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museomixmtl-blog · 8 years
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museomixmtl-blog · 9 years
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JOURNAL TV MUSEOMIX - DIMANCHE 22H.
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museomixmtl-blog · 9 years
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JOURNAL TV MUSEOMIX - DIMANCHE 12H.
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museomixmtl-blog · 9 years
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Le public s’exprime!
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Des curieux de tous âges et de différents horizons se sont pressés dans l’enceinte du MAC cet après-midi. Nombreux sont ceux qui ont découvert l’évènement par pur hasard, en croyant se rendre à une simple exposition. D’autres y avaient déjà participé et ont voulu voir comment s’était déroulé le renouvellement de l’expérience. D’autres encore ont une connaissance qui a participé à l’aventure. Pour pouvoir tester tous les prototypes, une réelle chasse au trésor a débuté, avec pour objectif, celui de trouver les propositions des dix équipes. Des marques au sol permettaient pour certaines équipes d’éclairer notre chemin, quand d’autres se cachaient dans des recoins plus intimistes. De tout cela a résulté des espaces particulièrement achalandés, habités de visages intrigués et illuminés. Une visiteuse enjouée nous l’a justement fait remarquer : “Il y a tellement de monde que l’on a du mal à accéder aux prototypes pour les essayer, ce qui n’empêche pas d’avoir une ambiance décontractée.“ 
  Lors de l’explication de chaque prototype et face à la diversité des idées, des sourires s’esquissent, des yeux pétillent et l’attention semble retenue. Mi-intrigués, mi-gênés, mi-amusés, une même envie anime les visiteurs : tester les œuvres, ce qui est chose rare dans un musée. Certaines sont plus faciles d’accès, d’autres le sont moins, mais le public reste très réceptif. Au-delà de la simple expérimentation et de l’aspect ludique de l’évènement, l’ambiance est propice à l’interaction. Créateurs et visiteurs discutent et certains échangent même leurs prénoms dans un souffle bienveillant. 
Guillaume a testé l’un des prototypes. Il comprend le principe et il souhaite voir ce type de projet dans d’autres musées. Ce n’était pas sa première fois au MAC mais ça l’était à Museomix et en tant qu’amateur d’art, il trouve le principe particulièrement intéressant!
Museomix, c’est une réelle rencontre interculturelle au sein des équipes mais aussi du public. Pour Katia, “nous sommes acteurs au lieu de n’être que spectateurs, c’est une nouvelle manière de voir des oeuvres dans un musée.” Il s’agit d’un mélange et d’une réappropriation culturelle totale. L’ambiance était très familiale, beaucoup de parents sont venus avec leurs enfants. Une mère de famille nous confiait d’ailleurs qu’elle trouvait que c’était “une bonne manière d’introduire l’art aux plus jeunes, car ils peuvent participer, poser des questions aux personnes qui expliquent les prototypes”. Les enfants s'amusent et aller au musée devient un plaisir ludique, une expérience unique dans laquelle le musée sert de lieu d'expérimentation.
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museomixmtl-blog · 9 years
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Un recap de notre dernière journée!
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museomixmtl-blog · 9 years
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On vous promettait du haut calibre.......bin on a réussi
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Crédit Photo: Trung Dung Nguyen
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museomixmtl-blog · 9 years
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Envahissons l’espace!
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museomixmtl-blog · 9 years
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AU FRONT MUSEOMIXEURS!
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Crédit Photo: Trung Dung Nguyen
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museomixmtl-blog · 9 years
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PORTRAIT : LA VOIX DU PANEL PRO// ON VOUS PRÉSENTE : SERINA
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Crédit Photo : Trung Dung Nguyen
“Ce que j’aimerais voir, ce sont des experiences développées à la fois sur le web et dans les musées”.
Serina Tarkhanian est co-directrice de GSMPRJCT, la boîte responsable de l’exposition Star Wars Identities et bien plus. Elle a sauté sur l’occasion de participer aux [conversations Museomix] lorsque plusieurs de ses collègues se sont fait approcher pour agir en tant que mentors. Elle y participe avec une question en tête : que pourrions-nous faire autrement dans les musées? Au coeur de ce bouillonnement d’idées, elle voit des solutions possibles pour aller plus loin dans l’alliage exploité par Museomix entre le monde numérique et le monde muséal. Serina a contribué à la pertinence de la conversation en y amenant des histoires vécues chez GSM, qui s’intégraient parfaitement dans le sujet de la table ronde.
