#Cavagna

[marcelskittels]

Benjamin Thomas, Juliette Labous, Cédrine Kerbaol, Audrey Cordon-Ragot, Bruno Armirail & Rémi Cavagna of France after the 2023 UEC Road Cycling European Championships, Elite Mixed Team Relay a 38.4km race from Emmen to Emmen on September 21, 2023 in Emmen, The Netherlands (Photos by David Pintens & Rene Nijhuis via Getty Images)

#benjamin thomas #juliette labous #cedrine kerbaol #audrey cordon ragot #bruno armirail #remi cavagna #france #cycling #euro road 2023 #2023 uec road cycling european championships

[history-of-fashion]

1590s Gian Paolo Cavagna - Portrait of a gentleman with two sons

(Artgate Fondazione Cariplo)

#Gian Paolo Cavagna #1590s #16th century #men

[sportsallover]

Here goes Fraaaance 🥰

#Bryan Coquard #Bruno Armirail #Rémy Cavagna #cycling #road cycling #world champs #world champs 23 #mixed relay TT

[hospedagifs]

10.03.2024

#Adrien Cavagna #brooksville #littleville

[gastronominho]

Benjamin Cavagna é o convidado do Seen São Paulo

Heitor Marín convidou o bartender do 1930 Cocktail Bar de Milão, que faz parte dos 50 melhores bares do mundo, de acordo com a The World’s 50 Best Bars

Heitor Marín convidou o bartender do 1930 Cocktail Bar de Milão, que faz parte dos 50 melhores bares do mundo, de acordo com a The World’s 50 Best Bars Pensando no evento, o head bartender criou dois drinks inéditos para essa Guest Bartender que celebra o Amázzoni Gin. O coquetel “Amazonas” é uma explosão de sabores que combina o Amázzoni Gin com xarope de gengibre, limão siciliano, Angostura…

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#Amázzoni Gin #bebidas #Benjamin Cavagna #coquetelaria #guest bartender #Heitor Marín #Seen #seen são paulo

[cedricfaitsontourdupilat]

LA REMI CAVAGNA

A Saint-Just-en-Chevalet, le 10 septembre 2023

2eme édition pour cette cyclo qui continue l’aventure malgré une 1ere sous la pluie mais réussi l’an dernier ! On retrouve le département de la Loire ainsi que le CR4C de Roanne aux manettes pour 3 parcours proposés dont le grand « la Rémi Cavagna » et ses 150kms. Si nous avons ce coup ci droit à une météo estivale, le parcours à dû être modifié il y a peu suite à une décision préfectorale et le moindre que l’on puisse dire c’est que nous n’allons pas gagner au change. En revanche la bonne surprise est la présence du parrain de l’épreuve, Rémi Cavagna, qui va rouler sur le grand parcours !

Pour un départ à 9h15 et grâce à la proximité de la course avec 1 heure de route, pas besoin de se lever très tôt, ce qui est appréciable. Sur place le retrait des dossards est rapide et le speaker place lui-même les coureurs prioritaires à l’avant en faisant l’appel au micro avec une rapide présentation ; sympa ! En première ligne aux côtés de Rémi et des principaux favoris, le départ se fait sans efforts inutiles et sans stress : toujours en 2-3eme position pour aborder la montée sur St-Marcel-d’Urfé la course s’emballe après seulement 7,5kms. Rémi met en route et à 6,2w/kg dans les roues je subis en reculant doucement mais surement ; au bout de 5’ je me retourne pour constater que plus personne n’est derrière moi et que 10 gars s’accrochent au train du TGV de Clermont, je dois donc absolument tenir les roues ! C’est chose faite mais ça ne débranche quasiment pas jusqu’à Saint-Martin-la Sauveté où je m’emploie fortement juste pour rester au contact. A la sortie du village il y a une petite rampe de 600m que je vois venir avec inquiétude car je n’ai pas récupéré et le coup de grâce tombe : ça monte au sprint et le groupe explose : Rémi emmène avec lui Axel Chatelus (vainqueur l’an dernier) et 3 coureurs du CR4C dont Quentin Rongère. Derrière on est en ordre dispersé et on se regroupe vite : Alexandre Banegas, Thimothée Delavaud, Lucas Geyssant, Toby Evans et Vincent Trescartes (2eme l’an dernier) m’accompagnent et on prend vite 30’’ de retard malgré une excellente entente : on l’a compris c’est fini après 18kms seulement !

