Tumgik
#La Joueuse de flûte
arinewman7 · 6 months
Text
Tumblr media
La Joueuse de flûte (ou La Sirène)
Sculpture by Camille Claudel
bronze, ca. 1905
60 notes · View notes
beatricecenci · 6 months
Text
Tumblr media
Charles-Amable Lenoir (French, 1860-1926)
La joueuse de flûte
247 notes · View notes
philoursmars · 10 months
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Revenons à mon projet de présenter la plupart de mes 55800 photos (environ).  On est en 2017. Oui, mon blog est né en 2017 mais je vais prolonger ce projet...jusqu’à l’année 2018 . Allez....
Au Louvre-Lens, il y eut une très belle expo : “Musiques de l’Antiquité” :
- sarcophage - jeunes filles et pandoura - Athènes, 3ème s. ap. JC.
-  joueur de double hautbois et son singe - Chypre, 500 av. JC. 
- joueuse de pandoura - Tanagra, 300 av. JC.
-     Cymbales: Israël - 500 av. JC; Chypre - 1100 av. JC ; Irak -1600 av. JC ;        Lybie - 500av. JC         Luths : Girsu -1600 av. JC ; Suse - 2000 av. JC           Flûtes : Syrie -100 av. JC ; Suse 0          Lyre: Chypre  -500 av. JC       Percussions : Suse - 2000 av. JC
-  Cymbales: Chypre -1100 av. JC ; Irak -1600 av. JC ; Lybie - 500 av. JC      Luths : Girsu -1600 av. JC ; Suse - 2000 av. JC
4 notes · View notes
palafoxiana · 5 months
Text
Tumblr media
Elle avait douze ans quand elle s'échappa pour suivre une troupe de jeunes cavaliers qui allaient à Tyr comme vendeurs d'ivoire et qu'elle aborda devant une citerne. Ils paraient des chevaux à longue queue avec des houppes bigarrées. Elle se rappelait bien comment ils l'enlevèrent, pâle de joie, sur leurs montures, et comment ils s'arrêtèrent une seconde fois pendant la nuit, une nuit si claire qu'on ne voyait pas une étoile.
L'entrée à Tyr, elle ne l'avait pas oubliée non plus: elle, en tête, sur les paniers d'un cheval de somme, se tenant du poing à la crinière, et laissant pendre orgueilleusement ses mollets nus, pour montrer aux femmes de la ville qu'elle avait du sang le long des jambes. Le soir même, on partait pour l'Égypte. Elle suivit les vendeurs d'ivoire jusqu'au marché d'Alexandrie.
Et c'était là, dans une petite maison blanche à terrasse et à colonnettes, qu'ils l'avaient laissée deux mois après, avec son miroir de bronze, des tapis, des coussins neufs, et une belle esclave hindoue qui savait coiffer les courtisanes. D'autres étaient venus le soir de leur départ, et d'autres le lendemain.
Comme elle habitait le quartier de l'extrême Est où les jeunes Grecs de Brouchion dédaignaient de fréquenter, elle ne connut longtemps, comme sa mère, que des voyageurs et des marchands. Elle ne revoyait pas ses amants passagers; elle savait se plaire à eux et les quitter vite avant de les aimer. Pourtant elle avait inspiré des passions interminables. On avait vu des maîtres de caravanes vendre à vil prix leurs marchandises afin de rester où elle était et se ruiner en quelques nuits. Avec la fortune de ces hommes, elle s'était acheté des bijoux, des coussins de lit, des parfums rares, des robes à fleurs et quatre esclaves.
Elle était arrivée à comprendre beaucoup de langues étrangères, et connaissait des contes de tous les pays. Des Assyriens lui avaient dit les amours de Douzi et d'Ischtar; des Phéniciens celles d'Aschthoreth et d'Adôni. Des filles grecques des îles lui avaient conté la légende d'Iphis en lui apprenant d'étranges caresses qui l'avaient surprise d'abord, mais ensuite charmée à ce point qu'elle ne pouvait plus s'en passer tout un jour. Elle savait aussi les amours d'Atalante et comment, à leur exemple, des joueuses de flûte encore vierges épuisent les hommes les plus robustes. Enfin son esclave hindoue, patiemment, pendant sept années, lui avait enseigné jusqu'aux derniers détails l'art complexe et voluptueux des courtisanes de Palibothra.