Que ce soit par des projets commandités où des idées originales, Serina et ses collègues espèrent se servir du numérique pour mener leurs idées plus loin.
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museomixmtl-blog · 9 years
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LES MÉMOIRES DE NOTRE SUPER FACILITATRICE —–> DOROTHÉE TOME 2
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Devant le miroir, au réveil, les mines s’allongent chaque matin un peu plus. Encore une nuit où chacun a museomixé, essayé de calmer les crises existentielles et les incohérences cérébrales de ses coéquipiers, de dénouer les noeuds indénouables. En pénétrant dans la BWR, la bonne humeur est toujours au rendez-vous. Toutes les équipes sont déjà à l’oeuvre, le café fume, on rit de nos nuits respectives, en se frottant les yeux dans un gros Fatboy.
Le baromètre de la matinée oscille dangereusement entre de longs moments de paix, de confiance, de serenité presque déstabilisante, et des orages menaçants. Le calme avant la tempête? Étrangement, tout le monde semble détendu et l’on ne doute aucunement que les prototypes seront prêts avant l’heure. Des bénévoles sont sur les startings blocks pour porter assistance aux moussaillons, mais ces derniers tiennent le cap. On envisagerait presque, sous le coup d’une idée de génie, de complexifier, à quelques heures du lancement, son prototype. Les facilitateurs, vigies ou capitaines, ceux qui s’assurent que l’on garde le cap, se retrouvent autour d’un café chaud, le temps de s’échanger les anecdotes matinales. Elles se font plus rares celà dit : tout roule, tout est huilé, on peaufine. Et moi, la super facilitatrice, je m’ octroie un petit croissant, avachie dans un gros Fatboy.
Et puis il y a ces micro-moments de chaos. Ceux où un programme codé pendant des heures décide de prendre congé, ce matin. Ceux où subitement un rouleau de masking tape vaut 1000 piasses. Ceux où l’on quitte une table violemment, excédé, ceux où dangereusement il faut commencer à envisager le petit canot de sauvetage comme plan B pour se rendre à destination. Ceux où le facilitateur doit savoir cavaller après un membre de l’équipe pour le rasseoir à la table, taper sur les doigts des indisciplinés qui cherchent à contourner les règles, former un cordon de sécurité autour d’une codeuse pour que personne ne la déconcentre, masser le dos noué d’un équipier, négocier un câble avec un autre facilitateur, ou encore se faire oublier, dans un gros Fatboy.
Heureusement il y a ces secondes précieuses où un “go” du MAC permet de remettre en marche la machine, ces secondes où une “brute” - alias un ingénieux attendu comme le messie par une équipe - fait son entrée, et dénoue en un mot un noeud sur lequel on travaille depuis 4h. Ces secondes où l’on apprend que le lunch sera distribué dans les ateliers. Ces secondes où en un clic, une codeuse insomniaque résoud le casse tête de sa nuit, et s’autorise un petit somme dans un gros fatboy.
En ce dimanche matin, je présuppose que le ciel est ensoleillé. Depuis 3 jours, probablement 160 personnes doivent n’avoir aucune idée de la couleur du ciel, de la température, ni même de la saison. Museomix, c’est aussi ça. Une vision du temps toute distendue, des minutes qui passent comme des secondes, et pourtant la sensation étrange à la fin de la journée d’être là depuis des siècles. On enchaîne les étapes, les livrables, les plénières, les lunchs, on emmagazine des centaines de marches dans les jambes, on chope des torticollis à force de donner de la tête de tous les côtés, et des conjonctivites à oublier de cligner des yeux de temps en temps. Dans quelques heures, levée de rideau. Avant de tous finir dans des gros fatboy.
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museomixmtl-blog · 9 years
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PORTRAIT : LA VOIX DE NOTRE ÉNERGIE À TOUS// ON VOUS PRÉSENTE : MAXIME
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À Museomix la caféine est une denrée nécessaire pour tenir le rythme effréné du marathon et garder le cap. Heureusement, un connaisseur et amoureux des arômes est là pour nous abreuver.
Des beaux jours à Noël, Maxime se balade de festival en festival sur son vélo-café. Actuellement au cœur de la mixroom, le jeune homme est prêt à refaire un shot de café des dizaines de fois pour s’approcher au plus près de la perfection, et c’est seulement après y être arrivé qu’il s’accorde du temps. À l’origine de ce concept très montréalais, Maxime a eu l’envie d’amener le café dans la rue et de catcher l’attention du public. S’il est là aujourd’hui c’est qu’il a participé à l’édition 2014 et y a rencontré Justine et Lucie. Contacté pour prendre part à l’aventure avec son projet, il n’a pas hésité à accepter. Comme il le dit lui-même : « Je fais pas mal de discrimination positive lorsqu’il s’agit de projets innovants et créatifs. » Après quelques coups de pédale, le café est moulu et prêt à être consommé. Une petite expérience agréable et revigorante avant de repartir pour un tour.