On a beau se relayer comme des malades pour redescendre dans la plaine, rien n’y fait ! On emprunte des routes parfois étroites, des croisements type critérium avec de grosses relances à chaque fois et il faut être vigilant comme sur ce tronçon où le goudron est soulevé par les racines et qui sera fatal à 2 coureurs du CR4C qui étaient devant et qui ne repartiront pas ! Maintenant à 6 contre 3 en notre faveur, on concède toujours du temps en roulant pourtant très fort. A Balbigny le débours est de plus de 2’ alors que je suis en souffrance depuis déjà quelques kilomètres. La bonne nouvelle c’est qu’on en termine avec ces longs bouts droits tout plat pour avoir enfin un peu de relief : la 1ere bosse pour rejoindre Néronde fait très mal avec une route étroite et en mauvais état. Il me faut envoyer plus de 400W pour ne pas sauter et je puise déjà bien dans les réserves. Après une descente courte et rapide on enchaine sur d’autres côtes nous emmenant à la grotte de Félines et St-Marcel-de-Félines. Ici on est plus sur un tempo que je suis plus « facilement » puis on enchaine sur une nouvelle difficulté pour rejoindre Neulise : une sorte de coursière avec de l’herbe tout le long au milieu de la route et un revêtement catastrophique nous rappelant un Paris Roubaix (même si ce n’est pas des pavés). Bien secoué mais toujours à 6, on se dirige vers le fleuve Loire en perdant Vincent, obligé de s’arrêter pour de l’eau.

En bord de Loire le parcours reste vallonné : on a le temps de jeter un œil au beau château de la Roche avant d’arriver au pied de la montée de Bully : là je crains le pire mais ça monte tempo avant d’accélérer à l’approche du village : un peu à l’arrache au sommet ça passe mais pas trop le temps de souffler qu’il faut remonter sur St-Jean-St-Maurice : il faut sortir du z5 pour tenir et c’est compliqué mais je m’en sors encore ! On enchaine quasiment dans la foulée sur la Croix du Lac : je mène notre groupe tempo avant des relais plus appuyés d’Alex ou Lucas dans la partie plus raide. Je maintiens encore ma position avant la dernière difficulté où j’aurai aimé tenter quelque-chose ; maintenant ce sera juste suivre le plus longtemps possible et pour ça, je ne passe plus de relais depuis quelques temps mais la 1ere attaque d’Alex à 2km du sommet me condamne : en tenant un semblant de tempo je reste à l’affut mais baisse définitivement pavillon sur une 2eme accélération. Je reviens sur Lucas qui a lâché aussi mais décide de m’arrêter prendre de l’eau au ravito : j’ai vraiment chaud et 2 bidons vides ; pas trop le choix ! Il reste une petite vingtaine de kilomètres principalement descendant, 7 ou 8eme ne changeant pas grand-chose et me doutant d’avoir une avance conséquente sur les poursuivants avec le rythme qu’on a mis jusqu’à là, je peux finir plus tranquillement même si des petits « coups de cul » viennent me refaire mal aux jambes. A 6km de l’arrivée de méchantes crampes me paralysent les 2 jambes jusqu’aux chevilles et me ferons encore souffrir pour en terminer en 4h02 à la 8eme place donc et 1er des M3. Presque 20’ plut tôt (!) Axel aura doublé la mise étant le seul à avoir pu accompagner Rémi jusqu’au bout. Quentin prenant la 3eme place en ayant résisté seul et bien géré l’avance acquise.

Un bilan contrasté pour cette 2eme édition : à titre personnel le résultat n’est pas si mal au vu du parcours et de la concurrence proposée même si ma journée galère de la veille à passer 1h30 à tenter de réparer une crevaison pour rentrer m’a laissé des traces avec une belle douleur à la cheville droite qui s’est réveillée durant la course ! C’était de toute façon impossible de rééditer la belle 3eme place de l’an dernier ! Cependant concernant l’épreuve en elle-même on peut fortement regretter le parcours de l’an dernier qui proposait quand même une partie plus intéressante et plus sécure (Croix du Sud-Rivière Noire-Loge des Gardes) que cette année où on s’est retrouvé sur certaines routes presque indignent d’une telle épreuve (en plus avec la présence d’un coureur pro) : mauvais état de la chaussée, sable, gravillons et une multitude de carrefours parfois dangereux avec absence de signaleurs. Dommage car cette cyclo possède quelques atouts intéressants avec une participation limitée pour un plus grand confort, des départs décalés pour les différents parcours, une logistique bien huilée avec le CR4C notamment, des photos en accès libre dans la semaine qui suit ou des paniers garnis de produits locaux et un repas d’après course où les bénévoles se seront démenés sans compter ; alors souhaitons une amélioration de la sécurité et des parcours pour la 3eme édition !

