#David Payant

[grompf3]

Journalisme et Twitter : quand l'Oiseau Bleu sert de point de départ à un article de fond

Je vais vous parler de Charles Darwin, d'une université belge et d'une politicienne française. Et de comment un journal peut partir d'une polémique sur Twitter, dépasser l'aspect anecdotique et sensationnaliste, et en faire un article de fond.

Je vous avais raconté dans un précédent billet, un exemple inverse, et hélas typique je le crains : une polémique qui fait un petit buzz sur Twitter et un journal qui publie un article juste pour raconter qu'il y a eu une polémique, sans creuser, sans contexte, sans rien. Juste le buzz et la polémique. Une politicienne française, Sandrine Rousseau, avait donné une conférence à l'Université Catholique de Louvain. Et un petit extrait vidéo où elle parlait d'Histoire, de la Chasse aux Sorcières, en y racontant de la merde, avait suscité des réactions.

Et j'avais joué un rôle dans le déclenchement de cette petite polémique.

J'avais à l'époque abordé sur Twitter un autre passage, où il est encore question d'Histoire, et où, là aussi, Sandrine Rousseau raconte de la merde (si les mots "de la merde" vous dérangent, imaginez que j'en utilise d'autres : "du bullshit", "n'importe quoi", "des billeversées", "des foutaises", etc. Le choix ne manque pas)

Je vous laisse apprécier, c'est vraiment exceptionnel.

Darwin aurait inspiré la science du XVIIIe et XIXe s, alors qu'il est né en 1809 et n'a publié ses travaux qu'e dans la 2ème moitié du XIXe, qu'à partir de 1859. À cette date-là, il y a belle lurette que les économistes David Ricardo et Thomas Malthus sont morts; pourtant, selon Sandrine Rousseau, ils ont été influencés par les idées de Darwin. Bref, elle inverse tout, mélange tout (on sait que les idées de Thomas Malthus ont inspiré Darwin). Et il n'y a pas que ces inversions temporelles : les descriptions des théories des auteurs qu'elle cite sont totalement surréalistes. C'est particulièrement frappant pour Darwin, auquel elle ne comprend visiblement rien du tout (ce qu'elle raconte sur les mâles et les femelles dans la théorie de Darwin relève notamment du délire le plus absolu).

On aurait pu s'attendre à un minimum de culture générale chez une personne ayant pu mener des études supérieures. D'autant plus s'agissant d'une enseignante chercheuse en économie. Même si l'Histoire n'est pas son domaine de recherche, elle serait sensée disposer de quelques bases. Par ailleurs elle n'a été questionnée à l'improviste; ce que nous voyons là, c'est une conférence. Un discours préparé donc. Dans une université.

Une catastrophe.

Je publie donc alors quelques tweets, avec l'extrait vidéo (et une coquille sur une date...).

Et les réactions se multiplient. Mes tweets sont partagés, commentés. L'extrait vidéo est repris dans d'autres tweets. Etc.

Des semaines plus tard, un article de L'Express revient sur cette anecdote. Mais l'article ne se contente pas de nous raconter qu'il y a eu une polémique sur Twitter. Non. L'article part de cette polémique pour reparler de Charles Darwin, de la manière dont sa pensée a été déformée à de nombreuses reprises et pour redonner au lecteur un petit résumé de ce qu'a vraiment été l'apport de Darwin à la science.

L'article étant payant, je me contente de vous en donner un extrait :

Mais sur le fond, que dit le Britannique ? Que les organismes vivants sont en perpétuelle évolution grâce notamment au phénomène de sélection naturelle qui fait qu’au sein d’une même espèce, les individus les plus adaptés à leur milieu se reproduisent davantage que les autres. Et que toutes ces espèces – y compris l’homme – descendent d’un ou de plusieurs ancêtres communs. Voilà pour la doctrine. En détail, cela donne : d’abord, le terme de "sélection", il le tire de son observation des élevages : qu’il s’agisse d’une fleur ou d’un cheval, chaque génération est choisie en fonction de certains critères. Les espèces se laissent manipuler, donc sélectionner. Ensuite, il faut revenir au Beagle et aux pinçons des Galapagos : il y a un degré de différence entre chaque individu d’une même famille en fonction des conditions de vie. D’où la notion cardinale de "variabilité naturelle". De même, et c’est bien Darwin qui s’inspire de Malthus et non l’inverse, en dépit d’une hausse exponentielle, la population demeure naturellement stable ou, tout du moins, les espèces se reproduisent aussi longtemps qu’elles trouvent des ressources alimentaires et des conditions d’habitat optimales. Or aucune ne l’a emporté sur les autres de façon hégémonique. Les conditions environnementales et chimiques jouent donc un rôle majeur.

On aborde aussi, bien-sûr, celles et ceux qui ont plus ou moins dévoyé la pensée de Darwin, notamment ce qu'on a appelé le "Darwinisme Social".

Si nous parlons des relations entre Twitter et le journalisme, cet article est pour moi un cas assez intéressant. Nous dépassons la simple anecdote, nous ne nous limitons pas ici à simplement relever une énième "shitstorm" sur les réseaux sociaux. Nous partons d'une anecdote et nous nous retrouvons à creuser un sujet de fond.

Utilisateur parfois frénétique de Twitter, j'ai ces temps-ci une attitude très critique envers l'Oiseau Bleu. Il me paraissait intéressant de partager une sorte de contre-exemple, de montrer comment est-ce qu'on peut en tirer de la matière et ne pas se limiter au clash, au sensationnalisme et à l'immédiateté.

[societascriticus2]

Édito Facebook : L'enlisement économique !

Societas Criticus, revue de critique sociale et politique, Vol. 25-06 : www.societascriticus.com

Michel Handfield, M.Sc. Sociologie, 2023-12-16 (d’après mon Facebook du 2023-12-15)

À ceux qui se demandent ce qui se passe avec le gouvernement caquiste ou pour quoi François Legault ne réagit pas mieux au conflit actuel avec les employés de l'État, c'est simple et nous allons l’expliquer.

Notre gouvernement, comme la plupart des gouvernements actuels dans le monde, rêve d'emplois payants qui viendront des multinationales. Alors, pour les attirer, on les subventionne, quitte à déshabiller l'État pour séduire les grandes entreprises ! Mais, on n’a aucune garantie qu’elles demeureront en échange de ces sacrifices ni qu’elles remettront les choses en état à leur départ. Le passé nous l’a mainte fois montré : l’État ramasse la facture des dégâts (1) et, au final, le citoyen paie. Mais, on suit la parade, en espérant que le même comportement donne un jour de nouveaux résultats…

La Coalition Avenir Québec (CAQ) est naturellement attiré par ces sirènes du privé, vu son fond de conservateurs, d’adéquistes et d’anciens péquistes de la droite économique. Ne prônaient-ils pas le privé  et la réduction de l’État par exemple? Oui, majoritairement, alors, ce ne devrait pas être une surprise de les voir ainsi favoriser les grandes entreprises étrangères et des variantes du modèle néolibéral. (2) On y rêve grand, au niveau des gouvernements, mais on n’a pas grand contrôle possible sur ces entreprises, il faut le dire. Cependant, on semble l’oublier pour quelques promesses de retombées économiques locales.

Mais, ces entreprises ont la planète à leurs pieds et peuvent transférer leur production assez rapidement d’un pays à un autre, s’il se montre plus complaisant à leurs égards. Quant à leurs avoirs, quelques clics de souris suffisent pour les transférer en lieux surs, idéalement vers des paradis fiscaux !

Les États n’y peuvent rien et les travailleurs peuvent se retrouver sans emplois du jour au lendemain avec peu de recours, l’entreprise ayant changé ses plans pour répondre à des changements technologiques, économiques ou politiques subits.

Gouvernement de droite, la CAQ fut élue en promettant de baisser les impôts; de couper les commissions scolaires; de dégraisser l'État; de faire plus de place au secteur privé dans l’économie et dans l’État; et ne parlait pas vraiment d'environnement, un sujet qui n’avait pas trop de place dans son programme qui visait d’abord l’individualisme. On n’avait pas de réticences face à l’étalement urbain, au dézonage et à l’augmentation de la circulation, l’automobile étant même vue comme une extension de l’individu si je puis dire au sens figuratif.

Bref, il n'y a pas de quoi être surpris du résultat, car ce n'est pas le parti qui parlait le plus de solidarité ou de transport en commun, sauf pour démoniser Québec Solidaire (QS). On a même eu comme résultat un État qui a reculé sur la proportionnelle après maintes promesses de sa part pourtant !

En fait, il faudrait que les États comprennent l'économie politique, mais on ne l'enseigne plus vraiment. Le divorce est consumé depuis longtemps, ce qui fait que les entreprises dirigent maintenant l'économie, la vraie, et le Politique en dépend. Je dirais même qu’il est si dépendant des entreprises que celles-ci peuvent faire chanter les États et exiger ce qu'elles en veulent.

Normalement, les entreprises créent de la richesse, mais l'État en confisque une part pour égaliser les chances et combler les écarts les plus grands chez ses citoyens. Chacun trouvait autrefois sa part dans ce mariage de raison. C'était le libéralisme social, bien plus près de QS que de la CAQ ou des conservateurs. Un passage de David Hume (1711-1776) à ce sujet pour bien le comprendre :

«Tout État est affaibli par une trop grande disproportion entre les citoyens. Chacun, si c'est possible, devrait jouir des fruits de son travail, par la pleine possession de tout ce qui est nécessaire à la vie, et de plusieurs des choses qui la rendent agréable. Nul ne peut douter qu'une telle égalité soit ce qui s'accorde le mieux avec la nature humaine et qu'elle ôte bien moins au bonheur du riche qu'elle n'ajoute à celui du pauvre. Elle augmente aussi le pouvoir de l'État, et elle est cause que les taxes ou impositions extraordinaires seront payées de meilleur gré. Là où les riches s'engraissent sur le dos du petit nombre, il faut que leur contribution aux nécessités publiques soit très large; mais dès lors que les richesses sont répandues sur une multitude, le fardeau semble léger à chaque épaule, et les taxes n'apportent pas de différence bien sensible dans la façon de vivre de chacun.» (3)

Tant qu'on ne reviendra pas aux bases de l'économie politique et qu'on laissera ainsi les entreprises décider, elles monteront les États les uns contre les autres à leur profit et créeront de la surenchère pour y exploiter des ressources ou y construire leurs usines. Le contribuable paiera pour les entreprises comme si c'était une faveur qu'on lui faisait d'exploiter son pays. Tout de même paradoxal de subventionner des entreprises pour tirer nos ressources, faire travailler nos concitoyens et de les subventionner pour le faire même s’ils en tirent une plus-value ! Pendant ce temps, on appauvrit l’État et on coupe dans nos services. Trouvez l’erreur?