Car l'amour est un art, comme la musique. Il donne des émotions du même ordre, aussi délicates, aussi vibrantes, parfois peut-être plus intenses; et Chrysis, qui en connaissait tous les rhythmes et toutes les subtilités, s'estimait, avec raison, plus grande artiste que Plango elle-même, qui était pourtant musicienne du temple.
Sept ans elle vécut ainsi, sans rêver une vie plus heureuse ni plus diverse que la sienne. Mais peu avant sa vingtième année, quand de jeune fille elle devint femme et vit s'effiler sous les seins le premier pli charmant de la maturité qui va naître, il lui vint tout à coup des ambitions.
0 notes
suis-nous · 1 year
Link
0 notes
damedragonvole · 4 years
Text
Journée internationale du droit des femmes.
Nous étions « on fire » pour cette journée ! Préparations d’affiches par Manu et Laura, d’un exposé sur les disparités Nord-Sud par Sylvia.
Nous avons proposé aux autres membres de la mission 71, une lecture de texte que nous avons écrit, Laura, Sylvia et moi. Puis un débat sur différents thèmes comme « Qu’est-ce qu’être une femme ? » ou « J’ai grandis dans la culture du viol. » ou encore « On ne peut plus draguer dans la rue. ».
Ces moments ont été très forts et les échanges très intéressants !
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
J’ai trouvé masse de prunes au Jardin Météo alors je les ai ramassé : 2,3 kg ! J’ai fait deux tartes et il en restait à croquer. Tout le monde a adoré =)
Tumblr media
Recette de ma mamie lorraine ! Juste la pâte et les prunes et du sucre.
Nous avons passé le reste de l’après-midi à jouer à Terraforming Mars, pour apprendre à Laura et Guillaume. Nous sommes maintenant 7 joueuses et joueurs !
En bonus, le texte de Laura :
« En cette journée internationale de défense des droits des femmes, j’aimerais partager avec vous mon témoignage.
Ma prise de parole est celle d’une femme évoluant au sein des milieux féministes militants, entourée d’hommes et de femmes qui ont fait de la lutte contre le sexisme et le model patriarcal leur cheval de bataille.
Mon sport, issu des milieux underground, punk et revendicateurs, est, comme je pense vous l’avez compris, plus qu’un simple loisir pour moi. Par son histoire, le roller derby est profondément féministe. Il a été, et reste pour moi, un outil d’émancipation et d’affirmation personnel grâce aux valeurs qu’il véhicule. La tolérance et l’inclusion érigés comme ligne de conduite dans les chartes éthiques de chaque club, ont fait de cette communauté un espace où l’on se sent en sécurité et libre d’être soi-même. Elle rassemble une fantastique diversité de corps qui s’assument, de sexualités qui s’assument, de genres qui s’assument, d’individualités qui s’assument.
Pendant quatre années, ce doux cocon a été mon cercle social et mon espace privilégié d’expression.
Lors de notre décision de partir pour Amsterdam, nous avons toutes et tous fait le choix de quitter notre famille, nos ami.e.s, notre quotidien plus ou moins rangé pour y faire entrer des inconnu.e.s d’âges différents, de milieux différents, de passifs différents.
Par cette décision de partir pour Amsterdam, je me suis finalement éloignée du sexisme véhiculé par les médias, les magazines, les publicités, les politiques, et me suis rapprochée d’un sexisme ordinaire, un sexisme du quotidien duquel je parvenais à me préserver en métropole.
La première claque a fait mal. Elle avait la chaleur brûlante de sa main posée sur mon dos, la douceur de ses vicieux mots à mon oreille, la soumission apparente de mon corps courbé s’étirant après l’effort et ma soudaine fragilité face à cet homme jouissant de son statut et de sa droite posture pour affirmer sa domination. Une belle entrée en matière avant même d’avoir posé le pied sur notre île.
La seconde, sur Amsterdam cette fois, avait pour prétexte la fête. Elle avait aussi pour prétexte le fait que je suis une femme, et lui un homme, et qu’un simple « non » à sa question de partager une danse ne pouvait lui suffire, et qu’en m’enserrant de ses bras, de plus en plus fort, il aurait le pouvoir de le transformer en « oui ».