Classements

Site de l'épreuve :

Ou du chronométreur :

Lien direct du 150km ici

Strava

#cedric richard #resultat #roue des grands bois #specialized elite shop #remi cavagna #loire #st-just-en-chevalet #departement de la loire #cr4c roanne

[renatagorreri]

Storytelling olfattivo

Il design olfattivo è un concetto affascinante che comprende tanti aspetti. Un’idea per la composizione olfattiva, un incontro tra packaging, piacevolezza alla vista e sostenibilità, un insieme di ingredienti che stuzzicano la fantasia del profumiere, una storia da raccontare al proprio pubblico di riferimento. Tanti sono gli elementi che compongono un profumo e non sono necessariamente…

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#adjiumi #boa madre #cristian cavagna #dolce qb #elevato al cubo #fragrance collection #libertà olfattiva #musa paradisiaca #niche perfume #parfum de niche #piramide olfattiva #Profumeria Artistica #scent blogger #scent storyteller #scent storytelling

[scotianostra]

The Basilica of Sant'Alessandro, Bergamo.

One of the countless churches I visited in the couple of days I spent in Italy 🇮🇹

The interior of the basilica of Sant'Alessandro alla Colonna has a Latin cross plan, with a single nave that opens onto the side chapels, four on each side and with a shallow transept that reaches the width of the chapels, dominated by the large dome .

On the altars there are paintings of important artistic interest, including:

Sacred Heart of Trento Longaretti from 1959, third altar on the left;

Martyrdom of Saint Alexander by Aeneas Salmeggia oil on canvas, placed in the presbytery behind the high altar of 1623;

Esther and Abigail by Antonio Balestra from 1738 in the Patrocinio chapel.

Three large canvases painted in the same year by the three most active artists in Bergamo in the early 17th century:

Miracle of the flowers born from the blood of Saint Alexander, by Gian Paolo Cavagna in 1621;

Laying of the first stone of the temple, oil on canvas from 1621 by Enea Salmeggia, fourth altar on the left;

Santa Grata presents to her father the flowers blooming from the martyr's blood, work by Francesco Zucco from 1621,

Assumption of the Virgin as an altarpiece in the left transept by Romanino carried out in 1540-1545 commissioned by the council of the consortium of Sant'Alessandro.

Glory of Saints Peter, Paul and Christopher by Gian Paolo Cavagna from 1607 and located in the right transept, presents the important depiction of seventeenth-century Bergamo.

Saint Joseph with Child between Saints Catherine of Alexandria and Francis de Sales by Ponziano Loverini, second altar on the left;

The wooden choir composed of 28 stalls divided by zoomorphic figures and like lion heads or bird bodies, arranged in a semicircle along the apse was created by Prata Alessio as well as other wooden works: the choir, the organ case and the pulpits which However, they were removed and replaced in 1780 by the works of Antonio Francesco Caniana.

#italy #Bergamo #lombardy #wee holiday

[proartsblog]

Portrait of a nobleman by Giovanni Paolo Cavagna (1550-1627)

#art #paintings #europа #italian #17th century #baroque #portrait

[pcwt]

VUELTA’22 Stage 10 ITT: Evenepoel Demolishes The Vuelta Time Trial Pt.4

Remco Evenepoel storms the time trial

Remco Evenepoel put in a stunning time trial ride in Alicante to demolish the competition. The young Belgian beat three-time Vuelta winner, Primoz Roglič by 48 seconds and nearly caught Enric Mas. Evenepoel now leads Roglič by 2:41 and Mas by 3:03.

