Tumgik
#Les Rois Maudits art
thaliajoy-blog · 9 months
Text
Finished this Alicent WIP I had for a while 🙌💚 the green queen
Tumblr media
Plus a recent little doodle of her based on the outfit of Isabella of France, who also rocks green pretty well :
Tumblr media Tumblr media
26 notes · View notes
Text
GERARD DEPARDIEU
1948
French actor
            Gérard Depardieu is a French actor who has worked on stage and screen.
            Depardieu was born in Chateauroux, Indre, France in poverty and left home aged 13 to work at numerous jobs and did petty crime. He moved to Paris and started acting on stage and then started acting on screen in 1975. Depardieu has appeared in: Green Card (1990), My father the Hero (1991), 1492: Conquest of Paradise (1992 as Christopher Columbus), Hamlet (1996), the Man in the Iron Mask (1998), Asteri & Obeli Take on Caesar (1999), Vatel (2000), Les Miserables (2000), Asterix & Obelix: Mission Cleopatra (2002), Nathalie (2003), les Rois Maudits (2005, Jacques de Molay), La vie en rose (2007), Raspoutine (2011, Grigori Rasputin), Life of Pi (2012), & Mata Hari (2017).
            Depardieu has been married once and has four children, in 2008, his son died from pneumonia aged 37. Depardieu converted to Eastern Orthodox Christianity in 2020.
            In 1998, he had a motorcycle accident due to drink driving. In 2000, he had heart bypass surgery after two weeks of suffering chest pains. Depardieu weighs around 150 kgs (300 lb.) in 2008. He has suffered at least seven motorcycle/scooter accidents during the 2000s, some of them attributed to alcohol. He said he drinks roughly around 12-14 bottles of alcohol a day, starting at 10am, champagne, wine, vodka, and whisky. In 2011, he was removed from a flight to Dublin after he urinated in front of passengers after being refused permission to use the toilet, when they plane was about to take-off. When he was told to sit down, he urinated into a bottle which had overflowed - his friend said it was due to him having prostate problems.
            Depardieu has been accused of sexual assault and rape, in a 1978 interview he said - "too many (rapes) to count... There was nothing wrong with it. The girls wanted to be raped. I mean, there's no such thing as rape. It's only a matter of a girl putting herself in a situation where she wants to be." His publicity team had later stated that he had only witnessed rape.
            Depardieu was granted Russian citizenship in 2013 which Vladimir Putin granted himself, in 2012 he stated he was handing back his French passport. In 2015 his films were banned from TV and cinemas in Ukraine due to his remarks questioning Ukraine’s right to exist. In 2022, he condemned Russian invasion of Ukraine and accused Putin of ‘crazy, unacceptable excesses’. In 2022, he stated he had become a citizen of United Arab Emirates.
            In his spare time Depardieu invests in vineyards and owns numerous wine estates and also owns a restaurant. He owns the Tigne Castle in Anjou, and collects art and motorcycles.
Tumblr media
#gerarddepardieu
0 notes
lizaviolonartisan · 2 years
Text
I found very nice illustrations for Maurice Druon's book cycle Les Rois Maudits (English: The Cursed Kings). The artist's name is Celine Pottier.
ĐŻ ĐœĐ°ŃˆĐ»Đ° ĐŸŃ‡Đ”ĐœŃŒ слаĐČĐœŃ‹Đ” ОллюстрацОО Đș цоĐșлу Ń€ĐŸĐŒĐ°ĐœĐŸĐČ ĐœĐŸŃ€ĐžŃĐ° Đ”Ń€ŃŽĐŸĐœĐ° "ĐŸŃ€ĐŸĐșĐ»ŃŃ‚Ń‹Đ” ĐșĐŸŃ€ĐŸĐ»Đž". Đ„ŃƒĐŽĐŸĐ¶ĐœĐžŃ†Ńƒ Đ·ĐŸĐČут ĐĄĐ”Đ»ĐžĐœ ĐŸĐŸŃ‚Ń‚ŃŒĐ”.
1 note · View note
abrabloodycadabra · 4 years
Text
Tumblr media
"A hanging moved to one side and a splendid girl of some twenty years, dark, tall, her breast round and firm, her waist well marked, her legs long, came in unhurriedly.
There was a curious slowness; about her voice, as there was about her gestures, about her manner of moving and about her glance. She gave a peculiar impression of a sort of flowing indolence and of abnormal placidity; one would have said that even lightning entering the window would not have made her move more quickly or taken that calm half-smile from the corner of her lips. But there was irony shining in the eyes beneath the long black lashes.
Undoubtedly she rejoiced in the disasters, crises, and tragedies of others".
- Maurice Druon, "The Iron King''.
17 notes · View notes
ellgibug · 7 years
Photo
Tumblr media Tumblr media
My mom drew this when she was 14. Illustration for the book by Maurice Druon "The Accursed Kings" - the burning of the Templars.
13 notes · View notes
we-fucked-up-evolution · 2 years
Text
La pierre de purification
Salut le fandom Kaamelott! Je viens de m’apercevoir que j’ai complĂštement oubliĂ© de poster la fic que j’ai Ă©crite pour le secret santa 2020, donc je la mets enfin ici!
RĂ©sumĂ©: la relation entre Merlin et Elias a toujours Ă©tĂ©... houleuse. Merlin s’était toujours senti infĂ©rieur Ă  Elias, et ce dernier aimait le lui rappeler. Quand Merlin en eut enfin assez, Elias s’aperçut rapidement que l’absence de son confrĂšre n’avait pas que des avantages...
Un tout petit peu d’angst, un petit peu de fluff, beaucoup d’engueulades sans rĂ©elles consĂ©quences. Bref le duo chaotique des enchanteurs de Bretagne au sommet de son art quoi
- Ben si ça vous plaĂźt pas MĂŽssieur Elias, vous avez qu’à rentrer chez vous ! J’ai jamais demandĂ© Ă  me coltiner votre tronche moi, MĂŽssieur Elias !
- Mais espĂšce de dĂ©bile profond, dĂ©jĂ  que vous ĂȘtes pas foutu de faire un seul sort ni une pauvre petite potion correctement, vous pourriez quand mĂȘme faire l’effort de piger que si je me tire, votre baraque elle s’effondre ! Franchement, sans moi ce labo ne sert Ă  rien ni personne ! Si un jour je me barre, je devrais foutre le feu Ă  tout ce bordel, histoire de sauver l’avenir de ce chĂąteau rempli de dĂ©biles de votre ahurissante incompĂ©tence !!
Elias jeta un dernier regard froid Ă  Merlin et quitta la piĂšce, laissant l’enchanteur au milieu de son labo, avec sa nouvelle trouvaille Ă  la main. Il resta lĂ , en silence, agacĂ© par les incessantes piques de son collĂšgue. La voix d’Elias lui parvint de l’autre cĂŽtĂ© du laboratoire.
 - Et si vous aviez un minimum de jugeote, il y a longtemps que vous seriez retournĂ© vivre dans la forĂȘt ! Vous fichez la honte Ă  tout le royaume et surtout au roi, je sais pas oĂč vous trouvez le courage de vous montrer hors de votre atelier !
 La porte d’entrĂ©e claqua, signe du dĂ©part dĂ©finitif d’Elias. Merlin en avait marre, mais alors plus que marre. Il savait bien, lui, qu’il n’avait pas l’étoffe d’un grand enchanteur ou d’un sorcier, et qu’il n’arriverait jamais Ă  la cheville de son compĂšre. Et au fond, il s’en fichait bien, de tout ça. Enfin pas tout Ă  fait. Il s’en ficherait peut-ĂȘtre s’il Ă©tait un minimum respectĂ© en tant que druide. Enfin quoi, il n’était pas complĂštement incapable non plus. Il en savait plus que n’importe qui sur la forĂȘt, c’était un bon guĂ©risseur, enfin un guĂ©risseur passable, enfin il n’avait jamais tuĂ© personne. C’était dĂ©jĂ  pas mal, non ? Il pouvait se transformer, et il avait quand mĂȘme dĂ©couvert quelques trucs ! Ce n’était pas sa faute si tout le monde avait jugĂ© que ses dĂ©couvertes n’étaient pas extraordinaires. Et Elias Ă©tait parti sans que Merlin ait eu le temps de lui expliquer ce qu’il venait d’inventer ! C’en Ă©tait trop pour Merlin. Il savait bien que personne n’apprĂ©cierait sa trouvaille, ni rien de ce qu’il pouvait faire. RĂ©signĂ©, il rassembla quelques affaires, fit un baluchon et partit.
- - -
 Lorsqu’Elias rentra au laboratoire, Merlin n’était pas lĂ . Pas plus mal, se dit-il. Ca lui laisserait de la place pour travailler tranquille. Il dĂ©balla ses achats, trouva une fiole propre – non sans avoir maudit Merlin de ne jamais ranger ni nettoyer le matĂ©riel qu’il utilisait – et commença Ă  Ă©laborer la potion de sommeil que Bohort lui avait commandĂ©e. Il rit intĂ©rieurement en pensant Ă  cet idiot de chevalier qui avait tellement peur des hurlements des loups qu’il ne pouvait plus s’endormir. A bien y rĂ©flĂ©chir, c’est vrai que les loups faisaient vachement de bruit en ce moment. Il faudrait qu’Elias pense Ă  demander Ă  Merlin ce qu’ils pouvaient bien raconter Ă  longueur de nuitĂ©es.


