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lespetitspedestres · 4 years
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Me gusta la lluvia.
Au terme de ces 3 jours, nous rendons notre véhicule et prenons un bus (le stop pour passer les frontières semblant légèrement compliqué) pour l’Argentine cette fois-ci en direction de la ville de El Calafate, point de départ pour la visite du glacier Perito Moreno. Le Perito Moreno c'est de la glace, beaucoup de glace. Pour ceux qui ont vu Game of Thrones, ce glacier a un petit quelque chose du « mur ». Chaque jour, sous la pression de l’accumulation de glace sur les hauteurs, le glacier avance et viens se heurter aux rochers en contrebas faisant choir d'immenses blocs de matière gelée. Ceux-ci percutent alors la surface de l'eau dans un grondement de tonnerre audible à des kilomètres. Nous passons plusieurs heures émerveillés à contempler ce spectacle de la nature.
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Nous ne visitons rien d'autre à El Calafate car, il faut bien le dire, il n'y a rien d’autre à visiter. Comme c’est le cas dans beaucoup d’endroits en Patagonie,  les points d’intérêts nécessitent 3 fois moins de temps pour être visités que pour être reliés les uns aux autres. Nous repartons donc dans la foulée pour la prochaine étape: El Chalten.
C’est là que nous vivons l’un de nos très rares moments de grâce en stop. En effet, la première voiture à laquelle nous faisons signe, s’arrête immédiatement. Les occupants du véhicule sont un couple de Californiens forts sympathiques. Ceux-ci nous emmènent directement jusqu’à destination.
Au terme de 2 heures de voyage, nous voici donc arrivé dont la capitale du trekking en Argentine. Nous prévoyons de rester 4 ou 5 jours, mais, la météo n’étant pas des plus favorable nous sommes contraints d'improviser.
Afin de retranscrire au mieux les émotions ayant découlées de notre expérience au sein du camping «la torcienda» de El Chalten, nous, les petits pédestres avons décidé de partager avec vous un document exceptionnel. Un document relatant nos moindre faits et gestes au cours de chaque journée de nos aventures. Je veux bien sur parler du «journal de bord». Là où vous aviez pris l'habitude de formules tarabiscotées visant à arrondir les angles, vous allez vous heurter à notre aspect carré. Là où vous aviez pris l'habitude de l'information filtrée et romancée, vous allez vous rendre compte que le quotidien est parfois bien ennuyeux, même en voyage. Même si nous sommes vos héros, il faut que vous sachiez que parfois, nous aussi nous plongeons dans les abysses de l'ennui. Jugez vous-même.
Jour 1: nous arrivons au camping «la torcida» visiblement bonne ambiance, mais cuisine et sanitaires un peu sales. Nb : il y a plein de hippies.  Nb2: la lunette des toilettes ne tient pas en place, pas pratique… tiens, on dirait qu'il commence à pleuvoir…
Jour2: il pleut. Nous adoptons des comportements de substitution à la randonnée. On mange. Il ne fait pas chaud. Y a pas des montagnes normalement à El Chalten?
Jour 3: il pleut et il y a du vent. Du coup ça sèche la tente ou ça la mouille? Cet après-midi midi c'est cookies.
Jour 4: aujourd’hui, on prend un seau et on écope. Il faut bien le reconnaître: la tente nage très bien.
Jours 5: jour de fête! Soirée empanadas et vino tinto. Il pleut toujours.
Jour 6: après-midi crêpes au dulce de leche et mate. On écope.
Jour 7: ça y est! Une éclaircie! Nous entreprenons donc la randonnée qui nous mène à la laguna Torre. 20 km plutôt faciles avec assez peu de dénivelé. Mais la vue sur le lac et le glacier qui le surplombe vaut clairement le coup d'œil. En plus, nous avons la chance de croiser un petit tatou velu sur le chemin. Une légère douleur au pied sur la fin de la rando, mais on dirait  bien que ma tendinite est sur le point de disparaître. Enfin!
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Jour 8: je ne peux plus poser le pied par terre. Chloé profite du temps relativement clément pour se lancer à l'assaut du Fitz Roy. Je mange du chocolat pendant qu'elle n'est pas là (faut bien s'occuper).
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Jour 9: nouvelle rando pour Chloé et nouvelle journée d'attente pour moi. Le soir venu, nous rejoignons un point de vue sur le Fitz Roy non loin du camping beau coucher de soleil malgré la patte folle.
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Après ce séjour plus long que prévu à El Chaltén, nous décidons de reprendre la route, bien conscient que malgré sa réputation de capitale du trekking, la ville nous a apporté beaucoup plus de calories qu’elle ne nous en a fait perdre.
S'il est vrai que nous sommes un peu restés  sur notre faim en termes de randonnée, notre passage par le village de El Chalten restera tout de même un excellent souvenir grâce à la gentillesse des personnes que nous y avons rencontré. Ici, assez peu de touristes mais beaucoup de gens venus travailler pour la saison touristique. En clair, même si nous n’avons pas pu randonner durant une semaine nous ne nous sommes pas ennuyé, et nos estomacs non plus.
Ce fut l'occasion pour nous de mettre en place des échanges culturels. Découverte des crêpes pour les Argentins, et découverte des empanadas pour nous. Le tout arrosé de vin rouge ce qui ne fut une découverte pour personne. Enfin, ce séjour à El Chalten nous a permis de rencontrer Ghislaine et Olivier, 2 belges sympathiques dont nous aurons l’occasion de reparler plus loin dans cet article.
Bref, nous reprenons la route au soir avec un bus de nuit direction le Chili. Oui, on aime passer les frontières.
Notre prochaine étape, Puerto Rio Tranquilo marque le début de la fameuse Carrera australe. Cette petite ville porte bien son nom. Pas grand-chose à faire ici, si ce n’est découvrir les  cathédrales de marbre, petite sortie en bateau sur les eaux limpide du lac. Ce bon moment ainsi qu’une petite soirée pâte bolognaise est partagé avec un petit groupe de français ( et suisse!) bien sympathique rencontré dans le bus.
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Le lendemain, nous reprenons notre route, ou du moins, nous essayons. En effet,  après plusieurs heures d’attente sur le bord de la route, nous devons nous rendre à l’évidence : notre tentative de faire du stop est un échec. Nous décidons donc de prendre le bus. Durant l’attente qui nous sépare du départ, nous recroisons nos amis Belges. Ne cesseront ils jamais de nous suivre?
Quelques heures plus tard, nous voici arrivés au pied du Cerro Castillo. Nous dénichons un camping dans lequel nous nous installons en attendant une journée favorable pour effectuer la randonnée qui mène au sommet. Nous rencontrons un couple de français qui souhaite également se lancer dans l’aventure. 2 jours plus tard ça y est, le ciel est presque dégagé, et nous décidons de nous lancer. Pour ma part, je me contente de la marche d’approche qui nous mène au départ réel de la randonnée. Et oui, toujours ce problème de cheville. Chloé continue, accompagnée de nos deux nouveaux camarades. Pour la petite histoire, il faut savoir que cette randonnée était payante. En effet le sentier traverse une parcelle de terrain privé. Le paysan a donc installé une petite guérite au départ de la randonnée et demande à tous les usagers de payer pour avoir accès au Sentier. Bien sûr, Chloé étant auvergnate, il est inutile de vous dire qu’elle n’a pas payé. Ayant entendu parler d’un autre chemin pour atteindre le sommet, notre héroïne des temps modernes a donc esquivé habilement la guérite du cupide paysan. Bien joué. Seulement voilà, le fieffé coquin avait-eu la bonne idée de mettre en place une seconde guérite sur le sentier de substitution qu’avait choisi notre courageuse randonneuse. Peu importe, n’écoutant que son courage, Chloé et ses nouveaux compagnons coupèrent à travers bois, et au terme d’un incroyable effort, ils parvinrent à effectuer la randonnée gratuitement.
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Le lendemain, nous reprenons la route cette fois-ci direction le parc naturel Queulat. Quelques heures plus tard, c’est sous des trombes d’eau que nous parvenons à Puerto Cisnes, la ville la plus proche. Pas grand-chose à faire ici, mais nous décidons tout de même de profiter une éclaircie, pour nous promener dans le village. Et la qui croisons nous? Je vous le donne en mille. Nos amis belges. Lorsque la pluie se calme enfin, nous décidons de nous lancer dans l’exploration du parc naturel. Exploration est un bien grand mot. En effet le parc ne comprend que 2 sentiers. Nous apprécions tout de même la vue que nous offre l’un d’eux sur un impressionnant glacier suspendu. Une journée sur place nous suffit.
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Nous repartons avec pour objectif la ville de la Junta. Cette ville a ceci de particulier qu’elle se trouve dans une zone présentant une forte activité géothermique. En clair, il y a des sources d’eau chaude. Quoi de mieux pour requinquer les petits pédestres fatigués et transis de froid que nous sommes. Nous dénichons un petit camping perdu dans la campagne et qui dispose de sa propre source d’eau chaude. Nous passons une journée entière à nous immerger dans le quotidien: le légume à pot-au- feu, et quand vient le soir, nous prenons nos aises et nous installons non pas dans notre tente, mais dans la grande salle à manger, devant le poêle. Seuls dans notre petit paradis.
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Nous devons à présent rejoindre la ville de Chaiten qui marque la fin de notre voyage sur la Carretera Austral. Le chemin se fait tout naturellement en stop à l’arrière d’une camionette de chantier.
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 Nous y resterons 2 jours afin d’effectuer la randonnée menant au volcan…Mais avant de pouvoir débuter la randonnée, il nous faut en rejoindre le départ. Nous boudons les bus touristiques, et leur préférons le stop. Cela fonctionne plutôt bien, et nous avons même l’occasion de monter avec un gars vraiment sympa qui n’hésite pas à faire un détour pour nous montrer une plage de laquelle nous apercevons des dauphins. C’est également tout fier, qu'il  nous emmène voir la maison qu’il est en train de construire. Finalement, nous parvenons à destination. La randonnée est courte, mais difficile. Ça grimpe raide, mais la vue est à la hauteur de nos attentes. Le volcan étant actif, de nombreux fumeroles s’échappent ça et là du sol rocheux ce qui, il faut bien l’avouer, est assez impressionnant.
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Nous retournons à Chaiten pour la nuit et, le matin suivant, nous embarquons sur le ferry qui doit nous conduire sur l’île de Chiloe.
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lespetitspedestres · 5 years
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De l’autre coté du monde
En lecteurs assidus que vous êtes, vous aurez bien entendu compris que nous n'avons pu résister à l'appel de la route. Les petits pédestres reprennent donc du service afin de vous faire découvrir notre belle planète au travers de leur désormais célèbre blog dans :
 « Les petits pédestres on the road again »
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 Après un court séjour à Barcelone durant lequel nous découvrirons la Sagrada Familia, la vieille ville et les tapas, nous débarquons à Buenos Aires. Nous foulons une nouvelle terre, un nouveau continent de nos pieds qui, pour le moment, ne puent pas trop. Cela ne tardera pas à changer : un bon backpacker se doit de « puer » des pieds. Ah oui, encore une petite chose avant de poursuivre. Notre mode de voyage pour cette fois a légèrement changé. Nous dormirons en tente durant une bonne partie du périple et nous nous déplacerons, autant que faire se peut, en stop. Nous repousserons ainsi toujours plus loin les limites du manque d’hygiène car c’est cela aussi l’aventure. 
Buenos Aires donc! Cinq jours d'adaptation au sein de la capitale. Adaptation aux petits riens du quotidien, au mate et à la langue. Lorsque nous quitterons la ville, nos progrès en terme de maîtrise de la langue de Cervantes seront flagrants, passant du stade « parler espagnol comme une vache suédoise » à « parler espagnol comme une vache belge ». On se rapproche de la vérité, géographiquement du moins ! On ne va pas se mentir, la ville ne nous offre pas un grand dépaysement et, hormis quelques visites éclairées dans certains quartiers touristiques tels que la Boca ou Palermo (où nous logeons), nous employons surtout notre temps à nous remettre du décalage horaire. Nous avons hâte de débuter notre road trip et de rejoindre Ushuaia. 
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 Nous prenons finalement l'avion en direction de la ville qui donna son nom à la fameuse marque de gel douche. Mais si, vous avez forcément déjà vu cette publicité dans laquelle des gens peu ou pas vêtus prennent leur douche sous une cascade au beau milieu d’une jungle luxuriante et profite de la fraîcheur revigorante de l'eau cristalline descendue de la montagne pour se débarrasser de la sueur d'une belle journée de soleil sous les tropiques. Alors ça, vous oubliez tout de suite. La seule chose que vous risquez d'attraper en faisant ça à Ushuaia, c’est une pneumonie. Vous entendez ce bruit ? Bing ! Ce sont vos idées reçues qui se brisent, et avec elles, vos rêves de connaitre un jour le bien-être qui émane des visages radieux des acteurs de la pub. Ushuaia c’est froid, il neige quand on ne s'y attend pas et quand on s’attend à ce qu'il neige, il pleut. Parfois aussi il fait soleil et il pleut en même temps.
 Bon à part ça, il faut avouer que le paysage est magnifique, et l’arrivée en avion, spectaculaire.
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Dès notre arrivée nous cherchons à rejoindre un camping afin de planter notre tente. Mais la ville est bâtie sur le versant d'une montagne et est très étendue. Et devinez où se trouvent les campings. C'est donc au terme d'une longue marche que nous parvenons à destination. Le premier camping sur lequel nous tombons est très… fermé. Le second en revanche est… introuvable. Ce sera donc bivouac pour ce soir. Et comme la journée est loin de toucher à sa fin, nous décidons de nous lancer dans une première randonnée. Celle-ci, nous emmène au glacier Vincent, après une bonne heure de marche. Ça grimpe, mais aucun souci pour les petits pédestres, même si les derniers 300 m s’effectuent dans la neige. Si cela ne nous pose pas de problèmes sur le moment, nous ne tarderons pas à nous rendre compte que nous ne disposons pas de l’équipement nécessaire pour randonner en cette saison.
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En effet, dès le lendemain nous entamons une nouvelle randonnée qui doit nous mener à un lac sur les rives duquel nous envisageons de bivouaquer. Le sentier est fermé au public, mais comme nous croisons un homme qui nous dit qu’il connait très bien le coin et que le chemin est tout à fait praticable, nous décidons de nous lancer. 
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Seulement voilà, au bout de plusieurs heures de marche, nous nous rendons compte qu’il nous sera impossible de rejoindre le dit lac. Une couche de neige subsiste de plus d’un mètre d’épaisseur, qui nous empêche d’avancer. Nous sommes donc contraints de faire demi-tour. Et c’est les pieds gelés que nous redescendons et nous installons dans la forêt pour la nuit. L’occasion pour nous de faire notre premier feu de camp et de comprendre que ce n’est pas toujours une bonne idée d’écouter les gens qui prétendent connaître la région.
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Après une bonne nuit de sommeil, nous achevons notre trajet de retour et rejoignons Ushuaia. Seulement voilà, à peu de distance de l’arrivée, je commence à ressentir une vive douleur au niveau de la cheville, et adopte une démarche boiteuse. Bonjour la tendinite. Moi qui n’avais jusque la jamais été atteint de ce genre de bobo, je me retrouve à l’expérimenter ici, en Patagonie, là où il faut bien l'avouer, la randonnée constitue clairement la seule activité digne d’intérêt. Enfin, nous rejoignons la ville où nous prenons un petit Airbnb afin de faire sécher nos affaires et de nous réchauffer. Nous débarquons dans un piteux état chez nos hôtes, un jeune couple d’enseignants forts sympathiques avec qui nous partageons un repas typique de l'Argentine et passons une soirée des plus agréable.
 Le lendemain, après une bonne nuit de sommeil au chaud et au sec, notre hôte nous conduit à quelques km de l’entrée du parc de la Tierra del Fuego. Nous prévoyons de rester deux jours et une nuit. Chloé effectue la randonnée côtière qui mène du bout du parc au camping que nous avons repéré pour la nuit, tandis que je fais du stop. 
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J'arrive donc au camping deux heures avant elle et installe la tente pour la nuit. Alors que je finis d’installer notre petit campement, un garde parc débarque et m'explique que le camping est fermé et que tout le monde doit quitter le parc à la nuit venue, car un renard agresse les gens. Oui, oui, un renard. Décidément, nous allons d’échec en échec. Imaginez la joie de Chloé lorsqu’elle arrive au terme de la randonnée côtière et apprend que la journée est loin d’être terminée. Enfin, nous sommes pris en stop assez rapidement par un couple qui quitte le parc et qui nous laissera au camping municipal donc, tout est bien qui fini bien.
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 Le lendemain, nous retournons à Ushuaia et réservons un Airbnb pour les deux jours suivants. Heureusement, car ces deux journées s’avèrent plutôt arrosées, entre averses de pluie et averses de neige. Nous quittons enfin Ushuaia avec pour objectif de rejoindre le parc Torres del Paine, au Chili. Nous effectuons dans la journée le trajet Ushuaia-Rio Grande en stop.
