Tumgik
stael13 · 7 years
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🌏 La terre, notre demeure, notre source de vie, protĂ©geons la, embellissons la. #HappyEarthDay. 🌏✹ #Haiti #Terre #Vie
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stael13 · 7 years
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stael13 · 7 years
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TROP TÔT, C'EST TROP TARD
Tout Ă  commencĂ© par un je t'aime. Ensuite c'Ă©tait le mariage. J'ai cru rencontrer un ange sur terre, le prince de mes histoires, l'homme de ma vie comme on dit. Le pĂšre de mes deux enfants... Je m'en souviens comme si c'Ă©tait hier : Le premier sourire Le premier baiser La premiĂšre tendresse La premiĂšre insulte
 Oui Je me souviens du premier coup. J’ai eu si mal. Mais je ne pouvais pas crier ; fallait pas inquiĂ©ter mes bĂ©bĂ©s qui dormaient dans la chambre d'Ă  cĂŽtĂ©. L'eau qui coulait dans mes yeux, le sang dans mes plaies. Je m’en souvenais. Qu'Ă©tait devenu mon mari? OĂč Ă©tait l’homme charmant qui m’avait sĂ©duite ? Qu'avais-je fait pour lui dĂ©plaire? Car c'Ă©tait sĂ»rement de ma faute. Bien, je dois lui demander pardon. J'avais certainement mal agi, et il m'a punie parce que je le mĂ©ritais. Je ne recommencerai plus. Et lui non plus me promit-il. Il s'est excusĂ©, m’a emmenĂ©e danser, et m’a apportĂ© des fleurs. Elles Ă©taient si jolies ! Je savais bien qu’il Ă©tait trop tĂŽt pour mal le juger ! Trop tĂŽt. Au bureau j’ai prĂ©tendu ĂȘtre tombĂ©e en prenant ma douche, l'excuse parfaite pour les bleus. Mon mari m'aimait, je le savais ; il le disait si souvent, ce n'Ă©tait qu'une erreur. Il n’allait plus recommencer 
 
 jusqu'Ă  la prochaine dispute. Et lĂ  il Ă©tait devenu plus violent ! Coups de poings, coups de pieds, insultes, gifles. La totale. Cette fois pourtant j'Ă©tais sĂ»re de n'avoir rien fait. C’était peut-ĂȘtre le stress au bureau, ce truc peut rendre colĂ©reux, non? Et puis c'est devenu une habitude. Une routine. Un rituel. Un peu trop de sel dans la nourriture ? Une gifle par-ci. Je parle trop, estimait-il ? Un coup de poing par-lĂ . J'essaie d'avoir des amis ? Je reçois le soin complet. Tous les jours je compte les heures, je prie, pour qu'il redevienne comme avant mais peine perdue. Jusqu'Ă  hier soir. Il est rentrĂ© en rogne, et sans un mot a commençé Ă  me frapper. J’entendais mes os se briser sous les coups, alors j'ai finalement criĂ© sous la douleur. De toute Ă©vidence j’aurais pas dĂ» ! Pour Ă©touffer mes cris il m'a Ă©tranglĂ©e de ses deux mains. Je suffoquais, mes yeux suppliaient. Rien n’y faisait... Il m'a prit la vie par amour, non? Devant le prĂȘtre c'est ce qu'il m'avait promis : m'aimer jusqu'Ă  ce que la mort nous sĂ©pare... J’en comprenais le sens maintenant. Trop tard. StaĂ«l Nirvania ANTOINE Juriste en devenir Avril 2017
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stael13 · 7 years
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Si, du haut du ciel, Dieu ne regardait que les hommes politiques, il oublierait lui-mĂȘme le don qu'il a fait aux hommes d'un cƓur.
Edouard Alletz (1840)
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stael13 · 7 years
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“ Celui qui a confiance en lui, mùnera les autres ” -Horace Walpole
(via athena509)
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stael13 · 7 years
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APRÈS LA PLUIE, C'EST LE...
Fort souvent on entend dire qu’aprĂšs la pluie, c’est le beau temps. Dicton trĂšs peu universel car il ne s’applique certainement pas Ă  la Grand’Anse. En effet Six mois aprĂšs l'ouragan Matthew, qui a tout emportĂ© sur son passage , mĂȘme l'espoir, la population est livrĂ©e Ă  elle-mĂȘme. RĂ©fugiĂ©s dans des grottes, affamĂ©s au point de se nourrir de « raje », les habitants de cette rĂ©gion ont fait un saut dans le temps. L’ñge des cavernes est dĂ©sormais d’actualitĂ©. Triste. La situation humanitaire actuelle de la Grand’Anse est prĂ©caire et risque d’empirer, a averti le Bureau de la coordination des affaires humanitaires des Nations unies. Pourtant au milieu de ce dĂ©sespoir, 240 millions de gourdes ont officiellement Ă©tĂ© dĂ©pensĂ©es dans des festivitĂ©s censĂ©es apporter un mieux-ĂȘtre dans les rĂ©gions dĂ©vastĂ©es. Cela ressemble Ă©trangement Ă  un maxime que Machiavel lui-mĂȘme aurait pu Ă©noncer: S’ils ont faim, fais-les danser. S’ils se plaignent, fais-les danser. S’ils meurent
 Dans cet Ă©tat de dĂ©tresse gĂ©nĂ©ralisĂ©e, rien d’étonnant que l’on s’accroche aux « zen » et rumeurs de toutes sortes, comme dans une tentative ultime de se soustraire Ă  l’énervante rĂ©alitĂ© du pays. Des lacunes abyssales de certains hauts fonctionnaires de l’état en langue française, en passant par les penchants pervers de certains autres, il y a de la matiĂšre. Le prĂ©sident de la RĂ©publique qui nous dĂ©voile les FEUblesses de l'État (tu m’étonnes), et des parlementaires dĂ©sespĂ©rĂ©ment piĂštres complĂštent le tableau. Buzz. Buzz. Buzz. Pendant ce temps lĂ  des compatriotes se battent pour vivre. "Il m'est toujours difficile d’imaginer ma ville dans cet Ă©tat,JĂ©rĂ©mie savait nourrir la capitale, maintenant elle n’est pas en mesure de prendre soin d’elle-mĂȘme", dĂ©nonce Judith, habitante de JĂ©rĂ©mie, en se rĂ©fĂ©rant aux prix des produits de premiĂšre nĂ©cessitĂ© qui ne cessent de grimper depuis la catastrophe. Jusqu'Ă  quand la Grand'Anse sortira t-elle de sa grotte? Quand sonnera-t-on la sonnette d'alarme? Ne sera t'il pas trop tard? Personne ne le sait. Personne ne cherche Ă  le savoir. StaĂ«l Nirvania ANTOINE [email protected] Juriste en devenir Avril 2017.
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