 Quand il eut fini sa potion, Elias l’apporta Ă  Bohort, puis retourna Ă  l’atelier. Toujours pas de trace de Merlin. Bizarre, d’autant qu’il commençait Ă  faire tard. Le druide devait ĂȘtre Ă  la taverne, oĂč occupĂ© Ă  soigner un piaf ou autre crĂ©ature minable. Tant pis, Elias lui parlerait des loups demain. Ou il ne lui en parlerait pas, aprĂšs tout qu’est-ce qu’il en avait Ă  foutre ?


 Le lendemain, Elias ne vit pas Merlin au labo. Vers midi, le roi le fit appeler. Il l’attendait dans la cour du chĂąteau, en compagnie du seigneur LĂ©odagan. Ils avaient l’air en colĂšre, mais pas spĂ©cialement plus que d’habitude.
 - Qu’est-ce que vous avez foutu, espĂšce de crĂ©tin ?
- CrĂ©tin, c’est encore gentil, attention. Moi si j’étais Ă  sa place, je vous aurais carrĂ©ment traitĂ© de petite merde incapable.
- Merci beau-pĂšre, on a compris. Bon Elias, sans dĂ©conner, c’est quoi ce bordel ?
- Je ne vois pas de quoi vous voulez parler, sire.
- Je vous parle du fait que le seigneur Bohort n’était pas Ă  la rĂ©union de la table ronde ce matin, et que quand mes hommes ont fini par le trouver, il roupillait dans son plumard.
- Ah oui, je vois. Je lui ai effectivement vendu une potion de sommeil, mais je ne suis pas responsable si vos chevaliers décident de faire la grasse-matinée non plus, sire.
- Alors effectivement, sur le principe je suis assez d’accord avec vous, seulement qu’il est toujours pas rĂ©veillĂ©. Et qu’on arrive pas Ă  le rĂ©veiller.
- C’est pas faute d’avoir essayĂ©, attention. On lui a balancĂ© de la flotte, retirĂ© ses couvertures, hurlĂ© dessus, j’ai mĂȘme envoyĂ© mon fils jouer de son instrument Ă  la noix pendant que les deux imbĂ©ciles chantaient je sais plus trop quoi, ça a rĂ©veillĂ© tout le chĂąteau sauf lui ! Alors qu’est-ce qu’on fait ?
- Ah ben j’en sais rien moi, vous avez essayĂ© de l’embrasser pour le rĂ©veiller ? Il paraĂźt qu’il y a des lĂ©gendes oĂč ça marche assez bien. En tout cas ça ne peut pas ĂȘtre moins efficace qu’une petite sĂ©rĂ©nade.
- Mais je vais vous faire coller au trou pendant trois semaines moi, ça va vous passer l’envie de faire le mariole !
- Beau-pĂšre s’il vous plaĂźt ! Elias, je ne vais pas vous mentir, pour une fois j’ai bien envie de suivre les recommandations du seigneur LĂ©odagan. Seulement pour que la boutique continue de tourner, c’est quand mĂȘme plus pratique pour moi d’avoir un enchanteur capable de faire ce qu’on lui demande. Et c’est pas que votre collĂšgue est un incapable en soi, mais bon
 vous travaillez avec, je vais pas vous faire un dessin. Du coup, on va dire que vous allez aller chercher Merlin, et que celui de vous deux qui rĂ©ussit Ă  rĂ©veiller Bohort gagne le droit d’avoir l’autre Ă  sa botte pendant une semaine. Donc si vous rĂ©ussissez ben vous demanderez Ă  Merlin de ranger un peu comme ça on sera tous gagnants, et si vous ratez, ben dĂ©jĂ  on va bien se marrer, et puis ça vous apprendra votre leçon. Ok ?
- Alors non, pas vraiment

- Non mais mon petit pĂšre, on ne vous demande pas votre avis, le roi vous demande si vous avez compris ou si vous ĂȘtes trop con et qu’on doit tout vous rĂ©pĂ©ter.
- Non mais ça va, je sais ! C’est juste que Merlin, ben je sais pas oĂč il est.
- Comment ça vous savez pas oĂč il est ? Vous vous payez ma tronche ?
- Mais je suis pas sa nounou à la fin, merde !
- Eh ben si ! Vous vous doutez bien, puisque vous ĂȘtes si malin, que si j’ai engagĂ© deux enchanteurs c’est parce que j’ai une confiance totale ni en l’un, ni en l’autre ! Merlin est peut-ĂȘtre pas le plus douĂ© de la profession, mais il est loyal et il est honnĂȘte, qui sont deux qualitĂ©s dont vous manquez cruellement ! Vous ĂȘtes supposĂ©s bosser ensemble pour que vous puissiez garder un Ɠil l’un sur l’autre, vous allez le comprendre quand ça ? Alors vous vous dĂ©merdez comme vous voulez mais vous me retrouvez mon enchanteur, espĂšce de sorcier de mes deux !!
 Elias ne se fit pas prier davantage et retourna au labo.
 - - -
 Merlin Ă©tait en train de se faire cuire quelques champignons rĂ©coltĂ©s dans la matinĂ©e lorsqu’il entendit des pas non loin. Pris de peur, il se rĂ©fugia dans sa grotte et se planqua derriĂšre une stalagmite. Il attendit en silence, Ă©coutant les pas de l’inconnu, qui semblaient malheureusement se rapprocher. Soudain, une voix forte et imposante rĂ©sonna dans la caverne, ce qui fit sursauter le druide.
 - Eh ducon, vous ĂȘtes mal planquĂ©. La prochaine fois, vous penserez Ă  choisir une stalagmite complĂšte, pas une qui est coupĂ©e Ă  moins d’un mĂštre. Vous pourrez vous plier dans tous les sens que vous voudrez, je verrai toujours votre tignasse dĂ©passer.
- Elias ?? C’est vous ?
- Mais qui voulez-vous que ce soit, enfin, votre grand-mùre ? Evidemment que c’est moi.
- Qu’est-ce que vous foutez ici ? Je vous fous enfin la paix et c’est vous qui dĂ©barquez pour me taper sur le systĂšme ?
- Croyez bien que ça m’enchante pas, seulement je suis venu vous chercher sur ordre du roi. Il a une
 mission, pour nous.
- Et vous pouvez pas l’accomplir tout seul, î grand enchanteur si puissant ? Il vous faut l’aide d’un minable de ma trempe ?
- Non mais ça n’a rien Ă  voir ! Qu’est-ce que vous ĂȘtes venu foutre ici, d’abord ?
 Pour la premiĂšre fois depuis qu’ils s’étaient rencontrĂ©s, Elias semblait sur la dĂ©fensive. Merlin, surpris, se calma un peu.
 - Je viens ici quand j’ai besoin de prendre l’air. Pour me rappeler que je sers pas à rien, et que j’ai pas besoin de vos tronches ni de votre opinion sur mon travail.
- Ah bon. Ben c’est charmant, il y a pas à dire.
- J’ai pas besoin d’un chĂąteau ou d’un labo pour ĂȘtre heureux moi, MĂŽssieur Elias. D’ailleurs, on est pas exactement dans la cour du chĂąteau lĂ , comment vous avez fait pour me retrouver ?
- La moitiĂ© des corbeaux du coin vous ont vu vous tirer en forĂȘt, j’ai eu qu’à demander et suivre leurs instructions.
- Ah oui tiens j’y avais pas pensĂ© Ă  ça. Quel gros tas de balances ces piafs.
- Bon ben voilĂ , vous vous ĂȘtes ressourcĂ©, tout va bien, on peut rentrer ? On se gĂšles les miches dans ce trou Ă  rats.
- Non. Je rentre pas.
- Comment ça vous rentrez pas ? Non mais faut y aller lĂ , c’est fini les caprices Ă  votre Ăąge ! Et puis le roi a besoin de vous, qu’on vous dit ! Vous lui avez pas jurĂ© fidĂ©litĂ©, Ă  Arthur ?
- M’en fous, je rentre pas. J’en ai ma claque de me farcir les commentaires dĂ©sobligeants de tout le monde au chĂąteau, je reste ici ! A la rigueur je me dĂ©place pour la mission, mais je retourne pas vivre au labo. Il a besoin de quoi, le roi ?
- Il a besoin de
 ben
 il a besoin qu’on rĂ©veille Bohort.
- Quoi ? Ils peuvent pas le faire tout seuls ?
- C’est Ă  dire que
 je lui ai vendu une potion de sommeil, et ce con doit en avoir trop bu
 Ils arrivent pas Ă  le rĂ©veiller.
 Merlin Ă©clata de rire Ă  en faire trembler le peu de stalactites qui n’étaient pas dĂ©jĂ  brisĂ©es. Elias fit la moue, ouvrit la bouche pour protester, mais se ravisa. Les mots du roi l’avaient fait rĂ©flĂ©chir et, bien qu’il ne soit pas forcĂ©ment d’accord, il ne pouvait pas nier que Merlin Ă©gayait ses journĂ©es, ne serait-ce que par son incompĂ©tence, et facilitait la communication avec le reste du chĂąteau. Peu Ă  peu, Merlin cessa de rire. En voyant l’expression courroucĂ©e d’Elias, il se calma tout Ă  fait.
 - Pardon hein, mais vous m’emmerdez tellement Ă  chaque fois que je fais une bourde que ça m’enchante carrĂ©ment de savoir que vous en faites aussi.
- Oui, ben ça reste exceptionnel.