La troisième est le fruit d’un sexisme invisibilisé, parfois inconscient mais pas moins blessant. Un sexisme discret mais puissant, véhiculé par l’éducation, la culture et les codes sociaux. Il s’infiltre et se cache dans nos blagues, nos expressions et par ce biais, permet de perpétuer un clivage entre hommes et femmes, entre dominants et dominées. « Fais pas ta gonzesse », « t’es pas assez féminine », « t’as pas les couilles ! », « une femme, c’est pas censé se tenir comme ça », « t’es un bonhomme ! », « tu voudrais pas t’apprêter de temps en temps ? ».
Mais celle qui m’a finalement fait le plus mal, c’est mon silence. Un silence qui m’a surprise et fait culpabiliser. Un silence comme seule réponse à mon incompréhension. Un silence pour éviter l’affrontement, soigner les relations dans ce contexte d’isolement. Un silence violent et dangereux, qui ne sert la cause de personne.
Ce silence a finalement pris fin lorsque le sujet de la féminisation dans les TAAF et la question de notre éventuelle participation à la journée de défense des droits des femmes ont émergés. Le dialogue au départ timide, s’est, au fil des discussions, transformé en échanges passionnés et salvateurs dont le point d’orgue est cette lecture de nos témoignages devant vous.
La libération de la parole est primordiale pour pouvoir continuellement travailler à rendre notre société, et notre communauté amstellodamoise, plus égalitaires. Je crois en la capacité d’écoute et de compréhension de chacun et chacune. Hommes et femmes restons solidaires et essayons d’être exemplaires. Ici ou ailleurs, osons parler, osons écouter celles et ceux qui parlent, osons considérer celles et ceux qui ne peuvent pas parler, osons nous remettre en question, osons nous améliorer. »
Et le mien :
           « D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours été attirée par le milieu masculin. La manière d’être en société, la liberté que ça semble donner d’être un homme.
J’ai toujours été la seule fille du groupe d’amis. Bien sûr, j’ai eu et j’ai toujours des amiEs mais naturellement je vais toujours vers le groupe de gars, plutôt que le groupe de nanas.
Combien de fois, j’ai pensé être totalement intégrée à mon groupe d’amis et soudain, l’un d’entre eux propose une activité, pose une question au groupe, aborde un sujet et par la forme de sa phrase, je sens qu’on ne me demande pas mon avis, que je ne serai pas incluse dans la conversation.
Quel effort je fais alors pour m’inclure moi-même dans la conversation, parce que je pense, et je suis convaincue que ce que j’ai à dire peut apporter quelque chose d’intéressant.
Ça m’est arrivée souvent d’être mise à l’écart de mon groupe d’amis sans aucune autre raison que celle d’être une fille. Et pour être réintégrée au groupe, c’était à moi de faire l’effort de revenir vers eux, parce que je savais que ce ne serait pas eux qui viendraient me chercher.
           Je pense avoir eu beaucoup de chance, de grandir dans une famille où les femmes, mes grands-mères et ma mère avaient subi des injustices de genre dans leur vie et n’ont pas voulu que ma sœur et moi subissions la même chose.
Ma grand-mère qui a grandi avec deux frères et une sœur. Elles n’ont jamais pu suivre des cours de musique, faire des études comme eux. Elle s’est battue contre sa propre famille pour épouser l’homme qu’elle aimait.
Mon autre grand-mère dont sa mère lui a parlé de ses règles avant que sa puberté n’arrive. Chose peu courante dans les années 40 où on laissait encore très seules les jeunes adolescentes face à cette épreuve.
Ma mère qui a grandi avec trois frères et les moqueries, remarques blessantes qui vont avec, et qui a dû se forger une carapace solide pour se sortir du modèle homme/femme qu’on lui avait montré. Je me suis souviens de son intervention auprès de ma maîtresse en maternelle pour qu’elle arrête de dire que j’étais un garçon manqué.
En dehors de ma famille, il y a eu ma professeur de flûte à bec et de chant, Aline Behar, une femme déterminée et courageuse qui m’a donnée confiance en moi.
J’ai eu la chance de croiser cette conseillère d’orientation anonyme qui ne m’a pas ris au nez quand je lui ai demandé quelles études il fallait suivre pour devenir astrophysicienne.