Notes

1. Par exemple : « La gestion des mines orphelines demeure un défi de taille pour le Québec. Il en coûtera 1,2 milliard de dollars pour restaurer les 400 sites miniers abandonnés qui font partie du passif environnemental du gouvernement. » Catherine Paradis, Délais persistants pour restaurer les mines abandonnées du Québec, Radio-Canada / Désautels le dimanche, 25 juillet 2021 :

2. J’ai pensé ici à deux livres :

St-Onge, J.-Claude, 2000, L’imposture néolibérale, Montréal : écosociété

Gélinas, Jacques B., 2003, Le virage à droite des élites politiques québécoises, Montréal : écosociété

3. Hume, La liberté comme nécessité historique (tiré de Du commerce, in Discours politiques), in Mikaël Garandeau, Le libéralisme, GF Flammarion, corpus, p. 63

[christophe76460]

LES 4 ATTITUDES DE DAVID FACE À SON PÉCHÉ QUE NOUS DEVRIONS IMITER

Le Psaume 51 montre au peuple de Dieu ce qu’il faut penser et ressentir face à la laideur de son propre péché. Il explique aussi comment il est possible d’être accablé de la bonne manière par le péché. En tout cela, je m’efforcerai de vous guider au travers de quatre attitudes de David au sujet de son péché.

1. Il se tourne vers Dieu

« Ô Dieu ! aie pitié de moi dans ta bonté ; selon ta grande miséricorde, efface mes transgressions ! » (Ps 51.3)

La première chose que David fait, c’est de se tourner vers son unique espoir : la miséricorde et l’amour de Dieu. Il y fait appel par trois fois : « Aie pitié de moi », « dans ta bonté » et « selon ta grande miséricorde ». Cet espoir, c’est ce que Dieu a promis dans Exode 34.6-7 :

« L’Éternel, l’Éternel, Dieu miséricordieux et compatissant, lent à la colère, riche en bonté et en fidélité, qui conserve son amour jusqu’à mille générations, qui pardonne l’iniquité, la rébellion et le péché, mais qui ne tient point le coupable pour innocent… »

David savait que le pardon n’était pas pour tous les pécheurs coupables. Il savait que certains pouvaient être pardonnés et même comptés comme justes, grâce à une mystérieuse œuvre de rédemption. C’est pour s’approprier à son tour cette œuvre que le Psaume 51 a été écrit.

Aujourd’hui, le voile qui était posé sur le mystère de la rédemption est levé, Jésus l’ayant déchiré. Mais nous avons beau en savoir plus que David en son temps (parce que nous connaissons Jésus), si nous voulons nous approprier la miséricorde de Dieu, nous devons faire comme lui. Dans son désespoir, c’est vers la miséricorde et l’amour de Dieu que David s’est tourné. Nous sommes appelés à l’imiter, à la seule différence que c’est au travers de Jésus que nous devons le faire.

2. Il prie pour la purification

« Lave-moi complètement de mon iniquité, et purifie-moi de mon péché. […] Purifie-moi avec l’hysope, et je serai pur ; lave-moi, et je serai plus blanc que la neige » (Ps 51.4,9).

David formule ensuite une prière pour être purifié de son péché. Mais pourquoi mentionne-t-il l’hysope ? Autrefois, lorsqu’un foyer abritait des personnes malades, il fallait suivre plusieurs étapes pour purifier la maison. La dernière étape consistait pour les prêtres à asperger du sang sur la porte d’entrée avec une branche d’hysope, signe que la maison était désormais déclarée pure (voir Lé 14.51). En s’y référant, David reconnaît que Dieu est son sacrificateur par excellence. Il l’implore de le pardonner, de le purifier de son péché.

Par conséquent, il convient que les chrétiens demandent à Dieu de les purifier (1 Jn 1.7-9). Certes, Jésus nous a obtenu le pardon en payant le prix fort. Cependant, son œuvre, quoique complète, ne nous dispense pas de demander : elle sert justement de fondement à notre requête. Grâce à elle, nous pouvons être certains que la réponse de Dieu sera oui. C’est dans cette logique que David se tourne d’abord vers la miséricorde de Dieu, puis prie pour que Dieu, dans sa grâce, accepte de lui pardonner et de le purifier.

3. Il reconnaît la gravité de son péché

« Car je reconnais mes transgressions, et mon péché est constamment devant moi. J’ai péché contre toi seul, et j’ai fait ce qui est mal à tes yeux, en sorte que tu seras juste dans ta sentence, sans reproche dans ton jugement. Voici, je suis né dans l’iniquité, et ma mère m’a conçu dans le péché. Mais tu veux que la vérité soit au fond du cœur : fais donc pénétrer la sagesse au-dedans de moi ! » (Ps 51.5-8.)

Troisièmement, David reconnaît que son péché est extrêmement grave, et ce, pour au moins cinq raisons.

A) Son péché est gravé dans sa mémoire

Nous savons d’après le verset 5 que David ne cesse de penser à son péché :

« Car je reconnais mes transgressions, et mon péché est constamment devant moi. » (Ps 51.5)

Il y pense constamment. Dans les moments où son esprit est le moins à l’affût, c’est la conscience aigüe de la laideur de son péché qui le hante. Peut-être la scène se répète-t-elle en boucle dans sa tête. Dans tous les cas, David ne peut oublier ce qu’il a fait.

B) Son péché est surtout une offense contre Dieu

Nathan dit que David a méprisé Dieu et bafoué sa Parole. Le verset 6 nous rapporte donc cette confession :

« J’ai péché contre toi seul, et j’ai fait ce qui est mal à tes yeux. » (Ps 51.6)

Lorsque David déplore « contre toi seul », il ne nie pas avoir fait du mal à Bath-Schéba, à Urie et au bébé. Toutefois, le péché est considéré comme péché, car il est avant tout dirigé contre Dieu. Bien sûr que faire du mal aux hommes est mal – c’est même extrêmement mal. Mais ce n’est pas le pire. Le pire en ce qui concerne le péché, c’est que c’est une offense contre Dieu, un dénigrement de ce qu’il est. Il est donc significatif que David ait choisi d’employer des mots aussi frappants : « Contre toi, contre toi seul, j’ai péché. »

C) Dieu seul est juste

David ne se justifie pas. Il ne se défend pas, ne fuit pas. Il sait que Dieu sera « juste dans [sa] sentence, sans reproche dans [son] jugement » (v. 6). Dans son psaume, David donne raison à Dieu et le décharge de toute accusation. Même s’il décide de l’envoyer en enfer, il sait que Dieu sera innocent. Voilà une repentance radicale et entièrement centrée sur Dieu ! C’est ainsi que tous les rachetés devraient penser et se sentir. Dieu serait dans son bon droit de nous condamner et le simple fait que nous respirions toujours est un témoignage de sa miséricorde. Plus encore, le pardon qu’il nous accorde par le sang versé est la plus grande des miséricordes. David n’a donc pas lieu de se vanter lui-même et reconnaît la justice de Dieu.

D) Il était souillé avant même sa naissance

« Voici, je suis né dans l’iniquité, et ma mère m’a conçu dans le péché », admet David au verset 7. Certains font valoir le caractère inné du mal pour minimiser leur sentiment de culpabilité. David fait l’inverse : il avoue sa méchanceté innée pour souligner encore davantage sa culpabilité. Son adultère, son meurtre et son mensonge sont pour lui l’expression d’une réalité encore plus sombre : il est par nature un homme adultère, un meurtrier et un menteur. Et si Dieu ne le sauve pas, il ne commettra que davantage d’iniquités.

E) Il a péché contre la grâce de Dieu

David écrit au verset 8 :

« Mais tu veux que la vérité soit au fond du cœur : fais donc pénétrer la sagesse au-dedans de moi ! » (Ps 51.8)

Dieu a toujours été son maître, celui qui l’a rendu sage et qui lui a permis d’agir avec sagesse à de multiples reprises. Mais il a suffi d’un moment d’égarement pour que le péché prenne le dessus. Pour David, la consternation n’en est que plus grande : lui qui avait été béni de tant de savoir et de sagesse, comme sa dépravation doit être profonde pour l’avoir conduit à pécher contre une si belle lumière !

David se joint donc au prophète Nathan et à Dieu pour condamner son péché et avouer l’étendue de sa corruption.

4. Il demande le renouvellement de son esprit

« Annonce-moi l’allégresse et la joie, et les os que tu as brisés se réjouiront. […] Ô Dieu ! crée en moi un cœur pur, renouvelle en moi un esprit bien disposé. Ne me rejette pas loin de ta face, ne me retire pas ton Esprit saint. Rends-moi la joie de ton salut, et qu’un esprit de bonne volonté me soutienne ! J’enseignerai tes voies à ceux qui les transgressent, et les pécheurs reviendront à toi. […] Seigneur ! ouvre mes lèvres, et ma bouche publiera ta louange. […] Les sacrifices qui sont agréables à Dieu, c’est un esprit brisé : Ô Dieu ! tu ne dédaignes pas un cœur brisé et contrit » (Ps 51.10,12-15,17,19).