- Soit. Excusez-moi, mais vous ĂȘtes pas capable de le rĂ©veiller tout seul, le seigneur Bohort ?
- Ben non. Parce que c’est la premiĂšre fois que je travaille pour des mecs qui savent ni lire ni Ă©couter les instructions ! J’ai pas l’habitude d’avoir Ă  inverser l’effet des trucs que je vends moi, ça c’est plutĂŽt votre rayon.
- Ah non mais moi j’inverse rien du tout ! En gĂ©nĂ©ral je leur dis juste d’attendre que ça passe.
- Sauf que là, si on dit au roi d’attendre, tout ce qu’il va passer c’est ses nerfs, et sur nous ! Vous avez pas un truc ? Votre derniùre invention là, le truc d’hier, c’est quoi ?
- Ah parce que ça vous intéresse maintenant ! Vous avez pas peur que ça soit tout pourri ?
- Ah non mais je suis carrĂ©ment sĂ»r que ça va ĂȘtre tout pourri, sauf qu’on a pas vraiment d’autres options.
- Si vous voulez savoir, Mîssieur Elias, c’est une pierre de purification. Voilà. Apparemment, ça fait des siùcles que tous les enchanteurs courent aprùs. Moi je vous dis ça aprùs, pour ce que ça vaut

- La pierre de purification ?? Vous avez inventé la pierre de purification ?
- Ben oui ! Enfin c’était pas le but Ă  la base, moi je voulais une pierre de lierre, pour transformer le vin en eau
 ben vous voyez quoi, comme JĂ©sus, je trouvais ça classe, mais finalement c’est bien une pierre de purification.
- Non mais non, JĂ©sus c’est l’eau en
 non mais oubliez on s’en fout. Et juste pour qu’on soit bien d’accord, la pierre de purification c’est bien celle qui purifie l’eau, c’est de ça dont vous me parlez ?
- Ben oui, vous voulez que ça purifie quoi, le jus de pommes ? Je vois pas bien l’intĂ©rĂȘt. Sauf si vous avez que du jus de pommes et que vous ĂȘtes allergique aux pommes et que vous prĂ©fĂ©rez boire de l’eau. En fait si ça se trouve ça marche aussi, vu que le jus de pomme c’est de l’eau au goĂ»t de pomme, non ? Vous pensez qu’on peut l’appeler la pierre de pomme ? C’est plus classe ou pas ?
- Taisez-vous! Je sais pas comment vous avez fait, d’ailleurs j’imagine que vous non plus-
- TrĂšs juste.
- Toujours est-il que du coup on peut aller réveiller Bohort.
- Je comprends pas
 Vous voulez le faire boire de l’eau purifiĂ©e ? On en a pas dĂ©jĂ  au chĂąteau ?
- Je vous expliquerai plus tard. Suivez-moi.
- Bon d’accord, mais aprùs je reviens ici !
 - - -
 Alors qu’Elias et Merlin sortaient de la chambre de Bohort, Ă  prĂ©sent rĂ©veillĂ©, le roi les intercepta dans le couloir.
 - Ah ben je pensais pas dire ça un jour, mais félicitations, Merlin, vous avez rendu un vrai service au royaume !
- Merci sire, mais à vrai dire, j’ai pas tout bien compris. Comment j’ai rendu service, exactement ?
- Mais vous avez pas utilisĂ© votre pierre de truc lĂ  pour purifier le sang de Bohort de la potion d’Elias ?
- Ah mais parce que ça marche aussi sur le sang, la pierre de purification ?
- Ah ben oui, le sang c’est quand mĂȘme principalement de l’eau. Enfin je tiens ça d’Elias, mais ça me semble ĂȘtre un truc que les enchanteurs doivent savoir, non ? Enfin quoi qu’il en soit, merci et bravo ! J’espĂšre que vous allez bien profiter du statut temporaire de larbin de votre collĂšgue.
- Du quoi ?
- Ah ben ça m’étonne pas qu’il vous ait pas expliquĂ© ça, vu comment c’est humiliant pour lui
 En gros Elias est maintenant votre larbin pendant une semaine. Non, pendant un mois, tiens, c’est plus drĂŽle. Allez, bonne journĂ©e Ă  vous !
 Le roi quitta les deux enchanteurs, laissant derriÚre lui un Merlin hilare face à Elias déconfit.
 - Non mais faut pas vous en faire, je vais ĂȘtre sympa. Vous aurez qu’à ranger le labo, tenez. C’est tellement le bordel lĂ -dedans, je sais pas ce que vous y foutez.
 Elias fut pris d’une folle envie d’étriper son compĂšre tout en le traitant de tous les noms, mais il dĂ©cida qu’il valait mieux pour lui de fermer sa gueule. Il Ă©tait larbin pour un mois, aprĂšs tout.
 - TrĂšs bien. Et, euh, vous habituez pas hein, mais
 merci. Sans vous je croupirais probablement aux geĂŽles en attendant le rĂ©veil de Bohort.
 Merlin sourit, heureux d’ĂȘtre apprĂ©ciĂ© et de pouvoir enfin rendre Ă  Elias la monnaie de sa piĂšce. En y rĂ©flĂ©chissant, il n’en avait mĂȘme pas envie. Quelque chose dans les yeux de l’enchanteur l’empĂȘchait d’apprĂ©cier l’idĂ©e de le torturer, et lui donnait plutĂŽt envie de le rĂ©conforter. Merlin ne dit rien et, toujours souriant, se dirigea avec Elias vers le laboratoire pour une session de rangement bien nĂ©cessaire.
3 notes · View notes
nebuleuse-mirobolante · 3 years
Text
Les terres Jaune des effluves et des cuves de sang solaire.
Je les aperçois dans la lueur de l'absurdité, ou tout se fane dans les estuaires profanes du vide rescucité devenu Art , Divinité et Liberté
Les terres Jaune hurlent leur plus grande  puissance ! L'ether stone puise sa danse écarquillée sous le ciel sans état en pleine été  d'ébriété 
Le vide trépigne alors sous l'aube sordide , acquittée pour meurtre d'une éternité.
Dis moi?
OĂč est la lumiĂšre de la folie dans le chaos abominable ,lĂ  oĂč les murs gris sont Ă  la table des rois et oĂč le sang deviens le parfum du ciel ? 
Mon corps tremble ,suinte ,vomis et se momifie sous la sueur écarlate des écartelements d'étoiles 
Mon ùme crucifiée par les murmures se mire dans la cire d'un Icar fondue par la démence 
Écoutez moi? Non?
Personne ne m'Ă©coute ?
Mon Ăąme hurle dans le vide ,sous les regards rĂ©probateurs accusant ma souffrance de petit  caprice d'enfant quand mon volcan explose sous la fonte des vices ,se frappant la tĂȘte et s'Ă©cartant les veines et ses fleuves maudits 
Toujours encore ,devant ma sentance,l'autre n'est pas l'enfer mais bien pire car l'enfer est l'utopie du chaos qui est la pire des maladies lĂ  oĂč les paysages infernales ont un but et une identitĂ© prĂ©cise.
Ô Jaune!
Aujourd'hui le ciel est Jaune donc mon ùme est un soleil fou.
Quel beauté si fragile et si marginale !
Si franche,si libérée ,si spatiale!
La joie renaßt en mon alcÎve,douce comme un rocher alcoolisé à la liqueur pieuse des étoiles
Au point oĂč mon Ăąme ,reflet des mes toiles aux chaudes couleurs tombe dans les comas Ă©thĂ©riques
Là ,sous le ciel Jaune Cosmique
Chante ce cri 
Hante le bruit 
Viol d'une Fleur et Violet des CƓurs
Aujourd'hui je suis vivante car le Jaune saigne et pleure quand le Soleil se peigne de sa lumiÚre ,sous la transe enivrée des comÚtes perdues 
Sous ce qui nous hante mais nous fait exister et transcender ,Dieu ,le cri du plus grand PoÚte absolu
Tumblr media
NĂ©buleuse
Tumblr media Tumblr media
 :
1 note · View note
Text
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Denise Grey.
