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naomi-gascon-blog · 5 years
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SĂ©ance 12 : Bilan du cours
Le contenu du cours Médias numériques et société est des plus pertinent dans le contexte actuel dans lequel le monde des communications est plongé. En effet, les technologies sont devenues un aspect non négligeable de ce domaine d’étude qui évolue au même rythme que le monde qui l’entoure. 
Ainsi, parmi le contenu diversifié qui m’a été présenté dans le cadre de ce cours cette session-ci, celui qui m’a le plus marqué est celui de la séance 7 qui touchait la vie privée au temps de Facebook. Ce qui m’a le plus surpris est le fait qu’il existe un paradoxe de la privacité qui expose clairement les contradictions des usagers des réseaux sociaux quant à leur vie privée sur le web. Ce paradoxe énonce que “les individus semblent exposer leur vie privée en toute insouciance dans les médias sociaux [mais] sont scandalisés lorsque les détails de leur vie privée sont exposés à la suite d’un changement des paramètres par défaut” Ce qui m’a le plus marqué de ceci est le fait que je m’identifie clairement à cette mentalité et cela m’a permis de repenser ma façon d’utiliser mes comptes sur les réseaux sociaux. 
De plus, le fait que nos pratiques sur le web sont de plus en plus surveillées m’a fait peur, dans l’optique où la biométrie est utilisée de nos jours pour nous identifier sur les interfaces que nous utilisons. 
En gros, le cours Médias numériques et société m’a invité à revisiter mes pratiques web. J’ai modifié mes préférences de confidentialité sur Instagram et Facebook et j’ai enlevé l’accès à ma localisation sur Snapchat, puisqu’il était possible pour plus de 100 personnes que je connais de près ou de loin de savoir mon emplacement au quotidien. Ce cours m’a également motivé à faire de la sensibilisation auprès de mes proches et des personnes avec qui le sujet surgis lors de discussions. En effet, j’utilise les informations que j’ai apprises lors de la session dans le but de les convaincre de faire plus attention quand ils utilisent les médias numériques.
Source: Notes de cours Séance 7 
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naomi-gascon-blog · 5 years
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Séance 10: (S')Informer à l'ère de Google et des médias sociaux
Parmi la multitude de sources mises à notre disposition sur les plateformes numériques, il est possible de se retrouver perdu face à l’abondance d’information qui nous est présentée. En effet, les blogues, les sites Internet d’entreprises, les sites généralistes, les médias sociaux comme Facebook et Twitter, les encyclopédies en ligne et encore plus représentent une source importante d’information qu’il nous est possible de consulter lorsque nous sommes à la recherche de réponses. 
Face à cette surcharge d’information, il peut devenir difficile de sélectionner de façon efficace le vrai du faux, et d’identifier les fausses informations. De plus, les individus ont tendance à se soumettre au biais de confirmation et à croire davantage les nouvelles qui répondent à leurs croyances et leurs valeurs (Notes de cours 10, Introduction à la communication, 2018). Cela fait en sorte que la façon dont l’information est assimilée et apprise via des plateformes numériques est souvent biaisée, et les réponses aux questionnements des individus se voient donc faussées. 
Un exemple évident de cette tendance est cet article de Radio-Canada qui dénonce un grand nombre de fausses nouvelles ayant surgi durant la campagne électorale fédérale 2019. Un grand nombre de faux journaux, de blogues et d’utilisateurs des médias sociaux ont publié durant la longue campagne de l’information biaisée au sujet des politiciens. Face à toutes ces informations faussées, il est évident qu’un grand nombre d’électeurs ont pu se retrouver influencés par ces contenus. Notamment, pour un lecteur moins à l’affût, cette information aurait pu avoir de grandes répercussions. Le risque ici aurait été la modification de l’intention de vote, un problème majeur pour la démocratie canadienne. 
Les plateformes qui diffusent cette fausse information se retrouvent sur Google et sur les médias sociaux et ne sont souvent pas modérées. Ceci rend donc le traitement des informations très difficile, même pour les individus qui suivent l’actualité sur des médias traditionnels comme les journaux. Par exemple, de faux journaux comme le Journal de Mourréal publient souvent des articles qui semblent authentiques et qui respectent le style d’édition du fameux Journal de Montréal et un lecteur qui défile vite dans son fil d’actualités pourrait se faire avoir. 
Sources:
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1356842/mensonges-campagne-electorale-federale-canada
Daignault, P. (2018). COM1000 : Notes de cours 10 [Présentation Power Point]. Récupéré dans MonPortail Université Laval : https://sitescours.monportail.ulaval.ca/ena/site/module?idSite=97639&idModule=743180&editionModule=false&idPage=2025657
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naomi-gascon-blog · 5 years
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SÉANCE #08 | L'éthique des réseaux
Dans l’univers du virtuel, il est de plus en plus facile d’avoir accès à du matériel de façon gratuite. Malgré les nouvelles plateformes de streaming payantes comme Netflix, Youtube, Dailymotion et Amazon Prime qui permettent à l’utilisateur de visionner du contenu de façon sécuritaire, il arrive que les films et séries populaires que nous voulons regarder ne se retrouvent pas sur ces plateformes. La solution quand cela arrive est de faire des recherches sur des sites de streaming illégaux afin de pouvoir visionner le nouveau film de l’heure.
