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#Alliance Française de Bombay
afbombayindia · 1 month
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frenchtree324 · 5 months
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Are there any specialized French language classes for professionals in Mumbai
Certainly! In Mumbai, there are several specialized french language course in mumbai classes tailored specifically for professionals. These classes are designed to meet the unique language needs of individuals working in various industries. Some reputable language institutes and educational centers offer customized French courses that focus on professional communication, business vocabulary, and industry-specific terminology. You can explore options such as Alliance Française de Bombay, which is a renowned institution for French language learning. Additionally, many language schools and private tutors in Mumbai offer flexible schedules and personalized training to accommodate the busy professional lifestyle. It's recommended to check with local language institutes, educational centers, and online platforms that provide French language courses. They often have programs catering to professionals seeking to enhance their language skills for work-related purposes. Feel free to contact these institutes directly or visit their websites for detailed information on course offerings, schedules, and registration procedures.
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perfectwomanmagazine · 11 months
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KASHISH 2023 announces Rs.6.50 lacs in cash awards
46 Films in Competition at KASHISH 2023 in 10 categories and 5 LGBTQ+ filmmakers to pitch for KASHISH QDrishti Film Grant The 14th KASHISH Mumbai International Queer Film Festival will disburse Rs.6,50,000 in cash awards at its latest edition of the festival that is scheduled from June 7th – 11th at Liberty Cinema and Alliance Française de Bombay. The awards will be given in 10 categories to…
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ccainindia · 7 years
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Premiers contacts avec la réalité indienne
…avec la dure réalité. Peut être la 1ere démocratie du monde et le 10 ème PIB, mais il faut avouer que quand tu commences à voir des enfants nus déambulant en grand danger le long d'une 4 voies, la notion de PIB devient un concept plus qu'une donnée économique réaliste. Et dire que c'est un lieu des extrêmes est un gentil euphémisme. En moins d'une heure, je voyais sur Times of India la pub de l'Apple 7en pleine 1ere page et Laurent qui m'accompagne acheter une boîte de lait pour un enfant , juste par ce qu'il n'avait pas le droit de rentrer dans le magasin, même avec l'argent que nous lui avions donné.
Évidemment, tous ceux qui connaissent l'Inde vont sourire car c'est le quotidien ici. Mais il est difficile de ne pas s'interroger , ne serait- ce qu'un instant , sur l'utilité de la démocratie car même les besoins les plus vitaux ne sont pas satisfaits !
La veille dans la nuit, West End Hôtel aurait pu sortir d'un roman des années 50 racontant le charme désuet de l'Inde post coloniale. Perdu au coeur de Bombay près de l'hôpital Red Rose... "...La rue est calme à cette heure tardive d'arrivée. Il est 2 heures du matin. Seule la tombe d'un saint soufi accueille son petit groupe de musulmans dévots encore éveillés.
Nous plongeons d'un coup dans l'Inde de la pauvreté. Les gens dorment sur les trottoirs à même le sol. Les plus prévoyants se sont protégés d'un morceau de bâche bleue tendue entre 2 arbres. Enveloppés d'une simple couverture, entre deux monticules de détritus, parfois sur un tapis ou une natte… Nous sommes les seuls à déambuler dans une rue pavée déserte. Nos pas dérangent quelques chiens errants et les roussettes s'échappent entre les branches des grands bagnans envahis par les racines de figuier.
Les habitations sommeillent . Nous nous sentons moins perdus en voyant Women School ou Alliance française. Pancartes rongées par les temps et les moussons. Laurent me fait gentiment remarquer les rats qui fuient ça et là. L'air est tiède et quelques effluves connues remontent de nos souvenirs de voyages tropicaux. La lune est là, comme si nous étions chez nous.
A l'hôtel,  les serveurs en blanc font partie de ce premier décor, attentifs à porter une valise ou ouvrir une porte avant même que nous avions envie de le faire. Les mots de bienvenue sont nombreux, parfois dans un anglais approximatif.