FilmografĂ­a
Cine
1913 : Mademoiselle Etchiko
1914 : En famille, de Georges Monca
1914 : Madame Rigadin, modiste, de Georges Monca
1914 : Mademoiselle Etchiko, de André Hugon
1914 : Le Voyage de Corbillon, de Georges Monca
1916 : Document secret, de René Navarre
1916 : Nemrod et Cie, de Maurice Mariaud
1916 : Rigadin professeur de danse, de Georges Monca
1917 : Les Bleus de l'amour, de Henri Desfontaines
1917 : Honneur d'artiste, de Jean Kemm
1935 : Jeunes Filles à marier, de Jean Vallée
1936 : La Dame de Vittel, de Roger GoupilliĂšres
1937 : Trois artilleurs au pensionnat, de René Pujol
1938 : Trois artilleurs à l'opéra, de André Chotin
1938 : Serge Panine, de Paul Schiller y Charles Méré
1940 : Monsieur Hector, de Maurice Cammage
1941 : Boléro, de Jean Boyer
1941 : Montmartre-sur-Seine, de Georges Lacombe
1942 : Romance à trois, de Roger Richebé
1942 : Le Voile bleu, de Jean Stelli
1942 : Des jeunes filles dans la nuit, de René Le Hénaff
1942 : Retour de flamme, de Henri Fescourt
1942 : L'Honorable Catherine, de Marcel L'Herbier
1943 : Adieu Léonard, de Pierre Prévert
1943 : Vingt-cinq ans de bonheur, de René Jayet
1943 : L'aventure est au coin de la rue, de Jacques Daniel-Norman
1944 : Les Caves du Majestic, de Richard Pottier
1945 : On demande un ménage, de Maurice Cam
1945 : Madame et son flirt de Jean de Marguenat
1945 : L'Insaisissable Frédéric, de Richard Pottier
1945 : L'Extravagante Mission, de Henri Calef
1946 : Étrange Destin, de Louis Cuny
1946 : Le Couple idéal, de Bernard Roland y Raymond Rouleau
1946 : Six heures à perdre, de Alex Joffé y Jean Lévitte
1946 : CoĂŻncidences, de Serge Debecque
1946 : Le Diable au corps, de Claude Autant-Lara
1947 : Et dix de der, de Robert Hennion
1947 : Carré de valets, de André Berthomieu
1948 : Une femme par jour, de Jean Boyer
1948 : Bonheur en location, de Jean Wall
1949 : La Ronde des heures, de Alexandre Ryder
1949 : TĂȘte blonde, de Maurice Cam
1949 : Mon ami Sainfoin, de Marc-Gilbert Sauvajon
1949 : Pas de week-end pour notre amour, de Pierre Montazel
1950 : Rome-Express, de Christian Stengel
1950 : Les Petites Cardinal, de Gilles Grangier
1950 : Demain nous divorçons, de Louis Cuny
1952 : AllĂŽ... je t'aime.
1952 : La Tournée des grands ducs, de André Pellenc
1953 : Art. 519 Codice Penale, de Leonardo Cortese
1953 : Il Seduttore, de Franco Rossi
1953 : Raspoutine, de Georges Combret
1953 : Dortoir des grandes, de Henri Decoin
1953 : Les Corsaires du bois de Boulogne, de Norbert Carbonnaux
1953 : Julietta, de Marc Allégret
1953 : Le PĂšre de Mademoiselle, de Marcel L'Herbier
1954 : Escalier de service, de Carlo Rim, sketch Les BĂ©chard
1954 : Le Printemps, l'automne et l'amour, de Gilles Grangier
1954 : Fantaisie d'un jour, de Pierre Cardinal
1954 : Le Mouton Ă  cinq pattes, de Henri Verneuil
1954 : Poisson d'avril, de Gilles Grangier
1955 : La Villa Sans-Souci, de Maurice Labro
1955 : La Rue des bouches peintes, de Robert Vernay
1956 : Sylviane de mes nuits, de Marcel BlistĂšne
1956 : L'Auberge fleurie, de Pierre Chevalier
1956 : Une nuit aux Baléares, de Paul Mesnier
1956 : Mitsou, de Jacqueline Audry
1957 : À pied, à cheval et en voiture, de Maurice Delbez
1957 : Carve Her Name with Pride, de Lewis Gilbert
1957 : La Peau de l'ours, de Claude Boissol
1957 : Le Tombeur, de René Delacroix
1957 : Police judiciaire, de Maurice de Canonge
1957 : Mimi Pinson, de Robert DarĂšne
1957 : C'est la faute d'Adam, de Jacqueline Audry
1958 : À pied, Ă  cheval et en spoutnik, de Jean DrĂ©ville
1959 : Bomben im Monte-Carlo, de Georg Jacoby
1959 : Le Confident de ces dames, de Jean Boyer
1960 : Le Panier Ă  crabes, de Joseph Lisbona
1960 : La Française et l'Amour, de Christian-Jaque, sketch Le Divorce
1963 : La Bonne Soupe, de Robert Thomas
1965 : Pas de caviar pour tante Olga, de Jean Becker
1969 : La Maison de campagne, de Jean Girault
1970 : Hello-Goodbye, de Jean Negulesco
1970 : Los Aristogatos, de The Walt Disney Company
1971 : Mais qui donc m'a fait ce bébé ?, de Michel Gérard
1980 : La Boum, de Claude Pinoteau
1982 : La Boum 2, de Claude Pinoteau
1982 : N'oublie pas ton pĂšre au vestiaire..., de Richard Balducci
1982 : En cas de guerre mondiale, je file Ă  l'Ă©tranger, de Jacques Ardouin
1983 : Le Voleur de feuilles, de Pierre Trabaud
1985 : Le Gaffeur, de Serge PĂ©nard
1988 : Les Saisons du plaisir, de Jean-Pierre Mocky
1991 : Tchin tchin, de Gene Saks.
TelevisiĂłn
1960 : Rouge, de André Leroux
1962 : Chéri
1967 : Le Chevalier TempĂȘte, de Yannick AndrĂ©i
1969 : Tout pour le mieux
1971 : Une autre vie
1972 : Les Rois maudits, de Marcel Jullian y Claude Barma
1977 y 1982 : Cinéma 16
1978 : Un ours pas comme les autres
1979 : Les Moyens du bord
1979 : Les Dames de la cĂŽte, de Nina Companeez
1980 : L'Esprit de famille
1983 : Merci Sylvestre
1985 : Les temps difficiles.
Teatro
1916 : Six Hommes, une femme et un singe, de Pierre Veber y Yves Mirande, Théùtre Michel
1921 : Comédienne, de Jacques Bousquet y Paul Armont, Théùtre des Nouveautés
1922 : La Femme de mon ami, Théùtre de l'Athénée
1922 : Atout... CƓur !, de FĂ©lix GandĂ©ra, ThĂ©Ăątre de l'AthĂ©nĂ©e
1924 : Si je voulais..., de Paul Géraldy y Robert Spitzer, Théùtre du Gymnase Marie-Bell
1926 : Passionnément, de Maurice Hennequin y Albert Willemetz, Théùtre de la MichodiÚre
1936 : Europe, de Maurice Rostand, Théùtre Pigalle
1938 : Le Valet maßtre, de Paul Armont y Léopold Marchand, escenografía de Pierre Fresnay, Théùtre de la MichodiÚre
1948 : Les Enfants d'Edouard, de Frederic Jackson y Roland Bottomley, adaptaciĂłn de Marc-Gilbert Sauvajon, escenografĂ­a de Jean Wall, ThĂ©Ăątre Édouard VII
1949 : Les Enfants d'Edouard, de Frederic Jackson y Roland Bottomley, adaptación de Marc-Gilbert Sauvajon, escenografía de Jean Wall, Théùtre des Célestins
1950 : George et Margaret, de Marc-Gilbert Sauvajon y Jean Wall, escenografía de Jean Wall, Théùtre Daunou
1950 : Il faut marier maman, de Marc-Cab y Serge Veber, escenografía de Pierre Dux, Théùtre de Paris
1953 : Faites-moi confiance, de Michel Duran, escenografía de Jean Meyer, Théùtre du Gymnase Marie-Bell
1955 : Les Enfants d'Edouard, de Frederic Jackson y Roland Bottomley, adaptación de Marc-Gilbert Sauvajon, escenografía de Jean Wall, Théùtre des Célestins
1956 : La Femme du siÚcle, de Claude Schnerb, escenografía de Jacques-Henri Duval, Théùtre des Célestins, giras Georges Herbert
1959 : Bon Week-End Mr. Bennett, de Paule de Beaumont a partir de Arthur Watkyn, escenografía de Michel Vitold, Théùtre de la Gaßté-Montparnasse
1961 : Ocho mujeres, de Robert Thomas escenografĂ­a de Jean Le Poulai.
1962 : Ocho mujeres, de Robert Thomas, escenografía de Jean Le Poulain, Théùtre des Bouffes-Parisiens
1963 : Vénus de Milo, de Jacques Deval, escenografía de Pierre Mondy, Théùtre des Célestins
1965 : Assassins associés, de Robert Thomas, escenografía de Jean Piat, Théùtre Antoine y Théùtre du Palais-Royal
1966 : J'y suis, j'y reste, de Jean Valmy y Raymond Vincy, escenografía de Jean Valmy, Théùtre Marigny
1966 : La Fin du monde, de Sacha Guitry, escenografía de Jean-Pierre Delage, Théùtre de la Madeleine
1967 : Quarante Carats, de Pierre Barillet y Jean-Pierre Gredy, escenografía de Jacques Charon, Théùtre de la Madeleine
1971 : Le Train de l'aube, de Tennessee Williams, escenografĂ­a de Jean-Pierre Laruy, ThĂ©Ăątre Édouard VII
1972 : En avant... toute !, de Michel AndrĂ©, escenografĂ­a de Michel Roux, ThĂ©Ăątre Édouard VII
1972 : La Bonne Adresse, de Marc Camoletti, escenografía de Christian-Gérard, Théùtre Michel
1973 : La Royale Performance, de Marcel Mithois, escenografía de Jean-Pierre Delage, Théùtre des Bouffes-Parisiens
1974 : Le Tube, de Françoise Dorin, escenografía de François Périer, Théùtre Antoine
1976 : Le Jardin de craie, de Enid Bagnold, escenografía de Raymond GérÎme, Théùtre Hébertot
1977 : Bichon, de Jean de Létraz, escenografía de Jacques Valois, Théùtre de Charleville-MéziÚres
1978 : Crime à la clef, de Alain Bernier y Roger Maridat, escenografía de Jean-Paul Cisife, Théùtre Tristan-Bernard
1981 : La vie est trop courte, de André Roussin, escenografía de Michel Fagadau, Théùtre Daunou
1983 : La vie est trop courte, de André Roussin, escenografía de Michel Fagadau, Théùtre de la Gaßté-Montparnasse
1984-1985 : Les Temps difficiles, de Édouard Bourdet, escenografĂ­a de Pierre Dux, ThĂ©Ăątre des VariĂ©tĂ©s
1985 : Harold et Maude, de Colin Higgins, escenografĂ­a de Jean-Luc Tardieu, Espace 44 Nantes
1987 : Harold et Maude, de Colin Higgins, escenografía de Jean-Luc Tardieu, Théùtre Antoine
1989 : Arsénico y encaje antiguo, de Joseph Kesselring, escenografía de Jean-Luc Tardieu, gira
1991 : La sopera, de Robert Lamoureux, escenografía de François Joffo.