Et dans les grandes figures connues, il y a Françoise Combes, astrophysicienne, spécialiste des galaxies et de la matière noire dont j’ai assisté à la conférence aux Rencontres du Ciel et de l’Espace en 2012. Et bien sûr, Claudie Haigneré, encore unique femme française à être allée dans l’espace.
           Toutes ces personnes, ces femmes, m’ont aidée à me rendre compte que ce que je voulais être dans ma vie, était possible.
Ces personnes, ces femmes, m’ont donnée la force de me dire « Je suis capable de le faire, je vais aller dans des domaines où on ne m’attend pas ». Et de dire, face à ceux qui pourraient être surpris de mes choix et de ma présence : « Je suis légitime à être là où je suis aujourd’hui. ».
Je vois les autres comme des personnes avant de voir des hommes et des femmes, et j’attends des autres qu’iels fassent de même. Je suis une personne, avec des désirs, des choix et une histoire. Comme tous les êtres humains.
           Cette journée du droit des femmes n’est pas une journée où on attend des hommes qu’ils soient plus galants et aux femmes qu’elles soient plus chiantes.
C’est une occasion de donner la parole à une partie de la société.
Il n’y a pas les hommes contre les femmes, ça n’a aucun sens et ça n’en aura jamais puisqu’on a besoin les uns des autres pour avancer.
Mais à droit égal, il y a des personnes privilégiées par rapport à d’autres, et ça, il faut que ça change. »
2 notes · View notes
spiritgamer26 · 2 years
Text
[CP] Des Pokémon fabuleux arrivent dans Diamant et Perle
Tumblr media
The Pokémon Company a aujourd’hui annoncé l’arrivée d’une nouvelle mise à jour de Pokémon Diamant Étincelant et Pokémon Perle Scintillante. Les joueurs et joueuses pourront se lier d'amitié avec Darkrai et, en jouant à Légendes Pokémon : Arceus, croiser Arceus dans Pokémon Diamant Étincelant et Pokémon Perle Scintillante !- Pour rencontrer Arceus : pour croiser Arceus dans Pokémon Diamant Étincelant ou Pokémon Perle Scintillante, il faudra avoir téléchargé la mise à jour (version 1.3.0) de ces jeux, et posséder une sauvegarde de Légendes Pokémon : Arceus dans laquelle toutes les missions principales sont terminées. Les joueurs et joueuses recevront ensuite l’objet « Flûte Azur » dans Pokémon Diamant Étincelant ou Pokémon Perle Scintillante après avoir fait leur entrée au Panthéon et obtenu le Pokédex national. Il leur suffira ensuite de se rendre à l'entrée des Colonnes Lances pour rencontrer le Pokémon fabuleux Arceus.  - Pour se lier d’amitié avec Darkrai : l’objet « Carte Membre » sera distribué aux joueurs et joueuses du vendredi 1er avril 2022 à 06:24 UTC au samedi 30 avril 2022 à 20:28 UTC. Après avoir récupéré cet objet (en allant dans le menu « Cadeau Mystère » et en sélectionnant l'option « Via Internet »), fait leur l'entrée au Panthéon, obtenu le Pokédex national et terminé l'évènement en jeu lié à Cresselia, les joueurs et joueuses pourront se rendre sur l'Île Nouvellune, où se trouve le Pokémon fabuleux Darkrai.​Cette mise à jour sera disponible à partir du mercredi 16 mars.
Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Suivez-nous sur les réseaux sociaux !