D’après l’OBS, les sanctions sont quasi-inexistantes pour les utilisateurs de sites illégaux, puisque ce ne sont pas eux qui ont téléchargé et diffusé le contenu illégalement. Par contre, puisque l’ordinateur de l’utilisateur va mémoriser temporairement le contenu qu’il stream, il est possible que l’usager reçoive des conséquences pénales suite au visionnement. Heureusement, les gouvernements ne concentrent pas leurs interventions directement sur les usagers des sites de streaming, mais bien à leurs créateurs et éditeurs, puisque ce sont ces derniers qui rendent accessible ce contenu.
Par contre, les utilisateurs risquent de devenir des victimes des pirates électroniques qui se servent du grand trafic de ces sites pour trouver des victimes potentielles:  “Une étude Hadopi parue en juin 2017 sonnait le signal d’alarme, soulignant que les internautes se rendant sur des sites de streaming illégaux peuvent être victimes de ransomware et autres malwares. 91% des sondés disent avoir subi des « nuisances » au cours de 2016. 94% des consommateurs occasionnels – moins au fait de ces pratiques – disaient avoir été victimes de tentatives d’hameçonnage.” Ainsi, malgré les avantages potentiels des sites de streaming, ceux-ci mettent les usagers à risque des virus, de la fraude et même du vol d’identité. 
Malgré tout, les sites de streaming continuent d’être populaire chez le grand public qui se réjouit de pouvoir visionner des films et séries de façon gratuite, sans avoir à payer un abonnement ou un billet de cinéma. Tant que les diffuseurs de contenus illégaux ne seront pas sanctionnés et arrêtés, cette tendance sera probablement tout aussi populaire.
315 mots
Sources: 
https://www.nouvelobs.com/rue89/rue89-economie/20100208.RUE2331/que-risque-t-on-en-allant-sur-un-site-de-streaming-illegal.html
https://www.contrepoints.org/2017/09/03/297908-streaming-illegal-a-de-beaux-jours-devant-lui
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naomi-gascon-blog · 5 years
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Séance 07: La vie privée au temps de Facebook
Suis-je vraiment en sécurité sur Facebook? Qui, au juste, peut voir mes publications, ma localisation, mes intérêts et mes photos? C’est à la suite de la gigantesque couverture médiatique au sujet du dossier Cambridge Analytica que je me suis questionné par rapport à mon utilisation de Facebook et à l’exposition des informations personnelles qui se retrouvent sur mon profil. J’ai donc visionné le film “The Great Hack” qui se dédie à l’approfondissement de cette problématique mondiale qu’est la sécurité sur Internet et plus particulièrement aux récents événements en lien avec Facebook et la firme d’analyse.
 Rappelons-nous de la grave accusation portée à l’égard de ce géant du web qui aurait vendu des informations à propos de ses millions d’utilisateurs à la compagnie Cambridge Analytica dans le but de cibler des consommateurs potentiels. Le documentaire met l’emphase sur la manière dont les compagnies utilisent nos informations, qui peuvent paraître banales à première vue, afin d’empocher de gros montants d’argent suite à la consommation qui découle des stratégies marketing élaborées grâce aux données. À leur insu, des compagnies utilisent d’immenses banques de données dans le but de cibler des acheteurs en fonction de leurs habitudes, leurs valeurs, leurs origines, leurs intérêts, leur âge, etc... 
Ce documentaire fort intéressant m’a remis en question par rapport aux informations que je laissais à la vue de tous sur mon profil Facebook. J’ai donc décidé de faire un grand ménage sur mon compte personnel et j’ai choisis les informations qui seraient désormais visibles pour le grand public. Ainsi, j’ai modifié mes paramètres de confidentialité et de localisation dans l’espoir que cela me protégera dans le futur. 
Dans cette optique, ne serait-il pas important de sensibiliser la population, tous âges confondus, aux dangers des réseaux sociaux et de l’utilisation de nos données? Si l’accès aux informations personnelles est si facile, il se peut que des personnes mal intentionnées visitent nos profils chaque jour dans le but de tirer un portrait de notre identité, de nos déplacements et de nos familles. Des conséquences beaucoup plus graves que la manipulation de nos habitudes de consommation pourraient découler de ce grave problème de confidentialité qu’apportent les médias numériques...