Dans sa détresse, David s’est tourné vers Dieu, il a imploré sa miséricorde et il a prié pour son pardon. Il a aussi demandé à être purifié, car il a reconnu la grandeur et la gravité du péché en lui. Or David cherche plus que le pardon : il veut être renouvelé. Avec passion, il s’engage à se laisser complètement changer par Dieu.

J’ai relevé six différentes manières dont David manifeste son cœur fervent et je voudrais attirer votre attention sur ce vers quoi elles tendent : quiconque est pardonné s’engage à se laisser changer par Dieu. Qu’il s’agisse de l’homme qui commet un adultère, du meurtrier ou du menteur, peu importe : celui qui goûte au pardon de Dieu ne peut que détester celui qu’il était autrefois et désirer être transformé par Dieu.

A) David prie pour que Dieu lui confirme son élection

Il prie au verset 13 :

« Ne me rejette pas loin de ta face, ne me retire pas ton Esprit saint. » (Ps 51.13)

Certains pensent qu’une telle prière ne devrait pas être formulée de la part d’un élu, parce que cela reviendrait à dire que l’on peut perdre le salut. Je ne suis pas d’accord. Lorsque David ou moi prions ainsi, nous demandons en réalité à Dieu ceci : « Ne me traite pas comme ceux que tu n’as pas choisis, comme ces hommes dont il est question dans Hébreux 6 qui n’ont fait que goûter à l’Esprit Saint. Ne me laisse pas chuter, car je veux être plus que seulement attiré par l’Esprit : je veux être soutenu par lui. Ô Dieu, donne-moi la confirmation que je suis bien ton enfant et que je ne m’éloignerai jamais de toi. »

B) Il prie pour un cœur et un esprit qui soient renouvelés, justes et fermes

Au verset 12, David formule le vœu suivant :

« Ô Dieu ! crée en moi un cœur pur, renouvelle en moi un esprit bien disposé. » (Ps 51.12)

L’esprit « bien disposé » auquel il pense est un esprit déterminé, ferme et inébranlable. David veut en finir avec l’instabilité dont il vient tout juste de faire les frais.

C) Il prie pour un esprit de bonne volonté et pour la joie du salut de Dieu

Les versets 10 et 14 nous présentent un autre souhait :

« Annonce-moi l’allégresse et la joie, et les os que tu as brisés se réjouiront. […] Rends-moi la joie de ton salut, et qu’un esprit de bonne volonté me soutienne ! » (Ps 51.10, 14)

Cela ne vous étonne-t-il pas que David ne prie jamais directement au sujet du sexe dans ce psaume ? Ses péchés (la tromperie, le meurtre) découlent pourtant tous de là, n’est-ce pas ? Peut-être bien que non…

Un symptôme, pas la maladie

Pourquoi David ne demande-t-il pas à Dieu de brider ses pulsions sexuelles ? Ou de placer à ses côtés des hommes à qui il devrait rendre des comptes ? Pourquoi ne prie-t-il pas pour la pureté de ses yeux et de ses pensées ? David ne fait rien de tout cela parce qu’il sait que le péché sexuel n’est qu’un symptôme, pas la maladie en elle-même. Les personnes qui s’adonnent au péché sexuel sont des personnes qui ne trouvent pas la plénitude de joie et d’allégresse en Jésus. Leur esprit n’est ni déterminé ni ferme, ni inébranlable – il est à la dérive. En conséquence, ces personnes se laissent entraîner par le péché et y succombent fatalement, la raison principale en étant que Dieu n’occupe pas la place qui lui revient dans leurs pensées et dans leurs émotions.

David savait que c’était son cas et c’est aussi le nôtre. Au travers de sa prière, David nous montre ce dont ont réellement besoin ceux qui commettent des péchés d’ordre sexuel.

Son psaume ne mentionne pas une seule fois le mot « sexe ». Au lieu de cela, David prie :

« Annonce-moi l’allégresse et la joie, et les os que tu as brisés se réjouiront. […] Rends-moi la joie de ton salut, et qu’un esprit de bonne volonté [déterminé, ferme et inébranlable] me soutienne ! » (Ps 51.10,14.)

Ce que David veut, c’est un esprit disposé à suivre Dieu dans une joie totale. C’est aussi l’aptitude à manifester de la générosité envers son peuple plutôt que de l’exploiter. Sa prière distille une profonde sagesse pour nous.

D) Il prie pour que la louange soit sur ses lèvres

David s’écrit au verset 17 :

« Seigneur ! ouvre mes lèvres, et ma bouche publiera ta louange. » (Ps 51.17)

Lorsque tout va bien, se réjouir en Dieu amène inévitablement à le louer. C’est dans ce sens que va la prière de David : « Ô Dieu, permets-moi de surmonter tout ce qui dans ma vie alourdit mon cœur et fait taire ma bouche lorsque je dois te louer. Que ma joie soit impossible à contenir ! »

E) Il prie pour que sa mésaventure serve d’exemple

« J’enseignerai tes voies à ceux qui les transgressent, et les pécheurs reviendront à toi. » (Ps 51.15)

C’est la promesse que David fait au verset 15. Être pardonné ne lui suffit pas, pas plus qu’avoir été purifié et choisi par Dieu. Il ne se satisfait pas non plus d’avoir reçu un esprit bien disposé ni de trouver sa joie en la personne de Dieu même. En fait, David ne trouvera pleinement satisfaction que si sa vie brisée permet à d’autres de parvenir à la guérison. « J’enseignerai tes voies à ceux qui les transgressent, et les pécheurs reviendront à toi. »

F) Il découvre une vérité fondamentale

Enfin, derrière toutes ces découvertes, David comprend que c’est par amour que Dieu l’a éprouvé. Un cœur brisé et contrit, voilà la marque de tout enfant de Dieu. David se rappelle donc au verset 19 :

« Les sacrifices qui sont agréables à Dieu, c’est un esprit brisé : Ô Dieu ! tu ne dédaignes pas un cœur brisé et contrit. » (Ps 51.19)

Cet article est tiré du livre : Façonné par Dieu de John Piper

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SPOTIFY COMPTAIT 44,4 MILLIONS D'ABONNÉS AMÉRICAINS EN FÉVRIER, APPLE MUSIC EN COMPTAIT 32,6 MILLIONS

En février, aux Etats-Unis, Spotify comptait 44,4 millions d’abonnés payants. Ce chiffre a été révélé lors de la réunion annuelle de la National Music Publishers Association (NMPA) à New York le mois dernier par le PDG et président de la NMPA, David Israelite . Parmi les statistiques révélées par Israelite, le rival de Spotify, Apple Music, comptait 32,6 millions d’abonnés aux États-Unis en…

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Friday 15 November 2002 - ICE T to Stuttgart with Niles the Conductor - train to Nürnberg and a night at the M>1 next to Lorenzkirche and Christkindlmarkt

15 November 2002

EN  Hi everyone.  It is the end of my visit to Zürich and Switzerland.  I take a 9 AM train from Zürich HB to Stuttgart Hbf and another to Nürnberg Hbf and make my way to the hotel in the district of Höfen, almost on the city limits of Fürth, I do a bit of shopping and sausage sampling (for a fee), come back to the hotel, have supper with a Pyraser beer, and then dress up to go to the M>1 club next door to the Lorenzkirche U Bahn station.  And make it back to Höfen by the night bus.

DE  Hallo allerseits. Es ist das Ende meines Besuchs in Zürich und in der Schweiz. Ich nehme einen 9-Uhr-Zug von Zürich HB nach Stuttgart Hbf und einen weiteren nach Nürnberg Hbf und mache mich auf den Weg zum Hotel im Stadtteil Höfen, fast an der Stadtgrenze von Fürth, mache ein bisschen Einkaufen und Würstchen probieren (für a Gebühr), komm zurück ins Hotel, esse ein Pyraser-Bier und gehe dann schick gekleidet in den M>1-Club neben der U-Bahn-Station Lorenzkirche. Und mit dem Nachtbus zurück nach Höfen.

DK  Hej allesammen. Det er afslutningen på mit besøg i Zürich og Schweiz. Jeg tager et tog kl. 9 fra Zürich HB til Stuttgart Hbf og et andet til Nürnberg Hbf og kører til hotellet i distriktet Höfen, næsten på Fürths bygrænse, jeg shopper lidt og tager pølseprøver (til en gebyr), kom tilbage til hotellet, spis aftensmad med en Pyraser-øl, og klæde dig så ud for at gå til M>1-klubben ved siden af Lorenzkirche U-Bahn-stationen. Og kom tilbage til Höfen med natbussen.

SE  Hej allihopa. Det är slutet på mitt besök i Zürich och Schweiz. Jag tar ett tåg kl. 9 från Zürich HB till Stuttgart Hbf och ett annat till Nürnberg Hbf och tar mig till hotellet i distriktet Höfen, nästan på stadsgränsen i Fürth, jag shoppar lite och provar korv (för en tid). avgift), kom tillbaka till hotellet, ät kvällsmat med en Pyraser-öl och klä dig sedan för att gå till M>1-klubben bredvid Lorenzkirche U Bahn-stationen. Och ta dig tillbaka till Höfen med nattbussen.

FR  Salut tout le monde. C'est la fin de ma visite à Zürich et en Suisse. Je prends un train de 9h00 de Zürich HB à Stuttgart Hbf et un autre à Nürnberg Hbf et me dirige vers l'hôtel dans le quartier de Höfen, presque aux limites de la ville de Fürth, je fais un peu de shopping et de dégustation de saucisses (pour un payant), revenez à l'hôtel, dînez avec une bière Pyraser, puis habillez-vous pour aller au club M>1 à côté de la station Lorenzkirche U Bahn. Et revenez à Höfen en bus de nuit.

Guten Morgen!  Good morning!   Today would be my last day to visit Switzerland for the year, though I would return in early August the following year, in time for Lake Parade in Geneva and Street Parade in Zürich.  I would have to take a 9 AM train from Zürich HB to Stuttgart, and taking the 12 PM Intercity train to Nuremberg Hbf, so that I could be there by 2 PM or so.  Would I make it in time?