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 Rio grande est la dernière ville importante sur la route qui mène à la frontière et nous ne parviendrons malheureusement pas à passer cette dernière en stop. Au terme de 4 heures d'attente au beau milieu de la pampa avec un vent à décorner les bœufs (sans rire, on n'avait encore jamais vu un vent pareil), et transis, nous décidons de renoncer. Nous passons donc la nuit dans la magnifique ville de Rio Grande (ironie) et repartons au petit matin à bord du bus qui fait la liaison avec Punta Arenas, au Chili. Nous ne nous y attardons pas, repartant dans la foulée direction Puerto Natales. Nous retentons le stop, cette fois ci avec plus de succès. Puerto Natales est une ville sans trop d’intérêt (étonnant) mais constitue le point de départ pour les excursions à Torres del Paine. 
Nous louons ici une voiture(ou plutôt un gros 4x4) qui nous permettra d'explorer le parc sans galérer à faire du stop 4 h par jour. Quelle joie d’être autonomes et d'avoir un abri contre le vent qui ne manque pas de souffler sur le parc au cours des 3 jours que dure notre petite expédition.
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 Cependant, une fois n’est pas coutume, nous avons la chance d’échapper à la pluie, n'essuyant qu'une ou deux averses légères. Nous sommes donc en mesure d’apprécier pleinement les paysages grandioses qui s’offrent à nos yeux. Une multitude de petites randonnées se trouvent ça et là sur la piste principale du parc. N’étant pas très longues, je suis même en mesure de les faire, malgré mon problème de pied. Bref, c'est le pied. L’entrée au parc étant valable pour 3 jours, nous avons tout le temps nécessaire pour écumer les sentiers en long, en large, et en travers et admirer les 50 nuances de bleus.
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La seule contrainte est l’obligation de sortir du parc pour la nuit. En effet, pas de camping sauvage ou de dodo dans la voiture ici. C'est hôtel hors de prix ou emplacement de camping dans les mêmes tarifs ou presque. Peu importe, grâce à (mes) nos capacités organisationnelles hors du commun, nous parvenons à optimiser nos déplacements et à profiter au maximum décontractés mais efficaces : c’est tout nous. De plus, nos matelas s’avèrent être parfait en terme de taille pour dormir dans le coffre de notre nouvelle voiture. Il fait moins froid que dans la tente, bref, on est comme des œufs en gelée. Finalement, le fait de devoir quitter le parc pour la nuit c’est même avéré être une bonne chose dans le sens où nous avons ainsi pu prendre du recul et admirer de splendides couchers de soleil avec vue d'ensemble sur le parc (et des guanacos et des autruches, oui oui des autruches) . 
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Et puis, nous avons rencontré un suisse. Mais attention, pas n’importe quel suisse ! Un suisse allemand venu tout droit (dans la mesure du possible) d'Alaska, en camping car, sur 2 ans et en laissant sa femme en Suisse. Notre nouvel ami doit tout de même souffrir un peu de la solitude car il faut le dire, il parle beaucoup. Je découvre ce soir la, le swiss coffee : la version suisse de l'irish coffee. Voilà,voilà ! 
Que dire de plus sur Torres del Paine ? Pas grand-chose je suppose, dans la mesure où les clichés pris par notre photographe pro décriront sans doute bien mieux le paysage que je ne le ferai en 100 pages. Et étant donné qu’il semble que je repart dans mes anciens travers en termes de longueur des phrases et des articles en général, je pense que s’arrêter ici pour aujourd’hui peut-être une riche idée. Mais nous vous en faites pas, nous revenons très vite (enfin sur le blog, parce que dans les faits, on n’est pas près de rentrer).
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lespetitspedestres · 5 years
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Retour aux sources
Et voilà, le retour tant attendu en Auvergne. Tant attendu de par le manque des amis, de la famille, du saucisson, du fromage et de la bière (on vous laisse deviner dans quel ordre d´importance).
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La vie reprend son cours. Recherche d'emploi, recherche d'appart et la routine s’installe rapidement. Tout va pour le mieux dans le meilleur des monde et nous profitons du confort douillet de notre appartement à Chatel Guyon. Mention spéciale à notre canapé. Un amas de bois et de tissu matelassé  d'un confort inégalable qui fut le siège, voir le fauteuil (haha qu’est ce qu on se marre) de nombreuses soirées coucouning. Une page entière de ce blog ne suffirait pas à décrire les bienfaits de cet autel voué au culte de la fainéantise. Si vous ne me croyez pas, passez faire un essai au show room du Cheix sur morge (ouvert 24 h sur 24 7j/7).  Une biere offerte pour toute visite.
Bref, je m’égare. Où en étais- je ? Ah oui ! La routine donc. Une routine qui nous donne le temps, notamment lors des longues soirées d'un hiver particulièrement maussade, de repenser à l’expérience vécue quelques mois plus tôt.
Heureusement, nous vivons d’excellents moments, entre soirées au petit bonheur, randonnées dans les puys, le week-end , concerts et bonnes bouffes.
Puis c´est sans compter sur de notre belle région plus beau pays du monde …..qui est là pour nous donner le sourire.
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…..allez la France est belle aussi. Et on en a profiter pour découvrir quelques coins sympathiques durant ce court séjour.
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Néanmoins, la pluie, le froid et le boulot finissent par avoir raison de nous et écrase dans l'œuf toute velléité de retour à une vie « normale ». Nous craquons finalement 7 ou 8 mois après notre retour en France et décidons de repartir faire ce que les petits pédestres font le mieux.
De nouvelles aventures nous attendent sur une partie du globe que nos pieds sales et malodorants de randonneurs n'ont encore jamais foulé. L’Amérique du Sud. Bien loin de nos envies initiales de plages aux eaux turquoises baignées de soleil, nous décidons de commencer ce nouveau périple par la Patagonie.
A l'heure où j’écris ces lignes, je dois bien l’avouer,  nous avons pris beaucoup de retard dans la tenue du blog et nous sommes déjà sur place. Il fait froid et nos envies de plages demeurent intactes. Ceci dit, chaque jour qui passe nous rapproche des caraibes. Et puis, au fond, l'essentiel est là, nous avons une fois de plus troqué notre mode de vie auto boulot dodo par autre chose qui nous correspond davantage : rando, trombes d’eau,  viento.
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lespetitspedestres · 5 years
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Un final haut en couleur
Qu’est-ce que l’Indonésie ? Si vous faites une rapide recherche sur googlemonami.com vous découvrirez sans doute un tas d’informations toutes plus intéressantes les unes que les autres et ressortirez de cette simple expérience numérique bien plus cultivés que vous ne l’étiez auparavant. Mais pas de bol, vous êtes sur le blog des petits pédestres d’où nul n’est jamais ressorti débordant de connaissances poussées sur les pays abordés dans chaque article. Je n’ai donc aucune raison de vous inciter à lire les lignes qui vont suivre. J’irai même jusqu’à dire que cela pourrait vous être préjudiciable dans le sens où certains événements étranges, voir dramatiques y sont relatés. Non décidément, dans votre intérêt à tous, je recommande vivement de ne pas aller jusque-là. Peut-être serait-il plus judicieux de ne faire que regarder les images…
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Si vous lisez cette première ligne, c’est que vous n’avez, semble-t-il, pas écouté mon conseil. Je ne puis que vous admirer pour votre courage car vous vous apprêtez à effectuer une plongée en eau trouble dans l’univers tantôt féerique, tantôt horrifique mais toujours plein de surprise des petits pedestres.
Nos aventures débutent sur l´ile de Sulawesie.
La Sulawesie est l’une des plus grandes iles d’Indonésie, mais aussi l’une des moins connue du grand public. Vous vous en doutez, cela à en partie motivé notre décision de nous rendre sur place, car c’est le rôle de vos serviteurs de vous faire découvrir des lieux reculés aux confins de la terre et ce, malgré les dangers. Coups de soleil, Tourista, moustiques, rien ne nous arrêtera. Quoi qu’il en soit, la Sulawesie s’avérera être l’un des gros coups de cœur de notre périple. Une ile où flotte un parfum d’authenticité et de poisson plus ou moins frais que nous ne rencontrerons nulle part ailleurs.
Pour rejoindre ce territoire si particulier, nous devons prendre un vol d’une heure et demi depuis Bali. Bien entendu, ce trajet s’effectue sur la compagnie indonésienne Lion air, laquelle se trouve sur la liste noire des compagnies aériennes. La roulette russe de l’aviation. Et ça passe.
Nous posons donc le pied à Makassar, la « capitale » de la Sulawesie. Chloé a eu l’idée de génie de  mettre un pantalon au lieu de son habituel short. Bonne idée puisque nous débarquons au beau milieu d’une foule de femmes portant la quasi burka. Hé oui, la Sulawesie comprend une majorité de musulmans et, si nous allons voir par la suite que ce n’est pas le cas sur l’ensemble de l’ile, à Makassar, les femmes portent le voile. Nous ne resterons que quelques heures à Makassar, car nous devons embarquer à bord d’un bus de nuit direction Rantepao, la « capitale » du pays Toraja.
C’est donc quelques heures (une nuit) plus tard que nous parvenons à destination. Au cours du voyage, nous rencontrons Adrien, un jeune français de la Loire partit voyager seul. Nous resterons avec lui jusqu’à la fin de notre périple en Sulawesie.
La découverte du pays Toraja fût une expérience assez particulière. Ici, les gens sont en grande majorité chrétiens et pratiquent des rites funéraires un peu particuliers : Lorsqu’une personne décéde, les membres de sa famille conservent le corps dans leur maison jusqu’à avoir les moyens de payer un enterrement digne de ce nom. Mais qu’est-ce qu’une cérémonie funéraire chez les Toraja ?
Il s’agit d’une fête durant laquelle les amis et les membres de la famille sacrifient des buffles, des cochons et des poulets. Nous avons assisté à l’une de ces cérémonies, et franchement, il faut avoir le cœur bien accroché.
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Le principe est assez simple et malheureusement, assez proche des principes de base de notre société. Plus tu es riche, plus tu peux acheter de bêtes à sacrifier, et plus tu sacrifies,  plus tu te rapproches du paradis. La « qualité » des bêtes sacrifiées a également son importance. Un buffle gris de taille moyenne, c’est 5 points et 500 euros. Un buffle albinos de belle taille c’est 20 points et 10000 euros. Vu le nombre de  bêtes sacrifiées, je ne sais pas combien de points il faut totaliser pour rejoindre le paradis. Sûrement plusieurs centaines.Les familles peuvent parfois s’endetter ou conserver le corps en attendant d’être en mesure de payer pendant des années. Au cours de cette journée quelque peu macabre, nous étions accompagnés de deux guides. L’un parlant presque couramment français, et l’autre, son neveu, apprenant le métier.
 Nous quittons ensuite le pays Toraja et, au terme de quelques heures de voyage supplémentaires, nous parvenons à la ville de Tentana ou nous demeurons deux jours. Le bus nous depose a 4km de la ville et aussitot, les taxis scooter fondent sur nous et proposent de nous emmener en ville pour un prix qui nous parait exorbitant. Résultat, les chauffeurs ne voulant pas appliquer des tarifs convenables à la suites de negociations mouvementés, nous rejoignons la ville à pieds, de nuit. Après une journée dans un bus inconfortable, ça tire un peu sur les guiboles mais bon : il est interdit d´arnaquer des auvergnats. Tant pis pour eux, d´autant que les autres voyageurs nous emboitent le pas.
Les deux jours que nous passons sur place nous permettent d´aller admirer les cascades environnantes et d´arpenter les rives du lac à la découverte de scenes de vies.
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À l’issue de ces deux jours, nous reprenons la route direction Ampana. Nous ne passons qu'une seule nuit dans cette ville côtière sans grand intérêt, et embarquons le lendemain matin sur le bateau direction le Saint Graal : les îles Togian. Et oui, vous ne pensiez tout de même pas que nous on enchainions les longs trajets pour le simple plaisir de faire de la route.
Toute description de ce paradis terrestre que sont les îles Togian serait sans doute superflue et ne rendrait pas justice à la beauté des lieux. Voici donc quelques photos.
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Entre lecture, pêche et snorkeling, nos journées en ces lieux furent bien remplies. Ajoutez à cela une soirée guitare et arak (alcool local pas très très legal) avec les locaux et une balade dans le village de pêcheurs voisin, et vous êtes vraiment au paradis. Nous restons sur place un peu plus d'une semaine. Mine de rien, une semaine sans wifi ni réseau téléphonique, ça fait du bien. De plus, le voyage étant extrêmement long pour parvenir jusqu’ici,  le nombre de touristes reste très restreint et le site ainsi que la gentillesse des habitants n'en sont que mieux préservés. Des fonds marins splendides, des supers rencontres et une ambiance particulièrement apaisante font clairement de ce lieux notre gros coup de cœurs du voyage !
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Nous serions bien restés un peu plus longtemps ici tant il y fait bon vivre,  mais nous avons encore les iles de Lombok et Bali a visiter.
Commençons par Kuta Lombok.  Durant les premiers jours sur cette nouvelle île, nous avons principalement fait des balades à scooter et un peu de surf. Chloé est même parvenue à prendre une vague de belle taille sur un spot clairement inadapté aux débutants que nous sommes. La classe !
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Au bout de quelques jours, nous traversons l’île pour rejoindre le point de départ du trek du Mont Rinjani. Pour ma part, n’étant pas très adapté aux longues marches par grande chaleur, je décide de ne pas me lancer dans l'aventure, et attend le retour de Chloé et Félix durant les trois jours de la randonnée. Paradoxalement Félix et Chloé n'ont jamais eu aussi froid de leur vie ! Si effectivement la première partie de la randonnée s effectue sous un soleil de plomb, l'ascension au sommet du volcan pour le lever de soleil sous un vent glacé est extrêmement éprouvante. D'ailleurs de nombreuses personnes ont du rebrousser chemin. Mais  c’était sans compter le courage des frangins qui ont bravé les épreuves pour assister in extrémis au lever du soleil.
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Le repos est bien mérité et nous filons glander sur les iles Gili, paradis des tortues. Pas besoin de vous le dire, vous vous en doutez le programme ne varie pas beaucoup : plage snorkeling plage snorkeling….
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Sur le chemin entre Lombok et Bali, nous prenons une petite semaine pour visiter l'ile de Nusa Penida. Ici, pas vraiment de route pour aller admirer les falaises qui se jettent dans l'eau un peu partout sur l’île, mais plutôt des pistes assez peu entretenues. Le cœur bien accroché, les mains vissés sur les freins, les virées à scooter ne sont pas de tout repos ! Mais autant vous dire que le jeu en vaut la chandelle.
Nusa Penida nous offre aussi l’occasion  de prendre part à une sortie en mer pour aller observer les raies manta. Malheureusement, seule Chloé aura l'occasion d'observer réellement l'une  de ces magnifiques créatures, avant de la faire fuir. Comment a-t-elle réussi cet incroyable tour de force ? Simplement en sautant sur le dos de la bestiole depuis le bateau. Merci Chloé et sa légendaire délicatesse (après c'est moi que l'on traite de bourrin). Heureusement les magnifiques fonds marins sur le chemin du retour nous consolent.
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Enfin, nous prenons la route (ou plutôt la mer) direction la légendaire Bali. Il s'agit là de la dernière étape de notre voyage et je ne pourrais, pour le coup,  pas vous raconter grand-chose à ce sujet puisque je contracte dans la foulée une violente otite qui me contraindra à rester tranquillement à l’hôtel durant toute la semaine précédant notre retour en France. Félix et Chloé en profitent néanmoins pour aller admirer les rizières et les temples hindouistes de la région. Clairement la fin du voyage se fait sentir et l'envie de découvrir Bali n'est pas à son maximum ! Il faudra revenir...
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La suite vous la connaissez. Retour en France, recherche d'emploi, recherche de logement, retrouvailles avec la famille, les copains et bien sur, la nourriture.
Avant de vous laisser, je tiens a m´excuser car cet article me fait un tantinet penser à un film français de base. Super intro bourrée de suspense et qui incite à voir la suite, mais finalement, un gros relachement sur la suite du scènario. A peine 2 étoiles sur allociné . Mais bon, si vous etes encore là, c´est que cela à quand meme fonctionné. Un bon teaser bien vendeur.
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lespetitspedestres · 5 years
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Un air de déjà vu...
En ce 18 Octobre 2019, a la veille de notre départ pour un second périple en des contrées qui nous sont jusque-là inconnues, il semble important d’achever ce que nous avons laissé de côté il y a de cela maintenant plus d’une année. 
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Difficile de trouver une bonne excuse à ce manque flagrant d’assiduité dans l’écriture de ce roman épique que sont nos aventures. « Quand est-ce que vous écrivez la suite de votre blog ?». Une question récurrente parmi notre entourage. A cette question nous avons désormais une réponse satisfaisante : maintenant. Les événements de la toute dernière partie de notre périple vous seront donc relatés dans le présent article. Néanmoins, nous vous demandons la plus grande indulgence à l’égard de nos mémoires défaillantes car bien que la découverte de ce magnifique pays qu’est l’Indonésie (et la redécouverte de la Thailande) ait été faite d'inoubliables souvenirs, °le temps à fait son œuvre, et il est fort probable que nous omettions de mentionner quelques détails. Bref, assez bavassé. Il est temps pour les petits pédestres de terminer ce qui fût commencé.
