrer un peu mieux dans le sol, sans doute parce que tu sais ce qui t’attend.
Je prends cette fois la cravache.De l'extrémité en cuir, je commence à caresser tes fesses puis ton sexe. Je le tapote à répétition, de plus en plus fort. Tu retiens une sorte de protestation mais tu ne cherches pas à fuir.
Je m’écarte un peu. Je pose la tête de la cravache sur ta fesse droite comme pour mieux mesurer la distance… puis le premier coup part. Il est sec et claque fermement ton cul. Tu encaisses quasiment comme si de rien n’était. Le deuxième claque à son tour. Tu gardes la même position, la tête haute et fière. Les coups se mettent alors à pleuvoir, zébrant à chaque fois un peu plus la peau déjà rougie de ton cul. J’entends quelques gémissements étouffés. Je ne te ménage pas et pourtant tu résistes. De temps en temps une de tes jambes semble flancher pour permettre à ton buste et ton cul de pivoter et ainsi échapper au prochain coup. Mais c’est une vaine entreprise, je te rappelle aussitôt à l’ordre en fouettant la jambe incriminée. Tu te redresses alors aussitôt, de nouveaux prête à recevoir ta punition avec dignité.
Ce châtiment dure plusieurs minutes. Parfois tu lâches un cri aussitôt étouffé. Un ricanement aussi qui semble dire que ce dernier coup était spécialement douloureux mais spécialement délicieux.
Quand j’arrête enfin de faire claquer le cuir, tu reprends ton souffle. Je me rapproche de toi et je fais glisser une main entre tes fesses jusqu’à ta chatte. J’enfonce deux doigts en toi. Ta mouille est épaisse. Tu gémis et je me fais violence pour ne pas continuer cette caresse délicieuse. Ce n’est pas le projet pour l’instant.
Je prends cette fois les pinces à seins. Tu les connais bien. Elle t’ont déjà torturée plusieurs fois. Me tenant toujours derrière toi, mes mains rejoignent ta poitrine, pressent une pince pour l’ouvrir et la referme doucement sur ton téton. Ton corps ne se débat pas mais je sens que ton esprit est en lutte. En lutte contre la douleur que tu refuses de laisser te submerger.
Mon autre main inflige la même douleur à ton autre sein. Je laisse alors retomber la chaîne qui relie les pinces. Son poids t’arrache un sursaut doublé d’un léger râle de douleur.
- Plus tu bougeras, plus tu auras mal.
Et pour mieux illustrer mes paroles je t’assène un violent coup de cravache. Tu tressautes. Ton corps ainsi secoué fait bouger tes seins et la chaîne qui amplifie alors la douleurs au niveau de tes tétons.
Et mes coups de se répéter encore et encore. À ce stade tu ne peux plus retenir tes cris et je garde une oreille attentive à un éventuel "stop" qui pourrait surgir entre tes cris. Mais il n’en est rien.
Quand j’arrête enfin les coups de cravache, ton cul arbore des zébrure violacées et profondes. Je te murmure que je vais libérer tes seins. Tu frémis car tu sais la douleur que cela va engendrer.
Lentement, je desserre la morsure exercée sur un sein. Un râle s’échappe de ta gorge. Il exprime tout à la fois le soulagement qu’une vive douleur.
Je libère ton autre téton et de nouveau tu sembles abandonner toute retenue. Ton ventre se crispe, tu te contorsionnes sur toi-même jusqu’à ce que la douleur semble un peu plus supportable.
Je ne te laisse pas le temps de reprendre tes esprits. Je t’invite à te rapprocher du comptoir et d’une pression entre tes omoplates tu comprends que tu dois te pencher en avant. Tes tétons endoloris rejoignent le plan de travail. Tu gémis doucement.
De mon pieds je t’oblige à écarter plus largement les jambes. Ton cul s’ouvre. Je prends cette fois le tube de lubrifiant et en fais couler entre tes fesses. Sans ménagement, mon index profite de l’épais liquide pour s’enfoncer dans ton cul. De toute sa longueur, assez brutalement. Tu parais surprise et pousse un petit cri quand le deuxième doigt te pénètre. Tu es si étroite qu’ils on peine à se mouvoir. Je les fais pourtant aller et venir quelques temps jusqu’à ce que le passage s’assouplisse.
Je m’empare alors du plug. Tu le suis du regard comme pour confirmer encore une fois, que tu le trouves bien gros (et il l’est). De mes doigts couverts de lubrifiant, je le badigeonne de haut en bas. J’en fais le tour. Plus pour faciliter ma tâche que pour t’épargner une douleur. Il est large et de toute façon, il vas te bousculer.
Je le pointe en l’entrée de ton cul et je le pousse délicatement par petites pression. Je veux bien te faire mal mais pas te blesser.