I woke up about 6:30 AM, took a shower, packed up my suitcase, and went downstairs for breakfast.  I did not eat too much, but had at least three cups of coffee, from the espresso machine.  I checked out and walked to the bus stop to catch the line 33 bus to Morgental to change to the line 7 tram.  I arrived at HB about 20 minutes later, and it was around 8:10 AM.  I had about an hour to spare before the train would depart.  The train I would ride, would be a short ICE T train.  I boarded the train about 8:50 AM.  I was in the first class cabin with 2 x 1 seating.  The conductor looked very much like David Hyde Pierce, the man who played Dr. Niles Crane, Frasier's brother.  The train left Zürich HB about 9:00 AM, pretty much on time.

The ride seemed to go fine, at least up to when the train crossed the Rhine and entered Schaffhausen, the last station in Switzerland.  The weather was starting to get worse, as soon as we arrived in Schaffhausen.  At Schaffhausen, since in 2002 the Schengen Agreement did not include Switzerland, there was a passport and customs control by the Grenzpolizei.  They did not ask me much of anything, so it was okay.  The train left around 10 AM for Singen (Hohentwiel) and Tuttlingen, and the weather became worse after crossing into Germany.  From Tuttlingen to Horb, the section is mostly single track, except at stations.  Along the way, there was a tree that fell on the tracks as a result of the high winds.  I think it would have been close to Rottweil, when the train stopped.  The train was stopped for about a half hour.  I remember asking the conductor if we would make it to Stuttgart in time to catch the 12 PM InterCity train to Nürnberg Hbf.  He replied a bit sing-songy with an irritated mood "Ich würde Ihnen das sagen, wenn ich das wusste".  I just left it at that.  After leaving Horb, the weather "improved", even if it just stopped raining.  The temperatures remained in the upper 30s, or +3 C.

The train arrived in Stuttgart Hbf about 12:15 PM, and the Intercity train to Nürnberg had already left.  There would be either an InterCity train at 2 PM, or I could take the RegionalExpress at 1 PM, and maybe arrive at 2:30 PM.  In 2002, I never even knew about the "Stuttgart21" project, which would have the head rail station tracks replaced with an underground through station.  There were many travel stores open, including newsstands, bakeries, sandwich shops and similar places for takeaway food.  It was chilly and damp outside, so it was a good idea not to go anywhere outside the rail station.  

About 12:55 PM, I boarded the train for Nürnberg Hbf.  It was a Regional Express train, with kind of semi-private compartments of six to a compartment.  You could see into the other compartments, even in first class.  Its route was eastern Swabia and western Franconia, basically going through Backnang, Schwäbisch Hall, Crailsheim - last stop in Baden-Württemberg, Feuchtwangen in Bavaria, Ansbach and Nürnberg Hbf.  Along the way I listened to my newest CDs.  "All around the world" by ATC that also has "My heart beats like a drum", "Embrace me" from Fragma, the same group who did "Toca's Miracle" in 2000, but this one did not have the Duderstadt remix of "Embrace Me", I bought the single the following August, and "Kuss" by Natacha.  Also "No Broblem" from Aargauer comedian Peach Weber and "Achtung Almi kommt!" from Almi.  Quite a good collection.  This was from a time long before Youtube and live streaming.  My Siemens S40 phone could not store any music and it did not even have any headphone jack, the 3.5 mm one.  Bluetooth was a really new technology then.  

I arrived at Nürnberg Hbf, went downstairs to the U1 platform, and bought a day pass.  Day passes are good for the daytime during regular operating hours, generally prior to 11:30 PM.  I boarded the U1, that went to Lorenzkirche, Weißer Turm, Plärrer, and Maximilianplatz.  At Maximilianstraße was the bus transfer to Höfen.  Back in 2002, there was no U3 connection, and even in 2022 the closest connection is in Großreuth, and Maximilianstraße still remains the closest U Bahn station.  I took the bus to somewhere in Höfen but I think I alighted too soon.   I should have taken the bus to Lenkersheimerstraße, which was the closest.  I had to call the hotel for directions, and they told me to follow along Höfener Straße to Sigmundstraße.  Eventually I found the Höfener Garten hotel, where I had reservations for four nights, including breakfast.

I checked into my room, which was in a second floor room, that did not have stairs.  In Germany, the second floor is what is known in the USA as the third floor.  My room was ensuite, it had a shower and a toilet, as well as a sink.  I left my wheeled bag in the room, left the hotel, and walked to the Lenkersheimer Straße bus stop to take bus line 38 to Maximilianstraße to take the U Bahn into downtown.  I took the U Bahn to Lorenzkirche and looked for the doors to the M>1, and saw that the club would open about 8 PM that night.  I walked to the Karoliner Straße to see if I could find somewhere to buy some Nürnberger and Lebkuchen.  November is about the time when it is appropriate to start selling Lebkuchen.  Karolinenstraße, Königstraße and Kornmarkt are the major shopping areas of Nürnberg.  The Handwerkerhof, across the street from Hbf, is the best place for handmade products, also it is home the Bratwurstglöcklein (fried sausage bell) restaurant.  I went back to the hotel around 6 PM, so that I could have supper and change into my white shirt, tie and black trousers, and black oxfords.  At the M>1, it is important to dress to impress.

At the hotel, I had a beefsteak supper, with potatoes and a salad.  Their local beer was Pyraser, so I had a 0,4 Liter glass of it.  It was nice.  I had the supper charged to my room.  I left the hotel, looking very nice, and I returned to the Lenkersheimer Straße bus stop to board the bus to Maximilianstraße and the U1 to Lorenzkirche.  When I arrived, the doors were not yet open.  There was a line to get in.  I think it was a 20 Euro fee to enter.  As soon as I entered, I paid the entry fee, and was given a page of coupons for discounts on drinks.  The M>1 was a really nice place.  There were two different rooms for music.  One was pop music and the other was underground house and techno.  I went between the rooms and paid for my drinks each time.  I even had a couple of Red Bulls, they were okay.  They tasted like gummi bears.  I do not remember the beer I had, probably it was Tucher.  The bathroom was strange.  It had frosted windows for walls, and a grate for the floors.  

I enjoyed myself until about 12:30 AM.  The club was not ready to close yet, but I was getting tired.  I left, walked to Plärrer because the U-Bahn had stopped operation for the night.  Then I found the bus at Plärrer which would go Höfen and Leyh.  I had to pay an extra € 3,00 for the single fare.  The bus ride was crowded, even in a bendy bus, called a Lenkbus in German.  The prerecorded next station announcement was working fine.  It had funny animations on the displays.  About 1:30 AM I was back at the hotel, and went to sleep.  It was quite a lovely time, and a similar function would happen at the M>1 again the next day.

Please join me again, when I have a nice relaxing Saturday walking through downtown Nürnberg and see a bit of Fürth, the neighboring city.  Frankfurt am Main and München will be day trips the following days, and the 19th will be when I fly home.  

Gute Nacht!  Good night!

#Stuttgart #Zürich #HB #Schaffhausen #Singen (Hohentwiel) #Tuttlingen #Hbf #Nürnberg #Crailsheim #Backnang #Höfen #Höfener Garten #Pyraser #M>1 #Lorenzkirche #Plärrer #Bratwurst #Handwerkerhof #Fragma #Natacha #ATB #My heart beats like a drum #No Broblem #Peach Weber #Almi #Achtung Almi Kommt! #Siemens S40 #Weißer Turm #Maximilianstraße #Kornmarkt

[freelance-informatique]

Mercato : Les plus gros transferts détournés à la dernière minute !

Les transferts de football sont beaucoup plus compliqués qu'on ne le pense. S'assurer que les négociations avec un joueur se déroulent sans interruption est une chose. Mais éviter qu'un autre club s'infiltre et s'empare du joueur est une toute autre affaire. Les transferts détournés sont redevenus une habitude. Les transferts sont infiniment amusants en raison de leur imprévisibilité. De la rumeur constante à la conclusion de l'accord, en passant par les performances d'un joueur dans son nouveau club. Cette incertitude est ce qui rend les transferts si risqués, mais aussi si gratifiants. En général, cela n'arrive pas si régulièrement que ça. En tout cas, pas au plus haut niveau. Enfin, jusqu'à cet été, où les clubs sont devenus un peu étourdis. Les équipes semblent tous se détourner les uns des autres dans un format de tournoi à la ronde. Ronaldinho - PSG à Man Utd - détourné par Barcelone (2003) Ronaldinho, 23 ans, était à deux doigts de signer à Manchester United en 2003. Mais le club s'est tiré une balle dans le pied en perdant la majestueuse légende brésilienne. United a fait appel à Ronaldinho dans le but de remplacer David Beckham, qui a signé au Real pour 30 millions de livres cet été-là. S'ils avaient vendu à Barcelone et poussé Beckham à accepter des conditions personnelles avec les Blaugrana, ils auraient pu s'emparer de Ronaldinho. Mais ils ne l'ont pas fait et le Real a volé la cible principale de Barcelone, ce qui a permis à United de rater le sien à la onzième heure. Lire aussi : Mercato 2022 : Le 11 type des recrues les plus chères. Jorginho - Naples à Man City - détourné par Chelsea (2018) Un autre homme que City a perdu, l'équipe de Pep Guardiola pensait avoir un accord en place pour amener Jorginho au Etihad Stadium à l'été 2018. Une indemnité de transfert et des conditions personnelles ont été toutes deux convenues. Pourtant, après l'arrivée de Maurizio Sarri en tant que manager de Chelsea cet été-là, la tête de l'Italien a tourné. Il a choisi de se diriger vers Londres à la place, retrouvant son ancien patron à Stamford Bridge. Depuis, il a remporté la Ligue des champions, la Ligue Europa et s'est classé troisième au classement du Ballon d'Or. Un coup dur pour City. Alexis Sanchez - Arsenal à Man City - détourné par Man Utd (2018) Si faire la queue pour Fred en éclipsant les offres financières de City n'était pas une preuve suffisante de l'écart entre les deux clubs de Manchester ces jours-ci, ce transfert de Sanchez l'est certainement. City était à la poursuite de l'homme fort d'Arsenal depuis plusieurs mois. Le club était sur le point de le signer au milieu de la saison 2018/19, mais a été devancé à la dernière minute par United. Encore une fois, Manchester United a surclassé ses offres financières, payant le Chilien environ 500 000 £ par semaine. Il a offert à Arsenal Henrikh Mkhitaryan en échange. Lire aussi : Coup de tonnerre, Ronaldo et le Barça discutent d'un éventuel transfèrt ! Fred - Shakhtar Donetsk à Man City - détourné par Man Utd (2018) Plus tôt dans le même été où ils poursuivaient Jorginho, il a été rapporté que City se rapprochait d'un accord pour signer Fred. Cependant, United a eu vent de cette information et a surenchéri sur l'offre de ses bruyants voisins. Man U a payé 50 millions de livres sterling pour le milieu de terrain brésilien, qui a préféré rejoindre Old Trafford. C'est probablement une bonne façon d'apprendre que la politique stricte de City en matière de transferts est une bonne chose, même si elle entraîne parfois des déceptions. Cristiano Ronaldo - Juventus à Man City - détourné par Man Utd (2021) On s'attendait à ce que Ronaldo quitte la Juventus pratiquement tout l'été 2021. Il a échoué à l'aider à soulever la Ligue des champions après trois ans. À la fin de l'été, il est apparu que Manchester City était en pourparlers pour signer Ronaldo. Le joueur était apparemment très intéressé par ce transfert. Dès que Manchester United a eu vent de l'affaire, il s'est précipité. Rio Ferdinand était au téléphone l'a appelé, Sir Alex Ferguson a fait des tours de passe-passe. Ronaldo a été convaincu de revenir à Old Trafford, à la dernière minute. Lire aussi : Top 25 des clubs les plus dépensiers des 10 dernières années Luis Diaz - Porto à Tottenham - détourné par Liverpool (2022) Peut-être le mouvement qui a relancé la folie du détournement. Liverpool avait les yeux sur Diaz en vue de conclure un accord pour le signer cet été. Mais lorsque Tottenham a approché Porto pour un accord en janvier et a été proche de conclure un accord. Les Reds ont dû intervenir. Convaincus des capacités de Diaz, ils ont jugé qu'il était suffisamment important pour l'avenir pour le faire signer en janvier à un prix plus élevé. Les Reds sont intervenus tardivement pour détourner un accord que les Spurs étaient sur le point de conclure. Depuis, il n'a cessé de faire des étincelles à Liverpool, qui a pris la bonne décision. Read the full article

