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metrosexe · 5 days
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T'as toujours envie de mettre des slips kangourou ajourés l'ami ?
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metrosexe · 1 year
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L homme de l'assesseur 1 tu publies sur quel site sinon ?
Sur un site spécialisé sur le slip kangourou qui s’appelle http://www.slip-kangourou.fr/
... tu vas dans “nos histoires” et tu vas trouver les 9 autres épisodes (l’homme de l’ascenceur) sinon tu m’envoie un mail a [email protected] - je ne pense pas publier la suite sur ce site d’ailleurs vu que ca n’interesse personne et que j’ai ma propre liste d’abonnés 
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metrosexe · 1 year
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Salut a quand la suite de ton histoire qui m'a bien fait bander et jouir 🥰🥰
Tu en es à quel épisode ? J’en ai publié 10 déja mais pas sur tumblr... 
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metrosexe · 1 year
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Puis mon camarade remis celui qu’il avait essayé au début “ouahh, c’est un vrai filet à provisions” me dit-il !
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metrosexe · 1 year
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Puis mon camarade m’a dit « t’appelles ça comment déjà ? » « un slip kangourou car il y a une poche pour ranger ton (très) gros matos »
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metrosexe · 1 year
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Mon camarade aimait mon slip kangourou alors je lui ai prêté pour qu’il l’essaye.
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metrosexe · 1 year
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Blanc comme neige, ouvert comme offert....
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metrosexe · 2 years
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L’homme de l’ascenseur épisode 1
Un jeune garçon en quête de réponse sur son orientation sexuelle rencontre lors d’un bref séjour d’été un homme mystérieux qui semble lui apporter des réponses. Une histoire singulière construite comme un « soap » autour du slip à poche et qui captivera notre attention en nous conduisant d’Aix-les-Bains à Honfleur en passant par la Suisse. Qui est cet homme ? Sa présence est-elle vraiment le fruit du hasard ? Quelle leçon notre héros en tirera t-il pour le reste de sa vie ?
La température de cet après-midi d’août devait avoisiner les 35 degrés lorsque je débarquais à la gare d’Aix"les"Bains, à l’approche de mes dix"huit ans pour fêter mon anniversaire avec mes parents. 
C’était mon premier été à Paris en solitaire. J’avais eu un job d’étudiant et je les rejoignais pour un break bien mérité sur leur lieu de villégiature après avoir brillamment réussi mon bac avec deux années de retard.
J’étais un garçon assez commun enfin, je me trouvais comme tel, très grand avec des cheveux roux bouclés et mi longs. Plutôt timide, j’étais sous l’emprise de ma mère qui se préoccupait de ma future orientation sexuelle en essayant de me surprendre le plus souvent possible dans ma chambre à l’heure tardive ou je m’adonnais à une masturbation frénétique en pensant à mes deux camarades de lycée, Carole et Catherine. Je leur aurais bien présenté un membre qui me travaillait de longue date mais c’était difficile car je savais qu’elles se faisaient lutiner par des plus malins que moi. 
Bref, ma mère était omniprésente et m’achetait même mes slips, des mariner en polyamide bleu ciel avec liseré marine sur le côté comme ceux de mon père parce que « c’était des slips d’homme et facile à entretenir », je la cite.
A cet âge, il était clair que je m’étais posé à maintes reprises la question des relations avec des hommes. Un de mes copains du lycée me sollicitait souvent après nos séances de travail pour que je vénère un matériel génital dont il était propriétaire et qui ne me laissait pas indifférent du fait de sa taille et de la rapidité avec laquelle il en démultipliait le volume. Mais ces échanges se limitaient au stade de jeux de garçons et nous les oublions immédiatement dès que nous avions éjaculé après nous être mutuellement masturbés.
Je m’aventurais donc à l’hôtel des clefs d’or, en compagnie de mes parents, ou j’entrais avec la ferme intention d’aller faire une petite sieste réparatrice d’un voyage assommant, probablement en regardant les photos de Carole et de Catherine ce qui aurait eu pour conséquence de vérifier les qualités d’élasticité et de gainage de ces fameux slips Mariner.
Je n���avais pas du tout l’idée de ce qui allait m’arriver dans les heures suivantes.
Nous traversâmes le hall pour nous diriger vers la réception pendant que ma mère me demandait avec insistance si j’avais profité de l’appartement pour inviter quelques « camarades », comprenez camarades au féminin, autrement dit, est ce que j’avais profité de cette petite liberté pour traiter une fois pour toute la question de mon dépucelage. 
Je savais bien qu’elle s’inquiétait sur ce sujet et même si elle m’avait gentiment dit que je pouvais faire des choix de genre comme il me plaisait, elle aurait été rassurée que je couche avec une femme plutôt qu’avec des hommes. 