La progression est lente et tu serres régulièrement les fesses ce qui a pour effet de rejeter le plug. Je reprends inlassablement mes gestes, autant de fois que nécessaire jusqu’à ce que la partie la plus large du plug ait fini d’écarter ton cul. Quand il se refermera, tu éprouveras d’abord une vive douleur qui lorsqu’elle s’estompera laissera place à un soulagement. Mais pour l’instant tu résistes encore et ton cul refuse d’avaler ce que je lui impose.
Une dernière poussée achève mon travail et tu pousses un cris puissant. Bien qu’il ne change pas vraiment de position, tout ton corps semble se tendre. Tu gémis profondément. Je te laisse alors reprendre ton souffle. Quand je te sens apaisée, je t’invite à te redresser. À ce moment là, le plug est toujours fermement ancré dans ton cul. Les mouvements de ton corps semblent s’articuler autour de lui. Tes jambes tremblent un peu. Je te prends dans mes bras, je t’embrasse tendrement comme pour te ramener à un état de conscience qui t’as un peu échappé. Tes paupières papillonnent, tu me regarde furtivement. Je détache alors tes menottes l’une de l’autre, puis je les retire de tes poignets. Je t’embrasse encore puis enfin, je retire ton collier. La séance punitive est terminée.
Tu tombes alors dans mes bras. Tu approches ton visage de mon oreille que tu sembles vouloir lécher mais au lieu de ça je t’entends me murmurer :
- Maintenant, je veux que tu m’encules.
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homomenhommes · 8 months
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story: JOURNAL D’UN CUL JOUISSIF / 16
16 | LE MAGASINIER DE L'HYPERMARCHÉ
Cette aventure s'est déroulée alors que j'avais 24 ans.
Quelques années plus tôt, un peu après mes 20 ans, alors que je faisais mes courses à l'hypermarché avec mon premier petit ami, je tombais régulièrement sur un magasinier d'une trentaine d'années, environ 1m90, brun et très mignon, qui achalandait les rayons.
J'avais cette étrange sensation de l'avoir déjà rencontré. Nos regards se croisaient mais nous ne nous parlions jamais car, toujours, mon copain m'accompagnait.
Un jour, celui-ci me téléphona, alors que j'étais au travail, pour me demander d'acheter, avant de rentrer, certains ingrédients qui lui manquaient pour le repas qu'il avait organisé chez nous pour des amis.
Je me rendis donc à l'hypermarché pour satisfaire mon copain. Hypermarché où j'ai, forcément, croisé ce magasinier qui ne m'étais pas totalement inconnu. Nous nous regardions en souriant. Puis au bout de quelques minutes, alors que je choisissais mes légumes :
"Euh. Excuse-moi." Dit-il en venant à ma rencontre.
"Oui ?" Répondis-je en me retournant.
"Je savais que je t'avais déjà vu quelque part. Tu ne prenais pas le bus XX au niveau de Xxxx ?" Demanda-t-il.
"Ah mais si. Je n'arrivais plus à me souvenir où je t'avais vu." Réagis-je, tout sourire.
"Tu es seul aujourd'hui ?" Ajouta-t-il.
"Oui mon copain m'a donné des corvées à faire avant de rentrer." Plaisantai-je.
"C'est drôle, à l'époque, j'étais sûr que tu étais homo aussi. Dommage qu'aujourd'hui tu sois maqué." Dit-il sur le ton de la déception.
"Et fidèle." Dis-je.
Quatre ans plus tard donc, après ma rencontre avec mon pote DJ, celui-là même qui a façonné mon cul en véritable cul jouissif, je tchatais sur le net, très tôt ce matin-là, à la recherche d'une bite pour me défoncer.
Un mec rentra un contact avec moi pour me demander de venir chez lui pour qu'il puisse m'enculer. Il me donna quelques instructions tels que : venir après un lavement minutieux et une épilation du cul impeccable, je devais porter un jean moulant légèrement craqué sous les fesses et au niveau du trou en ne portant rien dessous, de me mettre à quatre pattes sur le futon posé sur le sol dès mon arrivée et, surtout, ne pas parler.
Tout ce que je demandais quoi.
Je me suis préparé comme il me l'avait "ordonné". J'avais récupéré un vieux jean "moule cul" que je craquai consciencieusement et discrètement, au niveau des fesses. Je pris mon poppers et, casquette vissée sur la tête, me mis en route. Il était à peine 7h.