Vuelta a España Stage 10 Result: 1. Remco Evenepoel (Bel) Quick-Step Alpha Vinyl in 33:18 2. Primož Roglič (Slo) Jumbo-Visma at 0:48 3. Rémi Cavagna (Fra) Quick-Step Alpha Vinyl at 1:00

Vuelta a España Overall After Stage 10: 1. Remco Evenepoel (Bel) Quick-Step Alpha Vinyl in 34:35:50 2. Primož Roglič (Slo) Jumbo-Visma at 2:41 3. Enric Mas (Spa) Movistar at 3:03

[marcelskittels]

Bruno Armirail, Rémi Cavagna, Bryan Coquard, Audrey Cordon-Ragot, Cédrine Kerbaol & Juliette Labous 🇫🇷🥈 ‹ Team Time Trial Mixed Relay › 2023 UCI Cycling World Championships 📸 by Dario Belingheri/Getty Images

#bruno armirail #remi cavagna #bryan coquard #audrey cordon ragot #cedrine kerbaol #juliette labous #france #2023 uci cycling world championships #glasgow scotland 2023

[secondskin007]

"File:Rémi Cavagna - Vuelta a España 2019.jpg" by PB84 is licensed under CC BY-SA 4.0.

#skinsuit #lycra bulge #lycra #bibshorts #cycling bulge #guys in lycra #skintight #beardsandtattoos #bib shorts #lycra spandex #spandex

[sportsallover]

If they lose Rémi Cavagna, it does not bode well for the breakaway!

#he’s not a climber but they’ll miss him in the flat parts #cycling #road cycling #Tour de France #TdF23

[macepearls]

Beaute Noiré

Projeto Universitário

Todos queriam ser Beauté Noire, fazia jus ao seu nome com uma beleza indescritível e uma graciosidade que causava inveja por onde passava, mas guardava em seu coração uma angústia que a impedia de ver a beleza ao seu redor. Beauté aprendeu a viver a mercê do que esperavam de si, foi assim que, com o tempo, foi se perdendo em meio a tudo que acreditava que deveria ser, sua expressão foi se tornando vazia e seus dias ensolarados eram trocados por dias e dias em seu quarto dançando em sua própria tristeza, já não sabia mais quem era, o que era, o que a angustiava tanto...Mas nunca notaram, afinal, Beauté ainda era a mais linda das moças. Direção Criativa: Andressa Mirella, Kamila Ferreira Narrativa: Kamila Ferreira Styling: Andressa Mirella, Jaqueline Xavier, Marcella Cavagna, Kamila Ferreira Fotografia: Andressa Mirella Edição Gráfica: Kamila Ferreira Maquiagem: Kamila Ferreira Produção de cenário: Andressa Mirella, Jaqueline Xavier, Kamila Ferreira Assistente de produção e styling: Carolina Victorya Assistente de fotografia: Carolina Victorya, Marcella Cavagna, Jaquele Xavier

#fashion #editorial #petra collins #fashion photography #photography #moda #makeup #lana del rey #projects

[fearsmagazine]

A BKBX FRANKENSTEIN - Review

Dates: November 17th to 20th, 2022 Company: Broken Box Mime Theater (BKBX) | www.brokenboxmime.com Theater: 14th St Y, 344 E 14th St New York, 10003 | www.14streety.org Actors: Julia Cavagna, Duane Cooper, Blake Habermann, David Jenkins, Marissa Molnar, Kristin McCarthy Parker, Regan Sims, Leah Wagner, & Josh Wynter . Crew: Artistic Director - Becky Baumwoll; Associate Artistic Director - Tasha Milkman; Stage Manager - Celina Revollar; Lighting Design - Annie Liu; Composer, Music Director, Sound Design - Jack McGuire; & Resident Stage Manager - Esti Bernstein

SYNOPSIS: The production takes many themes of Mary Shelly’s “Frankenstein” and incorporates them into seven contemporary tales:

“The Opening” - A scientist works on her creature and faces her entity, its reception, and the consequences of the clashes.

“The Answers” - In what feels like a tale taken from the headlines, an individual joins others participating in a self-improvement group that transforms into a cult-like experience where the group becomes the body of the creation.

“Automatic” - An interesting examination of society’s compulsion with military indoctrination, weapons, and the fear that can rise out of it.

“M-Pop” - An engaging look at the exploitation of boy bands, the extremes that it can go to, and in the final act presents a dark extreme that feels like an eventual finale.

“Starship Excelsior” - A sci-fi take on the “Frankenstein” story as the production’s take moves from an Arctic setting to outer space. The tale takes several interesting twists and turns as it pauses before the final confrontation.