Nous voici de retour dans le sud de la Thailande, un an après notre première visite. L’occasion pour nous de découvrir de nouvelles merveilles comme seuls les pays bordés d’une eau turquoise à 30° peuvent nous offrir, et de redécouvrir des lieux que nous avions déjà eu l’occasion de visiter.
Cette fois ci, nous sommes accompagnés de Jing, une jeune Thai rencontrée par Felix qui en est tombé immédiatement éperdument amoureux. C’est donc par la petite île de Koh Panghan que nous débutons ce nouveau périple. Ici, nous alternons entre promenades en scooter pour rejoindre des plages de rêve et promenade en scooter pour rejoindre des plages de rêve. 
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Deux d’entre elles nous aurons particulièrement marqués, chacune pour des raisons différentes.La première,… du fait de la présence d’un énorme cochon faisant la sieste à longueur de journée sur la plage, et la seconde pour son côté atypique. En effet, celle-ci,  était séparée de la plage principale par un pont de bambou semblant sortir tout droit de l’imagination d’un dessinateur de manga et par cinq minutes de marche épique à travers les ruines d’un hôtel abandonné aux airs de jurassic park post accident d’évasion de dinosaures carnivores méchants avec plein de dents. Vous l’aurez compris, bien la plage en elle-même soit tout à fait charmante, c’est davantage le contexte qui nous a marqué. D’autant plus que nous décidons face à la noirceur du ciel de cette fin d’après-midi, de rentrer en vitesse nous mettre à l’abri dans un bar non loin de là. Grand bien nous en a pris car, quelques secondes à peine après nous être mis à l'abri, c’est un orage monstrueux qui s’abat sur nous. Mais comme vous vous en doutez sans doute à la lecture de ces lignes, nous avons survécu.
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Vient ensuite le moment de reprendre la route car il nous reste un paquet d’iles paradisiaques à visiter. La vie ne nous laissera-t-elle donc jamais nous reposer ? Enfin, trêve d’apitoiement sur nous-même. Notre vie est dure mais nous avons un travail à accomplir : en profiter.
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Nous rejoignons dans l’ile de Koh Tao surnommée l’ile aux tortues. Pas de faits marquants ici, si ce n’est que Chloé a adopté un poisson pilote et que Félix a était maudit sur cent génération par un local … Allez je vous raconte, vous en mourrez d’envie avouez le.
Bon ! Commençons par Chloé. Tandis que nous étions à la recherche des fameuses tortues à l’aide de moyens ultra sophistiqués (masque et tuba), un poisson long et fin (un peu bizarre à vrai dire) que l’on retrouve fréquemment accroché aux carapaces des tortues de mer a pris Chloé pour… une tortue et s’est faufilé dans son short. Malgré cette rencontre un peu effrayante et l’arrivée pile à ce moment de deux gros requin juste sous ses pieds, Chloé n’a pas une seconde cédé à la panique, ni failli se noyer. Un modèle de sérénité.
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Felix, quand à lui, fût pris sur le retour entre la plage et l’hôtel d’un besoin pressant. N’écoutant que son courage (et ses intestins), il abandonne son scooter et court derrière les buissons du bord de route, se retrouve dans un jardin et se met à l’ouvrage. Tout à coup, un homme sort de la maison dont dépend le jardin, alerté par ses chiens aboyant et se met à crier sur Félix. Malgré notre parfaite maitrise du Thai, la décence nous interdit de retranscrire ici les propos tenus par l’homme. Toujours est-il que nous prenons fuite.
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Après ces aventures, nous prenons la route (ou plutôt la mer) pour la ville de Krabi. N’y ayant pas vécu de choses extraordinaires, nous passerons rapidement sur ce chapitre. Excursion en bateau dans la baie et exploration de la caverne géante que nous avions déjà eu le loisir de découvrir l’an passé et c’est tout (et puis ça raccourci un peu l’article parce que bon, là ça va finir par faire long).
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Enfin, avant de rejoindre Phuket pour embarquer sur notre vol direction Bali, nous faisons une halte de quelques jours sur Koh Yaonoi. Pas grand-chose à raconter, puisque cette petite île en très grand majorité musulmane est extrêmement calme. Le seul événement perturbateur survenu au cours du séjour fût l’agression d’une abeille à l’encontre de mon pied, lequel se vit doubler de volume pendant plusieurs jours. La routine.
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Quoi qu’il en soit, bien que cette ile ne recèle aucun paysage grandiose, son calme et la différence d’atmosphère que j’attribut en grande partie à la différence de culture en font mon coup de cœur de ce périple entre les différentes iles du sud.
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Voilà! La Thailande du sud c’est (re) fait. Que dire de plus pour conclure ? Que les paysages étaient une fois de plus magnifiques ? Que l’eau était chaude et translucide ? Que les requins ça peut faire peur, mais moins que les poissons pilotes de tortues ? Que la tourista n’attend pas ? Que les abeilles ça pique ? Non je crois qu’il n’y a rien à dire de plus. Je n’ai aucun doute concernant le fait que vous ayez compris l’essentiel.
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Allez hop, un dernier petit curry et puis c’est parti direction l’Indonésie.
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lespetitspedestres · 6 years
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Voyage au pays des Khmers
Souvenez-vous, dans le précédent épisode le suspens était à son comble! Les petits pédestres vont-ils parvenir à embarquer sur leur vol?
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Par chance, Air Asia étant une compagnie un minimum organisée, quelqu’un s’aperçoit de notre absence et une hôtesse de l’air vient donc à notre secours. Après de longues minutes de stress et d'incertitude, nous sommes finalement autorisés à embarquer et c’est un peu honteux que nous prenons place dans l’avion (après tout le monde) juste avant le décollage! Ouf on peut enfin relâcher la pression! Le vol dure seulement une heure pour rejoindre la petite ville de Siem Reap qui se trouve à peu de distance des temples d’Angkor. 
Il fait terriblement chaud et, bien que les temples soient magnifiques, nous ne pouvons-nous empêcher de rêver de la mer. Néanmoins, il nous faudra prendre notre mal en patience puisque nous ne rejoindrons la côte Cambodgienne que dans 2 semaines. Pour le moment, nous voilà partis pour jouer les Indiana John à travers les majestueuses ruines d’Angkor. On grimpe, on saute, on découvre des petits recoins secrets, bref de vrais explorateurs à la recherche des temples perdus.
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Le matin du deuxième jour, on décide d’aller admirer le lever du soleil au-dessus des temples. C’est frais comme des gardons que nous empruntons un tuk tuk à 3h du matin pour jouir d’un moment unique entouré de 1500 AUTRES TOURISTES!!!! Et quand ça veut pas, ça veut pas (chose qui sera assez fréquente avec nous au Cambodge). En plus de la foule, le lever de soleil se fait derrière les nuages, quoi de plus splendide?? Néanmoins, nous ne regrettons pas de nous être levés aussi tôt, car en cette heure matinale, la température demeure fraiche et nous pouvons achever les visites seuls au monde et avant que le soleil ne soit haut dans le ciel.
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Une bonne expérience, mais il est temps pour nous de délaisser la ville de Siem Reap pour prendre la route direction Batambang. Le plus intéressant pour nous est le trajet jusqu’à cette ville étape. En effet, celui-ci s’effectue en bateau, à travers les bras tentaculaire du gigantesque Tonle sap, un lac sur lequel sont implantés de nombreux villages flottants tous plus beaux les uns que les autres. Le trajet est long, mais les scènes de vie qui défilent sous nos yeux nous font oublier le temps.
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Nous parvenons finalement à destination au terme d’un voyage de plus de sept heures. A destination? Pas tout à fait. Un chantier de reconstruction d’un pont sur la rivière nous oblige à emprunter un tuk tuk pour les dix derniers kilomètres. Rien de bien grave, mais après avoir payé une somme relativement importante pour rejoindre Battambang en bateau, nous voilà à nouveau obligés de raquer pour le tuk tuk. Cela représente plutôt bien la vision que nous avons désormais du Cambodge : un endroit où nous ne pouvons faire confiance à personne dès lors qu’il est question d’argent. Ici, il y a toujours un supplément à payer et ce, même si le tarif de base est supposé représenter un service «all included».
Enfin, l’essentiel c’est que nous parvenons à bon port. Nous demeurons 3 jours à Battambang, juste le temps d’aller visiter un site d’extermination datant de l’époque des Khmers rouges, d’assister à l’envol des quelques dizaines de milliers de chauves-souris au crépuscule depuis la bat cave (ouai, comme dans batman), et de prendre un cours de cuisine.
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Si le cours de cuisine et l’observation des chauves-souris se déroulent dans la bonne humeur, la visite de la grotte qui a vu mourir d’une manière atroce des milliers de personnes sous le régime de Polpot et ses compagnons est un moment difficile et l’on ne peut qu’imaginer les souffrances endurées par ce peuple lors de ces événements qui ont eu lieu seulement quarante ans auparavant. Des événements qui ont été à l’origine de la disparition d’un Cambodgien sur quatre. Enfin, pour en revenir à un sujet plus léger, le cours de cuisine fût un grand moment pour nous tous : c’était la première fois que nous voyions Félix cuisiner. Ça vaut des points.
Pour l’heure, nous devons prendre le bus direction Kampot. Celui-ci parcourt le trajet entre Battambang et Phnom Penh durant la nuit et est muni de couchettes. De quoi passer une bonne nuit. Nous sommes supposés arriver vers 5 heures du matin à la capitale, puis repartir à bord d’un autre bus sur le coup des 6 heures. En théorie, nous devrions arriver à Kampot vers 10 heures du matin. Seulement voilà, le bus n’arrive pas et lorsque nous demandons des renseignements à l’accueil de la compagnie, la personne nous dit que le bus arrivera à 8 heures, puis à 9 heures, puis à 10 heures. Nous voyons rouge et finissons par vraiment râler. La femme finit donc par nous avouer que le chauffeur du bus est là depuis le début mais qu’il dort. La bonne blague. Nous nous efforçons donc de réveiller l’homme qui s’avère être très désagréable avec nous alors que nous l’attendons depuis plus de 4 heures. C’est donc tout naturellement que nous faisons péter le scandale dans la gare. Nous réclamons un taxi payé par la compagnie pour rejoindre Kampot. La femme nous assure que celui-ci est en route, mais  évidemment, ce n’est pas le cas. En vérité, c’est un tuk tuk qui vient nous chercher pour nous emmener à un minibus d’une compagnie concurrente. Pour couronner le tout c’est le jour ou la méga tourista a décidé de s’en prendre à moi. On se souviendra longtemps de ce trajet.
Enfin, quelques heures plus tard, nous voici enfin arrivés à destination. Kampot est une petite ville du Sud du pays dont une des principales activités est la production du fameux poivre de Kampot, mondialement réputé pour sa qualité et ses saveurs uniques. Après une journée de farniente, nous visitons en scooter les marais salants proches de la ville, puis nous nous rendons à «la plantation», une exploitation agricole entièrement dédiée à la production de poivre bio. La visite est intéressante, et nous avons l’occasion, pour la première fois de nos vies, de faire une dégustation de poivre. C’est bon mais ça arrache.
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Le lendemain, nous prenons les motos afin de nous rendre à la ville de Kep, à une heure à l’est de Kampot. Ici, la spécialité c’est le crabe au poivre de Kampot. Nous nous rendons donc au crab market afin d’en déguster un plat. Enfin, ne serait-ce que pour l’expérience de manger des produits ultra frais, locaux et cuisinés sur le marché, nous ne regrettons pas d’avoir fait le déplacement jusqu’ici. Pourtant, dieu sait que de nombreuses péripéties nous attendent. Nous ne sommes pas au bout de nos surprises. Apres un petit coucher de soleil dans un hamac à siroter une binouse, le scooter de Félix donne des signes de faiblesse au démarrage.  
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Peut-être que nous pourrons tout de même finir notre excursion dans le secteur et rentrer à Kampot avant que la machine ne décide définitivement de ne plus fonctionner. Et bien non. Nos espoirs sont vains et nous sommes donc forcés de téléphoner au loueur  qui fait le déplacement afin de nous dépanner. Deux heures plus tard, voici le patron qui débarque accompagné de son « mécano ». Etant partis prendre une douche à l’hôtel, nous avions abandonné le scooter de Félix sur le bord de la route. A l’annonce de l’arrivée de cette fine équipe, nous enfourchons le scooter restant  et prenons la route. Enfin… Nous tentons de prendre la route puisque celui-ci décide à son tour de ne plus fonctionner. Nous prenons donc un taxi qui nous dépose près du lieu où nous avons laissé la première moto. Nous constatons le problème (en clair, nous râlons) et retournons à l’hôtel à bord de la voiture du patron de l’agence de location. Nous constatons le problème sur le deuxième scooter (comme un air de déjà vu) et partons manger pendant que le binôme se charge des «réparations». Une ou deux heures plus tard, tout est ok. Les scooters démarrent et nous pouvons donc envisager les visites du lendemain. Ce sera donc visite d’un parc naturel, visite d’une plantation de poivre plus petite que la première et peut être, de la grande serre aux papillons de la région. Mais tous ces projets, c’était avant. Avant quoi nous direz-vous. Hé bien tout simplement avant que nous rejoignions le distributeur le plus proche à quelques kilomètres et que nous rendions compte au moment de repartir, que notre scooter, réparé la veille, ne fonctionnait à nouveau plus.
Nouveau coup de fil au patron de l’agence de location. Une heure plus tard, le «mécano» est arrivé et nous prête le scooter qu’il a lui-même utilisé pour venir.
Avant que notre nouvelle monture ne décide à son tour de refuser de démarrer,  nous prenons la route direction Kampot. Nous ne passons qu’un court moment dans le parc naturel qui surplombe la ville car nous en avons plus qu’assez de toutes ces mésaventures et souhaitons rentrer, si possible sans encombre.
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Le lendemain, nous décidons de faire un petit tour en canoé à green cathédral. Ici, nous pagayons sur un canal qui serpente au milieu des mangroves. La végétation forme un véritable tunnel, ce qui donne ce fameux effet cathédrale. Le moment est agréable, surtout lorsque l’on concentre son regard sur le « plafond », car malheureusement, le canal est absolument immonde dans le sens où il s’agit d’un véritable égout
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. Bon, ce n’est pas tout ça, mais il faut peut-être que l’on finisse par rejoindre la mer. Bien sûr, cela fait quelques jours déjà que nous sommes à proximité de la grande bleue, mais là on parle de la vraie mer. Celle avec l’eau turquoise et le sable blanc très très fin. C’est que l’on finirait par devenir exigeants.Et ça tombe bien puisque notre prochaine destination est l’ile de Koh Rong Samloem. Ici, les plages sont paradisiaques (bien que souvent couvertes de déchets pour les moins fréquentées d’entre elles). 
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Pas de routes et donc, pas de scooters et de voitures. L’endroit est donc d’un calme extrêmement appréciable, loin de la cacophonie des klaxons et des pots d’échappement king size ultra bruyants dont les amateurs de tunning sur mobylette sont si friands. Nous nous déplaçons donc à pied sur les petits sentiers de l’ile, rayonnant autour de notre hôtel qui bien que situé dans un secteur particulièrement calme (et donc  propice à de bonnes nuits de sommeil), possède le charme spartiate  d’un camp de migrants. Matelas au sol, murs en carton, toit en baches, tout est réuni pour donner à ce lieu un certain cachet. D’une manière générale, nous ne faisons néanmoins pas grand-chose. Ormis une randonnée de 2 ou 3 heures dans la jungle à la recherche des petites plages isolées, et deux petites virées jusqu’à la sunset beach qui, comme son nom l’indique, offre une vue splendide sur le coucher de soleil. De plus, à l’occasion de notre deuxième passage sur cette plage, nous  nous autorisons une petite baignade nocturne. Et là, nous vivons un moment magique: tandis que nous nageons, des millions de planctons luminescents scintillent à notre contact.
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Nous rentrons ensuite à l’hôtel, des étoiles plein les yeux, et buvons quelques verres. Nous nous rendons compte au passage que nous avons perdu toute capacité à picoler sans en subir les conséquences le lendemain. Et c’est donc quelque peu vaseux que nous nous réveillons le matin suivant. Et une surprise de taille nous attend : un énorme gecko (que nous n’avons pas réussi à observer) a lâché une énorme crotte sur nos vêtements. Sympa. Nous débutons donc la journée par une séance de lessive à la main. Quoi de meilleur pour se remettre des abus de la veille.
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Quoiqu’il en soit, le soir même, après une journée de glandouille intensive sur la plage, nous nous couchons quasiment avec le soleil car, au petit matin, nous prenons le bateau puis le bus direction Phnom Penh. Félix décide malgré tout de récidiver sur la boisson.