Facebook Twitter Youtube Instagram
Vous pouvez partager nos articles
Read the full article
0 notes
tournevole · 6 years
Quote
Ô toi qui me nommes danseuse, sache, aujourd’hui, que je n’ai pas appris à danser. Tu m’as rencontrée petite et joueuse, dansant sur la route et chassant devant moi mon ombre bleue. Je virais comme une abeille, et le pollen d’une poussière blonde poudrait mes pieds et mes cheveux couleur de chemin... Tu m’as vue revenir de la fontaine, berçant l’amphore au creux de ma hanche tandis que l’eau, au rythme de mon pas, sautait sur ma tunique en larmes rondes, en serpents d’argent, en courtes fusées et frisées qui montaient, glacées, jusqu’à ma joue...Je marchais lente, sérieuse, mais tu nommais mon pas une danse. Tu ne regardais pas mon visage, mais tu suivais le mouvement de mes genoux, le balancement de ma taille, tu lisais sur le sable la forme de mes talons nus, l’empreinte de mes doigts écartés, que tu comparais à celle de cinq perles inégales... Tu m’as dit: "Cueille ces fleurs, poursuis ce papillon..." car tu nommais ma course une danse, et chaque révérence de mon corps penché sur les oeillets de pourpre, et le geste, à chaque fleur recommencé, de rejeter sur mon épaule une écharpe glissante... Dans ta maison, seule entre toi et la flamme haute d’une lampe, tu m’as dit: "¡Danse!" et je n’ai pas dansé. Mais nue dans tes bras, liée à ton lit par le ruban de feu du plaisir, tu m’as pourtant nommée danseuse, à voir bondir sous ma peau, de ma gorge renversée à mes pieds recourbés, la volupté inévitable... Lasse, j’ai renoué mes cheveux, et tu les regardais, dociles, s’enrouler à mon front comme un serpent que charme la flûte... J’ai quitté ta maison durant tu murmurais: "La plus belle de tes danses, ce n’est pas quand tu accours, haletante, pleine d’un désir irrité et tourmentant déjà, sur le chemin, l’agrafe de ta robe... C’est quand tu t’éloignes de moi, calmée et les genoux fléchissants, et qu’en t’éloignant tu me regardes, le menton sur l’épaule...Ton corps se souvient de moi, oscille et hésite, tes hanches me regrettent et tes reins me remercient...Tu me regardes, la tête tournée, tandis que tes pieds divinateurs tâtent et choisissent leur route... "Tu t’en vas, toujours plus petite et fardée par le soleil couchant, jusqu’à n’être plus, en haut de la pente, toute mince dans ta robe orangée, qu’une flamme droite, que danse imperceptiblement Si tu ne me quitte pas, je m’en irai, dansant, vers ma tombe blanche. D’une danse involontaire et chaque jour ralentie, je saluerai la lumière qui me fit belle et qui me vit aimée. Que les dieux m’accordent une chute harmonieuse, les bras joints au-dessus de mon front, une jambe pliée et l’autre étendue, comme prête à franchir, d’un bond léger, le seuil noir du royaume des ombres... ne dernière danse tragique me mettra aux prises avec la mort, mais je ne lutterai que pour succomber avec grâce. Tu me nommes danseuse, et pourtant je ne sais pas danser...
COLETTE - CHANSON DE LA DANSEUSE
3 notes · View notes
dead-molchun · 4 years
Photo
Tumblr media
Camille Claudel (1864 - 1943) La Joueuse De Flûte Ou La Sirène, 1905 (52,5 cm)
0 notes
shantiamore · 5 years
Text
« Chaque jour j'entends qu'en silence
Se détache insensiblement
De mon être quelque élément
Dont se composait ma puissance.
Chaque heure dérobe à mon sort
Un peu du radieux mystère
Que mon orgueil n'a pas su taire,
Et qui fit mon nombreux essor !
Je sens, à toutes les minutes,
S'élancer de mon cœur secret
L'agile joueuse de flûte
Dont le mouvement t'enivrait,
Et, tandis que sur l'humble rive
Je semble retenue encor,
Je cours, frustrant les cœurs qui vivent,
Vers l'allégresse de la mort ! »
Anna de Noailles "(1909
Illustration : Joaquín Sorolla - Promenade au bord de la mer.
Tumblr media
0 notes
news24hrou · 5 years
Photo
Tumblr media
Un desen rar semnat de Picasso, "Joueuse de flûte et nu couché", scos la licitaţie la Paris Un desen rar "Joueuse de flûte et nu couché", semnat de Pablo Picasso, care aparţine Muzeului de Artă Modernă (MoMA) de la New York, va fi scos la licitaţie pe 28 martie, la Paris. Desenul a fost realizat la Paris în 1932 şi va fi pus în vânzare la Christie's, a anunţat casa de licitaţii, scrie AFP. https://ift.tt/2Fumvbl
0 notes
Photo
Tumblr media
Charles-Amable Lenoir (1860–1926) - The Flute Player (La joueuse de flûte).