“Our Corporate Promise” - What opens with lighter notes transforms into a dark comment on corporate America and our individual responsibility as contributors to climate change.

“Survival Mode” - A compelling blend of themes that looks at the modern family and how it is impacted by monsters, technology, and alternate realities that can offer an escape.

“Starship Excelsior” - in the conclusion the company brings the performance to an end as they address the issues of what it means to be responsible for what we create, the concept of what it means to be alive, and our place among the stars.

L to R - Back Row: David Jenkins, Marissa Molnar; Front Row Becky Baumwoll, Blake Habermann, Dinah Berkeley | Courtesy Bjorn Bolinder

REVIEW: I was intrigued that the concepts in Mary Shelly’s “Frankenstein” were adapted into contemporary themes and presented using the art of mime. Sure I was familiar with mimes and remember seeing the most famous mime Marcel Marceau on television in my youth. Still, I went into the performance with an open mind and limited expectations.

14th St Y Black Box Theater is an impressive space. I’ve been to many off-off Broadway productions over the years in spaces that were converted into makeshift theater spaces. The Y’s space feels like a smaller version of St. Ann's Warehouse in Brooklyn, NY. Not something I would expect to find in a Y, known mostly for its physical fitness space and pool. The venue has an excellent sound and lighting system, and an impressive floor to ceiling screen, and the production adeptly took full advantage of the space.

The production did an excellent job of weaving in lighting and original musical pieces to marvelously enhance the tales. Jack McGuire composed the majority of the music for the production and there are some other compositions provided by additional contributors. It’s interesting how the pieces fit together so well as there is a homogeneous sound design to the music. It’s not quite new age music, but there is a tone and feel that nicely complements the pieces. The music and the lighting are the only elements to augment the performances as the art of mime employees no other props or set design. Those elements brilliantly add to the magical spell the performers weave over the audience.

L to R - Blake Habermann, Joel Perez | Courtesy Bjorn Bolinder

The performers are dressed all in black and it delightfully works with the science fiction themes of the stories. Unlike traditional mimes, their arms are exposed, they are not wearing gloves, and their whiteface is minimally accentuated with black lines. The makeup is not a thick, heavy, pancake makeup. Mime is known for exaggerated facial expressions, but this makeup, combined with the lighting, allows many of the subtle facial expressions to come through and convey a wider array of emotions. Also, the short sleeves and lack of gloves adds to their performances as you see the emotional state is reflected in their musculature. It elevates their performances from mime to a physical modern dance.

The cast is mesmerizing. Again, their performances transcend the mime art form and are as fluid and poetic as modern dance. I couldn’t help but think of the Pilobolus dance company. There are movements and positions that require a dancer’s strength and agility, as well as grace and fluidity. Their movement clearly channels the themes of each piece, feels like physical poetry, and is equally hypnotic. They seamlessly move between pieces creating unique characters. They create lighter moments where and allow the pieces dark moments to organically rise up. There are numerous haunting moments that resonate after the show.

I loved the concept of each piece and how that applied to the “Frankenstein” themes. It was interesting how there was a cohesiveness to all the performances and pieces, even though the opening and Starship Excelsior part one and two are more directly linked. There are no spoken words but you feel the story arcs and understand the narrative. The work transcends spoken language and is an exceptional storytelling experience. It affects the head, the heart, and the stomach presenting a complex emotional palette.

L to R - Blake Habermann, Regan Sims, Joel Perez | Courtesy Bjorn Bolinder

A BKBX FRANKENSTEIN is an extraordinary theater experience that, without question, has the attributes of a Broadway production. A talented cast is put through the paces of award worthy choreography that is intensified by effective musical pieces and magical lighting. I was blown away and left the theater feeling both invigorated and introspective. The production enthralled me right from the opening and held me to the end. Unquestionably an unparalleled production company, I eagerly await what they deliver next. A BKBX FRANKENSTEIN was a remarkable theatrical experience.

