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#amina alaoui
yantekerlek · 1 year
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tejedac · 6 months
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Jon Balke & Amina Alaoui
Siwan, 2009 · https://spoti.fi/30Qp1ol
Jon Balke (Keyboards), Amina Alaoui (vocals), Jon Hassell (trumpet), Kheir Eddine M'Kachiche (violin).
Barokksolistene & Bjarte Eike (violin, conductor).
ECM 2042 * Lp info: https://bit.ly/30O1HI1
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readleafbooks2022 · 1 year
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【素敵な洋書絵本の紹介】 ミリアムとサミのうちには3匹の猫が住んでいました。 黒いアンゴラ猫のパシャ。 通りで見つけた灰色のぶち猫のミヌーシュ。 いたずら好きのシャム猫のアミール。 彼らはまるで王子様のように大切に扱われていました。 猫たちはミリアムのお腹の上で過ごすのが大好きでした。そしてミリアムのおなかは、日に日に大きくなっていきます。 ある日、猫たちは、ミリアムのおなかが動くのに気づきました。中に何が入っているのか、興味津々です。 小さな命と出会った、小さな猫たち。 彼らはどんな反応をするのでしょうね。 モロッコの作家とレバノン出身のイラストレーターの絵本です。  Alya and the Three Cats Contributor(s): Fidawi, Maya (Illustrator) , Hachimi Alaoui, Amina (Text by (Art/Photo Books)) , Retnani, Mehdi (Translator) EAN: 9782898022364 Publisher: Crackboom! Books Binding: Hardcover Pub Date: June 16, 2020 Target Age Group: 03 and UP Physical Info: 1.02 cms H x 28.45 cms L x 22.1 cms W (0.43 kgs) 32 pages Publisher Marketing: "A delightful addition to the new-baby shelf." -Kirkus Reviews Three very confused cats! The arrival of a new baby seen by three adorable cats. #mayafidawi #readleafbooks #art #picturebooks #本 #本棚 #絵本 #児童書 #絵本屋 #洋書絵本 #絵本が好き #絵本が好きな人と繋がりたい #芸術 #英語 #イラスト      @readleafbooks Webショ���プで紹介中。プロフィールからぜひどうぞ! https://www.instagram.com/p/CnmFzMCP-pP/?igshid=NGJjMDIxMWI=
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tragoediae · 4 years
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Amina Alaoui -  Fado Al-Mu'tamid
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voluptuarian · 6 years
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Weekly World Music: “Hija Mia”-  Amina Alaoui
Amina Alaoui is a Moroccan singer specializing in Andalusian classical music. She sings in Arabic, Classic Persian, Haketia, Spanish, and Portuguese and draws on the musical traditions of Portuguese fado, Spanish flamenco, and Persian and Arab-Andalusian classical music.
She has studied Arab-Andalusian and oriental music extensively, specializing in Andalusian classical music, the gharnati (Arabic for "Granada") style in particular, as well Medieval and Persian classical music.  “Hija Mia” is from her 1998 album, Alcantara.
The original Ladino lyrics are included in the video, Ennglish translation below:
My dear daughter, Aman, aman, aman Don't cast yourself into the sea.
Because the sea is unforgiving See, it will carry you away
Let it take me, let it bring me Aman, aman, aman seven fathoms deep
Let me be swallowed By a black fish To save me from love
(Repeat)
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nautilodorado · 7 years
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“Niña no vayas a la mar, que la mar te va llevar, como se lleva la luna vestida de espuma y sal. Niña corre por la arena que las olas te cantarán. Una vieja canción de cuna con el rasgar de un collar. Niña échate al sol desnuda para que te pueda besar. Yo no soy el mar, mi niña, soy el que te quiere amar. “
- Hija mia mi querida Aman, aman, aman No te eches a la mar  Que la mar esta en fortuna Mira que te va llevar.  Que me lleve que me traiga  Aman, aman, aman Siete puntas de hondor  Que m’engluta pexe preto Para salvar del amor 
Andalo-Sefardic song - Amina Alaoui
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Hija Mia - lyrics/letras ( Andalo-Sefardic song - Amina Alaoui)
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Alya et les trois chats de AMINA HACHIMI ALAOUI
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Aperçu de l’album jeunesse :
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Mon avis :
Un très bel album ! 