Operetas
1919 : Nelly, de Marcel LattĂšs, con FĂ©lix Oudart (ThĂ©Ăątre de la GaĂźtĂ©)​
1950 : Il faut marier maman, de Guy Lafarge, Théùtre de Paris, con Roland Armontel.
Créditos: Tomado de Wikipedia
https://es.wikipedia.org/wiki/Denise_Grey
#HONDURASQUEDATEENCASA
#ELCINELATELEYMICKYANDONIE
5 notes · View notes
reasonoptional · 4 years
Text
@DorMarunt tagged me, so I feel compelled to do this thing :)
Currently watching: The Magicians, season 3. I love this show, because it's close enough to the books (which I really loved) but different enough to be it's own thing. Main criticism do far: that drinking game they have in one episode where they cast different spells, and there's one in Romanian onscreen. It's very obviously Google-translated.
Last movie: Les Rois Maudits, Pt. 5. Not by choice, I was trying to watch a Default Cube video on YouTube, but the grandmothers are fans, so whatcha gonna do.
Last song: ĐœĐ»Đ”Ń‡ĐœŃ‹ĐŒĐž ĐżŃƒŃ‚ŃĐŒĐž ĐČ ĐŸŃ€Đ”ĐșŃ€Đ°ŃĐœĐŸĐ” ЎалёĐșĐŸ by NTorchestra. On repeat for the past few days.
Currently reading: Nothing :( I haven't read a book in months, ever since I've devoured John Scalzi's Collapsing Empire series in a day and a half. Highly recommended series, btw, if you're into space opera and/or political intrigue you should definitely check it out.
Currently consuming: like a liter of orange juice.
Tagging nobody, cause I mostly follow classical art-posting bots and a few people whom I've never interacted with (artists whose work I love)
3 notes · View notes
mytherbalegwladys · 4 years
Photo
Tumblr media Tumblr media
Voici les races de Ninjago. Les humains et les nindroids y sont dĂ©jĂ  aussi. -Les albinos: Ce sont des ĂȘtres qui ressemblent beaucoup aux humains, mais avec des marques colorĂ©s sur le corps, et qu'ils possĂšdent des pouvoirs diffĂ©rents. Ils sont les descendants d’un serpent blanc et d’un dragon noir. Lorsqu'un albinos meurt, il se rĂ©duit en poussiĂšre. Il y a six clans: Bijin, Maho, Konton, Happi, Yume et Tamashi.
-Les kumihos: Ces renards Ă  neuf queues vivent dans la forĂȘt des cerisiers, oĂč vivent les albinos du clan Bijin. Ils maĂźtrisent les feux follets, et ils possĂšdent une agilitĂ© surhumaine. C'est la race de Dimitri, YuĂš et Magnolia.
-Les okamis (ou lycanthropes): Ces loups humanoĂŻdes vivent au fin fond des bois. Ils doivent aimĂ© un ĂȘtre bĂ©ni par la "Lune Bleue" et que cet ĂȘtre l'aime en retour, pour briser la malĂ©diction de la "Lune Sanglante" qui rend les okamis maudits et incontrĂŽlables. C'est la race de Okami et Nikky.
-Les serpentines: Ce sont des serpents humanoïdes qui vivent en tribu. Il existe plusieurs races: Anacondrai, Hypnobrai, Fangpyre, Constrictai, Venomari, Shiporagi,  Vermillion, Pyro-VipÚres et Hydrophinai (la plus rare).
-Les tengus: Ces hybrides moitié humains, moitié oiseaux ont été crées par des phénomÚnes naturelles ou par des scientifiques. Ils peuvent voler, communiquer avec les oiseaux, et ils ont une arme à plumes.
-Les ryus: Ce sont des dragons primordiaux les plus rares au monde. Ils peuvent prendre la forme d'un humain ou d'un dragon asiatique comme les quatre rois. C'est la race de Jade Yin et Ren Guang.
-Les kyonshīs: Ce sont des vampires qui se cachent le jour et sortent la nuit pour boire le sang des humains. Ils vivent en clan, mais c'est rare. C'est la race de Kyu, Rose et Vladimir.
-Les tsubakis: Ils ressemblent Ă  des humains, mais pas comme les autres. Ils sont les descendants de Furutsubaki no Rei et de Ninmenju. Ils possĂšdent le pouvoir de la nature et protĂšgent la forĂȘt. C'est la race de Flora.
-Les onis: Ces créatures surpuissantes ressemblent à des démons. Ils ont une forme humanoïde, une taille gigantesque, des griffes acérées, deux cornes protubérantes poussant sur leur front, des poils ébouriffés et un aspect hideux. C'est la race de Raijin, Fujin et Tsuzu.
-Les djinns: Ce sont des crĂ©atures surnaturelles qui peuvent exhausser des vƓux. Il y a trois races de djinns: Les efrits, les marids et les sylphes.
-Les ningyos: Ces créatures aquatiques vivent dans les endroits prÚs de l'eau. Ils ressemblent à une sirÚne ou un homme-poisson.
-Les jorogumos: Ce sont des créatures les plus rares de monde. Moitié humains, moitié araignées, ils peuvent tisser des toiles, s'accrocher sur les surfaces et possÚdent une agilité surhumaine. Et ils sont aussi ovovivipares.
Tengu (c) SarahStoorne
Cora, Dimitri, Okami, Amétis, Jade Yin, Kyu, Flora, Raijin Jr., Aisha, Abrahel, Shela, Will, Chun-li, Ara and art by me
11 notes · View notes
thebittervampire · 4 years
Text
I was tagged by @jasontoddism​, thank you!!
Rules: It’s time to love yourselves! Choose your 5 favorite works you created in the past year (fics, art, edits, etc.) and link them below to reflect on the amazing things you brought into the world in 2019. Tag as many writers/artists/etc. as you want (fan or original) so we can spread the love and link each other to awesome works!
Bloody scenery in Dishonored 2
Seen on TV, a Joker one-shot
Of Flesh and Void, a DBH one-shot
Moodboard of Les Rois Maudits, French books (btw I have to make the ones for books 3, 4, 5, 6 and 7)
Edit about Connor in DBH
I tag @sapphicmadameumbralis, @nathanprescutt (but I think you’ve been tagged before? Can’t remember!), @veechaos, @elluvians and anyone who wants to do it!
4 notes · View notes
buz-muet · 5 years
Text
HUYSMANS
Tumblr media Tumblr media
Joris-Karl HUYSMANS
A rebours
G. Charpentier & Cie, Paris 1884, 11,5x19cm, relié.
Edition originale sur papier courant.
Reliure en plein maroquin rouge, dos Ă  cinq nerfs sertis de filets noirs, date noire en queue, roulettes noires sur les coiffes, encadrement d'un filet noir sur les plats, gardes et contreplats de papier blanc, encadrement de triples filets noirs sur les contreplats, filet noir sur les coupes, tĂȘte dorĂ©e, couvertures et dos conservĂ©s, Ă©lĂ©gante reliure signĂ©e de Lavaux.
Un portrait de Joris-Karl Huysmans a Ă©tĂ© montĂ© en tĂȘte de notre exemplaire.
TrÚs bel exemplaire élégamment établi par Lavaux
Tumblr media
A rebours (1884)
Le Chat Noir
14 juin, 1884.
Les représailles du Sphinx
Oedipe croyait bien l’avoir vaincu, le monstre immortel! vaincu Ă  jamais ! et, pour sa victoire, les ThĂ©bains stupides l’avaient fait roi et quasi-Dieu, ce divinateur aux pieds gonflĂ©s, cet aveugle terrible, parricide et incestueux sans le savoir !
Depuis prĂšs de trente siĂšcles, l’esprit humain tĂȘte ce symbole, le plus complet que l’antiquitĂ© grecque ait laissĂ©. Dans son irrĂ©mĂ©diable dĂ©val des plateaux lumineux de l’Eden et dans les successives dĂ©gringolades postĂ©rieures, l’animal raisonnable a ainsi toujours retenu l’idĂ©e d’un central rĂ©bus dont l’inespĂ©rable solution donnerait l’empire du monde aux cloportes subtils qui la dĂ©couvriraient.
Si je pouvais oublier l’horrible sottise de la plupart de ceux qui me lisent et s’il m’avait Ă©tĂ© accordĂ© des mains de profanateur, je craindrais moins de toucher Ă  ce sujet redoutable. C’est peut-ĂȘtre ce que j’ai rencontrĂ© de plus troublant... Mais rassure-toi, ĂŽ mon coeur, personne n’y comprendra rien. Si je dis tout, les pĂ©nĂ©trants croiront Ă  une simple fumisterie, et, si je me rĂ©serve, les pĂ©nĂ©trĂ©s affirmeront que je suis congĂ©nitalement enclin Ă  une dĂ©plorable exagĂ©ration.