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museomixmtl-blog · 9 years
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Aude Mathey nous parle de la pérennité de Museomix
Article publié sur  Culture Communication par Aude Mathey
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D.R.
L'an passé, le Musée des beaux-arts de Montréal (MBAM) avait accueilli MuseomixMTL. Cette année, c'est au tour du Musée d'art contemporain de Montréal (MAC) de relever le défi. Au niveau mondial, Museomix en 2015, c'est 10 musées et 5 langues différents. Le mouvement a pris dans le milieu muséal, mais qu'en est-il de la pérennité des prototypes ?
En effet, à part le musée Gallo-Romain de Fourvière (à Lyon) qui était en 2012 en demande d'une rénovation de sa politique de médiation et qui a réutilisé 3 prototypes sur les 10 développés lors de Museomix, seul un musée breton s'est montré intéressé par un prototype développé à Grenoble en 2013 car il correspondait parfaitement à une problématique à laquelle le musée faisait face.
En ce qui concerne le milieu québécois - je suis invitée à l'édition montréalaise 2015 en tant que guest blogger, aucun prototype n'a été réutilisé par les musées, que ce soit celui de la civilisation de Québec ou celui des beaux-arts de Montréal. Cependant, il faut aussi reconnaître que chacun des deux musées était soit très avancé dans les dispositifs de médiation (Musée de la civilisation du Québec) soit dans les collaborations avec le public (Musée des beaux-arts de Montréal et Musée en partage).
Cette année cependant, au vu des restrictions assez importantes sur l'intégration des œuvres et les droits d'auteur, il semblerait que, soit le MAC puisse être capable d'intégrer certains prototypes dans sa stratégie de médiation puisque ces problématiques ont été prises en compte par les participants, soit que les prototypes interrogeant les questions des droits d'auteur et droits moraux lors de projets expérimentaux à faible impact public (les prototypes ne sont après tout que diffusés que le dimanche après-midi et peu d'entre eux sont réutilisés ensuite par les musées hôtes) puissent avoir un impact sur la législation du droit d'auteur et plus largement sur la réflexion de l'intégrité des œuvres et de l'intégration de ces droits dans une politique d'action culturelle et de médiation.
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museomixmtl-blog · 9 years
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MUSEOMIX PROJETTE HORS LES MURS
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Crédit photo: Catherine Legault
Grâce à cette alliance avec le Quartier des spectacles, des prototypes co-créatifs de partout dans le monde brilleront à Montréal.
Pas besoin d’attendre d’être entre les quatre murs du Musée d’art contemporain de Montréal pour admirer les progrès de nos créatifs. Dès votre arrivée sur la Place-des-Arts, jetez un coup d’oeil aux vidéo projections architecturales sur les façades du Théâtre Maisonneuve. Nouvelles à Museomix, ces projections, qui font de Montréal une chef de file technologique, contribuent à sortir l’art des musées à l’aide du numérique : un match parfait pour Museomix, qui oeuvre à la démocratisation de l’art.
Foyer de l’innovation numérique montréalaise, le Quartier des spectacles comporte 9 surfaces de projection dédiées à des créations artistiques, chacune adaptée aux caractéristiques architecturales des bâtisses qui les accueillent. Les vidéos sont renouvelées tout au long de l’année, offrant la chance à des artistes de poursuivre continuellement leur processus de création. Vendredi et samedi, ne manquez pas ces projections toutes plus colorées les unes que les autres sur notre Tweetwall.
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Crédit photo: Pierre-Antoine Laine
Vous pourrez y voir les tweets des différents Museomix. En plus de suivre l’évolution des 12 équipes montréalaises, les passants auront la chance d’admirer la portée internationale du projet, puisque les tweets mis en vedette pourraient provenir de nos confrères, que ce soit au Québec, au Mexique ou en Allemagne.  Les prototypes des participants rayonneront au-/delà des musées, mais surtout au-delà des frontières. C’est la façon parfaite d’allier le monde muséal au domaine numérique en constante évolution.