Review By: Joseph B Mauceri

#theater #review #bkbx #broken box mime theater #14th st y #frankenstein #new york city #monsters #villians #technology #science fiction #mimetite #Mary Shelly #joseph mauceri #joseph b mauceri

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LA REMI CAVAGNA

A Saint-Just-en-Chevalet, le 25 septembre 2022

  Nouvelle épreuve au calendrier avec cette cyclosportive créé par le département de la Loire et le CR4C Roanne qui va nous proposer 3 parcours pour découvrir des paysages variés entre gorges de la Loire, cols emblématiques et villages de caractère ! Rémi Cavagna le coureur pro de chez Quick Step et originaire de la région, s'est engagé dans ce projet. 3 circuits donc avec une randonnée de 35km dite l’Urfé et 2 chronos : les 107km, 1530m D+ de « la Saint-Just » et l’épreuve reine de 150 km et 2100m D+ baptisée « La Rémi Cavagna au cœur de la Loire ».

   C’est rare d’avoir une cyclo si près de la maison, j’avais donc coché cette date mais les prévisions météo très incertaines m’ont fait douter ; finalement éclaircies ou rares averses m’ont décidé le vendredi soir avant de voir la pluie le dimanche matin ! Une dizaine d’années après la Roannaise, je retourne donc dans le nord du département où je ne pose jamais mes roues (bien que pas trop loin en voiture, ça fait un peu long à vélo !). Sur place le peloton est restreint pour le grand parcours vu ces mauvaises conditions et je retrouve tout de même quelques connaissances comme Thimothée Delavaud, Nicolas Peyron, Aurélien Gay ou Yohan Cotte avec qui je patiente dans l’attente du départ. Des coureurs du CR4C Roanne sont aussi présents et seront à surveiller et à suivre !

    9h30 c’est parti sous une pluie fine et c’est surtout les routes détrempées qui vont le plus nous arroser. Emmenant tranquillement le petit peloton sur les 1ers kms je me range dans les roues lorsque le rythme augmente : une petite descente et une légère remontée plus loin vers St-Marcel-d’Urfé suffisent à faire la différence et nous nous retrouvons une douzaine en tête (dont 4 coureurs du CR4C). Pas grand-chose à signaler sur les 60 premiers km où on se relaie bien ; quelques accélérations mais rien de bien tranchant il faut juste être vigilent sur les parties rapides : les locaux n’hésitent pas et les virages sur routes mouillées m’obligent parfois à quelques relances vigoureuses pour rester au contact. Après Pommiers-en-Forez, le château de la Roche et les gorges de la Loire, les choses sérieuses vont débuter !

      Et ça commence mal : en dernière position car mal placé ne connaissant pas assez le parcours, j’assiste impuissant à une cassure dans la petite descente sur le pont de Presle juste au pied de la montée de Bully ; le groupe casse en deux et voilà 12/13’’ de retard sur 5 gars (dont les 4 CR4C bien sûr) : alerte rouge, je sais qu’il faut réagir immédiatement ! Nicolas imprime le rythme mais je n’attends pas et attaque fort emmenant avec moi 2 coureurs : on parvient à rentrer avant le sommet et nous nous retrouvons 8 en têtes. La suite est vallonée sans être très difficile jusqu’à St-Jean-St-Maurice-sur-Loire ou le rythme retombe ; je relance l’allure avant la montée de la Croix du Lac. Nouvelle offensive dans cette difficulté ; ça ne débranche pas pendant 5’ et nous voilà plus que 5 : Axel Chatelus de Charvieux est impressionnant, Vincent Trescartes et Lilian Chemier (les rescapés du CR4C) et Aurélien. Tout de suite l’entente est bonne et nous roulons fort sur le faux plat menant au final du col de la Croix Trévingt. Malgré tout Mikk Bauer (CR4C) fait seul la jonction mais juste au moment où la pente reprend ; nouvelle attaque qui le condamne alors que je m’accroche limite et dans la foulée ça attaque de nouveau ; à bloc je dois gérer pendant qu’Axel, Vincent et Aurélien s’isolent. J’ai Lilian dans ma roue qui ne m’aidera pas (course d’équipe) mais je ne lâche pas l’affaire et fait mieux que jeu égal avec le trio. La fin du col est irrespirable avec Lilian qui craque et je me rapproche à 6’’ au sommet avec l’espoir d’un léger relâchement sur le faux plat mais le nombre joue contre moi et à 3 contre 1 le match est déséquilibré. Toujours ces 5-6’’ de retard pour aborder la descente sur les barrages de Renaison.

J’ai peu d’espoir de boucher le trou sur cette descente que je ne connais pas du tout et vois très vite Aurélien en difficulté pour suivre les 2 autres ; confirmation quelques instant plus tard où je le reprends mais le duo à disparu de notre vue. J’assure la suite de la descente étant mieux à l’aise que mon camarade et nous nous entendons parfaitement pour rouler au mieux d’autant que Lilian et Mikk vont certainement rouler ensemble pas loin derrière nous !