Nous voici donc sur le bateau après une bonne nuit de sommeil pour notre part et une bonne deuxième cuite pour Felix (malgré nos mises en garde). Celui-ci ne se sent pas très bien et prend une jolie teinte vert olive lors de la traversée (il a d’ailleurs de l’olive à cocktail la couleur, mais aussi l’odeur). Enfin, après un trajet bateau/bus d’une journée complète, nous parvenons à la capitale d’où nous prendrons l’avion dès le surlendemain afin de rejoindre le sud de la Thailande. Néanmoins, avant cela nous devons visiter la prison S21 histoire de finir ce séjour sur une note joyeuse… S21 est un centre de détention et d’interrogatoire qui fût utilisé par les Khmers rouges afin de soutirer des aveux de la part des «ennemis de la révolution». Un lieu de cauchemar transformé en musée du génocide entre les murs duquel plus de 17000 opposants au régime de Pol pot passèrent et dont seulement 7 ressortirent vivants. Une visite difficile mais intéressante, preuve s’il en est de la faculté de l’homme à repousser toujours davantage les limites de l’horreur et à s’enfoncer dans la folie. Nous déambulons plusieurs heures durant dans les couloirs de ce lieu morbide, observés de tous côtés par les visages aux regards vides des prisonniers dont les portraits sont exposés dans chaque recoin des bâtiments. Nous apprenons beaucoup sur les événements qui se sont déroulés ici et plus généralement dans le pays tout entier.
Enfin, après cette journée quelque peu morose, nous rejoignons l’aéroport afin d’embarquer pour notre prochaine destination : la Thailande (à croire qu’on aime ce pays).
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lespetitspedestres · 6 years
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Thailande nous revoila
Nous quittons la Nouvelle Zélande avec un pincement au cœur, mais aussi avec des envies de bonne bouffe et de soleil. Cela tombe bien puisque notre destination suivante n’est autre que le royaume de Siam que nous avions déjà eu l’occasion de découvrir l’an passé. 
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Nous atterrissons à Bangkok  après une dizaine d’heures de vol. Ici, une sympathique chambre dans une guesthouse aux allures de maison traditionnelle chinoise nous attend.
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 Cette fois-ci, la tourista ne pointe pas le bout de son nez et nous pouvons donc profiter pleinement de la ville. Bien sûr, nous ne pouvons pas rester à Bangkok pendant 3 jours sans visiter les temples bouddhistes. Et, force est de constater que ceux-ci nous avaient laissé un souvenir impérissable. C’est toujours kitch à souhait. Félix visite le palais royal et en ressort tout comme nous il y a un an: avec 3 dixièmes de moins à chaque œil. 
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Le soir venu, nous prenons la direction de China town afin de visiter ce quartier extrêmement vivant où nous dénichons un petit bouiboui de rue qui connait un impressionnant succès. Voilà ce dont nous rêvions depuis des mois: de bons petits plats à base de poisson et épicés à souhait. Un régal, bien loin des nouilles chinoises instantanées de Nouvelle Zélande.
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Nous visitons également le temple (ah ben oui on vous avait prévenu) qui abrite le big Buddha. Un Buddha doré de plus de 20 mètres de long, nonchalamment allongé sur le flanc.
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Nous parcourons ensuite les canaux de la ville en bateau après qu’un couple de touristes nous ait donné deux tickets. Les scènes de vie défilent sous nos yeux et nous permettent de découvrir un Bangkok plus calme et plus authentique. Une bonne expérience donc.
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Enfin, pour clôturer notre séjour dans la capitale Thai, nous nous permettons un petit apéro en terrasse d’un bar avec vue sur le Wat arun au coucher du soleil.
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Le lendemain, nous rejoignons la petite ville de Sukotai, première capitale de Siam, réputée pour ses temples anciens. Pour une fois que nous visitons des temples en pierre sans fioritures. La sobriété a parfois du bon.
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Nous prenons ensuite la route direction Chiang Dao afin de rejoindre Damien et Lise, le couple de français que nous avions rencontré en woofing lors de notre premier séjour en Thailande. Leur petit garçon a bien grandi, et la petite famille s’est agrandie avec l’arrivée d’un petit nouveau que nous nommerons boul’buddha. Nous restons 3 jours à proximité de la ville, car ici se déroule un festival d’une semaine. Entre «musique», jonglage, spectacles de feu et ateliers de yoga, nous vivons la vie de véritables hippies. Ce festival nous permet aussi de faire bombance grâce à la présence de nombreux stands dédiés à la nourriture laquelle s’avère être plutôt bonne.
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Nous quittons le monde des hippies au bout de quelques jours afin de rejoindre Chiang rai et ses alentours. Et nous ne sommes pas déçus car, le secteur regorge de choses à visiter. Tout d’abord, nous avons pu assister à «l’’international balloon festival», qui regroupait à vue de nez une bonne cinquantaine de montgolfières de formes diverses et variées, et provenant des quatre coins du globe. Un magnifique spectacle qui attire des MILLIERS de touristes thaïs, d’autant plus qu’un grand concert est prévu pour la soirée. Une ambiance de folie.
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Après toutes ces festivités, nous nous accordons une journée plus tranquille durant laquelle nous ne programmons qu’une seule visite, celle du temple blanc. Point d’intérêt incontournable de la ville de Chiang rai, ce monument religieux récemment édifié met en scène un certain nombre de personnages emblématiques du bouddhisme, tels que Pikachu, Gollum ou encore hellboy. Bref, le genre de lieu qui respire le mysticisme.
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La visite ne nous occupe qu’une petite heure, mais c’est plus qu’il n’en fallait pour nous ouvrir l’appétit, et c’est donc avec une faim dévorante que nous rejoignons notre cantine officielle. Celle-ci, située sur la grande place de la ville et noyée dans la masse des autres bouiboui nous sert tout un panel de délicieux petits plats que nous avons le loisir de déguster sur une table au beau milieu de la place. Tout cela, devant un concert spécialement prévu pour la saint Valentin (mais qui a lieu tous les jours). C’est fort déçus de ne pas pouvoir assister plus longtemps à cette perle de la musique Thai que nous rejoignons notre hôtel, car le lendemain, nous prévoyons de rejoindre le petit village de Mae Salong en scooter. Celui-ci se situant à plus d’une heure de route au nord, nous devons partir tôt afin de profiter un maximum une fois sur place. Après un long trajet (de PLUS d’une heure), nous parvenons enfin à destination. Le village offre des panoramas splendides sur les vallées environnantes, en partie couvertes par les plantations de thé. 
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La présence d’un très grand nombre d’habitants originaires de Chine crée une ambiance tout à fait particulière, d’autant que nous tombons en plein nouvel an chinois. Ainsi, lors de nos balades à moto dans les villages ethniques alentours nous rencontrons un certain nombre de personnes qui nous invitent chez elles afin de partager boissons, fruits et galettes de riz. Et c’est à pleines dents que nous croquons dans ces délicieuses galettes de riz mi fades mi pâteuses, qui finiront directement dans nos poches grâce à une habile technique de dissimulation. Nous repartons donc avec une belle soif, des estomacs bien calés, et des poches bien remplies.
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Nous prenons dès le lendemain la route pour retourner à Chiang Rai en profitant du trajet pour nous arrêter aux jardins et à l’arboretum royal. Si le premier est esthétiquement très réussi, il n’en est pas moins bondé de touristes, et nous avons donc une préférence pour le second qui nous permet de nous promener dans un calme absolu.
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De retour à Chiang Rai, nous rejoignons notre cantine et nous renseignons sur les possibilités de trekking dans les montagnes environnantes. Et c’est donc avec Lu que nous prenons la direction d’un petit village de montagne. Après une heure de bateau sur la rivière, nous débutons une marche de trois heures qui doit nous conduire au village. Malheureusement, mon corps me fait une fois de plus comprendre que les températures élevées ne me siéent guère et je suis donc forcé de parcourir la quasi-totalité du parcours à mobylette. Cela s’avère plutôt agréable même si, du coup, je ne profite pas des informations dispensées par Lu. Une fois parvenu à la cascade qui annonce un but final tout proche, nous prenons un bon bain revigorant. Le village n’est plus qu’à une demi-heure de marche, à l’ombre de la forêt. C’est donc (presque) tout frais que nous parvenons à destination.
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Le soir venu, nous assistons aux danses des villageoises qui célèbrent le nouvel an chinois (et oui encore). Lu et Félix se mettent chiffons cartable au whiskey de riz et nous passons une nuit quelque peu agitée. C’est avec une gueule de bois digne d’un lendemain de nouvel an (chinois) que notre guide nous conduit sur les petits sentiers environnants.
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Sur le chemin, nous nous arrêtons pour cuisiner un délicieux petit plat au bambou qui sera mangé bien plus vite qu’il n’a été préparé. 
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Une fois parvenus au village marquant la fin du trek, nous profitons des sources d’eau chaudes naturelles qui y jaillissent. Quoi de meilleur après 4 heures de marche sous un soleil de plomb?
Finalement, ce trek aura été une très bonne expérience au cours de laquelle nous aurons appris de nombreuses choses sur les différents usages du bambou et sur la réalité de la vie de moine bouddhiste en Thaïlande. Et oui, Lu nous a confié avoir exercé cette «profession» pendant 5 ans, et a par la même confirmé ce que nous soupçonnions depuis bien longtemps, à savoir que beaucoup de jeunes moines suivent la voie de la religion dans le seul but de vivre tous frais payés grâce aux donations de leurs ouailles. De beaux escrocs ces moines.
Il est temps pour nous de rejoindre Damien et Lise à Pai. C’est donc très confiants que nous nous rendons à la gare routière de Chiang Rai afin d’y prendre le bus pour Chiang mai d’où partent les bus pour Pai (oulala c’est compliqué). Seulement voilà, une fois parvenus à destination, nous nous apercevons que tous les bus sont complets et nous nous trouvons légèrement désemparés! Fort heureusement, nous ne sommes pas les seuls à être dans le pétrin. Après un long moment passé à rechercher des places de bus qui n’existaient pas, un chauffeur nous conseille de louer un minibus privé. La voilà la solution. Reste seulement à trouver suffisamment d’autres personnes intéressées afin de diviser les frais. Au bout de 2 heures de recrutement, nous sommes complets et pouvons prendre la route. Ha cette dure vie de voyageurs, obligés de privatiser un bus. Pai nous voilà!
Que dire de Pai? Et bien pas grand-chose. Hormis quelques balades tranquilles à scooter et un coucher de soleil sur le canyon, nous ne faisons pas grand-chose, et ça fait du bien. Ben oui, à un moment le corps dit stop. Un peu de jardinage, mais nous passons surtout beaucoup de temps au marché du soir. Bref, on s’en met plein la panse.
La semaine s’écoule rapidement, et il est déjà temps pour nous de rejoindre Chiang Mai afin de visiter le parc naturel de Doi Inthanon. Nous visitons donc le parc naturel en une journée, en mode petits vieux, c’est-à-dire grâce à un tour organisé. Nous admirons de jolies cascades, visitons une sorte de tourbière et finissons par rejoindre à pied un petit village vivant de la culture du café. Le café était délicieux, le village était beau et les gens agréables. Autant dire que cela nous a plu et nous avons fortement songé à nous installer ici, mais force est de constater qu’ils n’ont ni saucisson, ni saint Nectaire. Nous passerons donc notre tour.
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Nous prenons la direction de l’aéroport avec, en ligne de mire, le Cambodge et ses fameux temples d' Angkor Wat. Le trafic sur le chemin de l’aéroport est dense, mais nous sommes dans les temps. Tellement dans les temps que nous décidons de boire un café au bar en attendant que notre vol soit affiché sur les écrans. Le check in n’a toujours pas débuté. Aucune raison de se presser donc. Quelques minutes plus tard, notre vol apparait.
Nous nous rendons donc au comptoir et apprenons que le check in est achevé. Que s’est-il passé, une faille dans l’espace-temps? Un nouvel enlèvement par des êtres venus d’ailleurs (voir NZ) ? Encore un phénomène inexpliqué… . Quoique en soit, nous sommes en retard, très en retard et l’avion est sur le point de décoller. Nous nous élançons donc à corps perdus à travers l’aéroport, passant les uns après les autres les postes de sécurité. Nous pensons voir enfin le bout du tunnel lorsque nous atteignons tous transpirants et haletants le dernier checkpoint. Catastrophe! Le billet de Felix comporte un défaut d’impression et nous nous retrouvons bloqués à quelques pas de la zone d’embarquement… Comment cela va-t-il finir? Les petits pédestres parviendront ils à surmonter ces obstacles? La réponse dans le prochain épisode!!
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lespetitspedestres · 6 years
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L’heure du bilan: Nouvelle Zélande
Et voilà presque dix mois de passés en Nouvelle-Zélande et c’est déjà l’heure de la fin. Entre travail, randonnées, VTT, baignade, surf et bouffe, nous n’avons pas eu le temps de nous ennuyer. Un petit coup de cœur pour le pays du long nuage blanc. Il faut dire que la Nouvelle Zélande ne manque pas de charme.
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Ce que nous avons aimé:
-          Les paysages extrêmement diversifiés entre mer, eaux turquoises (quoiqu’un peu fraiches), lacs, montagnes, glaciers et jungle luxuriante.
Grosso modo, la Nouvelle-Zélande regroupe toutes sortes de paysages pouvant évoquer aussi bien la Thaïlande que l’Irlande ou encore l’Amérique du sud. Bref, vous l’aurez compris, il est difficile de se lasser de ce qui s’offre chaque jour à nos yeux (pourtant on a vraiment essayé de se lasser, mais que voulez-vous, parfois en voyage on essuie des échecs).
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-          La gentillesse des gens. Car s’il y a bien un point à retenir sur les Kiwis, c’est que ce sont, pour la plupart, des gens très avenants, et vraiment serviables. Vous savez, ce genre de personne qui s’arrête de manière quasi systématique si vous êtes victime d’une crevaison en bord de route et qui, non content d’avoir remonté la roue à votre place, vous fait également la révision du moteur et la vidange et vous donnent un contact pour dégoter un emploi si vous en cherchez un (dernier point véridique).
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-          Enfin, vous n’en croirait surement pas vos yeux à la lecture de ces lignes, mais nous avons ADORE LE TRAVAIL. Oui oui, vous avez bien lu. Ici, pas de pression. Le travail doit être bien fait, peu importe le temps que cela prend. Pas de jugement, et beaucoup de confiance. «Tu as déjà fait une piqure à un veau? Non? Alors voilà, on fait comme ça. Demain tu pourras refaire la même chose tout seul.» Les Kiwis, même si ils ne sont pas forcément tous comme ça, ont tendance à donner facilement une chance dans le travail, même lorsque l’on n’est pas qualifié. Quant à la recherche d’emploi, rien de plus facile (en tout cas, pour des jobs qui ne nécessitent pas d’expériences ou de compétences particulières). A partir du moment où nous avons débuté notre recherche d’emploi, jusqu’au moment où nous avons été embauchés, il se sera écoulé seulement une semaine! Le travail à la ferme en lui-même nous a beaucoup plu parce que «nous c’qu’on aime c’est laver des abreuvoirs! Surtout quand il pleut! Surtout quand il pleut!» et il pleuvait souvent… Une excellente expérience qui nous aura montré que dans certains pays, on peut être patron sans être c…
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Ce que nous avons moins aimé:
-          La bouffe, pas besoin d’en dire plus je pense que vous l’aviez déjà deviné.