« Quelqu’un veut-il voir ClĂ©opĂątre au lit ? » ClĂ©opĂątre morte et puante? Quelqu’un a-t-il lu le dernier livre de Huysmans, oeuvre morbide et dĂ©solĂ©e dont le titre, A Rebours, ne montre pas, par malheur, l’effroyable profondeur de spiritualisme et la surprenante Ă©nergie de rĂ©probation, au nom de l’idĂ©al saccagĂ© ?
Eh bien, Huysmans le naturaliste, l’auteur des Soeurs Vatard, le collaborateur de Zola et de sa rĂ©pugnante clique dans les SoirĂ©es de MĂ©dan, s’offre aujourd’hui comme le lamentateur solitaire du spiritualisme chrĂ©tien dĂ©cĂ©dĂ©. Cela est infiniment inattendu, infiniment Ă©tonnant, c’est peut-ĂȘtre ce qu’on pourrait imaginer de plus confondant, mais cela est, Dieu sait avec quelle intensitĂ© !
Son livre, espĂšce d’autobiographie lapidaire, Ă  forme d’épitaphe, dĂ©nonce Ă  toute page le nĂ©ant, l’irrĂ©parable nĂ©ant de tous les Ă©tais par lesquels la vieille entitĂ© psychique fait semblant de se soutenir encore. Puisque, "comme un raz de marĂ©e, les vagues de la mĂ©diocritĂ© humaine montent dĂ©sormais jusqu’au ciel et vont engloutir tout refuge", puisque, en dĂ©pit des mensonges modernes, il ne se trouve pour les Ăąmes supĂ©rieures nul rĂ©confort dans l’universelle bourbe contemporaine, puisque, enfin, ces intelligences malheureuses ont perdu jusqu’à l’effroyable ressource d’un mĂ©prisant et hautain pessimisme, et que « l’impossible croyance en une vie future serait seule apaisante », que faire ? que diable faire ? On ne peut pourtant pas rengainer le dĂ©goĂ»t et se remettre Ă  l’auge Ă  cochons. C’est au moins aussi impossible que de croire Ă  la vie future.
Le Sphinx est revenu, mille fois plus formidable. Son Ă©nigme ne porte plus sur l’homme maintenant, mais sur Dieu, et aucun Oedipe ne se prĂ©sente pour rĂ©pondre. Tout ce qui nourrissait l’enfance des peuples est insuffisant et affadi. ThĂ©ologies, philosophies, arts et littĂ©ratures sont convaincus d’impuissance et d’insapiditĂ©. La vieille silique de l’espĂ©rance croupit dans le rince-pieds rationaliste et le dĂ©lectable fruit nourricier refuse absolument d’apparaĂźtre.
Les dĂ©pendeurs d’andouilles du progrĂšs indĂ©fini et les rouflaquiers de la politique ne semblent pas faits pour prodiguer la consolation et leurs ressemelĂ©s boniments ne peuvent avoir, sur l’homme rare non atteint de jobardisme. qu’une action purement dĂ©tersive. Aucune illusion n’est plus tenable, il faut goinfrer comme des bestiaux ou contempler la face de Dieu.
Je ne vois pas de livre contemporain qui prononce plus dĂ©finitivement que celui-lĂ , et dans une forme plus angoissante, cette alternative. Il n’y a pas une page oĂč l’on puisse se reposer ou reprendre haleine dans un semblant de sĂ©curitĂ©L’auteur ne vous offre jamais de siĂšge. Dans ce dĂ©filĂ© kalĂ©idoscopique de tout ce qui peut intĂ©resser Ă  un degrĂ© quelconque la pensĂ©e moderne, il n’est rien qui ne soit flĂ©tri, bafouĂ©, vilipendĂ© et maudit par ce misanthrope qui n’accepte pas que l’ignoble homme qu’il voit partout soit la vraie fin de l’homme et qui demande Ă©perdument un Dieu. A l’exception de Pascal, personne n’avait encore exhalĂ© d’aussi pĂ©nĂ©trantes lamentations.
Mais encore, Pascal avait un Dieu idĂ©al qui Ă©tait, aprĂšs tout, l’invisible Samaritain de sa dĂ©tresse et qui pansait ses blessures. D’ailleurs, il Ă©tait d’un siĂšcle oĂč quelque chose coulait encore des fontaines de lait du Moyen Age et il ignorait les Ă©puisements et les dessĂšchements du nĂŽtre. Il avait les Ă©mollients de quelques amusettes intellectuelles. Il Ă©tait jansĂ©niste et admirait au moins Montaigne. Il s’asseyait quelquefois, avec une moitiĂ© de bonhomie, chez ce glaireux marchand de capotes philosophiques.
Ici, rien de pareil, nous sommes Ă  l’extrĂ©mitĂ© de tout. Le catholicisme ne suffit pas Ă  cet enragĂ©, parce que la prĂ©sence eucharistique rĂ©elle n’est pas assez, il lui faut la prĂ©sence sensible, quoiqu’il ne le dise pas et quoique, peut-ĂȘtre, il l’ignore. C’est le mal Ă©trange et nouveau des ĂȘtres supĂ©rieurs en cette fin de siĂšcle si mystĂ©rieusement exceptionnelle. On ne veut plus d’un Dieu qui se cache. On commence Ă  vouloir d’un Christ visible des yeux du corps, Ă©clatant, fulgurant, terrible, incontestable. On se dit que les hommes qui vivaient Ă  JĂ©rusalem ou en GalilĂ©e, dans les premiĂšres annĂ©es de l’ùre chrĂ©tienne, ont pu voir Celui que les ChrĂ©tiens adorent et que l’Eglise catholique appelle Dieu fait homme et PĂšre des pauvres; qu’il leur Ă©tait sans doute plus facile de croire en lui et que l’innombrable multitude des autres venus plus tard, portĂ©s sur la pente des siĂšcles, cahotĂ©s dans les orniĂšres fangeuses de l’histoire, Ă©crasĂ©s par toutes les poussĂ©es homicides de la philosophie ou du scandale, ont dĂ» avoir infiniment plus de mĂ©rite Ă  livrer leur coeur et leur raison.
Tous les livres qui ont en eux un atome de puissance ou de gĂ©nĂ©rositĂ© disent cela depuis une moitiĂ© de siĂšcle. Ils le disent de façon ou d’autre, souvent mĂȘme sans s’en apercevoir, car c’est le tressaillement profond de la terre. comme si quelque chose d’immense et d’inouĂŻ approchait enfin.
Jamais, en effet, les thĂ©ories humaines n’avaient sonnĂ© aussi creux; jamais les formules d’art n’avaient Ă©tĂ© plus exaspĂ©rĂ©es et plus vaines; jamais le sentiment religieux n’avait subi un si prodigieux dĂ©chet; jamais le riche n’avait Ă©tĂ© plus Ă©goĂŻste, plus naĂŻvement cruel, et le pauvre plus fĂ©rocement impatient; jamais, enfin, il ne s’était prĂ©parĂ© par la guerre ou par le sordide trafic de toutes les facultĂ©s de l’ĂȘtre pensant, une terre moins tenable et une humanitĂ© plus dĂ©moniaque.
VoilĂ , en toute vĂ©ritĂ©, ce qui se dĂ©gage de l’étonnant livre de Huysmans, naturaliste naguĂšre, maintenant spiritualiste jusqu’au mysticisme le plus ambitieux, et qui se sĂ©pare autant du crapuleux Zola que si tous les espaces interplanĂ©taires s’étaient soudainement accumulĂ©s entre eux. Lisez plutĂŽt la hautaine et abolissante Ă©pigraphe de son livre. Il arrive mĂȘme cette chose significative que Des Esseintes, le personnage fictif et unique d’A Rebours, qui n’est que le prĂȘte-nom littĂ©raire de l’auteur, se fait ermite pour Ă©chapper aux attouchements impurs, aux salissantes promiscuitĂ©s de la vie sociale. Ce n’est ni saint Paphnuce, ni saint Antoine, il n’extermine pas sa chair dans la solitude, oh! non. Mais il fuit la face des hommes, mais il est anxieux d’une Essence supĂ©rieure et c’est vraiment un fier acompte sur la profession Ă©rĂ©mitique.
La forme littĂ©raire de Huysmans rappelle ces invraisemblables orchidĂ©es de l’Inde qui font si profondĂ©ment rĂȘver son Des Esseintes, plantes monstrueuses aux exfoliations inattendues, aux inconcevables floraisons, ayant une maniĂšre de vie organique quasi animale, des attitudes obscĂšnes ou des couleurs menaçantes, quelque chose comme des appĂ©tits, des instincts, presque une volontĂ©.
C’est effrayant de force contenue, de violence refoulĂ©e, de vitalitĂ© mystĂ©rieuse. Huysmans tasse des idĂ©es dans un seul mot et commande Ă  un infini de sensations de tenir dans la pelure Ă©triquĂ©e d’une langue despotiquement pliĂ©e par lui aux derniĂšres exigences de la plus irrĂ©ductible concision. Son expression, toujours armĂ©e et jetant le dĂ©fi, ne supporte jamais de contrainte. pas mĂȘme celle de sa mĂšre l’Image, qu’elle outrage Ă  la moindre vellĂ©itĂ© de tyrannie et qu’elle traĂźne continuellement, par les cheveux ou par les pieds, dans l’escalier vermoulu de la Syntaxe Ă©pouvantĂ©e.