Comme c'était prévisible, le choc avec l'Inde est fort.
Pour le premier matin à Mumbaï alias Bombay … C'était déjà pas mal. Heureusement que Christophe Jaffrelot et moi avions prévu une réunion avec les correspondants de Sciences Po dans un joli café pour parler du parrainage des étudiants indiens désargentés. Je me sentais mieux… Cela n'allait pas vraiment durer…
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juger
Les nababs blancs.
Est-ce d’avoir trop lu les livres qui décrivent les premiers Européens s'installant aux Indes dans le respect et la fascination des indigènes et de leur culture avant que les pasteurs n’y mettent bon ordre et que le racisme biologique ne contamine la domination blanche ? Mais j’en conçois quelque nostalgie face au spectacle de la vulgarité coloniale quand aux aventuriers succédèrent les fonctionnaires.
Les nababs blancssont ces officiers, commerçants ou aventuriers français comme anglais qui prenaient femmes et trésors du pays. Tous ces aventuriers, en héritiers des Lumières, étaient assoiffés de découvertes et d’études, l’hindouisme, le sanskrit dont ils collectionnaient les manuscrits. Dans le grand cimetière de Calcutta, une tombe, une seule, imite l’architecture d’un temple hindou, celle du général Stuart, mort en 1828 ; son épitaphe rappelle le surnom dont on l’avait affublé « Hindu Stuart », pour rendre hommage à sa sympathie pour les Indiens. Les sciences naturelles entraînaient des savants de cabinet de tous les muséums européens dans des aventures souvent mortelles, comme celles de ce pauvre Victor Jacquemont, naturaliste, ami de Geoffroy Saint-Hilaire et de Georges Cuvier, de Stendhal et Mérimée, mort ici, à Bombay, en 1832, d’une maladie qui lui a dévoré le foie alors qu'il avait survécu à quatre ans d’expéditions sur les routes des régions les moins pénétrables, méprisant envers les Anglais qui voyageaient dans un confort aux antipodes des conditions de vie locale. J’ai suivi son récit pas à pas jusqu’à la chambre où il s’est décomposé sans aucune plainte, payant le juste prix de sa volonté d’échapper à son cabinet et à son cercle.
Au XVIIIèmesiècle, le Lucknow des Nizams comme le Mysore de Tippu Sultan furent des pépinières d’aventuriers français liés aux uns et aux autres dans le grand dépeçage des Indes auquel ils se livraient avec les Anglais avant et après le terrible Traité de Paris de 1763 qui consacra la fin des possessions françaises dans les Indes au profit de la Couronne britannique. D’aucuns continuèrent de traîner leur sabre et de remplir leur bourse dans de folles épopées. D’aucuns vécurent sans gloire, en gagne-petit comme ce Quimberton dont nous parle le comte de Modave : “Un petit rajah de la province de Delhi en prit un [Français] auquel il fit 300 roupies de paie par mois pour lui apprendre le français que le pauvre garçon ne savait pas lui-même. Il était né en Languedoc au Pont St Esprit, d’un père irlandais et d’une mère languedocienne. Mais enfin, il m’écrivit une fois ou deux qu’il se trouvait très bien auprès de son raja”. Le comte de Modave, lui-même, finit ruiné, défait et mort de fièvres dans les marais de Masulipatam, quand tant d’autres tirèrent de l’Inde fortunes et carrières.
Les grands ébranlements européens provoqués par la Révolution trouvèrent à nouveau un exutoire dans les aventures indiennes quand Bonaparte, depuis l’Égypte, rêvait d’une alliance de revers avec Tippu Sultan contre les Anglais. Anquetil-Duperron, qui se présente comme ”Voyageur aux Grandes Indes de la ci-devant Académie des Inscriptions et Belles-Lettres“, parle pour la première fois de ces “Nababs blancs” en 1798 dans son livre L’Inde en rapport avec l’Europe“ : il y présente “un tableau détaillé, exact, effrayant du Machiavélisme Anglaisdans cette dernière Contrée ; et offre au Gouvernement Françaisune ressource assurée dans le Rétablissement, mûrement réfléchi, et si redouté de nos rivaux…“.