0 notes
mabomanji · 4 years
Text
Etant fan de musique et joueuse également à mes heures libres, j’apprécie beaucoup quand le monde de la musique est montré avec passion dans les oeuvres que je lis ou que je regarde. Et l’une des choses que j’aime beaucoup c’est de voir des séries asiatiques centrées sur la musique ou qui font appel à des instruments de musique dans leur histoire. Et c’est une thématique qui est à la fois peu répandue mais bien traitée. On retrouve beaucoup de mangas et d’anime parlant de musique (mais moins que le sport) mais ça prend un peu plus de temps et de réussite pour voir des oeuvres adaptées en séries. Ce post sera donc un petit condensé de ce que j’ai vu comme dramas parlant de musique ou montrant des instruments de musique qui ont de l’importance.
Nodame Cantabile : la folie musicale
Un manga puis un drama qui fait un carton, des films et un anime, Nodame a envahi nos supports préférés comme une vraie vague inarrêtable, c’était l’histoire à absolument connaître. La folie de ses personnages déborde des pages du manga pour finir dans un drama complètement barré et survolté qui n’oublie pas de donner la part belle à la musique classique et ce n’est jamais évident de passionner avec de la musique classique. Le drama marche tellement bien qu’on a droit à des épisodes spéciaux entre Paris et Prague puis à des films et à l’anime ensuite.
  L’histoire suit Nodame jeune étudiante qui rentre à la fac de musique et joue très bien du piano mais elle a une approche peu conventionnelle et ignore régulièrement les partitions pour jouer sa propre version des grands classiques qu’elle peut reproduire à l’oreille. Elle tombe sur Chiaki qui lui est très bon et travaille le plus sérieusement du monde. Il rêve de devenir chef d’orchestre mais il ne peut pas aller passer de concours à l’étranger car il a peur de l’avion. Ils se retrouvent à devoir travailler ensemble et Chiaki après s’être copieusement énervé sur Nodame apprend petit à petit des nouvelles façons d’aborder la musique en gérant le côté fantasque de Nodame.
  C’est un régal de les voir se batailler musicalement et humainement. Voir Nodame bordélique et qui aborde la musique plus avec les instincts qu’avec méthode mais la voir vraiment maîtriser son jeu et se passionner pour sa musique renverse le monde Chiaki. On les suit alors qu’ils s’habituent et s’apprivoisent et ils arrivent à nous passionner pour les grands morceaux classiques qui peuvent paraître indigestes au premier abord.
youtube
Heartstrings
Un autre drama beaucoup plus classique c’est Heartstrings qui vient de Corée et qui raconte la rencontre dans une fac des arts entre un chanteur guitariste de groupe de rock et d’une joueuse de gayageum, la cithare coréenne. Le clash entre instrument traditionnel et le rock’n’roll ! Bon ça reste assez simple et tout mignon mais c’est ce drama qui m’a permis de connaître mon premier instrument traditionnel coréen !
Le drama commence avec un concours entre les groupes des deux personnages et on voit donc une formation d’instruments classiques coréens avec le gayageum, de la flute et du tambour entre autres.
youtube
  The Untamed – Chen Qing Ling
Dans ce drama fantastique où se mêlent la magie et les esprits, des pouvoirs sont associés à l’utilisation d’objets comme des épées ou des lassos mais aussi à des instruments de musique. L’un d’eux est la cithare Guqin et un autre personnage utilise une flûte en bambou Dizi, un autre encore utilise une flûte Xiao en jade.
Dans le clan Lan c’est une technique répandue d’utiliser le Guqin pour repousser les ennemis avec une vague d’énergie.
Lan XiChen joue de la flûte en jade au dessus du lac pour repousser les monstres marins et il joue du guqin pour apaiser l’un des chefs de guerre après qu’il ait été prisonnier des ennemis. Meng Yao utilise une version modifiée d’une partition apprise de Lan Xi Chen pour perturber son frère et le pousser à la folie.
L’une des autres techniques utilisant le Guqin est celle pour communiquer avec les esprits, avec quelques notes ils arrivent à poser des questions simples et en écoutant la mélodie en retour ils comprennent le message que les esprits veulent leur faire passer. Le jeune Sizhui vient juste de l’apprendre alors que Lan Zhan maîtrise bien cette technique et s’en sert lors de ses enquêtes.
Wei Wuxian s’est tourné vers l’utilisation d’esprits et de forces maléfiques qui sont tacitement interdits dans le monde civilisé et il utilise une flûte pour pouvoir manipuler des poupées humaines et des esprits représentés en fumée noire dans le drama. A la fin il arrive même à utiliser son pouvoir sans sa flûte mais directement en sifflant.