[bouxmounir]

Cascade d'Enfer, "Petite Amazonie"... : 4 lieux rares et payants à visiter à Toulouse et en Occitanie

Cascade d’Enfer, “Petite Amazonie”… : 4 lieux rares et payants à visiter à Toulouse et en Occitanie

Par David Saint Sernin Publié le 18 juin 22 à 11:56 Actu Toulouse Voir mon actu Suivez ce média La Gourgue d’Asque, est une ballade au bord d’une petite rivière recueillie au fond d’une vallée. En raison de l’humidité qui y règne, la nature y est luxuriante, d’où son surnom de “petite amazone des Pyrénées”. (©) (© Wikimédia Commons) Les samedi 18 et dimanche 19 juin 2022 seront marqués par…

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[lesecumeurs]

“Le secteur culturel semble avoir été sacrifié, réduit à néant au profit des longues files d’attente qui se formaient devant les étals des grandes marques décoratives et vestimentaires.”

Cyril est très certainement l’écumeur que j’ai le plus souvent l’occasion de croiser sans lui avoir donné rendez-vous : quand ce n’est pas dans la file d’attente d’une salle de cinéma, c’est au sous-sol de Beaubourg ou sur le seuil d’une galerie photo. Cyril a longtemps tenu sur son temps libre une mailing-list dédiée à l’actualité des concerts parisiens : son exhaustivité et sa régularité en faisait un modèle à côté duquel la concurrence rasait les murs. J’ai toujours été étonné qu’il ne soit pas débauché par un média d’actualité : Cyril, c’est Lylo à lui tout seul. Même s’il n’exerce plus cette activité de salubrité publique, il continue discrètement à faire du prosélytisme : il est toujours le premier à me signaler la rétrospective d’une réalisatrice tchèque ou un festival de documentaires en ligne. 

Salut Philippe,

en temps normal, la politesse voudrait que je te réponde « tout va bien, merci, j’espère que toi aussi » mais ce n’est pas vraiment le cas.

Quand tu fais partie de la catégorie de gens hyper actifs qui ne rentrent chez eux que pour y dormir (ou presque), après un début d’année bien rempli en concerts, expositions et cinémas, le premier confinement a été un véritable coup de massue. Je n’avais absolument plus goût à rien, impossible d’allumer la platine vinyle ou d’écouter un CD. Les seuls instants que j’ai appréciés ont été de découvrir les rues de Paris désertées et de capturer ces instants en photographies ainsi que la vision de quelques livestreams proposés sur instagram chaque semaine par les impeccables Low ou par l’espiègle Fyfe Dangerfield ou encore chaque jour par La Blogothèque, dont le climax a été le très bel hommage à Elliott Smith fin juin. J’ai également profité de la mise en ligne de films proposés (souvent gratuitement) par des festivals comme Cinéma Du Réel, le Champs-Elysées Film Festival, Traces de Vie et également par le Centre Pompidou, mk2 et la Cinémathèque.

Depuis plus de dix ans, je passe du temps à dénicher et à répertorier les concerts à ne pas manquer à Paris et dans sa région. Tu te rends d’autant plus compte, suite à leur arrêt brutal, du rôle de sociabilisation que ces moments de partage peuvent représenter. La joie d’y croiser les connaissances que tu peux t’y faire au fil du temps, de saluer l’agent de sécurité, le personnel de la billetterie, les serveuses et serveurs de bar, de discuter avec les personnalités de la scène musicale locale ou encore avec les organisateurs de concerts qui te confient autour d’un verre des informations sur leur programmation à venir a fait place à un gros vide. Certaines personnes m’ont suggéré d’annoncer les dates des concerts en ligne, je n’ai pas senti l’envie de m’y mettre, je préfère attendre le retour des concerts en salles pour redémarrer Open Up Your Ears.

Le second confinement a été un peu plus positif. J’ai renoué avec la télévision que je n’avais plus allumée depuis plus de dix ans et dont j’ai changé de modèle. Je suis passé d’un coup de l’écran cathodique au streaming connecté ! J’ai attaqué la vision intégrale (pas encore achevée pour certaines) de séries comme Six Feet Under, The X-files, South Park, The League Of Gentlemen, Dark... J’ai aussi pu découvrir trois ans après l'extraordinaire troisième saison de Twin Peaks dont tous les épisodes sont réalisés par un David Lynch en grande forme qui se fait plaisir en invitant des artistes comme Nine Inch Nails, Chromatics, Sharon Van Etten ou encore Au Revoir Simone à jouer un titre lors d’une scène. Un pur délice.

Il faut saluer une parenthèse enchantée qui a pu prendre place cet été grâce aux concerts en extérieur des équipes du Supersonic sur la terrasse du Trabendo, ceux sur les quais et la terrasse de Petit Bain, ceux sur la nouvelle air de jeux de La Station ou bien même ceux assis en intérieur dans le cadre de Jazz à la Villette ainsi que le très bon concert inattendu et inespéré de Fontaines DC à la Maison de la Radio. Ces moments de retrouvailles et de délectations ont été de trop rares instants exutoires en 2020.

L’année a également été marquée par l’annulation des festivals auxquels je me fais une joie de me rendre chaque année (ou presque) comme The Great Escape à Brighton, Primavera Sound Festival à Barcelone, La Route du Rock à Saint-Malo ou encore l’Iceland Airwaves à Reykjavik. C’est l’occasion idéale de profiter en même temps d’une ville et d’artistes que tu affectionnes, de mêler tourisme et musique.

Même si personne ne pouvait s’attendre à vivre cette pandémie, la communication gouvernementale a été une véritable catastrophe. A grands renforts de positivisme, on a laissé espérer aux acteurs de secteurs à l’arrêt qu’ils pourraient reprendre leurs activités pour finalement revenir sur cette décision. C’est dire la méconnaissance de ceux qui gouvernent sur l’organisation ou la tenue d’événements tels que des concerts ou des festivals (savent-ils d’ailleurs ce qu’est un festival ? Si l’on s’en tient aux déclarations des différents ministres successifs au poste de la culture, la réponse semble être encore et toujours non). Le secteur navigue à vue depuis plus d’un an. Les programmateurs en sont parfois au 4 ou au 5ème report de date, certains artistes préfèrent tout annuler en attendant que ça se tasse, le public se lasse et n’achète plus de place. Il est compliqué dans ces conditions de rester positif. Quand tu vois qu’un an après le premier confinement on en débute un troisième ou encore que les concerts assis de The Divine Comedy prévus en septembre 2021 à La Cité de la Musique sont déjà reportés à septembre 2022, tu te dis que les belles paroles de la ministre de la culture sur la tenue de festivals assis en plein air et limités à 5.000 personnes ne sont encore qu’un coup d’épée dans l’eau. Du blabla pour brasser du vent, faire patienter les gens en attendant que ça s’arrange parce qu’il ne faut pas faire perdre espoir. Au bout de quatre mois et demi de fermeture des établissements culturels, c’est un nouveau confinement qui nous est proposé, tu parles d’un espoir.