À Lucknow, le palais Constantiaest le plus étrange reste des entreprises des nababs blancs : construit à la fin du XVIIIèmesiècle par Claude Martin de Lyon, engagé dans les forces del'East Indian Company après la prise de Pondichéry en 1761. Il participa aux campagnes anglaises contre le Bouthan, finit au grade de major général et se retira au service du Nabab d’Aoudh. Ayant accumulé la plus colossale fortune européenne aux Indes et se passionnant pour les manuscrits hindous, il décide d'y terminer ses jours, fait construire ce palais et y fonde un collège pour garçons en même temps qu'à Lyon et à Calcutta, écoles des plus huppées qui toujours fonctionnent. Perdue dans un paysage marécageux aux lisières de la ville, cette colossale bâtisse a l'aspect suintant et délabré des vieilles constructions indiennes, mais ses balustres hautes sont toujours couronnées de monstres et de déités en pierres blanchâtres assemblées en un étrange concile exilé, comme si l'on avait transporté les monstres sculptés de la fontaine de la Piazza Pretoriade Palerme sous ces tropiques dans un rêve palladien.
Claude Martin fut très lié à Benoît Leborgne, devenu général comte de Boigne, qui donna tant de fil à retordre au Anglais avec son armée de cent mille marathes organisés à l’européenne. Il était du cercle de la Begum Sombre, femme de Walter Rheinardt de Strasbourg, souveraine de Sardhana (Uttar Pradesh) convertie au catholicisme et aux amours européennes entre deux campagnes militaires contre les Marathes. Boigne, lui aussi, épousa une princesse indienne, avant que de donner son nom à la jeune Adèle d’Osmond qui le lui rendit au centuple en l’ornant d’une belle réputation littéraire par ses Mémoires, réputation qui a poussé ses branches jusqu’à Madame de Villeparisis dont elle serait un des modèles. Puis il s’en retourna au pays, Chambéry, jouir de la colossale fortune accumulée aux Indes. C’est ce qui vaut à cette petite ville de Savoie d’avoir une fontaine aux éléphants en l’honneur de son bienfaiteur et à Paul Morand d’avoir écrit la vie de Montociel, rajah aux Grandes Indes, en fabulant ses aventures. La comtesse de Boigne en dresse un portrait peu flatté : “La rapidité avec laquelle il avait passé de la situation la plus subalterne à celle de commandant, de la détresse à une immense fortune, ne lui avait jamais fait éprouver le frottement de la société, dont tous les rouages l’étonnaient. La maladie dont il sortait l’avait forcé à un usage immodéré de l’opium qui avait paralysé en lui les facultés morales et physiques“. Et tout le reste est de la même eau.
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lavergneinindia · 7 years
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1ère nuit
Le West End Hôtel pourrait sortir d'un roman des années 50 racontant le charme désuet de l'Inde post coloniale. Perdu au coeur de Bombay près de l'hôpital Red Rose. La rue est calme à cette heure tardive d'arrivée. Il est 2 heures du matin. Seule la tombe d'un saint soufi accueille son petit groupe de musulmans dévots encore éveillés. Nous plongeons d'un coup dans l'Inde de la pauvreté. Les gens dorment sur les trottoirs à même le sol. Les plus prévoyants se sont protégés d'un morceau de e bâche bleue tendue entre 2 arbres. Enveloppés d'une simple couverture, entre deux monticules de détritus, parfois sur un tapis ou une natte... Nous sommes les seuls à déambuler dans une rue pavée déserte. Nos pas dérangent quelques chiens errants et les roussettes s'échappent entre les branches des grands bagnans envahit par les racines de figuier. Les habitations sommeillent mais nous nous sentons moins perdus en voyant Women School ou Alliance française. Pancartes rongées par les temps et les moussons. Laurent me fait gentiment remarquer les rats qui fuient ça et là. L'air est tiède et quelques effluves connues remontent de nos souvenirs de voyages tropicaux. La lune est là, comme si nous étions chez nous. A l'hôtel. les serveurs en blanc font partie de ce premier décor, attentifs à porter une valise ou ouvrir une porte avant même que nous avions envie de le faire. Les mots de bienvenue sont nombreux, parfois dans un anglais approximatif. Mais comment c'était prévisible, le choc avec l'Inde est fort.