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-          La délation! En effet, si les Kiwis sont des gens tout à fait charmant tant que vous restez dans le cadre de la loi, ils sont toutefois très pointilleux et capable de délation dès lors que vous sortez des clous. Pas question donc de dormir dans notre Josy en ville ou dans les endroits où le camping n’était pas autorisé (même si cela nous est arrivé occasionnellement) ni de dépasser les limitations de vitesse. L’exemple le plus marquant restera sans doute cette femme qui, alors que nous avions été arrêté pour excès de vitesse (shame L), est venu montrer au policier une vidéo prise alors qu’elle conduisait, d’un véhicule l’ayant dépassé en roulant au-dessus de la limite de vitesse autorisée. Nous ne parlerons pas de la dangerosité de l’action de filmer en conduisant…
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-          Le greenwashing: La nouvelle Zélande est un pays magnifique mais risque fortement de ne pas le rester. En effet, lorsque l’on observe un peu la manière dont fonctionne le pays d’un point de vue gestion environnementale, on se rend compte que l’on est à des années lumières de ce qui fait l’image d’une nouvelle Zélande très «verte». Au passage, félicitation au service de com de «l’office du tourisme néo-zélandais». Parce qu’ils ont su presque élever au rang de paradis «écologique» un pays qui pollue ses rivières, utilise les pesticides et désherbants chimiques à tour de bras, et rase des forêts de plusieurs dizaines d’hectares, laissant les sols à nu et détruisant par la même les habitats des quelques espèces faunistiques et floristiques qui ont pu survivre tant bien que mal jusque-là. Et comme ces forêts ne présentent pas un rendement suffisant, autant replanter de l’épicéa en monoculture. Et sinon, comment ça se passe au quotidien? Déjà, il suffit de faire ses courses pour comprendre qu’il y a un gros problème, car outre les habituels emballages poupées russes des différents produits dénichés dans les rayons, on constate que la distribution des sachets plastiques à la caisse est énorme. A la ferme, nous utilisons chaque jours à n’en pas douter plusieurs mètres cube d’eau rien que pour le nettoyage des salles de traite. Mais, l’agriculture, bien que représentant sans doute la part la plus important des pollutions générées sur le territoire n’est pas la seule aberration. Dans un pays où la pluie est à peu près aussi présente qu’elle l’est en Bretagne et où les températures se rapprochent davantage de celles du Nord Pas-de-Calais que de celles du Maroc, les habitations ne possèdent pas d’isolation et doivent donc être chauffées (souvent par des moyens extrêmement couteux en énergie) tout au long de la journée et de la nuit, sous peine de se réveiller le matin dans une pièce où règne une température de 6°C (c’est du vécu) Enfin, pour revenir sur la pollution incroyable qui règne au sein des cours d’eau, il nous semble important de parler, juste pour l’anecdote de ce fameux lac situé près de la ville de Christchurch, et qui s’avère être en réalité un gigantesque réservoir d’effluents issus de l’élevage laitier. En clair (pas comme «l’eau») il s’agit d’un lac de caca de vache, dans lequel nous avons eu la bonne idée d’aller faire trempette. Mais ça, nous ne l’avons appris que plus tard en regardant un documentaire sur le désastre écologique que représente l’agriculture en Nouvelle Zélande (ici à partir de 1H35 https://www.youtube.com/watch?v=ZRfTmHblbjg  )
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-          Le charme des villes. Mais que reprocher au charme des villes de Nouvelle Zélande nous direz-vous. Rien, si ce n’est son absence. Ici, tout est propre, très propre, trop propre. Tout est carré, rien ne dépasse et l’on a la nette impression d’arpenter un décor de cinéma ou une allée commerçante à Disneyland, à cette différence près que Mickey, Dingo et Minnie sont remplacé par des Kiwis qui, après 19 heures rejoignent tous le confort douillet de leur fauteuil «Lazy boy», conférant ainsi aux rues de leurs villes un aspect quelque peu… déprimant.
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Nous espérons que vous aurez pu apprécier les paysages néo-zélandais grâce à ces quelques clichés. Quoi qu’il en soit, bien que tout ne soit pas tout rose (ou vert) au pays du long nuage blanc, il faut bien avouer que nous avons pris un immense plaisir à arpenter les routes et chemin de ce pays qui nous laissera un souvenir impérissable. Voici venue maintenant l’heure de rejoindre l’Asie, et plus précisément la Thaïlande sur laquelle nous devons prendre notre revanche. Vous pourrez donc nous retrouver au royaume de Siam dans le prochain épisode «we will be back…».
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#nz
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lespetitspedestres · 6 years
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Tant pis pour le sud
................C’était pourtant bien.
Nous avons fini par quitter l’ile sud et c’est la tristitude. Le ferry glisse lentement sur un océan gris et brumeux qui reflète notre état d’esprit à la perspective de quitter les paysages merveilleux qui nous ont entourés durant 3 mois. Mais tout n’est pas perdu et l’ile nord nous réserve encore quelques belles surprises!
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Le débarquement se fait à Wellington sous une pluie battante et un vent à décorner les bœufs. Nous rejoignons donc rapidement le camping à l’extérieur de la ville. Ce soir, pour la première fois, nous allons pouvoir expérimenter la nuit à trois dans Josy. Finalement, bien que ce ne fut pas la meilleure nuit de nos existences, nous sommes parvenus à dormir. C’est donc tout reposés (ou presque) que nous rejoignons le lendemain, le musée national de Wellington. Ici, une très grande partie des expositions est dédiée à la faune et la flore néo-zélandaise, tandis que l’autre partie retrace l’histoire du pays depuis l’arrivée sur ses côtes des premiers maoris. Le temps est toujours aussi exécrable, mais nous décidons tout de même de monter à pied sur les hauteurs de Wellington. Nous atteignons un point de vue à 360 degrés sur la ville, prenons quelques photos et regagnons rapidement le bas de la colline avant que n’arrive la prochaine averse.
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Le lendemain, Chloé et Félix se rendent aux red rocks, non loin de la ville, tandis que je pars faire du VTT au bike park. Visiblement, les red rocks (qu’ils ont parcouru en courant en qualité de grands sportifs) ne leur laissent pas un souvenir impérissable. Quant à moi, je profite d’une nouvelle vue sur la ville plutôt sympathique depuis les sommets alentours …
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Le soir venu, nous reprenons la route en direction du Cap Palissier et de son phare (point le plus méridional de l’ile nord) où nous parvenons à temps pour profiter du coucher de soleil depuis le phare (qui se trouve au sommet d’un escalier montant tout droit à travers une pente impressionnante).
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Le jour suivant, nous explorons davantage le secteur, entre randonnée dans les Pinnacles (impressionnantes formations rocheuses théâtre d’une scène du seigneur des anneaux), et baignade dans la rivière et les gorges.
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Nous nous dirigeons dès la fin de la journée vers le parc national du Tongariro au centre de l’ile. Seulement voilà, nous n’avions pas prévu l’imprévisible. Tandis que nous roulions à travers la campagne Kiwi en direction du parc national, un phénomène étrange se produisit. Nous constatâmes au beau milieu du trajet que nous roulions depuis pas moins de 3 heures alors que l’itinéraire représentait un total de 200 kilomètres, donné pour 2 heures 30 environ. La route étant large et en bon état, il aurait dû nous être facile de parcourir cette distance et d’arriver à destination dans les temps. Au lieu de cela, il nous aura fallu 5 heures. Reste donc 2 heures et 30 minutes de vide durant lesquels nous ne savons pas ce qu’il s’est passé. Passage par un couloir inter dimensionnel? Anomalie dans l’espace-temps? Conduite de la voiture par Chloé ou encore enlèvement par des êtres venus d’une galaxie lointaine? Qui sait? En tout cas, une chose est sure: la vérité est ailleurs…
C’est donc le matin suivant que nous parvenons à destination (oui oui on s’est arrêtés pour dormir avant la fin du trajet). Nous profitons du soleil  pour faire une petite randonnée de 17 km qui nous mène à un point de vue sublime sur deux lacs du parc national. Au retour, nous passons devant la Taranaki waterfall. Une chute d’eau impressionnante d’une vingtaine de mètres de hauteur grâce à laquelle nous prenons une douche gratuite et très vivifiante. C’est d’ailleurs un endroit très réputé pour sa vivifianceté. Cette balade aura également été marquée par le fait que Felix a réussi à se perdre sur le seul chemin existant. Joli coup.
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Notre Josy commençant à émettre des bruits étranges au freinage, nous nous rendons dans un garage en ville. Bilan: Les plaquettes sont mortes et nous allons donc devoir prendre rendez-vous pour remettre en état notre fidèle destrier. Le lendemain journée pluvieuse, journée repos avant une grosse rando, Josy honore également son rendez-vous chez le garagiste, et c’est ainsi que nous retournons au camping le cœur (et surtout le portefeuille) léger. Après une courte nuit de sommeil, réveil matin six heures: ça pique. Je dépose Chloé et Félix au départ de la randonnée et repart en direction de l’arrivée pour déposer Josy et prendre la navette conduisant au départ (oui nos vies sont compliquées). Nous parcourons les 17 kilomètres avec la rapidité qui nous caractérise (on est trop forts et surtout modestes) tout en profitant des paysages grandioses qui s’offrent à nos yeux. Entre lacs de montagnes, volcans, déserts arides aux couleurs noires, ocres, jaunes et j’en passe. Finalement, un émerveillement pour les yeux malgré la présence de plusieurs centaines de touristes qui rendent l’endroit quelque peu… habité. Enfin, au terme de 5 heures de marche, nous parvenons à l’endroit où j’avais laissé, le matin même, notre maison.
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LA randonnée du Tongariro étant faite, nous pouvons maintenant prendre la direction du Taranaki. Et après quatre heures de route très typique à travers une campagne Kiwi surpeuplée par les moutons, nous parvenons à la ville de New Plymouth, au pied du mont Taranaki. Mais qu’est-ce que le mont Taranaki? Grosso modo, il s’agit d’un volcan de forme presque parfaitement circulaire, considéré comme la deuxième montagne la plus meurtrière du pays (sympa). Ce géant à la forme si particulière constitue le seul rempart contre les nuages entre l’océan et le centre du pays. Autant dire que le bougre a bien souvent la tête dans les nuages. Par manque de chance, nous ne le verrons que partiellement au cours des 4 jours que nous passerons dans le secteur. Néanmoins, ce fût l’occasion de bonnes balades. L’une d’elle notamment, conduisant à un point de vue sur le mont. Point de vue qui permet, à condition que le temps soit dégagé et qu’il n’y ai pas de vent, de photographier le Taranaki ainsi que son reflet dans l’eau d’un petit lac. Inutile de préciser que nous n’avons eu ni un temps dégagé, ni un vent nul, et que donc, nous n’avons pas pris LA photo.
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Néanmoins, en guise de lot de consolation, nous avons le plaisir de tomber le soir même sur le festival des lumières de la ville de New Plymouth. Ce festival très familial restera sans doute gravé à jamais dans nos mémoires comme étant sans doute le plus ennuyeux de nos vies. Bien que les jeux de lumières que l’on peut observer dans le parc de la ville soient tout à fait enchanteurs, la passivité totale du public lors des concerts nous laisse perplexes. Personne ou presque ne danse et tout le monde (ou presque) est assis par terre. Bizarre.
Et puis comme ça, tout à coup, un événement important vient littéralement bouleverser la quiétude de notre existence. En effet, nous recevons un message d’un couple de backpackers recherchant un véhicule pour leur road trip. Ils souhaitent voir Josy le plus rapidement possible. Nous prenons donc sans plus attendre la route pour Auckland. Nous ne vendons finalement pas Josy à ces gens qui ont entre-temps trouvé leur bonheur auprès d’autres vendeurs. Mais, notre compagne de route ayant tout pour plaire, nous recevons rapidement d’autres sollicitations d’acheteurs potentiels. Dès le lendemain donc, et à la première visite, nous vendons notre véhicule. C’est avec un pincement au cœur et pleurant à chaudes larmes (enfin le ciel pleurant à larmes pas si chaudes) que nous voyons Josy prendre la route entre les mains d’autres personnes.
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Adieu Jozy, nous ne t’oublierons jamais.
Nous trouvons rapidement une voiture de location qui nous permettra de nous déplacer durant les deux semaines restantes. Nous aurons donc une voiture rouge jusqu’à la fin de notre périple. Celle-ci est néanmoins beaucoup plus puissante (désolé Josy).
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Nous prenons le soir même la direction de Rotorua où nous réalisons à nouveau la randonnée de Rainbow mountain avant d’aller faire trempette à Kerosen creek (si si, vous savez, la rivière d’eau chaude dans laquelle nous avions déjà mijoté quelques heures environs quatre mois auparavant). Le lendemain, Chloé et Félix se lance dans une aventure épique en rafting durant laquelle ils franchissent une chute de 7 mètres! Je leur laisse bien et vais, pour ma part, louer un VTT afin de profiter des pistes de la redwood.
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Nous prenons ensuite la route pour la ville de Taupo où nous devons retrouver Matthew, le Kiwi que nous avions rencontré une année auparavant à Pai, en Thailande. Celui-ci habite désormais chez sa mère, proche de la retraite et occupe ses journées à retaper la maison familiale avant de la mettre en vente. Mais repeindre une façade en nouvelle Zélande semble être un travail difficile. Le plus dur étant d’arriver à trouver une journée sans pluie. Courage Matthew. Quoi qu’il en soit nous passons une excellente soirée qui s’achève… dans un restaurant Thai.
Au petit matin, nous partons en expédition avec pour but d’observer une falaise couverte de sculpture Maories et plongeant directement dans un lac. L’endroit est uniquement accessible par bateau. Nous avons donc la possibilité de payer pour une «croisière» sur le lac. Mais bon, on est auvergnats, ne l’oublions pas. C’est donc à la nage que nous irons voir tout cela. Mais la distance est relativement élevée, et c’est sur les rotules que nous arrivons à la fameuse falaise. Le monument est assez impressionnant et nous donne la sensation d’être de grands explorateurs découvrant des vestiges perdus depuis des millénaires (bien que ces œuvres aient été  réalisées dans les années 70). Au total, il nous aura fallu parcourir plus de 600 mètres à la nage. Rien de bien fou pour un bon nageur, mais un exploit pour les parpaings que nous sommes. Nous retournons ensuite en ville afin de nous baigner (une fois de plus) dans la rivière d’eau chaude de Taupo. Oui oui, en NZ chaque ville à sa rivière d’eau chaude.
Le jour suivant est consacré au farniente et à la randonnée conduisant au sommet de la montagne dominant la ville et le lac. Et là, la vue est juste… obstruée par les nuages. Deux heures de marche sacrifiées sur l’autel du sport (dont nous sommes de fervents adeptes). Le soir, c’est petit(s) verre(s) de vin blanc avec Matthew sur les rives du lac. Il faut bien penser à se réhydrater.
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Après une bonne nuit de sommeil, il est temps de nous remettre en route, cette fois avec la ville de Tauranga en ligne de mire. Ici, notre but principal est de surfer. Nous passons donc deux jours à Tauranga, surfant 2 ou 3 heures par jour et complétant cette activité par l’ascension du mont Manganui qui, avouons-le, ressemble plus à une petite colline qu’à une vraie montagne. Nous progressons un peu en surf et cela nous donne l’envie de reconduire l’expérience lorsque nous serons en Indonésie.
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Avant de retourner sur Auckland, nous faisons un crochet vers le Coromandel où nous passons 4 jours. Nous dénichons un petit camping sympa planté dans un décor quasi tropical qui nous rappelle la Thailande.
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Les journées se succèdent, entre baignades, randonnées (de 20 km tout de même) et visites de points d’intérêt. Nous nous rendons notamment à Cathedral cove, une plage sur laquelle on trouve une immense arche de pierre naturellement creusée par les éléments au sein même de la falaise. Enfin, nous passons une soirée à hot water beach. Sur cette plage, il suffit de venir avec une pelle, de creuser dans le sable à marée basse et de s’allonger dans le trou pour pouvoir profiter d’un bon bain chaud, grâce à l’activité géothermique du lieu. Incroyable! Nous posons également nos serviettes sur le sable de New chum beach. Pas facile d’accès et considérée comme l’une des plus belles plages du monde. Une plage certes jolie, mais dont la réputation ne nous parait pas vraiment justifiée.
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Un petit crochet par le village de Paia et sa plage offrant un coucher de soleil magnifique (quoiqu’un peu nuageux) et voilà, c’est la triste heure du retour à Auckland. Arès cette dernière nuit dans la capitale durant laquelle nous tentons de voir la fameuse lune bleue de sang qui restera cachée derrière les nuages (malgré nos tentatives d’observation, déambulant dans les rues jusqu’à 3h30 du matin (juste Félix et moi car Chloé, on s’en doute, dormait déjà depuis longtemps)), nous rendons notre voiture de location et rejoignons l’aéroport.
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Nous prenons conscience que notre aventure en Nouvelle Zélande s’arrête ici, et c’est avec des sentiments paradoxaux que nous embarquons à bord de l’avion. Mais bon, il faut bien rentrer… Mais bon, pas aujourd’hui!!! :D
#nz
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lespetitspedestres · 6 years
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La gazette culinaire: 100% fat
Je vous avoue que je ne sais pas trop par quoi commencer. Il faut dire que la NZ n’a pas une identité culinaire très forte. 
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Je dirais que ce qui frappe en premier c’est le nombre de Macdonald’s du pays. Chaque petite ville possède son lot de fastfood. Bref, ici la malbouffe prime! Une vraie culture à l’américaine qui s’accompagne, on s’en doute, de son cortège de personnes atteintes d’obésité … Plus qu’un restaurant, les fastfoods sont ici un vrai lieu de vie. La ville de Rotorua à même équipé son Macdo’ d’une salle de réunion. Aussi étrange que cela puisse paraitre, ces endroits revêtent donc une certaine importance dans les interactions sociales entre les habitants. Ceci mise à part on trouve d’excellents burgers en NZ, et ils ne lésinent pas sur la quantité!
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Vu que le gras c’est la vie et que les néo-zélandais l’ont bien compris, l’autre grande spécialité du pays, si je puis dire, c’est le Fish and Chips! 100% bon, 100% frit, 100% gras, 100% indigestion! Avec plus de km de cote, il serait dommage de se priver de ce que l’océan a à offrir! Accompagné d’un petit aïoli maison miam miam.