En l’absence de concerts, je me suis surpris à reprendre mes activités adolescentes en reprenant une carte de cinéma illimité. J’ai dévoré le cycle d’une cinquantaine de films japonais de la Filmothèque, la rétrospective Christopher Nolan, l’Etrange Festival du Forum des Images, les films documentaires chiliens proposés par la Bpi du Centre Pompidou ... Soit plus de 200 films avalés en quatre mois et demi, sans jamais avoir l’impression d’être en danger et sans tomber malade. D’où une grande incompréhension lorsque le gouvernement a pris la décision de maintenir les lieux culturels fermés tout en reconnaissant qu’ils ne représentaient pas un risque de contamination. Aucun souci mais on va éviter quand même. Si l’on commençait à appliquer ce principe de précaution pour tout ce qui nous entoure, on finirait par rester allongé à attendre que la mort vienne nous cueillir. La veille de la présumée réouverture, je me suis promené dans le quartier latin et je voyais les employés des cinémas s’activer en placardant les affiches des films et les programmes. Tout ça pour rien, pour annoncer de prochaines séances fantômes. Le gouvernement allait envoyer promener leur travail impliqué d’un revers de main. Pareil pour les musées, de nombreuses expositions ont été accrochées puis décrochées sans accueillir de public. L’exposition photographique Noir et blanc au Grand Palais a nécessité trois ans de travail pour terminer en exposition virtuelle payante sur un ordinateur. La grande exposition Matisse du Centre Pompidou n’aura accueilli du public que pendant 9 jours avant d’être démontée et j’en passe. J’ai eu l’impression d’assister à d’énormes gâchis. Le secteur culturel semble avoir été sacrifié, réduit à néant au profit des longues files d’attente qui se formaient devant les étals des grandes marques décoratives et vestimentaires. Je vous fais le pari que vous tirerez plus profit d’une exposition ou d’un film que d’un pull ou d’une table basse mais ce n’est visiblement pas l’avis de tout le monde.

Le temps où l’on se retrouvait dans la moiteur des salles un verre à la main semble bien loin, espérons qu’il revienne vite.

Prends soin de toi A bientôt, Cyril

Photo : Benoit Grimalt, 2013.

[mabdtheque]

Aujourd'hui je vais vous parler de "j'irai cracher sur vos tombes" de Jean-David Morvan, Rafael Ortiz et Rey Macutay Paru aux édition Glénat. Genre : adaptation d'œuvre littéraire Paru le : 11/03/2020. Public : pour public averti, à partir de 16 ans. ---------------------------------------⤵️-------------------------------------- Résumé de l'éditeur : Lee Anderson, vingt-six ans, fils d’une métisse, quitte sa ville natale après la mort de son frère noir, lynché parce qu’il était amoureux d’une blanche. Il échoue à Buckton, petite ville du Sud des États-Unis où il devient gérant de librairie. Grand, bien bâti, payant volontiers à boire et musicien de blues émérite, Lee parvient sans mal à séduire la plupart des adolescentes du coin. Auprès d’une petite bande locale en manque d’alcool mais très portée sur le sexe, il mène une vie de débauche. Sans toutefois perdre de vue son véritable objectif : venger la mort de son frère. ~~~~~ Cette année nous fêtons le centenaire de Boris Vian et pour l'occasion les éditions Glénat ont  adapté 4 œuvres de Boris Vian en bd dont l'album "j'irai cracher sur vos tombes" qui fit scandale à sa sortie. En 1946, Boris Vian sous le pseudonyme de Vernon Sullivan voulait nous livrer un polar noir, très sombre, tout en dénonçant le racisme et la condition précaire des Noirs dans le Sud des États-Unis. La sexualité, violente, y est aussi très présente. Côté esthétisme, je le trouve très réussi : les dessins sont biens faits, et permettent de se fondre dans cette période. C'est par moment assez coloré sur certaines planches, assez sombre sur d'autres, l'ambiance des planches se fond très bien avec le texte. Les dessins sont réalistes et l'atmosphère est à couper le souffle. Le travail sur les regards notamment est à souligner. ~~~~~ Je suis plus qu'impatient de découvrir les autres albums, "Les morts ont la même peau" est dèjà paru, les deux autres albums sont programmés pour le mois de septembre. ~~~~~ Notes : Dessin : 7/10 🗯️ Scénario : 8/10 💭 L'avez-vous lu ? Si vous l'avez lu vous en avez pensez quoi ? Dites moi tout en commentaire👇🏻 #jiraicrachersurvostombes #borisvian #adaptation #vernonsullivan #polar #racisme #vengance https://www.instagram.com/p/CEmaefbniWw/?igshid=wuap2ukz5sxg

#jiraicrachersurvostombes #borisvian #adaptation #vernonsullivan #polar #racisme #vengance

[christophe76460]

ON NE DEVIENT PAS INTÈGRE PAR ACCIDENT MAIS PAR DISCIPLINE !!!

"Lorsque Abram fut âgé de quatre-vingt-dix-neuf ans, l'Éternel apparut à Abram, et lui dit: Je suis le Dieu tout-puissant. Marche devant ma face, et sois intègre." (Gen 17.1)

1. Marcher devant la face de Dieu, c’est marcher dans la crainte de Dieu sachant qu’un jour nous serons devant lui et devrons rendre compte sur la manière dont nous avons géré la vie qu’il nous a prêtée… C’est nous conduire en sachant que rien de ce que nous faisons ou pensons passe inaperçu pour lui.

2. Soit intègre.

Abraham avait 75 ans quand par la foi il a commencé à suivre le Seigneur. Et à 99 ans, soit après 24 ans de marche avec Dieu dans une foi sincère. Il lui demande d'ajouter à sa foi l'intégrité. C'est à dire, un haut niveau d'honnêteté et de probité morale.

Être intègre c'est Être :

Droit, honnête, irréprochable , vertueux, incorruptible. C'est ce qui manque à beaucoup de chrétiens de nos jours. On prétend être chrétien depuis plusieurs années, on aime le Seigneur, mais si on ne peut pas se fier à vous en matière d'argent C'est que vous n'êtes pas intègre. Après 5 ou 10 ans de vie chrétienne, vous n'avez toujours pas de respect de la parole donnée, on ne peut pas se fier à vos promesses, ni à vos engagements! Manque d'intégrité.

Nous chrétiens nous considérons le fait de faire des promesses trop à la légère mais aux yeux de Dieu une promesse est très sérieuse.

C'est bien de prier ,de jeûner, de lire la bible mais avez-vous vous de la probité morale.? Et êtes- vous fiable dans le domaine financier, dans la gestion des biens d'autrui ou même dans vos promesses de mariage?!!! Sachez que le Seigneur le voit et nous chrétiens, nous serons sévèrement jugés par Dieu pour cela. Parce que le manque d'intégrité est un grand frein pour l'Evangile.

Combien de gens avez -vous détournés du chemin du Seigneur en n'étant pas honnête, en ne payant pas vos dettes ou en ne respectant pas vos promesses ?

Si on ne peut

pas faire confiance aux enfants de Dieu, si ils sont aussi malhonnêtes et pas dignes de confiance comme les païens, à quoi bon devenir chrétien !?

Ecc 5:5 (5:4) Mieux vaut pour toi ne point faire de voeu, que d'en faire un et de ne pas l'accomplir.

Ecc 5:6 (5:5) Ne permets pas à ta bouche de faire pécher ta chair..... Pourquoi Dieu s'irriterait-il de tes paroles, et détruirait-il l'ouvrage de tes mains?

REFUSER D'HONORER UNE PROMESSE APPORTE BEAUCOUP DE PROBLÈMES DANS LA VIE DES CHRÉTIENS.

C'est comme Israël et la ruse des gabaonites. Comme ils avaient donné leur accord, l'Éternel ne leur a pas permis de revenir sur une parole donnée. Et Dieu avait puni Israël sous David, parce que Saül avait enfreint l'accord conclu entre Josué et les habitants de Gabaon. (Josué 9:3-19/2 Samuel 21:1)

Une grande leçon à retenir. !!!

Apprenez également à rembourser vos dettes. Et si vous n'avez pas honoré vos engagements, ne vous contentez pas seulement de demander pardon à Dieu car Il n'acceptera pas vos excuses et vous ne pouvez pas mettre vos dettes impayées " sous le sang de Jésus" pour ne pas payer

Il faut aller réparer avec la personne lésée.

Dieu nous bénira si nous sommes des hommes et des femmes intègres. En tant que croyants, nous devons tenir nos promesses et respecter nos engagements.

Si vous êtes dans l’impossibilité de tenir un Engagement que vous avez pris envers quelqu’un, prenez la peine de lui téléphoner ou de lui envoyer un petit mot pour vous excuser.

Apprenez aussi à honorer vos rendez -vous, vos paroles et vos promesses.

En agissant ainsi, Vous Honorerez Dieu Et Sa Faveur Sera Votre Partage.

Respectez aussi vos engagements envers Dieu. Par exemple, RESPECTEZ SCRUPULEUSEMENT VOS HORAIRES DE PRIÈRE ET DE MÉDIATION; CAR L'HABITUDE RÉPÉTÉE DEVIENT UN CARACTÈRE"

"Ils affirment connaître Dieu, mais leurs actions prouvent le contraire..."