J’ai adoré cet album. Il est beau. Ses dessins pastels sont superbes : des couleurs douces, apaisantes et réconfortantes à l’image de l’histoire, à l’image d’Amour. 
Une belle histoire !
Alya est une jeune femme. Elle a recueilli trois petits chats abandonnés, elle leur voue un amour sans borne. Elle les…
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planetesoufie · 4 years
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Pour écouter le morceau, cliquez ici  : القناة الرسمية - سماع الطريقة القادرية البودشيشية
Renouveau du samaa’ ou retour à la source ?
L’exemple du groupe officiel de la Tariqa Qadiriya Boutchichiya
 « Gloire à Toi ! Nous n’avons de savoir que ce que Tu nous as appris. Certes c’est Toi l’Omniscient, le Sage » Coran, Al Baqarah, 32.
Pendant cette période de confinement, le monde musulman soufi a été lui aussi inventif pour contourner la distanciation sociale et continuer le cheminement sur la Voie d’Allah, le Tout-Généreux, le Vivant, Celui qui pourvoie à la subsistance de la Création.
Plusieurs initiatives ont vu rapidement le jour : connexions via internet aussi bien pour les réunions d’invocations de Dieu (dhikr) que pour des conférences, présentations et autres initiations au tassawwuf (soufisme), Lives Instagram/Facebook pour les psalmodies de Coran et le samaa’ (audition spirituelle), soirées Live de commémoration (soirée du 15 Cha’ban, Ramadan, soirée de Laylat al Qadr, ‘Aid Al Fitr…).
Je me souviens encore de la joie immense que j’ai ressentie lors de l’annonce du début des réunions d’invocation via Zoom, ou encore mon enchantement lorsque j’ai assisté au 1er live Instagram sur le thème du samaa’, où j’ai eu le bonheur d’écouter pendant quelques heures, des musammi’ines (chanteurs de samaa’) faisant partie aussi bien de ma confrérie que d’autres confréries soufies. Une brève immersion technologique à chaque fois dans cette ambiance si particulière, un mélange de soumission sérieuse et de joie enfantine, une atmosphère indescriptible, spécialement dans les confréries au modèle d’éducation jamali (issu de la Beauté ‘’Al Jamal’’, un des attributs de Dieu, Le Doux Le Tout affectueux. L’alternance de rigueur et de discipline avec un lâcher-prise teinté d’amour et d’empathie est une caractéristique des voies soufies jamalies dont je fais partie).
Récemment, le groupe officiel de samaa’ de la Tariqa Qadiriya Boutchichiya a diffusé une nouvelle œuvre musicale sur la plateforme Youtube et sur les réseaux sociaux. Il s’agit d’une version polyphonique a cappella du poème ‘’La Petite Al Buraqiya’’ (Al Bouraqiya As-soughra), ce poème de louange (Qasida madhiyya) sur Sidi Mohammad, le meilleur des cheminants, le bien-aimé, le vertueux, écrit par le poète soufi marocain Ayoub Belmekki Al Fassi  (ou Al Makki Al Fassi) au 19ème siècle J.C.
J’affectionne particulièrement ce poème pour la beauté du texte et la langue utilisée. Il s’agit ici de ‘’malhoun’’, poésie chantée écrite en arabe dialectal marocain, dont le sujet peut être aussi bien religieux que profane, voire même frivole, traitant de divers sujets de société. Il appelé aussi zajal en langue arabe de l’époque d’Al-Andalus. Le malhoun est considéré comme de la musique populaire, il s’inspire énormément de la musique arabo-andalouse, notamment pour le système musical et la liberté d’improvisation accordée aux musiciens. Quand au texte, la langue arabe est une langue chantante et imagée, rythmée et rimée, avec un vocabulaire riche, lyrique, transfigurative, à mille nuances, à même de transmettre le sens et la sensibilité du propos, et de provoquer l’émotion de l’auditeur.