Les montages projetés sont le fruit d’une collaboration avec Okia. Cet artiste autodidacte appuie sa démarche sur 3 thèmes : l’énergie sphérique, le mouvement organique et la géométrie architecturale. À partir de 18h, Okia s’appropriera la façade du Théâtre Maisonneuve, qu’il couvrira à sa guise d’oeuvres inspirées des tweets  les plus marquants du #museomixMTL.
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museomixmtl-blog · 9 years
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JETLAG DIARY: ENTREVUE AVEC NOTRE DÉLÉGATION INTERNATIONALE DU MEXIQUE
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Fiers participants de Museomix édition 2015, ce sont quatre voyageurs à la fois physiques et spirituels qui donnent le coup d’envoi à une nouvelle manière d’aborder le marathon. Grâce au Ministère des Affaires étrangères du Québec et au Groupe de travail Québec-Mexique, Mexico a rejoint les rangs de la communauté Museomix. D’une volonté commune de souligner le partenariat entre MuseomixMTL et MuseomixMX , le Jetlag Diary est né. Ce blogue souligne les défis inhérents à chaque pays sous un angle bien particulier. Il se fait la vitrine interculturelle des utilisations diversifiées des nouvelles technologies et du questionnement qu’elles apportent à l’approche muséale.
Le Jetlag c’est l’évolution à travers le regard de deux binômes ayant échangés de ville pour une semaine. De Montréal et de Mexico, les reporters nous racontent leurs aventures et nous font part de leurs impressions qui ne se limitent pas qu’à la seule approche muséale. Un moyen de voyager par procuration et une jolie manière de s’intéresser à l’art par delà les frontières.

Rencontre avec deux d’entre eux, Claudia et Dabid, de Mexico à Montréal.
Louison: Comment avez-vous connu Museomix ?
Dabid : Grâce à l’invitation que l’on m’a faite et parce que le projet est arrivé au Mexique. C’est aussi grâce à Siete Media et au contact avec Roberto le manager du projet que j’ai eu connaissance de Museomix et de l’initiative Jetlag Diary.
Claudia : J’étais à Mexico et j’allais prendre un café avec l’ami d’une amie de Montréal et il était avec Justine. Elle m’a alors parlé de Museomix, puisqu’elle était à Mexico pour le projet. Ensuite, j’ai posé ma candidature pour le Jetlag Diary et j’ai été retenue. C’était un peu du hasard...
Louison : Observez-vous une différence dans l’approche muséale entre le Québec et le Mexique ?
Dabid : Mexico est la ville où il y a le plus de musées au monde. Je trouve qu’il y a beaucoup de similitudes. À Montréal, il y a un réseau entre tous les musées dont les Montréalais peuvent profiter, mais que ce soit ici ou à Mexico, on observe un développement des villes à travers les musées.
Claudia : Je trouve qu’à Montréal, les musées sortent plus de leurs frontières qu’à Mexico. Notamment avec la présence du Quartier des spectacles qui paraît aussi importante que celle des musées. À Mexico, il n’y a pas d’équivalent, ça reste plus dans les limites de l’institution.
Dans quelle mesure l’art dépasse t’il  les frontières du musée à Mexico ?
Dabid : Il y a beaucoup d’espaces publics, les “plazas” ou places. Tu peux y trouver de tout : de l’art, de la nourriture, des manifestations, la fête nationale… Pour moi, la seule différence entre Montréal et Mexico est la distance entre les musées. Dans de bonnes conditions, il faut 45 minutes / une heure de voiture pour aller du Museo Universitario Arte Contemporaneo (MUAC) au musée des Beaux Arts au centre, par exemple. En même temps, Mexico est une mégalopole de 20 millions d’habitants !
Claudia : À Montréal, les gens comprennent que ce qu’ils voient c’est de l’art. À Mexico la créativité est partout ! On est tellement habitués de voir des performances de qualité qu’il faut présenter quelque chose d’exceptionnel pour que les personnes s’arrêtent et se disent que ce qu’ils voient est bon. Les Mexicains forment un public exigeant.
Dabid : En effet, les gens sont prêts à faire 4 km de queue pour voir une exposition, qu’elle soit d’un artiste mexicain connu et apprécié d’un certain public, ou d’artistes étrangers comme Yayoi Kusama. C’était le bordel et sold out ! Il fallait acheter tes billets en ligne presque un mois avant, les gens campaient même devant le musée pour être sûrs de pouvoir entrer. Le public mexicain aime découvrir et être abreuvé de ce qu’on lui offre ! Dans les files, des relations se tissent. Tu peux te faire des amis et même rencontrer l’amour… Et c’est une chose importante ! Au Mexique, l’art fait des liens entre les citoyens. Il commence à sortir des quartiers dans lesquels il se trouve habituellement. On construit pratiquement un nouveau musée tous les deux ans au Mexique !