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 Et puis ça a surtout l’avantage d’être très abordable, et oui la NZ ce n’est pas l’Asie et notre budget nourriture en a pris un sacré coup. Le meilleur moyen de profiter des produits de la mer est encore d’aller les pêcher soit même. Thibault et Félix s’en sont donnés à cœur joie, la chasse aux moules est ouverte! Un peu de vin blanc et le tour est joué! Avec un peu de patience et beaucoup de persévérance nous avons même réussi à nous faire une poêlé de palourdes  fraîchement ramassées pas nos soins. L’extase absolue.
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Au pays du mouton, on pensait se régaler sur un autre point: l’agneau! Il faut dire que vu leur nombre à travers le pays cela pouvait sembler évident. Mais comme nous ne sommes (pas) très doués, nous avons attendu le dernier, oui oui le dernier soir avant d’aller en déguster un! Il faut dire qu’il n’était pas si facile de trouver de la viande de qualité dans notre budget…
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Par contre, niveau bacon là on avait tout un rayon. C’est l’occasion de super petits déjeuners salés œufs bacon. S' il y a bien un moment pour aller au restaurant ici, c’est au moment du petit déjeuner (le seul repas qu’ils savent cuisiner)!!
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J’ai failli l’oublier, même si la culture maori est peu présente, on trouve à Rotorua un petit restaurant qui en sert la spécialité: le Hangi. Ce plat de patates douces, patates et potiron accompagné d’un morceau de viande est traditionnellement cuit dans des fours naturels par la vapeur des sources géothermiques, ce qui lui confère un gout fumé.
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S'il existe une spécialité typiquement néo-zélandaise, c’est du côté des desserts que nous allons la retrouver, je nomme ici: la pavlova. Sous ce nom d’une danseuse russe (oui oui je vous assure c’est bien néo-zélandais) se cache une épaisse meringue. Elle se sert avec de la crème et des fruits rouges. Par manque d’argent (pauvre de nous), nous avons mangé la partie meringue seule et c’était ma foi pas mauvais pour une pavlova industrielle sans accompagnement.  
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Toujours coté sucré la grande fierté du pays et sans nul doute le miel de Manuka. Cette plante indigène à la NZ confèrerait au miel un encore plus fort pouvoir antibactérien. Ici on vous le vend comme un médicament qui guérira tous vos maux.
 Vous l’aurez compris ce n’est pas vraiment la nourriture qui nous aura séduit en NZ. La meilleure chose reste encore de préparer sa propre nourriture (dans le super coffre cuisine de Josy). 
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On se met bien dans Josy!
C’est partis direction le super marché pour des petits prix. Ici, le pack’n save est ton ami! C’est d’ailleurs dans ce véritable temple de la consommation bon marché que nous retrouvons les perles de la gastronomie néo-zélandaise: du fromage\ beurre en gros bloc, un rayon interminable de pain de mie insipide ou encore des supers saucisses caoutchouc! Voilà de quoi ravir le palais des plus avertis!
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Mais bon pour compenser ils font ces supers gâteaux: les afghans!
Enfin, le plus important: avec quoi accompagnons nous tous ces mets? Et encore une fois, il va être difficile de concurrencer le terroir français (article 0% mauvaise foi). A l’image de leur nourriture, leur bière laisse un gout amer, très amer et le vin un gout quelque peu mitigé sur notre palais. Je ne sais pas si le vin rouge mérite qu’on lui dédie des lignes quant au vin blanc il se révèle être plutôt une bonne surprise.
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Après cet article sans aucune exagération, je finirais sur une seule chose: Vivement la RACLETTE!!!
#nz
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lespetitspedestres · 6 years
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La ruée vers le N’ord
Et voilà, les copains sont partis. C’est donc à trois dans notre Josy toutes options (mais néanmoins deux places, voiture de sport oblige) que nous reprenons la route en direction du nord de l’ile.
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Le temps, clément durant les derniers jours devient rapidement menaçant et, alors que nous parvenons à la petite bourgade de Hanmer spring, réputée pour ses sources d’eau chaude, la pluie commence à faire son apparition. Pas de chance pour nous, d’autant que nous nous sommes lancé dans l’ascension de la petite colline surplombant le village. Il ne nous faut que 5 minutes pour rentrer nous mettre à l’abri dans notre maison roulante, mais c’est plus de temps qu’il n’en faut pour être trempé jusqu’aux os. Ça commence bien.
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Nous continuons donc notre route en direction de Kaikoura, sur la côte Est, sous une pluie disons… qui mouille. Nous y parvenons en fin d’après midi et restons les deux jours suivants afin de faire une balade sur la côte où nous pouvons observer un grand nombre de phoques et de réaliser le rêve d’un grand nombre de personnes : nager avec des dauphins. Oui oui. Le deuxième jour, nous embarquons donc sur un bateau à la recherche de ces petites bêtes et, après 45 minutes à guetter leur présence, nous finissons par les repérer et nous nous jetons à l’eau. Alors, il y a une chose à savoir si vous souhaiter un jour vous livrer à cette expérience au demeurant fort sympathique : N’observez pas les albatros aux jumelles durant le trajet en bateau, surtout si la mer est un peu agitée. Voilà qui est dit, d’autant que le jeu consiste ensuite à tourner en rond sur soi-même dans l’eau de manière à éveiller la curiosité des dauphins. Bref, l’instant bien que magique de par le contexte ne m’a permis à terme, de rentrer en communion non pas avec les dauphins, mais bien avec un seau en plastique rouge. Enfin, quoiqu’il en soit, ce fut une bonne expérience.
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3 heures et 20 litres de matière régurgitée plus tard, nous retournons sur la terre ferme (celle qui ne bouge pas) et prenons un bon repas au bord de l’eau (visiblement ça va mieux). Alors que nous mangeons un paquet de short bread, Félix qui, je ne sais plus pour quelle raison tient un gâteau à bout de bras, se fait dérober l’aliment susnommé par une mouette. Joli coup de la part de l’animal. La justice est enfin rendu (voir le coup du canard). Nous repartons donc après la sieste direction Lewis pass, mais ne pouvons-nous empêcher d’éprouver quelque inquiétude : N’y aurait-il pas un complot mondial entre mouettes et canards pour prendre le contrôle du monde ? Et si oui, la question que nous devons nous poser est : Pourquoi ont-ils besoin de tous ces biscuits ?
Nous passons les deux jours suivants dans le secteur de Lewis Pass où nous nous livrons une fois encore à notre activité favorite. C’est ainsi que nous avons effectué deux randonnées. Une permettant de rejoindre un sommet offrant une vue imprenable sur le secteur, et l’autre menant à un petit lac au beau milieu de la forêt. Cette dernière, pas merveilleuse, aura au moins eu le mérite de nous permettre de faire un peu de sport malgré la météo quelque peu capricieuse. Ce fut aussi l’occasion d’assister à la tentative de franchissement d’une flaque par Chloé. Un peu court… Et plouf ! Atterrissage en plein milieu de la flaque et de l’eau jusqu’au genou. Bref, une scène assez marrante.
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Nous prenons la direction du Nelson national park et dénichons un petit camping fort sympathique qui nous fait penser à la Thailande de par les paysages environnants.  Endroit parfait pour glandouiller avant la randonnée conduisant à Angelus hut. Quatre heures d’ascension jusqu’à la Hut  (gite de montagne)  sous un vent à décorner les bœufs, qui nous empêchait parfois d’avancer et une visibilité d’eau moins 3 bon mètres!  En clair, des conditions parfaites pour ce genre d’activité. Mais l’on a échappé au pire puisque 5 minutes seulement après notre arrivé la pluie s'abat, ouf ! Nous avions prévu de passer la nuit en tente, mais la météo ne le permettant pas, nous dormons finalement à même le sol, dans la pièce commune du refuge. Fort heureusement, le lendemain le ciel se dégage et nous pouvons profiter pleinement de la vue sur les lacs de montagne.
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Et maintenant, direction le parc national  maritime d’Abel Tasman. Ici, de nombreuses aventures nous attendent. Le premier jour, nous débutons très fort avec une journée de glandouille intense. La vie est vraiment trop dure. Le second jour, nous embarquons pour une excursion en canoë dans le parc et la réserve marine. Nous sommes accompagnés d’une guide dont nous ne nous souvenons pas le nom, mais qui nous aura permis de passer une excellente journée grâce, notamment à sa bonne humeur. Nous voyons au cours de la journée un certain nombre de phoques ainsi que deux pingouins bleus. Nous nous baignons également dans de magnifiques petites baies aux eaux bleues turquoise. Rectification, on aurait aimé s’y baigner mais la température de l’eau peine à dépasser les 15 degrés C.
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L’heure des fêtes arrivant à grand pas nous  décidons de rejoindre un groupe de français contactés sur facebook afin de fêter noël. Grosse erreur de notre part. Nous ne sommes pas DU TOUT  sur la même longueur d’onde que les autres participants (Chloé n’a toujours pas digéré la préparation d’une salade de patate en guise de repas de noel).
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C’est  donc avec un grand soulagement que nous reprenons la route le lendemain. Nous partons avec joie explorer une grotte des environs et faisons une petite balade qui nous mène à une source sacrée pour les Maoris et dont l’eau est considérée comme la plus pure du pays. Il faut l’avouer, cette eau donne très envie de se baigner, d’autant que la température en cette journée ensoleillée avoisine les 30 degrés. Le soir même, nous assistons au coucher du soleil sur , un gobelet de mousseux à la main ( plage qui est tout de même un paysage de fond d’écran Windows s’il vous plait).
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Avant de retourner chiller sur les belles plages d’Abel tasman, l’appel de la montagne se fait sentir et on dégotte une petite randonnée sur notre route. Heureusement pour Félix qui reste à la voiture à cause d’une piqure de Sandfly  qu’il a beaucoup trop gratté avec ses doigts sales et qui s’est infectée au pied, ce ne sera sans doute pas la randonnée de l’année (bien qu’elle fût tout de même très agréable).Nous parvenons malgré tout, Chloé et moi-même, à un joli lac de montagne. L’eau est fraiche. Très fraiche…
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Nous décidons ensuite de rejoindre l’extrémité ouest du parc Abel Tasman. Pour cela, il nous suffit de conduire notre Jozy à une quarantaine de kilomètres de là. Nous procédons donc ainsi, empruntant la route qui s’avère finalement être un chemin dont les accotements sont sujets aux éboulements et autres glissements de terrain. Mais bon, Jozy est habile et parvient à rejoindre le camping qui se trouve au bout de la route et dans lequel nous prévoyons de passer la nuit. La route a donc été  longue et nous allons enfin pouvoir nous installer pour la nuit. Et bien non ! La bonne blague. Le camping est soi-disant plein, et nous devons donc faire demi-tour et rejoindre un autre camping qui se trouve à trente kilomètres de là, sous une pluie battante. Nous décidons finalement de dormir en camping sauvage en toute discrétion, sur le bord de la route.Contre toute attente, et malgré la pluie qui ne cesse de s’abattre sur nous, nous passons une bonne nuit, et c’est tout reposé que nous nous lançons sur une randonnée d’une vingtaine de kilomètres dans les collines proches de l’océan.
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Le lendemain nous prenons un taxi boat jusqu’à Bark bay, au beau milieu du park naturel d’Abel Tasman, puis revenons jusqu’à la route à pied, parcourant ainsi 25 kilomètres. Bien sûr, une fois arrivés à la route, il fallut aller chercher la voiture au village à 10 kilomètres de là. Mes tentatives de stop n’étant pas des plus fructueuses, je me résous  finalement à parcourir ce chemin en courant.
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Le soir venu, je dors étonnamment  bien. Et ça tombe bien, car le lendemain, c’est le réveillon du nouvel an. Nous rejoignons donc un nouveau groupe de français trouvé sur facebook et là, bingo ! Cette fois-ci c’est la bonne. Nous passons une excellente soirée. A tel point, que nous décidons de rester le lendemain. Et le surlendemain. Cela fait du bien de rencontrer un peu de monde. Nous pêchons des moules pour le diner, buvons plus qu’il ne faut, prenons l’apéro en moyenne 3 heures par jour. Bref, nous assumons pleinement notre statut de français.
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Néanmoins, les jours passent à une vitesse vertigineuse, et nous devons quitter notre compagnie de bons vivants si nous voulons avoir le temps de visiter les Marlborough sounds et french pass. Ici, pas grand-chose à raconter. Nous mangeons moules et palourdes ramassés par nos petites mains, et parcourons les routes panoramiques à bord de notre super Jozy.
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Voilà, s’en est fini de notre road trip dans l’ile sud et c’est avec une pointe de tristesse, mais aussi l’envie de découvrir d’autres horizons que nous prenons le bateau direction l’ile nord.
Bientôt, il nous faudra même quitter la nouvelle zélande, mais auparavant, nous devons encore visiter certains secteur que nous avions délaissés la première fois, et nous occuper de vendre Jozy (snif)…
#nz
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lespetitspedestres · 6 years
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Les copains débarquent
Le temps file à une vitesse incroyable, et il est d’ores et déjà temps pour nous de rejoindre la ville de Christchurch, et de récupérer nos amis Gus et Clément (Henry pour les intimes) ainsi que Felix à l’aéroport.
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Après plus de trois heures de galère à la Douane (Hé oui, Gus l’agriculteur avait ramené de la terre de Limagne sous ses chaussures, catastrophe digne d’un tsunami en Nouvelle-Zélande), nos trois courageux aventuriers parviennent à s’extraire de la masse des nouveaux arrivants. Nous sommes soulagés et vraiment heureux de les retrouver pour un road trip de deux semaines dans l’ile Sud. Nous nous rendons à l’agence de location avec laquelle ils ont réservé leur campervan, puis nous filons en direction de Banks peninsula. Néanmoins, nous décidons de faire halte à mi-chemin pour la nuit car, après plus de 25 heures de trajet en avion, les copains n’aspirent qu’à deux choses: une douche et du repos. La présence d’un grand étang à proximité est idéale pour une petite baignade. Nous ne remarquons le panneau « Danger algues toxiques baignade interdite » qu’après avoir trempé un long moment dans l’eau. Finalement, nous n’avons pas été malades.
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Le lendemain, nous parcourons les kilomètres restants jusqu’à Banks Peninsula. Là, nous passons deux journées entre balades avec vue sur la baie, parties de Volley, pêche aux moules et observation de phoques. Le soir, nous cuisinons les fruits de mer récoltés dans la journée, et les savourons arrosés de quelques verres de blanc.  Nous profitons aussi de notre présence dans ce secteur pour visiter Akaroa village. Aussi appelé « la petite française », ce village qui représente le point de débarquement des premiers colons français en Nouvelle Zélande n’a absolument rien de particulier. Après ces journées riches en visites, baignades et fish and chips, nous rejoignons  la cousine de Gus qui voyage elle aussi en Nouvelle Zélande depuis quelques mois avec son copain. Nous passons une excellente soirée copieusement arrosée en leur compagnie.
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Mais le temps presse, car nous n’avons que deux semaines pour faire toutes les visites prévues et c’est peu. Nous nous remettons en route dès le lendemain direction les alpes Néo-Zélandaises avec un premier arrêt au lac Tekapo. Là, nous marchons jusqu’à l’observatoire du mont John, ballade que nous avons déjà parcouru tous les deux, mais qu’il semble nécessaire de faire pour mieux apprécier le paysage alentour. 
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Le jour suivant est consacré à la découverte de la Hooker valley et du majestueux Mont Cook. Ici, pas de grosse randonnée, mais une ballade de quelques kilomètres en fond de vallée permettant de profiter d’une vue splendide sur le Mont Cook et son air grognon.
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Nous filons ensuite direction Queenstown et retrouvons notre camping gratuit préféré: le lake Hayes campground. Ainsi nous gravissons une nouvelle fois le Ben Lomond (en empruntant les œufs cette fois) pour un pique-nique au sommet. Là haut, nous sommes agressés par un Kéa (perroquet alpin) qui tente de nous dérober de l’alimentation tout au long du pique nique: une véritable dérobade !
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Le lendemain, c’est mon anniversaire. Et  je me retrouve donc à nouveau sur les pistes de descente du Bike park mais cette fois avec un vélo de descente, et surtout, avec mon petit Henry. Bref, une super journée au paradis et un cadeau que je ne suis pas près d’oublier.
La prochaine étape est une journée au parc national des Fjordland. Nous retentons la randonnée de Gertrude saddle (que nous n’avions pas pu faire à cause  de la neige) et parvenons jusqu’au col. Cette fois ci pas de neige mais un brouillard bien épais qui nous offre une vue splendide à 2 mètres devant nous, nous empêchant encore une fois d’atteindre le sommet. Décidément nous sommes destinés à échouer au pied de cette randonnée. Une brève éclaircie nous aura quand même permis d’apercevoir un lac niché au cœur de la montagne. Une vision fantomatique qui ne nous laissera pas de marbre. 
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Le soir venu, nous profitons de la croisière sur les Milford sound. Jolie croisière au milieu des fiords qui nous aura permis d’apercevoir phoques et pingouins.