Je reprends ici une description de la poésie arabe par la musicologue Amina Alaoui : « Si la poésie déclamée exalte la joie de l’auditeur par la justesse et la précision d’une belle formule, imaginez-la soutenue en musique par la voix, c’est l’extase, le tarab en arabe, une vibration émotionnelle intense et imprévisible qui surgit des profondeurs de l’âme au moment où l’on écoute le chant, et où le chanteur est face au défi de l’émotion et de l’inexploré. » (in Cairn). Et je ne peux empêcher mes larmes de perler sur mon visage en écoutant ces paroles, cet aimé a ravi mes sens et a déchiqueté mes entrailles d’amour.
Tout d’abord, au niveau musical, J’ai été agréablement surprise par cette œuvre. Le ton de la production artistique apparaît clairement dès les premières notes : tout sera placé sous le signe de la polyphonie.
Le volume sonore du chœur de l’ensemble des chanteurs monte crescendo, sur des tonalités graves et mi-aiguës et en remplissant progressivement l’espace musical, tel une litanie des saints, psalmodiée par un chœur grégorien ; pour aboutir à deux mouvements musicaux :
Le premier est exécuté par l’ensemble en mode polyphonique et presque à mezza voce ; on entend des mélodies différentes se juxtaposer pour produire un ensemble sonore surprenant au premier abord. En effet, la musique arabe (de manière générale), s’appuie sur un système d’homophonie, où, généralement, les voix (et les instruments) chantent à l’unisson les mêmes mélodies.
L’ensemble restera mezza voce pour dévoiler une première voix soliste, au timbre fin et doux, psalmodiant un vers de saluts et de bénédictions sur Taha, le Cavalier d’Al-Buraq, l’inestimable Trésor et Capital, avec élégance et sobriété, une sorte de mawwal chanté (un solo non mesuré), un peu à la manière de Al Jalala (la formule d’unicité psalmodiée en général pendant les séances de dhikr). Un sentiment d’apaisement me saisit à ce moment. Cette force tranquille me fait oublier le contexte actuel et me rappelle que l’amour du seigneur des humains est bien ancré dans mon cœur.
Le deuxième mouvement est lancé quand le volume sonore augmente. Une ligne homophonique mezzo forte apparaît au 1er plan et nous chante le refrain (qui est en général le début de la chanson, utilisé comme refrain dans ce type de musique). Il y a là un déluge de virtuosité, de puissance sonore et d’harmonie. Chaque voix brode un motif qui complète cette œuvre d’art à plusieurs mains, pour offrir une nouvelle tenue d’apparat, faite de brocart et de mousseline, à l’auditeur attentif capable d’en comprendre le sens.
Commence alors le ballet des solistes au milieu de cette polyphonie sonore, chacun avec un timbre différent, du plus doux au plus chaud et puissant ; avec des registres différents, du plus grave au plus aigu. Chaque couplet est interprété de manière personnalisée, avec toute la liberté que la musique arabe donne à l’improvisation, en y apportant autant d’ornementations et d’embellissements que nécessaire. Chaque voix soliste est entourée de couches successives de voix qui l’enjolivent et la mettent en valeur. Tous scandent l’apparition de la Lune, ce pur à l’éthique irréprochable.
Le résultat est une ode d’amour à l’Essence de l’Existence, un parfait délice pour les oreilles musicales, aussi bien pour les puristes, que pour les adeptes de fusion des influences. Ils argueront volontiers que les fausses notes font légion dans ce morceau. Je le concède mais je rappelle que le concept de fausses notes doit rester associé à la musique savante uniquement, ces petites faussetés d’exécution font le charme de toute musique populaire. C’est une aubaine exquise pour une oreille tiraillée entre son amour pour la musique arabe et sa passion pour la musique occidentale.
La production artistique a joué le rôle de chef d’orchestre dans cet ouvrage ; on devine la masse gigantesque d’heures de travail passées à répéter, enregistrer, réenregistrer, découper, mixer, harmoniser l’ensemble, à distance les uns des autres. La sobriété du graphisme de la vidéo ajoute un cachet élégant et raffiné à cette œuvre authentique.