AprĂšs cela, qu’importe la multitude des contradictions ou des erreurs qui tapissent, Ă  la maniĂšre d’anormales vĂ©gĂ©tations, le fond d’un livre oĂč se dĂ©verse, comme dans la nappe d’un golfe maudit, tout l’azur de l’immense ciel ? Qu’importe, par exemple, que l’affreux cuistre Schopenhauer soit presque Ă©galĂ© Ă  l’auteur de l’Imitation; Joseph de Maistre jugĂ© ennuyeux et vide, par la plus incomprĂ©hensible des rĂ©pugnances, et mis au-dessous de cet acadĂ©mique plumassier M. de Falloux ?
Qu’importe que des Jocrisses dĂ©ments tels que MallarmĂ© soient adorĂ©s au dĂ©sert par cet hĂ©breu en plein Exode, tandis que Barbey d’Aurevilly est prĂ©tendu sadique et divagateur sacrilĂšge? Cette derniĂšre idĂ©e est un reste de la vieille vidange naturaliste de M. Zola d’oĂč l’auteur vient Ă  peine de s’élancer et dont il n’y aura bientĂŽt plus, je l’espĂšre, une seule crotte sur son talent ni sur sa pensĂ©e.
Un Ă©crivain d’une telle santĂ© de mĂ©pris qu’il a pu s’élever, absolument seul, jusqu’à la conception mystique de la joie au-dessus du temps — malgrĂ© la plus abrutissante des Ă©ducations littĂ©raires — et qui montre Ă  cette solide sociĂ©tĂ© contemporaine, si persuadĂ©e d’avoir escaladĂ© le MystĂšre, le buste rigide et terrifiant du Sphinx Ă©ternel! Il me suffit d’avoir vu cela devant quoi tout s’efface.
LÉON BLOY
3 notes · View notes
yohanan64 · 6 years
Text
Mort de Jean Piat, homme de théùtre et inoubliable voix de cinéma
https://www.francetvinfo.fr/culture/jean-piat-monstre-sacre-du-theatre-s-est-eteint_2947203.html
Jean Piat, qui s'Ă©tait avant tout illustrĂ© sur les planches, est dĂ©cĂ©dĂ© ce 18 septembre. Visage de la sĂ©rie populaire "Les Rois maudits", le comĂ©dien avait aussi marquĂ© pour sa voix qu'il avait notamment prĂȘtĂ© Ă  Gandalf, Scar ou Frollo.
Tumblr media
Jean Piat naĂźt en 1924 Ă  Lannoy dans le Nord de la France, et fait ses Ă©tudes au lycĂ©e Janson-de-Sailly Ă  Paris, oĂč il reçoit une Ă©ducation catholique qui le marquera beaucoup. PassionnĂ© de thĂ©Ăątre, il prend dĂšs l'adolescence des courts d'art dramatique, en cachette de son pĂšre, qui prĂ©fĂ©rait le voir se consacrer Ă  ses Ă©tudes. Il reçoit ensuite une formation classique au Conservatoire National, d'oĂč il sera mis Ă  la porte aprĂšs avoir interprĂ©tĂ© Ah ! qu'il est beau le dĂ©bit de laid, une chanson de Charles TrĂ©net.
En 1947, aprĂšs avoir jouĂ© des piĂšces de boulevard dans quelques salles parisiennes, il entre sur audition Ă  la ComĂ©die Française, dont il sera sociĂ©taire de 1953 Ă  1972, puis membre honoraire. Il apparaĂźt pour la premiĂšre fois sur scĂšne dans Le barbier de SĂ©ville en 1958. Acteur de tous les rĂŽles, il est aussi Ă  l'aise dans les piĂšces classiques que dans le thĂ©atre contemporain, dans les grandes tragĂ©dies que dans le vaudeville. Il interprĂ©te avec un immense succĂšs plus d'une centaine de rĂŽles, dont Cyrano de Bergerac, Ă  plus de 300 reprises. Il est Ă©galement metteur en scĂšne de plusieurs de ces piĂšces, dont les trĂšs belles versions des Femmes savantes de MoliĂšre et Jean de la Lune de Marcel Achard. Il dĂ©bute au cinĂ©ma en interprĂ©tant le fameux personnage du journaliste Rouletabille, dans deux films adaptĂ©s de l'univers de l'auteur Gaston Leroux, Rouletabille joue et gagne et Rouletabille contre la dame de pique, en 1947. Mais mĂȘme au cinĂ©ma, le thĂ©Ăątre reste sa principale prĂ©occupation : il enregistre en versions filmĂ©es Le Bourgeois gentilhomme et Le Mariage de Figaro sous la direction de Jean Meyer. Il collabore avec son partenaire et ami de thĂ©Ăątre Sacha Guitry pour Le Diable boiteux en 1948, puis dans sa fresque historique NapolĂ©on, dix ans plus tard. Peu sollicitĂ© par le cinĂ©ma dans les annĂ©es 80, hormis le temps de deux collaboration avec le rĂ©alisateur Sergio Gobbi, il devient un vĂ©ritable personnage clĂ© dans le monde de la tĂ©lĂ©vision : en deux sĂ©ries, LagardĂšre et Les Rois maudits, il devient une rĂ©fĂ©rence incontournable connue et aimĂ©e du grand public. Plus discret dans les annĂ©es 90, son talent de comĂ©dien sera surtout mis au service du doublage. Celui qui avait dĂ©clarĂ© "Parler juste, c'est comme chanter juste, c'est un don. Mais ça Ă©tonne moins" sera ainsi Ă  plusieurs reprises la voix des " mĂ©chants " dans les productions Disney, doublant Scar pour Le Roi Lion et le juge Frollo pour Le Bossu de Notre-Dame, ou dans les productions françaises Le ChĂąteau des singes et Kaena, la prophĂ©tie. Reconnu pour son immense apport culturel au monde du thĂ©Ăątre, il est fait officier dans l'Ordre de la LĂ©gion d'honneur et officier dans l'Ordre des Arts et des Lettres. Auteur, son livre Les plumes de paon est rĂ©compensĂ© par l'AcadĂ©mie française. Toujours actif en 2007, il continue Ă  mener une carriĂšre sur plusieurs plans, doublant un personnage dans Tous Ă  l'Ouest : une aventure de Lucky Luke et remontant trois fois sur scĂšne, notamment dans De Sacha Ă  Guitry oĂč il rend hommage Ă  son ami disparu. Jean Piat meurt le 18 septembre 2018 Ă  Paris, Ă  l'Ăąge de 93 ans.
1 note · View note
pilferingapples · 6 years
Text
La premiĂšre de Le roi s'amuse,cont
more from Jehan Valter; this is further along , and the play and its reception are starting to go off the rails: 
Unfortunately, the spectators of the parterre and the amphitheater recommenced their jokes during the intermission; appealing to the tenants of the lodges and the balcony, already ill-disposed  to the author (Hugo).
Messrs. Arnault pere and his sons, Jouy, Jay, and Viennet, who had signed a passionate protest against the Romantics some time before, were particularly beset. We* sang on the air of Malborough:**
The academy is dead, Mironton tone your mirontaine, The academy is dead, Is dead and buried.
By the time the curtain was about to rise on the second act, a shower of small papers thrown from the third gallery fell unexpectedly onto the audience of the orchestra and the lower galleries. It was Jean Journet "the apostle" who thus announced to the world by printed flyers that a new religion had just been founded and that he was the founder.
Reading these little papers put the whole room in a good mood. We laughed again when the second act began. But the laughter stopped abruptly from the first few verses of the monologue of Triboulet.
This old man cursed me ...
And they changed into enthusiastic bravos from the scene where the unfortunate father said to his daughter:
Oh ! do not wake up a bitter thought.
The verse :
And what would you say if you saw me laughing?
shuddered the whole room. Friends and enemies of the author met in a single ovation. The end of the act went less well. People say- but nothing proves it and I like to doubt it- Samson (Clement Marot), dissatisfied with playing only one end of a role***, deliberately misplaced the band over Triboulet's eyes, and also deliberately forgot the following two explanatory verses:
You can scream high and walk with a heavy step. The blindfold that makes him blind and deaf.
So that it was not explained how Triboulet did not see that the ladder was applied against the wall of his house and how he did not hear the cries of his daughter. The audience of the lodges burst out laughing.
In addition, Blanche's abduction was as awkward as possible. Mademoiselle Anais was swept upside down with her legs in the air, and the second act ended amid laughter and whistling.
During the passage, Jehan Duseigneur**** ascended to the third gallery, where he had a lively explanation with Journet. Going down, he had to cross the home a group of Lesguillon, Charles Maurice Henri Beyle and a few others, all opponents of the author. The group was heavily eroding the room, that goes without saying.
"Down with the fools!" said the Romantic sculptor energetically.
Nobody answered him and he regained his place proudly.
 * This isn’t the first time Valter’s talked about the Romantics as “we” and given  his name , it’s likely he really was part of the crew. If so , this pamphlet on Le Roi s’amuse,started as a running article in Le Figaro,  is the only writing of his that seems to have survived--though of course it’s possible he has other columns buried in old newspaper articles and the like.At any rate, this is the whole evidence of him that I’ve found, so sadly I can’t give more info on him!  But there’s another Jehan for the Romantic Army ; maybe he was a footsoldier and not a lieutenant, but obviously the sense of camraderie stuck with him too.