Arrivé en bas de chez lui, je sonnai, monta jusqu'à son étage et entra dans son appartement. Il était là, nu sous un peignoir léger. Légèrement plus grand que moi, la quarantaine, le corps tout en muscle et le visage un peu trop botoxé à mon, goût. Le futon se trouvait dans le salon. Dans le silence, je m'y suis installé à quatre pattes sans me dévêtir comme convenu. Il se plaça derrière, me prit par les hanches et s'amusa à me donner des coups de reins violents et secs. Il me caressa les fesses moulées dans mon jean et passa son doigt dans le trou fait exprès pour lui donner un accès direct à ma rondelle qu'il stimula aussitôt. Il retira son doigt pour y mettre la langue. Il semblait avoir quelques difficultés à attendre mon anus avec. Si bien que j'entendis mon jean caquer. Il avait élargi le trou qu'il estimait trop petit. Pendant qu'il me bouffait le cul, je ne pouvais m'empêcher de me demander à quel point il avait craqué l'arrière de mon pantalon. Je devais quand même rentrer en métro. Il continuait à me bouffer goulûment l'oignon. Un bon quart d'heure après, il se redressa pour placer sa queue bien bandée sur mon anus. Il saisit mes hanches et m'obligea à me cambrer davantage. D'un coup assuré, il introduisit sa bite dans mon cul à travers le trou dans mon jean qu'il avait, un nouvelle fois, élargi. Il me baisa ainsi durant dix minutes avant de me remplir de foutre. Nous nous relevâmes et je vérifiai l'arrière de mon jean dans un miroir qui se trouvait dans son entrée avant de m'en aller. Si je ne me baissais pas trop, rien y paraissait.
Sorti de son appartement, je pris la décision d'aller faire quelques courses à l'hypermarché. Il était encore très tôt, aux alentours de 8h30, et ne risquais de ne pas croiser grand monde. Seulement, faire mes courses ainsi, avec jean "moule cul" troué et, faut bien l'admettre, encore humide, m'excitait beaucoup. Je me baladais plus que je ne faisais mes courses dans les rayons.
Et là, je le vis, toujours aussi sexy, ce magasinier que je ne faisais que croiser depuis des années. Je ne sais pas si c'est le fait de m'être fait baisé plus tôt le matin ou savoir que j'avais le cul accessible par un trou dans mon jean, mais je suis allé lui parler en mode "bâtard".
"Salut. Ça fait un bail. Comment vas-tu ?" Dis-je en me tenant derrière lui.
"Ah. Tiens. Oui, ça fait longtemps. Je ne te voyais plus." Répondit-il, visiblement ravi de me revoir.
"Oui, mon mec m'avait entraîné ailleurs pour les courses."
"Ah. Toujours en couple, félicitations."
"Euh non. Plus depuis un an."
"Je suis désolé de l'apprendre. Moi, ça fait trois ans je vis en couple."
"Content pour toi." Dis-je déçu. "Pour moi, il ne faut pas être désolé. Je n'ai jamais été aussi bien et sexuellement, c'est l'extase. Je me sens enfin comblé."
"A ce point là. Vas-y, raconte." Dit-il, l'œil plein de malice.
Je lui raconta ma rencontre avec mon pote DJ, le fait que je donnais mon cul dès je pouvais et lui décrivais le plan que je venais de faire.
"Oh putain, t'es sérieux ? Moi qui aies toujours pensé que tu étais actif pure et dure. Et là, tu me dis que tu ne portes rien sous ton jean, que tu viens tout juste de te faire défoncer et que si tu te penches, on voit ton trou." Dit-il tout émoustillé. "Montre moi. Mais attends, pas là, vas là bas, c'est un angle mort pour la caméra." Je m'y rendis suivi du magasinier.
Je me suis penché, faisant mine de ramasser un truc au sol.
"Putain, c'est chaud... Fait chier, merde." Ajouta-t-il.
"Quoi ? Quelqu'un m'a vu ?" Demandai-je gêné en regardant partout autour de nous.
"Non, c'est pas ça. Je pensais à mon mec et à mon envie de te baiser, là, maintenant. Attends, reste là, j'arrive."
J'attendis quelques minutes puis le vis revenir vers moi.
"Suis moi." Dit-il.
Mes courses en mains, je le suivis sans poser de question. Nous arrivâmes devant la grande porte roulante de la réserve qu'il ouvrit.
"Entre. J'ai dix minutes de pause."
J'entrai et le suivis dans un dédale d'étagères géantes où se trouvaient des marchandises. Il s'arrêta entre deux d'entre elles et me sauta déçu pour m'embrasser en cherchant maladroitement le trou de mon jean qui lui donnerait accès au mien. Il me doigtais en continuant à me lécher les amygdales.
"T'as le cul encore lubrifier par son foutre."
"Oui et j'adore ça ."
"T'es chaud putain, c'est grave." Dit-il en me fouillant le cul avec plus d'envie.