Cela me rappelle la qualité spirituelle et musicale des enregistrements fabuleux de Feu Sidi Hamza Shakkur avec son alter ego Sidi Jalaluddine Julien Weiss (L'Ensemble Al Kindi). Il y a là de la matière spirituelle, de la musique savante et populaire orchestrée avec beaucoup de goût (que ce soit avec ou sans instruments, même si je considère la voix comme le plus puissant instrument musical, capable d’interpréter des émotions sans intermédiation technique), une interprétation brillante et inspirée du chanteur musammi’ qui emploie pleinement le madad (soutien spirituel) de son maître éducateur (cheikh morabbi) détenteur du secret d’éducation (Siir) et ses connaissances musicales pour déclarer sa flamme.
Pour l’aspirant mutassawwif (disciple soufi), l'osmose entre la musique et le poème est tangible dans cette œuvre. Le travail musical a permis de mettre en valeur la puissance spirituelle du poème et la beauté des mots de cette déclaration d'amour, tout en produisant l’effet attendu du samaa’ (de la réceptivité spirituelle, des émotions extatiques, une ivresse spirituelle qui aboutit à l’extinction dans la présence divine).
En effet, le samaa’ est porteur de sens spirituels (ma’aani) et de significations subtiles qui facilitent la compréhension de concepts soufis. Il contient des messages éducationnels subtils qui ne peuvent être compris et goûtés que par des cheminants sur la Voie. C’est la parole des gens d’Allah Le Protecteur et Le Monarque qui ont suivi ce chemin d’initiation spirituelle et qui ont produit une littérature riche par inspiration divine, afin de décrire leur expérience intime de proximité divine et leurs états spirituels.
Corollaire du Dhikr qui constitue le pilier et l’identité spirituelle des confréries soufies, le samaa’ est une porte vers la Connaissance divine ; ses effets curatifs sur le cœur du disciple cheminant sont visibles, la fonction cognitive du samaa’ étant indéniable.
Quant à son impact psychologique et énergétique, il est juste de constater son effet positif sur le cerveau humain. Il produit ce qu’on appelle généralement un état de nachatt (de l’entrain et du dynamisme). Ne dit-on pas que la musique est la nourriture de l’âme ?
Pour Mawlana J. Rumi, la fonction idéale du samaa’ est de conduire l’âme jusqu’au septième ciel :
Bien que le faîte du septième ciel soit élevé,
L’échelle du samaa’ passe par-dessus son toit.
(In Divân-e Shams)
Pour ma part, je vois cette œuvre magnifique comme un fruit de la science du tassawwuf, qui est la station de l’excellence dans la foi et le comportement (cf. le hadith dit de Jibril).
Tous les bons ingrédients y sont :
Une intention sincère et pure (niyya), uniquement pour la Face de Dieu, le Grand Créateur, l´Omniscient.
Une supplique d’amour au gracieux Rédempteur et un hommage au Paraclet qui nous fera accéder à la Proximité par son intercession.
Un projet pour permettre aux auditeurs d’apprécier la beauté du morceau et d’en saisir les sens spirituels.
Un dévouement dans son exécution (ikhlass).
Une fidélité au pacte (‘ahd) qui lie le disciple à son maître éducateur, par lequel on le reconnaît en tant que médecin traitant, qui le guérit de toutes ses affections de cœur.
Une symbiose parfaite entre chanteurs qui reflète la réussite du modèle éducationnel basé sur l’abondance du dhikr et le compagnonnage (As-suhba). Ce modèle éducationnel a pour objectif la purification des âmes (tazkiyat an-nufuss), et pour y arriver, le disciple doit suivre le modèle de son maître éducateur spirituel et revêtir ses nobles qualités afin de transformer son cœur et son comportement.
Puissiez-vous vous abriter sous l’Arbre de la réunion spirituelle à Madagh, sous le règne d’Al Jamal,
Puissiez-vous boire de ce Bassin dont l’eau étanche la soif éternellement,
Puissiez-vous suivre la bannière du Cavalier couronné.
Qu’Il soit béni autant que de fois que de mots dans le Livre,
Autant que le nombre de ses lecteurs, autant que les habitants de tous horizons,
Autant que le nombre de ceux qui foulent le sol de la Terre,
Autant que les éclairs qui zèbrent le ciel et les étoiles qui brillent dans le crépuscule.
Gloire, pureté et louanges à Allah, Celui qui a établi les ténèbres et la lumière.
