Tumgik
#après on s'étonne je suis ailleurs
lady-foxy · 2 years
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Si demain je me lève avec les leaks de TR déjà sortis, ça va souffler dès le matin 😐 non mais paske après j'y pense toute la journée au boulot et vas y comment je me concentre moi quand on tombe sur des leaks consternant??
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gauchedecombat · 4 years
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et après, @RSouveraine s'étonne qu'on les prenne pour des fachos... #islamophobie
et après, @RSouveraine s'étonne qu'on les prenne pour des fachos… #islamophobie
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Qu’il y ait une mouvance islamiste radicale en fRance, comme ailleurs, c’est bien sûr une réalité, on ne saurait le nier, plusieurs attentats sont là pour le démontrer factuellement, je ne suis pas si naïf, ni aveugle. C’est bien sûr un danger que les antifascistes doivent bien sûr également combattre.
Toutefois, comme je l’ai déjà maintes fois explicité et argumenté ici, le prétexte du…
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perduintranslation · 5 years
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Noah Hawley - Avant la chute
Je ne suis plus sûr de la raison pour laquelle j'ai acheté ce polar assez classique, sans doute une chronique positive dans le Guardian, à l'époque où il était encore trouvable à Bruxelles les week-ends.
Le roman commence par la relation du crash en mer d'un avion privé et l’héroïque retour à la nage sur le continent de Scott, un ex-alcoolo, peintre qui n'a jamais réussi à vivre de son art et avait été invité un peu par hasard à profiter du vol. Durant toute une nuit, malgré le froid, les requins et une épaule démise, il va porter sur son dos le jeune fils de 4 ans du couple richissime qui a affrété l'avion et dont le mari est le directeur d'une chaîne d'informations en continu conservatrice très fortement inspirée par Fox News. Aussi sur le vol se trouvaient, entre autres, un banquier, sur le point d'être inculpé de blanchiment d'argent pour des pays ennemis (Libye, Corée du Nord,....) et un garde du corps israélien qui, jusque là, semblait indestructible. Les raisons de penser que le crash n'est pas juste un accident ne manquent donc pas.
Le reste du roman raconte ce qui se passe "avant la chute" selon une construction en flash-backs successifs parfois un peu labyrinthique. Pas sûr d’ailleurs que l'auteur lui-même s'y retrouve complètement puisque le pilote s'étonne de l'identité de son copilote, une fois lors du voyage aller à vide, pour aller chercher les passagers, et semble tout aussi étonné  deux heures plus tard, à l'embarquement du retour.
Le roman contient quelques autres indices qui laissent  penser qu'il n'a pas été écrit et relu avec toute l'attention qu'il mérite. Une petite dizaine d'éléments de scénario ou de phrases me semblent être des erreurs, ou à tout le moins pour moi incompréhensibles. 
Cela dit, l'auteur s'acquitte parfaitement de certains aspects de son roman. En premier lieu, j'ai bien aimé la description de la genèse de la chaîne d'informations , du passage de l'information pure à l'infotainment, de la relation objective (tant que faire se peut) des faits au storytelling, à la construction d'une narration orientée chargée de fidéliser les spectateurs blancs de plus de 45 ans. La manière dont Scott, homme d'âge moyen, accroché à sa sobriété comme à une bouée de sauvetage, tente après de longues années d'errance et de doutes, de trouver les mots justes face à la déferlante de sentiments faciles et d'opinions convenues que déversent à son sujet sans discontinuer les médias a également sonné très juste à mes oreilles.
Une belle attention est par ailleurs portée à tous les personnages, secondaires ou non. Le passé de presque tous nous est raconté en quelques pages, suffisamment en détail pour avoir une bonne perception de leur personnalité.
Dommage en revanche que la fin du roman soit un peu bâclée. L'énigme se résout un peu trop rapidement à mon goût et la confrontation finale entre Scott et le journaliste vedette de la chaîne d'information aurait gagné à être mieux écrite et plus étoffée. Elle était clairement le climax vers lequel tout le livre tendait.
Mais bon, ça se laisse lire.