Tite 1:16

#DisciplinePersonnelle🙏

[lamergelee]

“La vie conne et fine de Gustave F.” [épisode 6]

[Lire les épisodes 1, 2, 3, 4, 4 bis, 5] Le jour 6, il eut des enfants. Gustave écoutait un reportage à la radio sur le quotidien d’une famille en confinement. Il s’était toujours passionné pour la vie des gens. Jusqu’à la fin de la trentaine, à cause de son père, c’étaient surtout des célébrités de l’histoire nationale qui le retenaient, des Destini comme disait ce dernier, et Gustave connaissait assez bien les biographies de rois de France ou de présidents. Les dernières années cependant, avec une passion parfois presque hystérique, il se jetait à corps perdu dans les vies banales qu’il croisait. Il voulait tout savoir, les plus petits détails le fascinaient comme des promesses de vies plus accomplies que la sienne. Au café La Nouvelle Étoile par exemple, juste en bas de chez lui, où il allait prendre son expresso certains midis dans l’ancienne ère, il saluait tout le monde par son prénom, avait un mot personnalisé pour chacun. Il prenait des nouvelles de Simone, la femme de Mehdi, le serveur, et aidait le jeune David à remplir les longs questionnaires d’enquête nécessaires pour entrer à l’université. Il jouait parfois deux ou trois heures d’affilée aux dames chinoises avec Christophe, un postier à la retraite, des heures comme suspendues qui filaient à toute vitesse dans le brouhaha des allées et venues, le vacarme de la télé fixée en hauteur souvent recouvert par les huées des clients. Qu’étaient ses amis devenus, qu’il avait de si près tenus, et tant aimés ? Les avait-il seulement aimés ? Oui, à sa manière, peu expansive et pondérée, il avait aimé David et Christophe et Mehdi et Simone, et même Jean-Marc à la voix de stentor qui se faisait l’avocat de l’ancien inspecteur des finances devenu président, celui qu’il surnommait « Manu Mozart » avec un rictus moqueur, pour les faire tous bisquer. La Nouvelle Etoile lui manquait, plus qu’il n’aurait pu croire. Il rêvait d’une grande maison près de la mer, avec dedans tous les clients du café, et il y aurait même eu une place pour le poste de télévision qu’on aurait injurié à tour de rôle. Une maison, la mer, peut-être des poules dans un enclos, des huîtres pour un mois, un hôtel de Cabourg abandonné où ils auraient logé à vingt. Aujourd’hui, sixième jour, à défaut de grande maison à la mer, Gustave entendait prendre ses aises, et se lâcher un peu la bride. Il décida d’avoir deux fils. Oui. Gustave s’était parlé à lui-même, couché encore sur le parquet, après l’émouvante histoire de cette famille confinée. Jacques télétravaillait sur sa webcam, Sylvie préparait du hachis parmentier, la petite Clara jouait avec ses dragons imaginaires pendant que Paul essayait les robes de sa mère. Il s’était dit que c’était pas mal, les enfants, pour accompagner le passage dans l’ère nouvelle. Les deux gamins réels qui passaient le plus clair du temps dans la cour de l’immeuble l’horripilaient au plus haut point mais, avec les siens, il en était sûr, ce serait tout différent. D’ailleurs il aurait très bien pu avoir deux fils. Leur absence indubitable s’expliquait par une sorte de hasard, des déviations inconsidérées, des manquements. Négligence était le mot exact, s’il y pensait. Etendu de tout son long, la tête vers le soleil pour diminuer la charge virale par l’action virucide des rayons ultraviolets sur les surfaces potentiellement contaminées, il y pensait. Il renâclait à procréer, tout simplement, sans avoir une volonté exacte à ce sujet. Quelque chose l’empêchait, quoi. Ça n’allait pas devenir obligatoire non plus. Voilà ce qu’il aurait répondu si on l’avait tancé à ce sujet, avec un petit haussement d’épaule. Il remuait les épaules, il sentait ses poignets frôler doucement le bois ciré. S’il avait eu deux fils, et il aurait parfaitement pu en avoir deux s’il l’avait voulu, il les aurait appelés Charles et Léon. Ils auraient peut-être été jumeaux. En tous cas d’un âge proche, dans les 7 ou 8 ans. Deux gamins quoi. Deux chouettes petits gars bien marrants. Il se serait séparé de leur mère, la deuxième année, dans des termes un peu rudes. Là, Gustave hésitait. Il mit les mains sous sa tête, fixa la poutre apparente au plafond. Il connaissait assez mal ce sujet, il ne le niait pas, mais enfin les parents se séparaient, ça se voyait tout le temps, près d’un tiers dans l’année qui suivait la naissance, avait-il lu, les films et les livres en parlaient beaucoup, de la souffrance, du manque, des retrouvailles, du sens de la vie. Gustave optait donc pour une séparation en mauvais termes d’avec la mère de Charles et Léon. Une rupture somme toute classique, qui obligeait les parents à communiquer au minimum. La rupture aurait d’abord laissé une entaille profonde dans sa vie, beaucoup plus que celle avec Christelle, son ex-femme, qu’il n’entendait de toute façon pas laisser polluer sa paternité putative. Gustave préférait puiser dans ses souvenirs de films américains. Il se dressa sur ses coudes, se leva pour aller pisser. Il réfléchit en contemplant le jet bruyant. Il revint s’allonger. Il aurait eu recours à des services payants, pour combler le vide laissé par les enfants et leur mère. Il aurait bu pas mal, certains soirs. La mère des enfants se serait appelée Béatrice, Béa pour ses amis, rien à voir avec Christelle, ce nom de contrôleuse de l’URSSAF ou de gestionnaire de sinistres en assurances. Il aurait voyagé un temps, et connu aussi l’angoisse du ratage définitif, la mélancolie des paquebots, les froids réveils sous la tente, l’étourdissement des paysages et des ruines, l’amertume des sympathies interrompues. Ou bien non, il serait resté, car « l’absence a des torts / que rien ne défend ». Finalement, après des complications juridiques absurdes, il aurait obtenu une garde partagée. Les choses se seraient apaisées. Il aurait pris son tour de garde au cinquième jour de confinement. Béa les aurait déposés en bas de l’immeuble, avec leurs gros cartables et leurs anoraks aux couleurs stridentes. « Alors, les enfants ? se serait exclamé joyeusement Gustave, vous avez fait quoi pendant le confinement avec votre mère ? Hein ? » Voilà comment il les aborderait, en leur passant la main dans les cheveux. Charles serait pensif et renfrogné, blond ; Léon, imprévisible, presque agressif, les cheveux tirant sur le noir. (A suivre).

#LaVieConneEtFineDeGustaveF.

[extrabeurre]

Oscars 2020 : Choix et prédictions

La 92e cérémonie des Oscars, sans animateur encore une fois cette année, aura lieu ce dimanche 9 février. Comme le veut la tradition, voici mes choix et mes prédictions dans chacune des catégories principales.

MEILLEUR FILM Ford v Ferrari The Irishman Jojo Rabbit Joker Little Women Marriage Story 1917 Once Upon a Time… in Hollywood Parasite

Choix :  Once Upon a Time… in Hollywood, non seulement mon film préféré de 2019, mais aussi mon film préféré de la décennie. 

Prédiction : Plusieurs candidats sérieux cette année, dont Joker (le film avec le plus de nominations) et Parasite (la Palme d’or, le chouchou des critiques, le lauréat du SAG Award de la meilleure distribution d’ensemble), ainsi que le chef-d’œuvre de Tarantino. Mais parce que les Oscars récompensent rarement les meilleurs films, j’ai l’impression qu’ils ne pourront pas résister au techniquement impressionnant, mais sans plus 1917. Il a déjà le Golden Globe du meilleur drame, le prix de la PGA et tout plein de BAFTAs en poche.

MEILLEURE RÉALISATION

Quentin Tarantino, Once Upon a Time… in Hollywood Martin Scorsese, The Irishman Bong Joon-ho, Parasite Todd Phillips, Joker Sam Mendes, 1917

Choix : Tarantino, bien sûr. Ce cinéaste a littéralement changé ma vie il y a 25 ans, et il signe ici son meilleur film en carrière.

Prédiction : Encore là, l’Academy risque de donner un 2e Oscar comme réalisateur à Sam Mendes (lauréat du prix de la DGA), alors que Tarantino n’en a jamais gagné aucun.

MEILLEUR ACTEUR

Antonio Banderas, Pain and Glory Leonardo DiCaprio, Once Upon a Time… in Hollywood Adam Driver, Marriage Story Joaquin Phoenix, Joker Jonathan Pryce, The Two Popes

Choix et prédiction : Joaquin Phoenix est probablement le meilleur acteur de sa génération, et avec The Master et You Were Never Really Here, sa performance dans Joker forme une troublante trilogie.

MEILLEURE ACTRICE

Cynthia Erivo, Harriet Scarlett Johansson, Marriage Story Saoirse Ronan, Little Women Charlize Theron, Bombshell Renee Zellweger, Judy

Choix : Scarlett Johansson, criante de vérité dans Marriage Story. 

Prédiction : Renee Zellwegger dans Judy. C’est toujours payant d’incarner une personnalité réelle.

MEILLEUR ACTEUR DE SOUTIEN

Tom Hanks, A Beautiful Day in the Neighborhood Anthony Hopkins, The Two Popes Al Pacino, The Irishman Joe Pesci, The Irishman Brad Pitt, Once Upon a Time… in Hollywood

Choix et prédiction : Brad Pitt, Movie Star avec des majuscules, incroyablement charismatique dans le film de Tarantino.

MEILLEURE ACTRICE DE SOUTIEN

Kathy Bates, Richard Jewell Laura Dern, Marriage Story Scarlett Johannson, Jojo Rabbit Florence Pugh, Little Women Margot Robbie, Bombshell

Choix et prédiction : Qui n’adore pas Laura Dern? Et ce sera peut-être la seule façon de récompenser cet excellent film qu’est Marriage Story.

MEILLEUR SCÉNARIO ORIGINAL

Knives Out, Rian Johnson Marriage Story, Noah Baumbach 1917, Sam Mendes and Krysty Wilson-Cairns Once Upon a Time… in Hollywood, Quentin Tarantino Parasite, Bong Joon-ho, Jin Won Han

Choix et prédiction : Vu qu’on dirait que Tarantino va une fois de plus être écarté des catégories Meilleur film et Meilleure réalisation, il devra se contenter d’un 3e Oscar du Meilleur scénario. À moins que Parasite l’emporte, ce qui est quand même très probable.

MEILLEURE ADAPTATION

The Irishman, Steven Zaillian Jojo Rabbit, Taika Waititi Joker, Todd Phillips, Scott Silver Little Women, Greta Gerwig The Two Popes, Anthony McCarten

Choix : Le scénario de The Irishman est magistral, à tous les niveaux. Ce film sera-t-il le grand oublié de la cérémonie?

Prédiction : J’ai l’impression que l’Academy ressentira la pression de remettre au moins un prix à Little Women, et ce sera probablement celui-ci. Mais c’est aussi possible que le ridiculement surestimé Jojo Rabbit gagne ce prix.