Planète soufie, 28 mai 2020
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oh-beauty-in-words · 6 years
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Auparavant je méconnais mon compagnon Si nous n'avions la même croyance. À présent, mon cœur est capable de toute image Il est prairie pour les Gazelles, cloître pour les moines Temple pour les idoles, Kaâba pour les pèlerins Tables de la Thora et livre saint du Coran L'Amour seul est ma religion... Partout où se dirige ses montures L'Amour est ma religion et ma foi
Amina Alaoui | Ode D'Ibn El Arabi (traduction francais) {rough English translation: Previously I would ignore my companion If we did not have the same belief. Now, my heart is capable of any image It is meadow for the Gazelles, cloister for the monks Temple for idols, Kaâba for pilgrims Tables of the Torah and holy book of the Koran Love alone is my religion ... Wherever his horses go Love is my religion and my faith }
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euriosaparisi · 6 years
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Hija Mia - lyrics/letras ( Andalo-Sefardic song - Amina Alaoui)
Crisol de identidades, ríos de voces y de memorias Canción sefardí: Hija Mia, por Amina Alaoui Niña no vayas a la mar, que la mar te va llevar, como se lleva la luna vestida de espuma y sal. Niña corre por la arena que las olas te cantarán. Una vieja canción de cuna con el rasgar de un collar. Niña échate al sol desnuda para que te pueda besar. Yo no soy el mar, mi niña, soy el que te quiere amar. 
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linda-en-mark · 4 years
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#arcreview #justreleased @netgalley . 🌺 . Alya and the three cats - Amina Hachimi Alaoui @amina_hachimi_alaoui . 🌺 . This story goes about three cats that will get an new person to look after 💕 🦋 As an real cat mom I love these kind of books 📖 It’s an children book, it’s easy and super fun. The illustrations are made by: Maya Fidawi 🙌🏻 . 🌺 . Description The arrival of a new baby seen by three adorable cats Maryam and Sami have three cats: Pasha the black angora cat—proud as a pasha really!—Minouche the grey tabby cat found in the street and Amir the playful Siamese. One day Maryam’s belly starts to get bigger and something starts to stir in it. Maryam disappears for a few days and comes back home with something that screams and demands a lot of attention. Their three cats are very confused. What’s going on? . 🌺 . #netgalley #bookreview #childrensbookillustration #childrensbooks #catsofinstagram #cats #reading #cute #alyaandthethreecats #bookstagram #book #tbr #creative #photography https://www.instagram.com/p/CBngkzwl4Bh/?igshid=s4wmu3355e8l
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acme-m7 · 4 years
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Alya and the Three Cats
Alya and the Three Cats Review Book: Alya and the Three Cats Author: Amina Hachimi Alaoui Publisher: CrackBoom! Books Genre: Children’s Picture Books Publication Date: April 14, 2020 Rating:
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*Thank you NetGalley and Random House for a copy of this book in exchange for a review!* The Low Down: Maryam and Sami have three cats: Pasha the black angora cat―proud as a pasha really!―Minouche the grey tabby cat found in the street and Amir the playful Siamese. One day Maryam’s belly starts to get bigger and something starts to stir in it. Maryam disappears for a few days and comes back home with something that screams and demands a lot of attention. Their three cats are very confused. What’s going on? My thoughts: First, let’s appreciate the illustrations in this book.
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I thought this was a wonderful, simple story about three cats who get anxious and curious when their mom has a baby until they learn that there is enough love to go around. Originally written in Arabic, this story does not suffer in translation as I have noticed some translated books do. I really enjoyed it, although there wasn't much to it (the illustrations speak for themselves), and think it would be a wonderful book to read to children who are expecting a younger sibling.
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yassmincriticalarts · 4 years
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References
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moroccanroyals-blog · 7 years
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HRH Late Princess Lalla Nezha Alaoui Father : His Majesty Late King Mohammed V Of Morocco Mother : Abla Bint Taher Husband : Ahmed Osman Children : Moulay Nawfal Osman. Siblings : TRH Late Princesses Lalla amina , Lalla aicha , Lalla Fatima Ezzahra , HRH Princess Lalla Malika , HRH Late Prince Moulay Abdullah Of Morocco , His majesty Late King Hassan II Of Morocco Birth date : 29 October 1940 Death date : 2 September 1977
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