    Plus vraiment de répit maintenant ; km 103 virage à gauche et c’est parti pour 25km de profil globalement montant : nous avons d’abord 11km @ 3% pour rejoindre la Croix du Sud. Gros plateau on maintient un bon tempo tandis que la moto nous indique qu’Axel s’est envolé seul à plus de 50km de l’arrivée et que Vincent ne serait qu’à moins d’une minute. On se dit qu’à 2 contre 1, on a des chances de revenir mais plus loin nouvelle info ; on perd du terrain sur Vincent et ça revient derrière nous à 40’’ ! A la Croix du Sud les écarts sont stables et il faut encore grimper en direction du col de la Rivière Noire. Ce coup ci c’est 5km à environ 5% et on commence à piocher ; les watts baissent un peu et Vincent creuse avec près de 2’ au col tandis que nous reprenons un peu de marge sur nos poursuivants (presque 1’30). Là encore pas trop le temps de souffler puisqu’on arrive sur des routes « toboggans » ; ça monte, ça descend… on en a plein les pattes ! J’essaie de détendre les jambes sur les parties descendantes, passant en force les montées ; Aurélien ne semble pas mieux alors qu’on aborde le final de la Loge des Gardes : un bon km @ 6.2% qui va, à ma surprise, me permettre de faire la différence. Après un passage au seuil, je vois Aurélien accuser quelques mètres de retard ; c’est maintenant ou jamais si je veux aller chercher le podium ! Je donne tout ce que je peux jusqu’au col ou juste 15’’ nous séparent et c’est un long faux plat rectiligne qui se présente… il faut encore appuyer et je me retourne pour constater que l’écart semble légèrement aller en ma faveur et je n’ai qu’une hâte de vite arriver dans la descente pour ne plus être en point de mire ! Au Gué de la Chaux épingle à droite et enfin la descente ; 25’’ ça peut le faire d’autant qu’il y enfin des virages et qu’on ne se voit plus. Les crampes ne sont pas loin d’autant que je suis en vélocité ayant mes 2-3 dernières vitesses qui ne passent plus ; heureusement ce n’est pas très pentue et pas sur que j’aurai garder le 52*11. A St-Priest-la-Prugne, 2 petits « talus » se présentent ; je ne vois rien derrière et ça passe encore relativement bien en force. Il reste 10km de descente douce où je reste efficace me rapprochant même à 1’ de Vincent (sans le savoir) avant d’affronter la petite remontée dans le village que je n’avais pas reconnu ! Pas mécontent d’arriver seul car il n’y a plus une goutte d’essence dans le moteur et j’en termine sur cette belle 3eme place à 1’22 de Vincent et à 8’16 d’Axel très fort qui aura fait un sacré numéro ! Aurélien termine 4eme (2’ derrière moi) et devant Mikk 5eme revenu tout près de lui à 46’’ !

      Si la météo n’a pas été au rendez-vous, je constate que ça aurait pu être pire. Les routes étaient certes bien trempées mais il n’a pas tombé des sauts et ça c’est même arrêter pour finir finalement pas trop mouillé ! L’organisation était parfaite pour une première avec une course bien encadrée et pas mal de bénévoles sur les carrefours. Bonne mention au repas d’après course aussi ; servis à l’assiette comme au restaurant ! Côté performance un résultat optimal : 3eme scratch et vainqueur chez les 40-49 ans ; Axel étant injouable je n’aurais probablement pas battu Vincent sur une arrivée comme celle là même si j’ai grillé une grosse cartouche sur la montée de Bully (certainement les 6’’ qui m’on manqué à la Croix Trévingt). Reste plus qu’à commander le soleil pour la prochaine édition et pourquoi pas un parcours un peu plus sélectif dans sa première partie (en cas de gros peloton les groupes auraient mis un certain temps à se faire) !

Classements

Sur le site de l’évènement : https://www.cyclosportive-laremicavagna.com (ou directement ici)

Parcours

https://www.strava.com/activities/7864713944

#la rémi cavagna #cr4c roanne #département de la loire #saint-just-en-chevalet #resultat #cedric richard #roue des grands bois #specialized elite shop #cyclosportive