**Obviously, filking the same song Petrus and his group were singing at the start of the play
*** I am really not sure what this means??
****Duseigneur!!  Besides being one of the main hosts of the Jeunes-France, he was the guy who did his hair up like a flame to symbolize THE FLAME OF GENIUS. A noticeable guy, a big success in his art, and well liked, but mostly without speaking lines in histories of the movement--this is fun to see!
Malheureusement, les spectateurs du parterre et de l'amphithéùtre recommencÚrent leurs plaisanteries pendant l'entr'acte; interpellant les locataires des loges et du balcon, déjà mal disposés pour l'auteur.
MM. ArnaultpÚre et fils, Jouy, Jay et Viennet, qui avaient signé quelque temps auparavant une protestation passionnée contreles romantiques, étaient particuliÚrement pris à partie. On chantait sur l'air de Malborough :
L'académie est morte, Mironton ton ton mirontaine, L'académie est morte, Est morte et enterrée.
Au moment oĂč le rideau allait se lever sur le second acte, une pluie de petits papiers lancĂ©s de la troisiĂšme galerie tomba Ă  l'improviste sur le public de l'orchestre et des galeries infĂ©rieures. C'Ă©tait Jean Journet « l'apĂŽtre » qui annonçait ainsi au monde par prospectus imprimĂ©s qu'une religion nouvelle venait de se fonder et qu'il en Ă©tait, lui, le fondateur.
La lecture de ces petits papiers mit la salle entiÚre en belle humeur. On riait encore lorsque commença le deuxiÚme acte. Mais les rires cessÚrent brusquement dÚs les premiers vers du monologue de Triboulet.
Ce vieillard m'a maudit...
Et ils se changĂšrent en bravos enthousiastes Ă  partir de la scĂšne oĂč le malheureux pĂšre dit Ă  sa fille :
Oh ! ne réveille pas une pensée amÚre.
Le vers :
Et que dirais-tu donc si tu me voyais rire ?
fit frissonner toute la salle. Amis et ennemis de l'auteur se rĂ©unirent dans une mĂȘme ovation. La fin de l'acte marcha moins bien. On prĂ©tend— mais rien ne le prouve et j'aime mieux en douter— que Samson (ClĂ©ment Marot), mĂ©content de ne jouer qu'un bout de rĂŽle, fit exprĂšs de mal placer le bandeau sur les yeux de Triboulet, et fit Ă©galement exprĂšs d'oublier les deux vers explicatifs qui suivent :
Vous pouvez crier haut et marcher d'un pas lourd. Le bandeau que voilĂ  le rend aveugle et sourd.
De sorte qu'on ne s'expliqua pas comment Triboulet ne voyait pas que Péchelle était appliquée contre le mur de sa maison et comment il n'entendait pas les cris de sa fille. Le public des loges éclata de rire.
En outre, l'enlĂšvement de Blanche se fit aussi maladroitement que possible. M" e AnaĂŻs fut emportĂ©e la tĂȘte en bas et les jambes en l'air. Le deuxiĂšme acte finit au milieu des rires et des sifflets.
Pendant Tentr'acte, Jehan Duseigneur monta Ă  la troisiĂšme galerie oĂč il eut une vive explication avec Journet. En redescendant, il dut traverser au foyer un groupe composĂ© de Lesguillon, de Charles Maurice, de Henri Beyle et de quelques autres, tous adversaires de l'auteur. Le groupe Ă©reintait fortement la piĂšce, cela va sans dire.
— A bas les stupide! si cria Ă©nergiquement le sculpteur romantique.
Personne ne lui répondit et il regagna fiÚrement sa place.
3 notes · View notes
xmarchand · 3 years
Photo
Tumblr media
« Le roi maudit »
Xavier Marchand
Art numérique
27 décembre 2020
#XavierMarchandArtiste
0 notes
memoiredesarts · 3 years
Text
Poùte incompris, artiste en avance sur ton peuple. Immense, ou roi maudit. En retard pour qu'il soit temps qu'eux comprennent, ou qu'ils aient envie de comprendre. Toi qui n’es pas mort au combat non.
Ils sont voués à s'autodétruire. Il ne faut pas trop y songer. On ne peut pas compter sur la masse.
Et toi tu es lĂ  pour donner Ă  l'Ă©ternel et aux cƓurs vivants un renouveau. Toi dont le talent dĂ©passe leur entendement. Trop pur, brut, vrai, sincĂšre, trop littĂ©raire pour ĂȘtre compris de l'ignorance Ă  l'esprit court dans leurs dĂ©tours.
Pour que l'ensemble de la jeunesse t'entende, il faudrait les supplicier.  
La bĂȘtise les a nourris trop tĂŽt, au sein de la matiĂšre matricielle. Ils n’ont pas Ă©tudiĂ© l’essentiel ces pauvres gens. Ils ont cru par l’école accĂ©der Ă  quoi ? En croyant par leur Etat ? C’est tout juste si on y apprend le français encore. Et la musique qui donne l’inspiration. Bien ça non plus on n’y a pas le droit. Ah oui c’est sĂ»r Mozart aurait Ă©tĂ© bien avancĂ© dans ces instituts d’élevage intensif.
Je ne sais pas dieu pourquoi j'ai Ă©tĂ© choisie pour m’emmerder plus que les autres dans cette dimension malsaine. D’en ĂȘtre haĂŻe dans des menaces de mort. Au point de n’en plus dormir de la nuit oĂč ma rage y est plus vive.
Quand au moindre stress des autres, mon cƓur bat Ă  l’asphyxie, me plonge dans une noyade nĂ©buleuse, ou dans les bulles des yeux de mes rĂȘves perdus.
Je crois qu’il n’y a que toi pour comprendre.
Enfin je dirais que tes textes me comprennent. Tes mĂ©lodies, qui me prennent aux tripes, comme un premier Ă©moi, Ă  me redonner l’amour humain quand je ne voyais plus que des larves lĂąches. Moi-mĂȘme affectĂ©e, abandonnĂ©e. Toi tu me rĂ©veilles parmi la mort.
A cĂŽtĂ© de tout le reste mon dieu, quels ont Ă©tĂ© mes ennuis en les cĂŽtoyant. La lutte finit par l’indiffĂ©rence Ă  chaque fois avec ces sourds. Tous, qu’ils soient du prĂ©tendu niveau d’une puce, d’un boeuf ou d’un singe, ont renoncĂ© Ă  comprendre.
Dans l’ensemble ou dans l’artiste vivant, je ne vois nul autre meilleur qui ne puise en ta force.
Nulle part je ne te retrouve. Pas dans les communautĂ©s populaires, pas dans leur fragilitĂ©, ni dans leur soumission. Ce peuple ne fait rien sans cracher du sang. Ses manifestations ne viennent pas Ă  bout d’une puissance confortable. Et l’esprit n’est pas assez hĂ©roĂŻque pour ne plus dĂ©pendre de l’offre et la demande.
Je me sens exclue depuis longtemps de ces combats mercantiles, et je ne m’en vante qu’à moitiĂ©.
Le peuple est le reflet de ce qu’il paye. Et je dis qu’il mĂ©rite fort bien le monde de merde qui l’attend encore. Ma gĂ©nĂ©ration faible, car rien n’est dans leur rassemblement, aussi pur que dans tes mots, ton cƓur ouvert, ou saignant pour le nĂŽtre.
Viens, construisons un jour nos terres ensemble, choisissons un endroit sur la Terre. Il faut bien si nous venons d’un esprit romanesque, trouver un autre royaume.
Cultivons nos plantes dans les contrées des mondes encore vierges.
Si crĂ©ateurs nous sommes, alors soyons capables de fabriquer tous nos besoins. Ne plus rien attendre du pognon et de leur religion d’Etat.
Cette société est totalitaire, alors laissons-là. Pour un avenir ailleurs.
Laissons nos faux amours, et l’Enfer oĂč ils veulent rester.
Pierre par pierre, rendons au sacré et au suffisant son histoire.
Car crĂ©ateurs que nous sommes, nous devons ĂȘtre capables aussi de bĂątir notre modeste empire seuls.
L’artiste n’a besoin que des hauteurs. Le grand artiste donne de soi, il n’a besoin que d’un asile. Et cet asile alors qu’il le construise de ses mains.
Nous pourrons lire ailleurs, penser un meilleur, car ici il n’y a rien à offrir.
Libres plus on sera, se passant du superflu, et du mensonge qu’ils promettent dans le progrùs du pire.
Le grand artiste vit pour son art, se contente de peu, mais se voue entier à ce peu. Les autres sont des matérialistes, des possédés de la profusion stérile.
Je prĂ©fĂšre ceux qui jeĂ»nent, dans le risque ou dans la folie pour leur civilisation. Mais cela n’existe pas ici. Ou je crois comme toi, ou moi.
J’ai sacrifiĂ© mes jours, sans aimer la fĂȘte, oĂč je n’adhĂšre Ă  aucun de leurs jeux de sociĂ©tĂ©. Je m’y emmerde voilĂ , et dans le malaise, car toujours je suis d’un esprit Ă©loignĂ© d’eux.
EntourĂ©e je suis plus seule, qu’en Ă©tant seule je me sens entourĂ©e d’un dieu.
En souffrant, et dans le mutisme, je me perds prĂšs d’eux. Je rĂȘve loin d’eux.
Je rĂȘve de ceux qui prennent le temps de lire dans les veines et de ceux qui Ă©crivent avec leur sang. A ceux qui vous le disent avec la voix et ceux qui vous  transportent par leurs chants.
À D. S.
0 notes