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afbombayindia · 4 months
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afbombayindia · 1 month
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afbombayindia · 1 month
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afbombayindia · 1 month
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afbombayindia · 2 months
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afbombayindia · 2 months
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afbombayindia · 2 months
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afbombayindia · 4 months
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afbombayindia · 4 months
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afbombayindia · 4 months
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Why Alliance Française de Bombay is the Hub for French Language Enthusiasts
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In the vibrant city of Mumbai, where cultural diversity thrives, there exists a unique haven for those seeking an immersive experience in the French language and culture – Alliance Française de Bombay (AF Bombay). As part of the extensive international network comprising 832 Alliance Françaises, AF Bombay proudly holds the position as the 8th largest in the world, playing a pivotal role in fostering a love for the French language among its over 5,000 students annually.
Certified French Courses at AF Bombay: A Gateway to Excellence
Highly Qualified Instructors and Cutting-Edge Teaching Methodology
One of the distinctive features that set AF Bombay apart is its commitment to excellence through highly qualified teachers and the incorporation of the latest teaching methodologies. The instructors at AF Bombay are not only passionate about the French language but are also experts in their field, holding the coveted FFL qualification, which stands for "teaching French as a Foreign Language." This ensures that students are guided by educators who not only have a deep understanding of the language but are also equipped with effective pedagogical techniques to make the learning journey engaging and fruitful.
Prestigious Cultural Projects for Holistic Learning
AF Bombay goes beyond traditional language instruction by integrating cultural projects that enrich the learning experience. By bringing in prestigious cultural initiatives, the institution offers a holistic approach to learning French. Students not only grasp the intricacies of the language but also delve into the rich tapestry of French culture, history, and art. This immersive approach not only enhances language proficiency but also fosters a genuine appreciation for the broader aspects of the French-speaking world.
Authorized Institute for Certified French Proficiency Diplomas
For those aspiring to validate their proficiency in the French language, AF Bombay holds a unique position as the sole authorized French language institute in Mumbai to confer certified French proficiency diplomas. This recognition adds immense value to the courses offered, providing students with a tangible and internationally recognized testament to their language skills. Whether pursuing language proficiency for academic, professional, or personal reasons, AF Bombay ensures that the journey is not only enriching but also accredited.
Continuous Professional Development for Instructors
At AF Bombay, the commitment to excellence extends beyond the classroom. All instructors are not only FFL qualified but also certified examiners. To stay abreast of the latest developments in language education, these educators actively participate in national and international training programs several times a year. This dedication to continuous professional development ensures that students benefit from the most effective and up-to-date teaching methodologies, making their language learning journey both relevant and rewarding.
Your Path to Proficiency Starts Here
In conclusion, Alliance Française de Bombay stands as a beacon for French language enthusiasts, offering a unique blend of expertise, cultural immersion, and international certification. With a focus on certified French courses, AF Bombay provides a platform where language learners can embark on a journey that goes beyond words and phrases, delving into the heart of French culture. For those seeking excellence and recognition in their pursuit of the French language, AF Bombay is undeniably the go-to destination.
Embark on your language learning adventure today – explore the certified French courses at AF Bombay and open doors to a world of linguistic and cultural possibilities.
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