Louison : Aviez-vous des attentes quant à l’expérience proposée par Museomix ?
Dabid : Pas vraiment, je découvre ce que je ne connaissais pas. Et si j’avais eu des attentes, l’expérience les surpasse. Je vois une très bonne équipe de travail. Apparemment, en deux ans le projet a doublé, que ce soit d’un point de vue médiatique, mais aussi d’intérêt public. C’est donc le travail humain qui me plaît derrière tout ça.
Claudia : Personnellement, j’étais prête à rencontrer plein de nouvelles personnes. J’avais envie de faire de nouveaux liens, avec des artistes notamment, et comme l’ambiance de l’évènement est assez relâchée ça a été possible. C’est vraiment l’fun, tu vois. Je suis vraiment contente parce que je n’avais pas d’attentes spécifiques, j’avais juste envie de ne pas manquer l’évènement et d’en profiter un maximum.
Louison : C’est votre première fois à Montréal ?
Dabid : Pour moi oui.
Claudia : J’ai vécu à Montréal pendant 7 ans. Ça ne fait qu’un an que je suis repartie au Mexique, et aujourd’hui je suis revenue pour Museomix.
Louison : Quel est le plus gros challenge de l’expérience ?
Dabid : Le challenge, c’est surtout de donner une idée de ce qui se passe à Museomix en étant les yeux de votre ville pour notre ville. On fait de notre mieux, et j’espère que l’on y arrive. Mon challenge personnel est de découvrir un peu plus la francophonie montréalaise.
Claudia : Pour moi, le challenge ici c’est le temps. Il se passe beaucoup de choses en même temps, tu veux tout faire. Il y a des interviews, il y a les plénières et tout le reste ! Tu peux faire beaucoup de choses et tu ne veux rien manquer, pourtant il faut forcément que tu manques quelque chose, tu ne peux pas tout faire.
Louison : Qu’est-ce qui vous a le plus surpris depuis que vous êtes arrivés?
Dabid : Le climat (rires). Non, pour moi, c’est de découvrir la joie et la grandeur de la ville ! Je pense que c’est le karma qui m’a donné l’opportunité d’être ici aujourd’hui. Je croyais que Montréal était 100% francophone, et ça a été une grande surprise de voir le multiculturalisme que l’on trouve dans la ville entre les religions, la langue et toutes les nationalités que tu peux y trouver. Les citoyens, ceux qui font la ville, sont ceux qui surprennent le plus. J’ai découvert une population très aimable.
Claudia : Pour moi, c’est d’avoir la possibilité d’avoir un accès direct au backstage. J’ai vraiment la possibilité de me connecter avec les gens qui participent à Museomix, d’être dans l’un des plus grands musées de Montréal et de voir ce qui se passe dedans. L’ambiance y est très relâchée, tout le monde est agréable. C’est ce que j’adore vraiment. Je connais bien la vie culturelle de Montréal, mais pas de l’intérieur puisque c’est très difficile d’y entrer lorsque tu viens d’ailleurs. L’expérience du Jetlag m’ouvre toutes les portes pour observer l’autre côté de Montréal.
Et c’est une expérience que vous recommanderiez?
Claudia et Dabid : (en coeur) Oui, bien sûr! Absolument!
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museomixmtl-blog · 9 years
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LE DERNIER POW WOW À LOUIS (J3)
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Je décerne sans hésitation mon dernier moment Pow Pow à une équipe de participants qui m'a permis d'assister aux dernières étapes de leur prototype. L'équipe qui porte le nom de Duke et ses Chicks (considérant que leur seul membre masculin s'appelle Duke), était dynamique, sympathique, mais surtout, très intense. Souriant et ludique, chacun des spécialistes de l'équipe pouvait passer très rapidement d'un moment de rigolade à un moment de concentration silencieuse. Avec énergie et passion, ils m'ont gentiment expliqué et démontré l'oeuvre qu'ils montent pour l'évènement. Cette symbiose dans l'équipe m'a frappé droit au cœur, de même que l'éclair de dévouement qui clignote dans leurs yeux dès qu'ils réfléchissent à comment faire de leur œuvre quelque chose d'incroyable.
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museomixmtl-blog · 9 years
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Crédit GIF: Bruno Florin
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museomixmtl-blog · 9 years
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MUSEOBRUNCH
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Crédit photo: Trung Dung Nguyen
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