En liant les pouvoirs du guqin et de la flûte les héros peuvent apaiser des objets envahis d’esprits maléfiques, que ce soient des pierres maléfiques, des épées magiques développant un esprit, ou des esprits humains envahis de force maléfique.
Ce drama a vraiment réveillé mon intérêt pour les instruments et je trouve ça fort qu’une série qui a déjà beaucoup de choses à dire arrive à communiquer une passion pour la musique. C’était le point de départ pour ce post d’ailleurs.
youtube
Si vous avez des recommandations de dramas musicaux, n’hésitez pas à m’en parler ça m’intéresse énormément ! Je viens de voir le premier film de Nodame et la semaine prochaine je regarderai le second et c’est toujours un vrai plaisir de voir les aléas des musiciens représentés à l’écran avec le bon support pour magnifier la musique.
  {Drama} Les instruments de musique Etant fan de musique et joueuse également à mes heures libres, j'apprécie beaucoup quand le monde de la musique est montré avec passion dans les oeuvres que je lis ou que je regarde.
0 notes
philoursmars · 7 years
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
Je suis allé hier au Louvre-Lens voir une expo sur la musique antique… 3/3
cuillère d'offrande - luthiste - Egypte, Nouvel Empire, 1400 av. JC.
fresque - accord d'instrument - Pompéi, 1er s. ap. JC.
sarcophage - jeunes filles et pandoura - Athènes, 3ème s. ap. JC.
joueuse de pandoura - Tanagra, 300 av. JC.
joueur de double hautbois - Chypre, 500 av. JC.
Cymbales (Israël -500avJC; Chypre -1100avJC; Irak -1600avJC; Lybie -500avJC)        Luths (Girsu -1600avJC; Suse -2000avJC)       Flûtes (Syrie -100avJC; Suse entre -100 et 100apJC) ; Lyre(Chypre -500avJC); claquoirs (Suse -2000avJC)
3 notes · View notes
adribosch-fan · 5 years
Text
Dibujo de Picasso de su amante, en tinta china, logra 286.000 Euros
Dibujo de Picasso de su amante, en tinta china, logra 286.000 Euros
  Fechado en octubre de 1932, el dibujo mide 26x33cm y es de una serie de obras que revelan su pasión por Marie-Thérèse Walter, su compañera de 1927 a 1935
El dibujo de Picasso, “Joueuse de flûte et nu couché” (1932), inédito en el mercado del arte y perteneciente al MoMA de Nueva York, fue vendido este jueves por 286.000 euros, en una subasta en la que el plato fuerte fue una obra de Marc…
View On WordPress
0 notes
boudibouddha · 7 years
Photo
Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media Tumblr media
[...]
Nous nous sommes extirpés de la vieille rue pour nous diriger vers notre troisième lieu au programme du jour. Après 20 minutes de marche ponctuée de charrettes de fruits, signe que le printemps est bien là, nous avons atteint le Lingering Garden. Il était impensable de ne pas faire découvrir ces joyaux emblématiques de la ville de Suzhou à notre nouvelle marcheuse. La chaleur et la nature verdoyante ont visiblement été très attirantes, car nous étions loin de l’espace calme rêvé ! Nous sommes arrivés au cœur de plusieurs événements dédiés à l’arrivée du printemps. Nous avons pu apercevoir des acteurs/musiciens en costumes traditionnels. Des joueurs de flûtes avaient pris place sur une braque sur l'étang centrale, des joueuses de cithare se produisaient au théâtre. Dès le début, nous avons cherché à nous éloigner de la foule pour mieux apprécier cet écrin de nature. Nous avons arpenté le jardin de bonsaïs dont les mini arbres revenaient eux aussi à la vie. Certaines fois, nous sommes passés deux fois dans le même espace, par des entrées différentes, nous donnant à chaque fois une nouvelle vision, nouveau point de vu sur le lieu.
Finalement, après avoir flâner longuement, nous avons repris la direction du centre ville. Nous avons dégusté un petit encas sur une grande artère commerçante, grand lieu de rendez-vous deS chinois surtout le week-end !! Vers 19h nous avons pris le chemin d'un restaurant avant de se séparer de nouveau.  
0 notes