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La déshydratation nous guettant après tous ces efforts, nous retournons sur le secteur de Queenstown afin de nous livrer à une journée de dégustation des vins et fromages locaux. Verdict : Le vin blanc est correct. Quant au vin rouge… il est disons intéressant.
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Mais pas de temps à perdre car la fin du séjour des copains approche à grand pas. Nous prenons donc la direction de Wanaka afin d’aller admirer le coucher du soleil sur Roys peak. Quelques nuages mais une belle promenade tout de même et une vue une fois de plus grandiose. 
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On profite du beau temps et des jolis lacs de la région pour une journée baignade et Chill avant notre plus grosse randonnée du séjour. 
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Effectivement le lendemain c’est dans la bonne humeur que l’on attaque les 1800 m de dénivelés positif prévues. Randonnée difficile qui offre un panorama superbe mais qui aura eu raison de Félix et de son mal de tête, lequel redescend sous les huées à mi- parcours.
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Nos copains c’est les plus beaux 
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Deux heures de route nous sont nécessaires le lendemain pour rejoindre la côte ouest. On remonte vers le nord tout en faisant une brève halte pour profiter de la vue sur le Franz Jozeph glacier. Le temps est au beau fixe (seulement 15mm de pluie par heure) et le chemin conduisant à la vue sur le glacier est presque assez large pour nous permettre de ne pas avoir à slalomer entre les touristes chinois venus par bus entiers. Vu que le beau temps a décidé de durer on profite du lendemain pour se payer le luxe d’un ptit jacuzzy avec des bulles et d’une douche chaude. Bref, à événement habituels, mesures exceptionnelles.
Nous occupons nos derniers jours en compagnie des amis entre randonnées et apéros dans le parc des Nelson lakes (et avec le soleil s’il vous plait). C’est d’ailleurs à l’occasion de l’un de ces apéros qu’un canard téméraire réussi l’action d’attraper le cookie que je tiens à la main, s’envolant avec ce dernier. Ce canard voleur de cookies a à ce jour, toute notre admiration.
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Après 2 jours passés dans le Nelson lakes national park, nous nous séparons finalement de Gus et Henry qui doivent désormais remonter dans l’ile nord afin de faire quelques visites avant de reprendre l’avion. Ce furent de bons moments passés en leur compagnie. Que d’apéros, de randonnées et de bonnes rigolades. Bientôt, nous nous retrouverons pour siroter à nouveau une bonne bière à la terrasse du Petit bonheur, mais, en attendant, l’aventure en Nouvelle Zélande continue pour les petits pédestres.
#nz
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lespetitspedestres · 6 years
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La west coast, entre mer et montagne
Le road trip continus et nous prenons la route de la West Coast. Plusieurs mètres cube d’eau s’abattent chaque année sur ce petit bout de terre Long de 300 Km mais seulement large de 20, entre mer et montagne. En gros, il pleut 2 jours sur trois! Ça donne envie dit comme ça!!!!!! Au programme: observation des pingouins, vue sur les glaciers et source d’eau chaude (vous pouvez voir à quel point on varie les activités).
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Météo totalement représentative de la cote ouest...
Notre première étape est la plage de Munro beach, lieu idéal pour l’observation des pingouins. Cette fois-ci il s’agit du pingouin à crête, troisième et dernière espèce que l’on retrouve en Nouvelle-Zélande. Après une petite demi-heure de balade dans le bush, nous débouchons sur une petite plage mignonette où nichent les pingouins. A peine 10 petites minutes d’attente, et l’on aperçoit nos premiers pingouins sortir de l’eau. Mais la vue de la plage est relativement limitée et il est interdit d’avancer plus pour ne pas les déranger.  Nous escaladons alors la falaise derrière nous ce qui nous permet d’avoir une vue plus dégagée sur la plage. D’ici nous observons 5 pingouins sortir de l’eau et vaquer à leur occupations et c’est plutôt une bonne tranche de rigolade. Faut dire que sur terre on comprend bien pourquoi leur nom français est : manchot. Et hop un petit rouler boulet après avoir pris une vague en pleine poire, oui oui ce n’est vraiment pas une bête habile sur la terre ferme.
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Le lendemain les choses sérieuses reprennent et on s’attaque à la randonnée de Welcome Flat hut.
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Cette randonnée longe la vallée dans une forêt aux allures tropicales et mène dans une petite cabane nichée au cœur des montagnes. Si cette marche est monotone et ne présente très peu d’intérêt (aie aie on devient difficile avec tous les beaux paysages qui passent sous nos yeux), à l’arrivée on est récompensés par des sources d’eau chaude naturelles avec vue sur les monts…. Heu non sur le brouillard qui cache les montagnes. Tant pis. Après 17km dans les pattes on est bien contents de pouvoir se délasser dans l’eau chaude. L’ambiance est conviviale et les autres randonneurs, bien sympathiques. 
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Après notre première expérience en hut ou l’on avait très peu dormis nous espérons passer une meilleure nuit. Ça avait bien commencé pourtant avant que le voisin de Thibault se mette à ronfler. Mais pas un petit ronflement, non non, vous savez le ronflement bien gras qui donne la nausée. A vrai dire moi j’ai rien entendu tellement je dormais à point fermé. Par contre, Thibault lui n’as pas pu fermer l’œil, et visiblement il n’était pas le seul puisque quelqu’un a carrément embarqué son matelas pour aller dormir dans la cuisine. Si seulement l’histoire se terminait là... mais non, Mr le ronfleur et ses acolytes ont décidé de se lever à 5H du matin pour attaquer la randonnée. Qui fait ça? Heureusement un dernier bain d’eau chaude avant de repartir dans le sens inverse nous donne un peu de réconfort.
Les jours suivants c’est visite des glaciers au programme. Etonnamment la météo annonce des journées plutôt ensoleillées, on décide donc de faire la randonnée qui permet d’avoir un point de vue sur le glacier plutôt que d’aller au pied et de ne rien voir tellement ce dernier a reculé.
Nous commençons par la mont fox route qui mène à la vue sur le Mont fox glacier ! Superbe randonnée qui s’apparente plutôt à de l’escalade dans la jungle humide et boueuse.
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Arrivée au sommet on a à peine le temps d’avoir une vue sur le glacier que les nuages viennent s’accumuler sur la montagne (même pas le temps de dégainer l’appareil photo). Nous prenons le partis de rester pique-niquer et de chiller en espérant une petite éclaircie, et c’est presque gagné, nous avons le droit à un petit rayon de soleil qui vient réchauffer le glacier l’espace d’un instant.
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Le lendemain c’est la randonnée d’Alex knob qui nous mène beaucoup plus tranquillement à la vue sur Franz joseph glacier. Cette fois le temps est superbe et on peut pleinement profiter de la vue dégagée.
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Ces deux randonnées ont la particularité de donner à la fois une vue sur le glacier et sur la mer qui n’est pas si loin, c’est ma foi un sentiment bien étrange. Malgré cela, ce n’est définitivement pas dans notre top des randonnées, le nombre de touristes et le balais incessant des hélicoptères qui survolent le glacier font rapidement oublier le charme des lieux.
 Mais tous espoir n’est pas perdus, en farfouillant un peu Thibault dégote un petit lieu non touristique avec des sources d’eau chaude non loin de là. Idéal après notre journée de randonnée. On repère les lieux et prenons le temps d’une petite trempette rapide, il faut dire qu’avec le soleil qui tape l’eau chaude n’est pas forcément des plus agréables. Par contre séduit par le charme des lieux on décide de revenir en pleine nuit avec une petite bouteille de vin pour regarder les étoiles. Et on a bien fait, seuls au monde dans notre piscine d’eau chaude, entourés des montagnes avec vue sur un magnifique ciel étoilé, le moment était magique.
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Nous consacrerons le jour suivant à l’écriture du blog dans la petite ville d’hokitika, que voulez-vous il faut bien qu’on travaille de temps en temps.
Les copains et Félix arrivant dans quelques jours nous décidons de rejoindre la ville de Christchurch (où ils doivent arriver) en passant par le parc naturel d’Arthur Pass.
Nous jetons notre dévolu sur une petite rando à vélo pas trop difficile afin que Thibault puisse tester son nouveau bolide. Après de longs kilomètres de gravel road on arrive enfin. Cela aurait était trop facile. On arrive devant un panneau qui nous interdit d’aller plus loin. Échec total!
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Nous employons donc les jours restant avant l’arrivée des copains a randonner dans le secteur et à parcourir la route qui nous mène à Christchurch.
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Nous nous arrêtons au passage à Springfield , petite bourgade au centre de laquelle nous dénichons un donut géant, petit clin d’œil à la série Les Simpsons.
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 Une petite photo et nous reprenons la route. Les copains arrivent bientôt et nos prochaines aventures avec.
#nz
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lespetitspedestres · 6 years
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Par delà les monts enneigés!
On vous retrouve les pieds dans la neige à Cardrona, une station de ski située à environ 30 minutes de route de Queenstown.
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 Nous entamons donc l’ascension du col de la Meg flat hut. Une fois de plus, plusieurs heures de marche, et bien entendu, des paysages à couper le souffle. En revanche, la neige s’étant également abattue sur le secteur, nous nous retrouvons rapidement avec les pieds trempés et gelés. Pauvre de nous.
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Le jour suivant, nous visitons Bendigo, un ancien village de mineurs construit un siècle et demi plus tôt pour l’exploitation des gisements de Quartz. Rien d’incroyable, mais le site est joli et très calme du fait notamment de l’absence total  de touristes. Pas de regret donc.
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Retour à Wanaka ! Et cette fois, nous nous attaquons à un gros morceau. Il est temps pour nous de nous lancer sur la Shotover saddle route. Grosso modo, une randonnée proposant de gravir un col en montant tout droit à travers la pente (sans chemin bien sûr). Les mollets brulent, mais une fois de plus la vue est démente (comme d’habitude.  Cela devient un peu lassant et je pense donc qu’il est temps pour nous de chercher à faire une rando moche pour changer un peu).
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Et le soir, nous retournons à Cardrona (on aime bien faire des allers-retours) afin d’être sur place pour le début de la grande aventure du lendemain : une randonnée à cheval. Chloé montera le cheval de tête nommé Smokey et je monterai pour ma part le deuxième, Knox. Les personnes qui encadrent la rando sont vraiment sympathiques, et nous passons un merveilleux moment. Même si smokey tient fortement à son rôle de « leader » et montre des signes de jalousie  lorsqu’un autre cheval le double. Ainsi, il manque à plusieurs reprises de désarçonner Chloé.
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Ce fût en tout cas une belle expérience. Mais trêve de bavardage, la journée n’est pas terminée et il nous reste encore une chose à faire : la randonnée de Isthmus peak. Encore une randonnée de 1000 mètres de dénivelé que nous parcourons en 2h au lieu des 4 heures prévues (on est trop forts). La haut, une vue à 360° sur les montagnes ainsi que sur les lac Hawea et Wanaka nous attend. Nous patientons au sommet en buvant une petite binouze (oui encore une) et assistons au coucher du soleil, seuls au monde. Les couleurs et la lumière projetées sur les montagnes sont magnifiques, l’instant, magique.
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La redescente se fait de nuit et nous sommes bien aise de retrouver notre Jozy.
Après une nuit de sommeil revigorante, nous nous dirigeons vers la côte Ouest et nous arrêtons en chemin aux Fantail falls. Encore de magnifiques chutes d’eau au pied desquelles se sont formées de jolies piscines naturelles aux eaux bleue turquoise.  
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Mais nous ne sommes pas là pour ça. La raison principale de notre venue est que ce lieu marque aussi le départ de la randonnée de Brewster hut. Une fois de plus, il nous faut gravir un dénivelé de 1000 mètres (en 2,5km, ouille ça pique). La grande nouveauté, c’est que nous passons la nuit dans la Brewster hut (refuge de montagne) qui se situe en fait à mi-chemin du sommet. Là, nous rencontrons 3 américains. Un couple de médecins californien, Chris et Anny, et un jeune de Miami nommé Bayley. Nous passons ma foi une soirée fort agréable et parvenons même à expliquer les règles d’un jeu de carte en anglais (on a même gagné : France 4 USA 1 ^^)
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Le lendemain, nous entreprenons d’achever notre ascension jusqu’au sommet (et encore 1000m dans les dents). Cependant, sur la fin du parcours la neige est omniprésente et surtout, complétement gelée. Nous ne possédons pas de crampons et, si la montée ne nous pose pas trop de soucis (merci les traces de pas qui nous servent d’escalier), nous nous rendons vite compte que la descente promet d’être plus compliquée. Bayley, équipé d’un piolet nous rejoint et après un instant de réflexion, nous décidons de faire demi-tour afin d’essayer de ne pas mourir. Notre copain américain (heureusement qu’il était là) entreprend de creuser plus profondément les marches dans la neige avec son piolet pour nous faciliter la redescente.
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Quelques heures et quelques frayeurs plus tard, nous voici de retour au parking. Nous embarquons rapidement en direction des Blue pools. Comme leur nom l’indique, il s’agit de piscines naturelles aux eaux turquoise (c’est vraiment lassant). Nous croisons à nouveau Bayley qui prévoyait de sauter dans l’eau depuis un pont mais qui, devant la température glaciale de l’eau, doit renoncer à son projet.
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Voilou, vous savez tout. Nous conclurons donc cet article de la manière la plus simple qui soit : A bientôt dans le prochain épisode des aventures épiques des petits pédestres.
#nz
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lespetitspedestres · 6 years
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Queenstown, ville de tous les extrêmes!!!
Vous l’attendiez avec impatience, il est enfin arrivé. Qui? L’article des petits pédestres sur leurs aventures à Queenstown et les alentours bien sûr. Et dieu sait qu’il y en a des aventures à relater, alors accrochez-vous, c’est parti!
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Tout commence par notre arrivée dans la ville de Queenstown, aux environs de 2 heures et demi du matin. Oui oui, vous avez bien lu.
En effet, nous avons dégoté la veille au soir une annonce mise en ligne par des français souhaitant faire l’ascension du Ben Lomond (montagne dominant la ville) de nuit afin de profiter du lever de soleil depuis le sommet. C’est donc avec le dynamisme qui nous caractérise habituellement à cette heure de la « journée » que nous entreprenons cette randonnée de 17 kilomètres aller-retour et plus de 1400 mètres de dénivelé positif armés de nos lampes torches.
Nous parvenons au sommet de la montagne juste à temps pour assister au réveil de l’astre du jour. Il nous aura donc fallut 3 heures et demi de souffrance (c’était vraiment raide) pour parvenir à notre but et avoir enfin le droit de goûter aux crêpes préparées par un membre du groupe et à la salade de fruit préparée par un autre.
Bref, un vrai régal, aussi bien pour les yeux que pour nos palais délicats.
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Une fois la longue et difficile redescente achevée, nous quittons le groupe afin de réaliser l’étape la plus importante de notre grand programme d’entrainement sportif. Cet acte par lequel il est important de terminer chaque séance si l’on veut en tirer quelque bénéfice. Je veux bien sur parler de la consommation rapide après l’effort d’un énorme hamburger.
Le reste de la journée est partagé entre glandouille et glandage.
Le lendemain, Chloé, bien fatiguée de nos exploits de la veille poursuit ses activités de sieste et de glandouille tandis que, pour ma part, je décide d’aller faire un tour de VTT. Bien sûr, comme je suis quelqu’un de tout à fait réfléchi et pas bourrin, je prends le parti de faire une balade facile. Et puis, tout à coup je me rappelle que le chemin menant à Ben Lomond m’avait paru sympathique pour la pratique du vélo. Je mets donc le VTT sur le dos et c’est reparti pour un tour. Un peu plus de trois heure de montée puis, vient le moment de la descente. La meilleure de ma vie de « mad french guy » comme disent les randonneurs croisés en chemin.
Arrivé en bas, je retrouve Chloé (qui m’engueule parce que je suis parti « un peu » plus longtemps que prévu) et nous prenons la route du village de Glenorchy aussi appelé « Paradise ».
Nous dénichons un petit campsite infesté de Sandflies.
Mais qu’est-ce donc que ceci ? Si l’on a fait leur connaissance dès notre arrivée, nous n’avons pas encore pris le temps de vous décrire ces petites bestioles. Et pour cause, puisque jusqu’à présent ils nous avaient laissé plutôt tranquilles. Malheureusement, depuis que nous sommes arrivés sur l’ile sud, ces mouches de sables bien voraces ne cessent de nous attaquer. Ces petits moucherons, à peine visibles, sucent votre sang et vous laisse un souvenir de leur passage pendant deux semaines. Vous voyez les moustiques ? Pour résumer les sandflies c’est 1000fois pires.