MEILLEURE DIRECTION PHOTO

The Irishman, Rodrigo Prieto Joker, Lawrence Sher The Lighthouse, Jarin Blaschke 1917, Roger Deakins Once Upon a Time… in Hollywood, Robert Richardson Choix :  Once Upon a Time… in Hollywood, un plaisir visuel de tous les instants.

Prédiction : 1917 pour le gros flex de Roger Deakins, comme dirait mon ami Yannick. Gagnant du prix de l’ASC.

MEILLEUR MONTAGE

Ford v Ferrari, Michael McCusker, Andrew Buckland The Irishman, Thelma Schoonmaker Jojo Rabbit, Tom Eagles Joker, Jeff Groth Parasite, Jinmo Yang

Choix : The Irishman, car  Thelma Schoonmaker parvient à rendre un film de 3 h 30 toujours captivant, sans longueurs.

Prédiction : Parasite, car il a gagné le prix ACE Eddie.

MEILLEUR MONTAGE SONORE

Ford v Ferrari, Don Sylvester Joker, Alan Robert Murray 1917, Oliver Tarney, Rachel Tate Once Upon a Time… in Hollywood, Wylie Stateman Star Wars: The Rise of SkyWalker, Matthew Wood, David Acord

Choix : Ce ne sont pas des catégories que je connais bien, mais j’ai adoré le son des moteurs dans Ford v Ferrari.

Prédiction : 1917, car j’ai l’impression que ce sera le grand gagnant de la soirée, tour de force technique et tout ça.

MEILLEUR MIX SONORE Ad Astra Ford v Ferrari Joker 1917 Once Upon a Time… in Hollywood Choix : Ford v Ferrari. Prédiction : 1917.

MEILLEURE DIRECTION ARTISTIQUE

The Irishman, Bob Shaw and Regina Graves Jojo Rabbit, Ra Vincent and Nora Sopkova 1917, Dennis Gassner and Lee Sandales Once Upon a Time… in Hollywood, Barbara Ling and Nancy Haigh Parasite, Lee Ha-Jun and Cho Won Woo, Han Ga Ram, and Cho Hee

Choix et prédiction : Je vais y aller pour la reconstitution d’époque, les décors de western, Spahn Ranch dans Once Upon a Time... in Hollywood, mais 1917 pourrait rafler ce prix également. Parasite aussi serait plausible.

MEILLEURE MUSIQUE ORIGINALE

Joker, Hildur Guðnadóttir Little Women, Alexandre Desplat Marriage Story,Randy Newman 1917, Thomas Newman Star Wars: The Rise of Skywalker, John Williams

Choix et prédiction : Joker et le sinistre violoncelle de Hildur Guðnadóttir, qui contribue grandement à l’atmosphère du film.

MEILLEURE CHANSON ORIGINALE

I Can’t Let You Throw Yourself Away,  Toy Story 4 I’m Gonna Love Me Again, Rocketman I’m Standing With You, Breakthrough Into the Unknown, Frozen 2 Stand Up, Harriet

Choix : Je n’ai pas encore vu Frozen 2, mais je suis obsédé par Into the Unknown telle que chantée par Idina Menzel.

Prédiction : Difficile de résister à remettre un prix à Elton John pour I’m Gonna Love Me Again!

MEILLEUR MAQUILLAGE ET MEILLEURE COIFFURE

Bombshell Joker Judy Maleficent: Mistress of Evil 1917

Choix et prédiction : Joker peut-être? Ou est-ce trop facile d’associer ce film au maquillage?

MEILLEURS COSTUMES

The Irishman, Sandy Powell, Christopher Peterson Jojo Rabbit, Mayes C. Rubeo Joker, Mark Bridges Little Women, Jacqueline Durran Once Upon a Time… in Hollywood, Arianne Phillips

Choix et prédiction : Once Upon a Time... in Hollywood, car les films d’époque sont souvent récompensés pour leurs costumes, et le travail de la designer est particulièrement inspiré dans le film de Tarantino.

MEILLEURS EFFETS VISUELS

Avengers Endgame The Irishman 1917 The Lion King Star Wars: The Rise of Skywalker

Choix : Avengers Endgame, un quasi oublié des Oscars. On sous-estime l’exploit qu’est la culmination de l’Infinity Saga, notamment au niveau des effets visuels.

Prédiction : 1917. La prédiction facile pour la majorité des catégories.

MEILLEUR FILM INTERNATIONAL

Corpus Christi, Jan Komasa Honeyland, Tamara Kotevska, Ljubo Stefanov Les Misérables, Ladj Ly Douleur et gloire, Pedro Almodovar Parasite, Bong Joon Ho

Choix et prédiction : Parasite. La catégorie la plus facile à prédire de la soirée, avec raison. Un chef-d’œuvre, tout simplement.

MEILLEUR FILM D’ANIMATION

How to Train Your Dragon: The Hidden World, Dean DeBlois J'ai perdu mon corps, Jeremy Clapin Klaus, Sergio Pablos Missing Link, Chris Butler Toy Story 4,  Josh Cooley

Prédiction :  Je n’en ai vu aucun. Je vais dire Toy Story 4. Comme ça.

MEILLEUR COURT MÉTRAGE D’ANIMATION

Dcera, Daria Kashcheeva Hair Love, Matthew A. Cherry Kitbull, Rosana Sullivan Memorable, Bruno Collet Sister, Siqi Song

Prédiction : Je n’en ai vu aucun. Je vais dire Hair Love. Comme ça. 

MEILLEUR DOCUMENTAIRE

American Factory, Julia Rieichert, Steven Bognar The Cave, Feras Fayyad The Edge of Democracy, Petra Costa For Sama, Waad Al-Kateab, Edward Watts Honeyland, Tamara Kotevska, Ljubo Stefanov

Prédiction : Paraît que For Sama est exceptionnel. 

MEILLEUR COURT MÉTRAGE DOCUMENTAIRE

In the Absence Learning to Skateboard in a Warzone, Carol Dysinger Life Overtakes Me, Kristine Samuelson, John Haptas St. Louis Superman Walk Run Cha-Cha, Laura Nix

Prédiction : Learning to Skateboard in a Warzone. Le titre m’intrigue. 

MEILLEUR COURT MÉTRAGE

Brotherhood, Meryam Joobeur Nefta Football Club, Yves Piat The Neighbors’ Window, Marshall Curry Saria, Bryan Buckley Une soeur, Delphine Girard

Choix : Une soeur, pour la twist ingénieuse, le suspense soutenu, et les excellentes actrices. Le jury dont je faisais partie lui a remis le prix du Meilleur film à SPASM.

Prédiction : Pourquoi pas la coproduction québécoise Brotherhood!

#oscars #1917 #once upon a time in hollywood #joker #parasite

[rollingstonemag]

Un nouvel article a été publié sur https://www.rollingstone.fr/le-vinyle-sur-le-point-de-depasser-le-cd/

Un pour les gouverner tous : le vinyle est sur le point de dépasser la vente du CD

Dans un avenir proche, les revenus générés par les ventes du vinyle devraient dépasser ceux de son petit frère

C’était presque écrit depuis le début : le vinyle, qui revenait d’abord sous un effet de mode, à repris domicile au sein du marché de la musique. Pour de bon. Les ventes de vinyles ont connu une croissance constante au cours de ces dernières années. En même temps, les ventes de CD sont en chute libre. L’an dernier, le rapport semestriel de la Recording Industry Association of America (RIAA) indiquait que les ventes de CD diminuaient trois fois plus vite que les ventes de vinyle. En février 2018, la RIAA a rapporté que les ventes de vinyle représentaient plus d’un tiers des revenus provenant des sorties physiques.

Cette tendance se poursuit dans le rapport semestriel 2019 de la RIAA, qui a été publié jeudi dernier. Les vinyles ont rapporté près de 224,1 millions de dollars (sur 8,6 millions d’unités) au cours du premier semestre 2019, talonnant ainsi les 247,9 millions de dollars (sur 18,6 millions d’unités) générés par les ventes de CD. Le chiffre d’affaires du vinyle a ainsi progressé de 12,8% au second semestre 2018 et de 12,9% au premier semestre 2019, alors que le chiffre d’affaires des CD a à peine bougé. Si ces tendances se maintiennent, les grosses galettes produiront bientôt plus d’argent que les disques compacts.

Malgré la croissance du vinyle, le streaming domine (évidemment) toujours l’industrie de la musique – les disques ne représentaient que 4 % des revenus au premier semestre 2019. Les abonnements payants aux services de streaming (Spotify, Apple Music, Deezer, TIDAL…) ont généré 62 % des revenus de l’industrie.

« Nous accueillons avec plaisir la croissance du vinyle », avait déclaré Tom Corson, coprésident du conseil et chef de la direction de Warner Records, à nos confrères américains de Rolling Stone. « C’est un produit sexy et cool. C’est un investissement dans la musique qui est émotionnel. Mais c’est un petit pourcentage de nos affaires. Ça ne va pas chambouler notre année. »

Pourtant, la résurgence du vinyle a été une aubaine pour certains artistes, en particulier les groupes de rock classique. Les Beatles ont vendu plus de 300 000 disques en 2018, tandis que Pink Floyd, David Bowie, Fleetwood Mac, Led Zeppelin, Jimi Hendrix et Queen en ont vendu plus de 100 000 (merci aux rééditions). De son côté, la cassette (oui, vous avez bien lu) a aussi son petit succès en Grande-Bretagne et revient sur le devant de la scène.

#cd #vinyle

[clubbyfr]

Coproduction HBO et Sky sur la télévision payante à partir du 10 février

Coproduction HBO et Sky sur la télévision payante à partir du 10 février

La coproduction HBO et Sky, “Landscapers”, sera désormais diffusée le 10 février 2022 sur Sky. Il s’agit d’une série dramatique en quatre parties mettant en vedette Olivia Colman (“The Crown”) et David Thewlis (“Fargo”). L’intrigue tourne autour d’un couple britannique qui finit par vivre dans un monde imaginaire. Cependant, celle-ci est ébranlée lorsque deux corps sont découverts dans le jardin…

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[jeanneywfz]

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