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naomi-gascon-blog · 5 years
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Séance 05: La quête de l’amour à l’ère du numérique
Nous sommes tous constamment à la recherche de nouvelles rencontres. Que ce soit dans un bar, au travail ou à l’école, nous cherchons tous à être remarqué, aimé. L’amour n’est-elle pas une expérience que nous partageons tous? On le remarque à travers la musique, la littérature et l’art en général : le besoin d’aimer et d’être aimé est commun à tous.
De nouvelles communautés de célibataires se retrouvent aujourd’hui sur des plateformes numériques afin de combler leurs besoins. Que ce soit pour trouver l’amour, un ami ou simplement un partenaire sexuel, il est aujourd’hui possible de réaliser des rencontres suite à quelques clics. Quel meilleur exemple que l’apparition d’applications de rencontre comme Tinder et Bumble pour justifier les différences dans les relations affectives virtuelles et réelles? Aujourd’hui, il suffit de « liker » le profil d’une personne afin d’obtenir un rendez-vous.
Cet article présentant une compilation des pires rencontres faites sur Tinder m’a inspiré à écrire sur ce sujet. On y lit : « On dirait qu’il n’y a jamais personne qui me dit avoir trouvé l’amour sur Tinder. C’est toujours des histoires de dates sans queue ni tête qui finissent trop souvent en queue de poisson. J’ai sondé 14 Québécois sur leurs expériences, et franchement, le résultat donne pas mal envie de supprimer ton compte sur-le-champ ».
Ainsi, les relations affectives crées à la suite de match Tinder sont-elles valides? À cette question je dois me positionner comme étant mitigée. N’ayant jamais installé Tinder, il m’est impossible de me baser sur une expérience personnelle. Toutefois, je crois fermement que les relations basées sur l’attirance physique et un profil numérique ne sont pas similaires à des relations créées dans la vraie vie.
D’ailleurs, cette expression résume mon point : « Dans la vraie vie » signifie qu’il existe une fausse vie, une identité qu’on se crée en ligne, bref un idéal de soi. Comment être certain que les personnes que nous rencontrons en ligne sont réelles, et qu’elles ne s’inventent pas une vie sur Internet? Comment faire confiance aux étrangers en ligne après toutes les histoires d’horreur que nous voyons au quotidien dans les journaux et sur Internet?
Bref, je crois que les médias sociaux transforment profondément les relations affectives et le rapport aux autres. L’accessibilité accrue à autrui rend, selon moi, les relations superficielles et peu recherchée et me fait perdre espoir quant à mon futur amoureux.
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naomi-gascon-blog · 5 years
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Séance #04 : S’éloigner des autres en étant connecté
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Rester connecté est chose facile de nos jours, notamment grâce aux nombreuses plateformes mises à la disposition de tous pour communiquer en tout temps. Que ce soit en classe, au travail ou en voyage, il est maintenant possible de prendre des nouvelles de nos proches à chaque instant de la journée. Mais ces nouvelles plateformes sont-elles réellement bénéfiques au maintien de relations saines ? Existe-il un équilibre entre les conversations numériques et les vrais échanges réalisés sans l’intervention de la technologie ? Et qu’en est-il de l’anxiété que peut créer l’envie de rester connecté en tout temps afin de ne rien manquer ?
D’après moi, les médias sociaux représentent un certain danger pour les relations interpersonnelles. Il arrive souvent que je me retrouve dans un endroit public et que la majorité des gens ont les yeux braqués sur leur appareil sans fil. Quand vient le moment de demander des directions, mon réflexe est de demander à Siri plutôt qu’à une personne physique. Le contact humain avec les autres est considéré comme étrange et dérangeant de nos jours, alors qu’il y a 20 ans il était tout à fait naturel d’aborder un étranger ! J’ai l’impression de manquer des opportunités de rencontre avec autrui à cause de la rapidité et de la facilité d’obtention d’information que me procure mon téléphone.
Bien que l'Internet nous ouvre une fenêtre sur le monde, il m’apparait évident qu’il nous éloigne de la réalité qui existe devant nos yeux. Que ce soit un coucher de soleil, un film ou un spectacle, j’ai l’impression que nous prenons plus de temps à prendre des photos et des vidéos de ces moments que nous vivons plutôt que de prendre le temps de les vivre et de les apprécier. Il est maintenant possible de visionner un spectacle via les Stories Snapchat et Instagram de nos amis parce qu’ils passent leur soirée à faire des vidéos de l’artiste. Il m’apparait évident que l’expérience n’est pas la même quand on prend plus de temps à regarder notre téléphone qu’à regarder ce qui se passe autour de nous : l’ambiance, les gens, la musique, les lumières, le décor…  
Bref, j’ai l’impression que la technologie a profondément modifié les relations humaines et que le contact entre individus n’est plus ce qu’il était. Que seront les échanges humains dans 10 ans, alors que la technologie sera totalement différente de ce qu’elle est aujourd’hui?
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