Et c’est ainsi qu’après une bonne nuit de sommeil (à base de grattage de piqures),  nous entreprenons de gravir le Mont Alfred. Encore une randonnée à 1000 mètres de dénivelé positif sur un sentier balisé à l’arrache et entretenu grosso modo tous les 5 ans. Bref, on enjambe des troncs tous les dix mètres et l’on doit batailler pour parvenir à sortir de la forêt. Arrivés à 200 mètres du sommet, un panneaux nous informe que l’accès à ce dernier est interdit à toute personne non accompagnée d’un guide. Nous faisons donc demi-tour docilement et… Ca va pas la tête ? Non, nous finissons la randonnée comme nous l’avions prévue et profitons ainsi d’un panorama à couper le souffle sur  les montagnes et les vallées environnantes, sur le lac de Queenstown et même, sur l’Isengard. 
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Juste pour l’anecdote, (parce qu’on sait que vous adorez les anecdotes de nos vies trépidantes) quelques jours plus tard, nous découvrons par hasard que l’entreprise qui a mis en place le panneau facture 600 dollars pour 2 personnes le droit d’accéder au sommet accompagné d’un guide. La bonne blague.
Nous rejoignons notre Jozy afin de prendre la direction de la prochaine randonnée.
Cette fois, nous entreprenons de parcourir les sentiers de la Routeburn. Ce nom vous dit peut être quelque chose. Si c’est le cas, c’est que vous êtes lecteur ou lectrice assidu(e) du blog des petits pédestres. En effet, nous avions d’ores et déjà foulé cette track lors de notre passage dans le parc national des milford. C’est cette randonnée qui nous avait conduits à Key summit, où nous avions campé. Eh bien après avoir marché sur un bout de cette randonnée de deux jours, nous voici parés à en parcourir l’autre bout. Bien que le chemin soit très bien aménagé et monte en pente (relativement) douce, nous avalons une fois de plus 1000 mètres de dénivelé positif. De plus, cette marche s’inscrit comme étant la plus longue que nous ayons effectuée jusque-là avec une distance totale parcourue de 26 kilomètres.
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Bien qu’elle fasse partie des great walk (qui sont supposée être des randonnées exceptionnelles de par les paysages qu’elles offrent), la Routeburn sera sans doute l’un des itinéraires qui nous aura le moins marqué. Le paysage est tout de même grandiose, entre lac, montagnes et rivière bleu turquoise.
Le lendemain, nous rejoignons Queenstown. Tandis que Chloé se fend d’une sieste et d’une après-midi glandouille, je pars faire un petit tour de VTT.
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On est pas trop mal pour glander là ?
Le soir venu, nous dégustons une bière fraiche en terrasse et réservons nos activités pour le lendemain. Pour son anniversaire (sisi) Chloé fera donc un tour de bateau sur la rivière Shotover. Il s’agit d’un bateau très rapide et nerveux qui permets de prendre des virages au dernier moment et de faire des tours sur soit même. Un vrai manège à sensation qui semble ravir Chloé, même si il faut tout de même noter que le bateau est tombé en panne au beau milieu du parcours. Enfin un autre bateau est vite venu les chercher  pour achever le parcours. Puis, afin de se remettre de ses émotions, Madame est allé se faire masser pendant une heure dans un salon du centre-ville. Selon son témoignage recueillit à chaud, « c’était vachement bien ».
Pendant ce temps-là, je pars de mon côté pour une journée de VTT sur les pistes de descentes  qui dominent la ville. Apres une bonne journée à me jeter dans tous les sens,  le cadre de mon vélo fini par lâcher en fin d’après-midi (aie aie le bourrin le retour).
Le lendemain de cette journée riche en émotions, nous décidons de passer la journée à zoner afin de nous reposer de notre dure semaine. Glandouille au bord du lac donc, et restaurant en ville.
Le soir venu, la pluie commence à s’abattre sur le toit de notre Josy. Si bien que lorqu’on se réveil au milieu de la nuit on s’aperçoit que ce sont des litres et des litres d’eau (sans aucune exagération) qui tombent puisque notre maison roulante se trouve au milieu d’une véritable mare d’une bonne dizaine de centimètre de profondeur. Panique à bord : Josy va-t-elle parvenir à sortir du parking ou va t’on rester embourber (on est un peu les spécialistes) ?
La pluie se calme en fin de nuit et Josy parvient à sortir de la zone inondée sans trop de soucis. Heureusement, car aujourd’hui est une journée très importante : le jour de notre tournée des vignobles à vélo. Nous passons donc plusieurs heures à goûter différents vins et fromages. 
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Nous buvons sans doute plus de verres que nous ne parcourons de kilomètres à vélo. Tout l’un dans l’autre, nous passons une excellente journée, même si le retour sur les petits chemins de VTT semble plus sinueux et technique qu’à l’aller.
Nous rejoignons à nouveau notre camping fétiche au bord du lac et passons une nouvelle nuit pluvieuse (heureusement moins que la précédente). A notre réveil, nouvelle surprise : Toutes les montagnes environnantes sont saupoudrées de blanc jusqu’à une altitude très faible. Nous prenons donc le petit déjeuné au soleil (qui refait son apparition) face aux sommets enneigés. Il y a pire comme réveil…
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On vous laisse sur cette jolie photo et on vous retrouve pour un article un peu plus sportif puisque dans le prochain épisode nous renouons avec notre activité favorite, que nous avons quelque peu délaissée ces derniers jours : La randonnée.
#nz
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lespetitspedestres · 7 years
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A la conquête du Mont Cook !
Après nos aventures dans les Catlins, nous voici au lac Te kapo. Situé dans l’une des rares zones échappant à toute pollution lumineuse du monde, ce lac aux eaux bleues turquoises est dominé de tout côté par les montagnes. De belles randonnées en perspective donc.
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Nous commençons par rejoindre l’observatoire astronomique situé sur le sommet du mont Jones. Pour cela, une heure de marche est nécessaire. Cependant, le jeu en vaut la chandelle puisque nous profitons d’une vue dégagée sur l’ensemble du lac et ses alentours.
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Le soir même, nous décidons d’un commun accord de prendre des photos du ciel étoilé lorsque nous nous lèverons pour aller aux toilettes dans la nuit, comme à notre habitude. Eh bien, pour une fois nous dormons d’une traite jusqu’au lever du jour (ce qui ne nous arrive pour ainsi dire jamais).
Le lendemain, nous décidons de tenter la Richmond track en VTT, mais c’était sans compter sur les forces surnaturelles qui semblaient se liguer contre nous afin de faire de cette journée un véritable calvaire.
Ainsi, au moment de prendre nos vélos pour nous élancer sur le chemin, la manette de dérailleur de Chloé casse. Aie aie aie ! Retour au village donc, avec l’espoir d’y trouver quelqu’un qui soit en mesure de réparer tout ça. Nous tombons finalement sur un loueur de vélos très sympathique qui accepte de jeter un œil à la monture de Chloé. Malheureusement il est très occupé, et nous demande donc de repasser en début d’après-midi. Quand l’heure arrive, nous lui ramenons le vélo et, après une rapide inspection, il nous annonce qu’il ne dispose pas des pièces nécessaires à la réparation. Selon lui, la seule chose à faire est de rejoindre la petite ville de Twizel sur les rives du lac Pukaki, à près de 40 kilomètres. Cela tombe bien, il s’agit de notre prochaine étape.
Arrivé sur place, le magasin du vélociste est fermé, les douches sur lesquelles nous avions des vues sont fermées et l’office de tourisme est fermé. Voyant qu’il ne s’agissait définitivement pas de la meilleure journée de nos existences, nous décidons de trouver un endroit pour dormir et de nous préparer un repas simple et inratable : des pâtes. Plus de gaz, les pates ramollissent dans une eau tiède et forment un amas visqueux que nous tentons de manger avant de renoncer (rapidement).
Bref, un jour sans.
Nous finissons tout de même par réussir à faire réparer le VTT et repérons un circuit de 16 kilomètres dont le départ se trouve à 30 minutes de la ville. C’est donc bien décidé que nous nous élançons à l’assaut de la montagne sur nos fidèles destriers. Le sentier  forme une boucle passant par le sommet. Deux choix s’offrent à nous : une montée raide et une longue descente ou, une longue montée et une courte descente. Nous optons pour cette dernière option et regrettons rapidement ce choix car, finalement, la longue côte est aussi raide que la petite descente. On peut donc conclure tout simplement : on en a chié.
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Nous passons les deux jours suivants à attendre que le ciel se dégage avant d’entreprendre d’autres randonnées.
Lorsque s’écartent les nuages, nous rejoignons le pied du plus haut sommet de Nouvelle-Zélande : le mont Cook.
Nous attaquons sans tarder par deux balades relativement courtes. La première nous mène  aux blue lakes (qui sont en fait verts), et à un point de vue sur un glacier. La deuxième nous conduit à Kea point, un point de vue sur le mont cook et sur (on vous le donne en mille) un glacier.
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Le lendemain, les choses sérieuses reprennent puisque nous entreprenons de gravir la montagne jusqu’à la Mueller hut. Deux heures de montée sur un sentier très raide aménager à l’aide d’escaliers en bois. Belle performance pour nous puisque l’ascension était donnée pour 4 heures (on est pas peu fiers). La dernière partie de la montée se fait dans la neige et nous avons la sensation d’être des alpinistes chevronnés, surtout lorsque l’on croise les touristes chinois équipés de piolets et crampons (alors que nous sommes en short). Bref, une ambiance « haute montagne », surtout lorsque nous devons décoincer les dits touristes qui ont eu la bonne idée de désescalader des rochers avec leurs crampons. Nous rencontrons deux français, Oli… euh Guillaume et Tom avec lesquels nous sympathisons. Ceux-ci nous confient avoir confondu le mont Cook avec une autre montagne juste à côté. Ils sont finalement bien soulagés d’apprendre que nous aussi nous pensions observer le mont Cook depuis deux jours alors que pas du tout. Pas futfut ces français.
Depuis la Mueller hut, la vue est vertigineuse et nous pouvons contempler à loisir le mont Cook (le vrai) qui,  pour une fois, ne se trouve pas dans les nuages. Nous restons près de deux heures à profiter des rayons du soleil tout en observant d’impressionnantes avalanches sur les versants de la montagne voisine.
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La redescente est difficile, mais fort heureusement, une bonne bière fraiche nous attend à l’arrivée. Eh oui, quand on se retrouve entre français, ça fini souvent en apéro.
Après une bonne nuit de sommeil, nous décidons de rejoindre le glacier de la Hooker valley en VTT. Arrivé à mi-chemin de cette randonnée de 10 kilomètres aller-retour, un guide chinois nous interpelle, nous disant qu’il est interdit de faire du vélo à cet endroit alors qu’aucune interdiction n’était explicité sur les panneaux informatifs. Après une rapide vérification sur internet, il s’avère que celui-ci à raison (merci le service d’information du DOC). C’est donc quelque peu agacé que nous faisons demi-tour, reposons nos VTT au parking, et revenons à pied. Nous marchons bien, à tel point que nous redoublons le groupe de touristes (encore une petite fierté ^^) et parvenons à abattre les 10 kilomètres en un peu moins d’une heure et demie. Finalement, ce sentier était une vraie autoroute à touristes, mais il faut bien reconnaitre que la vue sur le glacier et sur les icebergs dérivant à la surface du lac était des plus jolies.
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Nous repartons ensuite direction Queenstown. Nous nous arrêtons sur la route à un point de vue sur la vallée du mont Cook où nous prenons ce cliché qui ne manquera pas de vous faire dire « wahouuuu ». 
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Nous faisons également une halte à Lewis pass, un passage (comme son nom l’indique) entre des montagnes aux versants aride, digne d’un western.
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Vous pourrez retrouver la suite de nos aventures dans notre prochain article sur Queenstown, Wanaka et les alentours. Et on peut dire que nous en avons vécu des aventures. D’ailleurs si j’étais vous je serai vraiment impatient de les découvrir. C’est comme Game of Throne à la différence que là, c’est mieux et beaucoup plus palpitant.
#nz
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lespetitspedestres · 7 years
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A la recherche des pingouins dans les catlins...
Après ces premières semaines au rythme soutenu, grands sportifs que nous sommes nous avons  besoin de quelques jours de repos. Il ne faudrait pas prendre le risque de devenir trop musclés. Nous prenons alors la route du littoral des Catlins à la recherche des animaux marins. Des collines vertes saupoudrées de moutons qui se jettent dans la mer. Ma foi on est bien en NZ.
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Nous nous baladons de plages en plages, à la recherche des lions de mer. Plutôt durs à repérer de loin, ils se confondent très bien avec les amas d’algues apportés par la mer. Dès la première plage en poussant un peu on tombe sur notre première bestiole, au poil plus clair que ses congénères il s’agit d’une femelle qui se fait dorer la pilule sur le sable (presque) chaud. C’est tout excités que nous continuons notre avancé contre le vent car nous apercevons au loin une masse sombre bien suspecte. Bingo ! Un beau bébé d’au moins 400kg (à une centaine de kilos près, on ne va pas chipoter hein) s’étire sur le sable.  Au final, nous aurons approché trois lions de mers au cours de cette ballade. 
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Le soir, on file sur un spot connu pour apercevoir les pingouins aux yeux jaunes. Ceux-ci passent la journée en mer et rentrent au sec dans les heures précédant le coucher du soleil. Le temps se déchaine entre pluie et vent, mais on est prêts à braver les intempéries pour voir un pingouin pointer le bout de son bec, et visiblement on n’est pas les seuls…Et l’on fait bien de patienter puisque après une demi-heure on aperçoit un pingouin. Il est quand même très loin et on est bien content d’avoir les jumelles. C’est décidé le lendemain on retente l’expérience mais cette fois dans un lieu moins touristique. 
Sur la route, nous prenons le temps de nous arrêter pour aller admirer des petites cascades nichées dans la foret indigène.
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Vient enfin l’heure tant attendue de l’observation des pingouins. C’est toujours sous un vent à décorner les bœufs que nous partons à l’assaut de la plage, et hop les pieds dans une grosse  bouse de vache bien fraiche pour Chloé… Ça commence bien! Ma foi, il devait s’agir du pied gauche puisque après seulement 2 minutes en bord de mer on aperçoit lion de mer et pingouins! On délaisse le gros pépère pour escalader les falaises et se rapprocher du fameux pingouin. On arrive en haut d’une falaise de laquelle nous surplombons non pas un, mais deux manchots vacants à leurs occupations : regarder le ciel, la mer, le sol. Ha ! Un petit plouf dans l’eau… 
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(Désolé pour la qualité des photos mais notre zoom n’est pas assez puissant pour faire mieux, et on ne voulait pas s’approcher plus pour ne pas les déranger). Le temps file et on réalise que ça fait plus d’une heure que nous sommes à notre poste d’observation. La marée monte et il ne faut pas trainer si on veut pouvoir rentrer à la voiture.
Pour être originaux le lendemain c’est à nouveau ballade sur la plage à la rencontre des lions de mer sous le vent (oui encore et toujours. Les cheveux de Chloé commencent d’ailleurs à se transformer en dreadlocks). 
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Puis jamais deux sans trois, le soir c’est observations des pingouins au niveau du joli phare de nuggets point.
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Mais ce soir-là, devant le nombre de touristes attroupés et le vent qui ne diminue pas nous perdons vite patience et préférons rentrer à l’abri dans notre Josy.
Nous prenons ensuite la direction de Dunedin, une des plus grandes villes de l’ile sud aux influences écossaises. On se voyait déjà déambuler dans les ruelles au milieu des jolis bâtiments tant on nous avait vanté le charme de cette ville. On a vite était déçu. Certes c’est l’une des rares villes néo-zélandaises qui possèdent de jolis bâtiments mais ça ne casse pas trois pattes à un canard. On est surement un peu exigeant. Pour ne pas rester sur une mauvaise impression on s’offre un bon petit fish and chips (100% GRAS) avec une petite binouse qui va bien. Erreur fatale, c’était vraiment beaucoup trop GRAS. Le repas nous pèse sur le ventre toute la nuit, sensation envie de vomir garantie, c’est parfait pour une nuit de sommeil paisible.
Pour finir ces quelques jours de road trip en bord de mer on continue nos ballades côtières avec un premier arrêt à Katiki. Ici, c’est des phoques à foison, petits et grands qui se prélassent au soleil !
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Nous recroisons des pingouins cachés dans des petits terriers ou sous des aménagements en bois! Cette fois il s’agit du manchot (bleu) pygmée, le plus petit manchot du monde.
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 Encore de jolies rencontres. Nous filons ensuite vers la plage de moeraki. Ici on trouve des formations rocheuses totalement sphériques. On pensait arriver sur une immense plage remplie de ces formations, encore une déception puisque l’on se retrouve seulement face à une vingtaine de rochers. C’est plutôt joli mais rien de vraiment impressionnant! 
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Heureusement pour finir en beauté cette parenthèse en bord de mer, 2 dauphins jouent dans les vagues justes devant nous. Ni une ni deux Thibault enlève ses vêtements et se jette à l’eau pour aller nager avec eux. Trop tard, les deux dauphins sont déjà un peu trop loin.
Voilà une semaine riche en rencontres de faune marine qui se termine, mais nous repartons pour de nouvelles aventures à l’assaut des montagnes néo-zélandaises.
#nz
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