Il s'accroupit et sortit ma queue demie molle pour la sucer.
"Désolé, quand je suis en mode bâtard, je ne bande pas aussi dure que si j'étais actif."
Il sembla ne pas s'en préoccuper et se mit à me sucer avec ardeur. Ma bite commençait à bander quand il se redressa, me retourna et me fourra sa grosse queue dans mon cul.
Il me baisa comme un bourrin très rapidement, là, dans la réserve, appuyés contre une étagère pleine de packs d'eau.. Il n'avait que dix minutes de pause après tout. Il s'acharnait sur mon cul comme s'il n'avait pas baisé depuis longtemps. Il se raidit et me remplit le cul.
En nous rhabillant, nous constatâmes du sperme sur le sol. Sperme qui avait dû couler de mon cul alors qu'il me défonçait.
Il me fit sortir de la réserve discrètement. Je passais en caisse et répartit chez moi, à pied, car le foutre coulait sur mes cuisses. Il était hors de question que je prenne le métro ainsi.
Nous nous sommes revus à l'hypermarché mais jamais rien ne s'était plus jamais passé entre nous.
Un nouveau souvenir qui, je l'avoue, m'a fait mouillé en l'écrivant. A très bientôt.
LE CUL JOUISSIF
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borgien · 12 days
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vous aviez dérobé ma ceinture (une assez vieille ceinture de cuir que je ne portais que pour nos rendez-vous du fait d’une certaine souplesse du cuir tout à fait adaptée à la fouettée), vous m’aviez dérobé ma ceinture donc et vous vous teniez devant moi ainsi, façon sans le dire de réclamer une fouettée, assis sur le fauteuil, je vous regardais sans rien dire, laissant passer ce qu’il fallait de temps pour que vous vous demandiez si j’allais vous la reprendre, d’une main vous obliger à vous cambrer, à tendre votre merveilleux petit cul et à le cingler et le marquer... ou bien attendre que vous me suppliez de le faire, à moins que je ne décide pour vous d’autres tourments...
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tastatast · 1 year
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Bar Canova - Hotel Villa d’Este
Un dia és un dia. Tot el glamour i el saper fare de l’Hotel Villa d’Este (Lago di Como, Itàlia) bevent una copa al seu elegant bar Canova. Cambrers amb americana blanca, pianobar i negronis. No calen més paraules.
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tournevole · 2 years
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AMOUR
Lors Tes lèvres d’amour entrouvriront ma vulve Et boiront mon désir Comme on boit un vin fou Ce désir Qui courait au long de mon Échine Et faisait se cambrer mes reins A ton toucher si doux Lors Je ne saurai plus si c’est moi que tu aimes Ou seulement Ta joie De me donner l’amour.
Simonne Azais, Poèmes interdits, Paris, La Goelette, 1953
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lesfoteses · 1 year
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Casa Ràfols
5 de febrer del 2023
Hem anat a dinar amb el Marc a la Casa Ràfols, un restaurant a tocar d'Arc de Triomf que durant la guerra civil i fins fa quatre dies era una ferreteria i ara és un restaurant. Durant la guerra tenia un menjador secret al soterrani, i des del 2019 han xapat la ferreteria per fer-ne un restaurant de dalt a baix. El coneixíem perquè va sortir a Joc de Cartes de TV3, però es veu que ja no existeix el capítol a la carta de la ccma... SOSPITÓS.
Només entrar ens va sorprendre l'olor d'ambientador. Tenen una mena de dispensador d'ambientador, aquelles cacharras blanques que van treient un fumet que en realitat són olors a boscos de pins, frutas del bosque i coses així. No sé ben bé a què feia olor la Casa Ràfols, però no era olor de restaurant. Més aviat olor de botiga de roba de l'H&M o algo així. La meva teoria és que se'ls ha espatllat alguna cisterna del lavabo i l'han de canviar, i mentrestant perquè no es noti la pudor d'aigua estancada i tal, han fotut aquest ambientador a tota hòstia. Una mica desagradable, pel meu gust.
El menjar, molt bo. Recomanem especialment la galta amb puré de carbassa, super melosa i amb un suquet espectacular. Tots els cambrers ens han semblat argentins, fins que la noia que ens atenia a nosaltres hem vist que de cop parlava en francès a un altre dels cambrers. Allà m'he perdut, però potser és una francesa que ha après el castellà amb argentins. Com John Carlin, que és un britànic que parla argentí. En resum, que Casa Ràfols està molt bé però no per guanyar Joc de Cartes (crec que no va guanyar, però com que han eliminat el capítol no ho puc assegurar).
Per cert, ja està disponible el reportatge sobre el Fakir Kirman del que vaig parlar fa uns dies. L'adjunto aquí.
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