(Noah Hawley - Before The Fall - Hodder & Stroughton / Avant la chute - Série Noire Gallimard)
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mrlafont · 7 years
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À partir de la pensée de Schopenhauer
Il y a quelque chose d'incroyable à se penser. Là, tout de suite, je vois ce livre ; je le touche en passant le dos de mes doigts sur sa tranche ; puis je sens l'odeur de ces pages qui le composent ; dans ma bouche, le goût de mon haleine ; j'entends mon environnement ; bref, je reconnais tous ces sens qui sont miens. Et tout cela me semble irréel, parce que je ne sais pas comment au juste je suis capable de faire cela. Mais cet étonnement survient seulement lorsque nous sommes parvenus à nous identifier avec un moi plus profond que notre corps : celui de la conscience. C'est à dire le sujet qui reconnaît les choses, cette conscience, cette présence, cet étonnement. Celui qui est étranger à la philosophie s'identifie à un moi qui le rassemble tout entier dans un sentiment d'unité, ainsi il ne se dissocie pas de son corps ni de ses sensations. Au contraire, celui qui se pense va concevoir (par l'exercice de la pensée) son corps et ses sensations comme des objets extérieurs, comme représentations. Disparaîtrions-nous donc si nous parvenions à prendre pour objet le fait même d'être cette conscience, cette chose qui perçoit toutes les autres choses ? Car cela aussi, je ne suis au juste capable de comprendre comment au juste cela fonctionne, que suis-je alors, si je rends cette chose-là extérieure à moi-même, faute de l'avoir pensée ? N’y a-t-il pas quelque chose qui soi moi et que je puisse comprendre tout entièrement ? Ce qui se passe alors, c'est que, prenant pour objet cette conscience, présence, sujet reconnaissant les choses, nous l'avons juste conceptualisé, mais toujours à travers cette faculté de percevant qui n'est lui-même rien d'autre que notre essence, autrement dit : volonté. Car on arrive ici à la limite, à l'essence même de notre être, et cette essence est volonté, dans le sens où, fondamentalement, nous ne pouvons pas être autre chose, ni vouloir être autre chose. En tout cas, on se trouve ici aux limites observables de l’étude de notre essnece. Cette vie, elle nous a été attribuée, donnée, imposée, mais à partir du moment où nous l'avons incarnée, il nous est impossible de la renier, car nous existons tout entier dans elle et par elle-même. Et dans aucun cas nous ne pouvons dire que nous la subissons, même si notre vie nous semble un fardeau et que nous souhaiterions en finir, elle nous est un fardeau seulement si nous espérons au fond qu'elle soit meilleure, c'est à dire par là que nous sommes cette volonté qui appelle au bien-être. Nous ne pouvons donc dire que nous sommes agi par une volonté qui nous est extérieure parce que nous sommes cette volonté et ne pouvons vouloir être autre chose que cette même volonté.
Ce qui par ailleurs est troublant, c'est que cette volonté, au point où j'en suis, je n'en connais pas la composition, c'est à dire que je ne sais ni ce vers quoi elle tend, ni comment elle agit, ni dans quelle finalité ? Il me semble bien aussi que cette volonté est ce que nous appelons destin, supposé que toute chose est déterminé par une volonté commune. Et cette volonté, aussi peu que j'en connaisse les différents aspects, m’apparaît comme cette espèce de mouvement perpétuel des choses en formes de cycles, une mouvance cosmique, ce balancement éternel des éléments. Mais vraiment, je n'en sais rien, ce sont juste des observations.
Il est vrai qu'il est difficile d'aborder un tel sujet sans ressentir un espèce de vertige angoissant qui semble nous emmener au bout de nous-mêmes et de notre possibilité de vivre tant c'est un problème saisissant sur le feu de la conscience le mystère de chaque instant dans tout ce que la vie a de mystérieux et de vertigineux dans chacun de ses instants.
Nous sommes ce sujet percevant par lequel s'exprime la volonté. Mais sur quel critère devons-nous définir la notion d'identité ? Pour ma part, l'identité est ce qu'en nous nous ne pouvons changer, ce qui nous gouverne, qui tire les ficelles, en un mot : notre essence, qui est principe cosmique. Par là nous sommes tous une seule et même volonté, puisqu'il s'agit de la même volonté qui s'incarne en toute chose. N'est-il pas d'autant troublant qu'un produit de cette volonté s'étonne d'elle-même ? Il y a là du miraculeux comme du dérangeant, car si cette volonté ne peut être autre chose dans tout ce qu'elle incarne, c'est dire que le destin de l'univers entier est à tout jamais scellé. Que tout soit déterminé, comment vivre après une telle affirmation ? Tout geste devient impossible, et se dire que cette impossibilité même était nécessaire et déterminé, prévue depuis toujours… Il faut oublier cette affirmation et vivre avec l'illusion de la liberté. Mais, finalement, d'une certaine perspective, qui est la notre, nous sommes libres fondamentalement, car la volonté est libre en elle-même, et nous incarnons cette volonté. Ce qui a de gênant c'est qu'en vérité nous ne connaissons pas en quoi consiste cette volonté exactement, mais peut-être est-ce ce qu'il y a d'excitant dans tout cela. De ne pas savoir nous réserve une infinité de surprises, sur quelles routes me mèneront mes déterminations ? D’autant plus qu’il me semble que notre vie de penseur nous la menons à déchiffrer les routes de la causalité, et que ce que nous y trouvons, c’est cela que nous appelons « vérité ».
Il me semble détenir une vérité dont nul ne veut entendre le nom. Qui dans ce monde voudra comprendre cela, dans ce monde où tous poursuivent frénétiquement des chimères ? Pourtant je ne suis pas le premier à le dire, loin de là, mais nous ne voulons pas savoir, nous n'avons pas le temps. Nous pourrions éviter tant de souffrances et désillusions, si seulement…
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