Ma génération est bénéficiaire d’un certain libertinage acquis par nos parents au sortir des années 68 qui permet de nombreuses combinaisons mais le conformisme d’une famille bourgeoise dont j’étais issu limitait ces possibilités et impliquait quelque part de naviguer sur les voies de l’hétérosexualité.
Après avoir été accueilli par le réceptionniste et avoir accompli les formalités d’usage relatives à l'enregistrement de mon identité, nous primes tous les trois avec mon père qui portait évidemment un slip Mariner ciel, l’ascenseur, direction chambre 215 pour y poser mes affaires. 
Lorsque l’ascenseur s’arrêta et que la porte s’ouvrit, un garçon, je devrais dire un homme attendait l’ascenseur, adossé contre le mur, une jambe repliée vers l'arrière et collée au mur, feuilletant une sorte de documentation touristique. Nous sortîmes de la cabine et il y entra rapidement. en croisant mon regard de ses yeux noirs sans aucun sourire en s’excusant par principe comme il en est d’usage chez les gens bien éduqués. 
Comme c’est curieux de se dire que je ne le vis que quelques secondes et que son « empreinte » me marqua immédiatement comme si j’en avais pris une photo… cheveux noirs mi longs lui aussi, petite barbe, du type latin, mince et décontracté, puissant et ouvert a la fois, probablement dominateur… plutôt sévère, peut être un militaire bien que… un contremaître, un intellectuel, pas   à la première approche… bref, il venait en quelque sorte de prendre la place de Carole et de Catherine dans mon prochain fantasme.
Je faillit me retourner au bout du couloir au cas où, par chance, la porte de l’ascenseur ne se fut pas encore fermée mais je n’en fit rien. Une belle rencontre même si un sourire aurait eu une signification, un signe, l’envie de renouveler plusieurs fois cet épisode de l’ascenseur… mais il valait mieux ne pas y penser, ne plus y penser enfin, pas avant la sieste !
Prétextant un oubli de pâte dentifrice et de brosse a dents, ce qui n’avait rien d’incohérent vu mon caractère étourdi, j’invitais mes parents à me retrouver pour un petit apéritif de bienvenue plus tard, à l’hôtel, le temps d’aller en ville faire quelques emplettes de première nécessité. Tant pis pour la sieste, elle attendrait un créneau plus propice à mes ébats auto-érotiques, comprenez à ma séance masturbatoire quotidienne.
Aix-les-Bains est une jolie ville, un peu figée, un peu vieillotte mais coquette, Son lac immortalisé par Lamartine qui me fît beaucoup souffrir à l’oral du bac m’a toujours inspiré et l’abbaye d’hautecombe que l’on aperçoit sur l’autre rive est un lieu très masculin ce qui me faisait plutôt sourire en me demandant si les moines portaient aussi ces slips tant adulés par ma mère, « comme des hommes ».
De retour a l’hôtel, je me dirigeais vers la réception pour y récupérer ma clef. 
Un homme attendait nonchalamment appuyé contre la banque. C’était l’homme de l’ascenseur. 
Le voila qui m’adresse quelques mots… mais toujours aussi peu souriant. J’en viens à me demander s’il ne fait pas partie du personnel de l’hôtel.
« en vacance a Aix ?»
« Quelques jours Monsieur »
Je l’ai appelé monsieur… comme je suis emprunté, il plonge dans mon regard et j’en suis tout chose. Mais le réceptionniste arrive à ce moment pour nous distribuer nos clefs
« alors nous aurons probablement l’occasion de nous revoir dans l’ascenseur ou dans les couloirs… »
« probablement »  répondais-je » mais il avait déjà disparu en direction de sa suite.
« Nous revoir dans les couloirs » ces quelques mots prémonitoires allaient se concrétiser dans les minutes qui suivirent… mais quelle rencontre singulière qui aujourd’hui encore, suscite chez moi un total bouleversement. 
A ce moment, Carole et Catherine allaient définitivement cesser d’exister pour ma vie entière comme toutes les filles de la terre et il était clair maintenant que je connaissais le genre de celui qui me dépucèlerait.
A suivre, peut être…
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metrosexe · 3 years
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metrosexe · 3 years
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Slip kangourou blanc : retour aux choses simples et authentiques.
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Nicolas Simoes
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metrosexe · 3 years
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La posture magistrale pour se faire voir en slip ouvert blanc
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metrosexe · 3 years
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En pôle position pour faire admirer un pacson slipé au top.
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Minerva classic σλιπ κλασικό
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metrosexe · 3 years
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Matinée d’automne en slip kangourou blanc
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metrosexe · 3 years
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Homme poilu dans son slip ouvert blanc
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metrosexe · 3 years
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metrosexe · 3 years
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Rien à dire... juste un mec parfait en slip kangourou
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metrosexe · 4 years
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regardez ce slip comme il me suspend bien les bourses...
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